Picardie Nature 10
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PICARDIE  
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Il À E U R È
uuur
sur
le guide trimestriel du GEPOP r
N° 70 - JANVIER 1981
Loaa de notae paécédent naméao en voaa invitant â "CONSTRUIRE LE FUTUR", noaa aotti—
citiona ta dynamiqae de voa initiativea paopaea "poaa agia" en 5aveaa de ta paotec—
tion de ta nataae aeton voa compétencea, aeton voa diaponibititéa.
Poaaaaivant cette oaientation, noaa avona paopoaé aax aaaociationa d'étadea et de
paotection de ta nataae, de dé5enae de t'envinonnement, d'écotogie de paaticipen à
cette entaepaiae de paomotion de ta paiae en compte de ta compoaante NATURE dana
t'activité de chacan, comme dana tea déciaiona d’oadae aocio—économiqae tocat, né-
gionat . It a’agiaait en dé5initive de cnéen ane "identité aégionate" de t'appaoche
de ta nataae et de aa paotection dana notae aégion, d'appaendae à ae connaitae entae
gaoapea aoavent ctoiaonnéa,d'échangea tea expéaiencea de ta vie aaaociative, mieax
de ae aegaoapen aaivant t'intéaét comman aatoaa d'an tiea géogaaphiqae, d'actiona oa
de bata identiqaea, de aé5texiona paaattêtea.
Caéea an moyen de R E N C 0 N T R E dea aaaociationa d’étadea et de paotection de ta
nataae, de dégenae de t'enviaonnement et d'écotogie en Picaadie tette a été ta paopo—
aition dea aepaéaentanta da G.E.P.0.P. toaa dea aaaiaea aégionatea de t'écotogie qai
ae aont tenaea a Amiena en novembae deaniea.
Cet appet ambitieux poaa notae aégion a aeça t'aaaentiment dea paaticipanta. Modeate
qaant â aea objecti5a immédiata (ni gédéaation, ni anion...), it doit étne aeça dana
an eapnit de con5iance mataette et de paogaéa da moavement aaaociati5 aégionat de
connaiaaance et de paotection de ta nataae.
Une paochaine aencontae aégionate entae tea di65éaentea aaaociationa oa gaoapea inté-
aeaaéa devaait peamettae â chacan de donnea aa poaition oa aea paopoaitiona comptémen—
tainea â ta cnéation d'ane tette ataactaae qai doit étae avant tout tégéae et n'em-
piétant paa aaa tea compétencea dea aaaociationa-membaea. It conviendaait en paemien
tiea de dévetoppea t’échange d’in5oamation oa d’expéaiencea aécipaoqae; â cette 6in
ta aevae taimeatniette "PICARDIE—ECOLOGIE", déjà inten—aaaociative., poannait devenia
te aappoat comman de cet échange et an moyen paivitégié d'in5onmation.
Ph.D
GROUPE ENVIRONNEMENT - PROTECTION - ORNITHOLOGIE en Picardie - Affilié à la Fédération Française des Sociétés
de Protection de la Nature - Agréé par les Ministères chargés de l'Envir0nnement, de l'Equipement (Loi sur le protection
de le Nature) et de la Jeunesse et des Sports - MUSEE DE PICARDIE · 80000 AMIENS - (C.C.P. LILLE 872.02)
Président : M. Noël RANSON - Directeur de la Publication : M. Yves FLAMENT
Abonnement : 10 fr (somme réduite à 5 fr pour les membres du G.E.P.0.P.I Prix du numéro 3 Ir
Adhésions de soutien : à partir de 50 fr, normale : 25 fr, moins de 16 ans : 10 fr
Dépôt légal : 4ème trimestre 1980 l.S.S.N. 0 182 - 4201

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Le 4 novembre 1979, un habitant de la commune de Boves
près d'Amiens nous faisait parvenir un jeune Héron cendré blessé qu’il
venait de trouver dans la commune près des bords de l’Avre.
L'oiseau souffrait d'une fracture ouverte de l'aile
droite, près de 1'épaule. La plaie mesurait un peu plus de 3 cm de long
et l’hunérus cassé ressortait de 2 cm. Le sang coulait expoore, attestant
que la blessure était récente.
Ramené au Centre de Secours pour oiseaux blessés du
G.E.P.0.P. à Saveuse (cf. le n°6 de Picardie-Nature), l’o:!.seau a été opéré
nous anesthésie générale. L’élast:I.cité relative des tissus encore peu
enflaumés a permis de réduire assez facilement Ja fracture, puis la plaie
fut recousue. La radioscopie pratiquée lors de l' opération a montré l'exis-
·-tance de 2 plombs dans l'aile droite, l’un à l’épaule; l'autre au coude,
preuve formelle que cet oiseau protégé par la loi avait été blessé d’un
coup de fusil de chasse.
