L A L E EE E R E L `U LEHESSQN J A J J ¤ sa 1 Nov 86 BIMENS UEL N S 0 M M A I R ‘E EDITORIAL P. 3,4,5,6,7 VIE ASS0CIATIVE 1987 SERA L'ANNEE EUROPEENNE .......... M P. 8 TOURISME COLLOQUE LOISIRS NAUTIQUES ........ P. 8/9 INTERNATIONAL SEE: INTERDICTI0N TOTALE .. . D'UTILISATION D'AMIANTE DANS LA CEE.. P. 9 CHASSE INTERDICTI0N DES PL0MBS DE CHASSE AU DANEMARK ............................. P. 10 FORET LA FORET EST EN DANGER ................ P. 10/11 FAUNE LE PIEGE DE L'INCERTITvDE .............. P. 12,13,14 PARCS NATIONAUX PARCS NATIONAUX FRANCAIS: LES TETES DIALOGUENT ............................... P. 15 DECOUVERTE NATURALISTE EN ALSACE ..... P. 15 ANNONCES P. 15 EN BREF P. 16 FORMATION FORMATION EESPN ........................ P. 16 FORMATION EESPN : STAGE SUR LA FORET P. 18 LES PRCCSAINS EVENEMENTS .................................... P. 17 I CARNET NAISSANCE — MARIAGE ................... P. 18 DERNIERE MINUTE IMPOÈTANT .............................. P. 18 If G îîï I —· · I. MUSÉE de PICARDIE 'Rug dg la È`·?éj#2É·v!ïï·;ar 80000 ÉÃIÉBENS ` I ' ȧ\*È°2É;·€ I ’E·275*§É».>
HALTE AU TRAFIC DES ESPECES tqw vu *""‘—*""‘*‘ï""“"""""""‘” , »`«\}·i'*··`\ .1% .;.511,., M • I|;('·C_Ã'\J' "•I¢";"I'I_ JI? ik ,», ITI"; ` I _· Le trafic des animaux et des plantes ';___‘ ·· est une grave menace pour le patri— ï$;Ã`i ' " ·"`Ã' `I • · ;‘sZ:I 5 ' `Èz _ FL moine naturel que constitue notre T. - .,4.;;- ;Q·~ ·.—— planète. · __j·=., ;" ` `- Q Pour alerter l'opinion publique, la I` II [I `·*·· * _ I ‘ FFSPN, sous l'égide du Ministère 1;; .. _ -4;* _. Bib de l'Environnement, a édité 2 affi— ·_ ’ _ `I ·.»_-É_\ #_i ches : ` ,,| .· _,~_ g ” ,.·—·· · .,.1, lul u ·\`· ~ `I I I. · _‘I—~_I!Ãi5il',- `I I . LI. I- ` _· - Attention visa exigé .‘ ._Tî··-ly' ‘j·\I_ ‘§*`,,ÉÈ:w};“ I - Attention ru ture de stock 'II' 'I "II1? II:-”’°'°°II P .·;‘ ·- · I , · .` \* ·x yp, I" _' ,.`· wwl:¤'“`g.·;¢ ·. .· : · ' -· v¤¤¤"* mv¤‘* ` ’ +Q|1‘ ¢ • ”—=~`°’··’·"` C" '”I' I ' " ‘I: . . lr _ _ _· ai jui ài, Prix unitaire : 20 F (+ 7,10 F de \ [ UI • î'È·;°*·g; _ port) ll · , _ ·· .-, 35 F les 2 (+ 7 10 F port) É II II ` . . ·· I, , s ~ I .:I·· I lmv I * 15 F l'unité à partir de 10 + 21 F de port) 12 F l'unité à partir de 50 ‘ I I I I I (port gratuit) \ _ \l\ ·' I _l:‘ A commander à ; _ \ .È\\\ — _ *' A · FFSPN , "*É·"..~«.-·· Service promotion ~¤·\ · ‘ 57, rue Cuvier _` à /··_ ` · _ ,.. 1 75231 PARIS Cédex 05 ( · qu ·- 1 " ?l I _. ,··i·I ·. I I I` _ I I ugi“*;:“"w,nl" r · Il ·I . ,,:i:‘•"'I°M.¢ . gg ,,,,,4w** . «¤¤f;:::• Attention W I ` e ` é La Lettre du Hérkon est ln publication bimensuelle de la Fédération Française des Sociétés de Protection de la Nature et de I'©ff1ce des Nouvelles Internationales. Directeur de la publication : M. Y. BENASSI Responsables de la publication : I'. I)I·]I,ACROIX et ].P. LE DUC Secrétaire de rédaction : Sophie (`HAl.ANl)lil·Z Secrétariat : _|c··in1n0 LOISIÉAUX Maquette : l·'r6<lériC Impression : Ol·`I·`lCI€ DES NOUVl·2I.l.IâS INTIiRNATl©NI\LlâS — 8, villa des Fleurs — 92600 COURBEVOIE.
EDITORIAL REUSSITE OU COMPROMISSION ? DE L'ERREUR FUNESTE AU SUCCES TOTAL, LA GAMME D'APPRECIATIONS DES PART1C1PANTS AU COLLOQUE DE TOULOUSE SUR "LA PAC (POLITIQUE AGRICOLE COMMUNE), LES RE<s10NS DÉ- FAVORISÉES ET LA PROTECTION DE L'ENVIRONNEMENT" COUVRAIT TOUTES LES NUANCES DE LA COHABITATION A LE COMPRENDS CEUX QUI, INQUIETS OU MEME AMERS, ONT VU INSTALLÉS À LA TRIBUNE DE LEUR COU.OQUE, LES RLPRESENTANTS DE LA PROFESSION AGRICOLE QU'ILS COMBATIENT SOUVENT. LA FEDE, ONT·ILS PENSE, VENDAIT SON ÃME AU DIABLE. C'EST VRAI QU'ELLE A EU DU MAL À NEGOCIER UN EQUILIBRE. IL FAUT POURTANT CONSIDERER QUE C'EST FAIRE PREUVE D'UNE BELLE VITALITE QUE DE POUVOIR AFFRONTER SUR SON TERRAIN UN PARTENAIRE AUSSI PUISSANT. MAIS NOUS AVONS TOUCDURS AFFIRME NOTRE VOCATION À CONVAINCRE PAR LA SOLIDITE DE NOTRE ARGUMENTATION ET PAR L'EXEMPLARITE DE NOTRE EXPERIMENTATION (NOS ACTIONS DE TERRAIN?). IL FALLAIT DONC BIEN UN CDUR EN VENIR À SIASSEOIRÃ LA MEME TABLE POUR FAIRE Ev0LuER LES CHOSES. CE CDUR· LÀ, QUE NOUS SOUHAITIONS, DAVANTAGE ET DEPUIS PLUS LONGTEMPS QUE NOMBRE DE NOS INTERLOCUTEURS. ETAIT ARRIVE A TOULOUSE. NOUS NE SOMMES PAS ASSEZ NAIIFS POUR CROIRE QUE SEULES LA VALIDITE DE NOS ANALYSES ET LA FOI DE CROISES DE NOS MILITANTS ONT CONQIJIS LA PROFESSION. A LA VERITE, C'EST PARCE QU'ELLE A L'EPEE DANS LES REINS QU'ELLE DEVIENT PLUS ATIENTIVE À NOS PROJETS. CETIE EPEE, C'EST LA CRISE DE LA P.A.C QUI SE TRADUIT SOIT PAR LA DEPRISE AGRICOLE ET L'ABANDON CROISSANT D'UNE PARTIE DE L'ESPACE RURAL, SOIT PAR UNE PRESSION EXCESSIVE SUR D'AUTRES PARTIES DE CE MÉME MILIEU. CE SONT DES REALITES QUI RENDENT RECEPTIFS AUX THESES DES AUTRES, ET QUI CONSTITUENT, APPLIQUEES À L'AGRICULTURE, CE QUE DENIS DE ROUGEMONT APPELAIT LA "PEDAGOGIE DES CATASTROPHES". PEUT·ETRE FAUT·IL CHERCHER EGAIEMENT DANS CETTE CRISE L'.L‘).RIGINE DE L'AMBIANCE PARTICULIERE, FAITE DIUNE SORTE DE SOLIDARITE, QUI ENVIRONNAIT LES DEBATS DU COLLOQUE. CONFRONTANT ECHECS, ANALYSES ET ESPOIRS, LES UNS VIVAIENT L'IMPASSE DE LA PAC, LES AUTRES PARLAIENT MEDECINE, MEME SI LES RE· MEDES APPARAISSAIENT À CERTAINS COMME APPROXIMATIFS, INCOMPLETS OU ... AMERS. CE FIL PRECIEUX QUI COURAIT À TRAVERS LES DISCUSSIONS, MEME LES PLUS REFRACTAIRES AU DIALOGUE EN ONT ETE FRAPPES. N'EST.CE PAS L'UN D'ENTRE-EUX QUI DECLARAIT À LA TRIBUNE "(VOIR) DANS CETIE RENCONTRE, UN DIALOGUE FRUCTUEUX SUR DES PROBLEMES D1EE1C1LES, ET QUI PERMET L’ESPOIR". MAIS, ON NE DOIT PAS S'Y TROMPER. LA ROUTE SERA LONGUE POUR ARRIVER À CE NOUVEAU TYPE DE GES· TION DE L'ESPACE ET DES ACTIVITES RURAI£S. BEAUCOUP,EN EFFET'TENTERONT D'Y TRANSFERER, À PEINE CORRI GEES, DES TECHNIQUES ET DES SOLUTIONS DEJÀ CONDAMNABLES AUCDURD'HUI. IL EST PREOCCUPANT, À CET EGARD, QUIUNE DES PLUS LONGUES ANALYSES DU MINISTERE DE L'ENVIRONNEMENT AIT PORTE SUR L'IN`|ERET DES CONCESSIONS DE TERRITOIRES A DES CHASSEURS ETRANGERS PORTEURS DE DEVISES. LE NE SUIS PAS SUR QUE LA PERSPECTIVE DE LA GESTION DU TERRITOIRE RURAL FRANCAIS PAR LA BOURGEOISIE FORTUNEE DE FRANCT Lvttrv du hl;I`l'—¤!·«0IT n° 'TL nov. 86 3
FORT OU HAMBOURG, VERSION MODERNE DES CHASSES ROYAI£S D'ANTAN, NE FASSE GRINCER DES DENTS LES SEULS ECOLOGIST'ES. DE TELLES SOLUTIONS NE SONT EN TOUT CAS PAS DE TAILLE A RESOUDRE LES PROBLEMES QUI SE POSERONT DEMAIN. PAR CONTRE, TOUS LES PROFESSIONNELS, LES PROT'ECT'EURS DE LA NATURE PRÉSENTS A TOULOUSE ONT SU DONNER UNE DIMENSION ORIGlNAI£ A LIENLEU Z CELLE DIUNE AGRICULTURE AUTRE, VIGOUREUSE SANS ETRE AGRESSIVE, EXTENSIVE AVEC DISCERNEMENT, VOUEE A LA QUALITE, OUVERTE SUR LES ACTIVITES NON AGRICOLES, UNE ÉNORME MUTATION A ASSUMER. IL NOUS SEMBLE DE PLUS QUIELLE NE POURRA SE FAIRE QUE SI ELLE EST SOUT'ENUE PAR UN CHANGEMENT DIETAT DIESPRIT DU RESTE DE LA POPULATION C'EST·A·DIRE DES CITADINS' VIS A .VIS DE LA QUESTION RURAI£. PLUS QUE JAMAIS, LA LECTURE "ÉCOLOGIQUE" DE LA RÉALITÉ DE NOS PAYS RAPPELLE QUE LION NE RÉSOUDRA RIEN EN SAUCISSONNANT LES PROBLEMES ; IL FAUDRA TOUT MENER DE FRONT. CIEST CELA AUSSI QUIA SOULIGNÉ LE COLLOQUE DE IOUIDUSE. AVOIR CONCLU UNE LONGUE PERIODE DIINTERROGATION, AVOIR OUVERT LE DIALOGUE ENTRE DE NOMBREUX POINTS DE VUE, AVOIR PRÉSENTE DE LARGES FAISCEAUX DIALTERNATIVES CRÉDIBLES, VOILA LES MÉRIT'ES DE CETTE MANIFESTATION. A CEUX QUI L'ONT PRÉPARÉE, PORTÉE A BOUT DE BRAS, RÉALISEE, NOUS ADRESSONS ICI, AU NOM DE TOUS LES MEMBRES DE LA LES PLUS CHAI£UREUX REMERCIEMENTS. PIERRE DELACROIX PRÉSIDENT DE LA FFSPN u+u+mw«·«·«+«··¤··¤¤·¤~·¤·a+a+·¤·+œa+«·-ns·¤¢+++ PREMIERES IMPRESSIONS DES ORGANISATEURS DU COLLOQUE DE TOULOUSE LA A CREE DES RÉSEAUX SPÉCIALISÉS, A LA FOIS POUR DÉFINIR SA POLITIQUE ET POUR DISCUT'ER AVEC LES PROFESSIONS CONCERNEES. CE Fur LE CAS nu RÉSEAU "A<sR1cuLTuRE", cREE EN 1983, QUI A FONCTIONNÉ sun L’ENsEMBLE nu TERRI- TOIRE POUR ABOUTIR À LA PUBLICATION DE LIOUVRAGE "AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT" QUI VIENT DE PA· RAITRE. IL EST CERT'ES FONDAMENTAL DE BIEN SE DÉT'ERMINER PAR RAPPORT A UN SULET, SURTOUT SIIL EST VAST'E COMME "L'AGRICULTURE", PUIS DE S'EXPRIMER,MAIS, LORSQUE CE STADE EST ATTEINT, IL FAUT LE DEPASSER RAPIDEMENT. IL FAUT SIOUVRIR SUR LIEXTÉRIEUR SOUS PEINE DE TOURNB2. EN ROND ENTRE GENS CONVAINCUS, SITUATION CONFORTABLE POUR LIESPRIT, MAIS STERILE LES DEMI*MESURES SONT NEFAST'ES, IL FAUT ALLER AU COEUR DU DÉBAT. Lettre du hérisson n° 54 - nov 86 L}
