L A L EJ T T] R E ..... ...... ,..1 " ` L É E E E E S S QN BIMENSUEL • N° 27 • lc" JUIL 85 sommaire EDITORIAL ...... ...... ...... P. s FAUNE S D·MDARS0 SUR L'IMPORTATION DANS LA COMMUNAUTE P. 4 DES PRODUITS DERIVES DES SSS PNDQDS CONTINUE UNE GRANDE PREMIERE .... .... c.- .... ~ ......... .... P.- 4 CHINE .... - ..... .... · .... .... ...... P. 4 MASSACRE DE TORTUES MARINS AU PARADIS ........ P. 5 MILIEUX NATURELS ............. .- ....... - ................... P.s/S POLLUTION . RHONE POULENC, UNE FOIS DE PLUS RESPONSABLE DE LA DESTRUCTION DE LA T/IE AQUATIQUE. P.7 POLLUTION AUTOMOBILE .... ....... P.‘8 EN BREF S 1985 ANNEE INTERNATIONALE DE LA JEUNESSE.‘...‘.'.'. P.'9 LAUREATS DU CONCOURS "LA NATURE SSI PARTOUT"...· ..... P.- 10 EXPOS ..... ...... ...... .............. - .... P.- 11 ETE as .... - ..... ...... .... ..... .... .... P.- 11/12 PETITES ANNONCES .- .... ..... P.- 12 %q’Vlsn19°°°°q$ 1
CAMPAGNE " Levez le pied " DE NOUVEAUX AUTOCOLLANTS A LA F F S P N Il Ne ITI'éCI`ôS€Z PaS ····’ Vendu sur place à la FFSPN à 5 F et par correspondance 5 F + 2,10 F de port X @5 Q È ) °? è ·âî·· «>;~ e e 0 ^ ·$ ê * ‘^ ‘è> •·`r? e ’° É »<> ¤~ o <>)». ¢ it ~/ ’ 9 °·• vr — wo ’2· 8* Q <"" ¢.¤` 0 ( §·‘ / . % " ê° ê ’ë« T È / /` % ·&» ’ .. § § ·· —.·- /· .· ,.,. È È ` . .?;2«;«î¥I€2ëÉï%% " Q $ xx- ' I ·§::3É2îî;;È:î"` à _ Q H ' Luiz;. i,’ -1 ·1"ïÈL.É%. 9 ‘ ``”` · l> ‘ ‘ :';:"`c~ _` , ,_,·_·;·_·;,_‘,};_§g,;,_;:¢;,:·';·. ; ;Q·,,I·_:_.ëIÀ· .IÃ.·;;¤.·.u14¢Aâ$u¥ NE M’ECRASEZ I-F5 Ivllre du Hér-sscm est Ia pubI-cstlon blmennuellc de In Fédéruhon Il--ançîulnse Idea, Socltétés de Protectln-- de In Nature et de I'OHIce des Im-vr cs nternnlonnlen. Iïnrcleur de In p-·bIIc¤tI¤n : Y. HENASSI ·|h·-I\u'I1··-1 : I·'.I·'.5.I’.N - 57. rue (`·vIer - 752JI PARIS Cédex OS I-··|·-~·;·.m-1 : UFFICE DFS NOUVELLES INTERNATIONALES ly U, VIIIn des |·`Ieur• ÉIZLOQ COURBEVOIE Lettre du hérisson - n° 27 · juillet 85 2
I ' O f O ' E I 0 I' I (I LES VACANCES APPROCHENT,,, MJMBRE D'ENTRE NOUS VONT ENFIN POUVOIR DÉLAISSER UN TEMPS LES RÉUNIONS, LES PAPERASSES QUI SONT DEVENUES LE LOT COMMUN DE BIEN DES PROTECTEURS DE LA NATURE. MUS ALLONS ENFIN TROUVER LE LOISIR D'ALLER VOIR ET OBSERVER CETTE NATURE QUI POURRAIT PAR INSTANT SEMH.ER UN MYTHE AU TRAVERS DES DOSSIERS, DES ÃPRES DISCUSSIONS OU DES NEGOCIATIONS A N'EN PLUS FINIR QUI EN MASQUENT LA RÉALITÉ· C'EsT LE MOMENT DE "PRENDRE son PIED" ET D'ESPÉRER ou'uN LDUR nous SERONS ASSEZ ORGA· NISÉS POUR POUVOIR CONCILIER TOUT AU LONG DE L'ANNÉE LE PIED ET LA NÉCESSITÉ... ALORS BONNES VACANCES A TOUS I ET SI, PAR HASARD, LES CONDITIONS CLIMATIQUES SE RÉVÉLAIENT TROP DÉSASTREUSES, UN CONSEIL : LISEZ "CHASSE AUX LOUPS ET AUTRES CHASSES EN BASSES BRETAGNE”DE E,W,L, DAVIES (PUBLI· cmî GRATu1TE...) TOUT PASTEUR GALL01s 0u'1L ÉTAIT, L'AUTEUR SILLONNANT LA RÉGION DE CARHAIX EN 1855 ET TÉMOIGNE D'UNE CERTAINE FACON DE VIVRE QUI VAUT D'ÉTRE CONNUE, CE N'ÉTAIT PAS FORCÉMENT LE "BON TEMPS", MAIS IL Y AVAIT DE SACRÉS BONSHOMMES ET UN PAYS où LE REMEMBREMENT N'ÉTAIT PAS ENCORE PASSÉ, DEAN PIERRE RAFFIN Lettre du hérisson n°27 - juillet 85 3
I'EIfIBAR§Q SUR UIMPIIRTAIIIIN IIAIIIS IA IQIIIIIIIIII- IIAIIIE I ES ERQDIIIT§ DERIIIES DE§ §E§E§ EIjQ§IUE§ CONTINUE CHINE Le Bureau Européen de l’Environnement (BEE) et la Fédération Française des Sociétés de Pro- |_A PQUPATIQN DE5 5IN(;E5 RHÉSUS EN AUGMENTA-HON tection de la Nature (FFSPN) sont heureux d’ap- prendre que la Commission Européenne a fait la proposition de prolonger pour une durée illimitée En 1982, il ne restait que 700 singes Rhésus l’embargo sur l’importation dans la Communauté dans la réserve naturelle de Province de Henan, des produits dérivés des bébés phoques harpés la plus grande de la Chine du Nord. et à capuchon. Les mesures efficaces de la protection de cette Le BEE et la FFSPN veulent spécialement féliciter espèce prises par le gouvernement de cette pro- le commissaire M. Stanley CLINTON DAVIS pour vince ont permis non seulement d’arrêter la la ferme position qu’il a prise sur ce point chute des populations de cette espèce, mais de lors de la rencontre avec les autorités canadien- la voir doublel en 2 ans. Actuellement, on re- nes. En cette Gccurence , les Canadiens ont fort cense 1800 spécimens dans la réserve. essayé de convaincre M. CLINTON DAVID de met- tre fin à l’embargo actuel de la CEE sur l'im- Le gouvernement provincial a dépensé 60.000$ portation des peaux de bébés phoques qui vien- l’année dernière pour la sauvegarde de cette dra à expiration en octobre 1985, mais sans espèce qui voit 8es populations déclinël`. dans succès. le monde entier (20 millions au début du siècle, 500 000 aujourd’hui). UNE GRANDE PREMIERE · BRIGADES ‘ANTI·BRACONNAGE AU UN COUPLE DE CIGOGNES À LA RESERVE DE BRUGES KENYA (AQUITAINE) Fred Perte! (Na/vasha W/Id Life and Fisheries Deux cigognes en migration ont fait escale à la Training Institule, Nairobi) réserve de Bruges, gérée par la SEPANSO,membre de la FFSPN. NAIROBI, KENYA : Les efforts faits pour sauver la faune commencent à donner des Sans doute l’endroit leur a plu, car elles y ont résultats. Vers 1975, la situation était fait leur nid. critique pour certaines espèces, comme le rhinocéros. En 1977, le gouvernement C’est un événement dans cet espace protégé, interdit la chasse au gibier, et un an créé voici deux ans, Pour les protecteurs de la après, les trophées de ehasse. nature, c’est la confirmation de l’utilité de la I En 1978, le Kenya devait affecter 5 réserve de Bruges comme lieu d’accueil de mul- "•1ïI1¤¤S de $ à la Cî`éaÈ1¤'} d"-mc Unité tiples espèces d’oiseaux mtgmteurs. ¤¤î1ç¤r¤¤¤fत¤¤ et jé |m1111¤¤SP¤¤ $ 8¤>< aires es gar e-ctaszzse. our une Les cigognes blanches sont des oiseaux de plus Cffmaclçé ma"l'"BlE_· il gÉ‘·'t 15 Qîmmëa en plus rares. Elles sont entièrement protégées pîr Zéh1°Ul°' éfqulfîés tund émî (Eur" en Europe depuis plusieurs années, Mais mal- E CCC? t€tUï`·b _d@d Uslî 9 I? _d€"d‘îS· heureusement, sur leur zones d’hivernage en ép E dE,.ïj1.gatîc°mpCE Sur. ai 8.w:E Afrique, elles sont encore chassées dans certains F `fcau ln ma Urs' GUX`cl perçol pays 10% de la valeur des trophées découverts D’où cette chute Importante des populations des et “"“’ ‘?‘"“" de 1 "‘""T‘d" ""'S"?" R" les . . . braconniers. Les régions éloignees du cigognes : en 1927, il y avait encore 173 cou- ._ . . , . parc sont surveillées par des patrouil- ples en alsace et en 1974, il n en restait plus 1 d. é . ne 9 es—ra io a riennes. (1 · I 'Cette lutte a coûté au ¤payS IB lesé assqciations de protecttion t-de lla natuïe TîÈ1fî§Tïi;Jrî’ îmînéïèal_n;c’L"Éî_'èî;'2?_';l’ E’J32’°'ld.““§. °îâïZg“§. â'ë.°"àî..îZ“î,§.. ‘°Z§îI.t.î lm ·'=°°1°¤i¤~E de est ê ga é , , P inestimable. Mais ces frais ont récem- mrs e E P&r““°“• K ment doublé, et quelle que soit la b0n¤@ ` _ volonté du gouvernement, il risque ` d‘être difficile de trouver les moyens _ financiers nécessaires. Paru le II avril 85. 825 mots. Anglais seulement. Lettre du hérisson n°27 - ]uillet 85 A
. r . •·‘ ——-—• O L I E UX—·—NATURELS— Environnement (sites naturel;} N91!). — 27 mai l9B5. - M. Bernard Stpal expose A M. le mlnlstrn de l'¤gr|¤ultttr• que le décret du l2 octobre I977, contra·rement A ce qu avan imposé le législateur, dresse un tableau extiattstif des outrages ou travaux soumls A l'étude d'im· pact d'apr s ea crilères iès A la nature des travaux, A leur taille DE et A leur coûl. ll en résulle que les ouvrages ou les travaux sus· PAR vIs6s, qul ne sont pas mentlonnés dans ce dberot, sont exclus du champ d'¤FpIIeat|on de I'ttrtIcIe 2 de la lol du I0 julllst l976, relatlve A a protection de la nature. Se référant A des décIara· tlons de sclentlflques émlnents, dont l'objecllvité ne sauralt être W/nelle Àd/Stlbfefâ (SIRH! Harapan) mise en cause. il lui demande de lui confirmer si des travaux hydraulittues de grande ampleur peuvent échapper aux disposi· _ tlons de 'article 2 de la loi prècit e. par la substitution au terme BALI, INDONESIE:Les artisans pêCl'leurS de « aménagement », de l'expression « assainissement et valorisation l - île ont tron pêché les tortues marines ’ des terres agricolestw. Par ailleurs, il lui demande s'il·envisage de ( t d 1 t a ) . faire de l_étude dlmpact applicable aux travaux dhydraultque Cal`? Sr îî Us P B r ou Caou nos qui agricole visés A larticle l75 du code rural, et tout pamculière· ment aux opérations d'asséchement des marais et des zones Sont cn vole de dlspurj tion dans leurs hurttïles, une _étude de_recherche optimale portant sur le _bien· t ,1 t t. , t d fon du projet, la rational-té de linveatissemenl, le choix du Eaux C 1 S Sün Con rain S E 98 site, et non plus une étude catègonelle excluant de son champ tourner vero d·outreS ESpèc€S_ ïapplieation le Éometne fconomlquedet juatilîtttnt lei patttttgns L ' 1¤¤¤¤e¤îe est 1'¤¤ des vive afee nîittiï Ã`tT°ÉÈ`J'iraÃ`·ÉrrÃrè. ÉðÈÈ"ið'àavÈÉriÈ"Ci°t°`§É'·ÈtÈstte. fil exportateurs de produits tirés des dttversité ties exploitattts duèsotéet auxt qualittés intrinsèqttes dde · K, · (_- · c aque r gion nature e, rev t ormais une mportance on a· tortues ' bien qu ’elln "0lt "1 gnatalrn _ de mentale au plantéconomique et écologique, et impose une lecture la CI TES (Convention sur lc Commerce in— scrupuleuse de larticle 2 de la loi pr citée. Une étude d'environ· temetleeele eee eeeeeee le feuee et ee 3Z§“ïât.ïî'S£“î·0°.