Le réveil fut normal et dés le lendemain commençait la
récupération. Toutefois, par sécurité, il lui iut administré un antibiotique
en intramusculaire matin et soir pendant une semaine, une infection osseuse
étant toujours è craindre. Son état, et surtout l'obligation des piqûres
matin et soir, ne permettant pas de le mettre en enclos dehors, il fallut
lui abandonner une pièce entière d’un sous-sol où il resta deux semaines,
grimpant et fientant partout!

3
Il. a été relativement facile de le nourrir de poisson de
mer, de viande et de gardons vivants. Les médicaments, sels de calcium et
vitamines étaient injectées dans le poisson de mer. Mis ensuite en enclos,
ila bien récupéré, demeurant heureusement très craintif mais se promenant
calmement et attrapant lui-même des gardons vivants dans un ba: d' eau amé-
-nagé à cet effet
A plusieurs reprises, et ceci dès le début du mois de
décembre, nous l'avons vu bondir à l m de hauteur. A la mi-décembre, le
pansement enlevé a montré une plaie cicatrisée avec un morceau d’humérus
nécrosé, isolé et rejeté peu à peu vers l’e1ctérieur (preuve d'une mauvaise
réduction de la fracture).
Nous avions déjà observé ce phénomène de rejet chez
X d'autres oiseaux blessés. En effet, lors d'une amputation, ou si la réduc-
‘ -tion d'une fracture ouverte 11'est pas parfaite, le morceau d'os qui
ressort de la peau, meurt. Il s'y produit un anneau de décalcification qui
isole lg partie terminale de 1*oa vivant. La peau forme un bourrelet qui
pousse l’os nécrosé, lequel finit par tomber.
A la fin du mois de décembre, comme le Héron cendré
volait maintenant sur 3 à 1. n., il était temps de le relâcher, ce qui
fut fait le Z. janvier au Ihraiu d' Isle à Saint-Quentin dans l’Aisne.
Cette zone mise en réserve grâce aux efforts de Mr Serge Boutinot con-
-seiller biologiste de l’Aisne, en qui nous avons toute confiance,
constitue en effet un bon biotope pour un Héron cendré.
La remise en liberté après guérison le fut pas spec-
-·tacu1aire du tout. Malade d’une heure de voyage en auto, les plumes
froissées, et surtout trop lourd (car trop bien nourri".): notre proté-
—gé a coxmencé par se promener pendant près d'un quart d'heure avant de
voler maladroitement sur 6 ou 7 m. , ce cpi laisse augurer d'un vol nor-
-mal après un jour ou deux de diète. Ce qui s’est produit d'ai1leurs
le lendemain. Souhaitons lui longue vie!
l’équipe de '3S.0.S. OISEAUX".
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°`¤ F s Le G.E.P.0.P. à La Panne.
Le samedi 27 septembre 1980, plusieurs centaines de protecteurs de '
la Nature belges et français se sont retrouvés à La Panne, à l'appel des ligues de »
Protection des Oiseaux belges et française. ‘
Cette manifestation avait pour but de protester contre la chasse abu-
—sive aux oiseaux migrateurs
Après une marche pacifique sur la frontière franco-belge, une déléga-
-tion composée de membres de différentes sociétés françaises de protection de la
Nature franchissait la frontière afin d’exprhmer ses doléances à un groupe de chas-
-seurs français. Ces derniers regrettaient d*ailleurs amèrement qu’aucun dirigeant
de la Fédération Française de Chasse ne soit présent pour répondre au  protecteurs
de la Nature.
Ies revendications des écologistes belges et frange s sont simples:
- que la France s’aligne, en matière de chasse au gibier
migrateur, sur les lois européennes, en particulier.
- que la date d’ouverture de la chasse au gibier d’eau
soit retardée (au 19 juillet on voit de jeunes canards
et échassiers encore incapables de voler).
— que la chasse de nuit soit supprimée, car elle est source
de nombreuses erreurs de détermination dont sont victimes
les oiseaux protégés par la loi. Cette forme de chasse
n’est d'ailleurs permise que dans certains départements
français par une tolérance qui n’a pas force de loi. De
plus, la présence de fusils 24 heures sur 24 de juillet
à fin février en France, ne permet ni repos ni recherche
de nourriture indispensables aux migrateurs européens.
Les escales françaises sont des plus meurtrières.
e que lg chasse au gibier d’eau soit interdite par temps de
neige ou de grand froid, les oiseaux migrateurs ne pouvant
plus se nourrir. Les massacres de 73 et de 79 ont scan-
-dalisé un certain nombre de chasseurs. ï
- que la chasse soit définitivement fenmée au l5 février, Q
date d'ailleurs reten e pour le Colvert uniquement, afin
de faciliter le retour des oiseaux migrateurs sur leurs
lieux de nidification, et par là même de préserver l’ave-
nir de la chasse.

