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r le guide trimestriel du GEPOP
I N° 22 DECEMBRE 1983
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·i- Bilan de 1'opération Busard 1985.,...p 2 /,. il
— Au Calendrier . .... . . . ..... . . . . . . .... p 4 QV
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- Des livres pour Noël .........,,,,,,, p 5 ?·<Qg,~‘ M.
1 OIOOIIOOQOIOOIOOIP 6 (
- Sommaires des n° de Picardie—Nature *7 0
DOUCE AMERE -..
de mars 1982 à septembre 1985 . . . . . . .p 9
- Synthèse des principaux travaux . ‘ .
effectués par le Comité du GEPOP . . . .p 1O È d
- Centre de S0inS pOU.I‘ OiS88·UX b]-€SSéS / ,£
1 ' I I O I I O O O I O O C C C lp W‘Èi;;`z·;1c2":‘-
- Connaissance de la Faune picarde :
lê de garenne o • • • • • • • • • • • • • • • •P
- L' étude des Mammifères . . . . . . . . . . . . . .p 16 rl: .
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GROUPE ENVIRONNEMENT - PROTECTION · ORNITHOLOGIE an Picardie - Affilié à la Fédération Française das Sociétés
S du Protéction de la Natura - Agréé par las Ministères chargés da I'Envir0nnamant, da I'Equipém¤nt (Loi sur la DIOKBCIIOII
Q da la Natura) et da Ia Jeunesse et des Sports — MUSEE DE PICARDIE - 80000 AMIENS - iC.C.P. LILLE 872.02)
g Président : J.M. Thièry
G
É Directeur de publication : P. Thièry Aaommmzion
" commission paritaire no 55550 o¢pa«¤¢¤«i:«m···am¢««« ago; prix du nO : 5 Fr
un- en- Lg? -à 1- - · '“*"‘î;;"""*"'_'I'_—-ï__-- _- _--__—- _-î'-ï- î `·`• I I __ _ E - ,__ ___ _ —. i.. — ·;• —-q I1 *Uî¤` 1 I . · Il B" 1 I - · È -. 5* . ·J —I'£ "I ` I 1 I I 1*1. I Ii · III _ I I"I' IPI" `ÉI *11 I ·*"`I" ' I I fi "üh Il · I. II _ 1 IL], _ I . — I .I_.üI J —··£IIIII=;..I , 1 """=¤ *1 -4 I F -= ..*5 WI _ I , , ,`I,, -- _I _ '1 ? Ih 1 I L 1-11% '* *1 ·‘ ~. ‘ 11 ·· ~1= ·- ' ` " I .· ~ II _ · ' 1; .I 1 · î· : I È ' Z _' • · I in .1; I - -1- Z. ¤· Ã-dîlîë. '.` _ '·. . I II I ‘*1.I . " — ` · ·11 ' II . É 1 , _ I .1 " ¤I - I 2 .· - I , I _ 1 1 'I- I - I I. ¤ ÉI -1 ' I ,· ' I I - Z1 I I .·. ' _, I I ' _ ni I I_ _1 1 · " -I ·' I ·I · 5 II 1 - ` T · I · ' ' -·' 1 _ 1 I f II I :1 , . 1 I _ II- I` 1 ' _ . I L I I |` I _ I1 .· I .2- . ' hu'? I _; I I: I Q, _ ·I. _ I | t' I I I I _ I I __ 1 I II - I î _"_ _ _')I--II.I I 1 . . 1 *L I I · ¤ `,_'L la ¤ , I I - —- ·· - ,1: ` _ ' `_._ _' I ' ·_ ': I 1 1 _11 1 || '· x - . · - - · | I I III I —l I 1 I I1 | | | 1 I _ ,_- _ - ·1«1·-·«.-.-.——·—-—--—;- ——- —-··; '·· AI
l 1NF¤RMATi0N$ ...... SNFORMA1 *0 QUELQUES REFLEXIONS SUR LES CYGNES TUBERCULES NICHEURS AU BASSIN DE LA HOTOIE (AMIENS). par Patrick Triplet Beaucoup d'amiénois ont pu suivre ls nidification d'un couple de Cygnes tubercules è la Hotoie. Ils auront sans doute été surpris d'obser- —ver parmi la couvée 5 jeunes blancs aux pattes roses et un jeune gris foncé aux pattes noires, le mâle adulte ayant les pattes noires et la fe- ·melle les pattes roses. Ceci n'est pas une simple variation individuelle. @ Si généralement les jeunes Cygues muets possèdent un plumage marron-gris, pour inhiber, pense-t—on, les agressions parentales et les réactions hostiles d'autres oiseaux dans les groupes hivernaux, il existe une forme dite polonaise qui est en fait une race domestique dont les jeunes sont blancs avec des pattes roses. Cette forme particulière s'ex- « -plique par la génétique : elle est due è un gène recessif dominé par un : ,· gène responsable de la couleur. Comme chez les oiseaux la femelle est hét- — 3 [gf, · -rogamétique, une femelle porteuse de ce gène sera toujours blanche. Par _ Iâ ~ contre seuls les mâles homozygotes pour ce caractère présenteront cette couleur. g Au premier abord il peut paraître désavantageux de présenter cette ®§‘_· couleur blanche comme les 5 jeunes ici présentés. Mais en fait dans ::2: œ · -taines conditions des avantages incontestables contrebalancent ces iéss -vantages : avec cette couleur blanche les jeunes de la forme polonaise + (forme immutebilis) paraissdnt l2 mois plus vieux qu'ils ne Le son• er __ réalité et il a été prouvé que dans une population de faible densité une (. femelle blanche s'appariait plus tôt car son plumage la faisait passer pour 8 plus agée qu'en réalité. Elle est ainsi mieux acceptée par des mâles adul ill "-. -tee qui ont généralement tendance ’1 s'acc0upler avec des femelles du même É `·_' ·'(·__;î. Pour plus de renseignements sur ce sujet, consulter la publiczztiov suivanw `··“ BACON P·J. (1980) A possible advantage of the "Polish" morph of **1e ·1·· Swan - Wildfowl 51:Sl-52. G [ MEEK-END ORNITHOLOGIUUE EN BAIE DE SOMME Le G.E.P.G.P. organise les 14 et 15 janvier 1984 un week-end ornithologique en baie de Somme. Ce stage comprend 2 parties : - observations sur le terrain dans la journée (baie de Somme, Hâble d'Ault...) ou chacun pourra s'initier de manière pratique aux techniques d'étude de l'eviFaune (reconnaissance des espèces, dénombrements...) ; - exposés sous Forme de discussions en Fin de journée. Les Frais de participation à ce ueek-end (hébergement à le Station d'Etudes en Baie de Somme, repas...) sont de l©OFrence. Le rendez-vous est à 14 heures le 14 janvier à 5aint-Valery- sur—Somme (parking sur le port Face à la stèle de Guillaume le Conquérant).
2 IUNS ...... SNFBRMATSONS .... WEEKAEND ORNITHOLOGIQUE EN BAIE DE SOMME. (suite) BULLETIN D'INSCRIPTION (à renvoyer avant le ZG décembre 1983 au GEPOP, Musee de Picardie 80000 Amiens) NOMIOOIOOOOIOOOIOIIO|OIl|OlllprénOmlOOI•OIOIOIIIIIIOOOIIIOI AdressglllUIIIOOIOOOIOIOIIOOOIUOOOCOOCIIOOOOOIIOOIIIIIOODII Connaissances en ornithologie ? Exposés souhaités (indiquer l‘ordre de préférence) 2 - techniques de denombrement oiseaux d'eau nlChSLIl`S de Choses à 8 .Fa°Y°lâ ¤·£¤¤g1_ d apprendre et nourri , logé 9 É , , cher, dépêchez vous ! donnees generales · cas de la baie de Somme él — autres suggestions... z YA ;_« OPERATION BUSARD 1983. En 1985 le GEPOP a intensifié son action en faveur de la protection des Busards en distribuant auprès des agriculteurs de la Somme près de 500 tracts, en posant des affiches dans de nombreuses coopératives agricoles, en passant des articles dans des journaux spécialisés et surtout en repérant puis en surveillant les nids de Bussrds. Pour quelques bénévoles il aura fallu passer de longues journées à repérer È \ _ avec précision les nids pu:b à contacter avec beaucoup de prudence les agriculteurs ï É-L', A ce stade tout est loin d'être terminé, en effet, le jour de la moisson il à *' ,,/1 faut être là pour surveiller les opérations car la catastrophe peut arriver au zig?} dernier moment (nous en avons fait la triste expérience). . a 3 N fl ·· · se l e Voici les maigres résultats : rüè `—·— ·•··§q· - É "`* - Nombre de nids repérés : 6 dont 2 nids do Busard cendré . É `ll É 4 nids de Busard saint-martin. È · S1 ` - Nombre de nichées réussies : 4 nichées de Busard saint-martin. - Nombre de nichées ratées : 2 nichées de Busard cendré. ' Le premier a été écrasé par une moissonneuse, le second a été détruit par des particuliers. A ajouter à ce tableau un nid de Busard cendré surveillé par in ornithologue indépendant et dont la nichée s'est envolée. Nous remercions vivement Mr FERRE, membre du GEPOP, qui sacrifie depuis plu- —sieurs années ses heures de loisirs à la cause des Busards. Pour la prochaine saison nous aurons besoin de nombreux bénévoles, tenez vous prêt.
