n·56 —. J I- A ~ RISSQN LA LETERE DU EE , I Q ê du MUSÉE da PICARDIE ` Rue de la Républlqus HIIDIIU ÀMIÈIIB EDITORIAL ....................................... P. 3/4 POLLUTION CAMPAGNE SUR LA SEINE ............. P. 5 ENERGIE NUCLEAIRE : QU'EN PENSENT LES FRANCAIS ............................ P. 5 EUROPE DECHETS ET DECHARGES .............. P. 6 CHASSE MIGRATIONS : UNE SITUATION ALARMANTE P. 6 FAUNE UN PROJET DE VILLAGE VACANCES MET EN PERIL L'AIRE LA PLUS SEPTENTRIONALE D'EUROPE DU VAUTOUR PERCNOPTERE .... P. 6 MEDIA PETITE HISTOIRE D'UNE MIGRATION RADIOPHONIQUE ...................... P. 7 FAUNE-FLORE PLANTES ET VERTEBRES MENACES EN REGION M EDI TERRA NEENNE FRANCAISE ........................... P. 7 MANIFESTATIONS UNE IDEE VENUE DE MENIGOUTE ..... P. 7/8 CONFERENCE D'OTTAWA MAI JUIN 86.. P. 8/9/10 FORET GLISSEMENT DE TERRAIN DANS LE CANTON D'OBW/ILDEN ................. P. 10 VIE ASSOCIATIVE AGRICULTURE ENVIRONNEMENT ........ P. 10 DIALOGUES D'ASSOCIATIONS .......... P. 11 RECOMMANDATIONS AUX ASSOCIATIONS BENEFICIANT DES AIDES DU FNDVA ..... P. 11/12 LA LPO OUVRE LA BOUTIQUE AUX OISEAUX ............................... P. 12 FORMATION REPORT DE DATES ...................... P. 13 ANNONCES ........................................ P. 13 DERNIERE MINUTE A LIRE ABSOLUMENT .................. P. 13 A.E. E. CALENDRIER DE L'ANNEE EUROPEENNE DE L'ENVIRONNEMENT ................. P. 14 à 18 ·l:_l"·' · 뀧1;:CT
· Peut—on concilier agriculture et cnvironmeuwnit ? lelle est la question que s'est posée la Fédération française des sociétés _de pro- tection de la nature (FFSPN). Ses responsables constatent tout d'abord : *'·- -sfr-·· L" r_` qu'on ne peut parler de protection de la nature sans souligner le rôle :%.4 O"-____r _r_ '?`-`È""l` que jouent leg: agriculteurs: qui serait mieux placé qu'eux pour assurer la aauvegardc du patrimoine naturel, alors que près de 90 % du terri- l·•~J·€‘,· .2. _· _ toire français est rural ? · il , . . l . - Et pourtant, les méthodes actuelles d agriculture intensive L qi X présentent des risques importants, pour 1'environnement d'une part, tkqî pour la qualité des produits d'autre part. Comment concilier les contraintes économiques réelles qui pèsent sur le monde de la pro- duction agricole et le souci de préserver l'environnement et de présenter au consommateurs des produits non seulement beaux mais également bons '? V ii EFF"? · . . . Cinq groupes de travail ont étudié les différents aspects L- .. . ·- .J·‘3·=~"-i'-M lâ"? de la question: restructuration de l'espace rural, outils et énergie consommée, formation et information des agriculteurs, diversité régionale des productions agricoles, sauvegarde des races et des espèces en voie de disparition: autant de voies et de propositions pour une meilleure cohabitation "Agriculture et environnement". 320 pages, 130 F La Lettre du Hérbon est la publication bimensuelle de la Fédération Française des Sociétés de Protection dc la Nature et de l'Office des Nouvelles Internationales. Directeur de la publication : M. Y. BENASSI Responsables dc la publication : P. DELACROIX et _].P. LE DUC Secrétaire de rédaction : Sophie CHA|.I\N|)R|i Secrétariat : _]e·inine LOISEAUX Maquette : |·`rô¢|éric Impression : OFFICE DES NOUV|€l.l.i€S INTERNATIONALES - 8, villa des Fleurs - 92400 COURBEVOIE.
··—‘·i··‘·‘*‘ oR'^° g ··ï··—·· DECENTRALISATION, P.O.S. ET GESTION DES RESSOURCES LA DÉCENTRALISATION, POSITIVE QUAND ELLE RAPPROCHE LES ACTEURS DE L'AMÉNAGEMENT DE L'ESPACE SUR LEQUEL ILS SONT CONDUITS À INTERVENIR, POSITIVE QUAND ELLE MET EN VALEUR LA COMMUNE, CELLULE DE BA· SE DE L'AMÉNAGEMENT, PEUT ETRE CEPENDANT LA PIRE DESI CHOSES, CAR ELLE S'ACCOMPAGNE D'EFFETS PERVERS. EN EFFET, LE PROCESSUS DE DECENTRALISATION, EN AUGMENTANT LES POUVOIRS DES ÉLUS LOCAUX, DEVRAIT LES RESPONSABILISER EN CONSÉQUENCE. CE N'EST PAS TOU.DURS LE CAS. EN OUTRE, CETTE RESPONSABILISATION PASSE PAR LE NÉCESSAIRE CONTROLE DE LÉGALITE, PAR LE PRÉFET ET LES SERVICES DE L'ETAT, D'UN CERTAIN NOMBRE D'OPÉRATIONS. FORCE EST DE CONSTATER QUE CES CONTROLES NE SONT NI ASSURÉS, NI ASSUMÉS ET QU'IL N'Y A PLUS, OU QU'IL N'Y A PAS DE VOLONTE POLITIQUE DANS CE SENS. CET ÉTAT DE FAIT MET LES ASSOCIATIONS EN PREMIERE LIGNE, PUISQU'ELLES SONT DÉSORMAIS LE SEUL CONTRE· POUVOIR QUI PEUT EVENTUELLEMENT FAIRE FACE AUX EXCES DE POUVOIRS D'ÉLUS LOCAUX. CELA S'EXPLIQUE BIEN ENTENDU PAR LA PROXIMITE ET LE CARACTERE DIRECT DES CONTACTS, MAIS AUSSI PAR LA NATURE MEME DU CONTEXTE ACTUEL...LES CONFLITS DEVIENNENT PLUS ÉVIDENTS, DES LORS QUE LES RAPPORTS DE FORCE NE SONT PAS BIEN ÉTABLIS, ET QUE LA JURISPRUDENCE EST EN COURS DE FORMATION. DANS CE CONTEXTE, LE PROJET DE LOI SUR LE P.O.S, DÉJÀ ADOPTÉ, EN PREMIÈRE LECTURE, PAR LES DEUX CHAMBRES, EST PRÉOCCUPANT. EN EFFET, LORSQU'UN P.O.S DÉJÀ APPROUVÉ EST MIS EN RÉVISION, CE PROJET DE LOI LAISSE AUX ÉLUS LO· CAUX UN DEGRE DE LIBERTE PRATIQUEMENT ABSOLU DE MENER À LEUR GUISE LA POLITIQUE D'AMÉNAGEMENT DE L'ESPACE COMMUNAL : EN EFFET, IL LEUR EST PERMIS DE PRENDRE TOUTES DÉCISIONS AU BÉNÉFICE DU f_Lk jyg P.O.S, ET Nou EN FONCTION nu P.O.S EN couas DE RÉVISION...C'EST AINSI 0uE L'0N RISQUE D'ASSIS· TER À DE NOMBREUSES MISES EN RÉVISION "PROVISOIRE·PERMANENTE"!.. LES P.O.S CONSTITUENT UN OUTIL MINIMUM DE GESTION DE L'ESPACE, MAIS S'IL.S PERMETTENT UNE GRANDE EFFICACITE AU PLAN DE L'URBANISME (INSTITUTION DES ZONAGES), IL LEUR MANQUE UNE DIMENSION MAJEURE, QUI EST CELLE DE LA PRISE EN COMPTE DE LA GESTION DES RESSOURCES ESSENTIELLES. POUR ILLUSTRER CE DERNIER PROPOS, UN EXEMPLE CONCRET 1 DANS LE CADRE D'UNE ÉTUDE D'ENVIRONNEMENT PRÉALABLE A LA RÉALISATION D'UN P.O.S SUR CINQ COMMUNES D'UN CANTON DU NORD FINISTERE, NOUS AVONS ÉTE AMENÉS À CONSTATER, SUR LE TERRAIN, DANS DES ZONEZ DEVANT ETRE CLASSÉES NA, DES PRATIQUES IN· COMPATIBLES AVEC LA SAUVEGARDE DE LA QUALITE DE LA RESSOURCE EN EAU. DANS CES COMMUNES DE LA ZO· NE LÉGUMIERE DU LÉON, LE MOINDRE METRE CARRÉ EST MIS EN PRODUCTION INTENSIVE. LES FONDS DE VALLÉE, AUTREFOIS PRAIRIES DE FAUCHE, LES ZONES DE FORTES PENTES QUI, TRADITIONNELLEMENT, RESTAIENT EN HERBE, SONT PRESQUE SYSTEMATIQUEMENT MIS EN CULTURE ET PLANTES DE CHOUX FLEURS ET ARTICHAUTS, JUSQU'AUX Lettre du hérisson n° 56 — déc. 86 3
BORDS MEME DES RIVIERES. CES COMMUNES DÉTIENNENT LES RECORDS FINISTÉRIENS DE LA P(1LUTION DES EAUX PAR LES NITRATES. ELLES PRÉSENTENT LE TRISTE PRIVILEGE D'OFFRIR À LEURS ADMINISTRÉS DE L'EAU QUI N'EST PLUS POTABLE PUISQU'ELLE PRÉSENTE, AU ROBINET, DES TAUX DE NITRATES SUPÉRIEURS À lm MG/L. DANS CETTE ZONE EGALEMENT, EN lga), LA CHARGE MOYENNE EN ANIMAUX PAR HECTARE DE SURFACE AGRICOLE UTILE (S.A.U.) ÉTAIT DE 2,33 Bovms, 15 PORcs, 8îT V(l.AII.LES. DEPUIS, cEs cmmzrs N'0NT FAIT 0u'Au<aMEN1ER. ON NE PEUT PLUS SE CONTENTER DE GÉRER UN ESPACE PAR DES MESURES DE ZONAGE, ADAPTÉES UNIQUEMENT AU REGLEMENT DES PROHEMES D'URBANISME, ET PRESQU'INOPÉRANTES DANS LE DOMAINE DE LA GESTION DES ACTIVITÉS. CETTE LACUNE DES P.0.S EST ENCORE PLUS ÉVIDENTE DANS LES SECTEURS ÉCOLOGIQUEMENT TRES SENSIBLES. IL EST ANORMAL ET DANGEREUX QU'UNE ACTIVITÉ QUELCONQUE, QUELLE QU'ELLE SOIT, QUEL QUE SOIT SON POIDS ÉCONOMIQUE, METIE EN PÉRIL UNE RESSOURCE VITALE, ET FASSE SUPPORTER LE COOT SOCIAL ET LE COOT ÉCONOMIQUE DE SES CHOIX PAR L'ENSEMBLE DE LA C(IJ.ECTIVITÉ. ALORS POURQUOI AVOIR RAPPROCHE DANS LE TITRE DE CET EDITO CES TROIS NOTIONS A PRIORI SANS LIEU ÉVI· DENT ? TOUT SIMPLEMENT POUR AFFIRMER QU'lL NOUS APPARTIENT D'INFORMER LES ÉLUS, PLUS LARGEMENT LA C(IJ.ECTIVITÉ COMMUNALE TOUTE ENTIERE, DE CES PROBLEMES ET DE LEUR NECESSAIRE PRISE EN COMPTE. IL NE FAUT PLUS SE CONTENTER SELLEMENT DE CRITIQUER TEL OU TEL P.0.S. IL FAUT PRÉSENTER DES PROPOSITIONS DE GESTION DE L'ESPACE PRENANT EN COMPTE RÉELLEMENT UNE GESTION PÉRENNE DES RESSOURCES, PAR UN CONTROLE DES ACTIVITÉS. LES ÉLUS LOCAUX DOIVENT ETRE PRENEURS DE CE T'YPE DE PROPOSITIONS. PLUS TOT ELLES SERONT PRÉSENTÉES, PLUS ELI.ES AURONT DE CHANCES D'ETRE ACCEPTÉES ET INTÉGRÉES DANS LES PROPO· SITIONS D'AMÉNAGEMENT. IL NE FAUT PAS ATTENDRE D'ETRE CONFRONTÉS À DES SITUATIONS IRRÉVERSIBLES OU DIFFICILEMENT RÉCUPÉRA· BLES POUR AGIR. MUS DEVONS ETRE UNE FORCE DE PROPOSITIONAVANT DE REPRÉSENTER LA "MINORITÉ DE BLOCAGE". M. LE DEMEZET Vice PREs11JENT lettre du hérisson n° 56 — déc 86 4
