PICARDIE I ïi Il À È U R È ~ =" le guide trimestriel du GEPOP I r N° 16 Juin 1982 ( dépôt légal 2c trimestre 1982 ) l'''‘ ·I=É‘ÉQ" - - A àl! ."' I-! I ,1 I fil ,. SPECIPIL O I Tv. ‘_•" J/ nba-‘ Ng Il DES IVIOLLIERES I II A · GROUPE ENVIRONNEMENT - PROTECTION - ORNITHOLOGIE en Picardie — Affilié à la Fédération Française des Sociétés de Protection de la Nature - Agréé par les Ministères chargés de I’Environnement, de |’Équipement (Loi sur Ie protection dela Nature) et dela Jeunesse et des Sports - Musée DE PICARDIE - 80000 AMIENS · (C.C.P. LILLE 872.02) Directeur de publication : Patrick Thiéry Président : Jezan—Marie Thiéry — Prix du numéro 2 5 FT Adhésions de soutien · 6 partir de 50 Ir, normale : 25 In, moins de I6 ens : I0 Il Commission paritaire 1‘=° 65860 '·S·S·N·°‘82·^20‘
!I · E =* ASSEMBLEE GENERALE DU G.E.1>.o.1>. î n Fr LE 20 MARS 1982 à AMIENS n COMPTE-RENDU MORAL I CE C©MPTE—RENDU COMPREND 2 PARTIES : 1 - le bilan des activités du G.E.P.O.P. depuis le 14 février 1981 2 - notre politique à venir. · 1- BILAN DES ACTIVITES : On peut distinguer 3 sortes d'activités : a) celles qui intéressent au premier chef les membres du G.E.P.O.P. b) celles qui mettent le G.E.P.O.P. en relation avec le grand public c) celles qui mettent le G.E.P.O.B. en relation avec un public restreint ou avec les Pouvoirs publics. a) activités internes du G.E.P.O.P. - réunions mensuelles du Conseil d'Administration. - sorties mensuelles d'initiation, d'étude des milieux, de ramassage d'oiseaux morts. - bulletin trimestriel, il s'est épaissi et sort régulière- ment, nous en remercions le Crédit agricole qui l'imprime. - soins aux oiseaux blessés et mazoutés (rapport annexe) - emploi de 3 objecteurs de conscience. Le délai de rembour- sement des frais occasionnés par cet emploi est beaucoup trop long (6 à 7 mois). b) activités mettant le G.E.P.O.P en relation avec le grand~public ~¤ interventions danskîa presse,`à'1a radio, à la télévision à propos de délits de chasse, de soins aux oiseaux. - projections de diapositives et de films à Amiens, Rivnry et Abbeville. - expositions à St Valery-sur—Somme et à Amiens. c) activités nettant le G.E.P.O.P. en relation avec un public restreint ou avec les Pouvoirs publics : - réponses aux demandes de renseignements sur la vie des oiseaux, nos activités.... - intervention (à propos de la vente de pièges à oiseaux interdits) auprès de quincailliers, grandes surfaces, journaux. - intervention (à propos de la pratique de la moto verte) csaoupe Envmowmamsnr · maorscnon · onmrnotoous en I>IcAn¤ua. Affilié à la Fédération Francaise des Sociétés de Protection de la Nature - Agréé par les ministères de la Culture et de I‘EnvIronnement, de |'EquIpement Iloi sur la protection de la Naturel et de la Jeunesse et des Sports. MUSEE DE PICARDIE — 80000 AMIENS - CCP LILLE 872 02
I ‘ 2 E î î X Il ·· n ûlu F TÃ du Préfet de · da Somme , du Sous-Préfet d 'Abbeville et des Maires des communes du littoral et du Groupe de Gendaraerie. - participation à l'enquête sur la destruction d'oiseaux et de II.I1IlifèI‘8S pI‘O'ÈégéB· - sauvetage d'aires de Busards par indennisations des cultiva- teurs. ` - intervention auprès du Préfet de la Somme et du Ministre de l'environnement à propos de la chasse par tesps de gel ou de neige. · participation active aux Etats Régionaux de l'Environnenent, tant au niveau des travaux en commission qu'à celui de la rédaction définitive du Livre Blanc. 2 - POLITIQUE à VENIR : Nous souhaitons prolonger la coopération avec les Bouvoirs publics amorcée par les Etats Régionaux de l'Environneaent, en particulier dans les domaines suivants : — enseignement de l'écologie dans les écoles primaires. — auénageuent des bords des routes, rocades, autoroutes. - travaux de reaeabreaent. - réhabilitation des gravières après exploitation. - études préliminaires à la mise en réserve de certaines zones. - .M. GROUPE ENVIRONNEMENT · PROTECTION - ORNITHOLOGIE en PICARDIE. Afflllé à la Fédératlon Francaise des Sociétés de Protectlon de la Nature — Agréé par Ies mlnlstères de la Culture et de I'Environnement, de |'EquI¤ement (loi sur Ia protection de Ia Nature) et de Ia Jeunesse et des Sports. MUSEE DE PICARDIE — 80000 AMIENS — CCP LILLE 872 02
' (:)l\l E5 c o g o s • • s s • s . , ~ ra o , C5 ~ Ã $2, 2 24 maumss mms LA viuz U: wu RW " H p'° H ” Le cygne de I’étang de Itivery est mort; . Depuis un mois, l'etang de doute allaient-ils y faire un nid 7 tuit. Rivery etait devenu le domicile Depuis hier, tous ceux qui les Le G.E.P.O.P. a ete alerte, et a d'un beau couple de cygnes sauva- admiroient avec interet sont catas- manifeste son intention de deposer _ ges. Les promeneurs aimaient trophes: on a en effet retrouve le · une plainte. Reste maintenant ce beaucoup les admirer. lls leurs mêle mort, crible de douze plombs. qu'il va advenir de la femelle, car, donnaient ô manger. Depuis quel- Tous les habitants du secteur en general, ces animaux s'¤ccou- que temps meme, on vaydt que le ont ete proprement scandalisés par plent è vie, st celle-ci restant couple semblait s'inst¤ller dans des . cet acte qui, apparemment, est seule, an craint des suites dramati- roseaux, au milieu de l'etang. Sans d'autant plus imbécile qu'il est gra- ques. Nous avons,bien entendu,déposé une plainte mais sans grand espoir de voir prendre l'imbéci1e qui a fait ce sale eoup.Au bout de quelques jours la feselle est partie,eosse on le craignaitgsaie aux dernières nouvelles d'autree cygnes sont revenus sur l'étang.Ils sont saintenant quatre. Nous reseroisns de tout eoeur le Syndicat des Copropriétaires de la Résidence du Pare Beauvillé qui nous a généreusement dédosmagés des frais que nous avions engagés à l'ocoasion de cette triste affairs. J'·M· THIERY RECTIQLCATIFS Picardieeüature n° 15 page 21, li€eBâ t Pourtant selon Kespf et Dick tn Kespf e usgar (1980) un sondage effectué sur 1'écraseuent des anisiux sauvages nontre que 2,58% des conducteurs déclarent 1'effectuer intentionnellesent. Picardieelature n° 15 page 17 lire : La jonquille ou faux narcisae fait partie de la famille des MONOCOTYLEDONES, et non demis fanille des Dicotylédones· SI VOUS NE LE SAVIEZ PAS.·· " L'ENVIRONNEMENT C'EST L'ENSEMBLE , A UN MOMENT DONNE , DES FACTEURS PHYSIQUES , CHIMIQUES , BIOLOGIQUES , SOCIAUX , ECONOMIQUES , PSYCHOLOGIQUES ,ET ETHIQUES SUSCEPTIBLES D'AVOIR UN EFFET DIRECT OU INDIRECT , IM EDIAT OU A TERM SUR IES ESPACES , LES ESPECES ll ET LES ACTIVITES HUMAINES . ( définition donnée par le conseil international de la langue française au congrès d'Aix en Provence en 1972 ) `
ll\lFORlVlAll0N'5 . .4 ....... ll\lFO BUREAU INTERNATIONAL DE RECHERCHES SUR LES OISEAUX D'EA.U (BOIORIOOEO) par François SUEUR (délégué régional.) Le Bureau International de Recherches sur les Oiseaux d'eau (ex. B.I.R. sur la Sauvagine) a pour but de stimuler et de coordonner, au niveau international, les études et la conservation des oiseaux d'eau et des zones humides. Ce travail s'effectue par l'intermédiaire de Groupes de Recherches regroupés en 3 divisions et de Délégués Nationaux : - Division des Populations et Di=tributions (canards, canards marins, Oies, Limiticoles, foulques) ; - Division de Biologie Générale (cygnes, baguage, bécasse et bécassine, Gestion des zones humides, écologie alimentaire) ; - Division des prélèvements cynégétiques (rationalisation de la chasse, stati—tiques de la mortalité due·à la chasse, chasseurs (COI188I‘V8.'lîB11I'B) · L'activité la plus connue du B.I.R.O.E. est sans nul doute l'organisation des recensements d'oiseaux d'eau permettant de suivre l'évolution des populations et par là sème de protéger les espèces en régression en conseillant les modifications de la légisïation notamment au niveau de la Coamunauté Econoaique Européenne, activité actuellement fortement contestée par les °h°°°°“I`” fI`°n‘?‘i°• Gibier d'eau : rlétense internationale Sp 2; Or. dit beaucoup de mal, ou- |'O.N.C., M. l.averne,¤déclaré: J delù de nos frontières, des techni- c Pour la saison de chasse È ques de chasse au gibier d'eou et l9B3/84} nous envisageons de _ des durées de nos périodes de mener une enquéte • tableau de È chasse. Un professeur de renom, chasse • sur l'•nsemble du terri- un Anglais, M. Matthews, directeur toire français. ’Vous savez que la ê- du B.|.R.O.E. (Bureau de recherche seule enquête, qui a été menée n · sur la sauvagine), s'était même cru iusqu'ù présent, remonte è l9Z5, B autorisé à adresser une lettre è M. qu'elle était entachée d'une marge g` Crépeau, ministre de l'Environne- d'incertitude relativement impor- ment, pour lui demander d'envis¤- tante et que nous souhaitons, je " QG! la $Upp|’G$Sl0t`\ dB lil Cl\GSS€ dE Cfbli QU! c'est— lG bdiê (IO tüüll 3 nuit et le raccourcissement de la bonne gestion, connaitre les prélè- fr chasse au gibier d‘eau. vements des chasseurs. da Le délégué de l`A.N.C.G.E., qui Cette enquête sera lancée dés ` participait à la réuriion du groupe cette année par un petit additif au X de recherches sur ld rationalisation livret vert, sera distribué aux Ln de la chasse du B.l.R.D.E., en chasseurs pour les habituer, dés·la go G|'0ttd€·B|’ElGgf't6, G, QU COUYS iGlS0|\ p|’¢Cl\Ql|‘\Q, è l€|\lf Uft ('L d'une assemblée `dirigée par le " tableau de chasse, quinzaine par professeur Teppo Lampia (Fin- quinzaine, grandes espèces par lande), profité de l'occasion pour grandes espèces. l.'enquête réelle, · donner la position des chasseurs en vraie grandeur, sera menée 4 français de gibier d‘eau. l'année prochaine. Cette année, ll 0, f\Ol0t\1t`h€ftl, analysé les rclg nous GfgG|\lS0|’0l‘\S, p¢Ul·êlT€, dCi sons de la complexité et de la enquêtes localiséés pour tester nos durée de la saison de chasse au taux d'échantillonnages et faire glblêf d'eau Bft FYGHCE, El dôlthé qU€lQI.|€$ GS$UlS ddlti CQl’lGl|\S une image exacte de la chasse à la départements. Dés maintenant ie hutte, qui avait été présentée crois qu'il faut en traiter dans la d'une façon réellement tendon- presse pour que les chasseurs cieuse précédemment. prennent l'habitude de tenir leur Au cours d'une récente confé- tableau de chasse personnel ». - ·»·· A- ···-···· In .·|:·-·-os"' A.