îLLî àïînïëllàïrlîr’·i‘;°;‘Z,‘;.;"l§2°.2l"i°l“î2‘ . . . - . u in · Flvre se-luvnnün mcnavêea u ¤><t1¤¤t1¤¤)·C¤ ressantes et les plus fragiles, se traduira vraisemblablement par ggmmarpa ]_t_jj_ a rappprté 2 mj_]_]_j_pn5 da des soltàtions ptartctuelles tcréatienttle reserves naturelles, mise en — · œuvre une r gementation sp ct ique qui ne constituent que dollars nn 1979' tn Outre' la viande de des palliatifs et n'ap|t>0rtent pas de réponse adaptée A des pro· tortue est un aliment de base chez les bIèmes_globaux, touc ant au mode d'exploitation agricole ou A la lndoneeiene dcs côtea _ On massacre à régression spectaculaire des zonee humides de l'Ouest, aux consé· _ 000 t t , quencee très néfastes sur les milieux naturels. _4u contraire, u_ne Ball plus dc 3 vr uos par an· étude s lnspirant des méthodes comparatives ulilisées par les bio· D·aprè5 la Fgndg mondial pour la logisîsset lesàécttnomatstes atnelricâins, qui_attrait_(pour tabjeetif ta . conn -s ance e a v eur r e e es zones umi es, e un s'e · nature (FMN) les tortues qui se nour' forcerait d'établir un inventaire complet de leurs foncctions el rissent au large de l’Indonésie vont carecténstiques pour détermtner. ensuite._leur valeur en termes pour SE reproduire Juequrœn Australia et financiers, aboutirait A un processus de D’autres font leur nid en Indonésie, _ leere eeeie eeet Peeeliee ee tree eteee ml; ;.îZ.:2£2 àî“ê;;v'£;,l’;::.ï;‘.’a;°l; î2,2;‘;.€Li‘;‘,;*:2î;tî.f nombre et les tortues qui devraient laire des zones humides en Euro e de l'0uest, et plus particullè· . , . P , . grandir dans les pays voisins sont rementldeâ conséquencesdqueèftt-t pete; t: · rs te u ro rsmme ass c emen es eeelemeet ¤·e¤eeeee·Le FMN Peeemeeeee eee E8;. *1,.. M.,?t,a.î.. .. I., Gtr.,...t.. t·at..t ·.tt·..l.,t.· ·· la revherche Et la Qëstlon des p¤l3¤la— miqtte des programmes de_ valorisationlagtticolel de grange . . (_ . x e trepns. par exemp e. ans es marais e tlonn nomnnnnn nolnnt nffnntnnnn nn ransitalineîzînnonrtsdèsrormais la nècessitè de maintenir la diver- collaboration avec la Papouasie/Nouvel le sité biologi ue liée A la diversilé des exploilants du sol et aux Guinée, l`AUStI'alie, les Philippines et ttuslitès Intânsèques de cheque région nelurellet Sur le plan de 1 M 1 l l I t d pèrato s dassèchement sur · env ronnement. a oursui e es o i n a B Elysie . des zones aussl fraeites que les mara-s lltloraux, entralnant la dis· Pour que la pêtlhe à la tortue parltion eu la mottilicaliontprofonde deetzonesàhtttnttlepàtmetftgfâ. · ,. .· A , ' ' eaviaune uipa icipe q ri e · nubnlntn et profite _ aux plus dé`°né1 lt'éS' gioîtrenslu rnilieulllattrtttl. Or la convention de Ramsar, qui tend A l ' lndonésie devrait , dit le FMN , protéger les milieux, en prenant notamment en comple les phéno· l"?e“ii'.e i’e*l°°'ieil°".‘ie illee lee l"°· llâ'lî‘.li"l‘âf.Iîl.î'?.§'.ï;’,‘§,L‘âît°3*2f,..l·l‘t§’£"l',î.,f.l.,î.§’tI`.î.'Llll°£`·“î.'2§§lli duits tires de cet anims]-: réduire de d'interférences locales et tranâfrontalières, engage la tirance A °' és l h 'd 'i ortance internationa e. sinon 7°‘° 1“ 'é°·°lt" lee °"“’tS' tt “°°'°ît“ l’J..·î§"«î§ zî,'..à°r'lî.î.lt.t`Z§*T‘«§§ maïâ tt .«tr.tttv. ..·· 7».«»_c.a.a. le ereteetlee des eleaee ou ee trouvent relative A la conservation des oiseaux sauvages a introduit clans nids et DEU f`s. âolre droit eositift en renforeatnt leur_po¢ttéei les sletirtards · · — · · ' e e re ose ' conomie e a con n ion. _ Pourtant ’ le Dr ' Rublnl Atmawldeiaea ’ afgritrîe Ètleaigxt. lsux rtermes de l'article 3, la responsabilité de directeur général de la protection des l'Etat dans le domaine de la présetvatieti, dlu matnlien ou rtu. ‘ ét bll t d 'l' aturels. n e et, a pro ection ou a forêts nt- nn la nonnnrvntlon on la testiorîsîlnsnts stîesntstllrtdrissociable d'une proteclion ou d'une neturef dit de ee rapport Z npourquol gestion des hagitats. Celles·cl ne peuvent se réaltser qu'en fonc· 8 ' l¤ClU1étel` des tortues vertes? Quelle tlon d'un territoire donné : la gestioti du contenu elmpliquce Ittege: eet le eltiereeee eeëre Un eeelet et Une i2.‘l2.‘âi.,°.?.“‘î,2Zâii.,E.‘l§‘ÉSî‘°·2!àï.J··2§"â2t,ï‘,‘î}è'tIZrf’,‘ë‘lt,.i.,,àH; t0l`tUe? Il est inutile de s'inquiéte1.·, lee etude; contmandées par lee] mitlistères ¤l'lten¤§¤t1ft,¤t\'¤|?t¤tt•\tt t t ue es r onses ponctue es une ques ion go e.i nonn nnvonn lon élnvnrl En créant don dzrrnaclide: l¤ tte bien vouloir lui indiquer. lrès concrètement, élevages de tortues: nous pouvons los comment les principes et les catégories juridiques évoqués ci· traitar gamma ]_a5 pgulgtg , " dessus sont et seront intègrés dans notre droit positif. ainsi que la Si Pétudc du F-MN est Just-L 1. Indo façon dont le Gouvernement] français exâcute. dans ses câioix `v ` polltlques et administratifs, 'obligalion e moyens mis sa nésie com te ses tortues avant u’elles char s ar le drnlt lntamallonal et communautnlrez 2° de lul · «— n n rtcterpla menlère dont la France cnlcnd a pliquer les méca· n éclo ont P P " ' nlsmes prévus par la convention el la direclive prècltéeu. face, d'une pm, aux menaces d'uli|isnll-in indualrielle d'usséchement Paru 10 29 mars 8*3. 7UO mots. Anglais st a11emantl, des prnlrles alluvlaltas de la baëéleî îeme âd'lrtiporlurt:e ttntemw tionale, selon le cassement . . . et, 'nu re pa , ace au gigantisme du projel d'assèchemeni des mara-s vendèens. c0nsi· ' dèrès comme le deuxième centre d'hivernage français pour les canurds et les oies, une zone de relais essenlielle pour l'avifaune migralrice, les grands limicoles, et une zone humide d'intérét international pour la nidilicalion de certaines espèces. Lettre du hérisson r1°27 - ]ui11et 85 S