. . v --_0ZS-5 I \•¤Ilz`& ^ ` I . @_ É " ·È L'·"""' ` _ ·;` " """""-il X 7""‘\• Pûllllîlûll «• *··»:e ENERGIE \ - @·— ' CAMPAGNE SUR LA SEINE I NUCLEAIRE : UU'EN PENSENT LES FRANCAIS ? | GREENPEACE A REALISE UN BILAN D'ANALYSES, SUITE A SA CAMPAGNE MENEE SUR LA SEINE : UN SONDAGE EXCLUSIF GALLUP, PUBLIE PAR "POUR UNE SEINE PROPRE", A L’AIDE DU LABOR/1* L'EXPRESS AUJOURD'HUI, (21 octobre-21 novembre) TOIRE D'ANALYSES DE LEUR BATEAU, LE BELUGA· DANS LE CADRE D'UN DOSSIER "NUCLEAIRE : LES 10 QUESTIONS URGENTES", REVELE DES CHIFFRES Ce bilan d'analyses sur la Seine est composé TRES INTERESSAA/TS- UNE MAJORITE DE FRANCAIS de deux parties ; (52%) SOUHAITE QUE L'0N CESSE DE CONSTRUIRE DES CENTRALES NUCLEAIRES, DEUX FRANCAIS SUR la première est une liste des dépassements cons- TROIS SONT PERSUADES QU'UN TCHERNOBYL EST tatés par rapport aux normes des directives eu- POSSIBLE EN FRANCE, 93% N'ONT JAMAIS RECU ropéennes ou aux normes pour les rejets indus- DE CONSIGNES DE SECURITE ET 64% ESTIMENT QUE triels. Ainsi, les analyses ont révélé de nom- LES RESPONSABLES DU NUCLEAIRE NE LEUR DISENT breux polluants dont des concentrations impor- PAS LA VERITE! tantes de P.C.B., de métaux, de phénol, de solvants °,·gamques___ En effet, aujourd'hui, une majorité de français pense qu'il faut cesser la construction de cen- La seconde partie est une liste des autres te- trales nucléaires. TCHERNOBYL y est pour quel- neurs relevées qui sont inférieures à ces normes. que chose; ce qui a véritablement changé chez les français, c'est la perception des risques : En conclusion, GREENPEACE propose de faire 42% pensent que les risques sont inacceptables pression sur les pouvoirs publics et les indus- et que de telles catastrophes sont possibles en triels pour que l'on accorde les normes des ar- France. Cette perception des risques est aggra- rêtés préfectoraux avec celles de la direc- vée par la mauvaise information et l'impression tive de la CEE afin d'obtenir des normes strictes d'avoir été trompés sur les conséquences de concernant le rejet de substances toxiques et TCHERNOBYL. Pour 79% des Français, les politi- pour que ces normes soient respectées. sinon, ciens, les techniciens et même les journalistes on ne peut espérer une amélioration de la qua ne sont pas épargnés. lité de la Seine. La pollution de ce fleuvc con- tamine la Manchc et, par là, la Mcr du Nord. Ainsi, un consensus massif se révèle sur la Comment espérer sauver lcs mers si ricn n'cst question de la carence d'information. C'est pour vraiment fait pour protéger les fleuves et arrê- quoi, une véritable défiance nait de ce manque ter efficacement la pollution à la source ? d'information; 56% des personnes interrogées es- timent insuffisantes les mesures nécessaiires pour assurer efficacement la protection des popula- tions en cas d'accident (d'ailleurs, 93% des s. ` "·· français ignorent l'existence de ces mesures!) V; Cette préoccupation est plus essentielle pour nos i ' concitoyens que de revenir en arrière ou de refu ‘ ser massivement le nucléaire. ' » A =.‘\_) \‘; ...- TI `*·· 5 muse mus I! ï îdgûlll/Éfae Ã: _ · A I \/. gw; LIP <5nvé!_ E Pig; -· —— ‘ A 4 è " JI 5,,, I-· r ) — .s_ _. ws-? «—· îgâçîes Lettre du hérisson n° 56 - déc 86 5
IE-it-* 41- ' ' ___,Ñ DECHETS ET DECHARGES" LE PARLEMENT EUROPEEN A NOMME F. ROELANTS N É; DU VIVIER RAPPORTEUR 9 _ I à M Le Parlement Européen a désigné F. ROELANTS \g: .. ^ 2; DU VIVIER comme rapporteur sur le thème de la `7ï`\ " àl, Ã) politique de gestion des déchets et des déchar- / it :` » ) ges anciennes. _ J J Py. ir'} (X" J Le rapport dont il est chargé consiste essentiel- "‘¤ ·«v lement à déterminer : gna . l'évolution de la situation en fait comme en 0 droit en ce qui concerne les mouvements interna- tionaux de déchets ; · . les nouvelles priorités qui sont apparues dans le cadre de la politique relative aux déchets depuis l'affaire des fûts de Sévéso, ix . les mesures à prendre vis à vis des problèmes _ ·*’\ ' È d'anciens sites industriels pollués et d'ancien- i___ _ î nes décharges de déchets. •`\}· W S · É" \` UN PROJET DE VILLAGE VACANCES MET EN PERIL L’AIRE LA PLUS SEPTENTRIONALE D’EUROPE DU ——————e—— , ,, lâ" VAUTOUR PERCNOPTERE. 4;;--..-..- t-— hf Q, ; - l ~ I ` (eîë La tranquillité de la Dent de Rez, dans la Basse _ Y Ardèche a permis au percnoptère de nicher dans ° I. - les falaises de ce promontoire. 1 Malheureusement, une société néerlandaise a choisi d'implanter un village vacances et un parc de loisirs (prévu pour accueillir 1500 per- LA FFSPN, LE WWF FRANCE ET LE FIR S'IN5.UR- sonnes) à 1000 mètres de l'aire du vautour perc- GENT CONTRE L'IRRESPONSABILITE DONT FONT noptère. PREUVE TROP DE CHASSEURS A L'EGARD D'OISEAUX ` _ _ _ _ _ PROTEGES. La FRAPNA Ardeche a aussitot reagi en rédigeant __ un dossier avec l'aide des naturalistes de l'Ar- C'est une véritable hécatombe à laquelle nous dèche, du GVERV et de la'Societé Dotanique lde assistons en ce moment déclarent la FFSPN, le 1'Aï`dèChe· Ce deseler e ste Presente au M"“S' wwp France et le F]R··_ tère de l'Environnement le ll. août et, parallè- lement, le projet a été saisi d'une demande En effet, deux grues cendrées ont été retrouvées, d'arrêté de protection de 'biotope 'sur le site- abattues par des chasseurs irresponsables, alors Cependant. la Seule Seluuen Peeelble reste le qu'il s'agit d'une des espèces d'échassiers les deplasement du Pï`°]et Per ï`aPP°"t au Sue de plus rares d'Europe. De même, un faucon créce- C6 Vü¤î0¤*"· relle a été retrouvé criblé de plombs dans l'Es- _ sonne (il venait d'êtrc soigné et relâché). La FRAPNA Ardèche garde bon espoir. ll est temps que les chasseurs, si soucieux de ' WN 'ZÃÃÃ.-:`:u`,,Ã’:,ï;:,,î£,'b~l(‘ leur image de marque, meltent en oeuvre des MF *6'!¢¤V•}?l:l mesures propres à faire respecter, dans leurs "`=— " MT" """` rangs, un minimum de discipline. jl jh VE P ¢ ` a ü , ii 8.. - ., A _II` ..··:-É-.-ï î .; ë%î·_—î·—_..-S-.‘ë a .. I sfîî É ; i E E-; ¤ Lettre du hérisson n° 56 - déc 86 6 I É j__—-Iî fê (É