5
- que le domine public maritime soit mis en réserve car
il constitue la voie de migration préférentielle du gi-
-bier migrateur. Cette nssure est déjà prise en Belgique
et en Hollande. La mise en réserve d'une partie du lit-
-toral picard, entre la Baie de Same et la Baie d’Au-
-thie , faite malgré les protestations véhémentes des
chasseurs locaux; comme le prouve cet article de puisse,
s’avère finalement leur être très profitable!
. LE CBOTOY «
 
’= Aux chasseurs ' '_
de gibier d’ew `_ î
' Une réunion de protestnticn
contre le projet de In mise en ré-
· serve de chasse de le Dlrtie nord
' de Ia buis de Somme. aura heu. _1c
samedi 3 J\1în· à 21 h. a la maine
L.‘Associstion Ptcarde des Chas-
seurs de Gibier d'Esu (Comite de
Defense des C·h¤$seurs). qui s pris
position contre ce projet. convie
ies chasseurs à assister nombreux
à cette réumon.
- que le ncnbre des pièces abattues soit fgéglenenté. Ces
limitations ne sont pas excessives, lesb chasseurs belges
et hollandais s'en accommodent très bien, ayant compris
que sans e].1es la chasse au gibier d’eau se dégraderait
comme se dégrade actue1lenÉ1t en france la chasse en
plaine. Il est d’autent plus normal que les chasseurs
français de gibier d’eau respectent les réglements euro-
-péens, que leur gibier est loin d'8tre français mais
surtout européen. La plus grande partie du gibier d’eau
tué en France pendant l'hiver est née hors de nos fron-
-tiëres. Si 1*Oie cendrée, le Chipeau, le Pilet, le Sif-
-fleur ou le Souchet nichent très occasionnellement en
France, leur aire de nidification noormale se situe en
Ezrope du Nord. Quant aux Pluviers, aux Berges rousses
et à toutes les autres Oies, elles viennent d’mrope
septentrionale .
Dans l’i.ntérêt même des chasseurs de gibier d'eau et pour préserver
l'avenir de cette chasse, puisque le gibier est européen, il faut des réglements
européens.
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LE COMITE /I?',@/*1//l‘9’7'A’/}770/\/` jbl QE/ÉLZE VOL/j PK&7EA/TE /Ej
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Au cours de ses activités qui sont régulièrement pro-
-grammées, le G.E.P.0.P. a souvent présenté des montages de diapositives.
Les sujets présentés au cours de ces dernières années
ont été assez variés: comptes rendus de voyages ornithologiques tant en
France qu'à l’étranger, présentations de l’avifaune en fonction des sai-
-sons ou des milieux, montages divers comme "littoral menacé" ou *Begu—
-tées naturelles de Picardie maritime" que nous présentons encore à di-
-verses occasions lorsqu’on nous en fait la demande.
Un certains nombre de membres du G.E.P.0.P. qui fait
de la diapositive avait participé, il y a déjà quelques années, à la
réalisation d’un montage présentant 1'avifaune picarde, ses milieux, ses
moyens d'étude et techniques d’observation, ainsi que les différentes
actions et activités du G.E.P·0.P.
Actuellement, les diapos constituant ce montage sont
dispersées, étant toutes retournées après quelques projections aux dif-
-férents auteurs.
De nouveau, en 1981, un tel montage est à réaliser,
à réactualiser évide ment en ce qui concerne les activités de l’asso-
-ciation. Avec tous les photographes amateurs du G.E.P.0.P. possédant
des clichés, il possible de constituer un montage (ou plusieurs...) qui
pourrait être présenté çà et là dans la région dans le cadre de certaines
animations (maisons de jeunes, Clubs, établissemexts scolaires, etc...).
Le nom des auteurs figurerait sur le générique de
présentation du montage, des duplicata de diapos seraient tirés afin .
que les propriétaires puissent garder les originaux.
Peur en discuter, pour présenter vos propres diapos,
Régis Delcourt et Yves Flament vous attendent le samedi lg ffüihàr à
lj heures salle de l’Office Culturel place Louis Dewailly à Amiens.

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avec le Collectif régional anti-nucléaire
(compte-rendu de la réunion du 28-11-80)
Lors de cette réunion, on pouvait noter la présence de dif-
-férents mouvements ou associations: LM.R.J .C., Amis de la Terre, section
locale C.F.D.’1'., P.S.U., C.S.C.V., ainsi que le G.E.P.0.P. Cette rencontre
avait pour but d’élaborer une base militante afin, non seulement de divul-
-guer à une plus grande échelle les informations concernant les projets
_ mtcléaires (centrales sur le littoral de la Manche, implantations de lignes
i haute tension, transports de matériaux radioactifs, etc...) mais encore
, de proposer une structure d' étude ayant trait aux énergies nouvelles.