DEBOISEMENT 14 T"}; -.:1*,;} ·,~; W" - 1 _ WL ,v;à-_ ) :1% Wâwssx, . ·L*— ·'”""* . ,, É ' ‘ '· ·· ·• . ‘ 1 ' " , ` ' ·,A·l' , ' ”.?·* ,..«' ' É;x,w ·«:î,_; W 'vfë- ‘ __ M - `ïàty} ` ' I ' I , ' I, _.î . · 3- I jl., M;. · · s· )'*;.Z'•~".` _ · ' _ élàb-)#•". ` ·` « ` . t Il '> · Il .ë ' ' I ",·,`l ,' I · I . '1 ·“.· 1 îe•î?" .» Ã.; ·~·’< ,. · ·. · _ ‘ ' `>•·"% “ ,_ . —- ' l, J , Q- I ’ ·, · "vi"- ir, IF l' .. f ' I ` · ' ·~. Ã: ·' E- , ** É . _ <__ ·' . ‘- · ·· r .·.·' '- · . ._.' ‘ · T- ' " " , ` · ' ; ; I t·f;· \ I " ‘ ·" ni}, grip · -_ l ·I · 1- M, ..1 gi |_ Xa" V · I ` _ · _ I_ ,—. .. Y? y A A A A . T , * ~.— t-- A _. i· ` . 1 · X" I J"- A '. ’ u Il il I L N · l '.’;: I. I. ` U" l' l-I" I ,¢ - -;·_-un - --I I . Z _·', , -,_’r" ,, _ Y}! ··'·'« «·" · E-., . _ ¤ ;' ` " ' -" - l · ~·*~> A ·, .` _ Il · ·.g,_.’ ~° __ · — " . "‘···:·`.’- ·` ·;*"F“. s¤gémù¢:— ·: ,—¤,;*T—" ‘· ·· .'»· `· "’·" . , ·.._*;,· · .. - . J·._~t_-__,— · _ «.·` · r,_· \· "` _,,,.‘;,·.·#` · ·.fI_§T`·2"?‘;;¢=;·, ,',;»'L IF, .- J- ·, , ‘- *4, · =_§ . T · '""` îÃ._Q§"--,v‘» «.. ,~- ¢·:··;«·sf·‘T‘?‘·&. QY?$’*?ûî?""ï#`-?'·l';'»?*É`*‘î?P'· — lé" ` "2·~···î ï'”"‘°“* LLT . ~"—·'l"‘ëî* .·‘· __._ _ ,, '·,·.,f§f ·_ ._,;.ïj*5_`! ` , _° _ _ :5 *‘?-Èçx _`; ‘· 1 ·«.·â`s:f" ' “ ï ·· ""`- ‘· FV ».¢»V’k` faiëî ‘¢, ·*`· » "'*•¤· " —'*ë1*'·.` LES FORETS HUMIDES VICTIMES DES Afrique, l‘8><r>l¤ît8t襤 f¤1”¤Stïè1“€ FSM PRQFHEURS avec l‘agriculture· paysanne, la princi- pale cause du déboisement. En Indonesie, . . . . l‘agriculture fait disparaître 202 000 Cathenne Cauf/eld (New Scxentzst, GB) ha de Forêts par an, d,ap1_èS la FAO, soit k seulement de la superficie _ . . touchée par l‘abattage. LgNu|ëESt' QÉBS.fïèîfsdëlupgîîàêsVïu/Èàîîs Avec les forêts disparaissent des gm En , ll bu '° S_ nt UC 2,,, millions d‘espèces de faune et de flore, îeg qu BE È" ncîincîugrîïînt q Fertîles qui perdent leur habitat. Beaucoup sont g O B' d,x lltaurt 8 2 mèdes et dé inconnus de la science, mais on peut Sulëuëes a lvmulnl S' 8 pm forêts Sont juger de leur potentiel par les decou- gëtl lis uuu C Gué Cut`? 20,,, ont vertes passées : sans elles, nous d. rul BS îë Papi Gmuu que M n‘aurions ni quinine, ni café, ni caout- lsëâëïqîêi déîïîiœ quelque am da,- ~1 bm d‘a~t»S ¤wd~1tS thea- remplaçable'? Pour vendre le bois pour puutlquuuuu industriels . . 8 loiter i,O et le FEF du ’SOUt__ Certains estiment qu‘il faut sacri- Sëï O aclè îtœ 185 SU Brficigs fier ces forêts pour le bien des pauvres lé. gut ru p et des sans terre, mais leur exploita- Cu l`/LES' FO êt humides Servant UX tion profite surtout à un petit groupe OU Br S nt F ds S U 3 E de Sécurité d‘investisseurs et de consommateurs et gou; rréîznaîdeî lei; réjfcîrnlîes agraires Le accentue lliuégalitéb Et le reste du . ` . ' de en pâtit. Brésil n‘a pas besoin de mettre en mon culture l‘Amaronie. S1 les autres terres Pam le B mus 8,5. 8,,0 mmm Anglais, espagnol arables étaient plus équitablement et a11€,,,,m,,_ réparties, chaque famille disposerait de - A ha. Mais actuellement, £s,5% des îroprlétallrîâ ttîfrl8nSlpOSSèd8nt78O1,f° 385 In the Rainforest par Catherine Caufield est BITES CU lva 85* a OFS que '° ES pnbliô par Heinemann, Londres et Alfred A Xnopf, ménages lZ`LJlZ`€|UX TTIOTTÈ DGS de t8lZ`I`(?· New York, mars 1985. U0.95 sterling. En Asie du Sud—Est, cn Océanie et vn Lettre du hérisson n°27 — juillet B5 6