5 .... N FURMATI ONS. . . . . NN EARUTION AU J.O. DU 6 JUILLET l98§ D'U'N'E LOI REPRIMANT LA POLLUTION DE LA MER PAR LES HYÈDROCA.R.BUBES· LOI n' 83-583 du 5 iui||•t1983 rëprîmcnf la pollution do la mer par les hydrocarbures (1). Ldxüemblée nationale et le Sénat ont adopté, Il est triste de s'e.percevo1r qu'une catastrophe écologique t Le Préîident de la République promulgue la loi dont la ¤¤¤1¤19 68116 de l'Am0¢¤-cadiz soit nécessaire pour augmenter eneur Sm ` les amendes des pétroliers responsables de pollution par les Art l". —_Sern puni d’une amende de 100000 F à 19000005* ydrocarbures, et dun emprisonnement de trois mois à deux ans, ou de 1'une de ces deux peines seulement et, en can de récidive, du double de ces lpemes, tout capitaine d'un navire irançais soumis aux dispositions de la convention internationale pour la prévention de la pollution par les navires, faite à Londres ie`! novembre 1973. telle que modifiée par le protocole du 17 (ème; 1978 · -11. - Indépendamment des officiers et agents de pouce et par ses modificatifs ultérieurs régulièrement approuvés ou J¤dlC¤¤|¤'€· Qül €X€1‘C€¤¥ l€\11‘5 D0\1V0îI'S Confvrmément aux dispo. ratifiés, entrant dans les catégories ci-après; sitions du code de procédure pénale, sont habilités à constater -— navires-citernes d’une jauge brute égale ou supérieure à les m£ra°t1°"S aux d'sP98‘ü°nS des règles 9· 10 ëï 20 de 150 t0nneaux‘ ganîiexe la de la Coxrventton internationale pour la prévention - navires autr 5 u ~‘ . ‘t ’ dt · ,, E a _p° qfûn Pa? @5 ¤âVl!'€S Süîmüntlonnée les Ãnfrgcügns égale ou Supérieuîe àq;)0 rêgtlîââfà emes urs ·la“¤° bmw aux Ãitsposrtions gi la présente 101 ainsi que, les llliticüonn _ ' ' _ aux tspostxonsr gementaires ui se t ` · quil se sera rendu coupable d’1nfract1on aux dispositions des cation; q mn pmu pour son appli rég es 9 et 10 de 1’annexe I de la convention. relatives aux . . . ., interdictions de rejets d'hydrocarbures, tels que définis au 3 -168 administrateurs des affaires maritimes; de 1’artic1e 2 de ladite convention. -t les officiers du corps technique et administratif des atïairœ Les pénalités prévues au présent article sont applicables au marmmest ;îî§;);|S2:l;‘rÈnÉ0l‘¢; de lfexploiïtion des pgâteîformesrirnn1îtri· —- les inspecteurs de la navigation et du travail maritime; e oresrcie enmereocuesenmracton __ · · ·- ,_ aux règles 9 et 10 de l’annexe I de cette convention. les Inspecteurs mccamcœn°' -î- les techniciens experts du service de la sécurité de la navi- gation maritime; a nouvelles personnes sont chargées de rechercher les inïrac ‘·‘ les ¤¤¤trô1¤¤PS des aaaires maritimes (branche technique) Z b10!îB· Auparavant, comme ce fut le ogg larg de la marée —- les. personnels embarqués d'aSsistance et de gurvéillgnœ >ire de 1981 sur nos côtes, il fallait contacter la Préfec- des affalœs maritimes; ma maritimm - lestonctionnaires et agents assermentés et commissionnés des services maritimes et des ports autonomes; —- les ingénieurs des mines et les ingénieurs des travaux publics de l’Etat affectés au servicc des mines des circonscrip- Sont chargés de rechercher les infractions constituant le mms m‘""‘”“lf’g‘q“°‘ mteressœsu __ délit de pollution des eaux de mer, de recueillir à cet effet -· les officiers de port et officiers cle port adjoints; tous renseignements cn vue de découvrir les auteurs de ces __ les agents des douanesv infractions et d`en rendre compte soit à un officier de police _ _ _ _ _ _ ‘_ _ l i judiciaire exerçant ses pouvoirs conformément aux dispositions, et 3 l°_t'ar‘$°*· le °°“SU]° de France " *6** tm"'] des “ë—E'“` du code de procédure pénale, soit à un administrateur des °°“S“1a"°*’· “Ha"`°‘ mamlmmii _ _ _ En outre, les infractions aux dispositions des règles 9 et 10 -· 165 conmwandants düë ¤¤l·'1l'¤5 0C€€\¤02F8Phl€l¤9$ df! l`El¤t§ de l’annexe I de la convention crdessus mtntionnée peuvent ... [cs cgmnjnndants de bord des aéronefs de la pfotgcfign constatées DBT les COTTll'il3UdZlIil.S dCS' billl|llCl'ltS ·dP· la lll3I`lIl€ civile et des aéronefs de l'Etat affectés à la surveillance des nationale et par les commandants des aéronefs nnntaxres. eaux maritimes: ·· les aE‘?m‘ du $°l"’lCc des Phares et balises: Néaxîtsmoins cette loi n'est pas encore en vigueur, actuellement -—t les agents de l’lnstitut scientifique et technique des pêches il faut se référer à la loi du 26 décembre 1964 modifiée le 2 mari imcs, _ janvier 1979. et les agents dc la police dc la pêche Huvmm Ces nouvelles dispositions condamneront plus sévèrement les Art. 12. - Les procès-verbaux dressés par les agents mention- capitaines de navires français coupables de pollution par les nés è l`art1cle ll de la présente loi font foi jusqu’à preuve hydrocarbures d condition d'en faire la premvm Ceux qui contraire. lls sont transmis immédiatement au procureur de la t 1 t 1 1 t d _h C wêmœ ris République par l'agent verbalisateur qui en adresse en même ne t° en °uB cuvêa au Mge Cm Peu G " se 8 " P ' temps copie à Vadministratcur des affaires maritimes lorsqu'il ' ' siaglt de Xlavlres °U.de pmwformes 99 a Hnëenîîulï d°É p°É“S La référence à la présente loi est substituée à la référence et chlaru-ssees charge du service maritime, s il sagit dcngins à la loi ns 6+1331 dd 26 décembre 1964 modifiée dans tous les portuaires. de chalands ou de bateaux-citernes fluviaux. textes contenant une telle dispdsmdd Lcs infractions aux dispositions de la convention mentionnée , . . 1 d à l`article l et à celles de la présente loi sont jugées soit [AFF) w' T`? La presente lm entrera en vigueur e join Q . .. . . . l entree en vi ·ucur pour la France de la convention internationale par le tribunal competent du lieu de ltnfraction sont par celui pour M préîemion de la pollution par les navires faire à funs, le YESSOU duquel le Plmmmt est attache fm douanesou Londres lc 2 novembre 1973. telle que modifiée par le protocole immatriculé sil est francais, soit par celui dans le rcssort d ]7f,__l_i x_1q78 duquel peut etre trouvé le bâtiment s`il est étranger. U Qi Q ` _` _ _ _ ` A défaut d`autrc tribunal. le trtbunal de grande instance de La p"°$°m° lm Sera executee °°mme 101 de lEtat' Pari: est cnmnôtent Fait à Pains 'e 5 millet 1983
4 \U 1* il F Yl|l‘IFl' 1 u A 4 1 \ J \ NOS SORTIES SONT OUVERTES A TOUS AUSSI BIEN MEMBRES QUE SYM ATHISANTS. 18 DECEMBRE : Sortie au cimetière de la Madeleine à Amiens, très nombreux oiseaux. Rendez—vous à 9 h à la porte du cimetière. Durée : la matinée. 15 JANVIER : Sortie dans la Réserve de chasse sur le domaine public maritime. Observation des nombreux oiseaux hivernants sur nos côtes : Canards; Limicoles... Rendez-vous à Amiens, place du cirque à 8 h ou à Noyelles/mer, place de la gare à 9 h 50. Repas tiré du sac, prévoir des vêtements chauds et des bottes. Durée : la journée. .1î¤.111‘.<=2¤s sui rartisipsrgni a¤.Sias€.d;¤£¤ith¤l¤s12·..<=2*i¤..¤2rJ112 2¤.f21i sertie; STAGE ORNITHOLOGIE LE 14 ET 15 JANVIER : TOUS LES DETAILS EN PAGE 2. 22 JANVIER : Initiation à la photographie animalière avec projection de diapositives, discussion et échanges de méthodes, étude du matériel photographique. Salle Dewailly, place Dewailly, Amiens de 14 h à 17 h. Amenez vos clichés. ll FEVRIER : Sortie de nuit à l'écoute des Rapaces nocturnes dans un site où nichent la Chouette Chevêche, l'Effraie, la Hulot —te, le Moyen—duc. Place de l'église à Saveuse à 2O h précise. Durée 2 deux heure's environ. _ **'f \\ D«mi\·\•s-Amü à . - Savcusv. _ ;_, vx J lx S¤\ouÉ:\ / \ *.1 26 FEVRIER : Recensement d'oiseaux morts sur le littoral picard. Rendez—vous à Amiens, place du cirque à 8 h ou à Noyelles/mer place de la gare à 9 h BO. Repas pris à la Station d'études quai J. d'Arc, St Valéry Durée la journée.(matin: ramassage, après—midi: identifi- ` —cation). lO MARS : ASSEMBLEE GENERALE, Faculté des Sciences de 14 h à 18 h. Des détails vous serons donnés dans le prochain n°. Pour le renouvellement des membres du Conseil d'Adminis- —tration ADRESSEZ DES MAINTENANT VOTRE CANDIDATURE à : GEPOP, Musée de Picardie BOOOO Amiens