N La F.F.S.P.N. ( Fédération Française des Sociétés de Protection de la Nature ) COM UNIQUE : Nous attirons votre attention sur l'existence d'exposi- tions du Groupe DURAND à travers la France. La famille DURAND et Cie monts des expositions itinéran- tes de reptiles, présentant des spécimens de la faune locale, dont la détention est interdite. Aucune de= ces expositions ne sont légales. La F.F.S.P.N. et la SOCIETE HERPETOLOGIQUE DE FRANCE ont engagé de nombreuses poursuites contre les différents membres de cette famille (certains d'entre-eux ont bénéficié de l'a¤ istie) ; il convient donc d'agir pour que disparaisse ce scandale pernanent qui n'a que trop duré. Aussi nous vous deaandons instamment de nous avertir immédiatement , dès que vous avez connaissance de l'installation d'une exposition de reptiles itinérante. Compte-tenu de la complexité des problèmes et de 1'Habi- leté des personnes concernées, il vous est denandé de n'entrepren- dre aucune action sans nous avoir consulté au préalable. Pour nous contacter, téléphonez au 16-1-§§6.04.14 Ci-joint 2 arrêtés ministériels prononçant 1'interdiction de 2 expositions itinérantes de reptiles du Groupe DURAND ; ces locunents sont a utiliser pour réclamer la saisie sur place de ces expositions, si vous les repérez.
.. u 1 OUEN J ¤ -45 —u• ¤·>0L. ~< ·4 0-4*0 L¢¤I~00 ~· .• •CI20 un L4 :0 Il L.: •• · IUUQ lhd-I 0 :0.41 0·¤.• N92 0 -40: N50.d0 11004 ••l *2 ¤‘° > uno: oz-: au nc: ¤gH ·•• 0.000 ::.1 :0 1 0 -4118. •·| F 0 MI '¤ ¢U'· II.-4 JI! ••-IU ll P -40 050*0 .400 >: Z·0I¤ -4 I~•¤.-4.-4 0l- 5 *0-4 0.-40 · 4*08 0 ¤•|~.a• 0:11v-sv- 0 0 *06-4x '¤ O lu .-40. U lg. 'U :0L.· 00:.1 HI •-400 1 -40: nII:•I 0 50 "*¤• •¤ 0 *0-4 -00:0 · :0- M50-4 N¤· I~ HU g: .-40: II 00.-4 -4·¤·0¤ ¢ 04 .¤0¤0 0•·0E0 0 0: ¢¤ tt-4 00-J .-4 E.-40: t-4*00*0 *0 L.00 !00.1 -40 0.-4.-4:1 0l-I Il •¤ ¤4n·¤ ·•· W 0 >•4 41 ‘0¢€|I|U > 0.*0 0¤•-40 ·0¤ 0 0500 'UÉ5·•|r| -4 :2....: A0 *0 >·¤ . .-4 :11: :..1 .-4 fl l¤¤.0 E0 ..I0¢m (-. .-4 un 0U¤n.•¤·~ U -. -:10 Jung z -4 .n0:·-4 > :¢¤ 000 tn -4 L·4-4hID _L_ N 5 N-•|-• 0•¤000 5 :0m· Eu. Zic!-E-• · z vu 00 •¤:·¤—0>: *0 m U" ~ 0-4 I.:-IU.: f E- Id 550*0 .-4m AW L.--44* IIUCN ztldz v z 2 O ‘¤'¤: -|CC&E 0 wa.-4¤· QUL.: ¤¤ ¤§ W 2 .-4 0¤ 0.·400¢¤0 0 :z¤.·~ 1 0 ·•I0•-•< §~ I: g wmv: 1-4-441.-4¤ •4-4 ·-4<¤. moon ·-•¤.1 A hl gz 5 414N 0 ..10 0vI ·0 «¢•I0 >·¤:-4 4-* Z w 1 N\¤0E•· 0 mou--4 L4 HD L. -4 0 ·4\I¤u.1 · 2 > ··-IIO--•~ yq,.51 .-4 ¤. :::3 .¤»u.•¤ r¤¤·-J:. ‘ O Z 04 I\¤ UN •uE0 :.¤ 4-* 1.E U: T- ¢¤ hl N f·•`0·0 *0•\‘|-•4:0•¤ :1 Cm 0 1.0-0 •-• - ~¤·· l— L•¤.¤: ...1nc-00 *0 ·· ¤.·.·4~0> ¤E-4.: > .1 wc: •5¤».-4 ::..1 —·4•:··v ESG: *10 U Z U spx. .20 U I:¢¤0-4 : wu 043..: 0..-4--. nz rn I-: 2 mm-4 : manu.- 0 I :¤..1w ..:::0 • E- C1 0 ~•ICO& 10 0-0-4 .-4 f··I 51 um 0:0**4-4 .1 une 00 UL-. I..L.·4·¤1 0 I .44; ~ un. »¤ hl ld z: 0.-41 •¤ *050O 5 -.4 ell -em-• ~¤;L*0 N nt L. .-40 00m-4•¤‘¤ ln I .05¤\¤ L. U•¤ Q nz E- -Ill un -4.: 4]|Ev|¤.r| 0 Il •¤0a·¤ n.: 1.. rn 0-4 -0-40.-40 L..0L.x 0 0. I un. UCI! N nc •-• ·-4 *0 *¤.¤n hbüüwh 0 ll ·a··c1u•— 0 0m- lî 2 0 0 5 4U .-4-155 L. il - 00. ·-40 II ¤l ¢ •-• 01 0*0:0.0 -:5.-4 0 0. <l -4-.-..4. 4::.4-4 F ·t .-4 .-4 0 : .-40;7· cu E·•,¤·-4 ..41550 V) : :-450 ~¤000 tx rI.I¤| IUUUE H un DO ::0000 ::0L.c-4> D •¢z¤.u~ cel 2 .-1 >•4 >·-•U E >: 005 rn L.I.J v~ •«¤.¤·0: H 0 0000 l¤0*¤:0 0..15 ·EUO¤ I 0 IUGJ 01:0- -40..1. NE ll 0 DONC 0 g·>·0 z 0-00 0 •¤|HÃJ¢ 0- L-. l~I0n IJUIH: 0 .-40.: &¤¤0: .1:00 .1 ~0•¤-4 L. ¤. 0- Z5-*0 U0:0 000 0 ¤. ¤.•¤n0 •·¢¢|I|I-| •-4-4•¤L. -4.-4L.0E •¤.-4—0L. wu: -40 9.-4>U I-4 II: ¤ · ....0 0.:10-ai m-4-.-4-0 ¢z·.:05 .-4 .-4.•¤¤.u. -4¤0.-44¤ <.:I>*¤ <tU¤•¤ I | 4 iq,. ·· .1 .¤•4 I-4 ¢. .. ° J" gg: aozg ¤ ‘ J”ZZ 8§° ¤ ¤ avez ao ° “°“° wga ÉÈà :0Ãu Eng > °°¤° °‘° :• «« 1 qu vl 010 D.-4 · 0 waun env V0 S¤• $8 ·• *` ‘• , ° ^’5" ..8**3 5.. m0 0 0 ': .-40l: *0:: 00: LJ-: 'igë U dp; Q; :00 D U F ‘ 0.-4.-40 0-4 ‘**·" '¤‘g¤; N ¤_ , ‘ ° 5; " $$2 ‘â°"â.J ....2 È |~ U ' ' fi G dll ‘ · 000* HU I U¤.¢ 2 5 sa Quv 0 =0«2 : ~ *v‘ >°¤ cg H ¤. A °0.l ~0l¤ 0 0••L.0 00: 5 àgâ !'¤ _ >· ¤ ° z •° ° U anno du • Ju " " gg °"' ` " ° •-C210 annu É .4 •|\*¤ 2 L.00 .-4 â A .-4: oo Hua! B ... É Magne gg? ... ÉMÉÉ ·=·.-.¤ anna 2 â * “ ”" "‘ '°" ° 22 ’ 'tâ-3 zî.‘S« > E'. Q .. "'7$ï.‘.. "‘z.".1 .. ....22 ·.. .§ 1..: .. z â .-4 FU au Od 0 : L. 000 .I!⢠E ¤•|·0 1>•¤ •4 -400Ln UHUII v aa E œ g N pgp q 1 .· 0>\4N BU HG S · B •-4 1 •-4•5 .-4 00 I-. -L5 Il ::·B4 =\”¤ E M > uzuuu van ¤ M ¤¤¤ ;¤9 I huan > Id z au- P 00-4 wav I 0>II·¤ *0 E -¤.I N #-4:*00 QUE 5 Fl : 0 :•4 F • OU O H hl-.-! 'U I I|~ V` UNIS: . .1 IH -.-400I ¤.I:L. NI EQ -¤• '¤‘¤UU'•\ .1 ll 05 2 .-4-4 II ¤ I 02UN :I Id ¤—0 Q .-4: :0.-4 0 ZI I¢-IPI 0¤.:·•0 Il ¢ ¤ n II.-40.00 *¤L.5 -4 I un-4l IIEUVÉ g 4: 0 *¤5• 58 0 GI -4¤.¤|· NS «0•l G il 2 00 0. ~00 -4 I .-•¤5•` ·0U ~=*¤ si E 0 L4•¤: 0 0uL. un <I .0 0. àl 0 ¤ nz 4 ~4•-4 U 05: ¤00 0 00 • *0Gg. hl vi 0 •0:-4¤0 L.*¤0 ¤. 0:52 00 EI .-4 .-40 *000 B L. *0 0 ‘Ol|l| 0.-4L.0 II 2 *0 -400: 0: lu --4 0 .-4 l:~ H H I 000: -0- ll. ·10¤0 -500 2 I .-4: .-40000 rl E- ¤0L4 •lU•.-4 •-• 0 0000 0N 5 I-4:0 2 •0•-4 I , ¤I.¤v• 5-4|·4:: 5:2 ·L.I·0 ~Aè•L·.0 .. .1 >0 >.-40.0 >I¤1 ¤‘l u:>*¤ I0°¤.g U ¤. •I• UI-I 0U-4 0;.-4.¤¢ 0 ¤.l•00 02 .-4 >5 .-4 I 0 l¤·|I.4$·4 0 0 *¤ 0 vu 0 · 0.-0 au §0>4N ¤ “ "A ° U, ucuân ¤• H5 •·0•~ UUGN L400 C>¤ +4.-4B Hllvll 0 5>:L. D5-4 C-40-40 ¢·•|·.¤¤0>. .-4 -400 000 I-4:.-4 B5- 5.-4 05-0 .-4>g ¢>.¤u ¢I|•·¢U¤·4
H Éll;‘·fê·‘-$,¢;·;,; Là ü EQ: ,,__,/ 0 les aaénageurs passent,la Nature trépasse, rt, . l,· ·· · _ ‘· Jlügww `ëll" Le"cheni d ' _ I w W n es douan1ers“passant en bord d 1 f 1 ·« Eorte à l‘ouest de Saint Valery sur Sonne î:îlgG°18¤B0îBuiB° ¢‘·_;_· l · oudant sur environ 400¤. Bordé d'un côté par des buissons iii Ci /l abîitartxtède nombreux oiseaux,il surploube de 1'autre un N , yi, / •· ¤¤ T 8 ï¤lF¢1‘¢¤¤¤11‘l¤ du p0i¤t de vue b•tanique.Em effet .5ç / la flore de ee talus est intermédiaire entre la prairie ’ A }~¢4"’^” §“ïîÈiI'1înîtvÈ“1’§ît’“i° dï "i“°‘“‘”° “°""°‘”‘ "°"°"‘"°° wf r ersuree il li / Zhgêc. rra n es o s de la phytosogig out cela est teruiné car depuis le déb t d le che-in É nalénagéâ de uanièrc ·.,_···:ïi';!,V§vl ¤oderne.On n'a as lésiné s un ,,,4_. P vr les noyensxle bulldozer g ratiboisé le manteau de la f0rêt.Les herbes,les buissons — · *4 ;:g_··‘—îü,;î les jeunes u·bres,tout y a pass6lOrdre aux oiseaux de trans poïtgïélâiêrs mêds ailleurslLa terre et les souches enlevées —··—· ~ on vers es sur les talus en contrebae.La h t 1 / /, / chese,on eexmait pasllllaintenant on a un beau bouîeïagîch n £,; î4· ,1 7 · I largâ de à 7 a.l»es familles noabreuses pourront s'y prono L fl. f , , ner 1 aiselll 1 est pas encore aacadaaisé Iain au train hf ' APÉEV •üEvî2t le8t¤ho¤es cela ne saurait tarder, / /_·» W v eaaen ,nous ne saurons jaaais à qui n d t /·’ / / prestigieuse réalisation.A la Municipalité ¢TésSa:îrtnlîal:r;° z , êlêîlîgazî ou à la lïireetien Departeaentale de l'Equ:Lpe;en1;? E u lité adainîâtîïgîîînt la ball°’B°1 °"°‘Pl• "i¤‘e¤p•nsab1 . 2 " iu`.- = . ‘. n I ' L ' I 'Jz'. ;·;_)_'. È :1; |l‘lUIS‘·l'lB_ |'lI'ISDIl 2IllBG—S|lI’Y$I$z_â,§Ã..;s_;5·?.,;ê—È·¥,,,—]g_¥y“_ _ _|)0\lI’, les ’_Cl'I3SS8lI|'S lilB_ lI0l|ll|'8lIll$~ Céggner f>i`c«1r·elî ’i· _ — _ 4»;j:< gg M- v W . Lg Fgdêrahon des Cl1¤$$8U|’$ Obllenl'4 Ooolî ;d°l , ?` , dommages et intérêts. ` U ' v¤»¢&¤«»i«1‘·sÀ«et»èz em été ' I .;.· · iE_' (mds, _sÈî_:,4..â·.1.