·'— M60/A / 1\ . / - _ _ xl * La tortue d'Herman. - ]P POUVREAU PETITE HISTOIRE D’UNE MIGRATION ^PfèS·m*dî f M h 30 à 17 h 30 * histoire et mise en place des avifaunes dans le bassin méditerranéen - _]. BLONDEL L'0PERAT1-ON "LE TEMPS D"UNE MIGRATION Z LA * gegtjgn de petiteg pgpulatigng reliques de GRUE CENDREE" ORGANISEE PAR FRANCE CULTURE, vertébrés. Problèmes génétiques sous-tendus LE JOURNAL "LA HULOTTE" EST LE GROUPE GRUES ç;_ CHEYLAN CFRANCE”, AVEC LA COLLABORATION DES STATIONS LOCALES DE RADIO FRANCE SE TERMINERA LE' * discussion générale sur les problèmes posés SAMEDI 22 NOVEMBRE DANS FREQUENCE BUISSON- par les plantes et les vertébrés menacés du NIERE" (7 h 8 h)QU1 FETERA CE' JOUR·LA SA midi méditerranéen, avec la perticipation 100e EMISSION. d'Eric COULET, directeur de la réserve de Camargue, de Ph. ORSlNl, MHN Toulon et de Alerte rouge le 31 octobre : 10 000 grives vien- Patrice CRAMM, _].1.. MARTIN et des membres nent de s'envoIer de I'I1e cle Ruegen en RDA, du GRIVI·Z.. en direction du Sud-Est. Puis, c'est le vrai grand départ : 17 000 grues s'envolent de Rue- Une exposition vente des oeuvres de jean CHE- gen le 2 novembre, elles survolent les VOSGES, VALL1ER aura lieu toute la journée, EPINAL, D1_]ON, la vallée de la Saône, CLERMONT FERRAND, TOULOUSE et les Hautes Pyrénées, à N.B La capacité d'accueil des restaurants de une vitesse moyenne de 70 km/h environ. St Rémy de Provence pourra être dépassée ce jour-là, beaucoup d'établissements étant fermés Grâce (IU réseau très dCI'lSt‘ (`l'ObS£‘I"Vü1€UI`S en cette 5aj_50n_ s'était mis en place Ii I'appel de France Culture des ()lSCuIUX ont (QU: Cfl`(‘Cl.lV(’m(‘f|l ObSC[`V(:5 Merci (|'e" [enfle Compte. pendant leur traversée. Ces observations permet- tront au "groupe Grues France" de disposer des données scientifiques les plus précises jamais ___/ Rà recueillies en Europe sur le déroulement d'une . / E, i Mon- m g . P " J ~" MANIFESTATIONS *~ fx .3 J v É A "UNE IDEE VENUE DE MENIGOUTE" -\·'·|*•1 La première fois que j'ai entendu parler du », à ` "Festival du film ornithologique de Ménigoute", ‘ , l'an dernier, j'ai presque cru à un canulard. — -— IR -\ (S Monter pareille manifestation dans un chef lieu A de canton des moins connus, porteur, de sur- ··-;·`..¤.. croît, d'un nom d'opérette, au milieu d'une zone rurale du Poitou à l'écart des modes et 7 _ des engouements me paraissait un défi chiméri- EI que. je me suis lourdement trompé. L'adhésion des gens du terroir, celle des supports journa- listiques qui les informent, celle des notables, des élus et celle des responsables associatifs Une journée complète d'étude et de réflexion sur ont joué de maière incroyable. Alors que les ces problèmes fondamentaux pour la protection R.l.E.N.A. de ROYAN et autres PRAT LOUP n'ont des espèces sauvages menacées de disparition jamais pu réunir que des "habitués du sérail" se tiendra à : ne rencontrant finalement qu'eux-mêmes, MENl— GOUTE (900 habitants au Pays de Gatine, 5000 St REMY DE PROVENCE pour tout le canton) sans raout, sans disponi- le samedi 13 décembre 86 bilité hôtelière réputée, sans transport de par- salle Henri Rolland, au dessus de la poste. ticipants de marque par voie aérienne, a enre- gistré, en 6 jours, du 28 octobre au 2 novembre Matin : 0 In 30 a`• I2 h 1986, un total de 8000 entrées, tous âges et tou- tes classes conI'ondus. * principales menaces sur les Plantes actions du Conservatoire Botanique de Porque- rolles —· L. OLIVIER Lettre du hérisson n° 56 — déc 86 7
_]'en fus le témoin stupéfait en tant que prési je souhaite, en conclusion, la tenue là—bas d'un dent du jury (perdu dans la foule) qui avait stage enfin édifiant sur l'art de communiquer, à visionner 48 films (pas un de moins) avant patronné par la FFSPN. ll se tiendrait au centre de décerner une demi-douzaine de Prix aux pro- social cantonal des Forges 79340 MENIGOUTE (2). ductions jugées les plus réussies (1). Dominique et Christine BROUARD y expliqueraient chronologiquement ce que fût leur parcours et _]'ai constaté l'active complicité de la presse comment ils n'ont, ni manqué leurs rendez-vous suivant l'événement avec une fidèle assiduité avec les sensibilités locales à tous les niveaux et le relatant en de longs articles, répartis ni commis de fautes rédhibitoires dans cette certains jours sur plusieurs rubriques "Courrier patiente approche. Et chacun en ferait peut—être de l'Ouest" et "Nouvelle République" en touchan- son profit. te emulation, "Radio Gatine" ifussant, sans contrainte de temps, ses reportages sur les pro- Pierre PELLERIN grammes projetés, FR3 Limousin et Poitou Charen- tes enregistrant uîi-e_emission d'une heure sur lï leçons à tirer, de re Festival, pour l'En— (l) Prix du meilleur film a "La nonnette du vironnement et pour la Nature. Groënlang de Michel TERRASSET- Prix poiîrTE— protection de la nature à "Dans le forêt des Ne pouvaient non plus m'échapper l'apparition chouettes", production suédo quotidienne attentionnée du maire et conseiller aux faucons" de Georges DIF et Yves VALLIÉR. général tout acquis à cette entreprise, le dévoue Prix du document pédagogique à "la vie de la ment de dizaines de bénévoles afin que tout mar- mésange bleue", réalisation britannique. Prix che comme sur des roulettes pour l'accueil, l'hé- de la jeunesse et de l'Environnement à l'oeuvre bergement chez l'habitant, les projections, les italienne "Martin escatore". Prix FR3 au film excursions ornithologiques régionales. Et ces australien "les chasseurs du ciel". cars débarquant leur plein de gens de Poitiers de Niort, de la ROCHE—sur-YON, tous ravis de se mettre des oiseaux dans le coeur ! lit cette (2) Tél. 16 (49) 69.93.13 et (l.9)69.90.09 exposition, dans une salle à part, où toutes sortes d'Associations (affiliées ou non à la N.D.L.R. L'Office de Tourisme de MENIGOUTE a FFSPN). LPO et FlR en tête, avaient fait un ef- reçu, cette année, au printemps, "La ci o ne fort de présentation du plus bel effet... de cristal", destinée à récompenser concours de la FFSPN un effort de tourisme bien Quel retentissement ! Les grands politiques lo- compris, en bonne harmonie avec le respect de caux étaient tous là, se marquant les uns les l'environnement. autres, à la cérémonie officielle du samedi, le Ministre régional, M. MONORY, et les parlemen- taires de toutes tendances du département, ali- gnés sur le podium après avoir défilé devant des stands réhabilitant les vertus d'un bocage bien compris entre autres valeurs à garantir. Et de me demander : "Comment, diable,Dominique BROUARD, naturaliste d'heureux loisir, animateur de formation, en place depuis quelques années au Centre social cantonal des Forges (2), a-t- il pu, aidé de Chri5tine,5a·fcmme, parvenir à Organisée par l'UlCN, avec le concours du PNUE ce résultat ?" Alors, j'en suis venu à discerner DU WWF. d'E¤Vîr0¤¤eme¤t Canada et de la Fede· que la dimension suplémentaire de la communi- l‘ütî0¤ Canadienne de la Faune. la Cenferenee cation qu'ils ont suscitée ne procède pag d'un d'OT'l`AWA avait pour objeclif essentiel cle faire système aussi froid que savant mais d'une dispo le P0l¤t Sur la mîâe en 0eUVre de la Strategte sition d'esprit excluant tout préjjugé dans les mondiale de la conservation (SMC), programme relations humaines. Des convictions rayonnantes îïiîtîë €¤ 1980- mais pas de dogme. Des idées suggérées comme Oh lance des graines mais jamais de sentences, C'est la commission de la planification environne Aucun interlocuteur n'a été pris à rebrousse- mentale de 1'U1CN. et Surtout Sen Preetdent- poil. Nul n'a eu à se buter. La diplomatie du M- Pieter JACOBS- (lut a préparé le Programme coeur a fait merveille. Selon le mot du dénommé de la conférence- Mao, ces deux-là ont été, dans la population _ séduite '"comme peiggem-, dans 1'eau•'_ Pendant une semaine, près de 700 participants et observateurs d'une cinquantaine de pays dif- férents se sont donc réunis. La conférence s'organisait sur deux modes de fonctionnement, d'une part les conférences plé- nières, d'autre part les ateliers. Lettre du hérisson n° 56 - déc 86 B
