SOCIÉTÉ LINNEENNE NORD DE LA FRANCE.
· mmènsè par Google
}_ULLE TIN ÉIUIETE LINNEENNE üarà hz La fraucg [ von. l". - 1v°. I". ·— L ` JUIN A840. Annnviuu, b l—pI|I1¤tIn le IJ. FAIILAII', nu un nm-mns, ss. (`gêggfà MQ • E
mmènsè par Google
Q} sa S 7 ‘? 1 QUEEBEYRR mg, WDIND INI IBA IIIBANOIL Cnlllpln IUIMII du I1 I'. lelllnl. Ln deuxième neuinn de ln Société Iinuéeuue du Noni de li France, ienne I Amienu, n Été nuverbe le L2 et fermée le 15 juillet IB39; I'uu¤ du ¤l.In¤ dz ln bi.hl.i4> thèque nuit été mise par M. le Mnire, I hditponitinn de la Société. Unhlnenee du meuibrei fn! enusidénlwle, pluiieun noubililéa ucienliâqnea vinrent tux Aàneen, et ne [nl pour ln Société un bien gnnd encnungement d'¤v0rir vu uuitter \ ie: débuts, M. de Cnumnnt, Yhnmme de France qui nil le mieux aypréeier lu hienfaih de Ynnocinlinn. Après ln furmnünn du `hurenu , le secrétaire général rend wmpte de ee qui 1 été fuit pendent lïnbervnlln du deux neninm; il ne diuimuln point ludilüeuxltéu que ln Société renwuireri dam n mimhe, il démontre que c‘ul par une giude pernévérmee que l'0u peu! réuliner mutle bien q·u‘elle nx proyo•¤,ü init wnnu‘h·¤ quel; sont E5 K 53 Z Z B
lea nouveaux mernhru qui ront venu: eet\e année appor« Ier à l’snueisI.inn leurs tnvsux et leur bon vouloir. Puunt i ln psrtie linnneière, il snnunee que les re- oeltea se sont élevée: s 300 l'r, et les depensesî 230, el qn'il reste en uixsc 130 fr. Il termine slnai ce diewuri d’0uverture: · Maintennnt, Messieuri, il me male un lsien pénible devoir hswonzplir: i peine nous eompbom une année nl’exintenoe ell: mort a pure au milieu de nour! Le même jour ei presque i ln même beure, le À jsnvier IBSV, vous perdiez M. Publié Mwquet, Yun de vos membres bonorsim, et M. Guillon, l'un de vos membres résidnnx et aeerétsire · M. Mseqnet(l:lu.hert), directeur dei dnmuhovpihlièrea ile SL-liiquier, près d’LbbeviIle , quoique déj} ueœngg. nsire, jouimit d‘une si belle et ai robuste ssntéque su nombreux smis espéraient le oonsener encore long. temps; une ennrte mnlsdie nous l': enlevé ei s terminé tout-Ã-coup une longue vie pleine de vertus, q·u'une uxquîse lwulé, une bieuveillnuee une borne et une déli- cienne sméoilé rendaient clnque jour plus ottrsysntea, ` s M, Macqnet n’s rien laissé après lui, qu’un herbier et du notes lsbnrieusemenl smnnnées en Frsnoe et surtout en Allemagne, unil véenllong-tempsen exil. Ces oollec— tions et une bibliollièquelieu elioiriu, sont tombées entre msius d'hér·itiers qui ne pnrsinenl point en eormprenilre ls vsleur, et nous svum en lx douleur d'sppnndr¤ que le tout avait été rudement enhsse et empile sur ln msuvniee cluvrette d'un neveu , qui nm doute ne asvsit pas onmmettre une sorte ale sscrilége en delruiunt en un moment l'œnvre de hnt dünnéex. ll vous est facile de prévoir ce que deviemlrs tout ce précieux heritage , ('oubli dans qudqne grenier i le rendra la proie des vers. ` ·2 M1 Benjamin Gzillon étoit encore jeune usnd ln mort l‘u frappé; connu dnnxi le monde sclenlizque par-
d‘impor\nus Ii-uvmx et per du idées n«uveIIe•, est homme 1 qui celui qui vous pnrlu doit le guât de Yhistoire un- turelle dans Puoeeption large du mot, 1 laissé les plus vifuregxets dans leeœnr decwnx qui ont éléuluiiudnns son intimité. · M. (`nillon étai! un de ou tnvnilleun laborieux , un de ces uhservnteun consciencieux que rien ue sehute, ni le temps ni les xliücullés de lbhsenntinn; il eut pensé sn vie tout entiere s’i.l l'eut fullu pour wqnérir IA pleine certitude d‘uu fait, nvnnt d‘cn Innrder lu puhli- uliou. Ansi su tnvnux lui ont-il: wquix dès nou début, une réputation qui depui: n‘s hit que fnoeroltue, · ll A publié mceusivemeutz 1. Beni mr I’ëLud¤ deu Tlnlusiophyten, etc., M20. 2. Mémoire mr lu causes qui rendent les huîtres vertu A esrhium époques du Fumée, 1820. 3. Aperçu minrmwpiquo et physiologique sur In fructi- Emtiou ¢lon—Th¤l.u¤iophy|n¤ Symphyullénn, 4821. A. Expériences mici-nsonpiquns et phyniologiqueu , sur une espèce de oonferve marine, etn., 1823. 5. Résumé méthodique des dsssiûcntionn des 'l`inlns·io» phyiei , 1828. ü. Enlin un Genet-1 des Némuoniru. . Aven cetleserupuleuselentzur dans le treuil, M. Guil- lon est loin d'nvoir pululié toute: lu obserntions qu’il e recueillies; mais ici, Mwieun , nous u’¤vnm rien I cz-iiudre , Msdnme Guillon conserve religieusement les collections de son mari, et pent—éh·e un jour poun-ni.:-je oürir aux ssvnus les œuvres posthume; d’uu ami, dont l’iil`¤c1iou~m¤ fut sipréuimue et dant le nouv ir res- ter: toujuun vivmt dms mon nm:. i Pu- les trivnux qn‘il 1 publiés, ll. Guillon e éhbli les caractères physiologiques st nmtomiqusu ds la l'ructi» lication dei plante: cryptognmer dùiguées nous le num de Tlzalaxsiophytes , <:ni·u;tères indéterminé: iunq·u‘aloi1. ·» Mais ce qui Iepréoceupsit surtou! etce qui remplisuit
toutes ses veilles, c'é|nil de faire adopter- par la science, la création de ses Itëasusasiru; il désignait ainsi une rlaue d`êtiu dont ln nature intime est. encore tbrt peu connue: ce sont les oonferves, il les regardait comme des uninmiix veritables dont lo vie se psrhgersit en deux époqsms distinctes, l'une pleine de mouvement et d‘s. nimslitc apparente. l’sutre immobile et présentant des caracteres qui peuvent les faire considérer comme du plantes. lrongrteinps eu discussion avec B0ry·St.-Vincent, 'l`urpiu et quelques autres naturalistes, il s eu la s¤tis· faction de voir adopter ses idées par des mycologues du premier ordre, tels que Desmzsiese, Chauvin, lngene lions, ete. » Je borne ici, Messieurs, cette eourte note surI`und¢s olsxei-voteurs les plus distingués de notre époque, je ns’o<>- cuye en ce moment de rédiger une notice sur les ouvrages de notre oncien secretaire pour lu section de Boulogne. o Le reste de la première séance fut entièrement con- snerét ln discussion dn réglement dont tous les articles furent soigneusement examines ; les statuts provi· saires subirene ainsi de profondes modifications : ls première porte sur ln circonscription territoriale ·em- lirsssée primitivement par la Société, elle comprend msintemoit les cinq tldpsrtemens du Nord , du Pss-de- Calais, de l‘Aisne, de l'0ise et de la Somme. Une modi- fication non moinsinspoitante est cellequi porte création d'un comité permanent, composé de trois membres , dont les fonctions, durant cinq usinées, seront de veiller i tous les intéieu de ls Societé et de lu diriger, Dans les séances suivantes, un grand nombre (Youvrages mnnuscrits ont été présentés h ls Société, plusieurs y ont été lus en entier, Voici la liste des principaux : t'. Influence de ln nature du sol sur ls distribution des végétaux, démontrée par lu vegémtion des environs de hou, ele Vervins, de Kocroy et de Givet, par M. de _ la Fous de Melicceq,
2*. Catalogue deu plantes meneillics aux envimm du St,—Amand (Nord), par le même. 3*. Elni rnr Yintrodnetion K l’étndo du colévpièru, par M. Alfred ûundefroy, A•. Bnni sur lu nécrophngee uîlphnlue de I1 Franoe, etprincipnlement du Nord, par M. Victor Mamnae. 5·. Cahlogue des Lépiduptèrex der environs d'Amien¤, par M. Dujardin. 6*. Notice rnr la Funrinm ti-emelloidea de Graville, et le Dmryumyoa ortie: de Fries, par M. de Clermont. 7*. Un diioonri de M. Pnuquy. mg le clnniliution du plante: cryptngnmeu, dans lequel ce boianiiie nnnonee Yiotention de continuer In llare du département de la Somme. B'. Un mémoire sur un nouvuu mode de reproduction dei plante: (par des frugmenx de feuilles), observe mr ln manon de fontaine, par M· Cnaimir Pieird. 0*. Himaire dei mollnxqnu terrertrex et Huviitilu dn elepurlcmenl de la Somme, par M. Caximir Pimrd, l|]‘. Notice sur Linnée, sea ouvrage: et leur iulluenme mrla ncienoe enhomologiquc, par M. Victor Mireou. ll". Notice nur le genre liuberlîum (geraniéee), cré€ pu M. Cnnimir Pinnrd, I2', M. Pauquy communique L la Société une carte botanique et minénlngique du département de ln Somme. 43*. Catalogue des Longieorne: du département de la I Somme, par M. Garnier. M•, M. Boiatel fait une eommuniutinn verlule aur un fait géologique uluervé dnnn nn vallon à l5 Lilomètiu d'Ar— ru, qui donnerait le moyen de fixer l‘Age de la formnlion ile la cuuvhe il’¤rgile jeune et molle que l`on rznoontre dun nor plniner. ln plupart de cu ouvrages ont peru digne: de figurer dam lm Mémoirei de la Sodété. ll: feront iuceeuive- ment partie des Bulletins, qui von! etre publié:.
La ameion eat terminée per uno ouune scientiüqun l la forêt d’Ailly. Avantdeae aéporer,l.aSociét.éproxidleaan·Qt1laruiva¤¤: 1*. La troieiêmz suxion de la Société Linnéennc du nord de le Fmnce ann lieu, en 'l8&0, I Arm; le nomité permanent fixera Yépoqne précis: de cette réunion. 2*, Sont nommés membres dn comité pennnnent : MM. De Clermont, directeur-président. Casimir Picard, secrétaire général. llrunet, trésorier. En conséquence , le comité permanent est établi a Ab beville, pour cinq année: consécutive;. 3*. La cotisation pour Yaonée lB39~û0 est lixée I 10 fr. La union etteloee le la juillet 1859, I 40 heurea du soir. Out existé à la suuion , Membre: de la Société : MM. De Clermont/l`onnerre, d'Al>bevil.le. ` (hximir Picud, id. Brunet, id, Vian, id. Dovergne père, d'Heuiin. De Gontu de Bucemp, d’.trincourt. Delaeourt. de Beauvoir, Daudin, de Pouilly, prà Méru (Oise). liavîn, dc St.-Valery—xnrrSommn·. Ewan Hoislel, am-m. Viguizr, de Monhiidier. Manon, de Fmsneville, pie: Oisemonl. Et lill. de Smytlière , Paupuy , Bnrbier , Bouchet (Paul), Douche! (Louis) , James, Le Oorreur, Dujardin , Marente, Petit, Bar, Golluut, Dupont, Sequzval, Garnier; d’Amiena.
12:.-insu-· i ln smam; MM. De (hnmnnt, com-ai-pandmt de l`in¤tituI , ncréniœ per. péiunl de ln société du antiquaires cl: Normandie, ein, Cheveruu . secrétaire de la nwiété rl'¤gr·icul!uœ d'É- De Elinchnmp, mzmlvre dn conseil général, pràident de in unciéué wulémiquz d‘Avnnclzei.
PARTIE ADMINISTRATIVE. Nvu. Chaqu Ballotin nm, lw•yu'&l yuan lùmdivùl on hu pyxùu; |• Wlüra uuxùnha mur ugui annu lu spin: drh la desrüu nro znaowla unluüoou au tuoaunintifgum ntuunmw. Annan nnun. Il est créé, pour Pnuncement et In pmpngntinn des sciences naturelles, une société nous ln nom de Socxhl Lxnlixurx nv.1 Norm ne x.AFMr<c¤. Sous cette dénomination est entendue In partie du Izrliwire françai: onmprznmt lu rlépurlemnus du Nord, du Pu-dpûnliis, de l‘Ai1n¢ , de l'Oi.¤e et de In Somme. Ani. Z. La Société 1 pour but: l·. Derépnndre le goût des sciencu naturelles et d'¢n fncilltzr les progrès par hm lu moyen! paisibles; 1*. Wcxplorer tous Ins points mal connu; dn Nord de In France, wu: Inu rnppnrti molagique, Iwhniqnu et së¤l^*S"‘l¤¢; Bu, De réunir tous Ins matériaux nénesuiru pour fm-mu· uns hinlnire géologique, une Flm-¢ et une Faune du pay:. Ant. 3. Ln Société publi: sa travaux. Amt Ã. Le nombre du nsuciés est illimité, les per- sonne: nnt adhéré zu réglement avant In En rh In teldun de ISBD, parlent le fitr! du fonrhîznn.