5 *` ' 4} ms LIVRES POUR NOEL \ I l @..—"..S..¤ÉE9E-.£ Poir_l_gs_pgt;ts_, les albums de la Collection du Père Castor, éd. Librairie du Scarabée. Les albums sur les animaux sont très bien faits. £¤ar.19/l5..¤a¤a - Découvrir la Nature. Coll. Qui ° Pourquoi " éd. Chantecler. 46 p. 281*:. A l'avantage de se limiter aux espèces européennes et d':Lneister sur la préser- vation de la Nature. - La Nature et ses secrets. Coll. Question/Réponse; éd. Nathan. 69p, - les animaux et leurs secrets. Ces 2 livres présentent de nombreuses photos et insistent sur la préservation de la Nature. P.,...°“—".êÉBl..ÈÈE.-ï - La passion des Oiseaux. éd. Gründ, 96p. De belles photos ' - Oiseaux chanteurs. éd.Gx·i1nd. 22} p. — Oiseaux des page d'Europe, éd. Grund, 320 p. Les livres de cette série sont è des prix interessants pour leur contenu. ..·î`¤ _ Le grand livre des oiseaux de France et d'Europe, éd. Nathan. - Ãj _ î` Belles illustrations, livre d•idantiIication, mais pas sur le terrain (encome —brant). _ Oiseaux des forêts et des jardins, éd. Nathan, 216 p. .___ pour public plus confirmé. - A la découverte de la Nature, éd. Delachaux et Niestlé. ·· ` Traite de Faune, de Flore et de Géologie. - Le calendrier mois par mois de la Nature par Pierre Pellerin, édz Nathan. ··-—l__ Très interessant, donne des conseils pour protéger la Nature. £1z=·2¤..<1a 2룕=m¤a*.i<>a· · — Guide des oiseaux d'1mrope (Peterson), éd. Delachaux et Niestlé. 90Fk. g \ Indispensable à tout omithologue. - Les oiseaux d'È11'02B (Brmm et Singer), Coll. llultiguide Nature, éd. Bordas. Indispensable à tout ornithologue qui n'au.ra1t pas acheté le précédent. ¤.2¤¤.....1¤ 2§s2.2¤..1..1¤2£&22.1 - Les nids, oeufs et pgussins. les mammifères. Les Batraoiens. Les Reptiles. Les Insectes, etc... - Guide des traces d'animsux. éd. Delachaux et Niestlé. Indispensable pour l'étude des Mammifères et aussi des oiseaux. Tous ces livres sont des ouvrages de terrain. Pour les spécialistes ils seront complétés par : — Les Rapaces de Paul Géroudet, éd. Delachaux et Nisstlé. ' Les P¤1¤1Pë<1¤¤ Le contenu d'1me très grande valeur explique le prix assez ' Les Echassiers élevé de chaque tome, néansmoins ces livres restent indis- ' Les Limi°°l°S pensablss à tout ornithologue confirmé. - Les Passereaux
6 1~2.¤-ë£22ëw§; Qditiom QuÉst—§range_: - Oiseaux des jardins. — Oiseaux de mer. - Oiseaux des marais. - La vie des Rapaces. - Les Orchidées. — Les Batraciens. - Nids, oeufs et jeunes oiseaux par Serge Boutinot, ornithblogue picard, responsable de la Réserve du marais d'Is1e à St-Quentin. _Liv£es ÉditÉs_pur_Ouegt:Fruncg i - Connaitre et reconnaitre les Oiseaux de mer. - Connaitre et reconnaitre les traces d'animanN âditipg Qour£iîr_Picërd i Collection Oiseuux de Picardie : — Les Palmipèdes. - Les Echassiers. Par François Sueur, ornithologue au GEPOP. ë&!£·22_·ie-l2>ss-= - Journal champêtre d'Edith Holden, éd. Du Chêne, 180 p. l10n — Souvenirs champêtreade Beningfield, éd. Du Chêne, 140 p. 1lOH Deux très très beau livres sur la campagne anglaise avec de ÈFÈS bëlïëü peintures. ' \ .———————— §=~~ v PLANTES A FRUITS TOXIQUÉES EN PICARDIE. I · / · \ ‘ / \ W par P. ROYER \ Z ‘ ls S; î` ,./ · q lg · \._}/ \ "&' >/>— ` “§=5.e Si la nature offre des fruits sauvages qui se prêtent à la consommation «~==— w/\\î et aux PP€PëPâti¤¤§ ¢¤li¤aires,elle produit aussi des fruits toxiques _ ;;:; _ ·",~\\ dont il faut se mefier. Certains sont redoutables,la belladonne est \\\ iëëv · \ ,*\,~ certainement une des plus dangereuses,e1le est responsable de morts ;y// _\ ,”§`< d'enfants.Il convient de savoir identifier la plante avant de consom- w§§\ ·’__ y" \§ -mer les fruits,des confusions sont à l'origine d'int0XiCati0ns parfois ¤\§\ »(/, `}//\;>\A morte11es,dans le doute s'abstenir. "\` ,»* ,/ C; Bien souvent,ce sont des enfants qui sont touchés par ces empoisonne- `§§4/ï- ’ F- ·m€¤tS Car de nombreuses baies empoisonnées présentent un aspect atüxant \\` ·“- '// Les plantes dangereuses ne se développent pas seulement dans les régions M °`— ina¤aessibles,e1les peuvent aussi bien peupler les parcs et les jardins I urbains.Je vous propose de découvrir les plantes à fruits toxiques de notre flore,en espérant que cette évocation incitera à la prudence les gui amateurs de fruits sauvages. l'IF (Taxus baccata) Commun dans les parcs et jardins comme arbuste d'orneme¤t,l'If est entièrement toxique.Seul la chair fruitée rouge de la baie ne contient pas d'alcaloides,cependant la graine est vénéneuse mais bien souvent elle ne provoque pas d'empoieonnement car elle est éliminée par la digesti0n.Les rameaux et les branches sont capables de provoquer la mort d'animaux domestiques après leur ingestion,c'est pourquoi il a disparu des pâturages de montagne.
7 .
SORBIER DES OISELEURS F Ã:
Cet arbuste se développe aussi bien dans les bois que dans les parcs . I
et jardins où il est cultivé.0n le reconnait à ses folioles lancéoléee _«;.~., · ·
bordées de dents pointues.Les fleurs apparaissent de Mai à Juin et _ ·7·Q’ ,.` *· ~··.·\
donnent naissance en Aout à des baies rouges orangées groupées. Les " Éf‘\f‘*·`* ff' `* 5 _;/
intoxications restent rares et ne concernent que la consommation de ét; «,<.‘ ’ __ ,-» ’ ,
quantités importantes de baies fraicheselles se traduisent par des ,· ' ···" 7* ·
vomissements ainsi qu'une irritation du tube digestif,une élimination " ;.:=P"\Qj’,,'” ·' ' A
abondante de sucre et d'albumine dans les urines. se; U — /
—·:!,¢*·= ;\· ··~ r
GUI (vigcum gjbgm) ` Éwîlf · ·· ,/’\
@?—§ï‘1“ \ ,.««~*
Le gui est connu comme hémiparasite de plusieurs espèces d'arbres ’·'
(peupliers,pommiers,chênes,sapins,pins).Les feuilles coriaces ,allon-
-gées et sessiles sont accompagnées de baies blanches qui murissent de
1'automne au printemps.La. viscotoxine entre dans la C0mp08iti0¤ d€B
fruits,leur absorption provoque des diarrhées cholériques par irrita-
-tation des voies gastrointestinales.Les feuilles sont employées comme
hypotenseur en thérapeutique humaine. _
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HOW (Q} 'î’« ji ‘/QI}
;~ Il t.
l.e= feuilles coriaces vert foncé ,br1;1antes et cireuses sont bien `<l‘;,`,, ,·' FI;9
zonnues chez le Houx sauvage ou cultivé.Cet arbuste produit des drupes " (' É £,g;§Q,§Y'? J7
rouges toxiques qui ressemblent à des ba;Les,dans ces fruits on a il / ""É A
trouvé de la théobromine,L'intoxication se traduit par tme irritation .l, .»
des voies gastrointestinales avec vomissements,diarrhèes;il convient mg ·-· '
de se mefier de la toxicité chez les jeunes enfants chez qui l'ingestion ’*. _·;.Q
de 20 à 30 baies est mortelle.Les oiseaux peuvent consommer ces fruits ,/""
1'hiver sans aucun dommage. ir' "
FUSAIN D'EUROPE (
/
Le Fusain d'Europe est un arbuste de l:Lsière,des bois clairs,des pentes
buissonneuses,il produit des fruits nommés "bonnets de prêtres" à
cause de leur forme à quatre lobes qui rappellent étrangement la gg;. A
coiffure d'un homme du culte.Dans les graines,un principe amer provoque %
des nausées et de la diarrhée,des hétérosides cardiotoniques \ ///
(évonoside,rhamnoside,digitoJ<igénine) agissent sur le muscle cardiaque _ \
et sur les centres nerveux provoquant des troubles circulatoires ,des ,/ \\
convulsions alternant avec de la somnolence.Les fruits rouge orangés ~l ·
attirent surtout les enfants par leur aspect tentant. `, "
BOURDMNE N· "/
La Bourdaine est un arbrisseau des sols frais et humides,elle produit ` \
des baies rouges puis noires dont l'action purgative est responsable É" MQ;
de diarrhées.Dans les cas graves,malaises,vomissements,vertiges ? "\ Q" ·/.
apparaissent après absorption d'une quantité importante, pouvant aller »_-il _
jusqu'au collapsus. , f
/
FERPRUN · ,«
Essence des sols calcaires,le Nerprun est connu en thérapeutique pour
son effet purgatif,l'ingest:Lon de fruits noirs et charnus provoque I
une irritation du gros intestin avec effet laxatif.Seu1e l'absorption
d'une quantité élevée est capable de provoquer des symptômes d'int0xi-
-cation avec diarrhées ,nêphrites,déshydratation .