._• • I `:?·ÉÃe1::ɤ·È`:;É}.!·?j ' "·‘·'*e·°’°·"' POUR un NOUVEAU REGARD SUR LA MER î GREENPEACE, l’association internationale qui ="È s’occupe depuis 10 ans de la défense de l’envi- ~»·. WNW ronnement marin, vous propose de découvrir _— trois expositions qui vous permettront d’avoir """ . ,1,,- un nouveau regard sur la mer. ·.¤W -,,,. ";\· `TFT. 1/ 10 ans de résistance pour sauver la mer. 'I"} ··;N_N` . . ¢.;l;··:?__ Les 26 photos des actions les plus spectaculaires /.lyj\j§T\j\`e° ”""-,_ de GREENPEACE en mer. ` 'É,';î*_È‘ 30 cadres A0 x 50 cm, plus caisse de transport; .1 ry ·%?°""' I`I‘§·g__ P0ids total : 80 kg. Il ' L 2/ Vivre avec les baleines Exposition des32 plus belles images de Bill Curt- i}_ singer, photographe sous-marin. É , ·—.È ·\ 32 cadres 50 x 60 cm'plus caisse de transport; .,. _/ " ._ poids total 105 kg. '‘'· "" · *<»*~*= ·._·, 3/ A ma mer 25 panneaux de 60 x 80 représentant les dessins b f du livre "A ma mer" 6 n Pour connaître les tarifs de location, s’adresser à: jean Marc PIAS - GREENPEACE 3, rue de la Bûcherie 75005 PARIS- Tél. 325.91.37 N et as 1985 ANNEE INTERNATIONALE DE LA JEUNESSE Dans le cadre de cette Année Internationale de ’ __ _ _ ’ _ la jeunegge, 1'UICN prépare un Ouvrage de ré- Le Centre d Initiation a l Environnement de St férèhce sur la jeunesse, I’éne1-gie et la eenser- Bonnet Tronçais organise du 16 au 20 juillet 85 vation de le nature, un stage sur le thème : lecture du a sa e. L’objectif de ce stage est d’offrir aux partici- Un des objectifs essentiels de cet ouvrage est P•î¤ï$ une aPPr°ehe dwersîflee du Paysagehbaî de souligner ce que font ]_e5 jeuneg dans le dg- sée SUI des méthodes d analyses Complémèhïâltês. maine de la conservation de la nature et du développement, notamment au niveau communau- · la d€$CrîPü°“ du PeY$eSe l _ taire. - l’histoire du paysage, son evolution, son devenir, L’UICN invite donc toutes les personnes qui au- — le paysage et Sa g¢St. raient des informations utiles à ce sujet (cou- l , pures de presse, bibliographies, livres, tout Le Prix du Stage (hebergement et "°“r¤mr° autre matériel.,) de les adresser au : C¤mP1`ï$) î 9OO·0O F Secrétariat de l’UICN Inscriptions. Avenue du Mont Blanc cu 1196 GLAND (Suisse) C·1·E de TRCNCMS ST BONNET DE TRONCAIS Tél. 16.70.06.1l».69 Lettre du hérisson n°27 - juillet 85 9
— — -;_ — _«._ ·_ - — · · ———IT . · ····..—.··—····················,·..·....·.·.·...... -.—......................i..._.___ . , LAUREATS GIM CGNCUURB ..» ¤¤ J · 1 ws ez nr < "~··2.. E 1 12 un .- . .~. È ,· È É un < · ~< 5 L r.· I 1 _ ¤ /_. I L Q .,.1 K 1,1 [f' rt s 1:1 ._.1 [P @U 1 è • <;·,`_ gg gg _I,I«e· .1 _·.:I_ (I '- · 9h' : IFI ·¢ I I. E * " » -« I I I à_)4_d-`I->.\II(IQ-;.I:-3;.-.,: II .«f' _ cms de la num 11 Maison des Jeunes . _. BaiIIeuI I @6 `I1;1Ig I.: C.D.P.N.E. -11*1%-**** ‘, . . .. . . - wir •~ CMF I Melier Populaire . U 1 ' d'Urb•ni$me l 'I" lil".'···' I·.··'···"··.·"' . 1 . °° "*°""'L“‘° « Lescàmis du I 1 1 -· 1 , Fô§0U· I ¤»·..,0...·¤ 1 ...,.. 1; .1 ·.~·1. ·. . . NWW; 1~ ,.1;% ’T W‘¢*,,, 1 W i È ;.1s ,.~ à . !m m 1 ' " r . e R ' ` 1 ··· ···· ···· ········ ,.,,, , , ,,,,,., , , ,.,,,,,.,, , ,.,,,, 1 3 p R I X 1· MNVVW}l K A 1 5 · . UNI- ` S l W PEDAGOGIE URIGINALITE SPECIAL du JURYS · . . . · . . . . . . . ; . .... Eolaireuses de France I} ^ S_O_5_ Twrims I SIF|’!QU!|'fIih($ H°rsin_C°Up1gng aI_e n n o •I • e s • e e o e • • e o n n n s e e • e • • eYe • • •_ e __e* o ' e Ie 'IofeIlqofeFofefoïoïefefefeîexefeII .;..I . —1=1 1==1 . 11 , . 5.... .. . av:. _f _ . I ` ·\` il": . §·_É ·"‘î? · îhb dl? j¢•:.l'•e$ 1 Ebb Nature du II 1 ‘ FIR Lorraine ' ï· VIRDNNEHEHT IQ .1 °*·•* M W — couàge Le ans ' — 1 . ._.· -_. 1 I. _; cnmus la wm. I ¤¤w¤•¤•= Fé"°"`°“°° ïrîfi EcE A_:‘îi]^ ° I _ l ' _- :.z—·;î::.;.:·`:·.'T·.;§'.::;·,·r:.:.;::. 11 . .à l` 7 ?,* _ · T. _ _ "T""*""* "'!.îr’·T;yî>A -'1"`“'I"""*" "" -}:‘-' ' ` ‘:' - . . I ` " A · gg SIOUIIÉÉH Pfviro · Ek d C ui 1 _ ` `_ Ã_11_E`.È in . I ww W mm '1 " """“" 11 É·"··· È'·¤° °° * 1 1111' TF' A ouoo........ E`11"¢ 1.;..- L°”‘“' l “"*‘ $""*'"°"‘ 15 1 $°“"""'·"·""*°°°" 1. ······ 1 11 1——1? ëé1a"1»; oin. A ··1' <; 1 r1 1 3 "`1 rr ïèïf 4 F . F . S. P . N. - Lettre du hérisson n°27 — juîllet 85 10
——-——·————EXPOS——ï··— —————···—··ETE—85—ï—·ï M \ Cf EXPOSITION "L'AFFICHE ET LA NATURE" A BLOIS / \ /'\f Du ll, juin au 7 septembre 1985, la galerie IB Pr / rf Marge, 2 place du Château à Blois, présente une exrposütiom "l’Affiche et la Nature" réalisée avec la`collaboration de la Fédération Régionale des RENCONTRES ECOLOGIQUES INTERNATIONALES Associations de protection de l’Environnement CET ETE du Centre (FRAPEC). Lorsque les concepts de conservation de la natu- re ont émergé avec force au début des années ·-2-agi-` U au 70, de nombreux moyens de communication, presse , . . . écrite, édition, radio, télévision, se sont empa- àîsegelâuon dâ PF°te<ü1&n¥,Rdî Mîecherche .et rés de ce thème pour informer ou alerter l’opi- m la cm au ai-a}$’ , ’’’’ , ’ e°°rgam` men Ubu ue se cette rencontre trinationale (Italiano-germano· P q ' française), réunissant des jeunes de 18 à 25 ans Une recherche récente a permis de mettre en évi- S interessant aux pmblemes ee°1°g1que$’ dence que l’affiche tenait également une place , _ importante comme support de communication pour gn a°ub1e. tïeme tsera abîme a travers de "°m' transmettre, diffuser des idées et des informa- reuses WSI es e reneen res' tions sur la nature et l’environnement. On esti- 1 dé t d h .d me