CIEST CE QUE NOUS AVONS FAIT EN MONTANT PIECE PAR PIECE, PENDANT DEUX ANS, LE COU.OQUE DE TOULOUSE. UN PARI ONT PENSE CERTAINS ; UNE CERTITUDE POUR NOUS DE NOUS PLACER EXACTEMENT SUR LE TERRAIN VOULU, AVEC LES QUESTIONS DIACTUALITE, AVEC LES PARTENAIRES QUI SONT LES AUTEURS DE LA POLITIQUE AGRICOLE ET LES ACTEURS QUI LIEXERCENT. LE succEs DU COLLOQUE A PROUVE QUE NOUS AVIONS FAIT LE BON CHOIX ET LES PARTICIPANTS QUI ONT FAIT VIVRE CES DEUX LDURNEES ONT BIEN RESSENTI LIENEEU DE LA PARTIE. COMMENT IMAGINER, POUR UN CERTAIN NOMBRE DE NOS MILITANTS, LA POSSIBILITE DIUN DEBAT QUI LES ASSOCIERAIT,DANS L'UNIVERSITE DES SCIENCES SOCIAIES DE TOUIDUSE, A LEURS HABITUELS ADVERSAIRES DE TERRAIN T MAIS COMMENT IMAGINER, RECIPROQUEMENT, LE CHOC RESSENTI PAR CERTAINS AUTRES QUI VOYAIENT SUR LE PROGRAMME, FIGURER LEURS ORGANISATIONS PROFESSIONNELLES SOUS LA BANNIERE DE LA T ON NE SAURAIT PRETENDRE QUE CES MANIFESTATIONS DE BONNE VOLONTE FURENT ACQUISES SPONTANEMENT. POUR LES ORGANISATEURS DU COLLOQUE, PAS DE SURPRISE, LES DISCUSSIONS ONT ETE LONGUES, LES NEGOCIAT TIONS NOMBREUSES, BEAUCOUP DE PATIENCE A ETE DEPENSEE, DE PART ET DIAUTRE DOAILLEURS. NIOUBLIONS PAS, AUSSI, QUE LES MINISTERES ONT CHANGE DIEQUIPE EN MARS ET QUE BIEN DES DEMARCHES SUPPLE MENTAIRES EN ONT DECOULE, QUE LE CONSEIL REGIONAL DE MIDI PYRENEES A CHANGE TOTAIEMENT ET QUIIL A FALLU REPARTIR À ZERO POUR LES AIDES FINANCIERES EN ATTENDANT DEUX MOIS POUR QUE LES SERVICES SE METTENT EN PLACE. HEUREUSEMENT, NOS PARTENAIRES EUROPEENS ETAIENT STABLES T LEUR RECONFORT MORAL NOUS A TOUEDURS ETE PRECIEUX, ET LEUR SOUTIEN FINANCIER ACQUIS. CEUX QUI NOUS ONT FAIT LIAMITIE DE VENIR AU COLLOQUE DE TOULOUSE ONT PU ETRE SURPRIS DE LIAFFLUEN CE LORS DE LIOUVERTURE, LE JEUDI 16 AU MATIN. MAIS TOUT A BIEN FONCTIONNE, COMME CELA SE DOIT DANS UN COL|.OQUE EUROPEEN DE BONNE TENUE, ET CETE DEMONSTRATION PROUVE QUE LES REPRESENTANTS DE LA FFSPN SONT CAPABLES DIORGANISER DE 1ELs COU.OQUES DONT ON NOUS A , DIAILLEURS, DEMANDE LA RET CETTE DE LA REUSSITE. CROYEZTMOI 1 DU TRAVAIL, BEAUCOUP DE TRAVAIL PRÉPARATOIRE, BEAUCOUP DE RELATIONS PERSONNELLES ET DES MOYENS, VOILÀ LA REPONSE. SIIL Y AVAIT FOULE A LIOUVERTURE, NOUS NIETIONS PAS TROP, DES 3 ORGANISATEURS, RENFORCES DE il BENEVOLES POUR EN ASSURER LIORDRE. LES LI INTERPRETES ETAIENT PRESENTES, LES il TECHNICIENS AUDIOT VISUELS (CABINES EN SIMULTANE, ENREGISTREMENT, MATERIEL DES SALLES DE COMMISSION), LE PHOTOGRAPHE DE SERVICE. RIEN NE MANQUAIT... QUE LE PRESIDENT DE LA SEANCE INTRODUCTIVE QUI FUT REMPLACE PAR GERMAINE RICOU, AU DERNIER MOMENT. LA SEANCE INTRODUCTIVE, DE 9 H 30 A 12 H 15 (l/il DIHEURE GAGNE) A ETE DYNAMIQUE, ET NON PERDUE DANS LES DISCOURS HABITUELS. CIEST NOTRE PRESIDENT DIHONNEUR, M. F. RAMADE, Gui 1.'A OUVERTE, Lcttrc du hôrnsson n° Sl, — nov 86 5
SUIVI DE M. NUNGESSER, DRAF DE MIDI PYRÉNÉES. LE MINISTRE DE LIENVIRONNEMENT EST, ALORS, ARRIVÉ AVEC LE PRÉFET DE RÉGION ET D. BAUDIS, PRÉSIDENT DU CONSEIL RÉGIONAL. APRES LEURS INTERVENTIONS, PLACE AUX REPRÉSENTANTS EL1R0PEENS, SUIVANT LE PROGRAMME : BEE, PARLEMENT EUROPÉEN, CEE. ENFIN, LE COLLOQUE A ETE INTR0DL1IT PAR J.C. LEFEUVRE, AVEC SON BRIO HABITUEL. CETTE BRILLANTE TRIBUNE A BEAUCOUP MOBILISÉ LIATTENTION. A ÉTÉ SUIVIE, LIAPRÈS-MIDI ET LE LEN- DEMAIN MATIN, PAR LES TRAVAUX EN COMMISSIONS, RÉPARTIS DANS 3 SALLES. ILS ONT RASSEMBLÉ UN PUBLIC DENSE, LA DIMENSION DES LDCAUX ÉTANT LIMIT'E, ET ILS ONT ÉTÉ TRES ANIMÉS. LES PRÉSIDENTS ET RAPPORT'EURS (CF PROGRAMME) AVAIENT LA LDURDE TÃCHE DE FAIRE INTERVENIR AUT'EURS DE COMMUNICA- TIONS, MAIS DANS UN MINIMUM DE T'EMPS AFIN DE FAVORISER LES DÉBATS ET DIABOUTIR A LA RÉDACTION DE PROPOSITIONS CONCRETES. ` SONT-ILS PARVENUS A BIEN EXPRIMER LA RICHESSE DE LIENSEMBLE, TOUT EN ÉTANT RÉELLEMENT CONCRETS ET EN DÉPASSANT LE STADE DES CONSTATS QUI EST TROP SOUVENT LE BUTOIR DES INTERVENANTS? LE DÉPOUIL LEMENT DES CASSETI'ES NOUS LE DIRA CAR, POUR LE MOMENT, LES ORGANISAT'EURS VOUÉS AUX TÃCHES MATÉ- RIELLES, N'ONT PU SE FAIRE UNE OPINION PAR EUX-MEMES. IL LEUR RESTE, AUSSI, A RÉCUPÉRER LES COMP- T'ES-RENDUS DE TOUTES LES SESSIONS, ÉTABLIS PAR 15 ELEVES DE LIENSA TOUIDUSE, ET CEUX DES RAPPOR- T'EURS DES COMMISSIONS. LE MIXAGE DE LIENSEMBLE DEMANDERA UN CERTAIN T'EMPS AINSI QUE L'INSERTION DES DÉBATS ENTRE LES COMMUNICATIONS POUR LA PRÉPARATION DES ACTES DU COLLOQUE ET SANS DOUT'E, UNE RÉDACTION PLUS PRÉ- CISE DES PROPOSITIONS CONCLUSIVES AVANT LEUR TRANSMISSION AUX MINISTERES, Ã LA ET AUX ORGA- NISATIONS PROFESSIONNELLES AGRICOLES. LEURS REPRÉSENTANTS PARTICIPAIENT A LA TRIBUNE DE LA SÉANCE PIENIERE CONCLUSIVE. LE MINISTRE DE L'AGRICULTURE ETAIT REPRESENTE PAR SON CONSEILLER, M. VAN HAECKE, DONT LE DISCOURS NE MANQUERA PAS DIINTÉRESSER NOS ASSOCIATIONS PAR LES OPTIONS QUIIL A ENONcEES. LA FNSEA SIESEAIT A LA TRIBUNE, EN LA PERSONNE DE SON PRÉSIDENT, M. LACOMBE, QUE NOUS ÉTIONS A|.LÉS VOIR DANS SA FERME DE LIAVEYRON, ET QUI A HAUT'EMENT RÉAFFIRMÉ SON SOUCI D'É- VIT'ER LA DÉSERTIFICATION DES CAMPAGNES EN RECONNAISSANT A LIAGRICULTURE UN AUTRE ROLE QUE LA PRO- DUCTION. UN ROLE DE SERVICE, PAR EXEMPLE, MAIS TOUT EST DANS LES PRATIQUES A METTRE EN OEUVRE. CIEST LE SENS QUI A DOMINÉ LES DÉBATS I LA RÉFORME DE LA P.A.C. DOIT ALLER DANS LE SENS DE LA RÉGIONALI- SATION, AU LIEU DE LIUNIFORMISATION QUI LIA MARQUÉE, DANS LE SENS DE LIENTRETIEN DU TERRITOIRE COMPATIBLE AVEC LA PROT'ECTION DE LA NATURE, VERS DE NOUVEAUX MODES DIAMÉNAGEMENT, ELLE DOIT AD- METTRE LIEXTENSIFICATION EN MATIERE DE PRODUCTION ET REVENIR AU CONCEPT DE QUALITÉ. I.<*|tr·0 (III |IôrIs.·.0I1 n" UA nov 8(u Q
UN ESPRIT NOUVEAU A IMPRÉGNE TOUTES CES RÉFLEXIONS, C'EST POURQUOI UNE TELLE RÉUNION ÉTAIT POSSI· BLE, ET IL A INSPIRÉ A LIUN DES PRINCIPAUX REPRÉSENTANTS DE LA FNSEA LE MOT DE LA FIN : ”AL1.DL1R- D'HUI MARQUE UNE RÉVOLUTION DANS NOS MODES DE RELATION ? AU·DELÀ DE TOUS CES ÉCHANGES, ET DES SUITES À PLUS LONG TERME DU COLLOQUE, SOULIGNONS ENCORE : .L'INTÉRESSANTE PARTICIPATION DES EUROPÉENS, NOTAMMENT ESPAGNOLS, ANGLAIS ET BELGES, LE MINISTRE DE L'ENVIRONNEMENT ESPAGNOL AYANT ENVOYÉ SON REPRÉSENTANT PERSONNEL . LA FORTE CONTRIBUTION DU CONSEIL RÉGIONAL QUI NOUS A TOUS RECUS EN SON HOTEL, LE LEUDI SOIR, M. D. BAUDIS ETANT PERSONNELLEMENT PRÉSENT, - . L'AIDE QUE SOLAGR0 NOUS A APPORTÉE, NOTAMMENT POUR L'ORGANISATION D'UNE RÉCEPTION GENÉRAI£ APER1T1vE A LIUNIVERSITÉ, AVEC LE PRÉSIDENT, . L'INTÉRÉT DE L'EXCURSION DU SAMEDI DANS LE LOT OU 70 PARTICIPANTS, AUXQUELS S'ÉTAIENT .DINTS 30 AGRONOMES DE MIDI PYRÉNÉES ONT PU APPRÉCIER LES PAYSAGES DES CAUSSES ET LEUR AGRICULTURE, LA GASTRONOMIE DU QUERCY ET UNE RÉCEPTION A CAHORS PAR M. M. FAURE, EN SON HOTEL DE VILLE. A BIENTOT LA SUITE. (ÃERMAINL ET GlSÈLE·EDMÉE RICOU, CHARLES TOUZAN 'P O ../ I? *?··· C. î Oë-O ' \ ?@ si . ès 2:*. • cà ..... `M à ' 1 G Ea Lettre du hénsson n° 5.4 — nov 86 Y
Tous les autres mouvements (culturel, symltcnl, politique,... protection de la nature) perdent 1987 SERA L’ANNEE EUROPEENNE DE L'ENVIRONNE ds 1 à 3 i>¤i¤tS: le plus touché est œiui de la protection cle la nature qui en 4 ang perd ' la moitié de ses effectifs : 4% en 1978 et Seuc lement 2% en 1984. M Dans son cadre, votre association va certaine- 2 : , . |)ur ! dur ! .-· .. 2 ment realiser de nombreuses manifestations de ` ,; un sensibilisation du public à la protection de l'en vironnement et de la nature. Pour vous aider Qi ¤",%1_:y9 ‘*2 à leur mise en oeuvre, la FFSPN organise À "‘* ` un stage sur le thème "concevoir, réaliser, lan- C 29 W 05 cer, évaluer une action de communication". ly _ ü`,) · -' _! 5M ll aura lieu : levs 22, 23 novembre 86 à 6} x` ST Paix (95) à 30 mn de Parts. ‘*^^ , ‘*» 4 ._ vt! yg k \ . Il sera animé par les spécialistes de communi- M\L"" ·??> " Mm" cation : Manon ROMIÉRIO, association COMPACT, spécialisée en communication à l'environnement et cle Brnno LEFEUVRE : étude et planification de la communication. La lère journée sera consacrée à l'apprentis- sage des techniques et des outils indispensa- bles à la réalisation d'une manifestation. 5 _ _ UN succès POUR LES PROTECTEURS DE LA NATURE. La 2e journée - à leur application dans le ca- dre de 3 ateliers. Grands utilisateurs de la nature, les milieux PRIX du tourisme et des loisirs ne sont pourtant pas ceux qui la respectent le plus. - Adhérents à une association de la FFSPN, Per- sonnel de l'Etat, DRAF : 150,00 F Une certaine prise de conscience apparaît cepen- - autres : 800,00 F dant : un signe en est, par exemple, la "cigo- gne cle cristal FNOTSl-FI·`SPN". Nombre de places limité à 18 personnes Ainsi, le colloque "Loisirs nautiques" qui s'est i déroulé à Besançon les 10-12 octobre 86, a ras- lNSCRlVEZ- VOUS RAPlDEMENT OU PENSEL A Y semblé des représentants de TOUS les organismes lNSCRlRE VOS PERMANENTS. concernés (pêcheurs, canoéistes, riverains, in- dustriels, skieurs nautiques, élus, administra- POUR QUI SONNE LE GI-AS ? tions proâectjeurs de la nature...). Trois thèmes t ' ' : DE 1978 â 1984, LA VIE ASSOCIATIVE A FORTE`- on Etc a Or es MENT EVOLUE : C'ES’I' CE QUE PROUVENT LES I . .. t. ·. · , ;_ . RESULTATS U·UUE 1NTE1«·ESSANTE ENQUETE UU étoîcsE'§§§eï,§°îS$;?j1iq"1îi' l°” ‘”pE°” ‘“°'°î·’·"1“°* CREDOC. q ' _ _ _ _ ll faut noter que l'on a eu à traiter, pour un D abord: la PVQPOFUOD ds I? P°P‘·‘1au°“ frapçalî tiers du temps, d'écologie ,et non simplement se adherânt a une association est en baisse. dwnvîronnement (Cela est dû à Vmfluence d â2% Qn C°Utœ près ds la Tomé au début P. MEGNlN, président de notre fédération dépar-E C nous ‘°“°nm°· telmentîled dq Doubs et à B. PATlN, secrétaire ' 'A.F. . . ; ' " Cette baisse générale ne concerne pas les asso- âînî? BEÉGELIN laâjoimr?;peÈ1C;î_Ea\àîS1GèÃYrO1E ciations sportives. l8% y adhèrent en 1984 contre Hu, Saône et initiateur du met) Donc braî/n 15% en 1978, soit un gain cle 3 points... mais aux Organisateurs E P J ` ' O cela concerne surtout les sports individuels ; c'est le seul mouvement en progression; cela se ressent nettement sur le terrain où la deman- Plug intéregnt encore et que ees projets ont CIE En activité de "L0î5ïF5 et TOUFTSNE CIE NH- été effectivement concrétisés : on a tant parlé [UFE" crée UNE pression En fOI`T.E croissance. d'@nvi_[·Onngmgn[ na[urg]_' le premier jour, qu'j_]_ a presque fallu rappeler que d'autres thèmes Le ITIOUVGITICHT. de (lêt-C!1$|.? des CO!1SOIT|IT|BT.EUI`S et r@5[3i_@n[ à [[·aj_[g[·_ usagers stagne à 2% cle la population. La 2e journée a été consacrée aux travaux des commissions. La commission "Ecologie" était con- fiée à notre Fédé et à l'A.F.l.E. Voici les ré- sultats qu'elle a présentés en séance plénière. Lettre du hérisson n° 54 - nov 86 8