I]. est necessaire de comprendre ce qui ssi dit ici comme un
appel aux membres du groupe. En effet, lors de la dernière assemblée géné-
-rals, il a été décidé d’une ouverture vers l'extérieur. Eh ce sens, chaque
nembre doit susciter des prises de responsabilité afin qu'un mouvement d' ac-
-tion puisse se développer. AGIR, était-il dit, agir d' abord en s’:Lnfomant
autour de nous, dans les mairies, auprès des instances officielles ou orga-
-nismes de tous les projets qui voient le jour actuellement. E1 ce qui con-
-cerne 1'E.D.F. , le nucléaire, toutes les informations recueillies seront
centralisées au collectif qui les diffusera régionalement par l' intermédi-
-aire d’une publication.
L’:Lnstallation de lignes à haute tension dans notre départe-
-ment par exemple va toucher de nombreux agriculteurs et comnmmes rurales,
Pinfomation pourrait constituer une base solide d’études. Des groupes de
soutien ou des noyaux très actifs pourraient ainsi voir le jour et consti-
-tuer une base permanente de lutte contre tout ce qui porte préjudice à
notre environnement
Tous ces moyens d'action (publications, centralisation des in-
-fomations, constitution de groupes d’action, etc...) sont actuellement sur
le point de voir le jour. D’autre part, le Collectif a pris la résolution de
ne pas se cantonner A la critique. E1 prenant exam le sur des dossiers d’étu—
—des déjà réalisés (come le plan 'Alter-Bretagne"î, il compte se pencher
sérieusement sur les problèmes de l' alternative énergétique pour proposer des
solutions qui prendraient en compte tous les besoins des populations en fonc-
· -tion des necessités régionales. Le stade théorique pourrait être ainsi dé-
-passé pour présenter en termes pratiques des moyens de remplacement. Pour
que ce mouvement soit viable, il est necessaire que chacun d’entre nous se
tente concerné: la résignation actuelle se comprend , il est vrai qu’:|.l y a
de quoi décevoir le plu.s acharné des militants quand on constate qu'un mou-
-vement d' opposition aussi bien installé dans la population locale connue à
Chocs ou à Plogoff n’est pas pris en considération face à la déclaration
I d'utilité publ.ique ordonnée par l‘Etat. Pourtant, si l'on ne fait r:|.en.··
’ J •Pe EStBbBD•
- Le Collectif anti.-nucléaire diffusera au cours du mois de février un
document cinématographique sur Plogoff. (précisions dans la presse
locale la semaine précédente).

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    gr _ _,;__ PRATIQUE DE LA Moro
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DE BAIE DE simu:
Dans le n°7 de "Picardie-Nature" d’avri1 1980, nous avions
publié l’arrêté préfectoral du 19 juin 1978 interdisant la circulation des
véhicules et engins à moteur sur le littoral et dans les dunes.
Une pétition à signer réclamait l’appl:I.cation de cet
arrêté, ainsi que le respect de la vocation première des espaces mis en
réserve. le GEPOP demandait surtout qu’un espace réservé soit mis à la dis- l
-position des usagers de la moto en vue d’une pratique dans le respect des
intérêts de chacun. I
Cette pétition, une fois signée, était à renvoyer à Mr le
Sous-Préfet d'Abbeville chargé de 1’ex6cut:Lon de l’arrété en question et nos
remercions ici tous nos membres et amis qui ont répondu à notre appel. (on
peut toujours envoyer cette pétition signée, puisque, comme nous allons le
voir, le problème reste posé) .

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Mais notre action ne s’est pas limitée à cette pétition.
Au cours du mois d’avril des contacts étaient pris avec les responsables de
l’O.S.K.A.M. (Organisation Sportive Karting Auto Moto) de Fort-Mahon qui
organisent chaque année la fameuse ..."ronde des sables", ainsi qu’avec le
président de l’Association de Chasse sur le Domaine Public Marithme de la
Baie d’Authie-Sud. Ces deux associations sont évidemment concernées par les
agissement des pratiquants de la moto sauvage au niveau de la réserve de
Baie de Somme, c’est à dire dans l'espace compris entre La Maye au N.W. du
Crotoy et le sud de la Baie d’Authie.
Fait intéressant donc, puisque chasseurs de gibier d'eau,
pratiquants de la moto et protecteurs de la Nature ont signé le même texte
(reprenant les trois points de la pétition citée plus haut) et ont demandé
un entretien au Sous-Préfet d’Abbeville.
L’entrevue a eu lieu le 14 mai dernier et chacun des trois
pointsfut particulièrement étudié, surtout celui demandant la création d’un
` espace propice è la pratiq  des sports motorisés. Il est bien évident que
. tant que ce terrain n'existera pas, certains pratiquants non inscrits à un
club, peu scrupuleux ou tout simplement ignorant la règlementation, conti-
-nueront d’évoluer dans la réserve. Il avait été d'ail1eurs demandé la mise
en place d’un nombre suffisant de panneaux signalant l’interdiction. Qu’en
est-il aujourd’hui?