· I · a En Belgique, c'est· unfvr;1l> rîpondait deàggersâ dâlits àl; ¢0l'|\|'|tOfC0, l Y U DH! Of B `C GSSG El`! COM IB G Gym ' ' ` ` " ’ ` ' "' ` ' ` ` ‘ " gemaztde. Mag, gmme li; chafïe ëandorge, 49 ans, également de e ce oiseau e uvreui est r= ottignies. · · tîmentlréprirfrèîeuil estF préférable TZ`? geux SïVGlQ|\l|élé ïapris, le (unâsvzztfgrgàcun 2 000 F d. C V80"' $8 ml? Clt IUIICQ I, C SCM l GVYI , pdf GS Q CNRC! &“"“¤g°‘ .' üürüs à |° dêclaé Henri Bôuchez, 26 ns, de Br¤y·sur·S e, lors qu"ls · dêpc em", domiéilié ù Dottignies (Bel ’¤ue) chassoient fle °lTc"iivreu; dans un mm n tc', tic. duuwn 9*1 de la Somme qui étant représentée qui, dans le cadre d'une procédure bois àùEclusier-Vaux (C.P. du 5 pa, M. cab! Beach v· de sais'ne directe, compar issait avril), lfalde notamment, d'un · °,d°m‘ °""·‘ mardi après-mldi devont le trïbunal filet de 7 ïmétres Ide large sur 2 la mdêrhg ·correctlonne| de Peronne ou il metres de liant (délits qui peuvent _ " · ASSASSIN · r-/"/`î`/VN f" th? TRAFIQUANT D't\NIHAUX eêllîhfîlî, atilt-\:À:“te·«·« ' ··/ O J des lili/n.$t!:H¤uSv\ie(K.•uv ’/ · · 0 i ’· _ _4. ¤°O_ \o¤t\l*V“)',.·· , F ' Q wu ` ' , /·_;iX ' ‘ /. " Wa, ., . ·' I . V] `:/I (iq', ' u y fî, t l t . , « dggg # · · N 5x · JN A ‘ " " —’ ·/· Am * y ' ~ ·. ’ mf k ) _ mi NL k / LL c mwu111u¤··| « I I
» I XU l" H FYD ‘ ` ‘ . 1 Il 1 ai lallülg - _ Pour toutes nos sorties,prévoyez des vêtements chauds,des bottes, un livre de déternination des oiseaux (Peterson),des junolles, (le G.E.P.0.P. prâte des junelles sur place) et votre repas de nidi,en cas de sortie de la journée conplète. Ious encourageons vivenent les enfants d'igo scolaire à venir 4 aceonpagnés de leurs parents,n|ne non adhérents. _ 23 Mai: Les oiseaux du printenps à l'île Sainte Aragone.Techniques __---_-I'observation,iéterninations.Honbreuses espèces dans eotto zone hunide restée encore un peu sauvage.Rendez-vous à 9 heures à la pointe Horbet (C'est l'endroit où la route ' qui va d'Etouvie à Longpré les Aniens franchit la Sonne) Durée de la sortiesla satinée seulenent. ‘ 20 Juin: Sortie pédestre guidée par François Sueur,i'Hangest sur —--_—_—-Sonne à Lengpré les Corps Saints (environ 6 kn.) Rondes- . vous à 8h20 sur le parking de la gare d'Hangest sur Sonne. On prévoit d'arriver à Longpré les Corps Saintsvers I5h20 et de rejo1ndr•Hangest sur Sonne par le train. · Il y a un train d'Aniens à Hangest sur Sonne et retour nais nous ne pouvons pas vous en donner les horaires,oar ils changeront au sois de Mai.Nous nettrons un artiole ` dans la presse le nonent venu. Jnin,Jui1let,Août: Le G.E.P.0.P. participera au Festival de la -__--——Cît;_îï:;rdo à Saint Valery sur Sonne,ainsi qu'à la Jour- née Nationale de la Dune.Des•détaile vous seront donnés dans la presse. IQ Septenbre: Ranassage d'oiseaux morts sur le littoral picard. —_-___-îenîez-vous à 8 heures place du Cirque à Aniens. <à 9 heures place de l'Hotel de Ville à Abbevil le. à 9h50 à la gare de Noyelles sur ner. ` 2 Cetobres Sortie au oinetière de la Madeleine,très nonbreu oiseaux.Rendez-vous à 9 heures à la porte du oinetière. W Durée de la sortie: la natinée seulenent. é
OIERATION "lIEGES A 1.IOINEAID£·· Ayant trop souvent constaté que divers magasins vendaient des pièges en fil d'acier appelés "pièges à moineaux" ou "pièges à grives",j'ai écrit aux directeurs d'une dizaine d'entre eux afin de leur signaler que ces pièges étaient prohibés et de leur demander d'en cesser la vente,leur suggérant de vendre à la place des mangeoires,des nichoirs ou d'autres objets destinés à la protection des oiseaux. J'ai reçu deux réponses me faisant connaître qu'à la suite de ma lettre on avait retiré ces pièges de la vente. Alors,pourquoi n'en feriez vous pas autant? Voici un modè- le de lettre dont vous pourrez vous inspirer.Tenez nous au courant des résultats de vos interventions. Bon courage et mercil J.M, THIERY A vos dumes GROUPE ENVIRONNEMENT '•° PROTECTION ORNITHOLOCIE DE PICARDIE Monsieur le Directeur, J'ai eu dernièrement l'occasion de constater que vous mettiez en vente des pièges en fil d'acier destinés à tuer des oiseaux et appelés "pièges à moineaux" ou "pièges à grives". Vous comprendrez que notre association desapprouve la vente de tels engins.Les oiseaux souffrent déjà de nombreuses nuisances sans qu'il soit besoin d'y ajouter le piégeage. D'ailleurs la plupart des oiseaux tués par ces pièges sont protégés par la loi n° 76 629 du IO Juillet 1976 et son décret d'application du I7 Avril I98I,c'est à dire que leur capture ou leur destruction sont interdites.De plus,ces pièges sont considérés comme engins prohibés par le réglement permanent de la police de la chasse.Leur usage est donc interdit. C'est pourquoi je vous demande de bien vouloir retirer ces pièges de la vente et de les retourner à votre fournisseur en lui demandant d'en cesser la fabrication.Le marché de la protection des oiseaux est suffisamment vaste (et en extension) pour qu'usines et ma- gasins s'orientent plutôt vers la production et la vente d'abris,de mangeoires,d'abreuvoirs,de nichoirs et de graines. Espérant que vous voudrez bien tenir compte de ces re- marques,je vous prie d'agréer,Monsieur le Directeur,l'expression de mes meilleurs sentiments. iv î J W A ..., ` î —« \ * · sauf Y v Wi? "”`"' î "·~\‘</' ··ii \\Ã\\\:A; MM / ~"§6 A «..,. I A 7/ ·"“" / / I
·i Q Ã? x É x . `L Q}/Zi g ‘ë~¤ `l‘° · É \ \§ ®`§\ - i CJ * É; ·+»·î‘- — _ · S' À z` ll- =_- [ · . _ ..- _ I I ~ ai A _ <§ 9 W EQ ·- “ É"` V 1 nn É É ëî QQ N ( ' `: '\ `Q; Èà fr É èêlë ÉÉQVÈQ, lâ ,3 F 5 % ` Q ëîêë É Bâ . "J_ if? gg ~«»< À A5 É "‘ É È; É , 9%% og ¤3> a @@2 M r" ' É 5 È; · 4-); î · `b Là ‘ îî 3 3 9% yzlà Gi É \` &f'ÉÉ` ·~..,—j··>>1; tg! cfg ·* A g` J Q ' h wî A ëû \ ~ ··
L FL© R E DES M© l_l.| E F2 E5 mmm Les prés salés des estuaires picards constituent une flore particuliere,a aptee un rythme des marees;ee système occupe une zone cempriwe dans le tri»ngle Le Crotoy, Noyelles sur Her, Saint 'alery,au Eord et au Sud de la baie de Somme des peuplements moins importants ncussent au nied des ligues installées par l'homme.La baie d'»uthie accueille egalement une p rtie de ce patrimoine flo- ristique picard. BAIE • _Zones de molligîeî D'AUTHlE ”[ *` Err mm u e I. I ` ,"|’î"·«";¢ v . .\___ `!‘;. ` -·. . Ma ··· " L —wl«· “'rm_ s;‘_ l ‘;:H-"\. BAIE DE SOVME s'_r·_r·.·'E. Le Cvcfoi I a \·l¤»m\ È \~\oZe\\v.c, ,=@, Q" \)<l\ctZ ‘-, Cet ensemble lst caractérisé par son extraordinaire adaptation a l'eau salee,les especes qui le façonnent sont appelées plantes halcphiles(nui aiment le·sel).L'adaptation la plus remarquable est celle de la Salicorne (Salicornia sp) famille des Chenopodiacees, c'ost une plante dont la succulence neutralise l'aetion du sel con- tenu dans le sol. La vie_des estuaires obéit aux re les des marées le flux et . . . ‘= . * , r le reflux permanents conditionnent des formes de vie adaptees a ce .milieu et modelent le paysage.Ces prairies salees entrecoupees de chenaux se nomment "mollières" en aicard.Pour le bioloriste il s'a— .....____, l b git des slikkes et des schorres.Les schorres sont des prairies periodiquement inondees aux tres fortes marees,la salinité de ce milieu ne permet qu'à des plantes particulières de se developper.