en effet que, depuis près de vingt ans, des ` âIeg&1r:ïrT`îiienï)"e?Le1rîî ÈtîreEîîî:_‘_p`àÈ;iC;.erâïiniïââ-É découvrir les différents types de marais de la servatoire du Littoral, Parcs Nationaux, Agenceà reîaon et 1 mtervemmn de 1 homme dans ees de Bassin, Agence Nationale pour la Récupération ml 1eux' et l’Elimination des Déchets, etc.) et de nom- 1, t d . breuses associations nationales, régionales et ` locales ont édité au moins 300 affiches "à mes- . . . , . se es., Par son action sur le milieu, l homme a adopte g ’ un mode de vie propre à ces régions. L’exposition présente une sélection d’affiches . . choisies non seulement pour leur qualité graphi- get? _re_ne°nÉ,re ecarnptera 21 P‘““°‘P““‘$· d°m que, mais aussi avec la préoccupation de faire S aglalres rança1S’ découvrir une production représentative de ces , _ . vingt dernières années et de mettre en évidence ge; glehégjrgement ' le centre de la Chimère la diversité des centres d’intérêt, De nombreux _e· em a e ' °ll ' ` à l’édi i , . âëticsàes&ettîc1he\;Sï"îàî¤â`;¤:;nI;¤î:2rîàP1î Z Savignîrè Coût î F/pergonne (hebergement, nourrltufë Sempé, Samivel, Moebius, Tabary, Montellier, et aetwl S ’ ;·‘ï1î_;,deîat' de Mm!-' Pratesh Bau-nel' Boot" . Etude du milieu et tourisme à bord d’une pé- "' nic e voi e sur ’ lbe: A cette manifestation, s’ajoute la publication , d’un catalogue d’exposition avec une présenta- Du 2 au 12 $ep,tembre' entre Hambeurg et 1 em` tien generale de A, Arbeusse_Bestîde' De plus, bouchure de l Elbe, cette rencontre concerne avec le censeurs de six artistes Michel également les jeunes français, allemands et ita- CHARPENTIER, R0bert uAmARt>, Philippe LEGEN- 1‘°“$ d° 18 à 25 a“$· DRE KVATER, Dominique MANSION.’ jacques RIME C d é, _ et Catherine SEGHERS, la galerie La Marge édite °men“ U S Jem" spécialement un tirage limité de 6 affiches ori- h d blé é 1,, d _ _ gînalesi signées ets numérotées d(f¤;na; )5g X 55, · îëïàîîênëdeëîeptîv régi; pos s par lh ustria Impressum sur papœr à gram E Wes ' - découverte touristique de la vallée de l’Elbe, Uexpesîüen est Ouverte tous les jours, sauf - rencontres avec des groupes de citoyens (Ecolo- dimanche et lundi, de 9 h 30 à 12 h et de 14 glstes") h à 18 h 30. . Coût: 1300 F/personne, les frais du voyage sont Le Merge 2 place du Château A1000 BLOIS pris en charge par l’Office Franco Allemand Tel, (54) 2,8,18.05 pour la jeunesse, gëejjdes 3 Clés, 45000 ORLEANS Pour tout contact 2 l’A.P.R.IM. au (L6) 84.22.34 Lettre du hérisosn n°27 - juillet 85 11
·-Q Q PETITES—ANNONCES— Le "DEUTSCHER ]UGENDBUND FUR NATURBEO- BACHTUNG" organise du 12 au 26 Août 1985, un stage écologique franco-allemand pour les jeunes de 15 à 25 ans, gëherche tobjecàeur pour Ãlovembre t85désur Limâ- , P0$ 6 1 nimation ans une é ration e - végétation subméditerranée du Kaisers- protection de la nature, travail en équipe, con- tuhl, oiseaux et amphibiens dans les anciens tact FLEPNA, 11, rue ]auvion, 87000 LIMOGES bras du Rhin, mort de la forêt en Forêt Noire, Tél. (55)32.9S·58 le mouvement Ecologique sur les deux côtés du Rhin (Bade-Alsace)- Ce sont les principaux thèmes qui seront abor- dés lors de ce stage, Lieu : Ecole de Whyl/Rhin Prix : 540,00 F • Inscriptions: D]N Ute Kramer Këm€î`h°1ZW€8 3 Recherche objecteur pour novembre 85 sur D- 3000 HANNOVER 91 (RFA) Limoges, poste : lancement d’un secteur vente de papier recyclé, travail de comptabilité, inté- ressant, contact, FLEPNA, ll rue jauvion 87000 LIMOGES , Tél. (55)32.95.58 ' ·‘·· FINLANDE WE•.c0ME T0 PARIKKALA Nëmus CAMPUS ljljnlveg-sité d'l·lel5l¤kl, wwF,Fl¤la¤de et lg La Société Française de Droit de l’Environnement municipalité de la ville de Parikkala organisent recherche ¤¤ ¤bj€C1` P¤¤1` ¤¤V€mb1`€ 85 $¤' du 26 juillet au 4 Août 1985, un Camp lmet-na- Limoges, profil : formation en droit, poste: con- tional pour les 300 jeunes, 5'imé;-eggam aux sultations juridiques, rédaction de la revue de sciences naturelles et à la protection de l’Envi— · ronnement, Contact: FLÈPNA ll, IUC ]a\1VîOh 87000 LIMOGES- Tél. (55)32.95.58 Si vous aimez le camping et la nature, si vous voulez approfondir vos connaissances sur la protection de l’environnement en Finlande, si vous voulez visiter à pied ou â. vélo les plus beaux sites de ce pays, contactez : Parikkala Nemus Campus 59100 Parikkala (Finlande) • L - ,, ettre du hérisson N 27 - juillet 85 12