— Q] â Avr. 5· Les mseociéise divisent en membres honoraires, réaidnne lt A11-, 6. Sont vnemlxrex hononimr: l'. Les préfets, les mnspréfekx et lu mnixu du villu où ne tiendront les nenionu; et seulement pendnnt lu I'. Les pnnnnnou i ln Société nnenvoie h diplàiûe comme un hommage i leuuîxlem et un vémoigmge de u rwonnninnue pour les uerviou qu’ell¤ ont rendus I ln science. Arr, 7, Beçoivent le Litre de réridxne tous lu membres dont In résidence hnbituelle ne trouve dun: la oiroonscrip. tion territm-inle de lx Société. Arr. 8 Sont membres corruplllnnl ceux qui rénident born de ln circonmription, An. U. Deviendn menxlan norrenpondnnt de dmit, tout membre résidant qui tvmrporkern ron dnmieile lion de ln circonscription. A1:. 10. les demander düdmiuion devront être ndrd- uéu nnx necréleùun purüeulierl uu nu comité p211¤/mani; il sera elntue mr ou dcmnndu pendant ln réunion un- nuelle de la Société. Am. U,. L‘ad.miesion een pmnoneén quand le nnndidni in nm ai maa·nn, «1· wmrpnnam au ae mmm honoraire, dévigné nu pnrngrœplze 2 de l‘¤r|icl¤ 6, ann réuni lu deux Lieu du voix des membres prâenn \ ln séance. An. 12. Ln Societé donne le Litre de eorrcxpondnntu aux moitié: uvnnbu de ln Fnnee et de Hlrunger, éclnnge ses publications avec lu lcnri, et entretient zveo elles le plni de nppom pouilzlen. Air. aa. A crique union, n smim wam la cotisa- tion i laquelle elucun du membres réiidnns uen xournix. Avr, M. I4: rnemlwrvar résidnm ont seuls voix déliluérn- tive dans les xénon, et oomourent I Iuntea les lbnciinni. Les memhra correnpondam ont seulement voix eon- tulhtive,
Arr. 16. Tous les membres reçoivent les nnvngee pulllils psr ls Société. hr. lb. ll sera institué nn comite permanent dent ls durée ut fixée i cinq uns. ll urs composé d'nn directeur etde deux secrétaires dont nn trésorier. Lesfoncticns dzceeomité centrslsemnt d'entre‘lenir des relstinns avec le: sntoriter eunntitnécs et les membres des dillérentu réirlencu, de prépnrer les suions et de diriger les secrétuiru psrticuliers. Arr. A7, Les cnllectiunx, lee smlsivns, ls l1il·»lioLl1èque seront déposées dsns ls ville ois sers établi le comité permnnsnt, ct seront communiquées aux membres ré- rîdsns, pour trois mois su plus, sur récépissé. Leamemlnres qui ne ponrront rendre les livres ou les objets qui leur eurent été conüés, seront tenus d’en rem. bonrser ls vslenr sn trésorier de ls Société. Arr. 48. Chaque snnéa ls Société se réunira en ensem- hlét génersle, nommée session. Tous les membres seront, xntmt qo‘il dépendra d'e¤x, tenus d`y assister. Ann |9· Cette réunion anrs lien dans chscnne des . villes reconnues importantes sous le rapport scientifique Als tin de olwque session, l‘époque et le lien de ls union suivante seront rlédgnés. An-. 20. Les sessions dnrerunt cinq jours sn plus; le \ ` knrpe en sers employé psrtie en séances pnlwliqnes 01 psrtivulieres; psrtic en connes scientiliqnu. As!. 21, lly sem décidé quelles seront les pièces à im- primer dsns les mémoires, entre les compterrendus des lhnca et le rènltst des courses, pour les piicu sumnt ét! lues en sénnces, Le comité permanent décidera pour on note: qui lui semnt sdresées dans l‘in- tsrvslle des sessions. An':. 22. Toute discuuion étnngère snx sciences natu- relles est interdite pendsnt les sésnw. An'. 25. A l’ouvs1·t.um de ls session il sen établi un
bureau rpécial, composé d'nn préairlent, d‘un vice-pré. aident et d'un secretaire, pour la durée de ln .. 'nn; il sera nommé I la majorité relative. — Arrr. M. Le comité permanent représente la Société, aigue lea diplômex, vérilie et an-éte lu comptes du tré- aorier. ll eat auui chargé de l‘impre.ssion du mémoires. Aa-:. 25. Le lrhorier ext chargé de la receüc; il acquitte les dépense: sur lea mandala rlélivréa par le directeur- président; il rend ees oomptee pendant. la neaaion qui mivra l'nnnéc de an gestion. Arr. 26. Le comité permanent nppellera nn rnoia à l’avnnne aux mernhru de la Société, Pépoque et le Lian lixés pour la seaaion suivante. Awr. 27. La Société aura dans choque ville un secrétaire perpétuel, nommé par le eonaité permanent, avec le Litre de secrétaire particulier , dont lea fonction seront d‘¤ntreteuir des relations rniviu avec lmules memlzru qui réaidernnt autour de cen villea, de pmvoquer leur réunion en séances, de recevoir leurs communications, Je recueillir tous lea docnmens qui eonœmeut lea inieuwt mrmrm, ar un mrmenm nr mme pèmanenrquam jours avan! lea aurions, et de recevoir lu coliaatioua du menihreede leur nrrondinnmxnt. An. 28, Dam l’int¢rvall.c du aeaaiona générales, des séances partiellea, an moin: au nombre de deu, provnr quéca perle: secrétaires particuliers, devront avoir lien dam chaque villa qui préaentera lee élémene néceuairne. la oornpiu rendna der travaux de ou réunion: par- tieüu aeront wdreuée un comité permanent qui lea ien connaîtra dam la aurions géné:-alu. Amiena, 42 Juillet 1839. La Swdloire , L1 Prùilent de la Sneian, GARNIER. LE ü)l`iREUll.
DÉCIBIDIB DU (WIFI! PEIIIAIEIIT, l'· Le comité décida que lc ümdnrprëdmt bl- mera une dzmnnde suprèr de M. le minintm dn l'iu- xtrnclion publique, pour obtenir una urdonmncn qui nuwrise la Socilü. Par suite de mtl: dénurclic, In Société Linnéenns u AM autorisée par wdmnmne du 5 Inui IMO; lat pièca qui wxuuœut ama nutmiptinn un mnt point mmm parveuun nu comit!. Exllill du Journal Général de Ylnxtructiun Publique, n', du mzrcr¢di I3 msi IMG. ~ PARTI! 0IllCI!LLE. ( llûundn du um dan enn perth ·• Ahdbé du ministre. —— 5 mai IMO. u Ln Société Linnéennc du nord de la Fn¤nq,in¤\·i» tuée pour les dépurtzmtnn dz la Sùlwpc, de l'ûi|€, dz l'Aisn¤, du lard et du Pts-d¢·Calui1,..¤¢ ¤\l|à.\·i|ä· n San x·lgl¢r¤.«nt,¤0nFurmai l`¤Xl¤I•|Iliil€¢4I|¤¤AUx&î1ué, est et demeure approuvé. » 2% la diltzîaurplélidnnhut cblgé ds faire l»•d•- mmda dulundnu mmcîlgénàul dn |¤S¤u••,p¤r uidu•l1S¢¢iû£i£|ir¤impIi1»nrsc¤ném•ï|. Catia d¢mnnd¤·¤'¤ paint hé nnurdée. B'. Sant nmnmù •e¢r¢hitns·p•r\iculien t MM. Le Cvrreur, à Àmitnl. Boixtcl, E Arras. Ddmourt, l Beauvais. Duvergul pin, ilhldin. L'. Le cumité permanent décide que lu Blâmuirex seront Iucncssivement publiés par Bulletins du trois I cinq fnuillu dïrupuaiqu; dix du un Imlküns furmamut ln vnlllllll.
LISTE É IIIIIH ADIIS DAR! LA SHSIDN DB IIS9. Hemlrul Iéallnlm MM. Daurl.in,mem.hre du cnuleil dïirrondixaementda Bnanvaia, 1 Pouilly, prèa Iéna (Oianj. Bvlauiqua , Entonr logic, Gialagia. Bar, taiuturier, Pnut du (lange. Enhmalugie. Bur, pharmacien, membre de Pacademie d’Amiom, plmz Périgord, Bvhnîqun. Dnuchet (Loisir), membre correspondant de laâociété des antiquaire: du Pinardis, în St.·Mnurice. Entomolngia, Giulngia. Donebet (Paul), docteur-médecin , rnambra de la Société médîcalz, médecin des paume: du premier arrondis- · nement, du comite de salubrité , rue St.-Lou. — Enla- nmlugia, Erpalalugia, ` Jamaa, docteur en médecine, run au Lin, Botanique. Pntit (Hyppulitc), avucat , mn Koyale. Entanalugir. Pollet, profuaeur de plxyriqua au mllége royal d'Amieux, pwfeaseur du cours nornrnunal de chimie, membre du Yandémie d’Amie·na, nus St.-Dominiquo. Bcaucouaîn. avocat, rue Hillzvoye. Enlvwmlagia. Marcotte, i Thuîauu. Enlotalayie. lnlllbfcl norreapnldnlm Du Caumont, oornapondant de l'lustilut de Franœ , Je- crétaire-perpéluel da la Société du antiquaiml de Normandie, ekz., i Cum.
Le ûarreur (Émile), élève de l`6¢nle polyleehniqnm Enlurnalagia. Papin, chef du iudiu botanique du Paris, el:. I•II•||It¤|. Dejoan (le comle), lieutenant-génénl, pair dzlirnnce, elo. Dunmil (Charlet), membre de I`lns\itut , pmfrseur nu jardin du mi, Dnrnyer (Frédéric), maire de la riLle d'Ami¢¤xs, secré. hire perpétuel de l'acndéu\ie d'»\niien;. Onfrvy de Bi-érille, préfet de Ln Somme, CATALOGUE DES OUVRAGES OFFERTS A IAA SOCIÉTÉ. 1*. l•`.¤ai mr lu Caralviqner du département dz la Summe; bmcli. in-S'., 1836, par M. Gnrnier. 2*. Étude nur len Gerxniéuqui crnriveultponhndmcnt dans lu dépurtemenx de ln Somme et du Pude Cnlaiiu, P"}!. Cuirnir Piear·d;lzr·0cl1.in3'., l838. 3*. Observations botanique; sur le genre Sunchux , par I. (hiimir Picard; lx•‘o¢l.i. in-5*., nrec planche. â' Mémoire géologique mr le bassin 1.l’AniienA et en prdicnlier iur les unions liltnnux du ln Somme. pur I. F. P, llnvin; hmcli. in-S'., l836· 5A De ln bcllulnnue considérée wus les npportx lioh- niqut. ebimiqne , pharmaceutique , plnrmnenlogiquz et lbénpeutiqne, par M. C. L. (L Puuquy; lzmcli. in·A'., lm, avec plnuehe. G'. Mémoire.; de la Suciéié Royale d'Èinulnti0n d'Ah- hcrille, 1835-37, 1 vol. in-8*.
BUDGET DE 183849. Ptudlîldunaünüau. · . . . 1 · SWE'. uu. nlrnnll, ($00 üplûmu, cîhzuhîru ¤·li» Vnrnueüêlude lettre:. . Pb ir, u 1:. 200 wmptu-xwdu de In pra- mûm nnuùm ..... 88 · Kkchat dg ln Sociéd et meu- mirni. . . . . · · · IS n Kegütru .·.. . . . à 50 Fnîn de cnpîxh. . . . . 8 · Fnîl de burun ul path de lcttru, sim ..... 10 56 Touldnu dépense:. , 225 35 225 55 I.«:bcm¢:¤iA•¤l»¤i5jni1Iat 1839. . . IM 65
PARTIE SCIENTIFIQUE. PBINCIPALEMQENT DU NORD, £«· ./6, 91 8. Www ‘lll·«»«. Avncw A LA own mnt.! n`A1I¤|, Mtnux nu (bath vA·r0n| un Muetnat ¤‘l·lu1·0¤u NAh7r.¤.u ux .I.Am·n ·v|Lu, Huvnusnun nucutrl Lnuvtznxxm Numntxh 1>·nn,¤an»¤mmm.»·E¤mnw¤·A¤nm, lm LA mcxhl uanu Auntuquu nx &·r.·Q\1||rnI, cnuaannnna nr mm nu Mm sum, nc. hh-aille dans le vingt-quatrième volume du dictînu- mlre unuvuu d’H.î1t. uu!. édit, Dokerville, avait indiqué lu nul.: Silphlcn uuu I: Litre: Xl' fumllle; Iécmplzngen. Gems famille fut uclnptée par lA plupart des euwmœ lngùtu; plusieur: 1l'enLr‘eux y réunîrcut d’¤ul1u iu- nctu forlvuiuinx cnmprh dan: les min famill vuivmue 1l¢Luh·¢i.I.lc (mème ouvrage), il: En-,ut de cette réunion la famille du Récroplmgnu, et du eluque famille en
—·· 21 ·· particulier une tribu dont la première, autrefoix famille des Nécrophagu , fut nommée tribu der Silplrales, Dana la derniere édition de son œhlogue, M. le comte Defean supprime la famille des Nénroplrsges qu‘il réunit I la grande et hétérogène famille des Clavieornes: cette fnrnille des Néerophsgea nelui paraissant pas sulliaamment bien établie. ' Cependant M, Léon Dufour ( Ann. des rel nat. deuxième série soolog, tom. premier, page 56, rrtl anatomie des ` Cnléoptèrer) dit: · dans la deuxième édition du règne · snirual de Cuvier (IEN), M. Latreille cédant sans doute · A lanéeerailéde rertreindre le cadre enlomologique pour · se conformer au plan de cet ouvrage, foudit en une seule ·· grande famille, celle der Clavinornea, des Coléoptères s très-dissernlrlalzlea, dent il avait précédemment dans sou ·· imnronel généra eonatituéder familles diaünetu, telr · que les Nécreplasgean. e|.c..· Toutefois en donnant un . même pavillon â cette immense peuplade ds Doléoptèrea a penlarnèrés, il u'a trahini lea principes sevèrea de classi- s lisation naturelle, ni son tact heureux dansla phyriagnn- · mie des insectes; il sdonc sous-divisé lu nombreux ~ Clavieornu en dix tribus diëémnlusnus les name r Silplnlu, Scaphiditer, lîitidulairea, ùrgiditea .... L’sr- » rangement généalogique de nes tribus est à l'alrs·ide · tout contrôle |ù·ieux et unua renouvelons seulement ·· le vœu qu'el|es soient pmmuées en grade de fainillea. · Depuis, du travaux sur eu iriaeetsa ont eoniluit quel. ques auteurs 1 réaliser, du moins en parüe, le vœu de M. Léon Dufour et les Néemphsgu forment maintenant une famille parfaitement distincte et du mieux cano- térirées. Le: camelèrea de eetle famille sont: Caaaukara xxrtrnauaa. — Pattes non ccntraetiles (dilïérencc d'arec lu Byrrhu, ele. ) , insérées I égale distance lea unes du autres. — Tarses A 5 arliclee (penta- mèré:). — Antenne: nan eoudéea (dilféreunee sl‘aveelu