illea sont yèUÉPHlP1·Ut de petit. taille et composent le menu des mouton U'Cl;va£e .L: schorrc est generalement découpe par des che- nnux envahis par le flot,mais pas Lsscz pour immerger ces prairies. La sLikk< Forme d s olages vascuees inondées A toutes les—narées, par corséquent u ux fois par jour, le gradient de salinité est donc beaucoup plus élevé cue rur le shorre recuuvert aux marées de vive eau et ·'éouinoxe.Cvs conditions ne sont f~vorabLes qu'à peu d'espèces:'alicornem,Soude,et Spartine de T©WHS€Dd. Dans ces deux zones,la slikke et le schorre,les végétaux halo- philes vont Former des mosalquew au sein desquelles les plantes vont s'étager selon le réuime des marées,un peu comme le fait la végétation des montagnes avec l'altitude.Ici ce seront l'intensité du flot et du jusant qui selectionnera les uiflérentes associations végétales. ' "Etagement" de la végétation des mollières. Salicorne Aster maritime RENCLOTURE Spartine de Townsend Obione faux pourpier Suede maritime Armoise maritime F Fétuque rouge îîrïîïîb Plantain maritime i, F_p Q É Triglochin maritime _; ~r”gÉȧÀ Armeria maritime v Z `.ë.aî?%i"· ·£€ë'· marée d'equin©><e _ 4-, Q; _ I `· marée de vive eau · ft , __ --· —·-- - —· · ·· ···* * ‘ ‘ ' ' ' `° ' l ,._.. " ' =··"iÉîr:_ l. n ._j A -@··¢ë· "‘“"递 —}‘ È" =· ` Fit} - M '`''' . _ u r ·‘ M L " m ·' " ` `W'- * " ,, ·.·.— ,~ "}'”·*` ` "îî- ""Ã:—··îeïî;ë;*t.. ”` ''`'' ' “""°’.“ë’ — · ·-·‘~m*‘*“ë“*" . l ‘· - J 1:, l ff I A , _.,uI.<:-- -·`|` il I pl __ lslll ..- ' - ï·""*` l ··v ·‘~·—· · . ...,..· ' LA FLORE DE LA SLIHKE Le sol meuble et saumâtre de la slihke ne permet îuère la fixation de plantes ou d'animaux.En certains endroits p us dense; peut s'installer la Salicorne oui constitue la première etape de fixation du sol des estuaires. Les Salicornes(car il en existe plusieurs espèces) émergent du sol vaseux comme des j~Ls verts sortant de terre.Sur les tiges ramifiées viennent se fixer des feuilles enveloppantes,à chaque HO@ud,qui forment des sortes QG godets dans lesquels apparaitront
des fleurs minuscules et non visibles.Les Salicornes fleurissent tard,d'Aoùt a ©ctobre,les premières Alouettes hausse col hivernantes sur le littoral se délectent de ces graines ta2dives.L'homme a su en tirer parti pour son alimentation puisqu'on la consomme conservée dans le vinaigre. La Soude maritime(Suaeda maritima) peuple également la slikke. La Spartine de Townsend forme des touffes isolées,sa faculté d'accumuler les dépôts de particules en fait une espèce pionnière qui établit le premier stade de colonisation du milieu estuarien par les végétaux.Ses fleurs insignifiantes apparaissent en Juillet sur la plante à port de roseau. Petit à petit,l'amoncellement de déchets,de détritus,qui se décomposent aboutit au réhaussement du niveau permettant la forma- —tion du schorre . LA FLORE DU SCHORRE: Le schorre constitue cette prairie aux couleurs vert gris sombre qui occupe l'embouchure de la Somme et de l'Authie.Au fur et à mesure que l'on s'avance vers les renclôtures,on trouve des plan- -tes qui supportent de moins en moins l'immersion.Ce sont les marées de vive eau et d'équinoxe qui conditionnent "l'étagement" des végétaux.L'©bione faux pourpier occupe la plus grande partie de la surface des mollières et leur donne cette couleur caractéristiqugmn la reconnait à ses feuilles elliptiques vert gris sombre,charnues. Au sein de ces prairies poussent les Spergulaires marines et mar- -ginées(Spergularia marina et marginata)petites plantes aux fleurs roses,les Asters maritimes aux fleurs violacées à centre jaune.Plus insignifiant est le Glaux maritime(Glaux maritima) qui fleurit de Mai à Septombre.Plus célèbre,le Lilas de mer(Statice pseudolimonium) fleurit en Août Septembre et forme de véritables tapis pourpres violacés sur les prés salés.Malheureusement,la cueillette abusive de cette plante aboutit à sa raréfaction dans certaines zones où elle abondait;de sévères mesures d'interdiction devraient être prises. Au pied des digues construites de la main de l'homme apparaît une flore beaucoup moins halophile qui ne recevra la visite des flots qu'aux marées les plus fortes.L'Armoise maritime (Artemisia mariti- ma),pubescente,aux reflets grisâtres renferme des essences aromati- ques qui en font une espèce trés odorante.Ses reflets blanchâtres composent des zones pâles tachées par uelques graminées,les Fétuques rouges ou Fetuques littorales?Festuca rubra),dont les nuances cuivrées contrastent avec le vert gris du reste de la végétation. Les prairies maritimes picardes recélent également le Plantain maritime(Plantago maritima) à feuilles linéaires charnues,proche cousin de notre Plantain commun.Moins remarquable, le Triglochin maritime(Triglochin maritima) posséde lui aussi des feuilles longues épaisses et forme un long épi comme le plantain.L'Armerie encore nommé Gazon d'Espagne ou Gazon d'Olympe (Armeria maritima) fleurit de Mai a Septembre en capitules roses qui parsément les prés salés. Cet ensemble vivant joue un rôle im ortant,sur un plan esthétique tout d'abord,l'image des moutons pàïurant sur les prés salés reste un des symboles de notre littoral picard,mais surtout au niveau biologique,les mollières possèdent une productivité extraordinaire. La vie animale y foisonne,du simple protozoaire aux organismes plus
É?] ,_ \ X" W 4* à~ · dgp? ` ai-I ( M . î \\ " I: "Él Il l A/V y,(l, Y '\`~‘ \/ :l¤_\*' @§§ iÉ· Salicornv hcrbacée ' ` `i_ `~ Spartinœ de Townsend t Soude nari ime $1:5} if ‘ ` Li É ., \ A E . #,4 qgîél Jgm I m. - l \’ W xi “ ~ 1V/ ·. % / I ·, \· _ I / \ PZ. . à 0 ga, gé, j , , _ r r / // \ Aster f` ._ / ' Éf" \. .,?:; maritime âîfn °L 67 S Lilas de mur ii ubione faux pourpier glas ` ' î \ ,; / \ Fl ii i \ I 1 ` \ d§É . · [ <\ 1 9 * ,» ` sx pzy W // ` fâ. `NIII L [ E ]_ // ( E -4 `xlll /___,··—.·—»*g A ` . 2 " t" ’ rmêrla mlll lme Hlantain maritime
complexes,ch~que être vivant appartient a une chaîne alimentaire dont font pnrtie_les produits des pêcheries(aux coques par exemple) Chaque mètre carré de ce système assure une productivité bien supérieure à celle des terres agricoles les plus fertiles,c'est pourquoi il serait souhaitable de preserver ce genre de milieu, d'éviter le piétinement excessif,la circulation des véhicules en tout genre ou les renclôtures abusives.La cueillette du Lilas de mer risque dofaire disparaître cette espèce purement et simplement de certains secteurs car on arrache les pieds au lieu de couper les branches et leur laisser une chance de fleurir à nouveau.Chacune de ces menaces doit être prise au sérieux sinon disparaîtra un des caracteres du littoral picard. Wax wm `ly (if È 1* 14/Q `;§§p ·% \ •~·=‘=‘ \ wu" È a / "' è ¢==w° fg,//r ·§/ . ”IîWw I _ Glaux maritime HtJLl<GQAiHi~: — Faune et flore au pays du So·me:la flore des mollières. Office du tourisme de la Somme -Guide des fleurs sauvages R. Fitter A,Fitter M.Blamey Delachaux et Niestlé éditeurs -Guide des plantes a fleurs R.S.R. Fitter David Mc Clintock Delachaux et Niestlé STAGE D•EOOLOGIE EN BAIE DE SOMME EN JUILLET Le G.E.M.E.L.(Groupe d'Etude des Milieux Eatuariens et Litt•raux)¤rganise un stage d'6e01egie reserve aux étudiants ¤~ titulaires du Bacca1aur6at.0e stage se déroulera du 5 AU I2 JUILLET à la Statien d'Etudes en Baie le Sonne à SAINT TALERY SUR SOMME. Pour tous renseigne¤ents,6crire às G.E.H.E.L. STATION D•ETUDES EN BAIE DE SOMH 80230 ST VALERI/SOMME