"M. DE MALAFOSSE a bien stigmatisé notre indi- C°nSICIEFEnï QUE IE gE5î10n CIE notre IEFFIIOIFE vidualisme en notant qu'ils'exacerbait au con- nE ,PEUt EIFE SECIEFISE? OU CIECOUPEE ,CIE Fn6nIEFE tact de la nature. Ce fut, en effet, la premiere EFPIIFEIFE EI <î¤11 S EnIEnCIFE E IECIIEIIE CIE dt,-fteulte que nous avons dû surmOuter_ l'ecosystème, c'est à dire du bassin versant pour le milieu aquatique, les participants au Nous y sommes cependant parvenus en nous C°ll°‘«lUE HI-OISIFS nâUIIQUE5"· qui 5`E5î, îE,f1U à accordant sur notre responsabilité propre dans BESANCON IES, IO EI 11 °Cl°I>FE 86· FEUnIS En ta deeradatton tnstdteuse mats progressive du assemblee pleniere demandent solennellement a milieu aquatique. Cette dégradation quasi gé- IOUIES IES Instances responsables de Faménage- nerate fut d·attteu,.s le premier Constat dut ment du territoire, (Etat, regions, departements, fit Vummtmtte, communes) concernees et intercssees de mettre en place des expériences pilotes de gestion du Nous savons, en effet, qu'un tourisme ou des CYCIE CIE IIEEU dans Son EnSElnI>IE· activités sportives de qualité ne peuvent être _ , _ raisonnablement pratiqués dans un milieu mal- Motwn nue Concernant la reglementatmn ` d' d'. ll ' a ere ue certaine , . . , Sîgàdgu Vitîîraqît putslsg utttsïslsr sels égouts à Considerant que les phosphates sont a l heure â ft s tourism aes actuelle l'une des substances dont les effets se n q ' dans les milieux aquatiques sont les plus né- fastes et que par ailleurs son utilisation n'est plus indispensable , les participants au colloque 3 points sont à deeaeer des debats, "Loisirs nautiques" qui s'est tenu à BESANCON, les 10 et ll octobre 86, réunis en assemblée 1/ NECESSITE D•UNE EDUCATION, D¤UNE ]NI7©R_ plénière ClEITiafIClE!1ï. SOlET1!1EllEITiET1ï. à toutes les MATION ET D'UNR SENSIBILISATION instances responsables CIIOEUVFEI`, par voie de réglementation si nécessaire, pour l'arrêt rapide 2/ GESTION de l'utilisation des agents phosphatés notamment dans tous les produits d'entretien. "La Commission a été unanime pour reconnaître que cette gestion ne peut être concevable qu'à la condition expresse de s'interesser d'abord Gilles BENEST au milieu, c'est I1 dire Zi l'Ecosystème et non aux usages et aux usagers. Ce sont les activités agricoles, industrielles, les activités domestiques qui sont toutes de grandes consommatrices d'eau. Elles exigent aussi de l'eau de bonne qualité (eau potable par exemple) tout en participant à sa dégrada- mon. BEE : INTERDICTION TOTALE D’UTILISATION . . , ,_ O’AMIANTE DANS LA COMMUNAUTE EUROPEENNE Ainsi un rapport recent montre que dans lhst de la France, 40% des eaux reputees potabtes LF BEE, BASE A BRUXELLES ET QUI RASSEMBLE sont en realite impropres a ta Consommation--, LES 75 PRINCIPÀLES ORGANISATION ENVIRONNE- MENTALES ISSUES DES 12 ETATS MEMBRES DE LA CEE, A DEMANDE LE 22 SEPTEMBRE 1986, L'IN— 3/ LA REGLEMENTATION TERDICTION TOTALE DE L'UTILISATION DE L'A— MIANTE AU SEIN DE LA COMMUNAUTE EUROPEENNE. La Commission "aspects Ecologiques" a donc presente les 3 motmns Suwlmtcs l Selon le Blîli, l'amianie est non dégradable et Motion n°l concernant l'éducation. Éënîâgfstqîttedîjrss sêîurlïîgjlœ ou ll n sxlsœ pas Considérant que le maintien d'un environnement II exlste• en °_“tt«e• des lmssllsllltesiele t«empla' de duattte tant pour nos Contemporains que cement de l'amiante, le seul inconvenient etant pour tee eenerattons futures, passe par la eon_ que ces possibilités sont parfois onéreuses. Mais naissance cles phénomènes biologiques qui la sl l'°n tlent e°mPt,e eles e°“ts întralnes pâte régissent, l,es participants au colloque "Loi— les elemmages ele lamlente sur a sante le etre nauttqueen qui Suest tenu à BESANCON, les SO!1,ç)€[[`aC[lO!1 a SON U[ll.lSaT.lOT1) aT.0I`S CES ROS- lO Cl ll octobre 86, réunis en assemblée plénière Slbllltes CIE rechange apparaissent comme reel- demanclent solennellement à toutes les personnes lement rentables- responsables de l'Education en France (Education , _ _ Nationale, Agriculture, jeunesse et Sports, Tou- le Ben a dene demande a la C_e:,,mmlssl°n E*¥;î· risme .... ), une prise en compte réelle dans les peenne de Ptesentete Is plus rapt ement pessl e programmes d'enseignemeni·, des connaissances etes pt`°p°sltl°ns aux 1¤§t¤ri9·=S_d·= la Ces Pour relatives nu fonctionnemenl des écosystèmes notam lnterellre etfeetlvement l ut,lllsatl°n de l 'lmldnte ment ,,,l,,d,,,tn,,_,, au sein (le la Communaute Europeenne. Le Bl·,l·. " considere également, qu'à l'exemple de la Bel- Motion n"2 concernant la gestion de l'Environ— gltlue et des Etats Unls• ,la de°°“_ta"]‘natl°n ele nement et de la Nature l'amiante contenant des dechets doit etre appli- quée dans une large mesure. Lettre du hérisson n° 54 —· nov 86 9
LA FORET EST EN DANGER, A NOUS DE LA INTERDICTION DES PLOMBS DE CHASSE AU pR()·[EGER DANEMARK : UNE MESURE EXEMPLAIRE. De uis le ler août 1986, l'emploi de plombs de VOICI LE COMMUNIQUE QUE LA FFSPN A DIFFUSE chgsse est interdit sur les sites danois de la LE 24 OCTOBRE CONCERNANT L'OPERATION FORET Convention de Ramsar (cela concerne 26 sites QUE MENE LE MINISTERE DE L'ENVIRONNEMENT couvrant 593.000 hectares, de sorte que cette PENDANT LES VACANCES DE LA TOUSSAINT. interdiction s'étend à une vaste surface). Des l t · · U l munitions non toxiques pourront être utilisées La Federation Française des Societes de Protec- dans les zones oula chasse est autorisée. tion de la nature ü déddé de S'üSS0Cï€F de manière active à l'opération la forêt en danger, C'est le premier exemple en Europe de mesure à ¤0U5 de la protéger (27 au 31 octobre pro- législative contre la pollution par les plombs Chültï dënî le Midi) engagee par le Ministere de chasse, alors qu'en Amérique du Nord ces <1¤1E¤v1r¤¤¤¤m¤¤t· · ‘ ' ' ‘ d't d ' lusieurs gmnèëonsîlr cdr; Sîîs ï;§Crifîqî1Se5_ Epms P La FFSPN est consciente du rôle social de tout nn premier plan que peut jouer la forêt méditerra- S ce _ BRITISH B1R©5_ Sept 86 néenne, également de sa vulnérabilité. La pré- Our ' vention des incendies, l'entretien des sous-bois, 1.1 régénération font partie des principaux pro- blèmes E1 résoudre. La mise en place d'un système éducatif (docu- mentation enquêtes, publications), la sensibili- sation du grand public peuvent concourir lar- gement à la protection de la forêt. Des associations membres de la FFSPN, telles que la Société de Protection de la Nature du Languedoc Roussillon, le Groupe de Recherche et d'1nformation sur les Vertébrés (GRIVE) de l'Hérault ou encore les écologistes de Leu- zière proposent durant cette semaine de la fo- rêt différentes animations. En particulier, trois soirées seront organisées: - lère soirée consistera en une information sur la forêt méditerranéenne, <^^ "*^’)3 ( q TD - 2e soirée en une projection d'un film sur le 6-`·]_ ëq \` 2) milieu naturel, \ ‘· B 30 soirée en une présentation des oiseaux mé- Qa \_` _ (IIî(`|`T`«iII(:CIIS. \·»\) N De plus, une centaine de jeunes bénévoles des (~ associations viendront se joindre aux équipes ah déjà constituées afin de participer également _ 7 aux travaux de débroussaillage tout en assurant une initiation à la protection de la nature. qs·•'\.g r \. S, w«v>'“Q><»<«»<>¤'°’ U r Q C a ____...·- é.! 4% 6 ‘^··""\\« - w¤É’L""“"’*·—- we un A/%~^"7·Lw-7 VLL\IW»¢·· gg -n`/Q Qr Lettre du hérisson n° 54 - nov 86 lO