Biaur); terminéu en massue perfolile (ûlnvimmns). - Mandibules wrnpriméu, ailnngéea, terminés un une pointe furie matière (Silplnles) hîâds ¤¤ échancrée. — Prutzrnnna non dilate I n partie antérieure, — Jambes antérieures , nan dentée: nu ulïrant tnut au plus des cils un de petite: épines. Quant aux mraetàru anatomiques, ihauut iucnumu tout 1 fait dans deux uibna et par mnnéquent ma n’e¤ peut tirer pour Yétsbliuement de In lhmilln que des ' mneluaious ane! vagues; ie donne dam les généralités de la trîhu du Silpbalea eequ‘0n connaît da l‘anah1mi« de cettetribn. La famille deu Nécrophages xeru done eirconscrite dsm lu limihu que je vien: d'inr.liq11er; elle ae composer: de quatre tribu: Silpbalea, NiLidu]ai1u, Kngiditu et Supbidilea. TRIBU DES SILPBALES. Danal’¤rigine, la bunclien (en partie lea lilpha us- Inell), mmpnsërent I eux mais huh: cette dîvîliun du Nérmpbagcs-Silpbalu; Linnâ avait euufunalu parmi eux les liecuvplmrea sépareu par Fabricins et adoptés par Laîteille, et les Néemdzs indiqnéa par Idlreîlln et isolés parWilkin. Plus lard on y ajouta d'a¤trev genre: fvyndû sur du individu: nouvellement déwnverb (Hy- pncepbalux) ou rur du individu, réparti: dans d‘aut¤1s grnupu fort etranger: b ceuxqni nom uccnxptntntqvfuna meillzun etude pruuva identique: avec lu Silphalu on du main; très-voisins d’eux; tel; mnt: les Agyrlu, dont . l’nn, Agyrizn Cutaneus, (uit regardécwmme un Myse- Iophage, par Fabriniua et Panzer et un autre Agyrtu Glzber etait claué parmi la trimniu, par Pnyknll, etc. .l’ai lniaaé lu Agyrtes parmi les Silpbalu, quuiqlfila mn semblent devoir hire ln premier genie de la tribu des Nilidulairu qui vient immédiatement après, et dont lexmœun et pluaieun cumtèreucmhlamt les ruppmeberî
· zi ·· pau: un prononcer deûslitivsnmt fui bnsin de mieux àudiar tous les Ciavioornem ` Le genre Splwwîtes de Duftwlsnsid, suit été classepsr B. le comte Deiean entre le: geuns Necmplsilux et Agyrtes; M, Laporte de (Lsstelunu et pluaieurs auteurs, en1r'sutrea Fubriciue et Sturm l'ont nngé parmi ln: His- tzmïdu, Le seul individu connu de ee genre : wut I lhit le (amies d‘un llislerz faifdû le mpprimer. Le genre Hypocephalua était rsngé par plusieuns :u— tenu (M. Laporte de Csstelnen, etc.), entre les genres ltécroplzursu et Néeroda, mais j‘¤i ern devoir le mettre avant lea Nérrophm-ra, parue que ls trsnaitiuu est plus ménsgée, l'lusmator fsisant purfuitement le pusage entre les autres Nécrophuren et les Néemdes. (le genre d'ai.lleun, §’en juge d’npràs les dessins que j'en si vus, puumit bien uepaa rester eueusni nette place; son (scies me pnralt n’srvoir que peu de supports aven celui des Silplssles. Les Silpbsles se eompoaewt dame maintenant desgnsxu suivants: — IE Kypneéplulul, -- 1*. Nécmplsorus, — |• N6u·odes,—- At Silplsa,-6* N6cmplsiIna,—6·. Agyrtep. A toute: les épuquea de leur exiateuee, (le: larve: vivent i peu d`excepti¤na près de ls mlm: manière que Plsuede psrùit), ee: insecte: semblent destinés 1 nous pvleerver de: usiasmes fuuutc que les matières unimales n dénumpositien peuvent nipsudre autour de noue; delh,Ie swmde Nécruphages imposé pu-ljtreille i tente I: famille et que mésile psiucipnleusent la tribu des Silphelen Les wvsntagu que l‘lwmme retire du ees insectes sont immenses, usr lens- utilité n'ext point cnutrehslsncée comme hns les dermutins, Ie: lhlaendermes, lee Xyl¤· plssges , les Dipteru, etc., pas- des ruvngu plus on moins dénetsvux . (Lette utilité xlevrsit ttre d’nutnnt mieux :ppr6· s:îée,xus1out mus une tempersture nonstsmment élevée, q¤s’ils mnt lee plus etïicucesvidangeurset Ie: premiers d’e·n~
tra lulhuaclnrgùpsrlauaiure rlepurgerler alentour! du habitation; et généralement tour lu lieux lxalzitalilna, desehsmgnuet nutree immorndâoea animale: que l‘ineu· rie du lrahihna sème an milieu et amour d'vu·x. Orgsuîsér pour remplir ce lmt, ilr sont douù d’uuc Euese d'odorat ri mbtile qu'on a peine I ien rtudrv eumpte et \ iexpliquer leur pr&uoe preqfinttauhuêe dam du lieux où auparavant un u‘m pouvait rléevuvrir hhmami(de nru Antennarum, page 35), a fait des expériences sur ·. liécrophores et les Silplxa dans le but de prouver que les Antenne: ne sont pu ln siège de Pndont, main q¤x'il réside dans les orifices atigmaliques. Après avoir pratiqué dans une bouteille de vent, une ouverture arrondie, entoureo de cire et au centre de laquelle était un diaphragme en papier, il perça en dernier avec une épingle plus ou moins grosse et Et entrer dans Yappareil lu anlenuu ou la tete entière du inseelna, il intrnduirit ensuite dans la bouteille du mb- thnent dant l’ndeur ul ln plut furie, telle: que rlnl plumes brûlées, du soufre en comlzuatinn, ete., aucun individu soumis à cur epreuver n’u parut alïecté, mai: quand il approchait de lapaflie du noi-ps reatée en deliors de l'appar¢il, les mêmes aulbahneer, l‘auimal se livrait l du mouvemeutr violent: qui témoignaient de l‘impru· sion qu`ell¢a exerçaient mr lui. Cependant MM, Kirby et Spenee, signalent rourlea tégumeuh qui reeouvrent la partie du front qu`ils nomment rlinarùsas, deux corp: spongieux (chu le lléerop. Verpillo) qui seraient l‘ar·gaue olfactil; main en organes ont éehappé aux invntigatiom de tous les sna- torninhx lea ont cherehù depui: eux et dans lu memes espèce: qu`il• avaient indiquées. La question de nvoir où râsirle l’odurat chu lu insectes u`e•t don: pas enenre résolue; cependant, il mu aemble qu’il y a grande analogie entre les sutnuuu dns
insectes et les nnrinqrle lahnmimyl, per exemple, qui sont portées comme du champignons. elraenne par un peti!. pédicule . et la tête de cette espèce de elumpignon contient la cavité de le nrriuu (ouvre por deux petih orilicex. Je n’ai touché 1 cette quuüorr que pres q·u'el.Ie avait un npport direct rvec lu insectes qui font l'ol1je! de man travail. M. Léon Dufour qui a diexéqué cee innecla, leur assigne pour cnnetèree auawmiquu: crmpluge court et suivi i·l'uu gésier olwlong ou eilipsoïde; —-ventricule chyliliquc reree lang;-tube intestinal, liliforrue, très- long, replié; le partie eulérieure ut lise et peut être comparée \ Yintutiu grêle, rabue oûre un étranglement; la partie line est rnivie d`un intestin, convert i sa surface de pointe saillants et granuleux, qui •’ouvre dam un renflemeut lime, qu’ou peut oomprrer au ezmrm, il ne termine par un rectum; leu vaineoux lzilizirm sont un nombre de quat1·e,grèlu et forte longe, très- repliû et inrérér isolément autour du ventricnle chyli- tique i am ein-émus. A cet extrait j`.rjouter1i la note suivante de Latreille (reg. anim. de Cuv. nouv. édit. 1829, wm Ã, page M2): lu Bouclier: ou Silplza mnt les seule Ooléoptèrer peut;. mérér qui présentent ainsi que Ier hnehèlytrer, nn nppnreil ucrémentiel , eneure n‘erLil pas binaire comme dune ceuxei, et le conduit extérieur ne dégorge diree· tement dans le rectum, comme Yurèthre dee nireaux. ll paraîtrait d'apr·èe cee rapports que les Bouclier: devraient venir ainsi que d’autrer Cizvieornee immédii· tement epi-ée lee Branhèlytrer. D’euires considération: (préface de Youvrnge rle Lntreille, intitulé eoneid. géuénl. rnr l‘or~dre naturel der eruetncée, exe. ), l‘rvaient wndnit au même rapprochement. Voici pour terminer et eornplûer ces documents eur. Iomiques quelque; délnile pnirés dans Pintroduction à Yerrlumolugie , par M. Lreordnîre (tom. 2), etc.
Les veiaaeaux urinaire: sont un appareil trènimple chez la Silpha (noue nvona vu par la nole ile Latreille, qu‘il u`éLai! par double comme dam le petit nomhre d‘iniente1 ou il a été observé); e`ut un aeui vaisseau liliforme ane: eulorlillé et qui, ( noua l’avoua encore vu) finaère aur le conduit exerétwr ¢l’une très-petile versie; le liquide, aelon lui, en semi!. roux et lédde (page Gd et univ), Lu cnpmlu spermntiqnee chu la Silphn chacun sont de grandeurs dinïrentat , formant dea branehu ramilërea qui üneèrent en déünitive aur le canal délérent, qui ut courbé luirméme L son wmmet; lea plu: gmuea dz cu capsule: débordent en dehora du teeticule (page 311). La longueur de: canaux déférznn est de huit i dix foi: In longueur du corps chez lu Nécrophorez (page 315 ). ll n'y a pas dé vesiculeu aéminalu ches le Silpha ohacura (page 315 et [Ann Dufour, ann. des ac, nal. Iam, Vl, pl, 6, fig, 5). Quant eux caracteres extérieurs , Ieevzvici: Tnnuanlérieun lmivenl dilutù, lurloul. che! lu mllea; - manne du anteunu composée de quatre article: (Nécrophorea, Silpha I l'excep\ion de Sr Atrata, n’en e que troie) ou de cinq (Nécmdex, Agyrlu), elle est , lcujoure perfoliée malgré l'upini¤n émise par MM. La- pnric de Caawelnau, Linear et Blanchard qu’elIe l'ut prnqur tnuinun. —Pa.lpu un pen renlléee à leur extré- milé (Nérrophores, etc.) ou Elilormee (ëilpha ). —· Mon. dibuler terminée: en un: pointe forte et entière. — Sleruum nu: saillie, foi-nié en mentnnnière et recevant en partie la bouche, -Mmehoirea nudinnirement uniden· téu au côté externer - Elytrea rebordéea (Silphn) un nan (Né•:ruphcres).—L'abd/amen déborde ordinairement lu élytres; cetle extériorilé de Yubdomen est remnr» quable dans les Nécrnphnru, elle ect tvèvsenxihle dana lu Nécrodu, nuaisclle décroît dans lea Silphe; cependant chez le Silpha Sinuala, l‘ahd¤men dépasse la élylrea du
.â.,d.h..,w......4,îdîî;,,^,...,.,..“,,....,. même ¤n,¤hu ln luignh deux segment: dépnnmt sauvent lu élylru, chu lu mlru Silphn, ¤:’¤•t bien moimmrmtériué, Voizî düilleuulehhlun uynwptiqnndn au principaux uncilrn yon: lu geuxu dz Fnnoc. ïêêîî ii, â Fâëï ïë; ' zêî sgëëë Éëâë-É ‘ë; ;_g;,=· Éîë: çâàîîëë . . ll. F ëggïë J? È; É—·à~¤1¢§.ilëë îêgg :;-5:ag · . -I¥ ·§2 . ·ê'§§_§ ·î!â-·¤s ièëïê ïgêgiîï : ; · ; 2 ê i ·§
In dois uvsul de terminer uns ginûrslilés him lu dua- vsüuus mivnnlu I l’egn·d de lg syunuymio: lu sukun mkériaun iïuhricîus si mlm: I Olivier, wniosdsitnt plusizunupèoosou umsssule; ·la¤n¤:i¤u snlmn, » ali! M. le oomte Dejseu, u’y rnprdsimt pu (hui » près qu’ou y regnrdc mniutenmt et Inu: ceux ont · visité lusuzieuuev wllecüou:. y ont vu mus ln mémo · nom et confondues eusembln du espèce: Ixèulistiua. · tu. · fui fui!. L cluquo upics lus ohsenuüous uku- uinso L ne sujet. ll en pruquïmpouilwle de mivm Yurdre chrouolngîqus dans lu citations du auteurs, ou- ou senit obligé dn sépn-nr pu- un iularulln nouvuut uses gnnd les ouvngu et los éditions du mémo nutuur; il m': pmu préfénbls du suivra Pordrn nlphnbétiqun; gum! aux elarévinkious ou h-ouvsn dans ln lnibliognphiv du M. Pernherou, la déhil du titres si éditions; seulement le premier uhihe qui suit la uom d’suleur indique le volume, le nleuxièmn, l¤pags,l¤¤nùiAms,1euum£md'¤rdzœ, elc. I GENBE.—HYPOCÈPHLLIJS (Dusunn). Bp. .... Ax-manu Dean, Msg. Lzol, 2•uu. Cl. IX, pl. IA, iuürixur du Brésil. ll GENRE. —NBGBOPH0l1I7S (fsnmxu). Lu Ilécroplmros, ma: gnuds i¤su·:\¤•¤xlul¤u£l'odcut du mmc, nu corps olwlong , ordiuaixumeut revllus du poils Ixèv-hrllhuls et souvent iufodéu d`un• i grsudn quulill dsmihu (gsmuus onleopîrdlamm, l-M·¤‘·)' ‘P'ils tu pnnineut hidcux, furvnl. nugés par Liuné et ls plqnrhlumlomnlogislupsrmils b¤¤cl.îu1;û¤oI.roy ut Soopoli us ûrçnldu demain, colin Fnlzriciuslu isolun on lit. un gsnro q·u‘il design; nous une dénomi- ntiou ürée du grec, lx!¢·¤ru:\·érinéo, llduuphorus, paru-maris [dsvllpüümorlutyüyüjeporlul, qluioun
leaenimnologirtu ae aont empruaé d`ailopter; déji avent lui Gleditmla avait désigne par- un nom équivalent, le aeul individu da ce genre qu’il oonnut, il l'avait nommé Veaprilln, fuaaoyznr, paroa qu‘il enfouinit lea oadavrur , de quelqun petita aniuuaux. htraille raazmlzla leamateriaux epara, principalement danr lea réeréntioua tirée: de Yhiatoire naturelle du iuaectu (trad, frang., tom· l••., page M6 et xuiv,), par Gladitrela et dana Fhistnira de la taupe pur- Cadet de' Vaux; il lex coordonne et noua offrit ainri le travail le plua oomplet aur lea mœurv ai curieuau de ou insectes, Ie auivrei aou exemple , maiaeu u‘e:t.rayaut de chacun que ce qui aera atriotnrnent néeeaaaira, en reînrmantlu delaila uu peu ouranuéa, en ajoutant quelque: oluena· tâona revente: ou qui me aout proprax. Le Nécroplion Veapillo (et aea congenèru) est |.rèa» bon coureur, aa manière da voler n cela de pertiunlicr q·u’il serre lea rlenx élytrer tellement l‘une contre l‘nntre, qu'uu u'en voit que le côté intérieur, ln longueur de aer ailer memlnuuaurea lui permet de voler aeaer lentement, aaua le aecoura de au élytraa dont le frottement rend alors un aou aigu (Gled. lat., et=e.). A oe auiet M. Laeordain (iutrod. I l'ext,, tom. ll, page UI) dit: lea llécroplaorea lont entendre dea lwruita en frottant lea derniere anneaux aupérieura de leur abdomen oontre laa élytrae; ai l'on examine ou anneaux , A la loupe, on voit quîh aout oouvcrlr de atriu tranarér-. ralea trèa-Guea et trèuenéaa. ler Necrophnrea exhmleut une odeur de nnuao qui ae communique aux doigte et \ la boite au ou ler enferme et perairte aprèa leur mort pendant très-long-temps. Cette odeur Iauteloia u`uetpu franche, il me aemlwle que l’alcool qui a’au charge h·èr—l'ncilement, la developpe au bien. Cette odeur parait azrvir aux Nécropliorea I se trouver plua l'wi.Itm¤nt entr‘eux l0raqu‘ila ont bemin l'un da
