' QF¤““ Buc de " ` ' ' ·· L A L E Z? T B E D U E E R E S S QN BIMENSUEE. N° I7 le FEV 8 5 S O M M A I R E EDITORIAL P.- 3 CHASSE ; GIDIER D'EAU; PRESERVER L'AVENIR— P.- 4 FAUNE ; PROBLEME DE GESTION DES OURS — OISEAUX D'AEROPORT.‘.‘.L‘.‘.· P.- 5 UN BON DIRECTEUR DES SERVICES VETE1—INAIRES.-.-.-.-.-.-.-.-.-.·.-.-.-.- P.- 6.-7 MILIEUX NATURELS ; VIGNETTES FFSPN— LES AIRES PROTEGEES.·.·.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.' P.- 8.*9.*10 AGRICULTURE : ACTUALITES P.- 10.-11 POLLUTION ; PLUIES ACIDES M.- P.‘11.‘ LETTRE DE Mme R.- DGUCRARDEAU P.- 11 _ PROJET DE LOI SUR LES INSTALLATIONS CLASSEES.-.-.-.-.-.-.- P.- 12 EQUIPEMENTS ; PROJET DE COMPLEXE TOURISTIQUES A ST VIATRE.·.‘.‘.‘.‘ P.- 13 RESEAU COMMUNICATION ; COMMUNIQUER N'EST PAS P.- 13 FETE DE LA NATURE A GRENOBLE P.‘14.‘15.‘16.‘17 PROVOCATEUR APPELLE IMPRECATEURS.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.- P.- 18.-19 Chronique de J.‘ CARLIER TOI QUI PARLES A TON N0MBRIL (Suite) P.- 19 PROTECTION DE LA NATURE ET EDUCATION NATIONALE 19.-20 INFORMATIQUE ET VIE ASSOCIATIVE.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘ P.- 20.-21 MINISTERE ; ALLOCUTION DE Mme BOUCHARDEAU.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.` P.- 21.*22 VIE ASSOCIATIVE ; RAPPEL DES COTISATIONS.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.·.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘.‘ P.- 23 COLLOQUES — STAGES P.- 24.-23 EN BREF P.- 26.-27.-23 FORMATION FFSPN P.- 29
CCJIVIITE DE DEFENSE E5C]LJSSDl.JE[3l.1—(I)SS»€\L.J La vallée du Soussouéou, du fait de son isolement naturel, de ses forêts et de sa richesse écologique. est un site exceptionnel à préserver à tout prix. Pourtant, dix ans après la déconfiture du projet d'urbanisation de cette vallée, un nouveau saccage du patrimoine naturel se prépare avec les projets d'urbanisation de Fabrèges et de liaison Gourette-Artouste, nouvelle version à étapes toute aussi lourde de menaces pour la montagne, la faune, les skieurs eux-mêmes: les spécialistes ont toujours jugé le site dangereux, totalement impropre au ski de station et voué à la faillite. ll existe des sites alternatifs, non destructeurs, viables économiquement et créant autant d'emplois, notamment le site de l'Aubisque qui a lui, recu l'accord des Unités Touristiques Nouvellos en juillet 8l·. Quels intérêts peuvent bien poursuivre ceux qui s'acharnent à vouloir équiper le Soussouéou'? Pour en finir avec leurs aberrations répétées, nous exi eons la classement u site du Soussouéou au titre de la loi du 2 mai mai 1930 tel qu'il a été demandé par le comité des U.T.N le 2h juin 1982 et réitéré le 17 janvier 198b. ‘l D ans apxrès, Smusascuécu PQSBÈLQ un Symbole; ¤at.î©r1al NUM PRENOM ADRESSE ROFESSION iGN/ÃTURE Pétition à retourn au Comité, Centre Rencontre et Recherche, avenue de Saragosse, PAU - 6t·UOO 0
u » ' d " 1 r °¤ I LA PROTECTION DE LA NATURE, C’EST AUSSI DE L’ECONOMIE... Nous LE SAVONS TOUS, BIEN SUR, MAIS PRENONS·NOUS LE TEMPS DE L'EXPLIQUER, DE LE DIRE À DES PARTE· NAIRES QUI L'IGNORENT ET NE RAISONNENT QUIÀ PARTIR DE CHIFFRES ET DE CALCLLS À COURT TERME ? ET POURTANT ? LES HASARDS DE LA PREPARATION D'UN COURS MIONT PERMI DE CONSTATER LES FAITS SUIVANTS · DÉFICIT DE LA BALANCE COMMERCIALE DE LA FRANCE POUR 1984 2 19 MIL|.IARDS DE FRANCS. · DEFICIT DE LA BALANCE COMMERCIALE SUR CERTAINS POSTES "ENVIRONNEMENT": .IMPORTATION sA1.M0N1DEs 1983 : 898,A5 MF . IMPORTATION GIBIER 1982: 212,07 MF . IMPORTATION M0u1.Es 1983: 116,00 MF . IMPORTATION GRENOUILLES 1983 : 61,00 MF . IMPORTATION caRA1NEs DE COI.CHIQUE 1983: 16,50 MF GLDBALEMENT, sun CES DIVERS POSTES, LE DE¤=1c1T A ETE EN 1983 DE 1 M1u.1ARD 303 MF. ET EN 1984 ? CES CHIFFRES NE DONNENT·ILS PAS À REFLÉCHIR SUR CE QUE POURRAIT ETRE LA SITUATION SI LION NIASSISTAIT PAS À UN GASPILLAGE, À UNE DESTRUCTION DE NOTRE PATRIMOINE NATUREL (ESPACES ET ESPÈCES) AU NOM... DE LA RENTABMTE ECONOMIQUE. PROTÉGER LA NATURE, N'EST·CE PAS AUSSI TROUVER UN LANGAGE ACCESSIBLE AUX "ACTEURS ECONOMIQUES" POUR EMPLOYER LA TERMINOLOGIE RECONNUE. Nous AVONS LA CONVICTION JUSTIFIÉE QUE LA SAUVEGARDE ET LA RESTAURATION DE NOTRE PATRIMOINE NATUREL NE PEUVENT SE RÉSOUDRE À DE SEULS CALCULS ECONOMIQUES À COURT TERME. IL Y A BIEN D'AUTRES RAISONS QUI NOUS INCITENT À CET'I'E LUTTE INCESSANTE QUE NOUS MENONS. MAIS, EST·CE UNE RAISON POUR NE PAS FAIRE VA|.OIR QUE DÉTRUIRE ET LAISSER DÉTRUIRE NOS RESSOURCES NATURELLES, C'EST AGIR À L'ENCONTRE DE LIECONOMIE GENERALE DU PAYS (SANS PARLER DES AUTRES PAYS DONT NOUS EXPLOITONS DIRECTEMENT OU INDIRECTEMENT LES RESSOURCES NATURELLES). LES SUEDOIS, QUI SONT GENS PRECIS, ONT EVALUE ,IL Y A QUELQUES ANNEES, QUE LE SEUI. LESSIVAGE DES SOLS LIE AUX PLUIES ACIDES LEUR COUTERAIT] À LA FIN DU SIÈCLE) 35 MILLIONS DE DOLLARS CHAQUE ANNEE PAR DIMINUTION DE LA PRODUCTIVITÉ FORESTIÈRE (SANS COMPTER LA MORT DES LACS, LE DÉPERISSEMENT FORESTIER, LES RÉPERCUSSIONS AGRICOLES, ETC). MARC AMBROISE RENDU, DANS un c0uRT ARTICLE PARU DANS LE MONDE DU 13 DEcEMDRE DERNIER, CONSTATAIT QUE nous AVIONS EU RAISON ”TR0P Tô1" EN ANNONCANT CES EVENEMENTS DANS LES ANNEES 1970. N'EST·CE PAS LE MOMENT DE LE RAPPELER... CHIFFRESEN MAIN ? J.P. RAFFIN Lettre du Hélrisson n° 17 - Fîév. 85 D
-—————-—c h a s s e—·-——————~ GIBIER D’EAU Z PRESERVER L’AVENIR - des travaux réalisés aux Etats Unis après de tels phénomènes climatiques on sait que d'ores et déjà le taux de reproduction sera Suite à la vague de froid, des scientifiques et notablement diminué. associations de protection de la nature deman- dent au Ministre de l`Environnement et aux chas - en effet, la qualité et la quantité des réser- seurs que la chasse au gibier d`eau soit fermée ves stockées sur les quartiers d`hiver détermi- dès maintenant pour ne pas compromettre la re- nent le nombre des jeunes qui seront produits production de cette année et de ne pas obérer deux mois pus tard sur les lieux de reproduc- l`avenir de ces populations. tion. Des scientifiques (du Muséum National d`Histoire Naturelle, du Centre National de la Recherche 1,;**** Scientifique et d`Universités) et les associa- tions de protection de la nature viennent de de- mander au Ministre de l`Environnement de repor- ter la date de fermeture de la chasse au gibier d'eau du 28 février au 1er février 1985 pour les raisons indiquées ci-après. LES CHASSEURS SE PLAIGNENT QUE DES PROTEC- TEURS DE LA NATURE ARRIVENT AU MINISTERE. Il apparaît en effet essentiel, compte tenu des LES MEMRODS ]ETTENT LE MASQUE ? conséquences dramatiques qu`a eu la vague de froid pour les populations de ces espèces, que _ _ les oiseaux qui ont survécu aient le maximum Le communiqué de M. Louis CHAPET, president de chance de se reproduire et qu`ils disposent de la fédération des chasseurs d`Eure et Loire de la tranquillité nécessaire à la reconstitu- _ ' tion de leurs réserves (graisses) pour effectuer "Ce que les chasseurs redoutaient avec 7/a.z·z·1·vee leur migration ou se reproduire. au Ministère de 7·'En;ÃI·0rmement de pïotecteurî de la Nature, dont s p0s1lt1bns son souven Paris, le 28 ]anvier 1985 anti-chasse, est en 1‘:1·a·in de se produire !" FEDERATION FRANCAISE DES SOCIETES DE PROTEC TION DE LA NATURE SOCIETE NATIONALE DE PROTECTION DE LA NATURE LIGUE FRANCAISE POUR LA PROTECTION DES OISEAUX. Arguments scientifiques - vague de froid exceptionnelle par son étendue, VA-Jp sa durée générale et son intensité. gv "\ - effets sur le gibier d`eau 2 pertes d`hibitats (gel) dispersion et migration de fuite vers des zones O refuges mal connues ou inconnues des migrateurs O 0 - diminution des ressources alimentaires (dans »;'/`°\\/x" des secteurs cruciaux anéantissement de la végé `/, `. "\ O" _ tation |· x ‘ ,·, ‘· ) ( /_& `\\ È " - résultats : jeûne forcé ,' ’/ !`§·~ J baisse des réserves , I Y-W “ mortalité naturelle importante ;·_ ` L-] Besoins du gibier d`eau à pâïîîï du gel ` - tranquillité pour assurer la reconstitution des reserves nécessaircs à la survie puis à la __ , g reproduction ?€¤RKPAFN\ A`) Hbgw · en se basant notamment sur : _ |~|'~s~·$ LPASCCK tJ¤U§ YZ€t-IPLU rtéfè Lettre du Hérisson n° 17 - Fév. 85 il
D I —-—-————— f ¤ un e———~—»——————- plus persistantes pour que l`on tue un grand nombre d`ours. Les possibilités de rencontre de l‘homme avec l`ours sont objectivement augmen- tées par les excursions en forêt de plus en plus fréquentes, et c`est là qu`existe un grand danger pour l'existence de cet animal. Actuel- Une des caractéristiques de notre époque est lement, on essaie de faire face aux cas d`ours l'exploitation de plus en plus intense de blessant l‘homme grâce à un fonds’ spécial, l'espace, soit par des :onsommateurs primaires avec lequel on répare des dommages et des (économie forestière, agriculture), soit par des lésions chez l`homme. consommateurs secondaires (tourisme, urbanisa- tion). La faune sauvage est dérangée dans son On essaie de conserver les arbres fruiti‘ers qui alimentation et, à son tour, trouble les autres offrent aux ours une nourriture abondante et de animaux en causant des "dégâts". Par sa pré- ce fait ceux-ci ne se déplacent pas vers des sence physique, l`homme trouble le calme, et, régions plus peuplées. Un complément de nour- de ce fait, le rythme nat rel de vie, ce qui a riture est fourni sous forme de charogne, la des effets négatifs sur le développement des nourriture d`origine animale étant très impor- animaux mêmes et du milieu. L`exploitation agri- tante (cadavres d`animaux domestiques, déchets cole d`une région est toujours orientée vers la d`abattoirs). Dans le TCE "MEDVED", on entre- satisfaction des besoins de l`homme et de son tient constamment 8 places de nourrissage (1 bien-être. L`activité des animaux dérange géné- pour 5 OOO ha en moyenne) ou l`on dépose au ralement l'homme dans la poursuite de ses ob- total 80 tonnes de charogne et 35 tonnes de jectifs de développement. Ce sont des faits que maïs par an. Avec l`affouragement, on essaie l`on rencontre presque partout. La législation de faire en sorte que ; slovène qui règle l`exploitation du gibier essaie - l'ours n`attaque pas les animaux domestiques, de gérer ces contradictions. Mais dans cette et dans cette optique le nourrissage est une lutte, les animaux sont malheureusement presque réussite totale, toujours les perdants. - qu`il séjourne surtout sur le territoire du terrain de chasse et qu`on puisse observer et L`ours, en