16 SAUVÉETAGE 1zEUss1 DE DEUX OISEAUX mzouœns Dans le numéro 4 (Avril 1981) de PICARDIE-NATURE, j‘écrivais qu'en matière de soins aux oiseaux mazoutés, je commençais è entrevoir le bout du tunnel. Cet espoir s'est confirmé au mois de Décembre puisque S.O.S.oiseaux a soigné et relâché 2 guillemets de Troîl mazoutés. Nous avons procédé comme 1'indiquent Jean-Yves Mennat et Yves Guerneur dans leur rapport "L'A¤oco Cadiz et les Oiseanx" édité par la S.E.P.N.B. L'utilisation de gardons vivants comme nourriture compte pour une bonne part dans la récupération rapide après les opérations de nettoyage toujours très éprouvantes. Dès le lendemain de ce nettoyage les oiseaux pre- naient un bain dans le bassin dont j‘avais préalablement cassé la glace. Au bout d'une demie-heure dans l'eau glacée, ils étaient toujours en pleine forme, avec une fldtaieon parfaite évaluée à la hauteur du plumage blanc au-dessus de l'eau, faisant leur toilette avec beaucoup d'entrain. L'un d'eux est resté pendant deux heures. Ils ont été remi= en liberté dans le bassin de chasse du Crotoy. L'un d‘eux, bagué a été revu quelques jours plus tard effectuant des plongées d'une quarantaine de secondes. J.m. THIERY - É; Y "* :¤ _ @ ` v _ ____ _; __ . |< "`“‘ ‘ c~§.@\¢2.! i_È’.'?.‘?‘i1‘kZ: S` ? —··— o —· J: · * ij î§9:*§:⧓ÈâîÉç E egîzëè œë—· E . ee, hm.- I r_ — , ·_ 1. ·-_, · ~§· 3* î;v.\î,·â_ LEG? 66. av ·~· — ·¤ aw » 4F* · sa D a W ‘ · "W" ib Ni ce · - 1 " __: xsl î` -
TRITONS DE LA SOMME par F. Sueur Les Tritons sont des Uàtraciens Urodèles que l'on distingue des Anoures par leur corps allongé et leur queue persistante à l'état adulte. DUQUEF (1979) avait déjà publié quelques intéressantes données sur la répartition des Tritons en Picardie. Dans le présent article, nous complétons celles-ci (un astérique suivant le nom de la carte indique que l'espèce de Triton n'était pas connue auparavant sur celle-ci) et relatons quelques observations biologiques. TRITON PONCTUE Triturus vulgaris (Linné·1758) Cette espèce mesure de 80 à 110 mm selon les sexes, chez les Tritons les femelles sont un peu plus grandes que les mâles. Le dos est de coloration variable : brunâtre, verdâtre ou rougeâtre avec des taches sombres. Le ventre est clair avec une bande médiane orangée, coloration que l'on retrouve au niveau de la gorge souvent un peu plus claire mais marquée de taches sombres comme le ventre. Alors que FRETEY (1975) signale l'hibernation de cette espèce de mi-octobre à février-mars, nous avons noté un individu encore actif le 27 novembre 1981 à Rue tandis qu'un autre était déjà actif le 1h février 1982 dans cette · même localité. Dans la Somme, le Triton ponctué a été observé sur les cartes d'Abbeviile (*), Amiens, uouiiens (*)(u. MAssoN), Poix, Rue et Saint-Valery-sur-Somme. TRITON PALME Triturus helveticus (Razoumoswsky 1789) Il s'agit de la plus petite espèce française de Triton puisqu'elle mesure de 72 à 92 mm. Sa coloration est voisine du Triton ponctué mais sa gorge est rose et ne posséde pas de taches qui sont également absentes ou peu marquées sur le ventre. Nous avons noté un individu actif le N décembre 1981 à Rue. Dans la Somme, le Triton palmé a été noté sur les cartes d'Amiens, Poix (*), Rue et Saint-Valery-sur-Somme. TRITON ALPESTRE Triturus alpestris (Laurenti 1768) Cette espèce mesure de 80 à 120 mm. Son dos est le plus souvent bleu sombre Fortement marqué de noirâtre, son ventre et sa gorge sont orange vif à vermillon. Alors que FRETEY (1975) signale l'hibernation du Triton alpestre d'octobre à mars, nous avons noté au moins un adulte et un juvénile actifs le 8 décembre 1981 à Rue et un adulte les 5 et 30 janvier 1982 ainsi que le 9 février dans cette même localité.
Dans la Somme, le Triton alpestre a été observé sur les cartes d'Abbeville, Amiens, Poix, Rue et Saint-Valery-sur- Somme. TRITON CRETE Triturus cristatus (Laurenti 1768) Il s'agit du plus grand des Tritons de France puisqu'il mesure de 135 à 180 mm. Son dos est brun olive, pourpre, bleu noir ou grisâtre avec des taches noirâtres ; les flancs sont parsemés de minuscules points blancs. Son VBIIÈTB est jàllflê 0I‘&1’1gé à Orange EVGC de gI‘H1'1d8S tB.Ch€B noires soit une coloration fort proche de celui du Triton alpestre mais sa gorge est gris-noir ponctuée de blanc ou de jaune. Le mâle posséde une grande crête dorsale d'où le nom attribué à cette espèce. Le Triton crêté est en régression dans la Somme mais il a été noté sur les cartes d'Amiens (M. DUQUEF et C. MARTIN), Abbevuie (*)(F. M0NTEL), Rue (*)(1>. ETIENNE) et Saint-valery- sur-Somme. Nous tenons à remercier Messieurs M. Duquef, P. Etienne, C. Martin, D. Masson et F. Montel pour les observations qu'ils ont bien voulu nous communiquer. Biblio ra hie l DUQUEF M. (1979) Tritons et Salamandres en Picardie - Picardie Ecolo ie (2)3h-RO. FRETEY J. î1975) Guide des Re tiles et Batraciens de France — Paris (Hatier), 239p. \_/ · ‘ gî.-·,g _"" .`/\`— "¥"£`·Ã' 4_.;f—}`$"¤·«Éf‘·!}·;`jè·î; ,_:_-· ; · -` _ Ã .#`1*î’—ï··'ï’='”*'f€’,L‘·.ff .•’$·‘É·· 1.. M. 2: % 1- “ N`:. " •*r·C1ÃT* î-, ï "’ È, I mÃ} / ·‘:_,~—m î î` 7 "" _/Aè-—\‘·. ~)À_ \ ës ·· _l_ _ .: A _- ·—···"`···* -— \ '-î" .2- _ Eg JJ
• BUSES ET BUSARDS I P. Triplet et P. Royer BUSE ·VARIABLE (Euteo buteo) Son nom indique bien sa caractéristiquezun plumage très variable. Le plumage peut être trés clair dessus dessous ou trés foncé avec tous les intermédiaires possibles.Son vol est trés caractéristique: A à 5 battements d'aile suivis d'un cours instant à planer.Quelques couples nichent dans la Somme et elle est surtout commune dans l'Aisne.Elle est souvent accusée de s'atLaquer au "gibier".En réalité son régime alimentaire es essentiellement constitué de rongeurs. BUSE PATTUE ( Buteo lagopus) Elle ressemble à la précédente mais elle présente généralement une queue blanche terminée par une barre noire.Le ventre est trés sombre ce qui contraste avec le reste du dessous du corps assez clair. On notera également une tache sombre trés visible aux poignets. Elle apparaît occasionnellement dans la Somme ,généralement lors des grands froids. BONDREE APIVORE (Pernis apivorus) Elle aussi ressemble à la Buse variable mais on notera les ailes plus étroites,la queue plus longue rayée trois fois et la tête petite au bec rappelant plus celui d'une poule que d'un rapace.Elle niche en tres petit nombre dans les grands massifs forestiers de la Somme. BUSARD DES ROSEAUX (Circus aeruginosus) Le mîe a le dessus et le dessous du corps marron sombre.La queue est gris pâle et les rémiges secondaires sont grises alors que les primaires sont noires.La femelle et les jeunes sont brun sombre uniforme avec la tête et les épaules jaune crème.Il recherche sa nourriture généralement en survolant les phragmitaies à basse altitude.L'éventail de ses proies est assez étendu:Poule d'eau, Etourneau,Campagnol aquatique,Rat musqué.... Il niche régulièrement dans les phragmitaies du littoral picard. BUSARD ST MARTIN(Circus gyaenqsl Le mâle estgris,a un croupion blanc bien marqué et la pointe des ailes est noire.La femelle est marron dessus et jaune rayé dessous Elle présente un croupion blanc assez étendu. Il est commun en hiver sur le littoral et niche en petit nombre dans la Somme.Il se nourrit d'oiseaux:pipits,alouettes...et de mammifères Campagnol des champs,Mulot gris;Sa prédation sur les perdrix est né- —gligeable. BUSARD CENDRE (Qircus pygargus) Le mâle ressemble au Busard st Martin mais les ailes sont plus étroites rayées de deux fines barres noires et le croupion est grisatre.Le vol est plus léger.La femelle se distingue assez difficilement de la fem. du Busard st Martin.Elle présente moins de blanc au croupion et on notera surtout les ailes plus fines et le vol plus léger. Le Busard cendré est rare dans la Somme,pourtant deux couples ont niché en 1981 .Son régime alimentaire dans la Somme est peu connu. Il semble composé d'oiseaux:Alouettes..et de rongeurs.