LIERRE
Cet arbrisseau est bien connu comme plante grimpantes à l‘aide de
crampons,ses feuilles sont coriaces et luisantes.Les baies bleu noir
murissent au printemps,elles sont globuleuses et charnues,leur dureté
et leur saveur amère sont certainement les meilleurs arguments pour ...· .·È=Lg_L:_
décourager tout consommateur.Les cas d'intoxicatioxsrestent rares ,se sis! _,_v;?—§¢`;i` ' »
traduisant par des troubles digestifs â faible dose,des troubles nerveux v ‘~ ç%_,)àï_‘»’ p
à dose élevee. \ , '
à I l i Il un
VIORNE OBIER (vibugnum gpglgs) ~ " _ ·—
Arbuste commun des bois et forêts humides,l'Lbier ou boule de neige
ports des feuilles qui ressemblent à celles de l'érable,rougissantes à
l'automne.Les fleurs blanches en fausses ombelles donnent naissance
à des fruits rouge vif et brillants à la fin de l'automne.Ces drupes »-
rondes renferment un principe amer,la viburnine,responsable de gastro
enterites pouvant entrainer la mort dans les cas graves.Les oiseaux nB['F"f-È
ne consomment pasces baies toxiques. -`=-··‘à""
vxomnz LANTANE
Arbuste des forêts claires,dans les buissons,les lisières de forêt.
Les fausses ombelles apparaissent de Mai à Juin composees de fleurs
blanches,elles fructifient sous forme de baies rouges et noires a_
saveur sucrée et glaireuse.Un gluèoside est responsable d'1rr1tat1ons
gastrointestinales provoquant des diarrhées,vertiges,vomissements.
Seule l'ingestion d'une grande quantité de baies est responsaule des
symptômes d'intoxication.
8 w SYVPHORINE (Smppggigarpus albus) La Symphorine est un arbrisseau d'ornement des parcs et jardins qui ‘ É produit des grosses baies blanc neige de l'automne à l'biver.Ces <° ` fruits renferment de la saponine ainsi que des principes actifs •Ã,‘ g) ’ irritants pour la peau et les muqueuses.Leur ingestion provoque une irritation des voies digestives,de fortes quantités absorbees peuvent _' _ ‘ mener a des troubles mentaux pouvant aller jusqu'au coma. BELLADONE (gtggpa belladgna) ^ /· Parmi les arbustes à baies toxiques,la Belladone est la plus redoutable É les intoxications restent toujours graves.0n la trouve principalement % dans les clairières,au bord des chemins forestiers,parmi les taillis. ,' W Les feuilles sont larges,ovales,,l'es fleurs campanulées pourpre ·’ violacees donnent naissance à des baies noires luisantes qui ressemblent a des cerises müres,l'ingestion de 3 à L; fruits serait mortelle pour l'enfant,che2. l'adulte 10 à 15 baies suffisent.Toute la plante renferme PH NE des principes actifs (alcaloides) surtout les fruits dont les principaux sont l'hyoscyamine,la scopolamine,l'atropine.Les symptômes d'i¤toxica- -·tion se traduisent par une atteint du système nerveux avec agitation # psychomotrice et une excitation genéraleyaccélération du pouls,dilata— " -tion des pupilles,sécheresse des muqueuses par inhibition des sécrétions — glandulaires.Autrefois,les dames italiennes de la Renaissance enduisaient _ ` leurs paupières avec une pommade à la Belladone afin de donner à leur ’ Il regard un_aspect flou,très romantique .., Aujourd'hui,de nombreuses ‘ /— specialites pharmaceutiques renferment des extraits ou des teintures <` de Belladone utilises comme antispasmodiques et antisécretoires. T9 "Q_ ' L'atropine est utilisée en ophtalmologie comme mydriatique. -· W \ DOUCE AMERE ,f ` Xt Comme la Belladone,elle appartient à la famille des Solanacées,elle pf · renferme egalement un_alcal0ide toxique,la solanine,dans les feuilles y pf et les fru ts.Surn0mmee "bourreau des arbres" à cause de sa faculté fr I \ tj de s'enrouler autour des végétaux,la Douce Amère est vivace,à tige y ¤f _, ‘___ ligneuse et produit des baies rouge brillantes,l'ingestion d'une _ Y ` ` dizaine de fruits serait mortelle.Les symptômes d'intoxication se / ` É- traduisent par des troubles digestifs et une accéleration du coeur. ·" \ Autrefois,les enfants machaient_la tige qui laissait une saveur à la fois amère et sucrée qui a donne à la plante son joli nom. BE; MORELLE NOIRE Plante commune des talus,remblais,lieux cultivés,elle appartient à la famille des Solanacéeszla solanine représente le principal toxique de cette plante.Les symptomes d'intoxication sont semblables à ceux de I la Douce A-ère. X} A BRYONE DIOIQUE (Brygnia digica) ¢ z /·/ 1 La Bryone est une lianevivace a tige munie de vrilles dont les , /51 feuilles rappellent celles de la vigne.Son surnom de "Vigne du diable" ·~ _ 1 1 U; est la pour attirer votre méfiance car les fruits sont venéneu:<,la ` \ / / Lyyc_:· dose mortelle serait de 15 baies pour les enfants,l+O à 50 pour les adultes.Un glucoside amer,la bryonine,est responsable d'irrit· tions \ 5 _ locales.Des symptômes d'intoxications externes se traduisent par une vd) f /1 1 ,2;/' irritation cutanée avec inflammation l0cale,tandis que par voie · · · " orale la Bryone produit des nausees,vomissements,de violentes coliques [ I et diarrhees avec parfois presence de sang.Par res0rpt1on,l'empois0nne- , —ment se traduit par une paralysie du système nerveux central et mort 1 _; 'É par paralysie respiratoire. ’_ TROENE (Ligustrgm vulgare) ; Arbrisseau toujours vert en hiver,le Troéne produit des baies noires I · de la grosseur d'un pois,leu.r ingestion provoque des malaises gastro /H | 1ntest1naux avec forts vomissements,diarrhées abondantes.De nombreux · T cas d'intoxication dont certains ont eu une issue fatale ont été signa- -1es chez des enfants ayant mangé des baies; ) ARUM TACHETE (Agum maculatum) · Cet Arum sauvage est appelé "pied de veau" parce que sa feuille ressem- -ble à l'empreinte que le pied d'un veau laisse sur le sol.On le trouve dans les forêts de feuillus humides et 0mbragées.A la fin de l'été, `dglstïâïzâ xiglugeslet Zbrililantîstaplparaiissent agglomàréeï sur uni tiége ¤· . eapsnees oqueesucauneac onirriane sur la peau et les muqueuses.L‘ingestion des baies provoque des douleurs gastriques,diarrhees,crampes,convulsions. Des enfants ont dete victimes d'intoxications après avoir mangé de ces baies à saveur oucea re. _ BIBLIOGRAPHIE: ( ,. É Je récolte les fruits sauvages ', ÃNÉÈ COll€Cti0!1 agir et C0nnaître,André Leson I _ - - `tr ' ·· V" `. Horst Altmahhî Plantes et animaux dangereux " f§=(È ; FEPUGBÉ Nathan éditeur _ `?" T—r.·‘ · È·¢'É""¤"·' Bezanger BeauqueSn.=·,pinkaS’T0rCk, · Les plantes dans la theraneutioue moderne ' 1 · È Maloine s.a. éditeur ` ` ° }_ .··- *" ; I». Schauenberg,F.Paris: 55,; '`'' \ \ Guide des plantes médicinale ` . 1 / ,‘ Delachaux et Niestlé ‘ É 1 / '
SOMMAIRES DES NUMEROS DE PICARDIE—NATURE DE MARS 1982 A SEPTEMJBRE 1985. Dans le souci d'informer les récents abonnés è Picardie- Nature, voici la liste des articles parus de mars 1982 à septembre 1983. Depuis deux ans nous nous sommes efforcés d'amé1iorer la qualité de Picardie-Nature en vous informant sur des problèmes d'environnement, nationaux ou régionaux, en vous présentant des articles sur la faune et la flore de notre région. Certes il reste encore pas mal le choses ü écrire : pas un soul article sur l'0iee ou 5ur l'Rîsne li N° 15 MARS 1982. - Construction et pose d'un nichoir à Mésange. - Planter des haies : les essences des haies. - Les limicoles nicheurs du littoral picard. - Sachez les reconnaître x Paucons, Epervier, Autour. - Les fleurs du printemps. - Un type d'étude à la portée de tous : les Mammifères écrasés sur les routes. - Histoire d'arbres (dernier chapitre): la façon de planter des arbres, des haies. N° 16 JUIN 1982. - La flore des mollières. - Les Tritons dans la Somme. - Sachez les reconnaître : Buses et Busards. - Bilan provisoire de l'enquête Mammifères en Picardie. - Les Idmicoles nicheurs en Europe de l'0uest. N° 17 SEPTEMBRE 1982. — Le GEPOP et les Etats Régionaux de l'Envir0nnement. · Extraits du Livre Blanc des Etats Régionaux de l'Environnement. - Une réserve au Hable d'Ault ? - Les oiseaux des décharges d'ordures. - Sachez les reconnaître : les pelotes de’rejection de quelques Rapaces. — Sachez les reconnaître : Gravelots, Pluviers, Bécassines et Bécasses. N¤ 18 rnscmnas 19e2. (épuisé) - Le nourrissage hivernal. — Les oiseaux hivernants au cimetière de la Madeleine. — Interdiction prochaine des pièges à mâchoires. — Dates d'arrivée et de départ des passereaux migrateurs. - Un bel exemple de "mise en valeur" : le marais du Crotoy. - Centre de soins pour oiseaux blessés : bilan de l'année 1982. - L'évo1ution de l'ornithologie dans la Somme. - Extraits du livre blanc des Etats Régionaux de l'Environnemen· (suite et fin). - Liste des espèces végétales protégées. Certains numéros sont épuisés, si un article voue interesse nous pouvons vous faire un tirer à part. Pour les autres ils vous serons envoyés sur demande au prix de 3 R le n° + 4 E de port.