A chaque sortie d’observations ornithologiques dans ce
secteur (les membres de la Sectio-Ornitho qui sont souvent sur le terrain
peuvent en témoigner), des motos non im atriculées (ce qui est encore une
infraction, compte-tenu de la cylindrée des engins) sillonnent l'estran = .
sableux et le massif dunaire en bordure, ce qui perturbe evidemment l'avi-
-faune migratrice à la grande joie de certains chasseurs postés à la péri-
-phérie de la réserve. Une exception à ce triste tableau: lors du Week-end
d’initiation à l'ornithologie des 6 et 7 décembre derniers, aucun engin à
moteur n'a été signalé dans le secteur le dimanche entre 10 heures et l5
heures... il faut dire qu’il faisait un froid de canard!
A l’heure actuelle aucun terrain n'a encore été trouvé.
Les pouvoirs publics en laissent la recherche aux clubs motorisés qui doivent
faire des propositions en ce sens. Les pratiquants de sports nautiques, par
exemple, bénéficient de structures aménagées à la charge des collectivités,
co me pour beaucoup d'autres activités sportives. Les pratiquants de la
moto sportive, organisés en clubs uëassigîëtions, n’ont pas tort d'être
considérés comme des parents pauvre ytnn s pouvoirs publics ne s’inté-
-resseront pas aux racines du mal. La solution doit se trouver à ce niveau
et ce n’est pas en pratiquant la politique de l'autruch  ( le sable des
dunes incitant peut-être?..) que les problèmes seront résolus.
Réserve: havre de paix?... Les motos y sont de plus en
plus nombreuses, la ronde des sables de Fort-Mahon, l’enduro du Touquet
incitent de plus en plus d’adeptes à s’entraîner dans le milieu dunaire
si fragile, le survol d'avions à basse altitude, les explosions de munitions
(20 tonnes par moisI...), toutes ces “activités“ perturbuent gravement la
vie sous toutes ses formes tant dans la réserve qme dans la parc ornitho-
-logiquesitué a côté.
4e Une réserve dont l'intérêt international n’est plus à
démontrer, se doit d’être respectée. Il faut que cessent toutes ces agres-
-sions, le GEPOP ne faiblira pas, il s’emploiera une fois encore à faire
respecter "le territoire des autres'%.
¥cf. le mouvement de soutien international au GEPOP contre le projet de
route au travers du massif dunaire du Marquenterre à partir de la
commune de St Quentin en Tourmont.

10
TEXEL, ROUTE    
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Texel, c’est la première île
du chapelet de la mer de Madden _ ______ r ,
au nord d’Amsterdam. D’u.ne su- î f.   ·_ "  I_ â€ânî,i51_g't%g§`râ]ê1gnâ¤ââg1
-perficie de 18.355 ha, on ·; _·;_A· - \i1 oot Iéporté loc:
l’appelle également "l’île aux  
OiS€&`\]_X",C,€St 11116* (168 I‘éS€‘Y'V€S ·`%*"m -.-'. 16 et 17 müi
naturelles parmi les plus im-
-portantes du monde en ce qui Lc prix dg revient ggtugl du
concerne les oiseaux, Plus de voyagé, Suitc aux augmgntgtiong gun-
300 especes y sont signalees, _oooSivéo du prix du carburant, cc B1-
l’¤p1>r¤<=h€ est *·1·€=S ¤iS€e_€*¤ -1118 entre 150 et 200 F.(œ1¤n 16 nom-
nous surprendra en comparaison _bro de participants, mais 15 minhmmn
du comportement des oiseaux sur dlinscriptions g déjà été attcint),
notre littoral livré aux abus
de la chasse au gibier d’eau, Caéct la formula de 1•h5bcr-
Plësîeurî TBSETVGS °“t ete -gement le samedi soir à Texel qui a
crees, l une d elles que nous été rétonuo par lg mcjcritg dc; parti.
visiterons(ou nichent les Spa- _oiPontS (hotel cu camping) _
-tules) est d’un accès très
règlementé et ne peut être vi- Départ dotmicnc la samedi 16
-sitée qu'en nombre limité et moi vcrc 12 h 30 cu 13 ht
en compagnie d’1m garde,
Inscrivez-vous sans tarder à
1’aide du talon détachable ci-dessous.
JS, S°uSSigné(€) M', MI18,   :e«••••••••n••••••••••••••••••
    z gg•|||lIOOOIOIOIOOIOOOOIIOOOIOIOIIIOOCOOIIOOOOOOOIOOOOIQOOO
    IIIOIOOI `
n - de participer au voyage GEPOP du 16 et 17 mai 1981 a TEKEL `
en Hollande ,
- et de réserver ...·· p1ace($)·
- camping
- hébergement à Texel :
-— hotel
à •o•••••••••••••••) la •|••0¤••••¢•|
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0
- Une croix dans cette case vous indique que vous êtes
à jour de votre cotisation pour 1981.