BUS]; BUSÀRD busard vous avez dit busard..· `.._ -1 1 g' n """·=? ,' ' vjevftr h . . Q- · ` .4 È@î=·ï*!À\ =.`!É£E* BUSE VARIABLE ‘ W ,.-;;."" ‘ . ‘·* "?‘ __) '~'- . —;JI;• A' (çi •î':î; J`; ` ·O`*••g¤ •à n À ~•A·2* BONÉDREE BUSARE DES ROSEAUX I ' J ·+ . I E . Y BUSE PATTUE 5 / ¢¢ WEI:/\ ." '· ê En BUSARD CENDRE . · *~— >»î•* \.,.. I Dessins de Pascal Etienne BUSARD ST MARTIN
21 ,3l.Lnl·î }É}iL·V`l£·i"l..,,:L `iJ.J ];'.QN.QLL;. , .. . lg` .. ..5 AES llil ..îDI& per 1. Triplet L'enquête mummifères orbenisée par la Société Française d'Etude et de Protection des mammifères touche à se fin. Ce truvsil putronné pur le secrétsrist Faune-Flore aboutira en juin lQ&5 sur la sortie d'un ntlss nstionsl. Les cartes qui suivent illustrent le truvuil effectué en Picardie. Cheque point correspond à un indice de présence récent (moins de 5C uns) sur la certe en 1/5C.oLQeme . On notera le peu de données sur un certain nombre de secteurs de l'©ise et de l'Aisne. Nous incitons tous les lecteurs de Iicordie-Future à nous envoyer tres r pidement leurs observutions (taupe et lapin compris) afin d'obtenir une couverture géogrephique lr plus complète possible. Liste des observuteurs : Bsudry F. et G. , Bellnrd J.,Biet I. , Bouckeert V. , Commecy A.M et X Deboulonne A. , Deluhoche C. , Demuroy B. , Devisse R. , Dordsin F. , Duguy R. , Dupuicn H. , Duquef M. , Flohart G. , Fredon «.M. , Gail1yà Hernenoez e. , I.U.H.n - Jouy en Josas . , Kerrutret L. , de Lerminat Legrand E. Libois R., M rtin C. , Masson D. , Mesn~rd C. , Moutudert M Nosnl J. , Pigeon P. , Pourreeu J. , Prévost J. Ranson H. , Rigaux T. Riols C. , Robert J.C. , Royer P. , Saint Girons M.C. , Sueur F. , Thièry 1. PH. et S. , Tomb-l G. , Triplet 1. Turpin F. , Verière I. , Vigneux J.L. , Voisin J.F. Pour tout contact écrire : P. TRIPLEE Ecole Rue du Repos 80550 Le CRQTOY ‘
lia - ·' · la U ¤·.- _ UIIEFJ _ .2I I2! ,_, UUDHDIEDII Hlllgn-DF HEHEFIE-H ITUQQIIEEIJ ll!!l1__ _- J l@¤§__ I II lil-—¤.d¤IlI¤II l(lhdlI§DIl ¤·¤—¤dlIEÉ' ¤II_EUl¤E!I EIDER}-En IIHUUÃ-EV !H!§_I_$] -IQ-I]_}] IH!!_H·}I ud-- EE-» und-+ . , .. W È . ..m1s:sm—,> ms}.; x.;Us.;R.m-Fia c,;;a..;L:2 HH. EH lill 4 idhüll _. UEIS _ -. HUILE! ..,» — . ¤¤¤¤:•2in¤ nnnnmuuim ¤g¤=%==§ E}îl=¤l’·\¤¤|| I`--II]-E!] l‘---U_E' ESE-ISI-ll EHQII-}I '-·» ....,` EE-L lï_• 1-* 1 HJ · H m · U3.-R.»-G&;î.$ IY.4...; , @(3550} »·LîS.LR·-lGl`"S MLTSETTQ IIS! Ii! li! E.I¤¤! • ,. I-E.! __ EDI"!. . ÈYIHHITÉBR H-!]-F11-É\ H--iq-—ÉT l\|!—¤Il--Il I}-!_!II_-Il l\I§_!l _ IQ-§"it.IllIYl |*-§-nllll-Il -t-§.A”_ I--I']-É!. -I--'À_E'] -·--- =L · gsnlum l.!!!_Lll\l n¤!.·•!..*e1 ww *5 *3 LJ ;mc1;r,;.: L ww-; ©-.©c1D··:., .1 ,.5 . D .1 In LOPHQ Fm ~ IIE ri aus: . nina , lim. _ Ã---Il--H QID-Ill-: H-_-IÃ- I E_(!!I_-Q IEQEII-_' llllllg--U =--dll--! If-§¤IlI-_Il Il-ÉÉI --Il ====J¤!·I II--UDP! l---I)¤!!l ..·,- ___!-}] *I§!_§_`-Li ·!§!!`-FI unl unli nal: E N,. _ ut nz. .,.-1iu u‘Lâ,l` L ·-IM »» ···U¤ïîî hsS1*s.cuI1.1©13 ll! -, " li! uuu: __ ail.! - u-sa __ - H--_It§-ÉI H---lI-É1 É-E-III-É l»¤!!lIllI| l\_§—Il_—Il ¤¤q_g||llI li-HI]--Il Il-DÉII--Il ---¤|l\--!l I--_I IIEEI lï-_-HUE!] III-UE!] EEQQY-}I ‘!!IIlI-II !§§_[\_î] hlE· îïgî ig V;Sm_·,¤ ICT D .]ïT·l _’·· ; ’. rx ;,SI*.§R'IÈ rL1©1: cm mwêîsia =>I‘QlL .»€S QCL1: IlCI'€«3S li` I" NI uîsa . Éüua__ annu _. H---Il§-H H-_-.1-ÉT H-¤-'- ILEIQIID-I IIIQQI -Il l\I-_!I ... 4 llilllllyl llllul IE ll-hal 1 j I_a-F Il I I1---! _ lsl--I' , S §§`_\ *E_!§ !.—!_§ ,___ È î€;2ë%;a&%g;%· '*" —>»¤ï*~ " 1 î<> ·>뤤r·¤ ’
li! II Ilm 1 " anna; _ nina I 2 3 him: ___ HIIIIAIIB HIIIMIIH HIDEIIIIH l1UI-IIIIIJ li!!IIlIIIIl IIDQ IIIIW l|I§Él|IIII llII¤"ilIIIIl l·II§lIIIIl IIIIUÀIEEI IIIIUIÉEI IIIIIIIILI EIILIILI ; ·U§!!II}] !I!!YI}‘ 21L1s·mm1,Lm BALIsAsœ2L1,r·: ©R.s;im,A;m un I un I lî¤ wâëëwâzsz §,.'·âë=:·==¤ aaaanaass =î-IÉI}I=I| ||IE=il`\II!l ‘IIII I ,!l IIIIWIE . I `I , `!Jl!§!=}I ·§§=§`=?I ·!.'_§§=;] un > m ~ un W ©2;s1m,Am> cms R.$îIA;1D BLA1aEAU IIS IES EN " IÉÉ ,I_ IIE! _ A 2lII¤5 __ I ÉEEEFÃÉEE HIEIFGEEÈ EEEEEEÉW IIISÉHIIYA IÉISEIIIIII -4lIh§'lI.II il IIIIIIIÉU lIIII'l-E!. IQIQQÀEFI I; -, __ï-II ‘ py E FJ LOUTRE 1.Am:a; F©rIw1m lil! _ I lill li"! BIE- I HIIIEJ hal-! HIIIIAIIH HIIIIAIIH L IIFIIH ‘7E'|.!'”Q-IU ||¥!!_!||¤l¥ lrgqllâlll I_·IIdÉ Illll l(II¤llIIII IAIIÉIIEIII IIIIIJIFJ lIIIU}I!!l IIIIIII ll!] !.'!!!_§]I_l IIIQIII ·!.'§I“Il] —lg· lds} FEE mLm2œIc mu, mu ‘ 1>UT©1S DE I "*I [1 uns: _ gîlna _ Èîznzn I HIIIIIIÉ RIIIIIMIIIBT HIIIIAIIH · Iîâ'=!Iâ==% """‘·'!E§§EH EÉEEIEEEH I`II=IJIIH =!==EUIB.I IIIIWIEFI gg!-*‘¥=?" "”'!!¥E?' ’ !§E“ CHAT SAUVAGE ECUREUI MRW li` "*\ liî uE¤¤-I Èümn _ uit: II HI--U‘=IH IIIIII‘IIi`| IIIIIMIIF |gI§!l III IIIQQI IIW l\!l§_Il II _ I""EPlEBE 2‘lE"‘ E"! l*·1E··'à ' -4 Q gang-A MME; IE'. ·! =§` IJ I.,m,.·-m,· —¢- ,. .I I `-C AAT 1a•II;;a¤ "A