lO K° 19 MARS 198}. (épuisé) - Sachez les reconnaître x Barges et Chevaliers. — Faune des falaises et de 1'estran rocheux picard. — Pond d'Intervention pour les Rapaces x circulaire été 1982. - Et. Rég. de l'Env.: rapport de Mns Marleux-Commecy: Architecture, Environnement et Nature . N° 20 JUIN 1983. (épuisé) - Centre de soins : bilan de l'année 1982. - Bilan financier du GEPOP. — "Les émules d'Eacobar". — L'effet de la maladie de l'Orme sur les oiseaux nicheur en milieu rural. - Sachez les reconnaitre : les Bécasseaux. - Enquête sur le Héron cendré auprès des piscicultures. - Et. Rég. de l'Env. : gaspillage — réflexion sur une nouvelle éthique. - Faune et Flore de la forêt de Crécy. N° 21 SEPTEMBRE 198}. — Campagne contre la vente du piège à poteau. — Vademecum du parfait plaignant x vous êtes informé de la destruction d'une espèce protégée... Que faire ° — Le Hable d'Ault : Réserve Naturelle, aire de pique-nique ou dépotoir ° - Campagne pour la protection de La Chouette effraie : un clocher · un nichoir. - Connaissance de la Faune picarde : le Canard colvert. — Actions menées en vue de la protection d'une colonie de Hérons cendres. — Baguer les oiseaux en 1985. - Le feu bactérien dans .a Somme. SYNTHESE DES PRINCIPAUX TRAVAUX EFFECTUES PAR LE CONSEIL D'ADMINISTRATION DE VOTRE ASSOCIATION DURANT L'A1\TNEE 1985. Vous vous êtes sans doute déjà demsndéxqu'elles étaient les activités du Conseil d'Ldministration du GEPOP (comité pour les intimes). Pour vous tenir au courant des affaires qu'il traite nous essaieronî en 1984 de publier régulièrement les actions qu'il aura mené dans le domaine de la protection de l'Environnement. Mais pour cette année qui se termine, nous publions aujourd'hui les principales affaires que les représentants du GEPOP ont traitées. (1'ordre chronologique n'est pas indiqué puisque des problèmes sont encore loin d'être résolus). - Enguête sur le Héron cendré auprès des giscicultures -(n°2O juin B3). Un questionnaire avait été envoyé à des pisciculteurs en 1982 il correspond è la première partie d'un dossier complet visant à régler les problèmes liés au Héron. Le dossier se compléte en vue d'une protection des piscicultures contre les Hérons et des Hérons contre l'Homme.
ll - Mesures pour la protection d'une héronnière dans la Somme. (n°2l septembre 83) Il s'agit d'une étude demandée par la Préfecture (Bureau de l'Environnement) et réalisée en 1982, cette affaire est toujours suivie malgré l'atténuation des menaces qui pèsent sur cette héronnière qui représente à elle seule environ 80 % des Hérons nicheurs dans la Somme. — Dépôt de plaintccontre X pour destruction d'espèces protégées. Désormais à chaque ramassages d'oisesux morts sur le littoral une plaint sera déposée. C'est un des moyens d'agir pour tenter de supprimer les dégazages illégaux des pétroliers et de réduire les massacres des populations de Torda et de Guillemots déjà gravement atteintes. — Intervention auprès du Préfet, de tous les Dépptés picarde et du Ministre de l'Environnement demandant l'interdicti0n de la vente du piège à pgteau (n°2l) Malgré le soutien de quelques Députés le problème persiste car étant donné la liberté du commerce, la vente du piège à poteau reste libre et cela malgré un usage interdit. Cette démarche a été doublée d'une pétition envoyée à toutes les associations de protection de la Nature affiliées è la F.F.S.P.N. - §gutien au gomité de défegge ggptge la ligne EEE (Gravelines-Paris) de Plachy- Buyon, pour raison d'étude d'impact quasi inexistante dans le dossier présenté lors de l'enquête puhique. Malgré cela la ligne 2X4OO OOO volts défigurera le paysage picard pour que la centrale nucléaire de Gravelines alimente Paris gros gsspilleur d'électric1té. - Opération Busards 1282. Tous les détails dans ce numéro. - Réalisation d'un brochure destinée aux enfants des écoles primaires. Cette brochure traite des plantations d'arbres, des oiseaux, de leur protection et de bien d'autres choses encore. Cette publication est subventionnée par le Ministère de l'Environnement, elle devrait sortir en janvier 1984. - Intervention du GEPOP lors de la mise en enguête ppbligue du projet de décharge controlée à Nampont-Saint-Martin, en raison de la minceur de l'étude d'impact. - ~Dép6t de plaint contre une oisellerie et son fournisseur dans l'Oise, pour détention illégale de trois Chardohnerets et d'un Bouvreuil. Ils ont été jugés en septembre, tous les deux ont été reconnus coupables mais n'ont pas été con- -damnés. - Deux ornithologpes du GEPOP 5 F. Sueur et X. Commecy vont bientôt publsr un .ouvrage sur l'avifaune de la plain maritime picarde. La diffusion d'un tel ouvrage permettra de faire connaître, au niveaux national et international une région d'une importante richesse afin de mieux la protéger. — Réalisation de la liste rouge des oiseaux menacés dans la Somme ainsi gue celle des oiseaux menacés dans l'Aisne. Ces deux publications sont destinées aux élus locaux, régionaux et aux administrations concernées (DDA, DDE, Environ- -nement). D‘autree affaires sont en cours ou en projet, elles vous seront létaillées dans les prochains numéros. Si vous désirez des renseignements plus précis sur l'organisation de votre association ainsi que sur le travail effectué par les membres du comité, n'hésitez pas à nous écrire. Nous vous rappelons que les réunions du Conseil d'Administration sont ouvertes à tout membre du GEPOP. Elles ont lieu tous les troisièmes vendredi de chaque mois de 20h50 è 23h salle Dewailly, Place Dewailly AMIENS.
12 CENTRE DE SOINS POUR OISEAUX BLESSES x BILAN DE I«°A.NNEE 1985. , .._,— <¤-îëî sa I _` H-. _fl: ·· F V— A + ..., md · m? A gs là 'A anni sehr ·î;-:;_;_=;..3__· v' . " ' · ::· - - - • ; _ ‘ Iîü "-J·"·___B `$_q? GC.; v vv . -..4 *· — ¤ s\\4 ' ' ( Q U · : ¢—.._ __ __ yy • .1, «:·1;;__· ( I. _ · q 1 I _« · IU lq . ** I E · =; IF) A « ‘~.·.··· _ ‘ =; —- Cette année, le centre a soigné 55 oiseaux contre 35 l'an passé. Pourquoi une telle augmentation ? Il est probable que les destructions d'oiseaux soient en iug- -mentation, nous pensons plutôt qu'un plus grand nombre de particuliers a eu con- —naissanco de l'existence de notre centre. il y a deux raisons à cela. La première est que progressivement nous nous faisons connaître du grand public par la diffu- -sion d'u.n tract, . La seconde est que depuis deux ans le parc zoologique d'Amiens nous fait parvenir tous les oiseaux blessés qu'on leur apporte. Il nous serait facile d'aug;menter considérablement nos contacts (gendarmeries, vétérinaires,etc..) mais nous risquerions alors d'être débordée car nous ne sommes bénévoles et nous passons actuellement près d'une heure par jour h soigner les oiseaux (nettoyage des cages, nourrissage, etc..). Il se poserait rapidement des À problèmes de déplacement qui nous couteraient fort cher. É C'EST POURQUOI NOUS LANCONS UN APPEL A TOUS LES M:ll‘/IBRES DU GEPOP INTERESSES PAR LES SOINS AUX OISEAUX BLUSSES. Nous voudrions constituer en 1984 un réseau de bénévoles répartis dans toute "’ la Picardie et capable de recueillir momentanément un oiseau blessé. I Ce réseau permettrait d'acheminer plus facilement et surtout plus rapidement les oiseaux vers un centre spécialisé. En effet le principal problème est le temps écoulé entre la découverte de l'oiseau et les soins qu'on lui donne. Cette année · beaucoup d'oiseaux auraient pu être sauvés s'ils n'ét:iient pas restés sans soins, leur état nécessitant alors 1me'amputation de l'aile au ras du corps, opération incompatible avec une vie en captivité (perte d'équilibre, impossibilité d'accou— —plement, chute, etc..). ‘ Les premiers soins à donner un oiseau blessé sont la plupart du temps simples et précis, en étant formé par un spécialiste et avec un peu d'expérience il est facile d'y arriver, c'est pourquoi NOUS COMTTONS sun VOUS. L:1 famille TIIIERY. . $5,9 #9 . · _`,§• NOMBRE TOTAL D OISEAUX RECUEILLIS AU CENTRE : 55 dont 22 Rapaces. *` (du premier janvier 1983 au lO novembre) 4 Ia \ Nombre d'oiseaux relachés : 16 dont l2 Rapaces. g Nombre d'oiseaux morts : 24 dont 8 euthanasiés. —; Nombre d'oiseaux non relachâbler: : 15 I ·:. ______ -=