4% /y/4? Vf/, $40 Q 4> Q <" J`; ...ï..î. . Qc Y J /0 · \· 5, (» 4,9 /.·.,_r_ , (04/ ( —_ sïwdl} QPOF \ . Q` ' ] r U [ ¢ ·e¢¢<xye m/Je/xa ”’%y I CI .97ZO/ZJLELLI" [8 du ïd/' / 7//;«..··£ ju,. Qpw ,.<.LE,..¤L;¤ .9% J;/q,¢__» . 2,.4 /à /Ãz.»,£Ã' ju 9%.wÉA ¢...f· f A;} É'\»j¤Ã--· <. c2. /Là-— 4*** ,.4 AL., A A L ,;_¢·.,·.£.I CQ-tx~«¤...S<:·.··-· yi. Ã.! Au/Bxlx ¤·%.·····<·.- â.«._g£,·.p%* ,/J"}! /1..-. 'Z·~.—0»."n/A~.¢·-Ji `zi ..>...\ 2û.·...«-A /·~·/?,«t··/[a·¢···.JL‘ . I ·~ Qùgf `A:F>‘ MESSAGE IMPERIAL A MONSIEUR LE PREFET DU VAR J'APPRENDS QUE DIVERS INCENDIES om EcLA1E oms LA EoRET ou oEPAR— EMENT nom JE vous AI œMExE L'A¤Mm1sTRATxoM. .E vous ORDONNE DE FAIRE EusxL1.Er< sun LES LIEUX DE 1.EuR EoREAxT LES moxvxous coMvA1Mcus DE LES Avom AILUMÉS· Au suRPLus, s'n.s SE RENouvELAxEMT. IE VEILLERAI A vous DONNER un REMPLACANT. Lettre du hérisson n° 54 — nov 86 1]. NAPOLEON
LE PIEGE DE L'INCERTITUDE LE MINISTERE DE L'ENVIRONNEMENT A ORGANISE EN SEPTEMBRE UN CONCOURS QUI VISE A RASSEMBLER DES PROJETS DE SYSTEME DE PIE- GEAGE NON CRUELS POUR L'ANIMAL. LA FFSPN A BIEN ENTENDU PRESENTE UN PROJET QUI RISQUE BIEN DE REVOLUTIONNER LA TECHNIQUE DU PIEGE. PROJET DE PIECE CONCOURS ORGANISE PAR LE MINISTERE DE L'ENVIRONNEMENT SEPTEMBRE 1986 I J, *\‘ r ·:._··· I -,·.~° zu \4 v tf" JI. I \ X [LIE: d \\\~···« • ·` ·“ ; "" ~‘\\\' `*•"" 'À ` Réalisé par Daniel BLOCK Présenté par la Fédération Française des Sociétés de Protection de la Natur< Lettre du hérisson n° 'SL — NOV 86 17
Le piège que nous proposons ici a été étudié et longuement expérimenté au Canada. notamment par Messieurs F. GALLOWAY et M. TWAIN. On connait la longue tradition du plègeage dans ce pays et la compétence exceptionnelle des trappeurs ("trap" étant la traduction de piège en anglais). La slmpliclté de fabrlcatlon et de mise en oeuvre de ce plège démontre qu‘en la matière ce sont les matériels les plus simples qui sont souvent les plus efficaces. Celui-ci. en particulier, met en valeur une approche du psychisme profond des mammlféres nuisibles (fouines. belettes. martres, putois. etc.) et impllque la nécessité d'une sollde formation des plégeurs. ENTREE N°1 2 l4 5 N cn un 64 0 64 ENTREE N 2 N cn Trappe d'accès U1 10,5 x 25 64 G? «§` N `Ul-. ¤ 9* [lag, ENTREE N 3 un ..-*'â·'·‘..1 / 14,5 Toutes les dimensions sont indiquées en centimètres. ` FABRICATION ET PRIX . Matériau recommandé : contreplaqué 8 mm ou à défaut loupe d'orme, Prix estimé : bo1te = 170 F, colle et vis = 32.60 F, soit un total de 202,60 F Lettre du hérisson n° 5A ·· nov 86 13
· -. . EBENElPE-l2E-EQî$9”£LQl!l!ElJ§l$'£ ` I Comme le montre le schéma, le système comporte 3 boites·couloirs d'accés dans les deux sens. Le prin- cipe de capture est le suivant ; lorsque le nuisible a pénétré dans l'un des couloirs, il gagne le centre du dispositif et se trouve alors devant un dilemme ; laquelle des deux sorties qui se presen- tent à lui doit-il utiliser ? Dans la quasi-totalité des cas l'animal reste prisonnier de son incer- titude et donc de la boite. Il peut ensuite être pris intact et sans difficulté par la trappe d'accès (voir schéma), êEEêl`§ ll est vivement conseillé de déposer des appâts tels que ceux qui sont indiqués dans tous les bons manuels de piégeage. L'appât devra être placé bien au centre du dispositif pour que le piège garde toute son efficacité ; utiliser pour celà la trappe d'accès. · EEELCMQLIE Comme le signalent les inventeurs canadiens, ce piège présente par rapport aux pièges habituels (belettiéres traditionnelles par exemple) l'avantage de proposer 3 entrées, c‘est-à—dire que dans un territoire normalement peuplé de nuisibles les chances de succès sont multipliées par 3. A RESPECT DE L'ANIMAl_. =========‘·======§==— Ce plége respecte parfaitement le but qui a été poursuivi en organisant ce concours. à deux condi- I tions : - visite fréquente des pièges afin d'éviter a l'animal un séjour prolongé et une impression de claustrophoble (cf. "Pathology of hesitation - G. GRAWLAW - Payot 1986) ; - une approche de nature à éviter la surprise de lianimal qui pourrait alors sa blesser en heurtant .; . È : ; . . ·,. .: 1•:n.1n BBQLî2EH”£§-1.2E-EQHQIlQE§EH§§'£ Si à plusieurs reprises l'appât a disparu et qu'aucun animal n'a été pris, on devra considérer que l'ensemble du piège n'a pas été placé bien horizontalement ou que l'une des sorties est trop violem- ment éclalrée. Comme on le sait, l'animal préférera sortir du côté ombreux pour garantir la sécurité de son déplacement. · §QH§Q§ Ils provlendront toujours d'un mauvais positionnement de l'engln dans l'espace, c‘est-à-dire de son inst allation dans un lieu lnadéquat, TWAIN et GALLOWAY ont pu montrer que sur 16.596 captures opé- rées en 1983, aucune n'avait eu lieu sur le sommet de châteaux d'eau ni sur celui de tours de con-- trôle d'aéroports. Cependant, 123 captures s'étaient produites sur le pont de caboteurs du lac Erié et 32 sur le lac Ontario, Il appartiendra aux responsables de la formation des piégeurs d'insister sur la notion de comporte- ment sur le psychisme des animaux à capturer. A terme, il pourrait être envisagé de repeupler nos campagnes par des populations de nuisibles sélec- tlonnés chez qui le taux comportemental d'lncertltude (T.C,l,) est particulièrement élevé. Cette mesure pourrait notablement accroitre le taux de capture, Si enfin il advenalt qu'aucune capture ne soit opérée dans un délai de 23 à 35 jours, on devra consi- dérer qu'aucun nuisible ne vit dans les parages. L'engln pourra alors être soit gardé dans l'attente de jours meilleurs, soit démonté pour servir de marchepled pour grimper sur les tracteurs ou les maçonneuses-boïteuses, ` L'auteur dispose de l'intégralité des droits d'utllisatlon qui lui sont cédés par les inventeurs canadiens, et les droits seront versés à la F.F,S,P.N. ainsi que les prix que ce projet pourrait se voir attribués, Y L_ _ \ I _
DECOUVERTE NATURALISTE EN ALSACE PARCS NATIONAUX FRANCAIS : - Le Conservatoire des sites alsaciens a édité un LES TETES DIALDGUENT coffret de 10 superbes cartes correspondance, sous le titre "découverte naturaliste en Alsace". LES PRESIDENTS DES CONSEILS DIADMIN1-STRA_ Composés de 10 dessins à la plume de Christiane TION DES PARCS NATIONAUX FRANCAIS ONT DE·O]__ DASKE et représentant des milieux naturels al DE-, APRES VINGT OINO ANS DIl,_·XPERlEN(:E, DE sapiens, ces coffrets caractérisent l'act1on fon- TnAvA1Er.E·n ENSEMBLE ET our 01cEE ENTRE Eux '—-‘°" du C°"5""¤‘°"°· UNE INSTANCE DE DIALOGUE ET DE TRAVAIL, P 25 F V _t, rix : unie 2 constats ont mené à cette collaboration des O F d Conseils d'Administration des Parcs Nationaux 3 par Corœspon once et 20 F par lots de Français ; le premier est que les parcs risquent 10 st plus" de ne plus être enracinés dans la volonté po- H d_ _b1 · pulaire (encore jeunes, ces parcs ont surtout 5 S'°m lspom es au ‘ nécessité de l'appui des spécialistes. ll s'agit _ _ _ donc de retrouver le soutien des "profanes") Egnâeîzsîtolre des Snes Alsaciens ni d'être présents dans les préoccupations gou- ‘ ° U vernementales surtout en période d'austérité î_€29O8UN%ER5HElM comme actuellement. Cgn'taCî:l‘bI;23s[‘l‘KlEsLER Le deuxième constat est qu'il faut intégrer le long terme dans la demarche de protection de la nature qui se traduit aujourd'hui comme un combat quotidien très rude en opérant une inté- gration totale dans l'environnement toute ac- tion humaine menée ]usqu'à son terme. OBJECTEUR DE CONSCIENCE Les arcs nationaux doivent donc "déborder" dé lég),.5 t-mmièré5_ Alexis NOUAILHAT, étudiant en illustration, est passionné par la protection de la nature. ll 6 prméipés Om été mis à jour ; aimerait, dans le cadre de l'objection de cons- cience, être en contact avec la nature pendant reformuler l'ideologie de la nature, actuali- 2 ons- ser la pratique des parcs et développer effica- cement une politique de communication, Contact î ·- interpeller le pouvoir politique sur ses res- Moxls NOUAILHAT ponsabilités et devoirs dans le combat de l'en- âgîoâvîîlnlî Condorcet vimnnemem, L EURBANNE Tél. 78.89.77.5l - expérimenter d'.iutres. Iormes de gt-stiuu et s ac m0aèi«—s ai- i·«.p.i.-t~, MANIFESTATION LE 9 NOVEMBRE À I3 H — moduler la rigueur réglementaire au profit de l'·iction, . . . , . , Grande manifestation nationale contre la création — moderniser en sensibilisant I opinion nationale hdutsmsnt sontsstsbls d.uns très Vssts Oubsus à l'intérêt de ces parcs, nucléaire P " déveloîper Uno pédagogie active de Pam/iron- Toutes les associations de la Fédération sont ncmcn ' conviées à soutenir cette manifestation. Pour ce faire, les 6 présidents ont créé en- _ tre eux une association loi 1901 dite "conférence ENC _.IUU-LOT cherche nn 'Po$to o'obIoCt€UF È des Présidents des Conseils d'Administration SDÉÉÉÉ Pour novembre/oooombro 1986 des parcs nationaux français". Le siège social |_ t_ V d 1 d d est fixé .iu parc national des Cevennes et son _'ï`n"o 'on_î noonoo o cures mo ornon et l' présidém ésl lé Dm.I,,,|,. MONOIL plôme ¢‘ini-matographiqne du |)|·.R('AN Une charte des parcs nationaux sera rédigée (ÃJÃLIFLCÃÀ pour la conférence et soumise .`1 l'approbation __ __ de chaque conseil d'administration. I M . , rue uyton ce orveau l,a prochaine i.·on|ei'en•.·e se tiendra les 2L et ?_îm3 EARIQ I 25 janvier 87 dans le parc de la Vanoise. |ol· l•—>·89·77·o—I Lettre du hérisson n" G!. — nov 86 IB