_ _ __ _ _ graver (les triangles dont la taille augmente), ' l~e · elnd Conferences tandis que nous continuons de tourner en rond Pléïîgîes € (le cercle). M. PRESCOTT-ALLEN s'est déclaré à la fois ravi de constater l'intérêt intellectuel 1/ Strategies nattenales de C°nserVall°n manifesté pour la stratégie et déçu des résultats 2/ autres stratégies pour le développement du- aut. le tet.t.atn_ rable _ _ _ _ En conclusion, les conférences plénières ont sur- 3/ etablissement de mouvements institutionnels tout permis a un nombre considérable de t_apt_é_ en Vue de la mlse en deuvre de la SMC sentants de s'exprimer à la tribune, et à quel- É; àntttegrer ¤Ã>¤S¤rv¤ti¤¤ et develdppemenl ques intervenants de l'assistance de soulever t Usten U message des questions non encore évoquées ou restées dans l'ombre. r ' ` ' ` - [,35 conférences plénières l‘üSS€mblalCnt l'ensen'l' venu avec viguleuînçlîgîrRâëdnllgrllldeîjstqtîensneslnlîîâ- ble des participants- Elles °nl très s°uVenl• e°m blèmes de contrôle démographique soient inscrits me elesl le Cas dans_ blen des eellequeet prle dans les conclusions de la conférence, et que tice 'lllures de grand messes °u l_essenllel des celles-ci, sur ce point particulier, ne soient interventions se composaitlde litanties de remer- pas en retrait des Conclusions de rassemblée ClCm€I`ll.S dIV€I'S BSSCZ CTISPBTIÈS B la lOTlgU€, Générale de de d'autant, et c'est tout de même le mérite de plusieurs intervenants de l'avoir signalé, que l,es ateliers: 20 ateliers prévus, mais à la suite l'autosatisfaction ne résout pas les problèmes. de divers regroupements (ateliers 1 et 2, ate- liers 7 et 8) et d'une suppression (atelier 18), Ces conférences plénières n'ont donc pas été ce sont l7 ateliers qui ont effectivement travail- bien riches en enseignements. Cependant. il Con- lé avec en moyenne 10 à 30 participants par a- vient de souligner les quelques points forts qui teliers. je me contenteraii ici d'en donner la ont marché ces réunions. liste : Tout d'abord, l'intervention d€ M- Emil $Al~lM· 1 et 2 : stratégies nationales et subnationales Ministre indonésien de l'Environnement et de la t·VatlOn_ Population. M. SALlM est confronté à des pro- blèmes qui n'ont rien de théorique, car la démo- 3 ; Strategies leeales de eensetvatton graphie galopante détermine une utilisation qua- ' si minière des ressources. L'intervention de M. L : stratégies régionales de conservation-déve SAl.lM, très digne, mais aussi <‘><îFî"m¢‘m¢‘|¤t Vl· loppement clurahle dans la région circumpolnire vante, a montré le décalage qu'il peut y avoir e.t~ptentriom•le. parfois entre les théories de la SMC et la réa- I. _ tr t. . t .11 1 d, lité de terrain. Tout en réaffirmant la nécessi- 2 ' S a egles Sec One se pour s svsloppsmsnt té d'appliquer les choix essentiels définis dans durable la SMC, M. SALlM a néanmoins souligné que cela _ _ supposait une aide extérieure aux pays les plus É l Te°l‘n°l°Sles du develdppemenl durable défavorisés. Au nom de bien des congressistes, _ _ _ je crois pouvoirdire que l'intervention de M. l slralegles de eenservallen _P°ur les SALIM aura eonatttué le Potnt fort, un moment biomes : montagne, îles, zones humides, forêts. d'émotion véritable dans ce contexte. _ _ 2 : coopération internationale pour le développe- je retiendrai encore, sur un autre plan, l'expo— ment durable et la palx· sé de Maurice STRONG, Conseiller spécial du , _ Secrétaire Général de l'O.N.U. qui a souligné E9 l develeppelllenl et eenservallen à quel point il est important de démontrer la _ _ justesse économique des choix de la SMC, choix il l Elnlquet Culture et develeppemenl durable qui hélas ne sont pas encore pris en compte I V _ (problème du court et du long terme), Sous forme l Economic et develeppemenl durable de boutade (mais en est-ce réellement une ?) _ _ _ _ il a affirmé que les associations de protection lé l Peuples lndlgenes et deVel°PPemenl durable auront gagné leur combat lrosqu'elles seraient _ _ _ cotées en bourse !.. ll l`«iut, selon M. ‘3TR©NG, lt lgerer les ressources dll llnlrlmdllw Commun "parler aux économistes le langage de l'économie _ _ eat. là reatde le vfat pouvottn lé : restauration de l'env1ronnement En troisième lieu, j'ai retenu la communication É. lpdpulalldn et elabllssemenl llumaln de M. Robert PRESCOTT—ALLEN, qui a rédigé le __ _ _ _ _ texte de la SMC il y a Sept anS_ Son tntet,.Ven_ ll : planification et gestion de l environnement tion était toute entière empreinte d'un réalisme _ _ qui sonnait juste, ni optimiste, ni vraiment l2=d1ff¤S1°¤ du message pessimiste néanmoins. A propos du Logo de la , _ _ SMC (trois triangles superposés inscrits dans Ã) l evaluallen du develeppemenl durable· un cercle), M. PRESCOTT—ALLEN en a donné son interprétation actuelle : les problèmes énoncés par la SMC ne cessent de grandir et de s'ag- Lettre du hérisson n° 56 — déc 86 9
A. l'lSS“° 8°S ,"“É1l°'“,· “"° Èérœ ëe '°°°"\"‘“"da* La pente sur laquelle s·esl produit le glissement tions a fait l objet d une discussion et d un vo- . , . , . . . .. de terrain etait couverte d une hêtraie dense. te en assemblee plemeœ (aperçu des œC°mmanda` Selon Léo Liener responsable forestier et insti- tions de Ia conférence- cf bulletin UICN pp. t d 1 '.. t d t. , . d 1 70-71 prendre une photocopie) ga eur e a rein ro uc ion rèussie ·es. ynx ' dans le canton d'Obwalden, l'etat sanitaire de . , _ . . . . _ ces arbres paraissait correct. Des photos à Le Consul de 1 LHCN d demde de pubhetî de nou l'infra rouge de ces forêts ont été prises mais veaux documents sur la SMC en relation avec on Neu connaît as les résultats D.autœS cau_ les Conclusions de la Conférence d'OTTAw^' ses possibles soiait avancées par- les géologues. En C0qCluSiqn,tje pense que tie type tdeteOnfé}·eü_ îgacïioenxclëâ Iëîêihïlenë 0§0¤îl?;ï};îîpSSgmît:ît5àe utf; Cîernîst îalàïjîunotllel eaîïm-no ej aîglnaceîj îlëeae couverture forestière pourrait jouer un rôle Sion d§éChan et en partîcuhlêr avec SM HAYDCÉNT essentiel. L'article cite en conclusion une phra- Président de gl'Union Èuébécoise pour la- Conser··' î;_adetô|:`OuOIî§I:âL1Te â§S1.î2;îZ.. Crèvennce vation de la Nature qui publie la revue "FRANC ' ' ` îèguëiggusrézlïgglls au: îmàmîgeaââaposlg L'automne 85: 150 montagnards sont évacués par- la SPC P e en ens ur ce que la forêt qui les protégeait des avalan- ' ches est morte. Les perspectives d'avenir ne imm- ll·~. ·l.=l·=,i·l·=·. l··l··eal·N Z l··. l·l·:l«lms;e;<>N .·« M. ’;"f' _'f"î “`l°"""i'Ã'_"""‘î _'_‘ """l"f'“°._““""“"" " ||_ m‘M|·/IFI, xx lp.·« .l wml, us .u|>•t—·. Run n ll I`0I|lI·||II(‘|| " ' lnlemenl tllangc dans nos attitudes. On slllgne quant à la recherche de solutions au plan natio- . nal et international. En France et ailleurs, les M' LE DEMELET forêts continuent de mourir de l'air que l'on respire jusqu'à quand tirera-t-on sur la corde? _'€”,·,,_ (Source: Gelbe Helt, octobre 86) \ É" 0. DASKE J L l à É.- 1 É ( . " s `} _ _ ;—· / · ~- ul) ,.« ( _" "—|• .......—.··· __ M _ V ...—· .—.î· ..—ï F EI e·$»:->e ses " ASSOCIANV ·4¢’âL :TI|lEln.|l. -· GLISSEMENT DE TERRAIN DANS LE CANTON AGRICULTURE-ENVIRONNEMENT D'0BWALDEN La Fédération de Protection de la Nature et de UN JMPORTANT GLISSEMENT DE TERRAIN S'EST l'Environnement du Doubs (FPNED) organise, le PRODUIT DANS LE CANTON D'OBWALDEN EN SEPTEM 3 décembre prochain, une journée sur le thème BRE DERNIER. EST-CE LA CONSEQUENCE DU DEPE- "agriculture-environnement". RISSEMENT FORESTIER ? Cette action s'inscrit à la suite des journées 8 -ept_ 86 à 8QQ m çyaititude avant le ee} de thématiques prolongeant les Etats Régionaux de Brunig. Un glissement de terrain s'est produit 1'ET'lVlrOUU€m€Ht· Les rencontres précédentes gut- 5ur près, de 500 m de longueur, [,0 m (|'ép;ii55eur la qualité de l'Eau, l'aménagement t0u!'istique destruction de deux ponts, voie ferrée el roule (lu mëlëhlf. la Collecte et Ie traitement des de- du ee] dg Brurii_g' giigeveli deux victimes hu- chets .... s'étaient déroulées à Besançon à l'ini- maines... La cause du glissement de terrain üülive de M. le. Préfet de Région, reste inconnue. Une corrélation a cependant été établie entre la catagtrophe et 1'aggravation du Les agriculteurs étant les gestionnaires de l'es- dépérissement forestier dans le canton d'Obwal- pace l'Ul'al, Cette journée sera donc Poeeagion den. Si la mort des forêts ne peut être stoppée, delmieux se connaître, d'être à l'écoute de leurs ce sont près de IO % des forêts de monlagne en preoccupationset de leur exposer celles des asso- Suisse qui tomberont. El cela signigie que des ciations de protection de Ia nature. milliers de montagnards vivront avec la hantise quotidienne d'une catastrophe naturelle. Lettre du hérisson n° 56 — déc 86 LQ