tant que grand animal sauvage, a étudier des ours près des places de nourrissage besoin non seulement d`une structure propre et et éventuellement en tuer un certain nombre. d`une bonne densité de population, mais aussi d‘un espace vital suffisamment étendu qui doit Pour la survivance d`une espèce, l‘étendue satisfaire tous ses besoins (nourriture, calme, d‘un biotope adéquat est d`une extrême impor- lieu de retraite). En Slovénie, on considère la iance. Le fait qu'en Slovénie l'ours ait subsisté faune comme un "héritage naturel". Le devoir avec une telle vitalité est dû à ce que son des chasseurs et des autres gestionnaires de biotope· fait partie du biotope de l`ours plus l`environnement est de conserver cet héritage. étendu en Yougoslavie, qui s`étend sur la Parmi les différentes espèces de gibier, l`ours chaîne dinarique. Ce même fait conditionne occupe une place spéciale à cause de sa rareté. aussi la persistance du loup qui avait presque On reconnaît. son existence dans un espace déter- disparu autrefois (mais qui persiste toujours). miné, dans le domaine mentionné plus haut.Les En Slovénie, la migration d`ours individuels est conditions favorables à l`existence de l`ours orientée vers le nord en haute Carinthie et en sont dues non seulement à la politique de chasse Styrie de l`ouest, en Autriche. Les itinéraires et aux efforts pour la protection légale de de migration mènent à travers des régions dans l'ours, mais aussi au fait qu`on n`a pas su lesquelles l'ours n`est plus, depuis longtemps assez dominer l`espace (peuplement, urbanisa- déjà, un animal permanent. ll est intéressant tion, à la différence du restant de l‘Europe de savoir que l`ours y cause des dommages aux presque entière). Quelques facteurs naturels animaux domestiques, alors que sur le territoire (terrains improductifs, pierreux, montagneux, du domaine "MEDVED" ce problème n`existe d`accès difficile) ou bien les déplacements histo- presque plus, puisque l`ours dispose de nour- riques (évacuation des populations). riture riche en albumines aux places de nour- rissage ou l`on dépose des charognes. Ce fait Ces caractéristiques sont toujours présentes sur est confirmé par les expériences en Bosnie. le territoire actuel de l`ours en Slovénie, sur- tout sur le territoire du TCE "MEDVED", mais elles disparaissent au détriment de l`ours. Parmi les caractéristiques susceptibles de trou- bler l`homme dans un paysage cultivé on pour- rait citer l‘agressivité de certains ours (ours blessé, ourse suitée). En Slovénie, de tels accidents sont rares, mais donnent tout de même une opinion négative sur l`ours par le biais des media et les demandes se font de plus en Lettre du Hérisson n° 17 - Fév. 85 5
' C ~—-——l I UN BON DIRECTEUR DES SERVICES VETERINAIRES "Neue eP1>ee¤<>¤e de eeueee eûee que du beteîl appartenant à M. Peyo SALLAGOITY , demeurant à lholdy, quartier Olce, meurt faute de soins et de nourriture ainsi que d`abreuvement. NOUS PRESENTONS CI-APRES UN ECHANGE DE COR- RESPONDANCE ENTRE UNE ASSOCIATION DE pgg- Récemment, cet éleveur aurait brûlé des cada- TECTION ANIMALE ET UN D.S.·V.· VFES et il Païaïtraü que ses animaux ¤€ 50¤’£ pas vaccinés REVONS AU JOUR OU NOUS POURRONS RECEVOIR DE TELLES LETTRES SUR LES PLAINTES QUE NOUS ]e vous demande votre intervention rapide pour FORMULONS A L’EGARD DE CERTAINS PARCS ZOO- ce cas navrant et dans l`attente de votre répon LOGIQUES, EXPOSITIONS ITINEIANTES ET LES se que je me propose - si vous n`y voyez pas TRAFIQUANTS D'ANIMAUX.‘ d`inconvénient - de communiquer à mes plai- gnants, ....... " Lettre envoyée par Madame ]. GILARDONI, Pré Paris. le 13.6.83 sidente de l‘Oeuvre d`Assistance aux Bêtes _ _ _ _ _ d'abattoirs à Monsieur le Docteur CAZAUBON Nous 1"”P1"aaaœa”S_ a"*'aP1"€S le aapœ de le m' Directeur des Services Vétérinaires des panse de le DS" a Madame J·` GILARDON-T·` Pyrénées-Atlantiques. D|RECT|ON nm-um.¤¤u¢ FRANCAIS! DES SERVICES VÉTÉRINAIRES ¤Er=A¤1·EMEN·r nzs PYRàN¢E:s·ATLANT¤¤uEs (ill Mninimcrivu. (mm lynuhy · I. P. S90 64010 PAU CEDEX w.0¤.s:.¤a P"' l' 15 Juin 1983 No ¤_5_v LE DIRECTEUR DES SERVICES VETERINAIRES Rlllnnca I rappeler v à PC / GL Madame GILARDONI J. Présidente de l‘©euv *c d'Assistance aux Bêtes d'Abattoirs 10, Place Léon Blum 7$O11 - P A R I S OBJET : Bétail SALLAGOITY - Maison "ûrxosohoa" à IHOLDY. REF. : V/Lettre du 13 Juin 1983. Madame la Présidente, Par lettre citée en référence, vous attirez mon attention sur le cas d'un éleveur malheureusement bien connu dans la commune d'IH©LDY et pour lequel la Direction des Services Vétérinaires dispose d'un dossier considérable. Lettre du Hérisson n° 17 - Fê\/--85 6
i F Depuis l'origine des interventions de prophylaxie collective au Pays-Basque, M. Pierre SALLAGOITY s'est singularisé par une mauvaise volon- té permanente et irréductible. Un nombre imposant de correspondances avec les diverses autorités(municipales , Président de Groupement, Maire, Vété- rinaire Sanitaire, hommes politiqueà ont régulièrement conduit à l'échec avec pour conséquence les interventions de la Gendarmerie Nationale. Les dernières en date remontent au 19 Février 1981 et au 25 Février 1982. Si vous en manifestez le désir, je vous transmettrai les photocopies de cet opulent dossier. Les procès-verbaux dc constatation des infractions demeurent cepen- dant lettre r•··\rte. J'ai demandé à M. le Procureur de la République l'appli- cation de sanctions exemplaires, sans pour autant, qu'à ma connaissance, il ait été donné suite à mes avis. De telles situations sont heureusement rares, même dans les plus retirées de nos campagnes. Elles n'en constituent pas moins des exemples regrettablement commentés . Je suis donc disposé à accorder un appui sans réserve aux plaintes que vous déciderez de porter devant l'Autorité Judiciaire, Et vous prie de croire, Madame la Présidente, à l'assurance de mes sentiments distingués et dévoués. LE DIRECTEUR DES SERVICES VETERINAIRES, `¥`?w‘°i|'0 ’ ” / 5 Ai I 'fg _ '¢‘ 'sj ï ~ ;· -3 ' xs "`°‘· ·.,* • . AzAuB©N " • `sfvi ygtüù ' P. S. Je transmets les photocopies de votre lettre et de la présente réponse à M. le Maire de la Commune d'IH©LDY. UTILISATION DES OISEAUX SUR LES AEROPORTS Envoye z vos informations à La Ligue Italienne pour la protection des Oi- Dr F. MEZZATESTA seaux (LIPU) recherche des informations sur les Secrétaire général LIPU techniques permettant d‘éviter les collis ions Vicolo S. Tiburzios d`oiseaux avec les avions. En particulier, sur 43100 PARMA (ltalie) l‘utilisation de rapaces et l`efficacité de la technique. avec un double à la FFSPN. Merci Lettre du Hérisson n° 17 - Fév..85 Y
—————- °I ° I I ---« ITII IGUX nd ül'6 S IMPORTANT ..... ATTENTION ..... DEPUIS LE 1er JANVIER 1.984, LES CONTRIBUABLES DOIVENT JOINDRE A LEUR DECLARATION D'IMPOT TOUS LES RECUS POUR DONS.· CETTE MESURE ENTRE EN VIGUEUR POUR LES DECLA- RATIONS DE REVENUS 1984 QUI SONT FAITES DEBUT 1985: LE RECU DOIT ETRE DU MODELE AGREE.· OR, CEUX DELIVRES PAR LA FFSPN POUR LA CAM- PAGNE "MILIEUX ·NATURELS" NE SONT PAS DU MODELE AGEEE; CEPENDANT, NOUS Àymgg ` OBTENU UNE ·DEROGATION.· AU CAS OU DES' 'DONATEURS VIENDRAIENT SE PLAINDRE, VOUS POURREZ LEUR DONNER LA PHOTOCOPIE DU DOCUMENT CI-DESSOUS POUR QU'ILS LA COMMU- NIQUE A LEUR PERCEPTEUR.· POUR LES DONS D'UN MONTANT ELEVE (SUPERIEUR A 1 000,00 F) NOUS ECRIRE (AU SIEGE DE PARIS) POUR QUE NOUS ETABLISSIONS UN RECU CONFORME.· DANS CE CAS, IL FAUT OBLI GATOIREMENT NOUS JOINDRE LES RECUS ACCOLES AUX VIGNETTES ET LE CHEQUE; `-_— MK./A·E· Monsieur le Président, MINISTÈRE DE L‘ÉCONOM|E DES FINANCES ET __ Vous avez bien voulu appeler l'attention, par lettre P/JPL/525 du 19 mars dernier, sur les problèmes posés_à vos mandants par l'entrée DIRECTION GÉNÉRALE DES IMPOTS en vigueur d'u.n nou’veau modèle de reçu pour justifier du versement de ... dons b. des oeuvres, ou organismes d'intérêt général. SEIMCE Par raison d'économie, vous souhaitez pouvoir utiliser le modèle DE ‘-'^¤M'N'm‘^T'°N GÉNÉRALE que vous venez de faire éditer pour une campagne nationale pour la sauve- "_ garde des milieux naturels. Sou:-Dlrectlon III C Bureau III C 1 Il m'est agréable de vous infomer qu'il m'a paru possible, compte tenu du motif invoqué, de répondre favorablement à. votre demande, étant entendu que vous ne manquerez pas, ainsi que vous en avez pris lI° 26 0#76 l'engagement, de vous référer au modèle officiel Z1 l'occasion du plus prochain tirage. A ce sujet, je précise que l'Administration fiscale attache le plus grand prix Z1 la présentation de la partie de l'impr:Lmé qui doit être jointe par le contribuable a sa déclaration. Or, ce dernier doit non seu- lement comprendre l'ensemble des mentions prévues par l'arrêté du 21 jan- vier 1982, mais également avoir un format voisin de 15 x 21 cm pour ren- dre la plus aisée possible son insertion dans la déclaration. Je- vous saurais gré, en conséquence, dans l'hypothèse de la dif- fusion d'un modèle illustré du type de celui que vous m‘avez communiqué, de veiller P1 ce que le donateur ne réduise pas du même coup la surfao• utile de 1'imprimé destiné Ea l'Administrat:Lon. Veuillez agréer, Monsieur le Président, l'express:Lon de ma considération très dis Linguée ._. Monsieur le Président de la Fédération Française La S - es Sociétés de Protection de la Nature °°° ‘3'l_ rue Cuvier / 75251 PARIS CEDEX 05 , ——-—-········"" p_ n REMINET Lettre du Hérisson n" 17 - Fév. 85 8