li! s· ¤· GEII! _ ZIIIIEB _ ZIIIIBE.1 ,.. Hllllldlü IHIIIIIIIÉ1 2 4 qlllltlliï I|¤__II—-Il l|!!—¤II¤_'l I IIQHI IDE? HIEÉII + III lllhîillllfl làlhïâlll L llllll-BEI llIIWll!!l IIIIIIAIQ !!I!_;1IB IEIEQIQI IHQQI} ¤dI· îâI» ¤n\l· mus mm W1 cm-;1··L·;s,r;«_;.z· R C·‘“’l`·`*"N*L H ` soxaterrain (les Ch mpg un Liu P1" , - · · 1 d§¤'L!-..,,,_ SEEÉIZÉIH Sgâültlhiî Illllhllïü U I l\¤IllIIlIl l\!!¤llIIlIl ‘ "~ _' '¤"' —·-· susamuu A I1-Iîlilgll lt-L-1l\Il[·| =--uw-Ia [III! I ,U IIIIWIE. % _-_-“-ij ‘E|!!_§!=}I §!=§=?I ..4 __a-· C' 1î\"`ïLL 1m' * '¤* ï·T;‘ * E :—« ·.·~ ·· ~ .-·· wu- ·· dgrë RM »zJb*QT1·u RAL lim LOI .~>uN¤ un ris Pis HH ‘lI _ IHES __ HHIFI __ N EEIÉEFEÉÉE ¥III¥€E'·â§ EEEEEEEE lldlüîinilllfl lîliîlll C lllüâl I I Il-INI!] ll-II']-EU ·!§![_%=\ l!!§!_§-slî · -·» ..â- 1 A . IÃULQT U 1.m,ç,v il U1 mr imm W coliicr fauve IPI · ` —· 2.a.m âîâm.-· 22-E ÃIIIIAIIH Hlllmllllü Hllllill `1 l'E§!!|lIq IEQEIIIIIÀ _ l\l§!lIlI? lllulllll ltlhallldll lalhullll IIIIIJIIZEI IIIIUJIEH IlllIll!' ’·'”E.%E*' ""E%}EF' ”"!§·'l*‘ I — I sUE<1..Ut¤OT E Sûümïj H ILJÉUTIDIEI E 1 ‘ *1 gïlâa __ üâua , güna - Hllllallîl n¤¤¤¤¤¤s1 l*¤¤¤=’n==§} IEEEÉEEIE Iîâââîîââü îEEE¤\¤¤n IIIIIAIEEI lïlllI?JII!!I IIIIIW-EI §§!§!=p~I ‘§!I_!!!=?I !:.!l§g=f.I ÃÀmr ïlm mm: mvmx LI,}/ià,3 ©©1·.;;.z;¤1w Lmxrx ms cnmznxm ÉE¤—· EE -- £i⤗· Ill Ilillq IIIIIAIIH HIIIIII °` IE IIIIII IIIQQIIIIIJ lulqgl 4 I-iülllllll lllldl III IÈIMIBI -4 · « ln! l * mn nv lIIlI|A=Fl Il . = T-‘ S QQI EIIQQE !M QQ, 4 s,;::cT1,1..;zz n\I «·; , cn gvzmxn E
LIMICOLES NICHEURS EN EUROPE DE L'OUEST par F. Sueur Dans un travail récent, SCOTT (1980) énumére pour chaque pays d'Europe de l'Ouest, d'Afrique du Nord et de l'Ouest les zones humides d'importance internationale et pour chacune d'entre elles indique les principales espèces aquatiques représentées ainsi que leurs effectifs tant en période de nidification qu'aux passages et en hivernage. Nous avons extrait de ce travail les données concernant les Limicoles nicheurs en Europe occidentale ; dans tous les cas il ne s'agit que de minima puisque des Limicoles peuvent nicher en nombre non négligeable en dehors des zones humides d'importance internationale ou nicher qu'en faible nombre dans celles—ci et ne pas être signalées. HUITRIER-PIE Haematopus ostraleggs L'effectif nicheur de cette espèce n'est indiqué ue pour la RFA (2800 couples) mais d'autres publications ?YEATMAN 1976, CAMPREDON 1978, SUEUR 1979) permettent d'écrire que la population française doit être supérieure à 670 couples avec 530 en Bretagne, 30 à 50 en Normandie, environ 20 sur le Littoral picard, environ 30 sur le Banc d'Arg¤in et environ 60 en Camargue. VANNEAU EPERONNE Hoplopterus spinosus Plus de 50 couples en Grèce. VANNEAU HUPPE Vanellus vanellus Pour la France, 20000 couples en Sologne et 5000 dans le Marais poitevin, aucun effectif n'est indiqué pour les autres régions. PLUVIER DORE Pluvialis apricaria 6 à 13 couples au Danemark et 25 à 26 en RFA mais beaucoup plus abondant dans les Pays nordiques. PETIT GRAVELOT Charadrius dubius En France, 200 à 250 couples dans le Val d'Allier. GRAVELOT A COLLIER INTERROM U Charadrius alexandrinus M5 couples au Danemark, 225 en RFA, plus de 358 aux Pays—Bas, 700 pour la seule Camargue en France et 280 à 360 en Italie. TOURNEPIERRE A COLLIER Arenaria interpres 17 à 20 couples au Danemark.
BECASSINE DES MARAIS Gallinago gallinago 360 couples aux Pays-Bas sur un seul polder de 15000 ha dont 3000 sont protégés. COURLIS CENDRE Numenius arguata 120 couples dans une seule réserve aux Pays—Bas. BARGE A QUEUE NOIRE Limosa limosa Plus de 3ü5 couples en RFA et 10290 à 10h10 aux Pays-Bas. CHEVALIER GAMBETTE Tringa totanus 730 couples en RFA, 25MO aux Pays-Bas et 600 à 800 en France. CHEVALIER SYLVAIN Tringa glareola 5 à 10 couples au Danemark. BECASSEAU VARIABLE Calidris alpina ho à 80 couples au Danemark. COMBATTANT Philomachus pugnax 100 couples en RFA, 860 à 880 aux Pays-Bas et 10 à 20 dans un seul secteur d'Angleterre. ECHASSE BLANCHE Himantopus himantopus 695 à 730 couples en France, 1070 à 1170 en Italie et 135 à 1h5 en Grèce. AVOCETTE Recurvirostra avosetta · 2225 à 2705 couples au Danemark, 3090 en RFA, h515 aux ` Pays-Bas, MO à 60 en Belgique, 955 à 1120 en France, environ 650 en Italie et 150 à 160 en Grèce. GLAREOLE A COLLIER Glareola ratincola 22 couples en France (Crau), 280 à 360 en Italie, plus de 630 en Grèce et plus de 100 dans le seul delta de l'Ebre en Espagne. Bibliographie CAMPREDON P. (1978) Quelques aspects de la reproduction de l'Huîtrier pie (Haemato us ostrale s) sur la réserve naturelle du Banc d'Arguin (Gironde) - Le Courbageot (5)¤-7. SCOTT D.A. (1980) A Preliminary Inventory of Wetlands of International Importance for Waterfowl in West Europe and Northwest Africa - IWRB Special Publication (2)127p. SUEUR F. (1979) Données complémentaires sur l'avifaune nicheuse de la Somme -0Rfo h9(1)39-H3. YEATMAN L. (1976) Atlas des oiseaux nicheurs de France - Paris (s.0.F.), 283p.