1/ Aux l04 ·is.s.0ciations ilous secteurs confon- dus) uyanl bénéficié d'une aide au titre de la n I n formation (pour un total de plus de 7 000 OOOF) 1 D I un bilan quantitatif et qualitatif des actions conduites avec l'aide du FNDVA a été demandé. L'OFFICE FRANCO QUEBECOIS POUR LA JEUNESSE Ace jour, 61 associations ont répondu 2 53 four- OFFRE AUX ASSOCIATIONS FRANCAISES ET QUEBE- nissant leur bilan, 2 fournissant des bilans in- COISES LA POSSIBILITE DE NOUER DES RELATIONS complets, 5 demandant un délai complémentaire ENTRE ELLES ET DE S'OUVRIR AINSI A LA COOPE· pour répondre, c'est peu. RATION FR/|NC0 QUEBECOISE EN PERMETTANT UN ECHANGE JUMELE ENTRE UN OU DEUX MEMHIIICS QUA Il es! notamment demandé aux associations de LIFIES DE CHAQUE ASSOCIATION. L'O.F.Q.J. SE répondre à une telle demande de l'administra- CHARGERA DE METTRE EN CONTACT LES ASSOCIA·— tion 2 on ne peut pas bénéficier de crédits pu- TIONS FRANCAISES ET QUEBECOISES AVEC DES PAR blics sans rendre compte de leur utilisation 1 TENAIRES AU PROFIL IDENDIQUE DE L'AUTRE En acceptant une subvention, l'association s'en- COMMUNAUTE. gage à fournir un bilan au terme de l'action. L'accomplissement de cette formalité élémentaire |,'O,|-`,Q,],· par son nouveau programme "dialo- d'une manière rigoureuse permettra de mainte- gue" prgpgge de trguver un partenaire au Qué- n'lI` le crédit accordé au mouvement associatif,. bec, en envoyant 1 ou 2 membres qualifiés pour au m0m€¤t où il €$t attaqué de toute part (Cf prendre contact. Au Québec, ces représentants budget 87). français seront accueillis par l'association québé coige qui proposera en programme "déçouveriel Enfin, il mc paraît souhaitable de rendre la échange et intégration". FFSPN destinataire d'une copie de ce document puisqu'elle dispose déjà d'un exemplaire du dos- Ce programme est accessible à 40 participants. sier initial 2 cette centralisation de l'informa- tion devrait lui permettre de mieux assurer son - séjours de 14 jours rôle de représentation nationale des associations - chaque participant verse 1800,00 F à l'OFQ] m€mbI`€$· Contact 2 2/ En ce qui concerne les études, recherches et expérimentation. 55 dossiers (tous secteurs) ont OFFICE FRANCO QUEBECOlS POUR LA _]EUNESSE ete inances au titre de 1985 et ont donc fait 5, rue de Logelbach l'objet d'une convention avec le Secrétariat d'E- 75847 PARIS CEDEX l7 tat à la ]eunesse et aux Sports. Tél. 16 (1) 47.66.04.76 De ce premier bilan, on peut retenir les recom- du lundi au vendredi de 9 h 30 à 12h30 et de mandations suivantes 2 14 h à 18 H 15. a/ nécessité de respecter les délais prévus dès Responsable2 Gilbert DUCLOS lors qu'ils ont été non pas imposés, mais libre- Ih,,,/P ment consentis à partir du dossier présenté, tant fgùmï" É en ce qui concerne le rapport intermédiaire que , frwiük `QÈIEÈ le rapport final. 1 î § § b/ veiller à ce que le rapport final soit géné- I ralisable aux autres associations du secteur en- j\/ \·) vironnement (crédits publiés). A f ( Më ' (K 0 . E c/ être très attentif à la bonne qualité des rap- ss 0 · _` ports et tout particulièrement le rapport final \~ en s'entourant du concours d'experts Votre meme selon les cas de scientifiques. ll y va là aussi ‘e° D de la créditiblité de notre mouvement...Le Conseil de gestion du FNDVA a été très ferme sur ce point, il a même été indiqué que, lors- que les conventions ne seraient pas exécutées REc0MMAnnA110N Aux Ass0c1An0Ns BENEFICIANT §î,'}§°”"§@"‘°'Q§,eî‘;§,,,eî,'}ga§§;"°';§,Sb,‘§:}î,,,,‘;“°pOî,@‘;‘;îi êtr engagée à l'encontre de l'association défail- lante. C'est dire qu'il convient d'assurer notre autodiscipline. Pour ce faire, il est demandé Lors de la reunion du Conseil de Gestion du aux associations fénébiciant du FNDVA de commu- FNDVA (Fonds National de Développement de la niquer à la FFSPN un exemplaire du rapport in- Vie Associative) du 3.11.86, le bilan des actions termédiaire et un exemplaire du rapport final. financées en 1985 a été présenté tant pour les actions de formation que pour les études recher- ches et expérimentation par les représentants du secrétariat d'Etat à la jeunesse et aux Sports, gestionnaire du Fonds. Lettre du hérisson n° 56 - déc 86 11
3/ Certaines associations nous ont tenu au sou_ On attend de cette·réalisation un renforcement rant du déroulement des actions. Qu'elles teee accusé de llandlence ds }a LPO dans la re· soient ici remerciées. Mais il importe maintenant gwn ÈaHS1enne',R1en nla ste negltge Pour ren· de rendre systématique la communication de ces dre 1 aeenenvreeuement attraçttf Projections informations au siège de notre Fédération ou Mme en eonunn d nnngee enr la vle av1enne· diffu` MOOR est en mesure de gérer ces dossiers et Smn} en mnS1,qne,d°nee' dé Chants d'°iSeaux· d'assurer le suivi nécessaire. amb'anee_pr°p1ee a une metueure ComPrenen$ton du rôle joué, dans la nature, par les êtres de Lorsque nous disposerons des statistiques pro- plume' pres au secteur "environnement", nous ne man- ,, . . ,, _ _ querons pas de les publier dans la lettre du I",-âi9 se donne pour nnsswn hérisson d accuei ir, d'1nformer, de documenter ceux qui ° franchissent son seuil. Le dialogue y est ouvert, 4/ En conclusion, on peut dire que bien que que ie visüenr se presente en aenetenr °n· a modestes es moyens mis à notre disposition par pneu' en enmenx° le FNDVA peuvent permettre dans certains cas _ de soutenir financièrement le développement de Sent' entre autres en°SeS' en vente z afftchesn nos associations. Pour accroître ces moyens, il _ faut d'abord les gérer dans de bonnes conditions Posters" eaSS_e“eS· b1nel°tS· °euVreS dlart Con' administratives. c.cst si dire avec sérieux. H cernant les oiseaux, nichoirs et mangeoires ainsi faut ensuite maintenir une pression suliisante une la panophe du b°n °b$erVateur de la nature auprès des pouvoirs publics (élus et administra- _ _ _ tions) pour faire valoir nos besoins z lc CNVA Lee rayon librairie propose une excellente sélec- (ou siège dorénavanl notre collègue Pierre DA- ['°n_ d °“Vrag°$· tant Pour les jeunes que P0u" VANT) s'y emploie. Mais c'est là un autre pro- le t°ut âSe"• b1ème° "La Boutigue aux oiseaux" est aussi le centre de renseignements parisien des voyages portant Charles TOUZAN l'estajnpilleCLPO,'t qu'il Ts'agissaîudèê1lïg·Ce';lrlojë· représentant du secteur Environnement du Bnlbne et. Onrvl es en· umeœ · d··_ conseii de Gestion du Fmnvix aP‘.’*.J"‘“"‘°r· de p"“°‘pY" a des Semes ‘ ' n1t1at1on en Boucle de Moisson, le dimanche 18 janvier, ou au bord des étangs de Saclay et de St Quentin, le dimanche 1er février, de voir nombre d'espèces hivernantes en Zélande entre le 21 et 24 février, de faire de l'observation sur les lacs de Champagne, les 7 et 8 mars, ou en Marais poitevin les 14 et 1S mars. Les inscriptions sont reçues dans la mesure des pla- · ces disponibles. I LuP¤0 IILA I Enfin. à ce de la rue Laugi_e[" la Consulta- Iion de la revue trimestrielle de le LPO, "|.'oi— semi miigazine", qui vient de fêter son preemîrr Au Sl de la rue l.