— M .· l’sutre;CIsirville(cited‘spr1‘4l1. Sl11ussconsid.g6n,, mer, p· 350, psrlli. Lmurdsire, L2; introd. \l'entnm. pr A57), rspports uvoirvu nu Nécroplwre Vupille, vuulsnt. eulerrerune souris nwrieei. Lronvml. Is-vp dure ln terre sur lsquelle ginit le esdsrn, fut creuser I quelque distance un tron dsns uu ten-sin plus meuble; nette rvpérstion terminée, il esneys d'en\srres- ls souris dans cette usvilâ, msis n'y rénnimnt pu, il s‘e·nr¤ls et revint quelques inslsuts sprès smornpsgnl de quatre sutreodesapsreilsqui Vsidèrurt itrsnspururlsnnusis et à l`euf0nir. Cette odeur eert encore, selon Gleditseh, de pine aux reusrds et snx msrtres qui ont feirn, pour tronvù des ehsmgnes que ces insectes fréquentent de eompsgnie nvee la Silphn. (kite ssnrtinn répetee pur Lslreille et psr d’su¢ru naturalistes me semble bsssrrlée , ur l’0deur seule de ls elmrogne eulïit pour nels, elle s’élend sn loin, tandis que l‘odenr musquée du Néeroplioree en restreinte dsns un snes fsihle espece et puiut sensilrlu l quelque disisnco . si ce u‘est peut-être pour les insedss eux-mému; cette odeur musquée est d’si.llmz.rx pruque gémérsls l tous lu nninnux vivsnh de esdsvru. Dunn Pet! si Yan jette le cedsne d'urr petit enimsl, taupe, souris, crspsud , ou même un mornesu de cluir ou de poumon , les lïéerophores ne tardent pusi dy rendre, sans perdre de temps, pour n‘6tre pas devnnede, per lu moueluen bleues dela viande (Calliplmrs Vomitorisy Mnnq.) mais ils sont presque toujours préeétlés per du esesrl>ut.s(hisler zneus, Lutr. ), qui deponillent le csdsvre de se fourrure et le rssent en quelque sorte; les Nécro- plrores lerwntrsignentise retirer. Les nuteun rfsjoutent pu pourquoi et nomment; i mon avis, e'¤t perce qu’e¤ remuant et lrsllatsnt mns mme le petit cedevre, ils mettent par nels même , les liister dsns lînrpossilrilité de pruliter de ln euree; dsus une grande chsrngne il 'n'en en pas de même , et l¤Muunhu,'Bi.lm·, Silplss , Nécrœ
·· 32 - phoren Bnshllylru pruneut îmdiliuueuul pen un hequnt. ·¤ade| de\'n¤¤ pdhmd qunlu Néaophnrne ne sont imaie plus de cinq noue chaque ndavre de taupe, Lalreilleardpéte Iamlmechoee, maieen réaliiéilemnz plu ou moine nlnu le vnlume de hninzal i enhn·er. he pu-mien venue iempennt du petit wdnvn, ocu: qui viennent ensuite tmuvnnt le plane occupée el. vnu! ohemhrr fennne eüieuuv, ei Gledibnh npporie i en mju, eveir vu uu een.! Néemphnre enterrer une taupe dane Pupece de deux jeun. Ce non!. d'a'hord lu Vnepiile qui pmdentknn œuù et iéluiguent; le Germauicua vict ensuite ooouper leur plane, mais il arrive sen]. lu nécropheru, leur troupe formée, uaminent et- ientivqment lo eadnnun dans tous lu neu, pui: ila examinent nuni le terrain , dmrehanl. la plus nablouueux «1lnmoimpierztux;¤uBu ile: glismtauueie uulavm et Inu! I coup, ou voit ou dernier ne mouvoir en avant, nue qu'uu aperçoive un ee¤.l des pnrteen, le ion.- Hvent avec leuntëluntlzunwrndzh, tantôt qu devant. tenlôten erriàn, en uümetençequîlen nuhnl. L putin la Ierre au-drnuue d’¢nx avec leur: pûtu de rldvanl, de uunilre que le cadavre fenlunne bujoun devmtap. Si Pnpdntion ne vlnl pu bien eI.|u· d’un edit, un voit penltre un da louoyeun, qui vient aheerver de plmpnù, ce qui pentceuur lïmpôchemeut. le wup d’mi| donul, il ne haiede reduuudre; elon letnvail n reprend nvusun redoublement d’u2ivi|Ai I`¤ud.ruiI. où ne trouve l‘m¤mv:· Le eorpe mort continue K fuinoonr de plue en plus d Iinit pu- d.iqnna‘tre h¤*|A·fait eux yeux de l’oI¤•¤- utenqquinasubpetùncepourtenirbonpludexnl quelqun huren. — Denxlbupnu d‘u1vî¤un dix henne, Lnû B dnq de
eexNéemphnr·er, viennent à bout d‘enter1·er le taupe, mais ruperlieizllernenl , le culuvre n’étunt recouvert que de deux ou trois lignes de terre; environ au bout de dix autres ireurea , la taupe est enfoneee rl'un denii pied; deux foi: vingbquatu heures, après le commencement de Yexforliation, le taupe est nrriveelr un peu plus rl'un pied; c'est le terme sle la plus gm.url.e profondeur rle le foune, Le trait suivent est rapporte par Gleditseli (pliyri. but, ceenn. ablrand, tonil 3, page 220): un de ses amis voulant faire rlexeéelrer un crapaud · Yuvnit placé mu sommet d’un lntton planté en terre, alin d’é»it.ex· que ler Nérropliorer ne vinssent l'enlever; mei: eette précaution ne servit ale rien , cer insectes ne pouvant pu atteindre le crapaud, creurèrent roux le hiten, et après l'uvnir lait. tomber Fensevelircnt ainsi que le cadavre. Ce trait dïntelligence r été le sujet d’une foule d'enperieneer analogues dans lesquelles lra résultats ont toujours été satisfaisants. Ailleumcvleditrch npporte encore, qu’ayant renfermé quatre de ee: insectes dans u.n vue en verre , dont le Fond était garni de terre et que leur ayant. fourni des cadavres de petits animaux, ilr enlerrereut dans Yeepnœ de trente jours, quatre grenouilles, trois oiseaux, deux poissons, une taupe, deux muterelles, les entrailles ¤l'un poison et deux morceaux des poumnnr rl un bœuf: e'est i peu pres nomme si quatre linrnmes enterrrient , dans le même espuee de temps, Jeux on truir baleines, dit M. larcordnire lee sujet, et encore, ajoute-t—il, n'est1>e pas usrer. dire , car l`l.mrnnre au moyen ales inslrument1qu’il emploie, •.\imi_ nue ennsinlérnlxlement le travail de ses niernhres. Une couple rle jours apres Penlerrement, cer inreetu reviennent au jour et shccnupleut. Cela arrive même quelquefois dans le eourr du travail , ensuite les femelles retournent à le inte sous tewe pour y deposer leurs oeuil dans la charogne qu‘ils ont prix tant de peine} enterrer. 3
ll éclat de cen wml: des lnrveu longucr, d’u:a blanc grisitœ, avec ln the hrune, dure, ànilleme, annde de mandihnle: nnufortu et trauchantu, le corps muni de six patte: courte: attachée anx trois premier-: nn. neoux dn corps; ees anunux au nombre de doom sont garnie mtérienuement \ leur partie mpérieure, d'n¤e petite plaque énailleuxe, d’nn hrun rougeâtre; lu plaques des dernier: anneaux sont munie: de petite: pointu élevée:. Culxrve: dévonent complètement nhair, peau etmëme acuventjusqnhnx 0:, der eedavme qui le: logent. Aprè: a’être eugraieséen sulüsamment et avoir anquis la groaseur A laqudle elle: doivent parvenir comme insecte parfait. , cllu se conrtrnisent une loge ovale, lim, qn’elle• en- dnisent d'une matiere gluante, pour en consolider lu parois et dans laquelle, elles se repoaent aou: forme de nymphe:. Puis se montre nn hon! de trois on quatre nemninu, l‘imect.e parfait qui va joyeusement K Peuqnéte de m nourriture et dnnt ln varncihî ei! telle qn‘i.i dévore lei semblable: , loxuqn’ou l'enl’erme avec mx. (Feet, je croi: I la plus un moin: grande quantitl de nourriture prise par la larve. qu’il faut nttrihuer cu dillérenees xi notable: de taille dan: cen iuseetee; les lnnuleo demieruédoaes, tmuvent souvent. lunourriture prsque consommée par celles qui sont née: lu pre. mieree, et n`en cherchent pu nue antre comme celle: du Silpha. Il me semble que les nom: :péciûqu:¤ le: plu: géné~ nlement adopté: pour lu Nécrophoru, ne sont pa: aueu rip1i|icati[a;Sepn1|:zr, Vupillo, Cadaverinus, Murtuorum, rignilient ln même chose et ne peignent pu l’inrl.ividn. Mortnorum méme, tend à en donner une idée hnsee, puieqne cette insecte 4:e trouve plus souvent dans les champignon: gttéa que dan: les mdnvvu; interrnptua seul exprime ce qu‘¤t l‘in¤ecte qui porte ce nom. Ne
vaudrait-il pu mieux appeler avec lllegerle , le Veapillo , Curvipea Les mrnelêrex génériques Je ees insectes sont: Tete uu pen inclinée, retrecie en nrrièœ, eynnt dan: toute: lee espèce: une tlclze lmntale run ge plus ou moins marquée ;— yeux olilnnga et point du tu nt suillanls, nue: grund:;—an\ennu courte: de onze articles, lu qnnlre dernier: en manne perfoliée , grnuz, pre¤qu‘nn·nndie;- mandibulee nrquéu, édentées; - palpu h dernier in-. ticle plu: etmit que lu nuire.! et cylinlriqne; -(`m·aelet un peu upplati, h-nuque antérieurement. legènnncn! lulwercnlé, largement relmrdé, urlnicnlaire, Feminenee du milieu est divisée en deux pnr nue ninure lnngtn. zlinnle plus nu moins visible; - éeunwu use: gmnil, triangulaire: — elytrna aux applntiea . un peut élargies, . lmnquées eu arrière et cnehnnl deux eîlea memlmn-ienses, qui seule: suflîsenl pour le vol Ile ou imeclee; —·puttea gone: et fumer; —- cuinen postérieures un peu renlléex; -1:: jambes antérieure: ont une furie dent lnlemle et nnnl terminées par deux épines assez Tartes; — mue: lîlifnrrnex composées de ciuq ¤x1icle¤ , dont les quatre premim deu tai-une anlerieuren ales mâle: , nlilntéx en larme de peigne et garnie: exrdwaoux de lange poils. Ce genre contient lu especu nuivunluz 1*. Vespillu. 2*. Sepullnr. 3*. Ventigutar. A'. Marlnnrum. 5*. Coraicnu. Lep. Cane. If. Marginalm. Fuhr. Amer: du llnvrl. lavelutinns Falir. qui eatle tomenlmnx ile Welxeren aerailunevariété. 7*. Sayii Lap. Amen du Nord. 8*. Haheyi, petit el. mtl Amer: du Nord; tree-vuiaiu du mnrginatun Fnbrin. dant il ul peubètre une variété. 9*. Qnudrilliaeulntna. Amer: du Nord,c’¤t le qumdri Signalux de M. Laporte delhi.
10*. Su pnstnlntm, Dcj: Amer: dn Nord. 11*. Mnritimns. Buchscholu, California. I2'. Nigrioornis, Dunrin. l‘Arinticns doïnldermmn · (yen: occid.) en en une variété. 13*. Lnnatns D:] : Amar: rln Nord. 1A'. Modintus, Pub = Amor: dn Nord. 15*. Americsnuu, Oliva Amer: dn Nord, dut la grandir de Fsbricins. 10. Anripilosnr, Eschscholh, Californie. 17*. hœnlù id. / id. 1BF. Stygins. Dahl: lllyrîm 19. Germmicns. 20*. Hnmnlor. 21*. Specnlîirnns , Escher, Run: Meridional. (Yat le même que le Mugnlwoplulus d‘EsclucholL1, 22*. Morin, Gelzlcr, Siburîe. . ünimnvz en Fruwe lu espèces don! mit le hhlun synoptique st ln tlucripiion tynonimiqus. ·
-:1- llytmg §. §.§- Éîâ gi É àà ëëëë âëë wumnimhspnxtêüwm ,4 ëî./xî MJP? ·,ê E; â,.g. gît? ëâëëà ‘ ëwâzâzëiî L5? Lsïîë ·?L=.‘§ë“êÉë`·&.ë E 2 E E? É E ê § ëëë · â- !·` E F aî ;î Zîïâîâîlîëlë Cç`;.É?ë‘Èà§`Éë?É e s gs ws
I'. 1. HECKOPHORUS VFÃPILLD. Gledilœh , récrénlionn tirée: de Flnint: nalnrz inn: trad. franc; tom: 1*'. page 116 et nd. lkml 1752,p. 53. Venpillo. —Linné, nya: mt: mm. 2 pc 609 n*2ct Ennn Suze, png. MA. Sllpha Vœpîlln. ·—· Dcnillen Lynn 1789 pa 73 !um.1. n'. 2, le fnnn«•ynnr.—Fnbriciu| nynt: éleut: 1. 535. 7 nl ent: syatz 1-747-A Nécmphm·u•Vupilln.—(}nol· fmy 1.95, 1, 1*** pl: n* 1, llermule \ pninb de hongrie- Dégéer inn. À, 158, phnc. U Eg: 1**. Benclier 1`oamyénx ·.0liviér inn. tom. 2,n* 10, pl: 1** Sg. 1** A B C D E Nam-np. Vupilln; Diclî. Dekcrvîlle tam: 15 png : MS, grav: 33 n• 5 Nmrop: fomyenra Encyclnp. méthonl. B, 151, 1. Nxrnpln. fonxnyzur \Vupi1|¤) — Lalreills 9. 170. 1. Nwrnp. foawycnr; gznzn Crnxl: él. inn. wm. Z pag. Er. —Swpoli Cam. 33, Dermuten Vuyülu—M¤ullet tlxélh im. page 1&9, lin. 7, Eg. 1. Canlharun Martina sw: —-Link: üh: mnt. hb. 17, Sg. 5 etloq. page 381 n' 1 Surabuu majnmnlm nîgnrdnahnslntnin funciîx, eu:.-—-Frinch. gum. ' 12 png: 25 Iam: 3lig:2ScanL¤nxmonchi0dnu1— Ruy, inn. png. 106. Surab. feiîrlnn primnn n.I¢lmvandi.·— Aldmvamlul, ins: pag: ÀSA lab: infenior Eg: 3 ncnrab: fetidnn, ms: — Vïnlcnnauxïnnn, zut: mv: de Paria, —- M:g¢1'le,irn:nn.n! : Cunipa.—Panur, Faunninn: german: Fnac. 2 n• 21. —l\<¤¢linu inn: tom. A hb: 1- Hg: 1, 2.- llligzr col. bar. 1-354-3.-Voël. col. hb: .1 Eg. 1* et nur. wm. 30 Eg. 1. 2 et 3 pollinctor vulgarix ma]nr.—H¤n-hat. ml. 6 tab. B0 Eg: 1~-Schœlînr iœn. tab. 9 fig. A et Elem. inn. 11A, Sylphn.—'Muller lin: nat. nl. V, p. 123.-Bergn. nmmcncl. 1. 10. 1&.wm. 1** Eg. 1A.—BIa¤ck im. 168 wm: 1.1 |ig:1*•.-Podainazhiuazgrnns. tnnn:1**: 1ig:2pqg: 23. Silph:Vexp.—Snl.¢.in1:l0m: 2 Eg: 11. —5c'hram;l snnnn. ins: ansi: 71 Sîlp: Vup. —Imp. alt: 692 Iam: 2 Eg: 2.-Laiclxarl. im: wm: 1** page B7 n' 1. Sîlplx.'Vup. —F0nrex·0y cnt. Pnrln: 1, 17, 1 Dermutan Venp. - Boi- hrd, mannel d’nnt. wm. 1** pag: 286 pl. 69 Eg. 5 et 6. Mnhant Int: sur I'cnt: Iam: 1** page 305 n' 1 pl: à n* 6.