fr E Existe—t-il des membres du GEPOP qui ne IP. connaissent pas encore le fameux journal: fa il w, tï " Ut HULOTTE " ‘? f _____ _ H 9 Après cette zaxmonce ils devraient ! J? _. · iv EB se faire rares ‘? r ·~ J·lbOl’]11€Ul€1'l`È (l© numéros): 46 Er ïf ' E È Q à en 0 ` 1 11 1 rt ` N V y€I‘ 8. El ll O 3 J, "" È N Boult aux bois 08240 BUZANCY _ q |• l••¤f| |• ¤|¤¤|¤¢¤¤|¤¤¢•¤*¤¤ g ._ C.C.P.l©l©64/C Chalons sur Mame I 5 lllllll1lBS M l? laâîüâlîlû ‘”“”“'“““”"’”'“`““E‘"' B NOUS SOMMES A LA RECHERCHE SU 3118 pûllï lé lêlûlîû W L°¤^L A mm POUR Y RAJIGER NOS ARCHIVES. Q n SI V (à .. D OUS DISPOSEZ D'UNE I PIECE INOCOUPEE ,PENSEZ \ î Q A _ A NOUS. ,··ÈÉ;`=î-;'·ïÉï z" _ ,g -g_.1~.—:«· MERCI D•AYMlCE, ·i,l!?à . Qi; ·_=`; 1 ,«·¤'p*·'·' /1 il? ', vv; " 1 . _" · ,1 ·;f _" F" 3 ~· S 1 J , E °°“m â É ;`-=:~· ·? ' ¥ "I ., .» IFM Q l È;} l ·s,},· .,I'\;',"}·j-;._ ware" É N91 H r '."·ÉÈ··ÉfM sl;.-fÈ;.;_. Ét É · 1 · vœzâ ·_· \ ; A L T âwî ¤· _._. ._ . , â `· ‘?—«I __ I Regardez GIINSHIVEZ VHS ARBRES? ”‘ I Le Musée océanographique de La Rochelle publie une brochure intitulée _ « Regarder en naviguant » qui a pour but de faire « connaitre les espèces marines "’ ·- pour les mieux protéger ». Cette brochure illustrée par des photos vous permettra de reconnaître en mer ou depuis la côte, les animaux marins qui fréquentent les eaux :2- ·' ' du littoral français. En notant vos observations, vous pourrez participer au travail _ ··,$$··.· " __ des biologistes qui essaient de mieux connaitre la vie des mammifères marins. "i—Z?3§:l;;.`SI E
Le journal de GFIEENPEACE est menacé! X 8 POUR BENEFICIER DES AVANTAGES QUE CONFERE L'INSCRIPTION AU REGISTRE DE LA COMMISSION PARITAIRE DES PUBLICATIONS ET AGENCES DE PRESSE - NOTAMMENT EN CE OUI CONCERNE LES pg TARIFS POSTAUX - TOUTE PUBLICATION DOIT, APRES LA PERIO— É DE DE LANCEMENT, ATTEINDRE UN CHIFFRE DE VENTE EGAL A 50% Q DU TIRAGE. TOUTEFOIS, SI LA DIFFUSION PAYANTE EST AU MOINS (U __; EGALE AU TIERS DU TIRAGE, LA COMMISSION RECONDUIT L'INSCRIP— È E. h TION POUR UNE NOUVELLE PERIODE PROBATOIRE. g " :r " É; "GREENPEACE" NE REMPLIT AUCUNE DE CES CONDITIONS! 2 _' " JUSQU'A PRESENT, NOTRE TIRAGE ETAIT DE 15000 EXEMPLAIRES. .5` OR, LE NOMBRE D'ABONNES REELS NE S'ELEVE QU'A 1200, LE · C6 "·` RESTE DES EXEMPLAIRES ETANT ENVOYE OU DISTRIBUE GRATUITE- 8 "‘·";`,. MENT A TOUS NOS ADHERENTS ET SYMPATHISANTS. —U m ‘t · ;_ ·,.· LA COMMISSION PARITAIRE NE PRENANT PAS EN COMPTE LES E" '·L ABONNEMENTS LIES A UNE COTISATION (ADHESIONS) , NOUS ALLONS ETRE OBLIGES DE REDUIRE NOTRE TIRAGE A 3000 EXEMPLAIRES @5 SEULEMENT .... go >~ ot A MOINS QIE LE NOMBRE D'ABONNES N‘AUGMEN'I`E TRES RAPIDEMENT, " NOUS SERONS DONC DANS L'IMPOSSIBILITE DE VOUS ENVOYER A TOUS LE PROCHAIN NUMERO QUI PARAITRA EN SEPTEMBRE. ALORS, SI VOUS DESIREZ QUE "GREENPEACE" CONTINUE A PARAITRE NORMALEMENT, ABONNEZ—VOUS SI VOUS NE L'AVEZ DEJA FAIT ET fd FAITES ABONNER VOS AMIS — SANS PLUS TARDER. L'ABONNEMENT, l AN, 4 NUMEROS, NE COUTE QUE 20 FRANCS. ""/ ·· · -.— _ ‘ za.: -1 ` `··- " C " .»· "‘ î` " ) • 2*-· ` I _- _?L¤· , . — N Il. , nl, · 4, -' I ~ " Il ;·. F0: · * la "î·1 .; .. ï-. ll ,`È O II' QVQO a glâüûgw BO C A __ ` ‘ · î?’1·;T'Q"‘¤·* 1 fl} =" .'—· É ‘î=;?gF§25·g;~·g€·_ .___ ; [rf'; ï · ¥ ` _ · ' _ ) ` ` '``` " 'iwi. ' —; *.'·· —..**·<‘ ‘ · " J. É err. = ‘ ···€ · · ·- "oks. —· ` . ·' . .` lv'. i ` ‘=`?T`·~*:È*"`·"·‘~;lf‘·.:.· · Ã` . .· ·‘=· ~ , " // •\ T ··r.«’__É`t‘ = · ,552 Iw ^_ 2--.. · _ ~· · ···* E ¤"···.i#--_,x· — ' e ···' : -.5-` `lî ' cl-_ ___:.ç, .. ,•'7"‘· I ` _ i 5 [5;-ju"-‘· ·`·-III nr" - _ ' —.|l. ·. * _ ;~.. 4:-Q? ; · __· ' 1 _- J. ,·I"? : ·:— ., =. ’-‘· ·, -1. · · i_ =»*—- . .... . ., . · L ' — ' ‘ · . · "'iœ I X" —'-—. " 1 ' (Q? . xp ·"’¢· ,· .,, à .- .-— ·—-I Ã; 'vmueü - LESDPAFà ·‘.·-N'. "Wue ( _ É ' 111111111111i1i$1111111$11— Q BM! de Cümmëüdë 1 désire recevoir . . . série(¤} de5 autocollants, I Nom _ 3 couleurs et verse la somme de .....,,.,.. I ' '''''°''`''` ‘ '`''' (22 francs la série, port compris], par chèque I Prénom: ......... . . . . banquaire, postal ou mandal, au pmlil de I Adresse _ Yassocialion GREENPEÃCE, I I ` ```'``` ` ` 3 rue de la Bûcherie, 75005 PARIS ` ........... . . . . ..... Tél. :325.91.37 I 1111111111-n-¤$•111111111i1-n1 | . HOIWÉ ··*····;· 5* 'xh É · ra ig 8 A · · · ADRESSE t . | K PENDENT|F ·"\ . •, l 4 _. F P -6 · I Nouvelle adresse. T.$H|RTg Green ace É comm vnun 3 ff . 35 F + 5 F de von « ,rue els Bûchene SW ~=\ _ E LU WF vsoos ram 7 E^TSHlRTs ~ ·.·. , È, Tél. 2 325-9l·37. 0 F + 5 F de pour g · CARTES DE VOEUX F · .—·-:__ · snuvous Les nntrmss 5 cms + Siem/€_l0PP€S T UER 15 F port compns 4 I.-.4..*.- _—';i"` ' ¤ . . M b * · .b em re adhérent(i an) .... 50 F . A r , É, J·_,:.;' m M __, üemgre donateur ....... 500 F î é · em re bienfaiteur l 000 F p^p IE ' AUTOCOLLANTS Abonnement au journal ,, F R A LETTRE " 2 F |`un (4 numéros) 20 F S0 |5NvEL · ...... . . . . . · . N 15 F les dtx _ 5 F ç NQN AU l00 F les 100 (Mr [1·1pm»·,,·,·,,‘.lP/ NUCLEAIRE · + 2 F de port + 6.50 F de pmi
BO ANALYSE BIBLIOGRAPHIQUE P.Trip1et NOBLET J.P. et BERTHOUD G. (1981) COMMENT RECONNAITRE LES CHAUVES-SOURIS DE FRANCE S.F.E.P.N. Ed. La dernière clé de détermination des Chauves-souris de Trance remontait à 1947. Depuis cette époque bien des observations nouvelles ont été apportées d'où la néces- sité de ce fascicule qui ne présente que le seul défaut de ne pas parler des sites de la trouvaille de chaque espèce. PARC NATUREL REGIONAL DE CORSE - Centre de Recherche Ornithologique de Provence (1981) Rapaces Méditerranéens ANNALES DU C.R.O.B. 1 - 1.141 - Résumé des interventions effectuées lors d'un colloque sur les rapaces méditerranéens. Indispensable à tous les ornithologues s'intéressant à ce groupe d'oiseaax. ANONYME (1981) AMOCO CADIZ : conséguences d'une pollution par les hydrocarbures. C.N.E.X.O. Ed. Synthèse d'un colloque international sur ce type de pollution Il est à regretter que 1'inpact sur les oiseaux ne figure îas.
·C©T\'5AT|©N '\9E31-’l982 I J Brun EIÉIÉIUII Pmtacii¤¤0riIh•h|i•uPi¤•i• (Ml’b‘îm€,MllG):IOOO00IOIIUIUUIIIOGIBIIUOIOOC PrénOm:||OOI|II¢l|OOOIIUOIIIOIOIOIUOtBlI|OUO|ll0¢OO¤0¤I) AdresseglllllllllCIOIlIIllllllüOOOIIIOOIOIOIIOIOCOCCGOCD Q Déclaré adhérer au GEPOP L[Éclare renouveler mon adhésion au GEPOP (Barrez la mention inutile) R-Si vous avez changé d'adresse en cours d'année,veuillez nous adresse:DOOOOCIIIIOOOOOUIIIIOI Conditions d'adhésion : adhésion normale 25 francs adhésion de soutien 5O francs moins de 16 ans lO francs Abonnement seul à PICARDIE NATURE : lO francs · CHANGEMENT D'ADRESSE Si vous changez d'adresse en cours d'année renvoyez cet autre bulletin: NOM: PRENOM: ADR-SSE: ancienne ADRESSE: I ' e uuuur sur GEPOP G.E.P.O.P. Musée de Picardie Rue de la République . "' l 80000 AMIENS . lâ
J ,_ I.E BON PR · E ES DE CHEZ VOUS ‘~..,_;;-.;J`Éïtî ?#/ I ;t_—· I / V : .- ; r .-FL?}. r,•. •,;f r . .:5)% / WE U} · ·.$';Ã)··.. . . '- 'I .’ I I I; L. ,.. J n' i. ?- ' " - • I ‘ * Z . · ' fr I Z ;¢ Il yz _ ..___m_*_ TÃ., vt?] :T·ÉÈ,,"§' » : t; . .· 4 -§ ;7F'·.,, <·»·· "«‘@ '; =· ·.·—·:—— · «·¢«** · 'V . Yzlt; ` l.] " | Ã;:’a fr Y ·'. .· .'- ' ·-É ~ W . " Ar J; I- · ."| f'Èi-• tfiiv ";l£ ',i£".: •:;p=: oç ·,."· P, • I'. l=,··-i .::1q · • ' ' , ., · •·. 'Z ""?1··• "*!ï-7` È Z"}--!·°·.·<'··‘*@'É" · · ·` s·‘s·`·;,«é¢”.. _ ·'y:·f%¢.·;,;;f la ·e_··*-..« _ ;__ . à,_·_,_·· . 5 __ A · ··"- ° "-•`IW' "rf'. r?=··J·¥!¤/h"°%'.»··7»—·· ·' ~ ·" *+2 ·-·«··'·# ".· °:· w 4 , ;.··.».,'··¢,,. ·'· 1;: ·€”î—>=·· A5 .,~ ‘ 3 _·)'7··_.« .; °_! Éçà `·__::('_TÉ( _‘}‘f ' ·Ã| · ·__•····i¢•¢ .«· . N': _ _.°' N . T ¤`· ·,°ÉÈJ‘ï’ ·` ’ lle ,·~Ã'?—·;@ï`*` - —· vf ; . §_}.(§·.§_~.?'·‘.à."1°,'·’_, '^ . . _.,.· . —-·- $—¥ëï·T. _, -·«··¢nq‘·ë=·•. ‘ ·— · ‘ .. _,;;-M · E `·:·‘1·‘:·=~"’;'È?"¢ï·- · A ..·-' ·«¤ = w - U WW2 - .· L. . . .: · _:z‘~, ._ ,3 . ,` . n. -·‘ gé} ‘ .j· J .«L‘-' -.•a.'-` ·" ` •••""' ':* · ' · ! ’