«iugiei·, dans le XVIIe arron- anniversaire, est recommandée. En parfaite con- dissement de Paris (Métro Péreire), la Ligue naissance de Cûu$€· on Peut enautte $'Y abonner Française pour la Protection des Oiseaux offre _ _ __ au public, à compter du mercredi 3 décembre, Les adhérents d'Assoc1at1ons affiliées à la FF'SPN la vi_(_|·i_|]e de la Connaiggance e[_ de la 5auVe— S€I`OI"l( SpéC'l.âl€m€I'\t. les b'l.€l"lV€I:l\.IS. Q\.I'1lS `I1 OU- günlc Ornühologiqueg, blient pas, de passage à Paris, d'aller a 'La Boutique aux oiseaux". Afin de marquer l'événement, un grand effort Pour tous renseignements complémentaires, voici d'information a été déployé auprès de la presse son indicatif téléphonique 2 (1) 42.67·O6·O3· (spécialisée ou non), invitée, pour la veille, à juger sur place de l'intérêt qu'offre l'agen- cement de ce local. P_ PELLERIN ierre Cette mobilisation des médias est facilitée du fait que les ].N.E. (Association des journalistes- cl cts}, foule Ecrivains pour la Nature et l'Ecoog1el, partie loylrét I prenante dans cette initiative puisque ses ar- faq œpri ’e‘“r chives et son secrétariat se trouvent réunis en ;'Y*f> ce même lieu) a consenti un effort tout parti- 0 culicr de diffusion. É k J ) · L'élaboration de "La Boutigue aux oise.iux" s'est au , ,, caractérisée par -u'rÉ demaerîhÉ__creativîimpli- e',"""/·,·'°··î."-__' quant bon goût, imagination et souci d'effica- ,%‘;\: cité. E ·· \ Lettre du hérisson n° 56 - déc 86 12 @Ã'i¢,4,wi \ \' g ‘* \ yi?. .:1
. é I). l-II" J I __,»·~Q‘·g¤0 I ,.· Q·*‘_gP */ .. , .~‘_ I" ' . FOROMîIOIl ‘l—*;«;à “ ' "" fa; FORMATION : REPORT DE DATES OBJECTEUR DE CONSCIENCE Attention, un certain nombre de stages de for- . . . . . mation - â dû être reporté souvent faute de par- Fra;CkhCM;IÉY' emdlam En geographœ est a lé ücipamsn rec ·erc e une association susceptible de lui offrir un poste d'objecteur de conscience à par- Aussi, soyez attentifs aux nouvelles dates pro- ur de novembre 1987° posées qui sont mentionnées ci—dessous ainsi que Contact, sur les tracts détaillés qui sont envoyés aux ' I“‘é”°“éS· Franck cARRY PROMOTION D'UN EQUIPEMENT DE DECOUVERTE DE gè255‘°BàEë‘;”"‘a“ LA NATURE 2 ° 20.21 déc. 86 " 21.22 fév. 87 28.29 mars 87 0 NOUVELLES TECHNOLOGIES AU SERVICE DU TRANS- —'—"’ Ã-vf \ . FERT DE L'INFORMATION 1ère PARTIE: EI S.9 janv. 87 PARTICIPER A L'ELABORATION D'UN PLAN D'OCCU— A I I PATION DES SOLS 2 prévu en fév. 87 AVIS A TOUS LES HE I ETRE RESPONSABLE D'ASSOCIATION 2 R SSONS ENTREPRENANTS 7·8 mars 87 PROGRAMME D'ACTIONS È987 P0uR uis .£UNES. Sun- LA RESPONSABILITE DE VOTRE ASSOCIATION 2 VEN-HON UNESSE ET SPORTS La FFSPN doit élaborer pour la mi-décembre un AVRIL 87 programme global d'actions sur la sensiBiIisation des jeunes à la nature et à l'environnement. . ,L€ dernier C.A a décidé de proposer à toutes N ¢|__c,"“,,,; les associations de bâtir ensemble ce projet. Il Hègaîsgüigitsëas sera soumis pour subvention au Ministère de la """—' righ " jeunesse et des S orts i dé idé de fair ··•p1» P . qu a C e mu de ce thème I'une de ses priorités, en 1987, Fay - Eumocw Aït!-” . . Les propositions attendues doivent être centrées sur une sînsibilisation active des jeunes (chan- tiers, etc et ne pas se borner à une informa- tion. Il peut s'agir d'actions concertées avec LE GROUPE ENVIRONNEMENT PROTECTION ORNITHO- d'autres pzërtenaires, notamment avec ceux qui LOGIE EN PICARME proposent d jà un accueil et une animation pour les jeunes. On peut aussi établir des liens avec l'Année Européenne de l'Environnement. recherche un objecteur de conscience motivé, si P0$$:IbIe déjà membre d'¤¤e 6$$0Cî•î(î0¤ de PI`0— Ce programme sera négocié à l'échelon central tection de la- nature, ayant quelques connais- avec Le Ministère, qui donnera courant 1987, les sances en ornithologie. instructions nécessaires aux Directions départe- mentales. Pour permanence, classement de documents, se- T 1 . . , . crétariat, animations en milieu scolaire. Out e çourrïer dou év? ¤dr=$S= dlremment à notre directrice, Mme Liliane MOOR. Tél. 16 (22)43.26.88 Repliez vos piquants et sortez vos plus belles plumes. Christian GARNIER 1er décembre 1986 Lettre du hérisson n" 56 - déc 86 I3
«*¢~ "gg su ’ t §··‘ _ ` ëëîëeëî ;• * .....········-··-—-·--·— .¤ *· "* ·· = •‘ .. WE "` ~`" ` *** cm; 0 0 I ·u·>>»·—• ÉÉÉ ` 00m E£«'¤ OL-; :..::4-> /0OC @ —r•¤·° Q ··e L cn ::><:: .-4 ¤03t¤ `2É•‘* •r( Eva g z.+> 4-• 0mm 0 cnccm 0 0• ·UU)···•|x·‘| CW)-!-‘• 0s¤m< E·»·<·P ::502: uo0·- o¤¢···0 •¤ ·»·<«¤ mam 00m-• g)·-1E: M É É œ 5 I-Il ..| É E ~ E ..| È B Lettre du hérisson n° 56 —- déc 86 14
· · un 0 È ·¤ 0¤. : -0 O E CG.) ·¤·• ·€ gg 4:; :1 -.5 L. ···· ·-4.C'. -0 C 0 J- 0 0 ·0 ··-· î- ·¤In+·~ .-I -I-1 :: .0 U +><¤I¤ · 0 E. :·-:1; P ’ ¤¤ èwê 0 . 0:E .12 ¤¤ 0:0 : — 2 â-go gg ‘ ¤¤ «—I¤.¢¤ (DL W |O·-• IDD C- WL ·•·*E E LDC} L5--< S ¤.0·¤ u :,4 0 C (D L «-• I :0 : I> U O-• O 00 LEG! ¤¤¤ 0 ···«~·• ·-«m : :0\ ¤>¤ ·IJ 0+-2 ·-•L. nm rn-.-un ·¤> 0 ·-•0 ··-m 0\ 4- ¢¤<‘·> L. 00I >E 4-·-I 0:- ···•C ¤.II¤ ··-•+> III CI •-•·-•E ··•C L. 004-I (ELO ·.·«0 ·m·-eq: -10 mom L.L.«.: -c-> L. :0·.: U-0 .·-«L.E 0¤.0 un :> 0¤.¤I'I ¤¤- 0 E E 0- 00··-• : •·•0 LZ(\ EIII0 ·¤0 —·-·:+•c¤···• *--1 : <-I o·-•: >·. ag m·-•E mil-·• m:\ 0 I: ··-•§ ··-• C L :00 ·¤<r LQ 0 rn L.0···· 0 --• 0 cv ::L.m > 00 0·¤I¤ ··-:•¤ 0L. 0m··-L. :0 ¤.·¤ u s·-.0: :0- ·.·« >c¤ 0...1 >< :0I 1!···~O 020) POSE •` 0-0 ·»-•«-• UQE L 0 ·»-•û·0 ’U~- |•-• (Ga QC -0¢¤L t¤><-<T W 00 0Lh·«·-I 0*1* ¢····-··¤ 0m.~«.-I ¤.: L.: L.+-<·.· $*5 C C Q: \ SU ·r-•O•r·•I:¤¤È·n ·····" 000 ><<0O 0- 0-• O0•-·•> §‘¤ 01:1..1 mc-··¤·-I 0.0 mu sauva ¤2'¤¤ I I I I I I l 8 É • PO > ML.-vï`. 2 QQ ·0:·-•> ___ ,_ um ai E ‘«î§IïI '§ç;ï;g; `EI L)·»-•4JI-4 ____ ,,_, 0:\· ¤ =# ëâëâ Éd C 0 0 ”’°’ 0+-:¤0 _ 0E ¤¤ '°°’ É°’S§ •••( 5 -·ë 22*-2 È $2 ·00·>E = ·'>··· É"'5£ ·~ gg .>§·¤ ¤= Un, 0:.-•..1 I I K. I : ¢··.0 : : · O (D···<`(D • O O 0 I »-g JJJJ·,·q U •H ••'• mlu 0¤¤ 1-1 *ï>° îâ .‘9"’Ti % îâ îâ E° °2 È E «-•0W -0 E E mil) 4-*3 *·’I.¤ L. :L.L. uœm L. L. ·-0 mm C O (II ~·» ·-4 O O Iv-• JJ ig Q: -0hl 8-â Q-: 9-e • -0C .4;; ul L. L.:·:u cnw L. : Jgugcn -0 gé w T M35 ”'é’.·-> Z` L" àà? ".» C ·¥ °· E ` 0: n:‘« - :î‘ :·`.§"=’<’?·‘?·~ âëë È È -*2 _"° 0 ·-• L:·cÉrS cala ·; ··-• :00. :0 ="” ¤ " °"§2°’ "I *î» id "’«.2î" "E .- [D r" ',· ,,g 1-*1 4 IU , CIT]: ucx:· L: °" 0::m +-0 ***;:5 m: m::;In 3L`ëi :3 :3 0·-•0E mL *;Q·0 E 3 UILICL -23: E B *¤·-• U·»-• PO . :a'ë° ‘ëî§;·"‘è’ .,ë=‘ ., ., L ¤·«2' E 0 :0 : 50** E E (0LmO :· *2;. ·-I û·’U'I\I0 ·0L.0_ :0 ·0 h.m+-cv ¤.·-• » •H ¤-S ' I I <r¤’°' cu m I I l È g I~ I\ UE C9 ai ID Lt! «-• CT CD I" .¤> ·-• ·-• I\ œ 00 · 0 ID CD ““ B 3 B 2 " gw H -u-I nn •-O DQD U > L V) ··· CHDQ 0 : > L. C -<-001 -0 IU -0 2 > . <.,·¤···« ·¤ ·—» r... · ,;¤
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,. · ..1 ·-— LE LETTRE L U EEETSJSBQN au FU Spêûîûl ¢I8$0¢îûÉî0|l$ SOIT1II1&1I`€ ENQUETE SOULAINES: ENQUETE PUBLIQUE SUR P 3 LE DEPOT DE DECHETS RADIOACTIFS CHASSE MIGRATIONS D'OISEAUX : INFRACTIONS DE CHASSE ............................ P. 3 ON TIRE SUR LES FAUCONS ............ P. 3/4 FFSPN LE MOT DU DIRECTEUR: LES CHARGES SOCIALES SUR SALAIRES. P. 4/.5 VIE ASSOCIATIVE DEMANDE DE RENSEIGNEMENTS AUX ASSOCIATIONS ......................... P. 5/6
BCUCLAGE ° DELAIS DE BOUCLAGE DES PROCHAINES LETTRES DU HERISSON LA LE1·mE ou Mémsson PARAîmA LES : 15 ¤EcEM¤RE 1ER JANv1ER 15 Jmvxsn 1ER FÉVRIER 15 Fêvnxsn Les 1m=oRMAT1oNs ous vous SOUHAITEZ vom ¤>ARAïmE oo1vENT nous Ème Envovéss REs¤>EcT1vEMENT ET 1MPERAT1vEMENT AvANT LE : 18 DÉCEMBRE 6 .1ANv1ER 25 JANv1ER 6 Fêvnxsn PASSES CES DELAIS, LES ARTICLES OUI NOUS PARVIENDRONT SERONT REPORTES A LA LETTRE SUIVANTE.