·•·• • •SPECIALT————————ASS0CIATI0NS • · · L EDITORIAL ....... ...... ` .... ‘ ..... P. 13 UN MECENE ? POURQUOI PAS ? P. 14 CECI VOUS CONCERNE : UN NOUVEAU SERVICE POUR LES ASSOCIATIONS ..... P. 15 A PROPOS DU RAPPORT' DE LA "COMMISSION PICON". P. 15/16 ' d ‘ I ‘ I DEUX LETTRES DU HERISSON POUR LE PRIX D'UNE ? COMPTE TENU DES PROBLEMES SOULEVÉS A L'ASSEMH.ÉE GÉNÉRALE DEVANT DES REPRÉSENTANTS DE L'ADMINISTRATION, IL N'ÉTAIT PLUS POSSIBLE DE MAINTENIR LA FORMULE ACTUELLE SANS FAIRE COURIR DE GROS RISQUES A LA LETTRE DU HÉRISSON. DÉSORMAIS, NOUS PUBLIERONS DONC 2 LETTRES DU HÉRISSON. L'UNE QUI CONTIENDRA LES INFORMATIONS GÉNÉRALES ET UN SUPPLEMENT RÉSERVÉ AUX ASSOCIATIONS MEMBRES DE LA FFSPN. NOUS ESPER0NS RUE LES INCONVÉNIENTS SERONT LES PLUS FAIBLES POSSIBUESI MAIS NOUS N'AVONS PAS D'AU`IRES MOYENS· A CE PROPOS, NOUS RAPPELONS QUE LES ASSOCIATIONS (ET UNIQUEMENT ELLES) PEUVENT PRENDRE DES ABONNEMENTS SUPPLEMENTAIRES AU PRIX DE 235.LIO F (cE PRIX SERA MUDIEIE LE 1ER SEPTEMBRE). DÉPÉCHEZ·VOUS ! J.P. LE DUC SECRÉTAIRE GÉNÉRAL Lettre du hérisson n°27 ·» juillet 85 13
QUELQUES CONSElLS. — faire un dossier court, très beau (photos cou- leur très conseillées), — bien énoncer, .l'objectif recherché . les moyens mis en oeuvre . le résultat attendu (préciser les délais) RAPPOIITER DE L ARGENT -1<-=1>¤<1s<-=t . les concours obtenus·espérés ou souhaités — ne pas oublier qu'un mécène, en général, veut financer un acte positif (éviter les cam- pagnes contre...) et souhaite qu'il y ait du "concret" à la fin. - bien indiquer qui contacter pour obtenir des précisions ou négocier (nom(s), adresse(s), UN MECENE ? numéro(s) de téléphone). POURQUOI PAS ? Le dossier idéal (mais parfois l'originalité prime !) comporte A fiches (objectifs, moyens, résultats, budget et concours). Depuis le début de l'année, la FFSPN a effectué une réflexion et une prospection sur les possi— Aidez—nous 2 envoyer vos dossiers sous forme de bilités de mécénat. fiches insérées dans une feuille plastique compor- tant une perforation pour classeur (21 x 29,7) Tout n'est pas simple. ll faut trouver des gens prêts à donner de l'argent et il faut ensuite qu'ils nous conviennent (et tout le monde n'est _ VQU5 AVEZ DE5 ]DEE5_ pas d’accord sur les limites). FAITES LES FlNANCER. En Février 1985, nous avions proposé au Minis- tère de l'Environnement de lancer une campagne sur le mécénat pour la protection de la Nature. "lntéressant!" nous a répondu le conseiller tech- ].P. LE DUC nique mais il réfléchit encore. Secrétaire général Compte tenu qu'il est impossible d'attendre la fin de la réflexion du Ministère et après avoir étudié la question avec un cabinet de relations_ publiques, nous allons essayer nous-mêmes. 3 opérations FFSPN ont été ou vont être financées. C’est donc possible. Aussi, nous nous proposons de dresser un cata- logue de projets des associations membres de la FFSPN susceptibles d'intéresser un mécène et, soit en profitant des occasions, soit en recher- shmt systématiquement, nous présenterons ce catalogue à ceux qui ont des sous. Envoyez—nous donc les dossiers que vous souhai- teriez voir financer. Si possible, avant le 15 septembre (mais il n'y a pas de dates limites, nous ajouterons au "catalogue" les projets au fur et à mesure qu'ils nous parviendront). Dès que nous aurons trouvé un mécène intéressé, nous vous mettrons en relation avec lui et après... à vous de jouer. Lettre du hérisson n°27 — juillet 85 14
A PROPOS DU RAPPORT DE LA "COMMISSION PICON" CECI VOUS CONCERNE LA LETTRE DU PROFESSEUR DE RICQLES DE L'UNIVERSITE PARIS VII QUE NOUS PUBLIONS CI- APRES S'ADRESSE NON SEULEMENT AUX ENSEI- GNANTS DES SCIENCES NATURELLES, MAIS EGALE- MENT A TOUS LES RESPONSABLES DES ASSOCIA-* TIONS DE PROTECTION DE LA NATURE AFIN A DATER DU ler SEPTEMBRE 1985· Ia FFsEN met QU'ILS REAGISSENT FACE Aux PROJETS DE MODI- en`place un service juridique pour ies &550Ci¤- FICATION DE L'E‘NSE‘IGNEMENT DES SCIENCES NA- tions ednerentes- TURELLES QUI POURRAIENT ETRE DOMMAGEABLES A TOUT LE SYSTEME EDUCATIF DE NOTRE PAYS.- COMMENT FONCTIONNE—T—IL ? De nombreux biologistes, naturalistes, ensei- Vous posez par écrit une questi0n· Si elle C0n- gnants, etc. s'étaient émus, à juste titre, il cerne un dossier, joindre toutes les pièces néces- y a deux ans, du"Ràpport TAVLITSKI" concernant saires à la ComP1`éh€n5ïon du Problème- l'enseignement de la biologie dans le Secondaire (et, par rétroactnn—., dans le Supérieur!), Di- Dans le délai d'un mois, notre avocat vous ré- verses Associations et Sociétés savantes avaient P0nd. donc, à l'époque, pris leurs responsabilités et 7 adressé au Ministère (le Ministre était alors VOUS REPONDEZ A TOUT . M. SAVARY), un certain nombre de remarques critiques qui, pour un temps, parurent avoir Bien entendu, ce service ne `pOI`te `PBS que Sur prises en eom·pte_ des renseignements simples et ne nécessitmtpas une étude juridique très poussée. D'autre part, Puis à la "Commission TAVLITSKI" succéda la il n'est répondu qu'aux questions concernant "Commission PICON". Son président, M. L. PICON, l'activité d'une association membre de la FFSPN- Professeur de Physiologie animale à l'Université