15 BPBCE DATE LIEU : BLESSURES Z CAUSE : AVENIR Chouette hulotte Z fracture du crâne ïvoiture 'È relâchée le 13/2 le 19/1 Saveuse s x : Chouette effraie : pas de blessure îcamion : relêchée le 2/2 le 29/1 Charleville , apparente (routier) , . g . Chouette effraie î grosse fracture de îvoiture s du être euthanasiée le 30/l Ferrières Il'aile g = Guillemot de Trofl : mazouté, très ;dégazage mort le 31/l, avait été le 30/1 littoral Q maigre zen mer z bagué(He1gol&nd,RFA,6/82) Cygne tuberculé mâle: grosse fracture aile ;fils élec-; pose d'une broche, mais os- 1e 5/2 Amiens gauche :—triquee ztéite : euthanssié. Mouette rieuse fracture ouverte aile; obstacle îconfiée au zoo d'Amiens, le 28/2 Camon droite : zvolsnte le 4/5 la 1a Hotoie Busard saint-martin ancienne fracture Qconfié à Mr Leroux (FIR) le 22/3 Lanchères 2 aile droite + plumes : ? zpour réadaptation, lâché à : coupées (captivité) : ,l'sutomne. Chouette hulotte jeune en duvet Qnourrie, baguée et relâ- 1s 29/3 Amiens z perdue en ville : ,chée le 2/6. Chouette hulotte idem, de la même idem le 31/3 Amiens , famille. : , Chouette hulotte : le 31/3 Amiens : idem z = idem I- Chouette hulotte · ¤ • le 6/4 ...1... = “°'“ = = i‘°“* •I e I Epervier d'Europe ‘ fracture ouverte de = obstacle îmort le 4/4 __:` le 3/4 Dreuil ‘ l'a1le droite ¢ * Hibou brachyote : fracture ouverte = obstacle :non relîïchable, confîé_È3-- “jlî __ le 6/4 St-·Sauveur , aile droite zligxxe HT ?. Mr Leroux pour reproduction /, Jé 7 "<‘."··` Mouette rieuse , luxation aile droite, '> znon relâchable, confiée au le 20/4 Péronne , , , zoo d'Amiens. ,·-;'> . fg Mésange charbonnière; jeune tombée du nid Qniee dans un nichoir occupé " ` _ le 10/5 Amiens = : sadoptée par uncouple de ‘· ';,' ·:Q;v ;-jy., _ . . . charbonnièree. . ' Ã . ·‘ 1 "_ , ,'_ _.' Martinet noir î pas de blessure =chute au *reàâché le jour méme. É.--* ""î-··»·· ` ·"_ le 10/5 Noyon ‘ apparente =eol ‘ in ' :.;:.7 Cygne tuberculé : paralysie aile et = choc ‘marche mais toujours para- Tt :;___·=;_ ïî le 25/4 Argoeuves : patte droite * ‘lysie de l'aile, confié au 71,}; A : : izoo d'Amiens.l8 6/6. 'î-»' î ···...·:‘ _ f/. z· Chouette hulotte ’ jeune en duvet îtrouvée nourrie, baguée et relâ- · 'T': le 23/5 Flesselleë ‘ :"abandonnée[" -chée le 9/8 Chouette hulotte l€ 23/5 Flesselleü Z idem, même famille Z iderr mien _ E- Choustte effraie "jeune en duvet, nid ‘ ' soignée, baguéa st relâ- le 7/6 Ti1loy-1es- : introuvable. : chée le 8/7. Conty. _ t Buse variable : très mauvais état du ‘ ’ soignée et rsmplumée, le ll/6 l'Etoi1e zplumage, avait été garfcaptivité * relâchée le 10/9. idée en captivité. ’ ‘ Hibou moyen-duc x jeune en duvet sf- ' ' mort le 27/6 le 23/6 Saveuse f -ra1b11. ' ‘ ‘“°l°d° * • 'I • Martinet noir pas de blessure * tombé au * relâché le jour même. le 7/7 Amiens ' apparente. ‘ sol * : ; I Hibou moyen-duc fracture extrémité de' ‘ soigné bagué et relâché · le 9/7 Airaines j 1•a11e droite "'°““"° * le 13/8. Chouette hulotte îextrémité de l'aile drê quelques jours après ins- le ll/7 Moreuil farraohée, pied g.éora-° train ·-tallation d'une gangrène, '-sé. ° * a du etre euthanasiée. Q e I Grives musiciennes deux jeunes tombées E soignées, mais découvertes le 10/7 Dreuil du nid · · mortes le 10/8. Q e I
14 Merlee noirs Q2jeunes tombés du nid ° soigné pendant plusieurs le 20/7 Amiens ‘puis gardés un an par ‘ captivité: semaines et découverts fun particulier. ’ · mort le 20/8. Martinet noir Q fracture de l'ai1e ’ obstacle ‘ a du être euthanasié. le 25/7 Amiens Q î Tourterelle turque Q fracture ouverte aileî ,, morte le 26/7. le 25/7 Amiens Q droite ' Héron cendré Q plaie aile droite, ' plombs de: mort le 29/8, à l'autopsie le 25/8 BerteaucourtQ cou enflé chasse ? : traces de passage de plomb ' · Pigeon biset Q aile droite bloquée ,, ' euthanasié le 5/10 le 24/8 Amiens Q Q ' Goéland argenté Q fracture ouverte aile: ,, soigné, non relâchable, le 20/8 Ault Q droite Q : confié au zoo d'Amiens le Q g ; 20/9. Chouette effraie Q aile gauche pendants Q obstacle ile 4/9 infection aile puis le 24/8 La Faloise Q plaie patte gauche Q jnécrose, morte le 20/10. ' • t Busard des roseaux Q fracture tête huméralé li B HT îopéré par Dr Devaux (vét.) le 24/8 Brie Q droite, esquille. I en zvole à nouveau, sera relâ- Q Z :—ché au printemps. Goéland argenté Q fracture aile droite ,, frevole, ne voyant pas de le 25/8 Cayeux Q : ' :l'oeil g.,confié au zoo. I I tx Goéland argenté Q aile gauche pendante ,, confié le 20/9 au zoo Ã"` ;"*`¤ le 30/8 St-Valéry Q ' ' ' d'Amiens. !<'.ï"E -| · , Goéland cendré Q fracture ouverte de îvoit amputé, confié au zoo "?‘ ¤• le 25/B Cayeux Q l'aile droite ' ure ' d'Amiene, mort plusieurs '«\ na; Q semaines après (infection) —;·' Ã; Iouetts rieuse Q fractures aile droiteQv°itm_B ,, Q eufhanasiée .‘.,_ Q· Q le 9/9 Cayeux Qtràa infectées Q ' Q [4: 4 If E Q _ _· ·:1 Chouette effraie Q plusieurs fracture voiture Q 1*, l rl le 15/9 Plixecourt Q ouverte aile gauche Q(antenne) Q authmnsiéa whùf I L 1 1. _ . ïirïndellekgî fenétré jeune tombée du nid morte 13 16/9 ` n;·'[_\ ° 5 9 °“° : : z \`· ‘ Bécasseau maubèche blessure aile gauche Q fusil Q confié le 18/9 è Mr Iontel "` 1, tim- ls 18/9 Hable d•Au1t: Q spécialiste des Limicoles ·· \\'I,[`~ Pigeon bieet jeune tombé du nid mort le 20/10 Q - le 25/9 Amiens + maladie infectieuse: Huîtrier—pie fracture aile fusil confié a Mr Montel le 24/9 littoral Q Chouette hu].otte Q grosse fracture aile Q le 26/9 names (so) Q droite ,3 °°“"°“ 3 °““‘““°°i‘° Chouette hulotte Q pas de blessure Q voiture Q mise en volière le 15/10 le 7/10 Moreuil apparente Q Q relâchée le 17/10 Huitrier-pie fracture aile gauche fusil mort le 20/l0. le 7/10 littoral : et patte droite Q Q Huitrier-pie blessure aile gauche fusil borgne, non relâchable, le 7/10 littoral Q blessure oeil gauche Q confié a Mr Montel. Grive musicienne blessure aile gaucheQ fusil '? morte le 15/10 le 12/10 Boves . Q Q Héron cendré Q fracture aile droite fusil ,, Q non relâchable, confié au le 12/10 Longpré-les-z déjà consolidée : ' Q zoo d'Amiens. corps-saints : z Merle noir , blessure aile gauche chat mort le 29/10 le 29/10 Amiens : : Foulque , fortement mazoutés Q au centre actuellement le 1/11 littoral , : Q Aux 0\Q\’f\\`èT`Q.$ \\C\·\V`l-\\ç*S} \e. Fsolqug o.@Vé rdâeçti alt z,¤¤ À'A~m`¤..v»$ pougeovcma reçu uw u(U¢mo*' , / 3 maaouh. <‘u& 9·S\'v~A¤r\'·`¤· 7//H e(’v\¤\·\$ smëvxo vt; c.c,\'•··•·a“0,vu2\^Ã' twx %©€\¤v~à C2\>~C\fV€.