\"I"/I,. r ~ Jv L La 1___'-···-«»····1. ; . `—` ‘7777ï ‘C —""`¢'IIO.$' L ` di » LE. ··/ T SE [ SOULAINES : ENQUETE PUBLIQUE SUR LE DEPOT MIGRATIONS D'0ISEAUX ; DE DECHETS RADIOACTIFS INFRACMSNS DE CHASSE EE PRESIDENT DE EA FFSPN · DANS NNE DETTRE SIMONE AUc1;AIR, PRESIDENTE DU CENTRE 0RNI- DATEE DU 8 NOVEMBRE 1986. ADRESSEE AN PRESI· THOLOGIQUE AUVERGNE A ADRESSE UNE LETTRE DENT DE EA COMMISSION D'ENONETE DEPOT DE AU MINISTRE DE E·ENvIR0NNEMENT, PORTANT SUR DECHETS NUCLEAIRES DE SOUL/\INES"· A NOTIFIE LES INERAcTI0NS DE CHASSE SUR DES ESz>EcES SON OPPOSITION A L'IMPLANTATION D'UNE TELLE pR0TEgE·ES_ DECHARGE. Simone AUCLAlR précise en substance que dans M°n$Teuï` lé Président. le cadre d'une étude sur les migrations d'oi— seaux, le C.O.A a constaté de nombre s s ` f aprés avoir Pris ¢<>¤¤¤îss¤¤¢é dés éïéménts vré- tions de chasse : un voi de 14 cruësecelsaîîgs Sentes P°ur 1'Enquete Publique Concernant le ue' est tiré le 21 octobre, un Epervier d'Europe a pôt de déchets radioactifs de Soulaines, et des été égajémém tu-é jé 19 Ocwbt-é, uné busé Varia- COI'ldltlOnS dans lesquelles s'est déroulée cette ble aurait aussi tuée et des passe- enquête, la Fédération Français¢· des Societes réaux tù·éS_ de Protection de la Nature (FFSPN), après déli- Tîâëgtwn dé $°n Bàïreîu en <1¤1té_ du 7 _n°Vembï`e De même, de nombreuses espèces migratrices cou- V°uS Pme e len V°u mr e°nSl8ner au rent un ris ue certain sur le site de Nadaillat registre d'observations les remarques suivantes: Où jés Chaïséurs sont trés présénts tous jés jours du mois d'octobre. La FFSPN tient à notifier son opposition à l'im- plantation de la décharge des déchets radioac- Pgaçflgfœcypsg: tifs de SOULAlNES aux motifs suivants: lu _ T S2 Vâgwll-(E Q j/Evllz Z - absence dans le dossier de présentation d'une véritable estimation des impacts socio-économi- 'JL , ques de l'implantation, j` 0 ·— aucune allusion n'est faite, et par conséquent aucune analyse, au projet d’extension du Parc de la Forêt d'Orient vers le Nord, projet dit "des lacs de Champagne", inscrit dans le Con- trat (lc Plan Etait- Réglon et dans lc Schéma Régional du Tourismv. - le dossier d'enquête est d'un laconisme inad- missible en ce qui concerne la surveillance à long terme des dépôts radioactifs. ON TlRE SUR LES FAUCONS — malgré les demandes pressantes des Associà- VOICI LA LETTRE QUE ESPACES ET RECHERCHES tions et Comités locaux, il n'y a pas eu de réu- A ENVOYEE AU MINISTRE DE L'ENVIR0NNEMENT» LE 29 OCTOBRE 1986. nions publiques contradictoires sur cette implan- tation, ce qui est contraire aux nouvelles dispo- Monsieur le Ministre. sitions clairement souhaitées par la réglementa- tion des en·1i_|ë[e5 Publique; L'ass0ciation Espaces et Recherches mène depuis des années sur le Col de Prat de Bouc (Cantal). une étude scientifique des migrations en colla- • boration avec le FlR et la LPO, au sein du \|\ groupe national MlGRANS. r É/"N >,;\•»·'€ Des actions pédagogiques sont menées en paral- É É lèle sur le site et de nombreuses classes du ,}\\’ _ J Cantal peuvent chaque année, avec leurs ins- '} É tituteurs et professeurs, étudier le phénomène jl /ê migratoire sur le terrain. · -\ \\ J (pu O Pour la quatrième annéc consécutive, un ornitho- \< ` (Z} _ logue permanent fait des comptages journaliers :§__ _ Nou îmls sur le Col du 1er sepptembre au 31 octobre. - °f2;·Ts¤ Lettre du hérisson n° 56 - déc 86 3
`”— " FHPN î L'objet de cette lettre est de vous informer qu'il a été constaté ces derniers jours plusieurs tirs sur des espèces protégées. Deux faucons pélerin, deux busards St Martin, un épervier d'Europe, |_E i un faucon crécerelle et un grand corbeau ont essuyé des Coups de fem LES CHARGES SOCIALES SUR SALAIRES Aucun de ces oiseaux n'est mort, mais un fau- _ _ _ Con pèlerin a été biessé à une patte (patte pen_ Les associations se posent souvent les questions dante après un coup de fusil). Bien que l'oiseau âviiaremmsnt Sgmvîsi : qustllîs cha;-ge? 7 wclales soit resté volant, nous avons toutes les raisons °1 `On payer ' Que en es e m°n an ‘ E- d ’· l • a · de penser qu 11 est Con amne La reponse est souvent loin d'ëtre evidente. ll Durant les années paœées, la présence des gar- 1mP°rte de Eavmr qu Il Exlsœz des ONC était effective et efficace, sur le Col d h _ 1 bu t , E de Prat de Bouc. - es c arges socia es o ga oir s. .le taux de certaines est fixé au niveau na- tional (URSAFF, taxe sur les salaires, ASSEDlC -/ ` (fr X) . les autres relèvent d'accords particuliers ^··/-»"` (même si, dans les faits, les taux sont sou- i,·· /’ prravvfê Vent uniformes) (ex. caisse de retraite complé- ,_.»~.. " " ou r.”,,,·,-,,£! mentaire) · »— · ·’ é` mv., _ -—-;__ E5 - des charges sociales facultatives "‘¤ùï-F--— ,, Elle relevent de la volonte de chaque association ( F E", (ex. prévention, maladies...) `/J E Les taux des charges sociales se déterminent en fonction de 2 grandes catégories Nos rapports avec le monde de la chasse sont _ employés conduits par une volonté constructive et nous _ Cadres étions de plus en plus satisfaits de l'évolution ds la Sltuatwn en 1984 °t_198§ i _“°uS S°mm°S mais il existe des cas particuliers (jeunes de d autant plus choqués de voir d anciens problè- _ 25 ans par ex.) dont une information paraî- mes œaPParaïtre. tra dans une autre lettre du hérisson. La vente des Cartes "PISe°“î à la I°ur“ée"’œ“d· Les charges sociales se divisent en 2 parties selon nous, d'autant plus necessaire la presence des gardes ONC sur le Col. Cette année 1986, - la part •·saiariaie•• qui représente la partiei_ lm"` abscnce est très d°mmaSCab1e· p«1tion du salarié à sa couverture sociale. C'est ' _ _ une assurance payée au même titre que d'autres C €St_ P°urqu°1· "°uS V°uS _q€ma“d°“S de Plan (assurance voiture par ex.). La différence essen- V°u1°u`_ user de votre aut°r1œ· Pm"` Éssuœr la tielle réside dans le fait que cette cotisation protection des rapaces et autres especes proté- est preievee par pempieyeur agissant au nom gées migratrices du Col. de l'organisme social. ne Président - la part employeur qui représente une partici- ation su lémentaire de ce dernier à la couver- _ P PP ]ean Maurice EMORlNE ture sociale de ses salariés. Concrètement, ceci aboutit à déterminer : — our l'emplo ét ce qu'il pcrçoit effcctivemcnt, c'cst Pfîfïrc, àlziiro brut part salariale, sippc lé ïalairo nct, — pour l'employeur le coût du salaire, c'est à dire : salaire brut plus partie supplémentaire employeur appelé salaire di charge. Ce coût est aussi égal au salaire net paye a 'employé, aug menté de la totalité des charges patronales (sa- lariales plus celles de l'employeur) Lettre du hérisson n° 56 — déc 86 4