Cela exclut tous les ees Personnels- PARIS VII, ne cacha jamais son accord fondamen~ tal avec les options du Rapport TAVLITSKY. COMBIEN CELA COUTE—T—IL ? A l'heure actuelle, le rapport de la "Commission Rien (mais soyez aimable de joindre un timbre piQON·• e5t enfin diffuse, par ies seins du Mi- Pour le réponse on Peftrsnentssement neeesseîre nistère (Secrétariat d'Etat aux Ifniversités) sous au retour de Votre dosster)- forme d'une annexe de 13 pages à la Circulaire du 3 Mai 1985 adressée aux Présidents d'Univer— OU ECRIRE ? sités et signée par Madame BLONDEL, Directeur des Enseignements supérieurs. FFSPN — Sce ]uridique I. ame 57, rue Cuvier Il est de la plus/timportance que tous les biolo- 75231 PARIS Cédex 05 gistes et naturalistes (y compris paléontologues et géologues) prennent rapidement connaissance ET PUIS ? de ce document, réfléchissent soigneusement à ’ ses implications et enjeux, et que les Associa- Les questions d'interët général (et les réponses) tions et Sociétés Savantes en discutent puis pren seront publiées dans 18. Lettre du HéI`iSSOn. nent, une fois encore, es Sualiteg, ]_eur5 regpon- sabilités. ATTENTION 2 ' Il ne saurait être question de tenter ici une ana Aucune uestion n'e5t acceptée et aucune réponse ]_y5e du "rgpport ou projet P1CQN"_ 5'agit n est onn e par téléphone. d'un travail très habile et intelligent, et qui est fort loin de ne présenter que des aspects En CES d'uI`genCe, VOuS pouvez utiliser le télex. néga_tj_f5_ On y remarque une multitude de de- clarations,de bonne intentions vis—à—vis de la Biologie évolutive qui, prises au pied de la lettre, sont fort satisfaisantes et devraient ras- surer et réjouir tous les naturalistes (on note d'ailleurs un refrain identique émanant simul- tanément du CNRS dans des documents récents, sans que ces bonnes intentions aient été suivies, jusqu'ici, d'actions très concrètes, à ce qu'il semble). Lettre du hérisson n°27 - ]uillet 85 15
" ~···-»··--·« Nous vous rappelons que les prochains envois trimestriels d'informations, destinés aux asso- T°“t°f°i$• sans v°“1°ir faire de Prœès d'i“œ“` ciations—membres de la FFSPN auront lieu les tien à qui que ee e<>ît· 11 y e tout de même 15 SEPTEMBRE et LE 15 ¤EcEMBRE 1985. lieu, pour les naturalistes, de manifester la Plus Grande Vigilance- L'îmP°rta“œ eeems de Si vous voulez informer d'autres associations la "biologie éVOlUtîV€" Ch ûhhéê de MHTÈFÉSE de vos activîtésh envoyez 350 EXEMPLAUQES d'îm— d'E¤ee12¤eme¤t· eur 1¤que11e îueiete 1e "vrejet primés au plus mm une date PlCON", n'est pas dénuée, en effet, de cer- d·em,oi à; taines ambiguïtés. De fait, si, par exemple, la proportion "un lièvre" (de Biologie naturaliste)/ FFSPN "un cheval" (de Biologie moléculaire) était ins- BP 263 taurée en "Biologie évolutive" dans le projet et La Corderie Royale si, au prix d'un tel accroissement de cette 173O5 ROCHEFORT CEDEX "biologie évolutive"—là en Maîtrise, on laissait supprimer, comme explicitement prévu, toute la Biologie naturaliste en Premier Cycle et sa li- mitation à peu de chose en Licence, il est alors évident que les divers aspects de la biologie "naturaliste" subiraient, à terme, une margina- lisation institutionnelle sans précédent dans @-9 l’Enseignement Secondaire, comme dans les Uni- versités. y` · (x Que dire aussi face à ce projet de "l'autonomie" ’,, _ \ " 6% des Universités dans l'élaboration de leurs cur- - .. ,·•·_' · sus d'Enseignement de 1er et 2e Cycles? Que ' dire, enfin, des dangers de dogmatisme (sans I 1 parler de l'irréalisme pratique), introduits com- me conséquences d'une promotion peut être désé- quilibrée de la Biologie moléculaire, alors que les besoins sociaux en Biologie de l'Environne— ment et donc en Biologie naturaliste sensu lato- sont plus criants que jamais ? ll ne, s'agit là bien sûr que de quelques élé- ments de réflexion. Le "projet PlCON" ne paraît pas, loin de là, entièrement négatif (en tou,t © cas dans sa formulation) et il est certainement modifiable, améliorable. Mais, pour cela, il me paraît capital que les Sociétés Savantes et As- © sociations concernées animent le débat en leur sein puis prennent, soit individuellement, soit collectivement, toutes mesures concrètes qu'elles O `A jugeront utiles, face à ce problème capital, non seulement pour nos disciplines, mais aussi, à P (- terme, pour tout le système éducatif dans ce J | ··: pays. 7 _; , ]e me permets donc respectueusement de suggérer `/` V ,, , _ jl · \ que cette question urgente soit po·rtée à l'ordre _ .· · ', M1 _x\ w du jour d'une prochaine réunion` de la Société ,·., ··/ ,·_'_ * que vous présidez. ·. |,,_ , ' 1 I ' Paris, le 7 ]uin 1985 1 A. DE RlCQLES I Professeur en Biologie évolutive ‘ Université PARlS Vll ' Lettre du hérisson n°27 — juillet 85 16