MONSIEUR CARIGNON N’ETAIT PAS DANS LA FORMATION FFSPN VALISE l Les stages régionaux ont débuté. Dommage que les participants ne se manifestent pas plus... Non, rassurons-nous, M. le Ministre de l'Envi— la Lettre du Hérisson ne leur serait—elle pas ronnement n'a pas été coupé en morceaux, son parvenue ? ministère non plus, du moins pas pour le mo- ment ! ]e rentre de CAEN où a eu lieu le stage "dia- loguer avec les élus" organisé par le CREPAN. Le bruit avait pu en courir, après la superbe ll aurait aussi bien pu s'intituler "apprendre coquille qui s'élait glissée dan le texte du lélex $1 dialoguer avec les élus". adressé ài M. jacques CHIRAC, Premier Ministre, (le 20 octobre 86, ce qu'on avait omis de préci— Nous y avons rencontré le responsable de la ser), èt publié en éditorial du n° 53 de lâ Let- DRAÈ BBSSC N0rmandie, un professeur dè droit tre du Hérisson. Dans les dernières lignes de public, 2 maires. la page 3, le démantèlement du ministère s'était en effet transformé en démantèlement du ministre Nous avons appris à communiquer avec eux et ils nous ont précisé ce qu'ils attendent des asso Nous tenons à confirmer que M. CARIGNON n'a Ciâti0¤S. été ni enlevé et mis en pièces par de dangereu- ses factions armées révolutionnaires de la protèc Nous avons assité à une réunion plénière du Con tion de la nature, ni transformé en centrale nu- seil régional du Calvados puis à une réunion cléaire - usagée — par un excès de travail dû plénière du Conseil Municipal de CAEN. Si la surubondance des informations fournies par M. l’l·Ãl.l.l·.l€lN, i·|iel` xlu S.C`.P.R.l. (*) , apres Donc uu stage riche d'inl`ormation et <'l'expé— le p.is···ig«· «|u nuage <|e 'l'(`llli|lN()|lY|. uu uvuul rieuees qui pourraiieril î‘Ire utiles ·iux uulres lu inist- eu roule ile lu cenlriile ile Nogeul sur- regions. Seine. AUSSI, POUR LES AUTRES STAGES FFSPN A VENlR C. GARNIER 1.11.86 QUI 'l`OUS PRESENTENT LEUR INTERETE, N'OUBLIEZ PAS DE VOUS MANIFESTER, DEMANDER LE PROGRAM (*) Service (`entrul de Protection conlre les Ray— Mli I ET INSCRIVEL-VOUS R/\Pll)EMIiN'l`. onnements Iouisunls. IL SERAIT REGRETTABLE D'ANNULER DES STAGES AVEC DES INTERVENANTS DE QUALITE FAUTE DE PARTICIPANTS. Liliane. · l FoR-1s>~T—¤"\ > J~N\« l.(l \Ll.[ \‘®¢C, 4 \‘ M O Lettre du hérisson n° 54 - nov 86 16
0 M ·.,, È 0,2 _ É E--J C . · FU GJ LL, <j DW! I an C W Z 5 Mg" • S · E-2 E" 0103 O gm wa: È C: . .0 "' zz ' -'¤·-• < ¤J Wh Lu U D > ·Q-J; È gg 2 _ Q2 "ULM 'U L:) > <•' --4- 2 - ¤· D-‘ ··‘ pas . ' É ¤¤%à0 ¤ë' E0 D8·¤ É ~·-- â D ¤¤ og .2 § FD .¤—· °‘ Q., Mœ •Ã "’ Eg ¤·· É E SÉ C] E -·-· "‘ m¤·· O 0 <î:> ·.-J D- D4 < Q A un-·-J CJ ` W z < 0 < ¤¤ 2 < - "`ÉC1 ;, C E E2 U U" °" UC œ 2 C E C Qui-J F·î·« É É cn mm z gg C O Z D Q O ¢¥· <É Q nn C C < E :3 Lu < Q O 5 [··• L1-ï 5:, u É ...1 : E É ..·· É É 00 .. 0 râ CC ) :1 N L" L" 5 3 < ZUZ §<_n U W SD 0zL) ¤~ ¤‘ H É »-~:>•··‘ ¤¤~ =~=> D »— ¤ DO GJ «» ¤ ¤ É "·°5 au- za E m zûg U Q, s: 0 imm ‘ »~ © D ¤¤ E8 w D 3 .5 0 Mgœ gi mg ¤Q D —= Émgs 0 C H zag E L ' M -_-hl- ¤· U A-EA..·"""’ C S 0 vt .9 ··· u W ' 4-• U ·*" GJ $8 8 GS Z IU td msn _,_, 0 H ,_, gu •·‘ LD U) ,-a v-I W C Q L1,] U É L, 5 U L5 U U —8 3 _‘° °§ GJ CJE ¤¢ eu O (U 0 4-* 5 ,_Q U tx gg 3 · u > ..·· eu U,. Q, U) L, ¤-• U `°*i_•"‘ Un «q) "' > ¤¤ U -¤J'°J W uœ 2 0 U G1 **0 ·;‘¤ C 0§ nu 0 w s: Q, 2 ··-J 0 mx., C ‘” 5 L4 C ‘° 0 ' "" za: 4: ‘° - :¤ C cz «—• 'U `U "‘ · -·-J Lu ·0 Cu G10 3 QU Q gg 'ëkt 0 u;L,__ 0 ·’G'J·- - cn -H _ Z 5 NG > 5 U $5 '—‘ Ag `0 L'! —0 en ,0 E w GJ .,.. (U C 0; nn O *0 : 0 ¤¤ L, LJ s: +5 ,_, I gi È «.· ·¤UE.’ ·-· 82 "“ Q; EE .. ¤ nu z¤-J ···‘ C -:¤ C ::1 0 >¤ 0 0 D-‘ z "’ 2 U') C U l·h4·• 0 QU4-• :,0 ** H , Lt.] ¤_‘ La nn 0 ·0.-· E ,_,Q, La 0;: 0. .¤__ QQ Z ga € > C 5-*: U Z C cm U · U E 5 E ·9‘“·9 î mg ¤J Q:. a”·'g,J== == â· > ··· ·-· mu Q, z_,_,¢¤ C ..,_ ..2: · ·¤ 5 E, .J n U n• ¤¤l (nc U.) (dy-! ,.4 U1 ln qj 5 :5 GJ _ C 4-• .·-et E ¤-J É `•7>î‘·î U; USE; Eg ÈÃÈLL:-img ëâ 0: QU ¤ :¤ ‘·’ U ¤* ` s: :s·: É C É "" C0 gg É ,,0 *5 "‘ ¤¤J s: ‘ë"'Q, .5 <¤ w. =J S2? ··â€ 9 2 ¤ " ·~ —9"—9 xwëàâ DE Q- 4-* ' LI È ëërnë gwë EÉ zëg ·‘° .2. '§·g'§;.,2 sa 2.. ,ë Q ' _ :1, ` 0 ·-• ·—• .' Ln 5:2*; :7QQ, ¤.:= gtëg »· güxgëgg EQ, œ D "5`É ‘ê`“’ J? °·É~ î·’ â “*â“~“*> ED 8. ..1 Z ¤—· "‘ =¤ 0::0 E : Q,8 B}33 .95 39-28 z Q, ‘ë,,§‘ë,,¤o¤: ‘$ ¤ ÉÉ '_'T1_.\q) ‘•·• $-1*0) "' ·¤-4 4-* (U (U ¢UU>< < U * Luc U4-* UD‘U EUQ) (Q (U ‘_p§ ‘_, *·"qJ` ____ 0.,,,, ¤fJ<GJ ¤J gg- zu Q¤0C\] ,_, Lu •n·¤ m "*'¤ Z:} @$6 UOCUD ·¤ L)(C"' --•··~····"` Oo ·.;;·.~ ,·§u·¤ " 1;; —-————————~ U" w ""_— N E2 cw zz U., Lu O œ ~= `T E1 Z >< w ~ Z 2 `* —¤ 8 D M mi: m un nn nu nn ,_1 2 D ·¤¤ > m QQ D >< zz D Lu ¤. O wm U., - ,_, N 0 :> 0 Dm E CQ U.) 0*; U.) ¢C nd [··• Z nd. <É gg >< <:> <m ¤'> .·¤~< ,. —¤ ¤¤ 0 ¤¤ ¤~ D m‘·‘°© ··· < zz. zz O < < E ¤ -—--· un z- U za: W ¤~ "—"' "" A z M <2 .0F" tx C-· __ __... ..·-—··"""—°"` "" ¤‘<:> ·-· <2 ?" ¤..x·«U'J -·-J-—·* "I É 5 0 :> ¤·· m CJ- ___.....——··——·"""` 5 [-‘ LD '—~-—’_—-_-i, ·-¢ "‘ N É (U S _, ·· ..·Sî·' ,Q ( 2N -· Sl'. «> Q 0 ·-· ,_, H, ·-• Q-¤\\ N`-; 9) Q., ··-1 F: ~. •··: _ ·-1 ' '_, '_|\ \ '_, •€\lgl\ Ng] GJ €\l\ N LO N œ ' % . ,\ co ,_,«>c\1 , . • .··«·-« _ | __, <r - 1-C < Qaîâ w" C rn ··'
— I M P 0 R T A N T Le budget 1987 du ministère de l'Environnement _ _ est catastrophique. C'est le plus mauvais bud- Une nouvelle protectrice de la nature est arri- get jamais présenté depuis 1972. vée ! : CHLOE, née le 5 octobre au foyer de Marie Anne et Daniel l3l·LGUlN. Puissele jardin Nans présenterons une anaiyse détaiiiée de ce de sa Vle rester l°UJ°l"`*‘ Ve"l· budget dans le prochain munéro. D'ores et déjà, précisons : . ll est en diminution réelle d'environ 16% (se- lon la façon de calculer on peut trouver des chiffres variant de 29 à 15.9%). En tout, le chiffre officiel de -8,5% tient compte de tripa- touillages artificiels. . la modification des chapîtres budgétaires rend Toutes nos félicitations et tous nos voeux aux dïffüîïïlë toute C0mPâFâî$0¤ ave; 1986. ce qui fait nouveaux époux, M·iric Clmro GALLIQU gi que le Parlement ne peut savoir ce qu'il vote! Maurice LE T)l$MT:.ZE'|`, mariés le 31 octobre 1986. . les diminutions les plus scandaleuses portent sur : * subventions aux associations * recherche (et notamment écologie et gestion du patrimoine naturel) * réserves naturelles. Nous demandons donc à toutes les associations d'intervenir auprès de leurs députés et séna- teurs pour que soit utilisée la "réserve budgé- taire" afin de doter prioritairement les chapïtres suivants : — 44-10 article 10 subventions aux associations + 3 000 OO0.00 F 1 — 44-10 article 20, protection de la nature STAGE sun LA Fomîi * 100 °°°·°° F ` 67-20 article 80, recherche 1 l0 000 000,00 |-` ieiippui ; m·»i·ii dim Ji ·rot1i,oLJsii ·¢ (^|’) + 5 000 000.00 P (CP) La protection et l'aménagement de nos forêts con et evenlnellenlenl cernent chacune de nos associations. Ce stage 6 1 _i 20 P _ qui se déroulera à TOULOUSE et en Ariège les ' 3 ·[• erlleie 6i eres nellîjnalîx 8,9.10 et ll novembre se fixe comme objectif · 34*20 âïlïfïë Oi PF0î€Cî10¤ C â Nature de vous donner les bases indispensables pour D 1 _if _ _ 1 b d négocier et mener à bien vos projets. et P_n5· à aut lnslstœï POU: Cl}1€tt Q0$î€$ MQ ge aires u personne soien rea ri ues au 1- ra méthode _ nistère de l'Environnement (ils ont été transférés ` au Ministère de l'Equipement) et le maintien du _ Comprendre la filière que génère ia foret npmbre de poste d inspecteurs des installations — connaître nos partenaires et la législation. C e*’5ee5· _ . . La discussion du budget a eu lieu à l'Assemblée Des mœrYc,nam5 de Éhqc pour des Stagmlœs mo- Nationale le 30 octobre dernier, mais il doit llveelrpnlllppe PONTUTEAU ` SOLAGRO _ tel' être discuté au Sénat fin novembre et reviendra 6l·-)9·-)6·l6 _ en deuxième lecture à l'Assemblée Nationale dé- Ch°J^”9°nl but décembre. Il est lard pour intervenir mais <·'est encore possible. lî;l:,’%L Un dossier complet est consultable à la FFSPN. \ Si vous trouvez un député ou un sénateur prêt . à intervenir, signalez—le ·`i la FFSPN immedia- tement. Nous prendrons contact avec lui pour lui fournir toutes précisions. l.etIre du liôriseaon xi" 64 ·— nov 8(1
? À - x I L E3 H E R E S3 S3 CDN SEEGEAL ASSQGEATEQN ff D (zi tusîon SOMMAIRE Il ¢I’|I¢ , IMPORTANT REUNION DE LA COMMISSION EAU ET PECHE P. ss GNPN REUNION DU GNPN A COLMAR LES 27 ET 28 OCTOBRE 1986 ................................. P. ss FAUNE ASSEMBLEE GENERALE DE LA s.E.E. .......... P. ss VIE Ass0G1A1·1vE ··L1vRE vER1··· DES ASSOCIATION DE LA FFSPN ........................................ P. ss ASSOCIATIONS: RISQUES ET ASSURANCES ....... P. 4 LEGISLATION PATRIMOINE ET RESSOURCES GENETIQUES ...... P. 9 COMITE FRANCAIS POUR L·ANNEE EUROPEENNE DE L·ENv1R0NNENEN1· .P. G LETTRE DU MINISTRE DELEGUE CHARGE DE L·ENv1R0NNEMEN1~ ......... P. 7 ANNEE EUROPEENNE DE L·ENv1R0NNENEN1* CA PREND EGDRNDRE ...... P. 9 CHASSE CHASSE DU GIBIER D·EAu: L·0NG FAIT GLRGDLER ....................................... P. 9,10,11 FORMATION FORMATION FFSPN : PROGRAMME .............. P. 12