-—l I l récent). Le canal affecterait le débit de l`eau, permettrait aux bateaux de pénétrer dans le parc et détruirait les forêts. M. Marc Dourojeani, de la Commission des parcs Les Tlés Clé Robinson Crusoé · C`est a dlre nationaux et des aires protégées de l`UICN l'arChlPel de ]uan Fernandez- qui est un Pare (CPNAP), fait remarquer que les onze aires chilien — 0nt été citées Comme l`eXemPle même choisies sont armi les plus menacées. Les 43 Clés aires protégées les Plus menaCees du monde aires parmi lesquelles elles ont été sélection- par l`Union internationale pour la conservation nées ne sont qu·un enotx représentattf des de lâ nât\11'é ét Clé SéS 1`éssouFCés· nombreuses aires menacées que l`on compte parmi les 3000 aires naturelles protégées recon- Les chèvres. le bétall· les CoChons et autres nues par l`Organisation des Nations Unies. ânlmâux Cloméstlqués introduits Par l`nomme M. Dourojeani a précisé que dans certains cas, broutent la végétation et sont à l`origine de tt est quasi impossible de reméqter a la sttu_ l'érosion grave qui sévit dans les îles, tel est ation et que même torsqu·on Sait comment le le Constat Présénté aux sClentlrlrlues et sPeCla' faire, il est souvent difficile d`agir pour des listes de la conservation. Pïésénts È l`Assém· raisons politiques, administratives ou finan- blée générale triennale de l`UICN, le 14 novem- etres_ Uïé â MâCl1`l€l· Il a ajouté 2 "dans le monde entier, les lois en vigueur se révèlent inadaptées à tout un C`est Clâns Cét archipel. ParC natlonal Cnlllen ensemble de nouvelles menaces pesant sur CléPuls l935· que lé bouCanler anglals Alexander l`environnement, menaces qui, souvent, trans- Selkîrk. flt ¤¤¤f·‘¤g€ en l70r•· Ses aventures cendent les frontières nationales. Les précipi- inspîrërent à Danlél Defoe son célèbre Roblnson tations acides et les activités incompatibles qui C1'\1S0ê· ont lieu dans les zones entourant les aires protégées, notamment les activités militaires et l·`a1'ClïlPél est une des onze alres Protégées la guerre civile, affectent gravement de nom- (1'Afrique, d`Asie, d`AuStT.'âlle, Cl`EuT·`0Pé ét des breuses aires pr0tégées," Amériques que l`UICN a classées parmi les plus menacées du monde. Qu`il s`agisse de parcs nationaux ou de réserves, elles sont victimes des menaces les plus diverses : empiètement de l' homme , braconnage, développement interne inapproprié (ouverture de routes, par exemple), exploitation et prospection minières, mise en valeur des terres limitrophes, modification du régime hyCl1'0l0gîqué· développement hYClro· BRESIL - Parc national de Araguaia. La cons- éleCtT.'Iq\1e, conflits avec le bétail, activités tructign de t·gu[e5 Cau5e de5 dommage5 et il y militaires, exploitation forestière illicite, pol- a deg installations illégales, lution, précipitations acides, invasion d`espèces exotiques. gestion ï¤âPP1'oP1'léé des 1`ésSourCés· CHILI - Parc national de ]uan Fernandez. Des· déclassement Ou péïté dé Stât\1t· animaux introduits sont cause d`une érosion grave et les plantes étrangères supplantent les Outre ces onze aires, l`UlCN en a répertorié 32 egpèceg indigèngg, qui dcivent faire face aux mêmes menaces et souligne qu`elles sont simplement représentatives QQTE D‘lV()lRE - Parc national de Tai, Les de la situation dans laquelle sé trouvent bien braconniers, les chercheurs d`or et les instal- des 3000 aires Protégéés du monde sans etre lations illégales ont gravement endommagé les I’léC€SSâIT.'€m€I’lt l.€S pl\1S tO\1Cl"lé€S. deux 1§j_Q]_·5 du parc, En compagnie de ]uan Fernandez figure le Parc national du Mânu âu Péïou qui. selon l`UlCN· ETATS-UNIS - Parc d`Etat des récifs coralliens se tT·'0uVé SânS douté confronté â uné Plus vasté de ]ohn Pennecamp et Sanctuaire marin national gâmme de menaces Clu`âuCu¤ autre ParC du de Key Largo. Le draguage et le comblement monde. troublent les eaux claires nécessaires aux Le gouvernement se P1'0POSé Clé construire uné coraux. Les égoûts de Miami polluent la région 1'0\1té en Vué Clé Promouvolr la Colonlsatlon Par et les coraux sont endommagés par les bateaux, l'h0mmé. lâ sylviculture. l`agî`lCulturé ét l`êlé- les pêcheurs et les collectionneurs de coquil- vage. Des autorisations de prospection du pé- lages, Projet de lotissement, trole et des minerais ont été délivrées, la pT.`OSp€CtI.OI’l de l`OT.' bat SO!1 plein Et l`Ol’1 prévoit - Réggrvg de faune de Kutai (parc de creuser un canal S\11' les lieux même où le national proposé). Gravement détériorée par un collecteur de caoutchouc Fitzcarraldo tira son violent incendie et par l‘exploitation forestière, bateau. du bassin de l`Urubamba à celui du celle du pétrole et des minerais et les routes Manu· (Son exploit â fâlt l`objét Cl`u¤ film desservant les sites d`exploitation. Lettre du Hérisson n° 17 - Fév.8S 9
C -·¤¤¤——-——---————··~·GQl‘lCU fU|'6·· PEROU - Parc national du Manu. Projet de route. La prospection de l`or se poursuit. On envisage de nouvelles explorations minières et Pé"°H.èr°S' H °"lSÈ° ““ PF°j°t d° °"“"l °“ "“° UNE SEMAINE SUR "L'AGRICULTURE A LA RENCON- de IEEEI d°‘”‘ b“5‘“5 H“"“‘”" TRE DES FRANCAIS : DES RASINES POUR L'AvE- . NIR" A EU LIEU DU 5 AU 11 JANVIER, ORGANISEE Èȧ£.‘lïl“î.îmê d‘Éî‘î...“î1t?§Fi;E..d‘à.ilîîlidêîëg III LE EIIIEIEEE DE I'^EEIIIIIIEE·· viable en raison de l'exploitation forestière de LA RESPONSABLE DL RESEAU A ASSISTE LE `9’ A 1, .è . . . ' UNE JOURNEE—DEBAT SUR LE THEME J empi tement des agriculteurs itinérants et des l“St"H‘m°“5 ‘H°g"l°5' QUEL REMEMRREMENI POUR DEMAIN ? Eâ"îî'lLî.;.§;rî.î§.§§“55裏âî°‘;.îF..'Égîë°îâî,ïZL EIEI IEIIE EEIIE IIE LES IIIEEIIEEEEEIIE . , . ' . . PORTEURS D'AVENIR :HYDRAULIQUE REMEMBRE- céros noir, lentree illegale de troupeaux MENT ETC ) ’ venant paître et des feux de brousse menacent ’ ’ lllàlè gâîtesllîîorïîëlcâcs uî A;gàCtl;.l1_î làl?5;ll§ll::naè‘î Si le remembrement est jugé positif pour le Baise esüonpdes ressourges maintien des agriculteurs sur place, on g ' s`oriente maintenant vers la formule "remembre- . ment-aména ement". La séance finale a eu lieu, 'IPCHECOSLOVAQUIE - Parc .nat1onal de Krkonôse. le 9I augpalais des Congrès] présidée par e plus ·gravement atteint par la pollution M. Rocard. âÈ'ëîî§h§‘ë‘è:îra,‘è° lons les parcs llallollaux Les rapporteurs des tables rondes des jours P ° précédents ont présenté leur rapport : YOUGOSLAVIE - Parc national de Durmitor. Une - M' Gulllallmc' Commlssalllc au Plall' L molllllé usine de traitement de Pétain envisage de les points lqui conditionnent le developpement déverser ses eaux usées dans la rivière Tara. de.llaglllcllllulle lllllllle° Qlllcll conclure ll Coll- Projet de construction d‘une usine hydro- guerlr. des marches que, llagrlcultuœ EIIEHE électrique. insuffisamment. ll faut ameliorer la productivite en investissant dans l'hydraulique, le remembre- · ment, etc... ÉÈÈÈÃ.5 .Èîçc駑.îl‘°§1îl..É ° AF N§lî1""É"’î;.viȧà ¢°I·II·=I~I. III II~·iIIII,I·?II··=III.I I°“EIIIII PEEIEEI, 10 · Im IIIEIEIEI PEI EI PI EIEE IIIEII III EE ““°”KZÉ" FÃÈÈÉUÉS““°Èàî.îll‘°Ã`..‘l‘§5ÈÉ "”‘}‘l`l.Éàî’§' îêîlelgîgldeîilutlgergaenpggëëaâïls d Eléphants de la demande des industries de transformation. ° ll faut une plus grande souplesse. Rééquilibrd" l'effort public est à voir également. - M. Bloch-Lainé a rapporté sur le statut des agriculteurs (table ronde agriculteurs-citadins), pour une clarification : distinguer l'exploitation des biens privés des exploitants, lui donner / J3! tn _'___Fi_ une reconnaissance juridique, ainsi qu`aux "'·"% agricultrlces, non reconnues jusqu`alors. Ce serait 1'émancipation économique des agricul- @#4 .— est-=—â#*?\ MIE- - M. Delaunoy a rapporté sur l'agro-alimentaire ?£ë,Ã%lÈÃl·;" sur la concurrence, le poids des PME, les bio- L3 l technologies. - M. ]acquot, conseiller de ]. Delors à Bruxelles a parlé de l‘Europe face aux défis mondiaux __1 ; il manque une stratégie européenne d`exporta- tion (l‘Europe doit affirmer son identité). - M. Rocard a présenté une longue synthèse sur l`acquis de l`agriculture, puis sur ses dif- ‘ ficultés conjoncturelles actuelles, enfin sur les perspectives potentielles d ` occupation des marchés (les M.C.M. sont supprimés) : produire mieux que les concurrents et vendre, soigner la gastronomie, affirmer l`identité de la PAC face à l`hypocrisie du libre échange américain. Lettre du Hérisson n° 17 ·- Fév. 85 ].U
I l —-I I I —···l I · PLUIES ACIDES Maîtriser la production : quotas des vins de table sont à venir, suite à ceux du lait ; ren- forcer les pI`OdUCt`l.OHS déî`l.C`l.tB.`l.I`€S, pI`9dU`lI`€ LETTRE mieux (réforme de _l'ensel8nelnent a8rle°le)· L'ASSOCIATION FEDERATIVE REGIONALE POUR LA L'êvo1¤t rleln°SraPnlq.ue ne _va Pas v<=rS_1¤ PROTECTION DE LA NATURE EN ALSACE A RECUE suppression d€S agriculteurs, Il faut les main- DE tenir dans des exploitations viables, à l'aide DE L:ENVIR0NNEMENT·, CETTE LETTRE NOUS de la s°llrlerlte· PARAIT TRES INTERESSANTE CAR MADAME H; __ BOUCRARDEAU Y PRESENTE D'UNE MANIERE SYN- Au milieu de tous ces débats, les points positifs THETIQUE LE PROGRAMME D:/iCTI0N PREVUE en ce qui Ceneerne n°s'Pre°CC·lPatl°ns : TANT AU NIVEAU NATIONAL QUE COMMUNAUTAIRE — le Femembrement·ûmenûSen-^^t qul Prend en POUR LUTTER CONTRE LA POLLUTION ATMOSPRE- compte l'ensemble du territoire de la commune, RIQUE ET LES PLUIES ACIDES_. permettant à tous les habitants de faire valoir leur Pelnt de Vue- Monsieur le Président, - une évolution des esprits en ce qui concerne l'intérêt du maintien des milieux naturels. · par Courrier du 21 juin 1984, vous mwavez — une V0l¤¤te ûPPûrente du Mlnlstre de lnalnte' adressé un certain nombre de données supplé- ¤îI` les agriculteurs en place Plutôt que de les mentaires concernant les pluies acides et la tïûhëfeïmer en Cltûrllns·Cnôlneurs· situation observée dans le massif vosgien. Tout le reste est. en mieux prëS¤¤të· ce que ]e vous en remercie vivement 2 je suis entière- l'on sait déjà de l'évolution de l'agriculture ment persuadée que 1e pi·eb1eme des p1uieS "moder¤¢"· On ne Vs Pas Vers une reduetlen acides est l'une des questions les plus graves des coûts intermédiaires mais vers celle des auxquelles 1eS pays d•Eui·epe aient à faire face heures de travail grâce à l'informatisation. en matière d'envirOnnement• ' Je possède de nombreux deeulnents à la dlsP°sl' Sur ma proposition, le Gouvernement a arrêté, tion de ceux qui souhaitent les consu1ter· en février 1984, un premier programme d'action pour lutter contre la pollution de l'air et les Germaine Rieeu pluies acides. Parmi les actions les plus impor- tantes, ]e citerai : . réduction de 50 % des émissions annuelles nationales de dioxyde de soufre d'ici à 1990, • par rapport à leur niveau constaté en 1980. Il s'agit d'un objectif ambitieux qui devrait po ' I permettre de réduire les effets des pluies acides, les oxydes de soufre étant avec les oxydes d'azote, les principaux contributeurs à la formation des pluies acides. . meilleur contrôle des grandes installations de combustion, principaux responsables des émis- PLUIES ACIDES sions de dioxyde de soufre au travers notamment d'un renforcement de la réglementation des installations classées. Le député ]ean VALROFF, monsieur "pluies aci- des" a décidé de prendre contact avec le maxi- . réduction de la pollution automobile. mun d'associations de la FFSPN concernées par lc problème des pluies acides et du dépérisse- . renforcement de la surveillance de l'état ment des forêts. Les associations recevront direc sanitaire des forêts et développement du réseau tement une invitation. Dès réception de cette in- de mesure des retombées acides ; en particulier, vitation, il vous est demandé de prendre contact devrait être prochainement installée dans les avec Daniel DASKE, 3, rue Paul Kulhmann Vosges, au coeur de la forêt atteinte par les 68400 RIEDISHEIM (tél. 16 89 64 19 03) qui est pluies acides, une station mesurant les retom- le M. Pluies acides Fédé. bées acides et les photooxydants. . accélération des recherches sur les mécanismes physiologiques impliqués dans le dépérissement des forêts. Lettre du Hérisson n° 17 - Fév. 85