-hport.dA Caaulnnn, bin: du artic: lumai page 1 If 9. Lung: D I I3 lignlls lllillxr 3 IIS lh. Noir brillant, der poilu jaunu aaau brillanln aux la partie anhârieun du wi-aelei, leaoôtéaet lsaîroiaannoaux de Yadbomzn dun leur: burdu inférieura, la pnitrhw et lu cniana pont rlenau L lenrparlie inférieure et enlin les animzlaüou da pamu; le oonelei eat auhirisnmmenl. moiua large que daua le aepnltur et sa variélé caslavurinnn, il ut plus allongé; êlytru courtes, avec Jeux bandea undées et denheléea , variant de la couleur orangei la ferrugineuu; la première bande anr le tien du l'ély|.r¤, allelnl la autnre ai couvre le baa de l‘ûyh·¤ et l’angl¤ hunnéral; la den- xièmo vus l'ex¢.rémi|A n'a|.leint pan tout i fait la rutum; nelleoi a‘£|¤rgit a l`e1u~énnité et forma una ligne tran- nvuule au bout de l‘élyh·e; lu lnncbes poatérieuru inn! nonnbéea el. armée: d‘unu furie dent.; lea pnttérlenrœ axqné , la muse deu anlzunu ul d’nn roux fenugineux, variant zu couleur comme la bands du élyhu. Trèuaummun par tonte l’Enropo aou: lu cadavres du — petit: animaux; je l’ai trouvé L Dury, nous du quaniera decbeval et 5 la vallée de Guinea, dana du cmttin de cheval au milieu de geolrupes nleronniree. (bt insecie vole très-vîte , xxhala une odeur forte et fannmnznt mnaqnén; il ut onuvu-t de miter; il varia pour la grandeur et Yiniemiié de la couleur du bandu, que Linne trouva rouge: et Geodroy jannu . contradiction qui dirparaîl lnnqu’on a nous les yeux plusieur: individus. Liune dit qn’on le trouve habituellement nurle.1 fleuri v manu aulne natnraliite ne l‘y a trouve. Enlîn Fabriclua et M. Walclnenaer, d'aprè¤ lui, font cette observation , que la raie antérieure du élytrev ut souvent éouurtée, cela prouve q·n'il1 ont confondu en une même expènc lu Vurpillo , le Sepultor et le Valîgator avec leurs variété:. (`Aei,d`aîl.lenr1, nd. arrivé a toux les anlcnrt cités dans
la eynnnimie, i Yexception ale M. Laporte de Cnllzlnan et. de Megerle. La pluport même ont confondu avec ou erpenea la mortnorum, Les exception: sont en the de la ducripüon du mortuorum. N'. 2. NECROPROKUS SEPULTOK. Cat: Sepnlloret invextigatnr?—9!zpl.i ,« aillnah-. ofhrit: ent: interrnptna. ·-Laporte n°. M. lnterrnplne. Long. 8 hh à M lignex, larg, 3 2|5 h Ã. Dilère dn Vupilln par la deuxième lsnnde rouge, — rùtteignant pas l‘extrémi14S; le corselet est antérieurement plue large, il cri proporiionnellenuenl plna oourt; les hanches ont un rurlimenl d'épine comparativement an Vupàllo, et, les poderieuressont droites. On le trouve partout où se rencontre le Vupillo, il est anni comrnnn, et même davantage, dan: plnsienn lomlités. Selon une observation de Fnhricius, répétée par M, Walclcnaer, le,xépultor nc serait qu’unc variété dn Vespillo ~la rai; antérieure des élytree duïespillo ut aonveut. énourtée, dit—il, a Décrit. par les auteurs aone lenom dïnlerrnpmnx, il ne tronve den: presque tonus lu collections nous oclni de Sépnllor. Stephen; et M. La- porte paraissent, dfapuèe leura mlucriplionr , evnir con- fondn avec le Sépultor ct ses variétés, le Veatigatur et ses variétés Enfin notre Sépultor serait, d'aprês la plupart du amateur: de Pari: et d'aprè1 les colleetiona de MM. le cnmte Dejean, lïeiche et Gary. ai j’ai lionne mémoire, 1'insecte que fai décrit aune le num rle Veatignùor, tuurlia q·n'il.r nommeraien! Sépnltor notre Vesligalor. Variété A dite Cedaverimu. Mac. Leayinr: ang: inrestigntor, —D2j :(ht: Ca¢lnvc« rinus. — Lnport. n° M. i" var. de I'inIcr·rnplns. Gmmlznr du Sépultnr dont elle ne rlillêre que par la première bande rouge plus étroite prcqne linàire et
alîrant. l‘as·peet d’uu V ; la deuxième est fumée par une taclae isolée , ohlongue , se prolongeant du milieu de l’élytre vers son extrémité, L côté de eette hehe se honvc vera la ruture comme un point dentelé. Cette variété appartient au Nord du la France, elle ut benueoup plus rare que son upèee. _ Variété B, nous variété A du Cadaverium. Diüae de lavariété préeéxlente par le point de la deu- xièmeligne réuni presqdimpereeptiblement à la taclae; ce point est un peu plus gms dans le mile que dam la femelle, ‘ ce qui a‘expliq·ue dam les individus que fai vus, parla plus grande Iaille du mâle. M. Masson de Fresneville les a prix wcuupléu I In ulzlière de St.—liocli , près Amiens. r Variété G, nou: variété B du üdaverinnx. Didëredex vuiélls A et B par la deuxième ligne qui oonsiste en deux point.: nseagroi, un peu plus que dans la variété B , égaux entre eux en groueur, isolés fana deux. Je u’en ai trouvé q·u'un seul \ Amiens. , N• 3. NÉGBOPHOKUS VESTIGATOB. Cat: De]: Vutigatorf ou Sepultnr ?-llliger Ventigutorï Longueur 6 l B lignes, larg. 2 lfl i Ã. Semlalsblo, pour la forme et le plus souvent pour la taille, au mortuorum. (`nnnne lui sans poils , ri ce n’¤t i la poitrine. La première bande en comme dans ect insecte; la deuxième comme dans le Veepillo et atteignant wujoun dans plus que au deux tiers l'ex\rémité du élyties; il y a quelquefois un peu de unir ven ls suture; antennes fauves, jambes droites, eureelet presque carré, la ligne enfoncée qui se trouve sur le protorax est plus profondément marquée que xlnusles autres espèces, Cet insecte remit le xepallor du (Jatal: Dejenn et dea collections de Pari:. Ainsi que ie l’ai dit à l’ar1ide du Sepullur, il faitlnh-emilion du sepultnr ou morluorum.
M. Dujudina d'Amiena me l'a communiqué. ll l‘avait prit i Dufy; depuis, M. Manou m‘en a voyé pluaieun prin I Fruneville. Variùd A. dite interruptns. Brullé experl. de Marée, part. ent. page 160 n•.iU nécrnp. interruptnn.—De]. Cet. interrupuuû (ùpaguel —~ Laporte n' M, deuxième variété de Yinterrnptueâ l'up¤ee compri: entre ler deux bander rouges ut inter- rvmpu; il y a réunion complète de cee deux hanrlea au . rncinr eur lea pointu des dentelure:. Variété B. anni variété de l’interruptn1. Laporte, n• ll, deuxième variété de l’iutzr-ruptun. L'erpace c¤mpri.r entre lu deux lignes ronge: ut très- étmit, lu dentelure: rouges ne touchent pranque eu uartainu plaus, mai: il n'y a réuninn eompllte. Variété C. Laporte, n' ll , première var. de l‘i¤terrupt¤.r. M. Laporte de (hrtelnau décrit une variété de Pinter. ruptua (notre aépultnr), q·u'il carndtérixe par une pre- mière bande plu: étrnile; et la deuxième, remplxcée par une tlcbe isolée, dentelée nur am bru·dn.—Pari1. I’ai hvuvé cette variété l la vallée de Grlcu; nuit elle appartient au veetigalar et nou au népulwr, ainsi que l‘indi.qne l‘ahaeuce du poil:. Informe du eereelet, etc. La première bande ressemble I nelle des variétés cada- verirrur, etc. du Aepulmr, mai: la deuxième ressemble L eellc du vutigutnr, I cette d.iB'ér·euce près, qu'elle est euüèrement entourée par le fund nnir, excepté I l’extré- mité de I‘élytre vera le milieu de cette extrémité. Cette vuriété, fait cure mieux que Pupèee, le partage au mcriunrnm. Nutri. Je ne eonnui.1 par le Buuliu indiqué wmme étant de Fnuce dan: le catalogue de M, le camtn Dejmn. l('ayant pu le voir dam la riche eulleeüou de ce savant ,
fui démauulé quelqun renseigncmzna à ¤¢ mjet; MM. Kziclin et Gnry ne le cuuuaiamicol pu. Un antamophila, dont j`ai oublié lz nom, m'u dit quo ca Nénrophnrn ` ne distinguait dar autre: par ann arpoct trèuveln; son num ozpcndant me sembla devoir iudiqnnr un Nécro- pbom ayant la hum du élytru colorée et non noire comme elle Put dans lu nntru sspècu, ce n‘ut peubltrz q·u`un¤ variété comme il y en a déji Ian! parmi lu Nénvpboru. l|' Ã. NECIOPKOKIIS MOKTUOIKIJM. Falsr. Aya!. élan!. 1. 335, 5; nt. ryat. 1. 248, 5.- Oliv, dict. Déterv. I. 15, page WD et encyclup. metb. B. 154. 2. —- Hsrbrl, coll. 5 Lab. 50 Sg. 6. - Pan:. luc. M n' 3, — lllig. 1-SEA, L-Voel. pollinnior minor.-· Payk, 1, 324, 2, 8, Necrvp. Vup. var,—hporle n' I2, ·—-Boihrd, page 286. Lung. 5 à 6 lig. larg.! 1[3 I 3. ll rmembl: au Verpllln, mai: il ut génénleanent plus petit , le onrnalzi ul auui plus imprwionné quoiqun du run fon semblable, lu cnirnu pnrtérieuru, lea côtes, lu anneaux de l'¤b¢lome.n ai la articulation; du patin n'¤nt pax de poilu il ne ien mauve qu’uu peu sur la poitrine. La dmuiême bande ronge ut remplanéepnr une lâche iaulée deubelée mr ron bord aupérieur; l‘au¢M bands ca'!. hès-large et denüculée sur lu bords vera la tier: de l'6lyI.x·¢; lei hancbu et la patte: pustérinurua comme dans In aépnltnr, [4 manu: du anieonna est noire, ne qui diningun osttn espèce de Kouna Iuautru d‘Enmpe, * Toute l‘Em·upn dnm ln: cadavres et mrlout lu cham- ' pignon; EMA:. ‘ Voët le panne une variété de taille du Vupilluz Paykull peut anni que co n’ut qu‘un¢ variété du Vupillo, ll en diüîm nepeudant par lu postérieurs rlmitu et aurwut par la murun du miennes min; et I ce ruieî. ,
Linn•S,et nprèa lui Fubrininx et anni M. W¤Ink aer(¤>e dsuier upplique cette observation X I'hu¤nlm·) font eetle réllexion: ln couleur de In uuaue du antennes dan: lu Nécmplnoree ne variernibzlle pu mivnnt len sexes? Si pureille chose ne fut rencontrée, ou u`eul pu manqué de ln noter, Ln petiteue nrvlinnire de Pinceau u uuürait pu pour en frire nnz espèce , car on rencontre du Ven. pilln muni petits que le Hnrluorum, et ce dernier purvienl quelqnefoia X ln Iaille ordinaire du Vespillo, et pui: , il ul. rure de rencnntrer ensemble lu deux espèces, Toux les nuteun, dont la synoniunle ut en MIA de ln description du Veupilln, ont confondu le mortuornm avec le Veupillo, i l‘ex¤e·pü.nn des auteur: cida en tête de ln clucriptinn du mnrknnrnm. N*. 5, NECROPHDBUS GE BMANICUS. Liuné kyo!. mt. 2. 569. 1, Silp. Germnnicv-Dnvilleru, p.73 n' 1. Lennin-.·-Fnlvr. Syn. Eleut. 1, 333-1,Sy¤!. eut, 1,2À'I,1.—Geol¥,1,98,2, Legr¤n¤lDermc¤te nnir.—Dég4er 0, 173, Z, pl. 6, Eg. À, le gnml bouclier noir. —Oliv. I. 2. n* 10.pI. 1** Eg. 2,a. ln. llîcrop. Germnnicu1;cl|cL Dé· len. tom. 15, pag. A99; eneycl, méth. B, 155-7,lWeemp. Germanicux.-Wnlk. tom. 1** p. 101. Nccmp Germen. —P¤uz. fue. M n• 1-illig. 1. 355-2.—Bzrb¤t,col. 5 hb. Bflâg 2.-·Su.lz. im. tab. 2. 10. — Bergit. nom. 1 rnb. 10. Eg. 9. — Fonrcmy 1. 17.2. Dermesleu Cisterinmu- lhturf. 5 hb. 1.-Pny}. 1. 322, 1, — Bay 107, 1.- Sehzï icon. 218 li;. 1** · Voët Scam. tom. .10 f. A el 5 pollinctnr niger.-Ald.rnv.—png. ûâb lab. inferinr. lig. 1** Lyxt. .lnq,p•ge 381, Snrnlnœur ex toto niger.-—-Buiturd 287—· Mnlsant 1, 305, 2. —l.¤porle, ¤'.7. Lung, 10 ) 15 lignu, larg. A i 6 Noir luisnnt, bord extérieur des élyhu et une fiche , le plus couvent triangulaire, benucnup plus manquée que dnnetonxlen Nénmplmren, sur le front, varient du rnnx un jeune, ferrngincnx plu: ou moin: enfurné. Chrque
elyire \ troie ligne: élevées peu apparentes. La postérieures sont dentelées, enurlvéee et aeeirlenléen; le boubou une mienne: et le deeuoue des tareu mnt brune, I Fexception iles Inner anlérieurex clan! le Juwus est ' roumihwz. Toute l'Europe. Smuler cadavres des pelile si grand.: animaux, meu nre à Amiem, plus commun drm les rlmzu qui sont proches d`Ablz¢vil.le. Lister n regardé comme une variété du Vespillo eme upèce qui ut nulle qui pm-vient i la plur gnnrle hilln quniqu‘elle vnrie d‘nilleurs comme les entres. Voët, Liu1er,Ge0|l`my, Linné, Dégâer, Snlx, Berget, lhtnrf, Fnurcroy et Alrlrovnncli ont coninmlu le G¤·« manicne avec l'Bumatnr. N'. 6. NÉCKOPHOKUS BUMATOK. Fahr. eye. elent. 1. 333. 2; ent. Syut. 1. 'LA7-2. —0lîv, wm. 2, ¤• 10, pl. 1** li;. *2, G, D. E. Nierap. inhumenr; dict. delerv. mm. 15, p. MQ id,eucy«:l¤p. méllr. 8. 155. BNecmp. inImmenr(huma\,or).-Walcln. 1,1U*l—·Schœlî. imm. pl. Sûr Hg. 1'•—Pan¤. fue. &1n· 2. —Herl»!. enl. 5 hb. 565. 5.—ll.I.ig. col. bar. 1, 352, 1.-Faykr 1, 323, 1,B.- Goëm Beytr. page 190, n' 2, Silp. Humator.— Glecliucln ebhan, 11,p¤ge HA, u• 2. hum. 1" Eg. B. - Boinrwl 281.-Import. u' 8. —K¤y, page 101 ¤·Z Aurel:. mt. clavatin clnvix in mnulns xliviaîe, ete. Long. 11 lign. larg. A llü. Semblable au Gzrmenicm, mai: une fui: plm petit et entierement mir, lee élytru préeenlent tmielignee Jlevéee longitudinale:. Le boulou dumtennu et le dumun den tune: enntrwuukru vnrimt. juxqdnu muge brun. Le (run! ellulmrcle des élytrm ne mn!. pas coloré: numme dam le Germanicue, mais tout nnin; il y a muvent exception pour la lâche frontale; les jambes pudérieures sont plus uniu que dm: le üermmicue, elle: ne mnt pu rleukléee ni wcidenléu.