B avo! vous nous avez devancés... d’ai1leurs votre
carte d'adhérent 81 est jointe à ce bulletin.
- la case est vierge : plusieurs solutions vous sont alors
offertes pour regler votre cotisation  ette année.
- vous envoyez un chèque, un mandat au GEPOP
Musée de Picardie en n’oub1iant pas d'1n-
-diquer votre nom et adresse en spécifiant
"cot. 8l", pour les règlements groupés en
famille, il est necessaire de détailler.
- pour économiser le timbre-poste vous portez
votre enveloppe au Musée de Picardie ou vous
la remettez à un membre du C ité que vous
co naissez ou lors de la prochaine activité.
- le Comité se réunissant une fois par mois, le
vendredi soir à 20 h 30 salle de l’0ffice Cul-
-turel place L. Dewailly, les séances étant
ouvertes à tous les membres, vous pouvez donc
y venir porter votre cotisation les: 20 fev,
20 mars, 24 avril...
- enfin, lors de 1’Assemblée Générale annuelle,
vous aurez encore 1’occasion de pouvoir régler
votre cotisation 81.
cotisation normale : 25 F.
cotisation de soutien : à partir de 50 F.
moins de 16 ans : 10 F.
- _— pour régler votre cotisation, vous pouvez utiliser le talon détachable ci-dessous,
    M OOIIIIOOOOOUUIOIOOÈOOIÃIOTZIITUQÉOIÈ -1 ·—-
 : OllllllllltllllllllIIDOIIOOIIIIIIOOIIOlIO|l¢I•OO•Il:::•:
renouvelle mon adhésion au G.E.P.0.P. et verse la somme de ,,,,,:F,
le :
signature :
G.E.P.O.P. C.C.P. Lille 872 - 02 M sée de Picardie.

12
Au Calendner
Dimanche ll janvier :
le matin seulement, initiation à l’ornithologie: les
techniques de l’observation et les principes de la détermina-
-tion des oiseaux hivernant en ville, utilisation de livres
de détermination et de ju elles. Conseils pour le nourrissage
hivernal. Rendez-vous à 9 heures 30 à l’entrée du Parc de la
Madeleine à Amiens rue St bmurice (entrée principale du cime-
-tière)· `
Samedi l4 février : 0
dans le grand amphithéatre de la Faculté des Sciences
rue St Ieu à Amiens, entrée Grande rue de la Veillère en face
ge la salle de sports, à 14 heures 30: ASSEM LEE GENERALE du
·!LP·O.P. """"””""""`
- débats-rencontres sur les grands problèmes ac-
-tuels: les énergies, l’eau, l’aménagement, ls
mouvement écologiq1e, le Parc Naturel Régional,
la chasse, etc...
- rapport moral
- rapport financier
- élection du Comité (+)
— projection de filnm
- table de presse, vente de brochures, d’autocol-
-lants.
- pot de l’amitié
(+) tout membre majeur peut faire acte de candidature: les
demandes sont à faire parvenir au plus le 10 février en écri-
-vmt au Siège Social.  
Dimanche 15 février :
Journée annuelle de la Ligue Française pour la Protec-
-tion des Oiseaux (L.P.O.): ramassage d’oiseaux sur tout le
littoral par petits groupes. Rendez—vous devant la gare de
Noyelles-sur-Mer à 9 heures 30 pour la constitution des équi-
-pes et la répartition par secteurs en voitures particulières.
Le repas tiré du sac pourra être pris au chaud et à l’abri
après le ramassage proprement dit à la Station d’Etudes de
Baie de Somme à St Valéry où auront lieu les déterminations
et le comptage. Possibilité d’observations ornithologiqies
en fin d’après—midi. Pour participer a cette opération, mu-
-nissez-vous de grands sacs plastiques genre sacs a engrais.
9
Samedi 7 et dimanche 8 mars :
9ème Collogge Francoggana d’0rnith0logie .
au grand amphi-théatre du M séum National d’Histoire Natu-
-relle 57 rue Cuvier 75005 Paris.
Nombreuses communications, rencontres avec
d’gutres associations, repas pris en cc mun au restaurant
du Muséum. Pour s’y inscrire, se mettre rapidement en con- _
-tact avec les membres de la "Section-0rnitho" ou écrire
au Siège Social, on peut encore demander directement le
bulletin de participation au C.F.O. M séum d'Histoire Natu-
-relle à Paris.