—-——l I PROJET DE LOI SUR LES INSTALLATIONS (ÃLASSEES ADOPTE PAR L'ASSEMBLEE NATIONALE Au plan communautaire, il convient de signaler . l'adoption, le 1er mars dernier, d'une direc- tive cadre sur la lutte contre la pollution de L'Assemblée Nationale a adopté le 11 décembre l'air par les installations industrielles. 1984, en première lecture, un projet de loi ren- L'adoption de cette directive marque la nais- forçant les sanctions pénales encourues en cas sance d'une véritable politique communautaire d'infraction à la législation des installations pour la réduction de la pollution atmosphérique classées pour la protection de l'environnement. à la source, les précédentes directives com- Cette législation a pour objet Ia prévention des munautaires ayant seulement pour objet de fixer risques liés à l'exercice d'activités industrielles des normes de qualité de l'air. Cette première et agricoles. directive devrait être complétée par une direc- Les députés du parti socialiste et du parti tive sur les grandes installations de combustion, communiste ainsi que le représentant du groupe actuellement en discussion. L'adoption de cette R.P.R. ont voté ce texte, le groupe U.D.F. directive créera un outil puissant pour lutter n'ayant pas participé à la discussion. contre les pluies acides dans la Communauté. Huguette Bouchardeau, Ministre de l'Environne- ment, a souligné "l'ironie un peu sinistre" qui . l'adoption de principe, le 28 juin 1984, d'une sous-tendait la présentation de ce texte peu directive fixant des valeurs limites et des après la catastrophe de Bhopal en Inde. valeurs guide8 de qualité de l'air pour ce qui Ces dispositions comportent en premier lieu concerne le dioxyde d'azote. l'aggravation des sanctions réprimant soit l'exploitation d'une installation classée sans . l'adoption, le 28 juin 1984, du principe de autorisation, l'infraction à un arrêté préfectoral renforcement de la Iutte contre la pollution de mise en demeure. automobile et accord sur l'introduction en Dans leurs interventions, les rapporteurs et les Europe de l'essence sans plomb en 1989. orateurs cnt souligné l'importance qui s'at- tachait justement à la recherche de la sécurité Les pluies acides constituent un problème très dans un domaine ou les enjeux en matière largement transfrontière compte tenu du trans- d'environnement industriel dépassent ceux de port de la pollution à longue distance : toute la petite délinquance plus fréquemment évoquée action purement nationale n'aurait que des dans le public. effets limités et il importe donc de rechercher En second lieu, a été largement reconnu l'in- également une action internationale concertée térêt des dispositions pénales novatrices du pour lutter contre les émissions acides. projet, à savoir la possibilité pour le juge d'ajourner le prononcé de la peine en ordon- A cet égard, je tiens particulièrement à mention- nant, sous astreinte, la mise en conformité des ner les résultats de la Conférence d'Ottawa, installations. où, en mars, dix pays dont bien sûr la France Par ailleurs, le tribunal aura la possibilité de ont pris l'engagement de réduire d'au moins faire publier ses décisions sous forme de mes- 30 % leurs émissions de dioxyde de soufre de sage accessible au grand public et diffusé par 1980 à 1993 et sont tombés d'accord pour inciter voie de presse écrite ou audiovisuelle. à une action analogue les autres pays signa- Enfin, les députés ont adopté deux amende- taires de la Convention de Genève sur la pol ments : I'un permettra aux associations de se lution atmosphérique transfrontière à longue constituer partie civilê ; l'autre précise que, distance. si une entreprise doit suspendre ses activités sur décision d'un tribunal, l'entreprise devra Mais il s'agit d'une tâche longue et difficile continuer à verser à ses employés la totalité pour laquelle j'aurai besoin du concours de des salaires et rémunérations auxquels ils tous. Merci de votre vigilance avaient droit jusqu'alors. je vous prie de croire, Monsieur le Président, à l'assurance de mes sentiments les meilleurs. Huguette Bouchardeau Lettre du Hérisson n° 17 — Fév. 85 12
équ 'pe f éseau C COITIITI l'lîCG|'•0|‘I PROJET DE COMPLEXE TOURISTIQUE DE ST—VIATRE (LOIR ET CHER) Le Ministère de l'Environnement a pris con- naissance d'un rojet de complexe touristique _ de 3 000 lits dâns la zone des étangs de la Solo ne, commune de St—Viatre, en Loir-et-Cher. Aprâ examen des pièce’s du dossier, il lui CE N'ES-T PAS INNE apparaît que ce projet ponctuel, tant par son ampleur que par sa conception, n'est pas com- patible avec les principes d'un développemeni touristique de la Sologne tel que défini par le Même quand on_ a les moYens _(suPPort• argentw plan d'aménagement rural interdépartementa] temPs• ete---) ll n'est Pas evluent qe eommunl` repris à son compte par la SMADES (Syndicat quer et de bten Comm'-lnlquer· C<>1¤_1mP11<1¤<> .ue Mixte d'Aménagement et de Développement savolr exactement ce qu'on veut ulre et a qul Economique de la Sologne). on veut le otre- · Si, ce projet peut avoir pour les communes de r _ _ _ i cette région qui connaissent des difficultés éco- Sl l'on ueslre s'auresser a la malorlte des, ler' nomiques un aspect séducteur, on peut craindre teurs Potentlels Pour Parler d'un artlele eCrlt• cependant que l'aménagement d'un complexe de ll Convlent l 3 000 lits poserait plus de problèmes à la __ _ i région qu'elle n'en résoudrait. C'est la raison · de ¤h¤1S1r un tltre resumant le Pr°Pos pour laquelle le Ministère de l'Environnement · de Cholslr les quelques luees'r°rCes ne peut émettre un avis favorable à la demande · de talre des Phrases Courtes de défrichement de 36 hectares de bois proposée · de renoncer aux slgles _ _ par les promoteurs du projet. - de choisir des caracteres de lettre lisibles Le Ministère de l'Environnement rappelle que ' u'aerer son textew votre de l'lllustrer· l'équilibre biologique doit être particulièrement _ _ i pris en considération dans cette région des Pour être Coneretw Volol un texte ProPose Par étangs de Sologne puisqu'elle est l'une des 119 le reseau" Nature et Communleatleh de 1¤_Fë<1ë zones particulièrement importantes retenues pour ratlon Françalse des Soeletes de Proteetlon de la Conservation des Oiseaux Sauvages en ap- 18. Nature dans un des dern`I.erS numeros plication de la Directive du 2 avril du de 18. Lettre du Hérisson que nOuS BVOHS Corrlgéi Conseil des Ministres de la Communauté travaillé. Vous trouverez en face la version pro- Economique Européenne. Même si aucune mesure Posee Par la FIRAPNA lsere· Ne v°}'ez aucune de protection opposable au tiers _ en droit intention de polemique dans ce travail, mais une interne français - n'a_ prise à ce jour, Sa modeste contribution de ce que nOuS pensons être valeur propre ne peut être contestée. un effort de communication. Ou'en 'pensez-vous?. Le Ministère de l'Environnement est conscient Nous ¤1m<>·rS ne Pas etre eParSnes Par les Crl‘ de la nécessité de rechercher des solutions pour tiques qul feront Progresser tout le m°hue· un renouveau touristique de la Sologne. Il sou- haite que le Syndicat Mixte de Sologne puisse _ élaborer un programme de développement écono- Jean Françols NOBLET mique et touristique ancré sur les atouts de la Attache de Presse FRAPNA Isère région et prenant en compte son patrimoine naturel, élaboration à laquelle le Ministère de l'Environnement est prêt à apporter son appui. NOTES DU RESEAU Par décision du Conseil d'Administration et sur proposition du réseau en réunion plénière, ce réseau s'appelle COMMUNICATION et NATURE, et non l'inverse. Lettre du Hérisson n° 17 - Fév. 85 13
\¤ - N B E 33- c N U; ••¤• Q `É ëpœg ¤ É; ëêw, ggvœâu ` ' Q Z ff Q É Eg = Q Q, g 3 •-·• MW ê z ce U2 Q a. g QR 8 ê Q2 ë:;».» 0; ,,"·•.,‘§¤ ag; wigua N .... É Zîâëëëë ~ 2 = = ~« E **2 êgë QÈ ••·• *3 Q Q il ii É ï° \§% É; îggë F8 Q ¤ N \— *’ *: \ !,·: <r ,,`ë`='à“ E = 3 B àà É \ "=ï·J `ÈJÃNÉEQ â 'â 2 § É M = î i lâ ëëîëëë É °·¤q':`Q)§ éë ëâëë ëëê Èvgz ** `G E É È î ÈQÉ; Éë ÉTÉ? = =?î·‘ E. , C `Q 8 Q = g É·· ÉÉJÉÈ EÉE =‘ê| ¤“_H¤¤>N '* "B 2 ¤== ëë îë É? Éëê `iê "" êë È! ÈÉ ÃÉÉ ëï àà/` UÈ .. I 2l \ È ~îîë É IU îîêqâl 2 É.-ï E · ID Q · 1; Lu ÉM È 73 2—·\ ~ Ã: —*ë mkg = ·=` 5 `câ É `C `· É âaâ/çb ix îâmm Mi E «g_ ~·“’É ».~§€=*“ .51: _ QL à · `É $,)*23 ag, ·~§ Z -1**-~b _=¤; N '§>.Q.g, 2%% _·5 A 5·»*;·». ·—<¤~+Ãa .?§4 - °° Q; “< vl “* â Z G"• 2 lugw .§ È E Rv ÈR 1% àà? dl? · `__ \ -—L\ · S É H È j É `ɧ**&;-É E Éâw. *!à~2~ Sî· 1 *“¤¤ => ~°·1g\- “ `ëêèg â`*°« É ·î‘z Egg ërœwi ~ëê%'¤%Lg=~«~. ÉLFÈ B. ` `ë—É, ' É 2* IDE Y êë —,àë· É I`- ‘~`Érë`*^ U.}, ~£&.ë~%È~`().—î É m $~ë| . ¤¤ I . âêî Qt;