*’ 7;; W l lill} CONNAISSANCE DE LA FAUNE PICARDE : ·§é<Fh!§ zga LE LAPIN DE GARE1~mE. \î.g5;§"`?; je f — · `:' I I a par françois SUBUB J REPARTITION. · l : Le Lapin de garenne habite toute l'Europe occidentale et centrale notan- —ment toute la France y compris la Corse. Il a été domestiqué par les romains et introduit en dehors de l'Europe (Australie et Nouvelle-Zélande, diverses îles . océaniques et sub—antartiques, Amérique du sud) au XIIQ et au II, siècles (PAGES, • 19e0). O \ STATUT EN PICARDIE. 0 · Dans une étude récente (ARTHUR et coll. 1980), le Lapin de garenne est 4 ‘ considéré comme présent en forte quantité partout dans la Somme (40 individus tués par 100 ha pour la saison l976~l977); la situation de cette espèce dans O l‘Aisne et l'0ise est imprécise, retenons seulement le chiffre d'envir0n 15 indi- —vidus tués pour 100 ha de forêts domaniales dans ces deux départements. Notre I ’ appréciation sur la densité de Lapin de garenne dans la Somme est quelque peu ' différente x très abondant dans le Marquenterre, abondant dans les bas-champs de N/ Cayeux, le Ponthieu et quelques secteurs dans les autres régions naturelles où il ,.4 ,.— Q ` est généralement moins répandu. Le Lapin de garenne est particulièrement commun ` dans tout le secteur littoral picard où il est très abondant dans le massif du- ·5‘ ÉTÉ? S —naire (facilité de creusement des terriers) et plus encore dans certaines zones V ' • autour de Rue où pousse une végétation bien plus attirante. Quelques recensements ^P§»,r*· . suunmmwmdwmumlkmœlw@mrdüdüàSuMQwMmœm%umm ` lr)2ë;'é/ C | peuvent donner une idée des variations saisonnières d'abondance du Lapin de garen- ·,îÈ —ne x 9 adultes et 6 jeunes le 14 avril 1976, 170 à 200 individus le 2 juin l97o, " ' t 51 le 7 juillet 1977, 145 le 9 juillet 1975, plus de 50 le 18 septembre 197r et I seulement 7 le 50 décembre 1975. I I La saison de reproduction commence en janvier et se termine fin juin, le femelle met bas de 4 à 12 lapereaux aveugles et nus après 50 jours de gestation • (SAINT—GIRONS 1975). Au moment du sevrage, ceux-ci pèsent environ 150 g (CORBET et · SOUTH RN 1977) P¤¤r atteindre à l'age adulte 1000 à 1250 g (RODE et DIDIER 194é}. ' [ a ‘ En Picardie, les premiers jeunes sont notés au plus tôt fin février : la . date la plus précoce est le 27 février 1985 avec un jeune à la sortie d'un terrie1 ’ g creusé dans une digue du Parc Ornithlogique du Marquenterre situé à quelques mè- ` -tres de la laisse de haute mer (F. SUEUR et coll.), · ‘ De temps à autre, des individus au pelage noir, gris sombre ou roux clxir sont observés. Il s'agit très probablement de l'influence de croisements avec de lapins domestiques lâcnés dans La nat ro VU]OHtl]TG“~F - ·· _ ` • p ‘ ` · o REGULATION DES POPULATIONS. ` Deux facteurs interviennent de manière prépondérante dans la régulation ` ‘ des populations dec Lapin de garenne 2 : \ - 1a_mg;gmatgsg qui se manifeste chaque année à partir de début juin et jusque p fin novembre, elle peut cependant être notée parfois tout au long de l'snnée. É . I § Q ·`
16
- les prédateurs comme l'homme (chasse, piégeage, circulation automobile). Dane
le Marquenterre, SUEUR (1981) signale comme prédateurs du Lapin de garenne la
Belette Iustela nivalis, l'Herm:|ne M. erminea, le Putois M. Etorius, la Fouine
Iartee foins et le Hibou moyen-duc Aeio otus (capture rare de très jeunes indi-
-vidue). La Corneille noire Corvus corone corone capture éventuellement de jeunes
Lapins de Garenne mais se contente principalement de cadavres.
Mi-septembre 1976 suite è une forte sécheresse, des Lapins de garenne ont
occupé d'anciens terriers de Rats musqués Ondatra zibethicue dans des berges de
mares de hutte aeséchées è Hautebut-(E. FOURCY).
Dans le régime alimentaire du Lapin figurent le Trèfle Trifolium sp., 1*6-
-corce de Saule Salix sp., les feuilles de l'Argousier Hipœgae rhamnoides et
des Graminées (Poaceae).
Remerciements x Nous tenons è remercier Monsieur Eric Pourcy pour les observations /`;/ly
qu'il a bien voulu nous communiquer.
\ \ \
REFERENCES x " `\‘\ ` .~«.
I' Ԥ 2
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RODE P. et DIDIER R. (1946) Atlas des Mammifères de France - Paris (Boubée) 200p.
SAINT-GIRONS M.C. (1973) Les Mammifères de France et du Bénélux (faune marine
€¥¢€Pté€) Paris (Do:Ln),48l p.
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l'Herm:Lne Mustela erminea et le Belette M. nivalis - Mammalia 45(4)
510-512. _
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EETQLE DE§ MAQIFERES, I
par Pe.t!1ok~·!RIPI·ET
A première vue il parait moins évident d'étudier les mammifères
que les oiseaux. hz effet si pour ce dernier groupe il suffit de se promener et
de regarder tout autour de soi, chacun aura remarqué les difficultés è observer
1m mammifère.
17
Les quelques conseils exposés ici n'ont pas la vocation de permet-
-tre de bonnes études de ce groupe à tout coup mais permettront d'aborder cette
étude plus facilement. Rappelons avant de commencer qu'avant tout prime la pro-
—tection de l'animal et qu'il est donc toujours préférable de partir sans conti-
-nuer 1'observation plutôt que de nuire ou de perturber.
I LES OBSERVATIONS.
Pour observer un mammifère dans la nature il est préférable de se
munir d'une pairs de jumelles à grossissement moyen (X 8 ou X 10) et de vêtements
légers, confortables et silencieux (éviter lee imperméables). Une montre, un car-
net et un crayon permettront de conserver un souvenir circonetanoié de 1'obser—
-vation.
Il faut ensuite se poster sous le vent afin que les ma mifères ne
sentent pas l'0deur humaine et attendre à une distance variable selon l'anima1 à
observer. L'attente nocturne permet un maximum de succès dans les observations.
Une bonne illustrationrde ce type d'observation se trouve dans les travaux de
Robert HAINARD qui a consacré sa vie à 1'étuds de la faune sauvage.
II D'AU RBS POSSIBILITES D'ETUDE.
1) I.:SE..."·!'.*È.'E‘3§.ÉEE.`HÉi!:.
Ils sont généralement facilement déterminables quand ils ne sont pas
complètement aplatis et peuvent être reconnus à partir d'une voiture roulant à
faible allure. Cette détermination devient de plus en plus hypothétique au fur et
à mesure de la décomposition du cadavre. Sur un tronçon de route étudié de novem-
—bre 1980 à avril 1981 entre Amiens et Beauval j'ai pu constater que les cadavres
restaient sur place pendant huit jours en moyenne avant que les restes ne soient
I rejetés sur les bords de la chaussée par le vent ou par le déplacement d'sir
I, /· ,, produit par les voitures. Ce type d'étude à mener a déjà été présenté dans cette
‘.j §§_ (I I revue (Triplet 1982 a). Rappelons rapidement son déroulement.:
*2 z~€>\` ' dz . ' - à chaque contact le mammifère écrasé est déterminé, cartographié par rapport à
v .— ‘
";,· `vé ·'`· ·'; la commune ¤ proche ·t`1n 1'évmer toute confusion avec ç1'autres écrasemsnts I
yy; . EI. _,'I I_ , _,-»· ., , " W .II
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Du plus gros au plus pet1t desszm de P. Th1eI·y. tf I Ày
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Observation de Mammnîeres desszm de P. Et1e1me. J gg / gg,] 2% /IM,/e
18 Pelotes de rejection survenus les jours suivants. — La situation de chaque animal est notée par rapport A la demi largeur de la l , 1`0\1tO afin de losurer les responsabilités des automobilistes sur le nombre dg ` mammifères écrasés. Les résultats furent éloquente malgré la faible nombre de mammifères trouvés. Il serait d•a1lleurs intéressant de renouveler cette expé- /";- -rienoe en d'autres secteurs picarde. _ "\·&ë£%l;].~ fai"- ,« , v' · 2) Le ` I E --2-22s1.x222.*k-22&222.âs.sés£s&£2£i22; a Les Rapaces diurnes et nocturnes rejettent par vois buccale les parties _ 4_ _ ,_;__` non digestibles de leurs proies. alors que les premiers ont dans la plupart des cas des suce digestifs capable de décomposer les os, les seconds ne le peuvent W et rejettent dans leurs pelotes les poils et les pièces squelettiques des mam- t I; —mifères qu'ils ont consommés. L'étude de ces crânes a permis une cartographie très fine des mioromammifères de la Somme (voir le travail irremplaçable de "çr A Saint-Girons et Martin -1975).A première vue et devant le nombre de pelotes ana- ’~_;:èi`5:__ -lysées il peut paraitre illusoire d'apporter un élément nouveau aux travaux publiés mais pourtant bien des études restent è mener sur les fluctuations d'ef- -fectifs de micromammifères et la réponse de leur prédateurs, ainsi que sur la coexistence de différents prédateurs sur un même territoire de chasse. Mais le é'é'i’;';W c W` \ù point le plus attrayant des analyses réside dans la cartographie des différentes espèces-proies. Celle-ci présenta pourtant quelques limites x '- ` . — le territoire de chasse des oiseaux est parfois très vaste (5 km de diamètre ; ' _ ·' E ` ' ·î‘· environ chez la Chouette effraie) et la cartographie n'est donc pas précise au -_ _. :_ milligrade près. J _ - les très petites espèces et les espèces rares se font capturer très rarement [ et donc leur cartographie ne peut être complète on utilisant uniquement cette '.—;};;:î>-._îÉ.__; méthode . " Qù_trouver_dgs_pglgtgs__? * . ·····-·’ 3 Plusieurs types de milieux peuvent être exploités. Les granges, les clochers les mines, les bois de pins sont souvent intéressants à prospecter. Avec un peu _.:î;·-glëfî fg de pratique on arrive rapidement à repérer le site où la probabilité de trouver des pelotes est la plus grande. Dans une grange les pelotes se ramasseront géné- `L" ` e-ralement sous la partie de la poutre la moins éclairée. Dans un bois de pins utilisé par le Hibou moyen-duc les pelotes sont généralement groupées et on peut W og! en trouver plus d'une dizaine sous le même arbre. _'? Le ?,;j_ L-jî·_îI'î ··F,;_._"· f··?9_··—_f"'.È, gf; Q¤2¤2 les Pause; 2 » · F? °»,` ·' Pour les espèces fréquentant les ruines ou les clochers il n'y a pas à 3 1 " JJ- proprement parlé de meilleur époque de recherche mais il faut simplement veiller à ne pas déranger en période de reproduction. Les meilleurs résultats pour les · € pelotes de Hibou moyen-duc seront obtenue en hiver quand TGS ¤`î$P3¤X $9 l'€§T¢*;|·· -pent en dortoir. Les population locales sont alors renforcées par l'a.rr1¥ée la d•oiseaux plus nordiques, tel que cela se produit dans le Somme (Triplet, publi- +`· " |` cation en préparation). 2¤M¤* 2r2¤$¢s¤·.? I ‘ " a) Busards Pour plus d'effioaoité les pelotes sont analysée à sec. L'humid1fication b) Faucon crécerella qui permet un fractionnement plus rapide provoque un déohsussement des dents et G) Buse variable entraine des doutes quant à la détermination. Les proies sont comptabilisées en d) Chouette effraie ne prenant en compte que les crânes. Les rangées dentaires sont nettoyées si Hibou m0yen_duc necessaire avec 1me aiguille. Pour la détermination une bonne loupe offre cer- 9 Chouette chevêuhe -taJnes comodités pour analyser les critères dentaires. 3) Hibou des marais Les travaux de base servant aux déterminations sont mentionnés à la fin hi Chouette hulotte de cet article. ' Il arrive parfois de trouver une Chauve-souris dans une pelote, il est _ conseillé de consulter alors la publication de Noblet et Berthoud(l98l) pour la ÉÃSBSÈIIS H1iS 81*1 détermination ou bien de faire appel è un naturaliste plus expérimenté. lots P8·I° É P. ETIENNE.