•'t':"!"I11"1ffî¥'·|f‘*""î’ï' ' ' """` 1' '·· 'V""""""î“"""’ï I' "_' "" F-_' ` ·»:,1¤_'•':l:-nu ' —.ç — *3. 1.;*: |· ;)£· t n _ 1 ~ h I; 1 .,.«b; IE'?. I •1? .·=L| · ¤ I I Le LIVRE ·Asmcuuumz ET emîè-_<,.,, .. ,, È %·T*"° 9*5 Q à I"5·*¥i! PROTECTION IE LA NATURE __ Igâi ; ____ · îA.,._.;.t;gï€;;?t;É;;àg.·»;;z£;É`€g# g:gj$·i;.;g.Épi â_..__à._,: rëéç, · ;.§;m, _,M - · _.-Im!-;g«-gé-; ·;,;-gm · ·;t<=-::«:%» :;§ïë;,;;;; VA PARAITRE PROCHAINEMENT. ‘ U - 1,.;.-, F * ; ; . .. -e· 7.. .çf`·.·=g,« . ;·. - I; . g .5 I1. nsmours Les mAvAux ou ="É‘ ··É§?‘:. ‘:e I ‘ I . ;·. ’ . .-9 · , à .‘ ,`=È’· · .y? ·§£§f;;x§gI%¤ ¤ -- W ” ç.‘;. .j ·- Fàâgëâf ,. .·· · -52. W,.-,-·*~:.-·. w ,, —·z:= nEs£Au AGRICLLTURE PRÉSENTÉS ' 1;,- 3:,;; v€j.7;;§;; ·-QÉÉLR;-_«.z«,gÉ’IÉ?§£?ï=;.§·_ ?»;gEf`Sg. 2 ;;. C .\'.·IL .· T a u··«, · 'I. n · · » . . .7 ' îü ÉEÉ "‘· ·‘2·‘Aî I«'·f¢wA• ··/«.:· ·?.¤$î'—1»?-î:·.¢··-s -·î·>*°· ... M?-’~‘ .«·A "èë was ne 1.'AsssMm£E GEMEAALE ·::`.I‘xf% ` - - A , _ ` _ A ';.Q)_=îâI - À? I Z . I ._ · H · ·' W ns VICHY ·‘ ‘i >#·€ xs--·» .;«- .ë;.~»z x i·., · ·· >q« =? ·€ =· ii? · `T 9) IIE; 'I*·`-"* ‘ ~ · *?#¥¥**?ü?~” ` É? . . si , .4% ,. . .;,¢’È·mI; .; .È_.., . , nz s,'§·;;;#<·û»— .·;.z· 1.> ' Eg " X';;r··. È É. I" Ill I': EI.! Z:· '_ - T ·_•f ,\`|`•·' ' ' ¤ 1.*-;, ' I 7 ·¤'_ ' ' E ·U·ï*?.·Eï· Für - ?I*5~:ë@`î1-A- xv ,5Y‘1;’\1 // · gi. . ?%‘:îè"? ‘i2.«‘ëz2î.‘«j-‘ ·§;§‘·¤%-wé \ ·«·2.»¢¢ mg- îë»»&Iü;i*:·I.· ( -..«â}£î(ng; ·;-j· ¢;,§À,.â1—-wm. ;%f·= ry ILLE;-.·., L: . e' Ny-·" ' · ·; ·.-·":=·._ .; ,,¤T‘·2_- BOAI) F (+ Pom. TVA 71 _ _ I __.»À;-QQ ' 2 ü -···'¢;î=:<¢ ·, .-:· A âëëïîi-1,J·’."-?·¢`ra`.Q m¤.usE) . Éq Eg «É»§f:¢*:: E` 1 " .4 ·‘»· -2· · 1*1. ·*. -. -. gsà;·,;§_:.·=: ·- ; °·»¤¤··a.i=-., _ * ·¢ %;,«;l··:'.*I`,- I ·>~ -4- .·x-‘=.-·,·» _ ‘ *-. ÉL«;·,¢4.îP MIA ·=ï ï4'é¢~‘fï1:3'°-':.-' â îj§ag:.:=ï*‘ \ e »î;§§"_ -§§=2,;:s;;i};; —.*· ' "·`I=ï' ÃÃA " *Z-Ãî·i*-ïsi. I €-î*#ïi —-m-s~»«>-- COMMANDEZ-LE DES MAINTENANT 5 * 1- ·ï·'f--, --,- ·. --·. * *-‘·-"?‘· —*·**‘·"
le REUNION Ill L/\ COMMISSION IAU LI |’| (.|l| ` Le samedi 22 novembre .1ur.i lieu In réunion-de la Commission Iiau et Pêche dv Ia I·I·SI"N. I·,Ile ·se dérouler.; toute |.i ]O\|I"(I(z(‘ .'i p.irtir ilo 9 h 30 à ln fédération. SHF A VOTE, A L'UNAIVIMITE, DEUX MOTIONS LORS I.'objet de cette réunion portera sur ln mise au DE SON ASSEMBLEE GENERALE DU 38 JUIN 86 A point des textes <I':applic.ition de la loi "Pêche". ANGERS. Afin de limiter les frais de déplacement, ceux- La ppémièi-é mgtion adoptee par passembiéo io_ ci seront 'remboursés clans la limite de nos Tal- cliqué que la 5HF déplore la décision mioi5té__ bles moyens., rielle d'attributi0n d'un certificat de capacité __ _ _ à Pierre DURAND pour son exposition itinérante INSCRIVIM-VOUS VITE- MEME PAR LELEPHONIZ de reptiles et émet les plus vives réserves sur les modalités de cette attibution. Contact: _ _ La deuxième motion adoptee porte sur l'action Charles TOUZAN menée par M. et Mime HENRY, ainsi que le Co- I6 (Zi 73_«3S_33 mité Départemental de la Protection de la Nature " vl de l'Iïnvironnemei»t du I.oir et Cher. L`<·tte action, concernant le problème du main tien des populations amphibiennes dans les sec- teurs menacés par les activités humaines, est une référence pour les mesures de protection à développer en milieux de reproduction menacés Ainsi, tous les travaux scientifiques ayant cet objectif reçoivent le soutien de la SHF. REUNION DU CNPN A COLMAR LES 27 ET 28 OCTOBRE 1986 VOICI L'0RDRE DU ·DUR DE CETTE RÉUNION. Lundi 27 octobre. séance de travail 20 h 30- 23 h VERTU DE 20h 30 r questions préliminaires Nous rééditons le livre vert au mois de décembre 20h A5 r projet de travaux dans ta réserve ha_ De nombreuses associations ont répondu cet été turetie de Roc de Chère (hte Savoir,) aux demandes d'information de notre chargé 21h Z projet de travaux dans la réserve ha_ de mission Guy jOURDAN. Nous les en remercions turelle en Bretagne, rapporteur M.BOUR— "i"°m°m· NI£RlAS _ _ _ i 2lh 45 : recherches conduites dans les espaces NOUS IÉUF aV°“_5_€_nV°Yç une epœlfve afm qi, ei" protégés roooortooi. M_ RAFI;-iN les puissent verifier si les renseignements indi- ' viduels paraissent exacts. Mardi 28 octobre Z Pour les autres, nous attendons leurs informa- séance mardi matin de 8 ti L1 11 h Mons' 8 h Z ooostioos divorsos Dans tous les cas, les renseignements d'informa- 8h 30 Z projot do décrot roiatif à i.agi.émom doo tionS devront parveniir Za la FFSPN Paris avant piscicultures, rapporteur M. BEGUIN le ZOJ1'86 dernier delah 9h : débat sur le thème d'un bilan des po- litiques de protection de la nature en A VOS plumes dOnC"' relation avec les travaux du conseil à _ _ l'occasion de son 40e anniversaire. Liliane MO©R' Cette discussion sera introduite par MM. LEBRETON et RAFFIN. Lettre du hérisson n° 54 - nov 86 3
SUITE ¤SSO¢lGTl0|’lS 2 I’lSQU6S··· Bl CIS$UI`G|`l GGS · 4 1 I responsabilités J n aeeldant peut se produlre au cours d'activitéa organisées par l'¤sa0Ciatlon. ->— Garantie de responsabilité ctvtle de l‘:tssoct.itton (contrat multirisque de l'association ou contrat séparé) Conaells pratlques ~ Recenaez les activités habttucllea et voyez at elles sont garanties. ~ Déclarez au préalable I votre assureur les manifestations exceptionnelles ou occaslonnelles. ~ N'oubliez pas la garantie des intoxications alimentaires. Un tribunal est susceptible de retenir la responsabilité de l’aaaociation ou de l’un de ->— - Faites garantir la responsabilité des personnes suivantes : ses membres ai la victime prouve une faute, une négllgence ou une irnprudence de la part : • l'assoclation ayant souscrit le contrat, considéré comme personne morale ; dies organisateurs ; • ses dirigeants 5 de membres de l'sssociatlon. • ses membres, dans le cadre des activités de l'association ; • pendant leur service, ses préposés ou salariés ; • tous'les auxiliaires I titre quelconque (aides bénévoles) ; • les mineurs dont l'association a la surveillance (sorties organisées, garde d'enfants) et la responsabilité de l'associatton I leur égard. - Vérifiez que le contrat considère toutes ces personnes comme "tiers" entre elles. A défaut, la responsabilité d'un membre vis~I~vis d’un autre ne serait ' pas garantie. - Contrôlez les montants de garantie. Un permanent appointé victime d'un accident reçolt une lndemnlsation de la Sécurité -)-— · Vérifiez que le contrat couvre l'associatton contre ces recours complérnen· Sodale. Mala, en cas de faute inexcusable ou lntentlonttelle, ou lors d'un accident de tra· taires. — tet, la victime a la possibilité de demander au responsable de oompléter les prestations venu par cet organisme. Un bénévole ast victime d'un accident. l. ll bénéflele de la lol sur les accidents du travail" : situation ldentlqua I celle du permanant appolnté. 2. Le bénévole, permanent ou occasionnel, ne bénéficie pas de la léglalatlon sur les accl~ ->- ~ I.'asaurance de responsabilité civile de |'assoctstlon doit couvrir la responsa- denta du travail' : les luges consldérent, en général, que l'assoclatlon dolt l'lndemniser. blllté de- cette dernlere envers les bénévoles. Vérlliez que la garantie est bien accordée pour une alde bénévole régulière " En cas de doute, renseignez-vous auprés de l’organlsme de, Sécurlté Soclale dont vous ou occasionnelle. dépenrlez. . ~ Pour une indemnisation plus complète, vous pouvez souscrire une assu· rance "individuelle contre les accidents" qui prévoit des indemnités forfat- taires (capital en cas d'invalidité ou de décès, remboursement des frais de aotna). I.'assurance multirisque des associations inclut souvent cette garan- tie. L'assoctation posséde un ou plusieurs véhicules automobiles. ->— Assurance obligatoire de responsabilité civile auto. _ L'aaaoclation falt appel I autrui (membre ou permanent de l’assoeiatlon, organisme exté~ -> Conseils pratiques I rleur...) pour transporter dea personnes dans des véhicules. ~ Vérifiez que le conducteur possède le permis de conduire approprie et en état de validité et que l'us¤ge décrit au contrat d'assurance convtent - N'acceptez pas un véhicule ett mauvais état ou non apte I recevoir des pas- sagers. Dsns certaines circonstances, on peut rechercher la responsabilité de l'assoclstion. ->- Faites inclure dans le contrat de responsabilité ctvile générale la garantie de responsabilité de l'association du fait de véhicules ne lut appartenant pas. Usaaotlatlon peut auaal étre responsable du fait de aea