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-—-—-—--—---—--------—---———-——————-———————————--—»—~à-·-·;·. COMMUNICATION ET NATURE "Information, formation, - Festival du film de nature éducation .... " Tels sont les et d'écologie themes qui eerent eberdee au Durant trois soirées (16, 17 cours du 16eme congres de la ls msi) ds ls A à 24 heures Fédération Française des Sociétés seront projetés une sélection îîsîgîëîcîàoguâîilîoïîîïîë âge des meilleurs films et montages associations Françaises diapositives du moment. Ainsi, ' nous aurons le dernier film . de Laurent Charbonnier, des ds iàiîîtlînpîîîîtsîîlïârîàêën films inédits ensFrance sur d la chouette chevechette, les ont les protecteurs de la nature éléphants les pluies acides élaborent leurs messages, les (salle ds’lOOO places le mm diffusent dans les médiar, communi- ss mm Vidéo ste )’ soirees quent avec le grand public, bli’Uss ’ "' ' convainquent l'opinion. pu Q ' Nous tenterons ensemble d'apprendre à être plus efficace dans ces domaines, à mieux communiquer notre passion et nos idées. Nous voulons ainsi porter la protection de la nature et de ECHANGER 2 la vie sur le devant de la scène et rendre à la défense de la neenre • Partie Prenente de - Colloque du réseau "Communication l'ecologie, son image de marque. et Ratussu de la PPSPN Aux discours fumeux et aux La Journée dg Vendredi 17 mai rapports théoriques nous préférons Sera eeneeeree e Un ¢¤ll¤q¤€ la vivacité des associations, î¤rfl'inîîrmeï%e3 (mîîiee: presse). l' nt ous asme et le ra matisme e Orme en· e ned en e e dei Gïpérîences VéCu€§_ ÉOUS nature. Wes personnalités compétentes vous invitons au cours de ce (Je¤rnelïeteS· P¤blïCïetee· Congrès à : enseignants) dans ces domaines _ APPRENDRE feront des exposés et animeront _ ECHANGER des séances de travail. - DEMONTRER - DECIDER - Débat : X a-t-il un journaliste dans la salle pour parler d'écologie? Le vendredi 17 mai de 18 h à 21 h un débat contradictoire APPRENDRE _ opposera de grands noms du journali- · ' sme français sur ce thème. Le — Foire au materiel pédagogique débat public sera orchestré de nature et d'environnement par l'association des journalistes , et écrivains pour la nature gu 16 mei à 14 U JUSQU au 19 . et l'écologie (Jean CARLIER, ai à 18 h se tiendra la premiere Pierre PELLURIN) foire française du matériel U ' pédagogique de nature et d'environ- nement. Sur 1000 m2, les associa- 'CiOI'1S, les paI‘CS, les maiSOI'1S - Mini-forums ; d'édition, les artistes naturalistes , _ présenteront, vendront, échangeront DG petitee Salles ee PeUU1eUe , se publie leurs posters plaquettes, et de vastes pelouses sont reservees livres, montages diapositives, POUP Éa re9n1°n ee gPeUpee ee films, jeux, ete". travail qui en feront la demande. Plusieurs délégations étrangères seront présentes. 16
DEMONTRER ; DECIDER ; — Sorties nature , , ·******·‘*·‘”“ La Federation Française des La J¤¤P¤ê€ du ¤1ma¤¤h€ 19 mai Sociétés de Protection de la SETE consacrée à d€S sorties nature tiendra j DQÈUPG publiques SUP les thèmes - la peunion de Son Conseil de la pê¤ag¤gi€· E¤ pr¤J€t = ¤·a¤m1¤1Strat1¤¤ et de son _ conseil national le jeudi 16 - Visite du Muséum de Genève mai 1g85_ et G6 GP€¤0ble· - son assemblée générale en - S©Pti€S dans le Pere netïen·l présence de Huguette BOUCHARDEAU des Ecrins, Ministre de l'Environnement — Stâgê connaissance d€S arbres le Samedi 18 mai 1985_ AU Coups et srbustss de cette assemblée générale · Visite du Centre d'InîtïetïOn une nouvelle politique de communi- à la netnre de MeYlen (Centre cation sera proposée aux Associations. de soins aux animaux blessés), - Visite du Parc animalier de Courzieu, - Visite d'une base nature dans une carrière réaménagée. Organisation : La FRAPNA Isère assure l'organisation restaurant toutes catégories). de ce congrès. Nous prévoyons Un service presse, la présence des conditions d'hébergement d'une radio en permanence et en camping, chez l'habitant, une équipe vidéo sont assurés. en auberge de jeunesse et à Nous avons besoin de vous, l'hôtel (toutes catégories). de vos associations. Peut-on Les repas seront également compter sur votre participation prévus pour toutes les bourses, pour faire un événement de (buffet bio, restaurant universitaire, cette fête de la nature ? Retourner le coupon détachable à la FRAPNA Isère, 4 rue Hector Berlioz 38000 GRENOBLE. Tel (76) 42.64.08. NOM; Association! Ejsouhaite recevoir dossiers d'inscriptions définitifs (logement, adresses, horaires, programme etc...) _ Ejsouhaite intervenir au colloque Adresse î communication sur le thèmel Tel î Ejsouhaite une salle de réunion pour le groupe de travail : Ejsouhaite m'inscrire pour le congrès FFSPN (16-19 mai []propose un document pour 1985). le festival du film : Cjsouhaite réserver un stand Ejsuggestions autres : pour la foire pédagogique et recevoir le dossier technique ($100 F de participation pour les frais). 17
' I PROVOCATEUR APPELLE IMPRECATEURS Une "provocation" est un appel, nous dit le pre- Voilà qui détrompe du même coup ceux qui au- mie‘r dictionnaire venu qui ajoute parfois :an- raient pu soupçonner, je ne sais quelle entente cien terme juridique, le "provocant" est le nom préalable Vadrot-Carlier pour lancer dans des donné au "demandeur". Appel, demande., C'est colonnes voisines, une stratégie commune d'ac- mon interprétation de l'article de Claude Marie couchement de l‘information au forceps, l'un ma- VADROT, volontairement titré "Provocation" et niant le bâton, l'autre la carotte, nourriture publié dans la dernière "Lettre du Hérisson". chérie des écologistes. Qu'ils sachent même que Interprétation qui n'engage que moi et dont je Claude Marie sera aussi surpris de découvrir n‘ai même pas fait part à l'intéressé. De même cette chronique que moi_ découvrant son pam- que l'article de Claude Marie VADROT n'engage phlet, écrit - il m'en a'fait confidence depuis- que lui seul. Il a quand même eu raison de pré sous le coup d'un arrivage massif sur son bu- ciser - car c'est une information pour ceux qui reau, de textes-galimatias. D'où la décharge ne le savaient pas déjà - qu'il est secrétaire d'adrénaline dans l'encre de sa machine à général (régulièrement réélu : ça c'est moi qui écrire. l'ajoute) de notre association, les ]NE (journa- listes-Ecrivains pour la nature et l'écologie) Décharge qui devrait provoquer un déblocage de même qu'au début de ces chronique, on vous plutôt qu'un blocage des interpellés. Il le sou- a précisé que j'en suis vice-président. Cepen- haite, j'en suis certain, l'une des clefs du dant, lorsque les ]NE interviennent en tant que trousseau de ses intentions m'étant fournie par tels, ils signent de leur sigle : exemple, notre l'étymologie : provocation = appel, demande.. récente pétition pour sauver la Vanoise et les "Demande" de corriger les défauts qu'il déplore autres parcs nationaux, tous menacés (merci à en les exagérant pour se faire mieux comprendre ceux qui l'ont déjà signée et à ceux qui vont "Appel" à ceux qui devraient lui répondre, réa ·-· la signer car elle continue... Que ceux qui gir sur le même ton volcanique peut-être... Pour n'0nt pas encore songe à la signer se réveil- quoi pas ! lent de leur sommeil hibernal !) C . _ omme moi et beaucoup d'autres parmi les ]NE, Claude-Marie VADROT est l'un de ces "journa- listes hybrides", voire un "journaliste métis", aussi écologiste que journaliste. Il doit donc espérer qu'on lui démontre par quelques bons @1 Q exemples vécus, que les militants de nos asso- ciations ne sont pas toujours aussi maladroits T qu'il l'affirme. détrompez-le, il n'attend que `< ça, mais en indiquant des faits, sans vous con- *â` ( X tenter d'un certain lyrisme. je ne pourrais que É `È "' me réjouir de vos réponses éventuelles puisque- _< · autre coïncidence, je le jure- j'ai conclu ma -4 précédente chronique par un appel à vos réac- 7 5 tions, à vos réponses favorables ou non, me lais / . sant espérer au moins, que cette chronique est lue. EI'peut-être même utile à une meilleure dif \ fusion de nos informations. Notre obsession! Alors, qu'attendez-vous, lecteurs actifs, non - passifs ? (1).. Même si votre réponse doit être celle de l'imprécateur au provocateur. Autre solution, les ]NE peuvent mandater l'un d'entre nous pour parler en notre nom. Ce n'est En attendant, rendons grâce au libéralisme de pas le cas pour cet article intitulé "Prov0C&tî0n" notre "Fédé", à sa volonté de non-censure, voire Précision qui n'exprime pas un désaveu de son d'auto-censure, lorsqu'elle publie dans sa auteur mais qui répond à une question déjà SGH- "lettre du Hérisson", l'article corrosif de Claude vent posée et aux complexes de lecteurs qui ont Marie VADROT qui, il est vrai, rend hommage pu se croire mis en accusation : qu'ils sachent "in cauda", à son savoir faire digne d'être pris que l'effet de surprise a été aussi total pour en exemple. Article corrosif qui rappelle le ton les autres responsables des ]NE qui ont dêC0¤— de l'ex-collaborateur du "Canard enchaîné", ha vert cet article presqu'en même temps qu'eux. bitué pendant des années, à étriller la cible Lettre du Hérisson n° 17 - Fév. 85 18
——-I I TOI QUI PARLES A TON NOMBRIL (Sum) prise dans le collimateur. Article corrosif qui rend hommage à "un" syndicat et "un" parti po- Dans la Lettre du Hérisson n°16, ¤ouS presen- litïquc q¤'î1 ¤ la <11S¤rêt1¤¤ de ne pas nommer tions la démarche de la viue de BESANCON, en malgré la pulsion de ses convictions. Voilà une posant la question : autre dimension révélatrice de ce pamphlet qui mérite l'attention : son auteur est journaliste ___un3 histoire sans parole ? professionnel donc il sait, par métier, de quoi il parle, écrivain, enseignant—responsable de Certes pas! la Filière-Ecologie de l'Université Paris VIII, mais en même temPs• ses C°tnPetenCes Pr°fessi¤¤— Cette histoire vraie montre simplement qu'avant nelles sont assez appréciées et ses options poli d'emettre un message, il faut $âV0ïr qui en est- tiques assez notoires pour qu'il ait été choisi comme C.·nSeiller technique par l'actuelle minis- La transmission d'un message dépend <i'&b0I‘€i Ire de l'Environnement. Il serait donc irresponsa du comportement, de l'attitude de Celui, qui ble de rejeter son article en refusant d'y ré- 1'émet ; la transmission d'un message depend fléchir parce qu'il dérange. Et même s'i1 de TOUT son "embauage" : l'intonation de la blesse. Alors qu'il nous propose à tête refroidie, voix, le choix des notes, l'0uVet‘tut`e à Psutrew de nombreux thèmes de réflexion dont celui-ci un sourire, un regard, la I‘eC0l’1¤âi$sûnCe de 1'ïn inattendu' Peut'etre i tes i¤terfëre¤¤<>S e¤t1‘e— terlocuteur parmi de très nombreux facteurs. vues entre écologisme et monde politique tradi- tionnel. lnterférences propices parfois, à la dif Qui somme s-nous ? fusîîbn de nos informations - nous ne sortons Pas de n°tre Cher sujet · à Charge pour Chacun Regardons-nous un peu : l'efficacité que nous de nous, de savoir naviguer avec un détecteur recherchons est à ce prix. de mines sur ce terrain piégé. _ Ce n'est pas faire du nombrilisme que savoir Merci enfin à Claude Marie VADROT pour la bon- HONNETEMENT ee eermettree ne leçon qu'il nous a donnée, mine de rien : une recette efficacement démântrée pour mieux transmettre une information. on coup de gueule a parfaitement attiré l'attention sur une nou- velle glissée entre deux imprécations et qui; pu- bliée toute seule, risquait de passer inaperçue le colloque ]NE-FFSPN sur Tes réserves naturelles Ainsi la lecture de een ertiele pertieîpe eux tre Afin d'établir une plate-forme de revendications vaux Pratiques de notre reseau "eemmumeeuee précises, un groupe de travail du réseau fait et Nature"' une analyse critique de la prise en compte ac- Jean CARLIER tuelle de la protection de la nature par l'ecole. Concernant le primaire, il apparaît clairement que celle-ci est parfaitement possible, et même (1) demandée, par les programmes tels qu'1ls sont _` . définis. Les blocages, car il y en a, semble ve- O ¤¤mm¤¤î¤¤ü¤¤ t Dans ma dermere ehremque' nir d'une non-formation des instituteurs à notre 1'avm dénomë ¤¤ "vubüc Passif" ¤¤¤Sf°¤¤t matière, d'une absence de moyens mis en oeuvre. Par une C°qutHe• en npubue messtrtereureu que d'une conception traditionnaliste de la pédago- cette prophétie involontaire se réalise ! Ailleurs, gie _ il faut heureusement constater les efforts on m'a fait dire OPIE au lieu de CP1E• mais importants de certains instituteurs 3 P°urtsnt• je voulais illustrer par l'abus des sigles, la HS sont peu nombreux. non-communication. Doublement probant ! _ Quant au secondaire, la protection de la nature Pr._°_e.