7 ai %§‘0¢'l4ïIÉ>; § DEMANDE DE RENSEIGNEMENTS AUX ASSOCIATIONS . donc le salaire brut sert de référence et de base de calcul uniquement. Claude vous écrit. Par respect de son travail bénévole, répondez-lui l En résumé, la partie salariale iles charges repré S€I’\l.C CI’\VlI’.`0I’\ · du Eiülëiiïë brut. La part Si aujgu]·_·d'hui je m'ad|·_·e55e à vgug, C'e5t que Supplementüire e|npl0}'eur represente enVir0n pour la bonne marche de notre fédération, il A0 à 45 % du salaire brut. faut que la participation de tous soit effective pour arriver à de bons résultats. Autrement dit, les organismes sociaux prélèvent auprès de l'employeur 56 à 63 % du salaire Campagne des milieux naturels : vente de vi brut!!! (soit 66 à 77 % du Salaire net)! gnettes. Lorsqu'une association établit son budget, elle ]e suis bénévole au sein de la fédération et si doit préciser: j'ai accepté ce volontariat, c'est pour soulager les associations diverses de frais financiers très · le total des Sülâireâ bruts Y durs à supporter mais il faut que tous partici- - les charges salariales estimées a 50 % Pe“É e"ee la 1°Ya“,‘e q“‘ est Pe°Pee aux aee°‘ 0,50 Y ciatlons de protection de la Nature.- Pour ma part, ]'alme la nature et son environnement, soit UI'} total de S£ildlf`€S (lltâ "Ch6I’.‘g€S" (lc Crea pour cette raigon que je m'y applique le 1.50 x Y mieux que je peux et je souhaite que votre aide à tous les niveaux me sera utile pour mener ma (Il est recommandé dans les budgets prévision- tâche à bien. nels de prévoir un coefficient de L5. ce qui laisse une marge (le müI'\O€UVI’.‘€ Ch CBS d'üUgm€I'\ Il y a maintenant p|·_·è5 de deux mQi5' je v(_)u5 tation imprévue). ai fait parvenir par l'intermédiaire de notre directeur, Liliane MOOR, des formulaires pour Nous insistons sur le fait que, aussi bien sur faire, soit l'inventaire, soit le règlement par les documents budgétaires que sur les documents chèque des vignettes pour les sites naturels. comptables, la ligne salaire doit correspondre Très peu de vous ont répondu, c'est un peu re- üux Salaires bruts et la ligne charges SOCiüle5 grettable même si votre participation est faible, ne doit comporter que la part employeur. il est indispensable d'y répondre,car la campa- gne va bientôt être relancée et nous devons sa- A titre d'exem le, nous présentons ci-après deux voir où l’on en est resté, établir un bilan de modèles de calcul de charges basés sur les char cette opération pour l'année qui s'achève et par ges en vigueur à la FFSPN (cotisations obliga— tir sur de bonnes bases pour 1987. toires et cotisations facultatives). . _ ,, .,, . je compte sur votre compréhension pour avoir Le premier porte sur un empioye qui louche bientôt votre ré Onse 5000,00 F/mois (salaire brut). Le second sur un P ' "cadre" qui touche 10000,00 F/mois (salaire brut) Abonncment à la Lettre du Hérisson Il prend en compte la valeur des "plafonds" au ---——--·——-——— ——-———————-——— 1‘7‘86 et les taux en Vlgucur au 1‘7‘86‘ Depuis bientôt 1 mois, nous avons repris à Paris A h d é .t, . 1 , . t t d la gestion et aussi l’acheminement de la Lettre ux C at-ges e .5 Curl e 5,0Cla ee S apn en (inc du Hérisson. Vu la diversité des types d'abonne- eeuee des retraites e°'“P1e'“e“Èe‘Eee et des Pre' ments, cela implique que toutes les associations "°ya“eee· Lee, PF""e.e'“egee "‘d‘q“ee e°'“ ee“" et aussi tous les abonnes participent a cette nou Calcules el dedults a la FFSPN et correspondent velle organisation. ll y aura certains méconten- aux Orgamsmes C1téS‘ tements, mais il faut dire ce qui ne correspond pas à vos désirs et nous essayerons d'y remé- Voir tableau Page 6 dier. Nombreux d'entre vous reçoivent également Légende des numéros supplémentaires auxquels ils n'ont pas droit, sachez que la Lettre du Hérisson re- O: obligatoire vient très cher et il serait souhaitable que les F: facultatif personnes auxquelles cet investissement de tra- A: salaire plafond de séc. sociale. vail fait double usage puissent le signaler et B: salaire au dessus du plafond. que nous puissions en faire bénéficier de nou- veaux abonnés. ]e compte donc sur vous pour obtenir les rensei- gnements demandés, je ferai en sorte de prendre contact avec vous par téléphone pour régler au plus vite votre situation. Lettre du hérisson n° 56 — déc 86 5
Le livre vert X (Doux " Toc/Touâ Nous envisageons une nouvelle édition du "livre $1/7 fac/1/ëlë Z/4/Ré vert", aussi dans quelques temps, vous allez 1/gg? reccvoir un questionnaire relatif à votre associa /` tion, je vous demanderai d'y répondre rapide- K '*ï\ ment car faute de réponse de votre part, votre _ association ne pourra y figurer et cela serait ; bien dommagc pour lcs autres associations affi— M ‘} liées à la fédération. " À ]'€SpèI’.‘€ que [DCS PIÈOPOS I'\€ VOUS ont PES PBIÈUS À ennuyeux,mais il est indispensable que pour la è bonne marche de notre fédération, tout le monde participe et cela permettra à chacun de nous EAEP ALD de vivre düI’\S UI'} p8.yS Où la I’\ütUI’.'€ S€I’.`8 IÈCSPCC tée. Claude. fwc TRAN". -1- -E-_"_H` `~--“ ( _$` _D }(j/`/ C DPE - CHfIR6`ES soc/A11·E$u·e¤ sw- ‘ § ' " /I·°·°—¤-li-—-— ·` "·’·‘E ÉU! ..$^/—*1*"§.. ÃWÉC 5f!'Z£P?£’.”6 MR" SM! "E` IZ^!’F.F.'1'îëQ?.€?€ 01·F H1/E, 7,) `Hon1r111)ï», F. V0 1101/wxnw F °/a H0/I/74 1/rs. E °/0 I//¤1/11111/11» F SEFUPIFE S9!/ALE.· ' 1;/w.1>11: -I/F01/406 0 14+8 $6 2»30,~»12,¢· éS0,”° Sl" 5-é010" '21(" '26°1°" 5Eci/21Vz: 506//ILE ·· I//FLLESSE /ici/aT1PAv. 0 A 6,9 520,no [9,2 $60,00 6,9 006,72/ I9,° »/<I'20,/6 I " ; 1 tg`: L, I ( HOM E 0 A 2.1 4/550 1,1% 2/35-0 aa) 2/85, 1,. 0/ 0 L A6 f 5 _1 __ 1 1 I __/ zfg, 4/,454 (1,;} zzizg . I - .. Pow LL çumn/T1E 0 A16 · ·· Q5¤'I @,60 ' ” Qîà 53100 kET1?1·1T£ COHPLEVIE//T 0 A 4179 512,00 Max /56,00 1,91; 4;/0,43 @5*5 20 /,6 `ÉETRA 17*12 mons 0 13 — — ·· — 1/,111 22,05 7/1* *19,10 APEC lg /}+5 ·.. I — ·— I — 0,02 2,00 0_09 L/,00 I /, 41 pg up y,1}1./fE.- EL A 022. 44 00 0,%*1 22 0 0 022. 20 dfé 0119 / I ID INDFMÃ/, 2/005;*/1_ hnuicj B ' I / I ’ éîè 2; 3 / i:1L S,<I°Z P v0~/ 1/ FA pis E. A — ·— — · 05 L/7 40 10 34 @0 11-11mes sacxnizsmë. , Y/8,50 49<I’4,°° IÉT/9,"ë 4002,3 'HDL//P 1.1:1/r/ma pas r//om I 6,*/É ` 59,6 16,% LIW PA 4’ Rwmnr A1/ML. 511*117 I /7(/Tt/ELE //nLA01E F à’I1,·7§ 8*/,-75 5/ILAIRE4/ET P/I1'E^ I (/0/2 °° L '[/7H 0*/zi I _ i T07AL 1TE pas rx/Awrg I I Ã`2";7_7_,,§>_€ I É.6Zî @1% pg ygr- g Pme E,/PLDVFUK I I I I · ·I.ettre du hérisson n° 56 - déc 86 6