loonsax, en cas d'lncendle ou d'eaploaloo - I l'égsrd du propriétaire, méme sl elle occupe les lieux I tltre gratult ; Le propriétaire et son assureur ont consenti un abandon de recours. ->- ll est inutlle de garantlr cette responsabilité Il n'exsate pas d'abandon de recours. ->— Assurance multirisque (incendie, explosion, déglt d'eau...) · I l'égard dea voisins. ->- Assurance multlrisque Oonaell pratique - Demandez que le contrat comporte une clause de renonciation a recours contre les dirigeants, bénévoles, membres, autres organismes utilisateurs susceptibles de porter la responsabilité de l'incendie... On recherche la responsabilité de l’aaaociation devant un trlbunal, par exemple, I la suite ·>· Garantie "défenae et recours" de l'assurance multirisque ou de responsabilité d'un accident. clvile, ou assurance de protection iuridtque. IE les biens Les blslmansa et leur contenu sont exposés aux rlaquea sulvants ; Assurance multlrlaque et extensions de garantie lneendle, déglt d’eau, explosion, attentat, catastrophe naturelle, tempéte, vol et vanda- ~ Vol : respectez lea mesures de prévention décrites dans le contrat d'aasu lisme. rance. · SI l'assoclatlon détlent du matériel d«~ valeur (magnétoscope, micro informatique...), vérifiez le montant du c.tpital "mobilier". Vous pouve ausst souscrlre une assurance "tous risques" pour certains matériels coû teux. Un adhérent, le participant I une sctivité... confie du mvtterlel I l'association. Vérifiez que l'assurance ne les exclut pas. A défaut, demandez une extenstot de garantie ou souscrivez un contrat spécial. Voyez aussi le montant de garan tie. L°IIIO¢llll0l‘l organise una alpoaltlon. Consultez l'assureur. ll vous faudra peut·étrc une assurance spéciale.
Z - fzîgîeîeîîiïpîive”variétale tédigée selon le mûdèle établi par la section rs du C.T.P.S. assortie. dans toute, la mesure du possihlv, du- DU NOUVEAU photos en couleur permettant d'idc·ntifier la variété ; - fiche de localisation pré 's d ' d ` · · · · A L'OCCASION DE L'ASSEMBLEE GENERALE DE une association reconnue galrelaeîeîîîoîi Tîîlîiîeléefilàitlîéîîîeoucggîrîiîixîrëâîrliîr VICHY ET DU RESEAU AGRICULTURE LA FFSPN me Professionnel ou publ' t' · ' ` A PLAIDE POUR LES "VIEILLES VARI`ETES" D'AR— '_ _ lc Pu Input aux travaux du C·T·P~Su ERES FRU1-TIERS. Éérl; Éemande est conduite psr les instances de la section "Arbres LE BUREAU DES RESSOURCES GENETIQUES NOUS yabsence düme des ·è é . é . ONT ANNONCE QUE, PAR ARRETE DU 16 MAI 86 titue un motif ae xeîêtïes mmm es Cx assu ou de justificatifs f°nd°S °°"5` (JOURNAL OFFICIEL DU ? JUIN 1986), UNE LISTE PÉÉ*TICULIERE' RE,ï'EgîlVEE Eêgx OVARILÈTÈES ANCIEN- le ¤¤¤ê¤·¤ des droits ne s'app,1ique pas pour l'inscription de ces variétés N DITES D AMA RS UVER AU CATA- LOGUE. ELLES PEUVENT ETRE COMMERCIALISEES SI : Fait à La Mmiè'°’ le lg M"; *986 Article ‘I : Est prononcée, à la date du présent arrêté. l'ouverture au catalogue A VOS VEl‘gEl‘S..l officiel des espèces et variétés de plantes cultivées en France - Arbres fruitiers d'une liste particulière réservée aux variétés ancien po ·d « · · · ,,1..,, a'ama .eu,B . Pé,`§ïméÉî§îe.îÉ,°" “ "°"“°Z pas “ °°“‘“‘°‘ et jacques HUET Article 2 z Est homologué le règlement technique d'inscription au catalogue offi- inra Sîüïlûfi <l'âI`b0l‘îCulture fruitère ciel des espèces et variétés de plantes cultivées en_t-'rance - Arbres Bcâucouzé (.9000 ANGERS fruitiers - liste particulière 'Variétés anciennes d'amateurs°', préci- sant les conditions d'inscription requises et les modalités de juge- René BERNHARD ment "t°““°" Feyteau 33650 LABREDE Le texte de ce règlement peut être consulté : Mu E LETERME e . . au Ministère de l'Agriculture (D.P.E.. Bureau de la Sélection végé- Ecomusée de la Grande Lande tale et des Semencesl, 78 rue de Varenne 75700 PARIS : L0630 SABRES . au Secrétariat du Comité technique permanent de la Sélection des plantes cultivées (C.T.P.S.). La Minière 78280 GUYANCOURT. · nu c.N.1.u., s.i=. 309 sus: xmms csaex. HON ('0URAGl» REGLEMENT TECHNIQUE D'INSCRIPTION pierre GUY AU CATALOGUE OFFICIEL FRANCAIS LISTE PARTICULIERS : 'VARIHEB ANCIENNES D'AHATEURS' A li;-E; La diversité des plantes légumièrcs : hier, au- jourdui cl demain- 220 p. 100 F TTC, Est admise a figurer sur la liste particulière "variétés anciennes d'amateurs°' _}ël€G' 57* mm (uvwr 7523l l?"ri$' Côdcx 05 toute variété ancienne d‘smateur répertoriée et agréée par l'Association des H'·C et DOC. 1}. VUE l·•|V0\S\(‘! Conservatoires français d'F.spëces végétales, et pour laquelle l'Association ré- 7538A PARlS CEDEX 08 gionale ou national dispose d'informations justificatives. Recherche et Conservation des Races et Espèces en voie de disparition en France 7/. p. Par variétés anciennes dites d‘amateurs on entend les variétés notoirement con- . nues depuis au moins 30 ans. peu ou trè; diffusées, présentant ou pouvant pré- FFSPN 57• rue Cuvier 75231 PARIS CEDEX 05 senter un intérêt : - en raison de leur qualité de rusticité dans certains terroirs ; - comme élément du patrimoine culturel ; - comme élément du patrimoine génétique. _ _ _ _ _ Pour que cette reglementation soit utile, il faut présenter ces vieilles variétés au · catalo- La demande d'inscription doit être formulée auprès du secrétariat du Comité gue, par l'intermédiaire CIE l'â$$0ClaU°“ des technique permanent de la Sélection (C.T.P.S.|, La Minière 78280 GUYANGOUR'Fy- Conservatoires français d'E5pèçg5 végétales par l'intermédialre de l'Association des COnservatoires français d'l-Zspèces vé- · · gétales, I00 rue du Jardin botanique 54600 VILLERS-LES-NANCY. ètzgôol-\";îLîëR£.,aïÈl; Nîîàêçlque L'inscription est subordonnée a la founiture des pièces justificatives suivan- tes x - documentation se rapportant aux origines de la variété et A son exploitation passée 2 Lettre du hérisson n° 5l, — nov 86 5
C`O7}lZZ(îxE727)l§üZ:S` Z(7' [/îflllff EU/W€L”}I}E (jf /E7Z'L`I7`U}I}I£’/7I£’7IlJ LEAQIHIDENT . 'T f~:* . ___ u Paris, le L Q `iiuï ESC,.) Monsieur le Président, A 1'initiative des Chefs d'Etat et de Gouvernement de la Communauté Economique Européenne, l'année 1987 sera "l‘Année Européenne de l'E.nvironnement"- Cette décision reflète la prise de conscience qui s’est progressivement créée et développée, â travers toute la Communauté, de l‘importance vitale de la protection de l'environnement pour les générations qui viennent. Afin de leur donner le plus large écho, la préparation des manifestations qui marquent cette Année Européenne de l'Environnement vient d'ëtre engagée au sein des instances communautaires, ainsi qu'au niveau de chaque Etat-·membre- En France, le Comité National que j'ai accepté de présider s‘est réuni.le 26 juin dernier, à l'initiative du Ministre délégué â l'Environnement, H- Alain CARlGNON- Je joins à cette lettre la composition de ce Comité National- Pour souligner sa volonté de participer aux manifestations qui marqueront ainsi l'année 1987, le Comité Français pour l'Année Européenne de 1'Environnement a décidé de retenir comme thèmes prioritaires sur le plan national : - l'arbre et la forêt ; - l'eau et l'air ; — l'économie et l’environnement ; - l'environnement et la qualité de la vie au quotidien ; - la défense du patrimoine, la protection des sites et l‘identité culturelle. Il est infiniment souhaitable que cette action soit relayée au niveau des collectivités locales, et d'abord des régions, =:in de sensibiliser le corps social à la préoccupation de protéger l'env‘2ronnement. C'est la raison pour laquelle j'exprime le voeu que vous accqçïiez de constituer, au niveau de votre région, une structure légere, mais aussi efficace que possible, en vue de définir, de décider et de finanter les actions propres â prolonger, dans votre région, et avec la spécüîicité qui s'impose, l'effort national- Je suis convaincue que vous partagerez mon souci que la Franre, au niveau national, mais aussi â celui de chacune de nos régions, donne ainsi â l'Année Européenne de l'Environnement l'éclat qu'elle. mériae, vous en remercie, et vous prie de croire, Monsieur le Président, à l'¢1presion de ma haute considération- (bx O\/~J~ (AM ( LEUFE du hé[`iSSOl'l I'1° RA — nov R6 R ~ - "*·**