ï.._.¢l_—hatne ehrem ue t est-elle présente dans les programmes de biolo- gie ? Oui, au moins dans les intentions ! Elle CRtRE A IJENCRE "VERTE" apparaît clairement dans les programmes de sciences nat : en 6e et 5e sous les termes de "place de l'homme dans la nature" et de "con- servation des équilibres naturels" et en'2e au programme d'écologie (dynamisme d'un. recosys- tème, puissance des interventions positives ou négatives de l'Homme, comportement lucide et raisonné de la gestion des ressources naturelles) Lettre du Hérisson n° 17 - FêV· 85 `lg
L'écologie est donc présente comme discipline ET scientifique, mais pas forcément avec sa compo- sante Protection de la nature qui n'est pas, et de loin, le suci premier de tous les profs de sciences nat. ASSOCIATIONS ET COMMUNICATION Les gros points noirs communs à ces deux ni- Un Stage, organisé par le CREPAN et la FF5PN· veaux d'enseignement sont les horaires hëbdomaï vient de se tenir à CAEN du 16 au 19 janvier, daires minuscules (1h30) cc qui fI‘aCti0¤¤€ énor— sur le thème "Informatique et vie associative". mément l'enseignement et rend très difficiles les Au Coups de ce 5tage' il a été constaté que leg sorties SUI` le t€I‘I‘â`Ih· Les profs motivés doivent aggociationg ont, de plug en plug, begoin de COl’1St&mm€l’1I lutter POUF conquérir (ICS h€I.1I‘€S Communiquer entre e]_]_e5' dans leur 5ein' et à sur les autres matières, soit ·uur sortir. ou ëïî l'extérieur. Les moyens de communication utili- montant des opérations pluridisciplinaires. sés jusqu'à présent, étaient relativement clas- siques : papier, téléphone, ondes. Actuellement, Voici quelques propositions pour remédier à cci certaines associations _pensent acquérir ou se état des choses : dotent de moyens informatiques destinés à les assister dans la communication, mais aussi dans - former les enseignants en écologie avant qu'ils des tâches souvent très diverses, et cela pour ne forment leurs élèves et, par des ensei-J renforcer l'efficacité de leurs actions. gants déchargés de leurs services, QUE PEUT NOUS APPORTER L'INFORMATIQUE ? - regrouper les horaires morcelés en tranches de 3 heures permettant des sorties, Pour les associations, l'informatique peut nous aider dans différents domaines, en particulier: - inclure la protection de la nature dans les futures heures d'éducation civique la forma- - le traitement de texte permet de grandes faci- tion des jeunes en tant que citoyens responsa- lités dans tout ce qui est dactylographie, bles de l'avenir. - la gestion des fichiers est grandement facili- ll est important que cette plate-forme de revendi tée, l'édition d'étiquettes-adresses très com- cations soit la synthèse de la participation du mode, plus grand nombre d'entre nous; adressez, le vite possible SVP, vos remarques-observations- - la comptabilité (passée et prévisionnelle) peut critiques- propositions! analyses ... au réseau. être détaillée et analysée, ***** - l'information documentaire est très rapide, - enfin, l'informatique permet grâce à des pro- Suite à une longue entrevue FFSPN-Inspection grammes-jeux d'éduquer et de former le pu- Générale de l'Education Nationale, il était con- blic, en particulier les jeunes. venu que les documents édités par la FFSPN (livres d'AG, espèces protégées, etc) seront diffu REGROUPONS-NOUS sés par les CRDP et les IPR. Etant donné la disparité des matériels actuel- L'Inspection Générale vient de nous confirmer lement disponibles, si chacun entend s'équiper que cela a été fait ; il nous serait très utile dans son coin, sans concentration, nous risquons d'en connaître les effets sur le terrain. Faites d'avoir des matériels largement incompatibles. nous connaître vos expériences et informations. Ainsi, de sérieux problèmes de communication Merci d'avance. des expériences informatiques risquent d'appa- raître à terme. Un logiciel (= programme) réalisé ` par une association ne serait pas utilisable par d'autres. Peut-être serait-il souhaitable d'essayer de pro- · poser une certaine cohérence dans l'équipement en matériel informatique à l'intérieur des asso _ ciations de la FFSPN. Réfléchissons-y. Lettre du Hérisson n° 17 — Fév. 85 20
——¤¤¤——-—————————-——-MINISFER E--- ALLOCUTION PRONONCEE PAR H. BOUCHARDEAU DES PRO]ETS . . . . . A L'0CCASION DES VOEUX A LA PRESSE - Dans cette optique, il pourrait être envisage a court terme : 1° une enquête sur les besoins des associa- LE LUNDI 7 JANVIER 1985 tions, 2° une analyse des expériences déjà acquises par les uns ou es autres, 3° une recherche inventaire des compétences et des relations que nous avons en in orma·- tique_ Mesdames, Messieurs les journalistes, - Suite à l'obtention de ces premiers éléments Je ue _saurai rroP vou_s remercier <-i'eire venus de base, ii pourrait être envisagé a moyen ce matin et d'avoir brisé les glaces pour venir terme: jusqu'ici. ]e tiens d'abord avec ces remerci- ements, à vous adresser à tous et à toutes mes l,° des propositions/recommandations sur cer- meiiieurs voeux Pour 1985- Pour vous et Pour tains types de materiel, avec des réductions tous Ceux qui vous sour Chers- ]'esPere Pouvoir de prix de 20 _ 30% (_4O%?) par grouPe_ continuer avec vous une bonne et fructueuse ment des achats collaboration. Nous sommes déjà nombreux a nous connaître et j'espère collaborer avec vous 5° des pistes pour obtenir des subventions le Pius iougiemPs Possibie- pour équipement, je suis consciente que ce n'est guère le jour 6° des réalisations de ro rammes ada tés à Pour ies medias de faire uue Piace au Perir nos usages (utilitaires meSS&g€ du Ministre de l'Environnement, ]'en gOgiques___) et a iarge diffusion a Coût ai conscience aussi bien en ce qui concerne le tres faibie_ "microcosme français" dont les réflexions vont plutôt vers la mer de Corail de l'océan Pacifi- 7° des stages de formation pratique des uti- que que Pour ie mouoew dom Paiiemiou esi lisations des programmes- tournée vers les bords du lac Léman aujourd'hu1 non pas au sujet d'algues rouges ou de pol- _ Et a pius long terme, on peut penser a une lution par tel ou tel produit chimique, mais bourse de meteue1e eveeeeeien, destinée aux Plutôt à 1>r¤1>¤S de 19r9b1èm¤S <1¤¤t _¤h¤¤¤¤ de associations qui n'auraient pas estimé souhai- nous mesure ia _graviie- Aujour‘-i'hui ce n'est table ou possible financièrement de s'informa- Peui‘eire Pas le ]our Pour deiivrer des messages tiser dans une première vague, ou bien pour qut aieui queique Chance de Passer dans ies suivre une évolution grandissante en besoins. "orgaues" de Presse que vous rePreseureZ- Par ailleurs, ce n'est pas très agréable de se dire Ces quelques réflexions qui font donc suite au avec joie Pour uu miuisrre_ <1€_1'¤¤vtr¤¤¤€im€¤t stage "lnformatique et vie associative", de- qu'ii Y a uu bou message Eg raire’Passer eram vraient esquisser une refiexion plus Profonde donné la matière dont les medias reagissent sur au sein de la FFSPN e d'accord 2 pas d'accord?? 1'·=¤vtr¤¤¤€m¤¤t· q¤'î1 S'¤gtSS¤ de Bh°Pai• de Mexico ou de fûts égarés ou en attente. Ce A VOS pLUME5___ OU A VO5 DISOUETTES g serait en effet formuler des contre voeux que de souhaiter qu'on parle beaucoup d'environ- Josette BENARD nement. Un certain nombre d'entre vous, qui p_N et G_B_ ont un certain intérêt pour l'environnement, sont affectés à ce qu'on appelle la Rubrique Société de leur journal. En matière de société, c'est plus fréquemment le fait divers que l'en- vironnement au sens lourd, permanent du terme qui l'emporte. ]e sais bien que face à la ber- gère qui gagne au lot, face aux enfants qui se mettent à naître autrement qu'avec les vieilles recettes de l'amour, les problèmes de l'environ- nement font peu recette. Pourtant, il y a parmi vous des journalistes qui sont aussi des scien- tifiques parmi les meilleurs et qui voudraient bien traiter des sujets importants. Ainsi l'en- Lettre du Hérisson n° 17 — Fév- 85 21