On le trouve partout lo nord de l‘Europ¤ et même aprèslhris, nrnisil y extr-are, Paykull regarda l`Hnmator· comme une variété du Germanicua: vette opinion semble user plausible au premier abord, en effet, le germanium et l’humator· se trouvent quelqueloia ensemble, q¤oiqu'on nit dit que leur rencontre fut tr·èa«nre; et puia dans la Germani- ena lu bordure rouge du élytres r`embrunit quelque— fois jusqu'} presque disparaître . et fai trouvé du lrumator qui avaient ler rudimem de cette bordure rouge, e'est—h-dire, qu’ilr reuemblent au Germcrnicus dont la ligne eat presque nulle. Même analogie dan: la " tiehe frontale existant dans lea deux espèces et qui dans certains des Germanieua ayant la bordure dcr nflytrca très-marquée est pr-eaqn’un point aussi fin qu’une piqure d`aiguiIle, et cher d'uutr—er ayant la bordure des élytrer presque nulle eat trèvlarge et bien apparenter La diEe· rence dea accidens der jambes postérieures semble venir prêter une nouvelle force À cette opinion, On nait que plus la taille diminue, plut ou dentelure! et uwidenl doivent devenir insensibles, comme cela a lieu, por exemple, elree le lucanus eervua et aa variété de Iuille capreolur, ainri que je l‘ai démontré dans une nota: rur- la réduction de quelque: espèce: dam certains genru d’insec\¤. (Echo du monde imm, ¤· sm; ). Cependant il nxirln une dillérence fort marquée qui, ·ju1qu‘i ce qu‘un ait pu l`expliq¤er d‘n¤e manière satin ùiraute, fera mnjoun séparer cer insneta. Cest la dif- féreuoc de couleur du boutons du antenne: et du demons des tnrsos dans le Germanieus et l‘Humator. M. ldulrant dit que cette erpecc a trois ligues longitu- dinales peu élevéuet. que le Germanicus n`en a que deux, je n’ai rien trouvé de semblabler ber lignes sont en même nombre sur len deux especes, seulement comme ou le voit dans l‘Encyclapédi¤ ruétlrodique, ellu sont un peu plu marquées ici que dans le Germanicns. Olin dam
— G7 - PEM. méd:. dit ennui que IAIAM ut nn: llche, il ne trompe , cnr fai Lvnnvé dans tour lu llécroplrnrer celle lâche frontale mais plus un muim marquée. lr’l·lnnrelm- fuit ln transition enue lee entree N6u·«> phare: et les Necrvdzu TROISIÈME GENRE NECRUDES (Wruxu). Les Nàrodes, dérnembrù des Silpln per Willin , qui leur e impose leur nom, ont cependant lee mêmes mœurs. Du peut voir dnur le précis rniunt de: eancwèrex du genre quelle: dillérencen les en ont fait réparer. Les rnnennee de même forme que eellen du Silpbe on! cinq article: L la marre , undir que celle: de ee: der-« nier: n'eu ont que quatre. Les pulpe: peu nillznr ont le dernier article urne; court cylindrique , ceux du Silplm sont lîliforme: et inégaux.-]; tète. er!. décon- verle , lu Silplre l‘onI cachée nous le oorselet et rétreein en arrière. —-I4 conelet ext orbicuhire, dans les Silplru il m en écunou Acluncré nubériennruent ou non. — Les élyirec sont plane: au lien d`étre plut on moine convcxu, elles mnt presque urréer en lieu d`Ltre armndiu, elles sont un pen élargies en arrière en lien d'être retrécies. -··L’ubd¤meu déborde presque Ioujuurs ler élytren plu: que dans tous le: Silphu.-Ler pattes sont grandu, le: Silphx le: ont courte: et fortu proporiinnuellemerrt. Drân, les eninee podlerienrex sont renûéea den: le mlle avec nn nîllen eonrt, derrtelé sur lue deux bords pour rmevoir le lave rleojrmhu quiront arquée: drm le même sexe. Les ternes ne dilîërent pu danr les deux genres. Le: reuleu espèce: connues ront: 1*. Liztor-rlin. !•. Orienlulir de Haan. hu, déerit prr rpirrolu nous .. la nom de Silpbe Bifueîula et parVigo¤, Zoolog. journal, mue le nom d’0s•:nl¤ur. 3-. Snriueruerrris Fab. Amér. dn nonl,d‘npr·èe M. le oom\e Deleau, et du end d‘aprèr M. hporte.
Le. Bnsiliensis. Dzj. Hreril. (Ted. le même individu que l‘Annlis de Klug, trouvé à Mexico; et le Mnrginslis de Mnnnern irnnvé nn Brésil n‘en esi qu'nn¤ variété. 5'. Bnnnriensis Klng. Bnenns·Ayresa été indiqué par le mmle Dejenn dans le uulague , nous le nom de Colluris. Non. Les Gnyeunemis Dej. lncrimnsa De]. notés par Dejean mmme Nmrndes, sont du Silpha au dim de MM. Laporte de Castelnau , Lune, Blandnrl el de quel- Ls France ne renferme que Yupèce suivante: NÉCKGDES Ll'l'l`URALlS. Willln,Necrnd· lill.-·Liun,syx|.. nal. 2.574)-l1ekFsuu. succ. A50. Silpluliimrulix ex380 ussirls ¤¢n?—De·vllIe¤, pige 76 n' 8 (des rivages).-Feb. syn. eleul. 1. 336, 2 et sys. ent. 1. ZM!-Z, - Geoül 1, 120-3 le bouclier i bosse:. — Dégéer &«17û-3. Le bouclier i boulons roux. .- Lulr. 9-256l 1. bouclier litmrsl.-Olîv. wml 2 u· 11, pl. 1" Eg : 8 A, B.--Dick. Delerv. mme.? p¤g.À1§. - Gué- rin, iuon, im, pl. 17 Eg. 1EL—Wa1cl.i 1. 103-1 Silpha rîvemil. - Laporte 2-34 .-·-llaîlard 1-QM-1. —Mnlsnnt 1. 303·1.—Frisch 5-1Z-6 Seanb. numpeslrix ele.-lllig. col. hun, 1. 352. 3. -«Voë!. col. hh.32 Eg. 1". Panmfesc. 44), tab. 15. -Snlz. hist. im. hom. 2 Eg. 1A.—S¤l¤nw;h éuum. ins. sust. 75. Silpln lltlnnlis, »- Snopoli carn. 55 Silp. Iltt.—Déi.cst.(m£le), Nécmdes litlorelis. (femelle), simpIicipe¤.—F¤ur•:r0y. 1. 30-3 PdLisgihbo¤,—I.•icharI 1-90-2. Silp. litt.- Bex-gxlr nom. 1. Z1. B. hh. 3, lig. 6, hb. 11, li;. 3. Long. environ 2 Iig: larg. G. . Noir nllongéz lu muse des antennes en fauve dsm lex train derniers articles; les élylns nn! trois lignes élevéu et une gllxhnxité transversale vers les dcnx tiers cnh·e la 2***. eI.lu 3**. ligue. Ifnlulomen déborde ¢l'nn hou tien les élylres, surtout dans les femelles, les luucl1esposté—· rieures ont deux denls; cuisses postérieures des miles plus grosses que celles du femelles. Sa larve est ovule,
:- AD :· larune nl. tri-:-vornco. Ane: uoumnuu niulwiwuk 1`E\¤'¤*pz ùnl lex elmmgnea. La diiîérence qui existe cnma le nulle et le femelle mue le rnppurt de lu gmsœur de; ouiuen et du dents, dont les mile: les ont armées, u donné lieu ii des erreur:. Ainsi leSylphn elnvipu Suit. hist. ins. tab. 2, 6;, lb, que Fnlaricîui regarde eonime une variété du Silpln littoralix. en est le mà¤\e, Le Necrodus ainiplicipei du catalog. de M. le G". Dejcan, ne serait, t\‘n;-ue; l'imli· viilu qui ni’n été donne pour tel et qui venait ile ln enl- le•:tion_de M. Buquet de Pm-is, qifunn femelle uuu petite du même insente. . Vuiiité Liviilux. (Bet insecte ut plus petit que la littnmiin; il perte le plus ordinairement 6 lignes de lung sur 2 llï de large, nt laseulu rlilierence entre eux, apte; la Laiilc qui varie tuuinnis, c’est que lu antennes du Liviilua sont t\'uu noir livide, ainsi que lu pnties et le rute du corps. Olivier, dit,que lu anteuuessnnt «1`nn fermginnux pile; elles sont muiràtrux nur les individus que fai vus. Un ' cependant, qui les nvnit noiiàti-ca comme lex autrea, nynnt ÀIA trempé dun: l'erprit ile vin , ellu se ruppmnliêmnt plu: de ln muleui- de celles du littomlia , ce qui pourrait him iuppnur que cette ennlenr amine était duc à un mrpa étranger, pzunètre ii un pollim végdtul. Illi· gar, Puykuil et Walnkenaer le regnrilent nm raison , nomme une rurieté du Littnralix. D`antr¢.i en tout una espèce diatiumu. Cu mnt Olîv. im. tam. 2, p. M, n•. 7. pi. 1**. iig. B. Silpha Iirii14.—·· Latr. png, 'thü, tom, 9, Bounlier livide.—Lap¤rte, n'. 3,—Fu¢sl. nmhiv. mleopt. page BA, n'. 40. Silphn liritla. Les autres anteun qui en nntpnrle, sont Degeer A-176 À. - Herbe!. enl. ti. i7lt»3, mn. 50, ii;. D. Cet inaecte, fuxquïdora, n’uvnit été trouvé qu’en Ailn· uugne; Heat ile là, du moins, qu`i| nom venait. Il a ne pendant été trwvé près r1`Amieua; un eutomoplnle digue •it.l'nî, I!. Iluiuxiixi, mc i`u asuné, et E ne suietju fewi 4
cette observation que eeruins insectes, long·temp• consi. deré: comme propres i l‘Allenrague et même 1 La Suède, ont cependant été Lrouvù dans le nord de ls Frsnoe. IV, GENRE, — SILPKA (Lsnrrh). Les Sylpha, insectes de moyenne tsille aux couleurs généralement sombres, répandsnt par ls bouche et l‘anu.r une liqueur noirâzre et fétide, doivent leur dénonrinzu tion L Liuné, qui lui—rneme emprunts ce nain \ Arixtnle. _ Le nntnnliste grec le donnait, lui, I du iuseclés qu'on pense d`nn ordre dilïérvnt; en eîet, il ne psrle qu'uue fois et très-vsguemeut (puisque c'zst pour dire qn’il est du nombre ds ceux qui nhsngml de peau), d'uu insecte qn’il nomme Silpha (mïçnzlet q·u’ou soupçonne ëtrelx blstle. Ce que Linne sppe rilphs, Geolroy Pappels bouclier, en lstin psllù , L cause de Ln forme de lenr wnelet. in dénomination de Silpln etant plus générale- ment sdoptéeje lui donnerai la préférence et lsisœrsi ' mbsiner Ie nom lutin nlntûr que de le traduire en em. suis, nomme l’a fruit M. Wslekeuaer (Silpha;ee mot silplze exprime d’sil.leurr, dans notre langue, une clwee toule opposée i l’idée que le nom de Finsecte doit rappeler), ou de lui donner le nom de Bouclier , nomme Olivier et Lntrdlle, avec d'¤ut·ant. plus de raison que peltis forme un genre dû i lliiger, qu'on ne nnrsit induire slursssns enr.broui.ller la vyounimie. (lee iuseetes, ainsi que Is plupart des autres Nécro- phager, ont été destinés per Is nature L purger la terre du cadavres et der immondices iufeetersieut l’sir et le rzndnient nuisible à la ante. Aussi leslieux qu’il¢ recherchent sont des endroits sombru et retirés, qui recèlent des mdavres ou du exerémens d'snimaux eten générsl toute sorte de puuefactinn. Cependuntlenr nourriture n’e¢t pas ri restreinte; sinsi quelques espèeex rfsttenxlent pas ls num. et ls décompo- sition des sniuursx; les uns paraissent vivre de chenilles,
telle ent lr A-Punelrh , qui fuit. une guerre d'eurbur¢•de R oelien que i'on trouve sur lu ehenu; un lr voit. rou- vent, der Le prenriere apparition der feuilles de cet arbre, mur-ir rprù m proie. lïnutree , selon le témoignage de Lrtreille, grimpeut sur les plrutee, sur les graminées sur- tout., et y font la guerre aux Irelix qui nous sont si nuisi- bles et se repninent. de leurehair malgré Fenveloppe pier- reuee qui les protège; prrfoir rursi on en rencontre qui se eontentent de pourriture végémle; d`rutrer enün vivent rux dépens des carabes, des lombriu, des limrçonr, du bannetour et d'uut.r¤r upèoex v.l‘insee\u ou dr. petits mi- Leur- nourriture lrebituelle infoete communique uux Silpln nue odeur fetide x Olivier prétend que les in— dividru qui ne font. que de naitre et qui n'nnt encore prir aucnn rliurent, u'ouI. point cette odeur qui réride prin- , cipalement dans une liqueur noirâtre qu'iI.s réprndeut par Ln bouche et l’snu.r qurnd ou lei prend; ce n’ert pu, di! Latreille, pur nn etïet de la pression qu‘il1 rejettent. cette humeur , puisque selon Olivier , i mesure qu’0u Yesxuie, die repnrnît aussitôt, jusqu') ne que In roume en lait épuirée; elle leur r été donnée pour rrrnollir les matières dont ils re unurrisent et en lilter la corruption, peut—é¢re bien même pour ne défendre. Le- mem. nam. ler meme rumeur, mr ne page du larves. Noires, «.\’u.u oorpr plur ou moins rllonge dans ln diféreules upèoer, rpplrti, composé de I2 rnneanx terminés latéralement pu- un angle me: rigu, et dont. le dernier er! garni de deux appendice: onniquu, elles out six puma: www composées de trois pièce: seulement: is dernière, reufernirut ine tuner, er! terminée prr un seul eroelret; leur tête est petite et rrmée de deux foutu maehnirns, Elles ont du rutennes liliformer un peu plus lnngnes que lu mrclmoirei, et composée: seulement de truix nrliclu. Elie: nourent. avec vitesse et se procurent rinsi de nouveaux dimeur lorsque le lieu où elles sont
\ — 51 _ nwmuuhuémcul ne Inu: un ufr; plu. Ella nu mAhmnr- placent en nymphe: dun; ln tzma; puis, (Alma dans ll vin l'in•ee\¢ pi-fait. Lei Silphn ont été dïborrl confondus avec lei Cnnidu, lœ Elvphoru, Spheridia, Idcmplmra, Uputns et l\i!idu— les, lala lu him Linué. Fnbricinm lu démerubrx end gen- ru, dhyrù len nrgnnu dela mmduulion. Cesgem-en sont ueuxdnx Iïécruplmrex, Eloplmrei Openre, Iitiduln, nu:. Illigzr; séparé, de œqui r¢1!zil,’quclqnu upècu dun! il n formé Iz genie Pelün que Fnlwiuiun n idnpté,«l qui un distingue du Silpln par la [orme de la languette qui ut dilatén et bilidz slam ceux—ci, tandis quklle nd lmn- ' quén nt dliéu dun ls: pzltin. Wîllniul u plus raireim en- wu ce genre, ¢n un séparnul. plusieur: individu: dnul il 1 fait la genre Nécrodu Euliu Lewh 1 hit quatre gnnmndn cn q·ui reshi! nlun de Silpln. En voici l'¤n¤ly»¢ : i EI·'«a»»««m» *···ru=¤•—+ 3¤·_,,·;;,*3;,···‘· ..'â?... ·.L'î.. . _,_ mam "j Ln rmuw. g-. n·»»,a«»· ‘;':"", ‘ É §.·:*··“"·* '...ÈÈ É ïsnnmit ` A·p¤··în. jl nI¤¢• cnlhu. . . `•. Eüapuiu hpuqin. pntuilée, ml: Guutlu mu- ku; _ É 2:-si sua wauspwù Ernua u·ama¤<•m·¤s , - """"' prelquc glnhulun. . . . p. Plmpnugu. [M-|\|l·
·• 5} -— htmilia, et d'uuIr•s us!¤n.lis1¢¤, en nm contustâ de divin: ln geuru silpha su deux uvünuuz ' 'Zâ£'J.‘à,. ïïû » mmm- A- smxn: '!"“:_ ‘E§:Q'§ ·«·=·=·- Éfï w.....»i.. ùndet rrtieslsn psmrlsrs. .·,....:j;g,;;, 5*-··-,,,,_ =~· lîsns un précédent mémoire adre é i Pacndémie d‘A- misur, j'si divisé lnsllénrnphagex en deux grouper: nécro- plmritex et rilphalitex; de plunj'nvni.r divisé le genre Silpln en plusieurs eousgenren, auxquels ]'avui¤ appliqué du dlrromirmtione. Je n’ni paint parlé de ee trurail qui ue punit être utile qn'en rassemblant toutes lu espèce: eunnuea, et aujourdhui je me lwrne à partager ce gnnn ·~ six divisions, mais seulement wmmn auxiliuiru ds clareilimtiou, et pourridurila détermination des cnpèœ. Je dnnueni, en tète du division: , lu csrsctèru de ch¤· mue. Je fersi seulement ohierver, qusnt L la vsleur du mnctèree que i’iudiq·ue, que ches lu peltis lu seule fxmue du ls languette a snili puur former un genre slirtiuct dns Silpha. l/ensemble du genre ne caractérise de ls manière minute : eurp• déprimé plus ou mains , suivant les upèces; -t6t¤¤rrr6a inclinée, eunhée sont le conelet, Mrécie en srrière; — sritennex en massue perfoliée la plus urdirnirement de La longueur du cnrsalet, unm- ponéenxle euse nrüclu, dan! lu quatre derniers farmeutlu msasne, excepté dans le S, AInta,oir il u ’y en s quetrnis;·- plpu âlifnrmes iuéguux; — msndilrules wurtes, fortes, rignë1;—- norselel. gnnd, dilaté, presque smsi large que luélytru, srrondi latéralement et coupé plus ou moine nnémeut en arrière, truuqué, &hancré au entier pur. devint ; — élytru nbnrdéex eu gouttiàreg -— abdomen rétréci en pointe i nu extrémité, surtout dsmla ferunlluî
-— BA .. —patI.u connes et fnriea; -tai-ana Eliformu de eing articlu, dont lea quatres prnnim , pour lu hi-sea ant$ rienis, sont dilatée; dans les mâles, La réprngnnnce qn'on épronve généralement pour les matières où vivent ou inaeetu, a été name que le nombre du individna de ce genre, quoique wu grand , ne l'¤t pax antant qu‘il devrait Fétré; elle limite oéux oonnna aux py. nmpena ae riamp et du Emtunia. En voici la catalogue 2 1 Lœvigahv 2 Diapar. 3 Atrata. Ã Ubsunra. 5 Carineh. U Gnnnlala. 1 Kngom. 8 Hirpanioa, Dej. esp. etlr, mérid? 9 Pnnctata, Dlivl, eapde Bonne ùpén 10 Opnca. H Bnliculata. I2 Tomentoaa, 43 Iïninoatata. M Peuforala, Gebler, Sihéria. J5 Orienulix, Grèce. M Cnyennenaia, Lapnrt: Cayenn. Bangë par Dej. parmi lu nécmdu, et par Laporu parmi let silpha. 17 Linnawcollia, Laport: Chili. ` IB ligrita. 19 Crihrah, Fnldermnn, Bu. Mérid. ' 20 Alpina, Bonzlli, Sniaue et Italie. 24 Montana, Findel, Hongriz. 22 Oblongn, Dahl, Hongrie. C‘¢1tlc mémo que I'a\p¤\.ria de Frivaldjnky, ll! Angnsta!a,De]. Tcnzrille. ZA Tetraapîlola, Hop., Trans. aool. Népani. 25 Qnadx-i·pnnctaLa.