13
Dgagche 22 mars :
"Le printemps sera-t-il au rendem-vous ‘2" Sortie pédestre
découverte de la nature sur le G.R. 124 entre Bcves et Aîlly-
sur-Noye. Le repas du midi sera tiré du sac à dos, prévoir
de bonnes chaussures de marche,
Départ de Boves à 9 h 30. Rendez-vous è. la gare, un train
partant d'Amiens a 9 h ].l vous y mènera pour 9 h 21. Pour les
voitures, certaines seront conduites jusqulà Ailly-sur—-Noys pour
faciliter le retour. Possibilité de prendre le train à 19 h ].l
à Ailly pour retour à 19 h 30 à Amiens.
du 5 au 20 avril s
'_`—"-__` prêsentativn de l 
` à la Station d’Etudes de la Baie de Somme, villa les lhrtinets
quai Jeanne d'Arc à Saint-Valery=-sna.x-Somme. Entrée libre et
° gratuite, table de presse, vente de brochures, distribution de
tracts, grand choix d'a.utocollants.
Samedi 25 et dimanche 26 avril :
week-end d’:Lnitiat:!.on à l' ornithologie
et à la découverte de la nature en Baie de Somme. Samedi soir
repas et hébergement à la Station d' Etudes de Saint-Valery-·
sur-Some. Rendez-vous le samedi après-midi à 15 heures 30
place des pilotes (en face le casino).
Le samedi : observation, détermination d’o:Lseaux par pe-
-tits groupes guidés. Matériel fourni (jumelles et livres de
détermination), tenue peu voyante recommandée.
Le dimanche z découverte de la Baie de Somme, écologie de
l'estuaire sous la conduite de Mr Francia VIGNON Directeur de
de la Station d'Etudes.
Pour l'hébergement, le nombre de places est limité, il faut
donc réserver en utilisant le coupon détachable. Pour la sortie
du dimanche, on peut se rendre directement à St Valery ( 9 h 30
aux "Oorderies, locaux de la Station où a lieu l'hébergement).
N’oubl:!.es pas : pour le 2d trimestre, les 16 et 17 mai: voyage en Hollande
B. 1'Ile de THE. (voir page spéciale)
HÉ x ••••••••eenee•••ee•ee••¤•~ prénom ‘ eoeeeeeeeeeeooeen
  x O|OlO||CI|IIIIOOOOOIOOOOOIOOIOIOIOIOOOIOOOIOOIOOO
, participera au veek—end d'imit:I.aticn à Pornithologic et à
‘ la découverte de la nature en Baie de Somme les 25 et 26
avril 81 à St Valery-sur-Somme.
0 — le samedi et le dimanche ave
1,hé_œrgm6nt• , c réservation pour
0 - arrivera par ses propres moyens à la
Station
0 - arrivera par le train à Noyelles à...
......:. h ...... et désire être vé-
-hicule(e) jusqu’à la Station.
0 -· le dimanche seulement.

14
  l INQUEIE MAMMIFERE : ;
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W · — " ·' . ' DEMAND MENTS
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. / '· ` l *` `    
La Société Française pour l' '· R2
l'Etude et la Protection des Mammifères _ `
(S.F.E.P.M.) a lancé, avec le concours  
financier du Secrétariat Fanne—Flore,
une enquête sur la répartition des
Mammifères en France
Ce travail, commencé en 1978, aboutira en 1983 è la publication d’un
atlas, comme il en a été publié pour les espèces d’oisea1m nicheurs de France.
Cette cartographie des animaux permettra une meilleure protection de
ces espèces. En effet, grâce è cette étude il sera possible de déterminer
si un secteur géographique doit être conservé tel qu’il se trouve ou s’il
peut supporter des aménagements sans (trop) nuire à la Faune. Grace à oe
travail, chaque protecteur pourra étayer ses arguments pour la défense d’un
site.
Im Picardie, si les cartes I.G.N. au 50 0O0° (choisies comme unités
de travail à l’échelon national) ont été relativement bien prospectées dans
la Somme, il n'en est pas de même pour 1’Aisne et 1’Oise,
11 est donc demandé à cha-
-·que personne désirant partici-
'   j   ` -per è. cette enquête de noter:
 gif] /12  J -.,4 toute espèce de Mammifère qu’il
K/·;f»Q,’¢/4.  0,%%-23 ,;*_îÉ~—·'°· rencontrera avec sa localisation
      ]_a, plus précise possible, la
· ((4     [l}f,fj' ,€f;,_ ' date, les conditions d’observa-
M;   6; î ;,’ " l · -tions (animal vivant, animal Q'
  /,5%,-* V mort, traces, etc...). .
, ,' r' * ',· •
Alf",./f!/`//1%lé;/”,?4*I; `A
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at Raaondin.