·———lI vironnement est écartelé entre cette vue lointai- ce qui est un encouragement à la vie démocra- HB, p€I`Hlâh€ht€ qui fait qU'Oh S'l.htéI`€SS€ È. (.`l€S tique au geng meilleur du terme, C'egt à dire questions de recherche scientifique et d'¤utre l'intéressement des citoyens à leur cadre de vie. pert. le felt divers âCCidentel qui attire de lls s'y intéressent mais il faut leur donner les lÈI`èS nombreux jOUI`nâllSt€S tI`B.HSfOI`méS BH moyens d' intervenir grâce aux décrets d ' a·P_ Sherlock Holmes à la recherche du d€I`hl.€I` fût plieation de la lol gur l'enquête publique_ En Perdu- .l'ei de temPs en temps des regrets de outre, une meilleure participation de ces ci- me dire qu'entre ces deux extremes. j'âi t0ut toyens au partage des espaces naturels pour à fait conscience d'avoir un ministère politique. qu'ilg g'aggoClent a la protection de la nature Un ministère politique, c'est È. dire un ministère et en même temps en tirent quelques plaisirs, . où 1'action des hommes peut avoir des consé— Notamment sur le littoral. En matière de bruit QUBHCBS. JB CI`OlS réellement q\1€ HOUS âV0hS un également noug gvong, voug le gavez' lancé deg ministère politique parce que je ne veux pas campagnes. Certains objectifs ont déjà été ré- me laisser aller justement à une approche qui alisés concernant en particulier les engins à serait Catastrophiste· ]'entend8 ` hier. mon C0l— moteur, les instruments de travail, etc... De lègue Harouru Tazieff à 1"0rei·1e en Coin" dire nouvelles campagnes vont être lancées appelant que tout allait vraiment plus mel dans ee le plus grand nombre à connaître ses droits et domaine et que les catastrophes allaient fondre ses devoirs en matière de bruit, En troisième SUI` l'€hVl.I`Ohh€m€ht. C€tt€ présentation méI`lt€ lieu] il g'ggit de fgvoriger · et Cela auggi egt d'étI`€ développée face à C€I`tB.lhS d8.hg€I`S qlll "politique" - une reflexion en matière d'envi- e'amplifient. Toutefois, nous sommes en train ronnement en s'interrogeant sur ce que l'on aussi dB remonter C€I‘tâlh€S pentes Bt HOUS les doit produire, ce que l'on peut produire, en ge remontons parce qu'il y H justement une p0liti— demandant si les productions sont bien conformes QUE dB l'€hVlI`Ohh€m€ht Bhgâgéê. C€tt€ politique aux begolng à Court et à long terme de nog là n'intéresse peut-etre pas ce qu'on pourrait sociétés. C'est important. je ne mets aucune- appeler la surface légère de l'information parce ment en doute l'intér§t deg pesticides a bet- que ce n'est pas ce qu'on appelle la "politique ter-aves mais il semble que face aux 2000 morts 1>¤iitieienne"· 11 y a une manière de mener ia de Bhopal et eux dizaines de milliers d'aveu- politique de l'environnement qui fait que j'ai gleg de l'lnde' aux risques encourus par 1a` pu rencontrer ces dernieres semaines 0u ees fabrication de tel ou tel produit, notre société derniers mois avec autant de sympathie et doit être capable de se poser des questions, de dutâht dB facilité SUI` des pI‘Oblèm€S qui HOUS peger deg ava_ntageg' deg Coûtg et deg rigqueg, occupent dans CB ministère 2 Monsieur Robert Certes, il ne g'gg·lt pag de remettre en Cauge Poujade. Monsieur Royer. Monsieur Daiiiy. tout ce que notre industrie produit, il ne. Monsieur Nungesser de la même manière que s'agit pas de faire des retours en arrière mais j'8.l BU à tI`8.Vâlll€I` HVBC fruit âVBC Monsieur il y a une telle "gauvagerie" deng Certaing Colin. avec Monsieur De Caumont. Monsieur Le aeeldents de la production industrielle que nous Pensec, Monsieur Valroff et bien sûr, beaucoup pouvons nous demander si Ceg accidentg ne d'autres· ]e les cite pour montrer que dans les constituent pas de singuliers retours en arrière. (.ll.fféI`€htS CHITIPS Oh PBUÈ collaborer à. UHE bonne ll faut donc mener une réflexion gur que pro- politique de l'environnement. Toutefois, je dis duire' Comment mieux vivre, Je n'oublie pas que mon action est tres politique parce que sur que nous restons ministère de l'environnement un certain nombre de questions j'ai l'imprcssion et de la qualité de la vie et que nous devons d'engager des choix pour l'avenir. Sur trois donc Continuer ainsi le plus poggible des` types de questions. notamment. je voudrais en- réflexions multiples à ce sujet. je revoyais hier gager une réforme prodonde concernant les pro- soir le film de Tavernier à la télévision et blèmes lourds que sont la pollution de l'air et j'entendglg dire par Michel Galabru · qui a l'organisation de la collecte et du traitement déjà bien servi l'environnement - ; "il faut des déchets Bh France. LB gouvernement Bh est faire ce que l'on peut pour rendre la vie plug saisi depuis ma dernière communication et je îégère" éh bien, ce sont là mes voeux pour pense que les choix peuvent âller assez Vite vous et pour l'environnement, pour les Français maintenant. Sur la pollution de l'air en parti- et leg Françaises, culier je voudrais que nous arrivions à monter `,§L‘..§’SâÈ'§"’ ··âî‘,î.âî.îî“ Jïsïiïîtiar J; "‘;î..2'îî; Huame B°¤°*mdm ' agences de bassin avec le principe de "pollueur- payeur" et la capacité d'organiser un flux financier permettant d'aider les industriels qui font l'effort de dépollution nécessaire. Cela est lourd, cela est important, cela est foncièrement politique. Pour les déchets, il faut aussi que nous allions vers un système d'amélioration qui donne à l'ANRED les moyens nécessaires pour appliquer ce que le rapport Servant a dévelop- pé. En second lieu il s'agit de favoriser tout Lettre du Hérisson n° 17 - Fév. 85 22
RAPPEL DU REGLEMENT INTERIEUR &£££2i2-â La cotisation annuelle est due à partir du Ier Janvier de l'année. Son mon- tant se calcule suivant le barême prévu à 1'article 3 des statuts. Le montant des cotisations peut être relevé par l'assemblée générale. A défaut de paiement de la cotisation deux années consécu`tives et après un rappel par lettre recommandée, la démission (ou le retrait) pourra être pro- noncée d'office par le conseil. Le montant de za cotisation doit être conforme au nombre effectif d'adhérents. PAYER SA COTISATION A TEMPS. A SON MONTANT REEL. C'EST : . PERMETTRE À SA FEDERATION DE VIVRE . DONC D'ÈTRE EFFICACE ., ASSURER LA DÉFENSE DES INTERÉTSI NATIONAUX . ETRE CERTAIN QUE LA FFSPN CONTINUERA DE RENDRE SERVICE AUX ASSOCIATIONS 23 Lettre du Hérisson n° 17 - Fév. 85
La FRAPNA-ISERE organise du 23 février au 1er mars 1985 dans le Massif des Bauges (73) un EN RÉGIONS MÉDITERRANNÉENNES stage de ski de fond et d'écologie. — Prix : 1000 F (nourriture, hébergement, enca- CONTRE LIAGRICULTURE drement, éventuellement matériel ski de fond). Nombre de places : 15 Lieu : Les Landagnes. Ecole en Bauges. L'A.D.E.F. (association des Etudes Foncières) 1¤S¤¤P¤¤¤= FRAPNAÀSÈFB _ organisera les 10, 11 et 12 c.tobre l985, avec [*8ruB Hector Berhoz le concours du conseu Régumai PROVENCE-ALPES- 3,°°°_G”ë"°5è€ 6 COTE D'AZUR, un colloque sur les problèmes TBL ‘ 1 (7 ) 42 A 08 fonciers en régions méditerrannéennes qui mettra plus particulièrement l'accent sur les conflits entre tourisme et agriculture pour l'usage des sols. Ce colloque auquel d'autres organismes pourront être associés aura une dimension inter- Eggïënnailî :gllïgvëtntsîaqigâsPluslem-S Speclahsœs La Maison de la Nature de Côte d'Or organise ' ` un stage de formation agréé BAFA "Son et LlSTElND1CATlVE DES THEMES D'1NTERVENTlONS: —N?‘“F°. _‘*“ .25, a“_ 50 mars 1985 au C°_""° Initiation a l Environnement de Francheville, 1. Les conflits entre développement du tourisme PîèS_d°_D1]°n‘ _ _ et défense de 1.€nvu_Onn€m€m· Etude de Cas. L ob]ect1f est de donner des moyens d'animat1on à partii de la nature, dans le domaine du son 2. Les conflits entre modernisation de l'agricul- Bt, de la muS}qu°‘ DES îwmateurs et des C°n' tuI‘€ et défense de l'envi;-onnemem, Etude dc $€1H€1`$ î€Chn1q¤€S quali ies. en nature et en Cas- musique encadreront des activités de construc- tion d'instruments "naturels" et d'étude du · L · · · 1 · · · milieu à partir du chant des oiseaux. Ce stage gam°§,‘§,‘î§îa§§:1°§;§‘î,;‘ °g‘q“°S °°°“°'“‘q“°S Swnscm dans la ligne des loisirs scientifiques 4. Les parcs naturels doivent—ils être conçus et t°Chmqu€S‘ _ _ prioritairement comme des équipements de loisirs Pour tout Iîenselânemem ‘ ou comme des secteurs de conservation rigou- tàialsong B la Nature reuse de l'environnement existant ? P 255 __ 21054 D1]on 5. Les politiques des opérateurs fonciers agri- TBL 5 (80) 50 78 52 coles et des organismes de crédit agricole dans les secteurs à forte pression touristique. 6. La gestion des conflits par les documents d'urbanisme (transferts de C.O.S., remembrement aménagement, procédures U.T.N., etc). L'organi- sation règlementaire du passage de l'usage agricole des sols à un usage urbain dans les différents pays. et autr-BS` Ce colloque, présenté sous l'égide de l'O.M.S., Les propositions de contribution (une simple de l'A1DE, de l'AlRPEM et patronné par le page) peuvent être dès à présent communiquées Ministère de l'Environnement et le Secrétariat à l'A.D.E.F. (64 rue de la Fédération 75015 d'Etat à la Santé aura lieu à ; Paris) et au plus tard en février 1985). Paris les 20, 21, 22 novembre 1985. . Lettre du Hérisson n° 17 - Fév. 85 Z'-)
~·-··' I PQUR LA SAUVEGARDE DES RIVIERES Dansula Lettre du Hérisson n° , nous avons publie le programme janvier/février 1985 du Séminaire "Eau et Environnement" organisé par Tel est le thème d'une journée de réflexion or- le CEREGRENL ganisée par UMINATE (Union Midi Pyrénées Natu- Veiei 1e Progremme Prévu Pour 1e mois de mûrâ re Environnement) : 1985 1 le mardi 19 Février 1985, sur TOULOUSE Lundi A m¤I`$· à ll heures M. Éernier (l:.N.H.l Qette journée comprendra r "Priâe en compte des incertitudes d'information et es objectifs dans l'estimation des modèles - un débat "Comment concilier barrages, micro- hy<1r¤1¤gîquee"· centrales et survie des rivières ?" d Lun i 11 mars, à 11 heures — une visite sur le terrain d'ouvrages réalisés M- wüllïëer lE·N·P·ë·7C·É·R·A·$·) Sur 1•Arîèg€ et la 5arOrm€_ "Développements récents sur les critères de choix en avenir incertain". Participeront à cette journée : ].P. LE DUC et M_ LE pEMEzE·r Lundi 18 mars, à 11 heures Melle lÃe Éîuilloux (CÈÉCRENE) Sont conviées les diverses administrations inté- "Vélfâluûîîon îeCh¤010gîq¤€ 1 du Concept à ressées par le sujet, les élus départementaux 1'ouî11"· et régionaux, le secteur associatif et la presse. L d un i 25 mars, à 11 heures Si vous êtes intéressé par cette journée et sou- M- ôslea lÉ·N·5·H· CI‘€¤0Ele) haitez y participer ou si vous désirez y inscrire "$tru=ture ereüele dee pluies = quelquee pre- qu€]_qu'un de vos I·€]_atj_on5' m€tt€z-vou5 en rap - blèmes HSSOCICS aux I`éS€âUX de m€SUI`€ du sol". port avec UMINATE (61) 58.14.31 COLLOQUE NATIONAL FRANCOPHONE DE ÀMAWIALOGIE 'LES CHIROPTERES" Rouen. 19 - 20 0cT0BRE 1985 X7 La Société Française pour l'Etude et la W E I Protection. des Mammifères (S.F.E.P.M.) a décidé de choiî; "Les Chiroptères" (chauves-souris) ’// À- comme t se du lXème Colloque nat' 1 d t 9 Mammalogie. mna B t“”g\$\·‘€ à La t rencontre annuelle des mamma1og1sres vganljg If] ` ama eurs et professionnels fera le point sur les oi , V7 ‘Y connaissances actuelles en matière de Biologie, jl! ·c _ _. j ’ d Ecologie, d'Ethologie et de Protection des ‘ / chauves-souris. Par ailleurs, cette tëiiiiion coïn- _ d ur cide avec la campagne de éh b'1't t' d U ll · f L mammifères. Il a 11 a lon e CBS .·_€ ` / NE-* \ R, t Les. organisateurs recensent actuellement les pro Agp,. ., . positions de communications scientifiques, de ta i`_.·ljî;· bles rouf-ie$· de PI`êSentations audiovisuelles ou W; _ 7 · de materiel dlétude. Les artistes animaliers sont Evil, i_· ll? 1¤V1téS à venir exposer leurs oeuvres. M /‘ W ' ' Pour tout contact, écrire à : .r‘ Fran ois LEBOULENGER . ··x 9 l‘>` J ;.,»•J‘°"J~’ des SCl.€nC€S de RO\]€n 76130 MONT ST AIGNAN Lettre du Hérisson n° 17 - Fév. 85 25