il Hmuh. 17 Subdnuh, : Anlrîdn. 25 Cymu, Slnrrn., mpdn Bonn (Tnt le minus de Fuhridns N_l¤tiI1h,I1Iig.,¤pd¤ Bmma Euptr. Cut la de ll. hs oornle 4 30 Chloroyisn, Lnpmûe, mn, mc. mt, nochînch. Il Gzrurîu , ùchœh, Cnlifnmia. 32 (hlîfnrnin, id. id. 13 Lurymon, Schreiber, Linn. Inns. nam. Hall. A M nngë, pu la comm Dcjun , puznî lu nécnrlu, ai pu- MM. hporia at Schreiber, pnrmi lu Sîlphn. il Silm-im, Pnchsch. Siherie, (Yet! l’h:m¤nnîdnli1dn Pnrrnyu. lun. liérid. 35 hponiu, Fu.hr,, Herhnt. Laponie. Ucsth nmhh du Sny, du l’Am6r. dn Noni. 36 Amzricmn, Fnbr., Amér. dn Noni 3'I Tnberculnh, Ds]., Eqxgnn. 38 Mnrginnlin, Fnhr., Amériq, du Nord. SB lnœqmlis, Pnhr. id. id. II] Thancicn. H Gnnigsrn, (lhuvmlnl., Maxim. ' 0nn'ntrvnv(j1uqu'i prëxnt, en Fnnm, qneluupèuu üécritu cïnprù, si dant unil immddhluuent la hblnn ·r¤~1>*·î~1¤¤·
Mx- »· . ....».« .,.4.. ·.ë·«·..i.. ç N (:,z_':‘:l:É··_···rL«. .,,... ·.si.....«.s. È ·· ¤“*‘·*l .'É"! T"."’ 'î"`É .> , È ( ___‘_ L- ·g;.... »,··&;.,h,i·.`.4.L«A 4..;;.;. "CZ3IT"" p M ·»« I:·à:«me~·;·s-raerw iii; i É ~.:-.::;E2;:,m.~.<;··v·‘-,·‘··*é—*-,·+·+¥î-r~*·ê ZÈÃM., aig\îg§;2!Z::}§ïî;‘î.ïÉ".;"'·.'J;;·»;.'..;«;»s.' J J J J îâîîâg \ __ __ld_T§$ f§.... .3,.«...."’“‘£, J.... .. .,..,. ·«,«m..··.a,··· ···. , . .""'T‘T"',"È°"”TT’Z .«.S;l.'È;ÉÃ"' 9 aucun. psllnneut. ..,. . . . · ua, nmn. lmsir lîïlhnl, edles et gîhbuize uuu Tahleaulll. laure, · . . . . .... uanmxaouan ·,,,,,,,,, ,v_ mt (.,.«.¤·i»·.. ·...s¤.·,. _. · N. mam. laine « pme mmnue. . vn. mm, Iaüve, ublea et gihbmité pu Ewi- !'•. Duvmnx. Tête curé: ; —autemi¢x de la lungueur du corœlnt, .dant les articles sont trèwerrés, globulenpovnïdes, le premier lang, les deuxième plus mur! que le troisième, lenqustre autres égaux ct plu; couru que le deuxième ; _ massue de quatre arliclu, formée tout d’¤u coup d'ar.
linlesqui puniseul tnxmusuux à l’œil nu; ·· mxvudîhnlu nmurlen l pointu mousses, les deme iùluiheu i l`ét¤t de |.uhercu1e;——lmg¤•tIe lrèushagrinée nr lu côih supé- rienn; -meulau hùlargz, eiuné, nues line, nùynntqun qmlquupainu eu1'n¤cé¤;- pièœhuilaiœ use: line. bien sépude puunn ligne enfermée de hpièee pvéluileire quündenesliue, eu·0it2,c¤nrtn, pruquemnéaç-aw. ulet rynul. le devant fortement édanncré, débmdent de luuueoup le pbilrinn qui ut fort droite;-· élytmi hi- blement siuuées dem lu l`e·m¢lleI;«¤rp¢\u褫1éprimé;·· les palm postérieurs mnt dmitea. F'. 1 SILPBA THOKACICA. . Falu-. syst. eleut. 1. 337-7 et syst. ent. 1. 250-7. - Linn. syn. m¤!.Z·571 . 13 et Fnun nuec. 452. Sllplm Kestncu? et œscida nisn. - Devlllen, le eonelet fauve. - Geotl., 1-121-6, le B i cerselek jaune. — Lan-., 9-1574, Il thon- niqne.- Oliv., ine. , wm. 'L, n'. 11 , pl. 1**., Eg. 3 AB; dial. Deterv. tem, 3, p. M5; encye. mélh., lnm. 6, page HG, n•. 6. — Svzliœlï, imm., pl.75, Eg. A. —Vnït, null., l.¤h.M, Eg. 6. -P¤nx. Feun. ine. germ. Fnc. A1, hb.1û. »—- Dégéer, A-176, pl. 6, Eg. A7, l¤B n cnnelet rouillé,- Illig., 1-362-8. —Herlm., coll. 5, hb. EU,|ig. 11.- Sulx, hb. 2, Eg. 12. —P¤yk, 1-Elâlà-10. - llnluul, 1403. ·- Bniurd , pag. 287 et pl. 70 , Eg. 1**. —- Vdel. 1403-B, nilphe Lhnneîque. —Diat. pitt., mm. 1•'., page UM.-h· pwrl«•,2·5·5. -Berp1 , 1-23-5, wm. 3, Eg. 5. —Swp¤li, care. 5l. — Strœm. ect. nid:-nn. 3, pegeâü, lmn. 6, 1**. ·· (indd. , din. 25, cnnidn nign, nlypen hlinimu, pellidn rul'o, ete, - Sehrnnd,16. - llnll. Linn. nat., d. V, p. 1I8. - Key, page 90 n'. 10, nmrnb. pfimilin, etc. -Fuun¤\1y,p•gn91, u'. 6.—Podn. mm. gna:. p.I3.— hidnrl, 1-%-5. lang. 6 i7lig., lnrgâii 1|2. loix, nvnle, déprimé , rugueux; nannlct nbdlnnx, fauve, x-neillcux, velouté, soyeux; élylmuatuluut myli,
nyunt burin liguu loogiturliiuln, ln plu: exuhitue ézvù on cirèns aigu: qui forma une deuk nu odlériulrrnu un le milieu de nn longueur; alia mnt terminée: dans lu mhlu un poinlz ubtuu à lu vuturv; dm: lufemellu dla sont Lrèolégèrsmunt ninuénc nomme dun lu mnbea. Il hxhile lu bois du l'Em·op¤, il se tmuve dam les dumguu, mai; de pr§£érc·nc¢ dam lu petit: animaux: lu uupeu, lu aînnux; il dévore lex lima: mnrbu. Du la trouve nuui dam la végétaux pourris , lu gu boleu si lu ngnrîca. Catia crpëoe ul commune. Plnniznru nyunuimies la nommant Tn¤u::¤(I..inn€}, lui, je le perm, on ln Pedemonhuu. Uiniecu qui nou.: oc- cupe unil. la Ginidn Nigrn Glyyoo Fcrrugîneo, Blytrix Line: Elevnu, Fnun. mu: , u•. 386, ai Süplu Nigrn, Elylrîn Ohncm-ix, Linea Eleuh Unia, lllypen Keium Tuhoeoçryst. n¤l.6d.it. IU, PE- MU, u'. l3· Vnriété Oollarin, Bschnclmlh n dlcrit, nouiln nom de Galltrix , une Ii- ridté houvée I Kmuhhh. 2*. Duvmou. TGI: presqu; carrée ; — nuwnuu de In longueur du ovrnuletdnntlu urticlpnonttrès-n¢r¤ù,glod¤lr¤xx uvvïduç In premier lang, le deuxième plus wurlqun le troiiiàme, lu qunln nuire: dguux et plus oourla que la deuxièmla uunue de quntre nrtinlm fnrmte hu! d'¤n coup Nin- . Euh qui pcniuentmmvuiux iI’œi1 u¤;—mmd.ibu]u wurlu L dun pntilu et \poi¤¤ indiquéu; - Imgnnwn nymt une ligue Irmxverule enfoncée de chaque ublë; — menton l;rg¢,cuur\,légèrcmen! mgulnx, légèrement pninti1.\€;— pièce: huilnire et prfhuilnîre ne pu-sinon! f¤ir• qu’uuo, converter de pointu eulonnéu et de peüb poils, oounu, élargis; -mnd¢td'upp•r¢uoe velouün, débwdml un pen In poitrine, mwquê un devint; -—
élyhu coupée: cnrremenl dam les mllee, nui: sinnéu plus on moins dans les femelles; — enrpo nue: déprimé; — les pattes pnelérienru mnt àrnilu. Le type de cette division en le Sinuala. ll'. 2. SILPHA SINUATA. Fuhr. , eyel. eleul, 1. 311-'L0 ; nynl. ent. 1.252.-1l. - Deville:-n, n•. 53, page 88, 1. Scnlzra (Ã cnnelet nlmlenx), - Geolï'. 1. 119~2, B, nnir I oui-aelel. nbotenx. — 0Iiv. ini. 2, 11, 18, 17,ub. 2, fig. 1*2. — Vnët. eull. hb. 33, âg. 2 A.- Suis, l1ii1.iux1.,•.al>. Z, Eg. 15. — Illig., cal. bor. 1. 3596. —Hex·I>x|.. cul. 5, kb. 51, lig. 7.- Payk. Yann. mec. 1-332-8. —S¤hœl. imm. im, lnlz. 93, Iig. A. —Lapm·te, 2%, 17;-dict. pitt., wm. 1**, png. À9ü.—Bnri- hrd,pige 288, B, ainué.-Welch, 1. 105-10,'SilpIze femmnée. Long. 5 Ã Blign¢1,Iu·g· 2 I3. Lea élylree, mns rizles par le dixpariüon dea lignu et dela giblmnilé, rusemlzlant nn pen L nellu dn llécrodoa lillnrnlix; la tête et le conelet, les elytrea, pur lena- forme, mn! sunblnbleel nelle: dn Kmgnsa; il en plus illnngü; l femelle: ont les élytxu prolongée: ven le rntnrn en une écluncrun mu forte; le mile n’n pas les âlytree uppendiunléee. Luce cammnn par tonte l’Bnr¤pe, Qnerrienx, emiwnr .l‘Aniiens, eîc. ll•. 3. SILPHA DISPAB. Illig. Kiiù'. Prensa. 1. 3594. -—·l|,erl>•t., cnll. 5, png. HM, pl. 2, âg. 1*. — Lnlr, 9.15-7, B Dirparate. — I.·a· pnrlz 2. dll. Long. 5 i 5 lignes, larg. 2 I 3. Noir, yonciné, convert de ynilr jaunes inégalement repartie; élylru ninnéa E Pextrémite dune lu femellu; troie wus el une gihlwiité aux deux tien porlérienre. Allemagne et Nord dela 'Fnnce. `
htruille dit qunle oondet ul ldnncré •|. l‘¢xh·émiM du élyuu obtnxe; M. Leporle tlit. gn`il n le munie!. en- tier et lu élytxu uinueu. Lntnille n’¤¤r¤ vn qn’un mile qui n'; pu lu élytres tinuéeu; ln the nlevéc gba cu insecte: étalée, donne un cmselet lippueuee d'êt.x·e en- tier. Je pemeqdil peut n‘M.re qn'une vnrîété du Sinuntn. N'. A. SIPHA IJNIGDSTATA. Import. mn. , Soc. ent. 1—A|l|I·5; hb!. du Arlinnléu 2-61. · Long. Il 1IÀ, larg. 2 1`3dn ligne. lïoir obscur, Iris-Bnement ponctué; Mie et mule! convert; de poilu gri; et brillnm , nveu nn gnnd nombre de petit: tubemule: liner; élytxen npplxtiu presque tronquée: i l'extrémi\é avec une seuls côte élevée prèl du bord extérieur; elle se prolonge jn.qn'nux 2‘3 de l'é- lytxe un zlle forme une petite gibbonilé ; deuuun dn eorpe grinltre. Puria. M. hporme, qui l': décrit. ne l'n prix qu'une foie. Ulndiviuln sur lequel u été fuite cette ducriptiun . dei! certainement nn m1le;oumme on lc voit, il mnemhle étonnamment un Sinunh et n'en diEéi·e guère que par tu pull: gri: et nn seule oôle; ce n'¤t uuu doute qn’nnn vn- rîélé de cet insecte comme est ln variété B du Lzvîglh. N'. 5. SILPHA REIGOSA. Liun. syn!. mt. 2. 571-16; Fnnn. mec. A55, Silphn Bur som; Fnnn. mec. 1, n‘. 370, Gnnidx Ain? —l7eviLlers 1. 7B-13, la rnlmteux. - Falun xyû. elenI,, page 338, n•. 10, syn. ent. 1,251-10 —Geolf. 1. 12(N, le B. chillonné )cor1elet nlmlenx.-· hir, 9458 5, B. nbotenx.-— Dlîv. im. Iam. 1, n'. 11, pl. 2, Eg. 16; dict. Delerv. tom. 3, page M5; eneyc. méth. 5-127-11. — Vuël, coll. hb. 32, Eg. 1**. L4 Pam. Fw:. A0 , hb. 17. — I.ll.i.g. Col, hon L 358-Ã.—l·lerlm. cnl. 5, tab. 50, 12. - Payk. Penn.