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15
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"  .     `_· 1 ‘J• ¢ L la _ I   \`
. J_£5fÉ_;:   -°a     4* lt,.-I·"  ` ` ly] `
              pnpf        · 
  Batik lîhinolottrc
Si vous trouvez des pe-
-lotes de régurgitation de Ha-
. ·     '* -paces vous pouvez les envoyer
É 6  par 1a’poste sous fome de colis
9       (frais cïenvoi renboursés sur
;· ,» / il ~. É ;   ` ÉP    demande ou déposer votre envoi
  tt       ,· au siège social avec votre nom,
Ãi ( /î'£ '(·- `°"( "a.    ( votre adresse et en précisant
· F4? ' fb"   surtout 1’orig:Lne exacte de votre
·· *' " Ã ` ç- récolte. les os qu’elles contien
 2 * -nent, enparticulier les crânes,
_  ’ L,C«·oC· pemettent de cartographier rapidement beaucoup de micranam-
- -mifères.
I
E,.  D'autre part, s’il vous arrive de trouver une Chauve
‘ Souris morte, vous pouvez nous l'envoyer si vous ne pouvez la
 X`. f déterminer avec précision. Après examen, si vous le désirez,
_ · __ elle vous sera bien entendu réexpédiée avec tous les rensei-
-gnements que vous désirerez. Tout envoi: "Section-Ornitholo-
-gique du GEPOP (enquête mammifères) Musée de Picardie, rue
de la République 80 000 Amiens, sera remboursé sur demande.
P. Tri 1 t.
Parmi les ouvrages susceptibles de par- P 6
-faire vos connaissances dans ce domai-
-ne, on peut citer:
-"t·hmmifères d’là1rope" de Leîf
Lyneborg chez F. Nathan dans la
collection les nouveauxguides du
naturaliste. x , _·¤;;>v
-"les Mammifères sauvages d’Europe"   tir.
de R. Hainard (2 tunes) chez De- ];\\ "` ç.'·_ _ . R `_
-]achaux et Niestlé. \ •`·,*»·5·" "’ *'··§LÉ"$ 1
—¢ ‘:‘..·•~·-—·` ·~ -·
-¤1e guide des traces d'anîmaux"de __ §·l;'  
P. Bang et P. Dahlstrün chez Dela ‘_ ·  
chaux et Niestlé   " `x}’~ t —_ "
- ·.. et evidemment, les nombreux ` J
rg, numéros de "la Hulotte" traitant _
, de ce sujet. _ I ‘   belette,
I —   ·.Q_,.-.—   ‘ . Èa§;?(’:‘¢Éfd.l/
    ';îî;;, É    ·* ’“ ’Ã  
on         _','  
. I-, ,.: '*,, -"" . ';·î  },.'
 "-" " ` L Fouine. I ' fl P

16
 
EXTRAITS DES STATUTS DU G. E. P. 0 P.
'L’Association dite 'Groupe Environnement Protection
Ornithologie en Picardie’ (G.E.P.O.P.) régie par la loi
de 1901, a pour but de contribuer à l’éducation populaire
en matière d’étude et de protectionfde la Nature et des
oiseaux sauvages, et de sauvegarde et d'aménagement
rationnel de l’environnement et des sites.
Elle se propose de mener toutes actions et interventions
pour faire respecter les lois et décrets sur les espèces
protégées, les périmètres sensibles,§ la protection de la 1.
Nature, l’urbanisme, dans le cadre fde législation en 6
vigueur'.
AGIR
En patronnant des manifestations de sensibilisation
en formant des propositions concrètes
en intervenant juridiquement contre les délits,
en intervenant auprès des pouvoirs publics et des '
élus locaux
en coopérant avec les mouvements similaires.
Le GEPOP, association ’agréée’ (reconnue par les pouvoirs
publics) veut être non une ’société savante' mais d’abord militante.
C’est pourquoi, l’intérêt que vous pouvez nous marquer doit se
concrétiser dans un engagement. La sympathie pour notre action
ne suffira pas à résoudre les questions et à nous donner du poids.
NOUS N’AVONS QUE LE POUVOIR DE VOTRE ADHESION. .
Conditions d’ndhésion: adhésion normale: 25 francs
adhésion de soutien ; 50 francs
A neeeupm moins de 16 ans ; 10 francs
BULLETIN D’ADHÉSION AU G. E. F'. O. P.
à adresser uu G. LP. 0. P., Musée de Picardie, 80000 AMIENS · II. II. P. Lille 872.02
Je soussigné (e) (M., Mm', M"°) . . . .   .._... .   .._.... -
Profession: _ .. .,.,.,..,,..,,.. .. .....,.   .   . .
Adresse .· .. ...... .. ....,...,.... , . .   ..
donne mon adhésion au G.E. P. O. P. et verse la somme de . . . .. .....
Le . .,...... . ............. . ................... - .......................... . ....... -.--...
Signature, Ԥ
I
 
g` ëîw, r 
s ciiihn IE BON SENS PRES DE CHEZ VOUS.
*· AGR .
I  .   . _ . e}·
Mirage.-.:4 É i ·’•  
. çlhlhi l :r-¢rà;..'€£"- Z _   ·'ïïL".i. hi