———-—~—-—-e n b re f -—·———î—- PETITES ANNONCES La Société Française du Droit de l'Environnement (SFDE) recherche pour le 1er mai 1985 un objec- I-A COMMISSION PERMANENTE DIFTUDE ET DE PROTEC` teur de conscience possédant une licence ou une TION DES EAUX SOUTERRAINES ET DES CAVERNES OR' maüriëe en <îf¤1î P°m` un P°$ï€ sur Lîm08€$· A I T ` 0LLAB0R v c LA FFSPN Tmvm Pr°P°Sé : G NISE UN S AGE EN C ATTCN A E . gestion d'une revue juridique SUR LE THÈME : . Suivi de la jurisprudence du Tribunal admi- nistratif en vue de créer une banque de données informatisées. CONNAITRE ET DEFENDRE L'EAU SUPERFICIELLE È C¤¤§¤ïî¤îi¤¤S juëîïgàlïs pour les associations. €hS€1gh€m€hIS 2 ET SOUTERRAINE CONTRE LA POLLUTION àjoggïjauvion `I.mOg€S Dm : 1.05 — 5.05.1985 m. : (55) az 95 sa LIEU : GITE D'ETAPE NANS—SOUS—STE ANNE 25330 AMANECY TEL. (81 86 50 79 Pmx : _ La Commission Permanente d'Etude et de protec- ASSOCIATIONS ‘ A DÉFINIR tion des Eaux souterraines et des Cavernes de AU1RE5 ; 6œ,œ F Franche Comté recherche un ob'ecteur de conscien ce pour le mois de mai 1§85. NOMBRE ne PERs0NNEs : 20 P H h hé FO 1 I`€C €I`C Z INSCRIPTIONS : - être motivé par la défense de l'environnement, ENVOYEZ VOS NOMS» ADRESSE, N° TEL. ET UNE PROVI - posséder un véhicule pour effectuer des tra- SIQN pg 2œ,œ F AVANT LE 51 MARS 1985 À : vaux de terrain (remboursement de frais de déplacement au tarif d'un franc/km) CPEPESC - STAGE EAL1 L 1 _ I 2 3, nus BEAuREsAR¤ —-—-—P——P———° m""“ r° °Sé 25(XIJ BESANCON - sssrëiaïstb H 1 - tirage u u etn TÉI-• 8]·'88'66'7]· - action de sensibilisation auprès du grand public Les candidatures sont à adresser à : LA CREPESC 3, rue Beauregard 25000 BESANCON Lettre du Hérisson n° 17 - Fév. 85 26
——l I Tous les projets sont concernés, du patrimoine bâti aux aménagements de rivieres ou autres , milieux naturels, en passant par les sentiers ONET 85 "L'ENVERS FOU DE L ORDINAIRE pédagogiques (Ou nO,t)_ Il RAISONNABLE 3 raisons complémentaires nous amènent à cette démarche d'inventaire. ooo oioooiooooo oooioiioo oooiooiooo o'oovoi- à(ia1rean`teari:e il FÃÈEÉÉCÃÉS deétî8PaOC215a1a`nsdd`és`ie« gm-B imernauonale aura Heu au Québec en Juil' rant s'investir dans des chantiers environne- let 1985. 100 000 jeunes québécois nettoyeront mem les 3000 km de berges du fleuve St Laurent en " 10 Joux-S` 2/ la nécessité d'une évaluation des besoins de f ` d' ` th` . 2000 participants étrangers, originaires d'une OI-manon ammatem-S sur ce eme viogioioo oo Pays ooiooi ioviioo ii ooiioooioi 3/ le besoin d'une circulation de l'information activement à cette action. 9000 tonnes de déchets sur les expériences menées avec les donnees polluants seront retirés des abords du St-Laurent humaines, teenniqnes et Pedeeegiques Lo ;io1_oi· mio oo Piooo voi i_'oooooioiio¤ ONET Ndnd vdnd demandons de nous dnvdynn les infor- (OR rîuen Nettoyage de 1 iioviiooooiiiooi T_e"1' mations les plus complètes possible sur tous vos îogoimjjngjîigîtaigg goéoqigiîeggggggi ;i;C_}oàoo}i;o· nndjnnd 1985 ddnd le ddnnin. des nnnnnnnd nn- · ' ' t. gence de contrer la dégradation de notre envi- vu-Onnemen rennemene Une visualisation concrète des opérations exis- , , _ _ tantes devrait nous permettre de revendiquer des à0O1,]eaneâ françals ai a_ 25 _ansdParue1Per°m moyens conséquents liés à des projets nécessitant bl enea rement et ammauen e ee rassem' une préparation et un prolongement très impor- ement. . tants. Ifassociation Nationale ]eunes et Nature, mou- OPERAT ON FRANCO UEBECOISE vement de jeunes de la Fédération Française des Seeletels io Preteleuen tee lâ §oio2o·t_oi2îtigÉ; 40 québécois doivent venir cet été, pour parti- gear a sance e sea len _e °P ra mn, _ ciper à des chantiers environnement. Ces asso- 5' en , e}r°}te eeuaberauen avec 1 Offlee ciations d'environnement sont invitées à accueil- france qaebeeels pear la Jeunesse (O‘F‘Q‘])‘ lir un ou plusieurs québécois dans le cadre d' t ' l'Off' f - Une campagne d'information vd être lancée Bh qu‘§§éC§f§gtf§\§';“îa §§uff;';'Q§ (‘§,î.BJ)_ ‘°° "“‘°° France, pour sensibiliser le public à cette vaste etîïërîtüsëllëeêeëîâilêëîïagîéejesglestset êî>m1t;eêmâÉïî`n' Une collaboration effective dès 1985, pourra dé- ‘ , _ , ' boucher sur un programme plus cohérent en 1986 fermaëïp teempese de Persennahtes françaises regroupant les échanges de jeunes, les échanges et qu eee ses' de formateurs et la circulation indispensable de , , , _ l'information sur les expériences de part et Renseignements complementaires. (rentre de 1·At1entiqne_ Edwige Sérillac (1) 326.19.26 Les eehen · · _ ges internationaux, basés sur l éduca., Tmerry Tulasne (1) 766‘Ol*‘76 tion à l'environnement avec une approche prag- matique, peuvent nous amener à progresser rapi ***** dement dans nos modes de communication à des- tination de nouveaux publics... Le public chantier en est une parfaite illus- CHANTIERS ENVIRONNEMENT 1985 tration et c'est pourquoi nous développons ce type d'échanges. Si vous êtes en mesure d'accueillir des québé- t _ _ _ cois, contactez-nous rapidement en nous four- Ènasîezgêtgâzntnâgltîgîëî àîeèmlelsojëgs gâiiêâîniâijiêo nissant les coordonnées techniques indispensables d ,l' , bl` , a· , b . environnement 1985, organisé par les associations ( ate leu Pu lc PI-Cel mme nom re) de la FFSPN, seules ou len collaboration avec Peut. tous renseignements, eenteetez: des OI`gâh1SâU.OhS dB chantiers. Thierry Jeunes et Nature 129, Bd St Germain 75279 Paris Cédex 06 Tél. (1) 326.10.26 Lettre du Hérisson n° 17 - Fév. 85 27
LE FESTIVAL DU FILM SUR L’EAU * * * ha Société pour l'Etude et la Protection de la ature (SEPNB) organise un congrès à 'Rennes le 20-21 avrll su; le thème : "Gestion des mi- ieux nature s" urant son ass , Inter Environnement Wallonie, Fédération îîmâîme question des BS B . lfié _ Sportive des Pêcheurs Francophones de Belgique, ture lnfrast Pac S Sacr S (agucub . , . , ructure due aux transports, aux UUF et Greenpeace organisent avec lappui du Constructions etc ) et d _ ministre V. Féaux le Festival du film sur l'eau. S65 ou Sncraiisés `ue SO t îs °ÉP"°°S margmalb ll aura lieu au Palais des Cor grès à Liége, le q n es F S€rv°S‘ 2 mars 1985. La manifestation consistera essentiellement en * * * une projection permanente, dans cinq salles différentes, de films sur le thème de l'eau. L'accès du public à l'ensemble de la manifes-· tation sera gratuit. Pour plus de renseignementscontacter : , * , Mais"` uég°°iSÉ de lïnvironnemem Le Centre d'Enseignement et de Recherche pour 36 ru°_d€ la Regehee la Gestion des Ressources N&i\I!€ll€$et l'Envlron- Plêîî/22 19 63 nement (C.E.R.G.R.E.N.E.) organise un séminaire ° · · sur le thème ”EAu ET ENvmoNNEMEm" Voici Ie programme janvier—février 1985 : Lundi 21 lanvier à ll heures . . ochat · AGRÉFI "Dévclo pements récents en matière h dx·auli¤ue" P y `L Lundi 28 l`anvier.à 11 heures . argat .... "Les comptes du patrimoine naturel et l'eau. _ Première approche par le compte des eaux = Cafbjde continentales en quantité" « Il existe une énergie qui deüe le I-uhdï L fevrier à 11 heures . (C!T·pS... Illâlflfûllâllf En vente Sllf EL EQ Dupuy _ (array: spot publicitaire TV bleu El cinturon ecologico a Buenos-aires. Reconquête Connu vamam les nlérltes des piles des terrains inondables par l aménagement d une _UCAR qui récîdivent avec un jeu déeherge eehtrôlee" concours dans lcs grandes surfaces. _ (...) Mais ce que l‘on dit moins c‘est Luhdi 18 Éevrrer à U heuree queUCARetUnionCarbide,c‘estla WB- îleeerh IÉÈRCÈÉNÈI _ _ même Chose. pluglguyg mllllers de "Modélisation hydrodynamique et thermique du mortsàBhopaI:«L‘energiequidefie lee Lemeh" le temps » ! ].-F. Dupont, Saylgny.le.T€mple Lundi 25 février à 11 heures FI. §ai:1t—Sernin Iünivcrsitë Ge Lille) "La légitimité en matière de décision" w * * Lettre du Hérisson n° 17 — Fév. 85 28
I r' f f STAGE DESTINE AUX ELUS D'ASSOCIATION Etre responsable d'associat1on est devenu aujouvd'hui une tâche difficile qui fait de nous des hommes orchestres. Il faut s'occuper du budget, du personnel, des locaux , des relations avec la presse, assister à d€S I`éUhl.OhS BI dB temps Bh IBIITPS, SB p].0hg€I` dans les dOSSl.€I‘S dB protection dB la hâIUI‘€, I`âl.SOh pour laquelle, on a décidé de militer. La décentrz lisation est en train de donner un pouvoir accru aux associations départementales et ré- gionales. Leurs responsables doivent donc se préparer à affronter rôles et fonctions nouvelles. Faut—il être inquiet des charges accrues ou se réjouir des occasions plus efficaces de défendre nos idées. ll faut être optimiste. Quand on voit le chemin parcouru depuis 15 ans, on a de bonne raisons de l'être. Etre optimiste oui, mais aussi être réaliste. Savoir s'organiser est une des conditions pour ne pas être surmergé. pprendre à coordonner l'ac- tion d'une équipe devient chaque jour de plus en plus indispensable. C'est pourquoi, la FFSPN organise un stage destiné aux responsables d'association. ll s'agit de fai- re le point sur des domaines très divers afin d'accroïtre l'efficacité de chacun, donc de nos asso- ciations, donc de nos idées. Mais ce sera aussi l'occasion d'échanger, de comparer les problèmes, de trouver des solutions et de réfléchir ensemble sur le sens de notre activité. Nous espérons qU€ VOUS POUITBZ V€hl.I` nombreux à CB stage. Samedi 16 et dimanche 17 Mars 1985 FOYER INTERNATIONAL D'ACCUElL DE PARIS (FIAP) 30, rue Cabanis 75014 PARIS PRIX : 100,00 F Inscriptions ouvertes. Frais de déplacement remboursés selon le barème habituel. lettre du hérisson n° 17 — Fév. 85 29
I I I I zîl I 1 I I I D É', ·l- I'1 l'I È-·!H·"|'·'EI· · I I il I II H I I I I I I I I I I I I I I- II I * I I I F I I I lh I ¤ -L&= lëttrî: du H|ri%|!ï`;I·£§t la publlcntiom bimensuelle die ln Fédéwattog __ Frünçnisë d€s Soci de Provection de li Niturl êt dë; l'0ffica da I I '° I Nouvzllzxs lnœrnntioâàlflç ·¤ I Fübirêctëuhdêilâ publicïtion : Y. BENASSI I-. I I ' Rédâction : F.F.S.P.Nï'— SZ, Iruê Cuvièrt 75231 PIRIS Cüdex 05. lm rB5si0n : `OFFICE IIS NOUVELLES INTERNÈIONELES P I · M 8, Villa dd! Flënursl — 92609 COURBIEVOIE J I EEE ik JJ. I I I I H I I I I I I - H F - É I-- - _ I 30 Lëttré du Hérisson n° 17 — QS