dg Ã: ..%u•un/É À /'.%r»ï•aya»v•»4‘ À gzulscîy af Ju âygfogà Z ' / , Zaua, 4 3 octobre 1986 Monsieur le Président, Vous avez reçu de Madane Sùnone VEIL, qui a bien voulu accepter de présider le Comité français pour l'Année Européenne de l'Environnenent, une lettre par laquelle elle vous demande d'animer me structure à l'échelle régionale que vous pourriez constituer afin de préparer et mettre en oeuvre cette Année Européenne dans votre région. _ Celle-ci se déroulera du 21 mars 1987 au 21 mars 1988 et sera lancée officiellement dans quelques semaines. Elle gagnera à être fortement ancrée au ni veau territorial. La structure régionale, restreinte et représentative, qui serait cons- tituée à votre convenance, serait m relais indispensable à la réussi te de cette mnée voulue par tous les chefs des états menbres de la Covmtnauté Eco- ncmique Européenne. · Si vous acceptez le principe, je demanderai aux pféfets de vous assu- rer le concours des services de l'Etat et particulièrenent des délégués régio- naux à l'archi tecture et à l'environne·nent. Vous pourrez ccmpter aussi sur l'appui des services déconcentrœ des organismes publics qui sont déjà prévenus du cadre géwéral de cette Année. Mcn cabinet et mes services, cmmeceux du secrétariat du ccmité fran- çais, sont, bien entendu, à votre dispositicn pour vous donner toute informa- tion ccmplénentaire. ` Veuillez croire, Monsieur le Président, à l'assurance de mes ' sentiments les meilleurs · _ BAAo\(_}•Ã Alain CARIGNON Monsieur Marcel RUDLOFF F·rr‘s1Ldent du Conseil Régional d’Alsace lu, rue du Général de Castelnau B.P. 1006 F 67070 STRASBOURG CEDEX Lettre du hérisson n° 54 - nov 86 7 Li .'/:·¢n~·· 'Qî..:.,.«,,·. »î;.1.·$/· _'.§;·( _,-ju.) · 2-’£nÃ÷,« ··· if 5] Jr.}: · (T/Ã.: .£Z·«»«}·« 6`7r6`¢=1
ANNEE EUROPEENNE DE L'ENVIRONNEMENl : CA PREND `IUURNURE· _/ictuellement. De nombreux dossiers sont arrivés au Comité National Français pour l'Année Européenne de l'Environnement (BP 43 - 92204 NEUILLY/SElNE CEDEX). Une première réunion du Comité National le 15.10 a examiné les dossiers arrivés avant le 9.10 au Ministère et a décerné le label à un certain nombre de projets. Les dossiers non acceptés le 15.10 sont toujours en course mais le plus souvent sont,soit mal présentés (relations très lointaines avec l'Europe) ou bien sont en concurrence avec d'autres projets du même type (c‘est fré- quent) et demandent une réécriture ou une concertation pour tout rensei- gnement sur votre dossier tél. au 1.47.58.12.12 Pour l'avenir 1- une seconde réunion au niveau national est prévue le 16.12 qui (ré)exa- minera les dossiers arrivés avant le 1er décembre. 2- Une décentralisation est en train de se mettre en place (voir les lettres de Mme WEIL et M. CARIGNON). Plus vous arriverez à convaincre les élus, plus vous risquez d'avoir des retombées financières (au budget 1987 ou primitif 1988, l'Année Européenne s‘arrêtant le 21 mars 1988). 3- Si vous avez un excellent dossier, il est possible de le proposer auss'. à la CEE. 4- ll semble que' les sujets sont "in" concernant 'les ’relations économie-envi- ronnement, par contre les projets oiseaux sont "out". En conséquence Envoyez vos projets : - au niveau national et - au niveau régional (Conseil Régional, DRAE, Préfet de Région), ou dépar- temental - et une copie à la FFSPN (P. DELACROIX fait partie du Comité National) - éventuellement à BRUXELLES. ]. SERVAN LELLTP (hl l‘\($I"iQ€Zhh I'\° RA .L rirur RR R
CHASSE DU GIBIER D’EAU : L'ONC FAIT CIRCULER· VOI CI LA CIRCULAIRE DONT L'ONC A DEMANDE LA DIFFUSION AUX GARDES 9lB9QLê£BE-ê-QlEEQêEB-ê!§-§êB9`ê§ Objet : Chasse du gibier d'eau Mon attention a été appelée tout particulièrement par les difficultés d'application de certains textes relatifs à la chasse du gibier d'eau qui entraînent des conflits d'interprétation sur le terrain, tant par les chasseurs, que par les gardes de l'Office National de la Chasse. Pour éviter toute erreur en la matière, et le rejet des procès—verbaux par les Tribunaux, il m'a semblé tout d'abord opportun de préciser la définition des termes ci-après, afin d'éviter toute équivoque dans la lecture des textes régle- mentaires. EëêîE-Q§-‘2lEEQ§lQU POUR ATTRIBUTION POUR INFORMATION . MM. Les Présidents des Fé— . Chefs de service, dérations Départementales des Chasseurs, . Agent comptable, · . M. Le Contrôleur des Bri— . Secrétariat du Directeur, gades Mobiles Antibracon- nage, . Union Nationale des Fédéra- tions Départementales des . MM. Les Chefs des C.N.E.R.A. · Chasseurs, . MM. Les Directeurs de Réser— . Direction de la Protection ves Nationales de Chasse. de la Nature. Lettre du hérisson n° *3/, — nov 86 Q
appeau: instrument utilisé par l'homme pour attirer un animal par le bruit qu'il produit. appelant 2 animal vivant de même espèce que le gibier, destiné à attirer ses congénères par ses — appels ; il est normalement attaché (attelé) et peut être éjointé. ' chanterelle : animal mis en cage, utilisé pour attirer par son chant des oiseaux-gibier. L'utilisation des appeaux, appelants ou chante- relles fait généralement l'objet de dispositions figurant à l'arrêté réglementaire permanent sur la police de la chasse du département conformément à l'article 373, alinéa 4 1°) du Code Rural. Dans ces conditions, leur utilisation ne peut être sanctionnée ainsi que le prévoit l'article 376-6°) du Code Rural. forme ou blette : objet en bois ou en plastique imitant plus ou moins fidèlement la forme d’un animal, appelé très improprement ”appelant artificiel' par certains auteurs. Son utilisation en France, à la chasse, ne fait pour le moment l'objet d'aucune réglemen- tation, ni interdiction ; son utilisation est donc licite en tous lieux. installation fixe sur le domaine maritime et les plans d'eau v installation construite par la main de l'homme sans point de rattachement avec le rivage : une jetée n'est pas une installation fixe car elle est reliée à la côte, au contraire des phares isolés en pleine mer ou des plates-formes pétrolières. Par ailleurs, je tiens à rappeler les termes de ma _circulaire n° 77-26 SJ en date du 12 juillet 1977 par laquelle il a été donné instruction aux gardes de ne relever les infractions à l'interdiction de chasse de nuit que dans les périodes en deçà des deux heures avant le lever du soleil et au-delà des deux heures après son coucher. D'autre part, vous trouverez en annexe la liste des départements où l'utilisation des huttes, tonnes ou gabions est constante et fait partie des usages locaux. J Enfin, le transport sur le domaine terrestre des appelants-oiseaux issus d'élevages d'autres espèces que celles prévues par l'arrêté du 1er juillet 1985 (canard colvert, faisan de chasse, perdrix rouge, perdrix grise, pigeon ramier, étourneau) par les chasseurs doit normalement faire l'objet d'autorisations délivrées par les Directions Départementales de l'Agriculture et de la Forêt concernées. Cependant, cette réglementation devant être mise en place après des aménagements spécifiques, je vous demande, en l'attente, de vous borner à la rédaction des comptes rendus donnés à l'encontre des chasseurs de bonne foi. Les chasseurs sur le Domaine Public Maritime bénéficient quant à eux d'autorisations de transport de canards colvert délivrées par Les Affaires Maritimes et qui leur sont remises par leur Association de Chasse môme. · Le Directeur de l'Officc National de la Chasse 10 J- *mRV^T
ANNEXE 9§EêBTEMENT§-QQ-Ll9TILI§êT£QN Qêê-H9TT§§I-TQ§H§§-Q9-§ê§IQB§-E§T-§QM§TêMT§ ET-EêIT-EêBTlE-QE§-9§ê§§ê-LQ§ê9ë 02 AISNE 47 LOT ET GARONNE 07 ARDECHE 49 MAINE ET LOIRE 08 ARDENNES ` 50 MANCHE 09 ARIEGE 51 MARNE 10 AUBE 55 MEUSE 11 AUDE 59 NORD 13 BOUCHES DE RHONE 60 OISE 14 CALVADOS 61 ORNE 17 CHARENTE MARITIME 62 PAS DE CALAIS' 22 COTE DU NORD 64 PYRENEES ATLANTIQUES 26 DROME 65 HAUTES PYRENEES 27 EURE · 66 PYRENEES ORIENTALES 28 EURE ET LOIR 69 RHONE · 29 FINISTERE 70 HAUTE SAQNE 31 HAUTE GARONNE 71 SAQNE ET LOIRE 33 GIRONDE 76 SEINE MARITIME 34 HERAULT 77 SEINE ET MARNE 35 ILLE ET VIDAINE 80 SOMME 37 INDRE ET LOIRE 84 vAUcLUSE 40 LANDES 85 VENDEE ` 44 LOIRE ATLANTIQUE 89 YONNE MM M
4-Q . FORMATION FFSPN — PROGRAMME Nous rappelons le programme des stages de formation des mois de novembre et décembre. DE plus, î§__notcr : En ce qui concerne Ie stage organisé par la SEPNB intitulé "Promotion d'un équi- pement de découverte de la nature" les 3 week—end sont reportés aux dates suivantes : 20.11.86 . 21.22.2.87 ; 28.29.3.87 Il est donc toujours temps de s'y inscrire. GERER LA COMMUNICATION D’UNE ASSOCIATION - 22.23 Nov. 86 — ST PRIX (95) Concevoir, réaliser, lancer, évaluer une action de communication. URGENT. IL RESTE ENCORE DES PLACES LE JOURNAL D’ASSOCIATION - 8.9.10.11 DEC. 86 - METZ (57) "ce qu‘on veut dire" en relation avec le public auquel on s'adresse. Différentes méthodes de conception et d'impression — Les possibilités de diffusion. NOUVELLES TECHNOLOGIES AU SERVICE DU TRANSFERT DE L’INFORMATION Première partie - du 1 au 5 déc. 86 réservée aux cadres des associations — : collecter, exploiter et diffuser l'information. Comment créer un réseau d'informa- tions documentaires. Deuxième partie — du 10 au 12 déc. 86 pour le personnel administratif- : comment gérer quotidiennement un centre de documentation. PARTICIPER A L’ELABORATION D’UN PLAN D’OCCUPATION DES SOLS — 12.15 Déc 86- ST JEAN DE BRAYE (A5) Quels sont les différents documents d'urbanisme - Qu'est ce que le P.©.S.- Quels sont ses objectifs - Notion de préservation et de protection de la nature dans le P.©.S. Lettre du hérisson n° 54 — nov 86 12