wi La détermination des crânes ne représentant qu‘une partie du travail il faut veiller à noter les renseignements suivants : - identification du prédateur. — date de ramassage. - localisation de la collecte. - description du milieu. - nombre de proies par pelotes (si possible). - nombre d'individu par espèces. Enfin il est préférable de conserver les crânes répertoriés. Ils pourront peut-être un jour servir de base à un autre travail. 3) Le piégeage; Il donne de bons résultats et permet une étude de la densité des micro- -mammifèrss présents sur un site déterminé. Par mesure de protection je ne pré- —senterai pas ici les types de pièges et les techniques A utiliser. Signalons simplement que les pièges mortels sont à bannir. U £•i£..S§SI‘£E2§:. Il est souvent utile, parfois indispensable d'enquèter auprès des popula- -tions locales afin de connaître le statut d'especes rares ou en voie de dispa- -rition. Une grande précaution s'impose quant à l'acceptation de certaines données et les contrôles des données doivent être stricts. Les enquêtes auprès des chasseurs permettent l'obtention de renseignements interessants. Il est d'ailleurs dommage que peu d'entre eux conservent des notes 'éw à '* ` n I ‘ · Il Ve ,/ ·* A \ /,/\ J ’¤·w·} ws la ` x` · xmuus ï rg g, \ f Avec des pattes î E, \ ."?;· tw **-`*m$$°“ ¤\ comme ça, on trace. ’ ·' q r.1:m>.E ju sucntse À l °ë=' ! \ L 4 • I \ I I — , . 4 ·@® 'M' Il ·· pv ê Q QI « A e ' J àà I \ ’ aëëtë 7 T Q } @ ju`] Puwozs ~; rouzsm Iumzz samer gu ssmmb mf ,./( — ï mms ‘ - ' ' >`\Tq··" ·· ` @ cmsmmuzr. · ‘j $*2:.; _ QQW pmuyy · PUTOIS °·^T "USQUE 1% Dessin de : x P. ETIENNE La taille réelle est 1,5 fois l'empreinte dessmes 1Cl
20
sur leurs tableaux de chasse qui pourtant penettmt Uétudier les fluctuations
des especes-gibier.
5) Les rechegc_hgg_biblicEsph_1qu2;
Elles permettent de connaitre 1e statut ancien des espèces étudiées mais
les écrits anciens sont parfois incorrects et contiennent de nombreuses erreurs
de détermination dont il faut tenir compte.
6) Les traceà
R Beaucoup d':Lndices permettent de déterminer à coup sûr certaines espèces
de mammifères x
- Les empreintes à rechercher sur les sols nus et humides, sur la vase au bord
* des points d'eau et bien sûr en hiver dans ls neige.
* — Les excréments selon les espèces étudiées. Ils portent des noms différents x
' crottes (Hérisson, Musaraigne, Chauve-souris, Lièvre, Rongeurs), laissées pour
les Csrnivcres (épreintes dans le ces de le. Icutre) et les Ssngliers, fumées chez
* les Cervidés. I1 faut en noter 1‘emp1scement, la forme, la taille, le nombre, la
composition quand cela est possible.
* - Autres indices x les terriers (Lapin, Renard, Blaireau), tsupinières, huttes de
A Rat musqué, ainsi que les dégats éventuels sur les plantations et les fruits.
Et surtout la base de la détermination des traces passent par une connais-
-sance parfaite du Guide des traces d'animaux.
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AVIFAUNE DE LA BAIE DE SOMME ET DE LA PLAINE MARITIME PICARDE par Xavier Commecy et François Sueur Cet ouvrage de 235 pages, comportant plus de BO dessins de Pascal Etienne et plus de 50 Figures, décrit le statut actuel, l'historiqua depuis la deuxième moitié du XIXe siècle, l'importance ges eîfectife et les dates de présence des oiseaux qui fréquentent a ba e de Somme et ses environs. PLAN DE L'DUURAGE : • introduction, esquisses géographique et géomorphologique, présentation botanique, activités humaines et carta de la région couvrant 16 pages ; - statut des espèces avec 195 pages constitue le corps de 1 ouvrage · • essai de sçnthèse, liste systématique, conclusion, observations complémentaires et bibliographie terminent cette avifaune· « zz T — ‘*"`*’*’ ssas se _',,· ànvâëuu È;,...-;> _f l/J- »' .ex;‘:alê·:% ‘ . "" â ·' T î—. `1¤""" "~· " `· `**î ·— "î*‘.` ' ·· ·' _ ;_ - —-J-—_ h' ‘· \·. _·-····•·q»:. .::;*’_·, ——`- ~ BON DE SOUSCRIPTION (à découper et à retourner au G.E.P.O·P., Musée de Picardie BDDDD Amiens) NOM|•••l••t••••••••••••••••••••oPrénDm•••s•••••a••¤¢•••e••••••••• ADRESSECOIOOIOIIOIOIIIIIllIOQIIIOIOIIIIOOGOIOIOOIIBOIOIUOGQI¤o•0• Prix de lancement avant parution (fin 1983) 2 55 F (plus 15 F de frais d envoi . Après publication, cet ouvrage sera disponible au prix de 75 F.
f\ A 22 • • l ’l i A A PICA.R.DIE—NATURE J Je, soussigné (Mr, Mme, Mlle) : ................ ........·... : O©I|O|lI•|••I•••••l••||I•••••lOOl||t|IOlOOI¢lO|O•U ltlllllilllllllllieeulllltllllilllll l••||II|l||•| Désire recevoir PICARDIE-NATURE le guide trimestriel du GEPOP CONDITION D'ABONNEMENT : 10 francs par an ' ' ` §i`vô`u§ âvëfcüaigë Pâdîeësë, `vëuîiïeê ü¤üs`pî·éë:L§eî îoïrë ``'''`' - - - E¤EiE“B°..9·É1'È°È°-‘- ;·;·;·;·;·;·;·;•;·;•;•;·;·;•;•;•;•;•;·;·; ...... f ADHESION AU G·E.P.`0tP: ; Je, soussigé (Mr, Mme, Mlle) : .................. . .... . .... : IOIIOOOOOOIOOUOIOCIOIII©II||OOl••O|O©l•lOI||O|•e•• OltllllllllllllblIOOIOOIIOOOOIOOOOOOIOOOIIUOIll••• Déclare adhérer au G.E.P.©.P. Déclare renouveler mon adhesion au G.E.P.O.P. (barrez la mention inutile) OOOOITIOO OOOHESION = eQ—L1ési22-22£s2&2-êâ.îr= ‘B9%-ÉÈ-ÈÉ-êëÈ-ÈÈ-É` êÈÈɧÈ9È-ÉÉ-§9EÉ?.E§-È..B§·l`ÉÉ£`..ɧ..29.È Les adhésions courent de janvier à décembre; afin de faciliter le travail de secrétariat nous vous serions reconnaissant de bien vou- -1oir régler votre adhésion Ex·rnArrs osa s·rA·rurs ou ca. E. P. 0 P au début de l'aImée‘ '[/Association dite 'Groupc Environnement Protection PLI/j I/OHBRHIX omitusioge en Piwaw lc. is. P. 0. P.) régie par la ma P/.0} //04; 5EmViE‘F7£4C£j de 1901, a pour but de contribuer à l’éducation populaire Jh/· \ u en matière d’étude et de protectionQde la Nature et des ^ ‘^ 1 ’ oiseaux sauvages, et de sauvegarde et d'aménagement 'QCJ É jp e la ‘h _ rationnel de l’environnement et des sites. * T _. i/ î · ‘ ` A Elle se propose de mener toutes actions et interventions [ pour faire respecter les lois et décrets sur les espèces àl, · . R H Pl'U , les périmètres sensibles} la protection de la · A " l L I I '_ Nature, l'urbanisme, dans le cadre fde législation en HQ _ A"-- vigueur'. ·}