— B1 .. mec. 1. $328r -W¤lck. 1403-.1 , Silplxe ridée. —- Ln- porte 25-14. — Dégéer A-1524. B rn.boteux· —-Boitird, p•ge288. —Mulunt,tom. 1%, page BOL- Soap. cam. 59. —Bay ine. 90,sux-nb. Niger inter eadevere frequem, ele. — Sehnuck 75. — Bergit. nomenc. 1-23-À, wm, A, Eg. h. —Lnicher\. 1-99-1L-·l·`ued, irclaiv. ooleop. 33. —F~1uri:roy i-304. Long, 5 lig. A 5 M2, Ing. 2l 2 1]1. D‘un noir ¤le;co¤-nelet relxotcux uinuépoehérienrvment, eynnt der pointe eleve: d'nn¢ oonleur pine noire que le rente dn oorpe; lefond en en noir cendré et ioyenx, le the e un leger duvet ronuûire; il ressemble en Sinuah, mei: Puhémite dr.: elytrei en benuoonp moins dunes chu les (cruelles, el. lenr disque, done lu deux run , n de petite: rides tnnrverenlu. Sa lnrve ut oblangue, tente noire, une une petite tête. Lues commun per voute l’Eumpe, dem lee cadavre. , Linné dit qu’il dévore le poison den: lu insee du Lapono, bois de Querrieux, cl1nmpe,ete, Dégéer le place entre lu Silplm et lee Tenelxrio, .\-Mn prétendu, et L oe rujet Deviiicn dit qu’il ne conçoit pu le rapport du S. Bugosu de Linué evee le Teuehrie Bugou de Dégéera L mon nvir eertniun nulenrn ont eonfondu l’0pnn·um Sebulnmm avec le Silphn Bugnon. Voili um doute Yerreur; Devillern d’nil.le¤¤1 n prin le 'hnebrio Kugou de Dégéer pour son Isoudier rabotm. 3*. Dxvnwr. Tete large; —m|»euneA de lx longueur du cornelet dont leu qmtre premiere artielu diminuent chacun de lon— gueux; lu troie entres plus couru que les préeédents mais égiux en•r‘enx, lei articles sont serrés; massue formée tout d'un coup d'artielex qui pnnimnt transversaux A l’neil nu et dont le dernier est ovaide; les trois autre; noniqner mais le premier de ceuxei , dut-à-dire celui qui wmnmœ ne mmue, en ..1... p.m.-E1yue.p1·..
- 61 ~— . ou moin: nvulea; - coreelet débordant lu poitrine qui ne réuécit ccnoitlérulaleme nt i sa partie postérieure et. tron- qné antérieurement. — Patte: putkérieurea arquéu; — corp: nu pen déprimé. N'. 6, SILPHA TOMENTOSA. Payk. Tom ·« t»o¤.——l)cville¤ ln veine.--Dégéer B velu. -Lat. 9—159·&.—Gyl]. 1. 168-7.-Buihrcl, page 288. .. hport. i·$10. Long. A I 5 lignes, larg. 2 \ 3. Au premier mup-d‘œil il miaernble au Sinneh, il net hrun ohmnr au deman, noir en deuone, de longs poils ronuitreuh lu téte, ooraelnt borselé et convert de petit.: poile gri: doré: et munlaén, élytrex ayant lu mêmes poile moine rerrér, et trois lignesdont Fextérieure erten mrèue avec une gihbuité unx deux tien; lu ligne mitoyenne . eat moins marquée excepté au milieu; lu lig-nu na vont ' pax jmqu') l`extrémit6 de l'ély|.r¤; pntu poatérienuu légèrement nrquéea, Cel. insecte , rare i Parix, 1 été trouvé plusieur! foin dun: les dune: proche: ¢l'A.hbeville, ju l'ai pria en marais de Iiemncourt. Latreille dit au mie! du Tomantoaaz « i en juger per lu xynonimie, il punit qu‘l|liger prand cette espèce pour le B. opaque de Linné. Nompensniu avec Puikull, qu‘ell¤ en ut dietiuguée. · ll y n eliectivemenl entxe ces denx inrectes une grande rusemblnnce, et je croix que l’0pa¤u nhl qn‘nne variété dans le genre de celle Pedernautauu. N'. ’l. SILPHA OPACA. Linu. ryat. uat.2-571-15. Faun. Suu, àEl.—Deviller¤, 78-12. l`Upaque.— Falar., iyat, eleut., page M1. n*·. 19, et iyst..eut.. 1452-17.—Ge0B'., page 110, u·. 1, le H noir i wiaelet nhoteux. — Lutr., 9-160-11. - Oliv. encyc. méth., 5-129-18. —- lllig. cul. lwr. 1-360-7. —l:lei-lut. col. 5, Lab. 51 li;. 16.-Puy}. F¤un.Suu:, 1-336-12· Ta-
-4 53 .. menton.-ScluzlI`, icon. pl. 93, fig. A"-Wnlclx., 1-105-9. Silphe 0paquu.—·'Builaid, page 238 et 289.- Mull. Zonl. dan. prod. 63—585.—Scl.1raun\, 79.-Lnielurl. 1-100-12. —F0ur¤·oy, 1-31-5. Long. 5 i E Iiguu, larg. 2 âyâi 3. Brun, finement ponctué, têle poiutillée, couverte rl’¤u rlnvetjaunilxe, oorœlet ¢l’un brun unir au milieu avec lu bords muvant d‘un brun plug clair, lea llytrei brunu ont trois lignes ëlevéev dont Yextérieure est la plutcuurte et une gibbnaité. (lei lignu ne vont pu ju:q·u`a¤ lxout de l'£lytre; il ressemble une: au Sinuala etplm emma au Iomentun dont il me parait une variete. Cet iuncte propre nu nord de lu France se tmuve dam ler poiuom gtléaet dam Iesdunea du com dela Pioaniiu. M. Dujardin l'u prin au mani: de Kivery près d’Amiem, dam une coquille (amwlonte) en décumpoiition. Devillen fait cette observation que ui Linné ni Falrrieiux ne ripper- . tzntcet imecle un u'. 2 de Geotïroy; cette rynouimie n’ext q·u'iudiquee dune Selminek. Catnl. desinnee. d‘Aul.riuhe, puin il dilïérencie ma Sîlpha nvee le Kngon. Cependant, je cmi: qu'il ne trompe et que le n°. 2 de Geotïroy doit ùpptiquer au Sinnitu. Je luisxe toutefois, cette iynnminie. Ln description cl’0livier ùpplique plutôt nu Tomenlnn qn’i l'0pnu. N'. 5. SILPHA QUADRK-PUNCTATA. Lion. ayrt. nat. 2-571-1Ã; Fnun. Suec. &53.—Fxbr. nyul. eleut. Page, 3M et M2, n•. 21, et syst. eut. 1-253- 17.-Geoffroy, u·. 7, pl. 2, (ig. 1*. pige 122, le B. faune I lâehen noires.-0liv.in1.lom. 2, n'. 11, pl. 1". lig. 7, A, B; rlict. Delerv. tam. 3, page M5; eunyclop. metli, . 513(|~20.-Lnt..9-160-10, le B. A-poucl.¤é,—ll|ig. (lol. lmr, 1-353-9.-—Pan: Pm:. M), tab. 1S.—l·lerlut. col. 5, pl. 51, Eg. 8. ·-Voël., coll. tab. M, fig. 5. - Dégéer, in;. I-181-6 , le B. I quatre points noir:. - Boitard , 285. —— lulu., lmu. 1*. pige 304; —dieL pitt. lnm. 1".p¤g. MM,
¤ M - pl. 7A, ut 8. — laporle, 2-U-15.--PeL gu. lons. I2, Eg.1.— Schreiber, ins. 'L, fig. 5; Süplsa ni-Puneiutu Ni. gm Elylris Pnllizlis, mn —Lepeeh, Silp. itin. 1-201, · lab. 105, fig. li. — Lnichart. i—9?»d. Long. 6 I 7 Iig., hr;. 3. loir, ovale déprimé; disque du nnrselet, écusson, tAte, antennes nt pattes noirs. Bordsdu uorseletut e'lyiras d’s»n jaune pile; A gms points noirs disposés en une sur ls; élyirnq l'écuuon at noir, sinsique leshnrdsdesdlytresqui lui sont eontigux. Troie côtes peu distinctes, nmoumies , l‘¤x•ei-ieure plu: marquée;j.smbeslégèremeu\uqnée« dans les femelles, plus fortement dsns les malus. On le trouve par tonte l‘Em·ope, sur les ehënu, on il fuit la guerre aux ehenillas et aux Lsrvu, pi·incipale• ment i cellesde Cslusome. On l’u pris i Qunsienx et L Allonvîlle. A". Dnvmos, , Tete nuur1·¢,lsrge.- Antennes du ln longueur du c0r— aelel; les quatre premiers nnieles diminuent de longueur, les trois autres mnt plus couru que les préeéden; rusig égaux entre eux ; les articles sont purluut tres-serrés et cependant partout asexdistinets En l’œil nu ; snusxue l'nr· men d’un¤ nssuière abrupte, Le dernier article ovbïde, les troie entres coniques: le premier de cenxei, e'est—)- dim celui qui eommenee ls manne,pluspctit.—-Mundibules syunt, su côté externe, deux petites dents psrallèlu vers Yextrlmité et une uutm plus bus ven le milieu; cette dei— niôrelarge stiorte.--Langustue poiutillée,--Montana pour- tour sngulenx, court, élngi, nyant nn grand nomlne da peints enloneés, de chacun desquels sort un poil fauve et x-side; —ln pièce basilaixe et lu pieuse pse'bn4i1uii·e ne psrsiuent faire qu'un, eu deux pièces uses mnrtes sont euuvei-tes du petit.: points enfoncé: svec des poils fsuvu. —·1a om-ulct lronque e devant, déboule un peu I1 pui- ¤·Ã¤¤·—·Blytsu ovules, non_si¤nAs.—P¤l\M pnlérinumi
;. Q7 .:. kdb.- Corps pen xlêprimé et plntùl légënment coh- Ls typa du wm division nl l'0h•cm1. Nt D. SlLPl:l.A OBSGUBA. ` Linn. syrl. na!. 257248; Faim. mec. Ã57. -— Duilluu, D0-l5.—F¤br.ay¤t. elmt. 1-3AII-17;xys!. enwm. 1-263-l5. — Gwlroy, 4-543-I, ls B. \ huis rain: ul X corsalnl. lisan, ur. B. —-Latr. 92|ll·l2. - Ollv. im. tom. 2, n'. H, pl. 2, fig. 48; dict. Del., Iam. .1, pag. M5; tncyc. méth. 5, 129-lâ. — lllig. 1-367-M. —ll•«-bag col. 5, lab. 54, ûg. Q'. —·Voû, tab. III, Eg. 2. —- Pnyk. Fun: nu: I. 328-5. — Walck. I-10&·7 , Silpha Obscur; — din!. pitt. tom. 1*. page MR. — Mul:. , tam. l". pag. MIA. -· Bai!. 288. — Lnp, 2-5-7. —- Scnp. nan. 57, — Urldm. dits. 8, ùsairlx 0vn¤¤Ni§—a ’l`ri.l1ns Lincis, etc.-Scluranch, hum. lu. avait. 77. —-· Pod:. gr. pagu I3.- Mnll. Linn. ua!. cl. V, pag. HD. ·-— Hnppu S. (lamîoliu (lhlmaün). — Sîllhll. S. Plnctàia (AlJ¢magnn).«.Dalnl, S.S¤l¤Iin•sl·l| Lllongiit).-Banni-, S. Grannlnas |hI.ogn¤).·-Itnmih, S. Cndata (Ku:. ldrirh). —·hSd:arI. #97-D. ·— Sclmfy ‘ hb. D3, Eg. 5. Lo¤g.0Ã7lig,larg.3lIl]1. loir,¤1¤ta1ah•o¤r;!lI•)ninüll6a;¤nr¤ktb•¤n(,Gu- mega! pvlnfilléa train côha peu Alzvéuaurclnqim élytm, œllaslu millmlapluu laugh; lea inhrnllns ponctué moiua serrés que dans le mraakl; la nôtnuwériharc rawnnmiu ams gllzluulü bien nppusnte \ son extrémité'. ll rlifém de l'A¤\¤, dit un iuiuur, parue qua ss œu- lznr uni male •tq¤‘il est autrement pointillé; il Eaudnit ' jouit: q¤'ü ut mains nunnxz. lu côùu mnt mains muqnluetk e¤hnl¤tut6¤l.1am:r€e¤dnvant;¤n¤pr6— indien des autres dilîércnn-za urganîqnu. La mnzmlvlnnm $pl1·¤ frappante avec le ùuinnta. Ba‘¤se0¤pd'Dl¢sc¤raun1 nnn gibMaibép|\¤;u‘inazn¤`bIz ur In llytaea, mais q¤'on uperçnit haxiluuent salop `l’aa· ' 5
- 68 ~— pcet de l’iu|ec!e; ilr uuiuml l’Ol»cun ordinaire à la variété Tristis. Communs par toute l'Bump¤ , dans les neutien, le le lang des mules et dans les champs, llx mangent du cunbcs, des hannetnue, etc. On lu trouve quelquefuin trois ou quntre occupée à dévorer un de ces insectes; je lu nivus plusieurs foie se mmger même entre eux. Olivier dit qu'il ressemble un E. line (Silpln Lœvigatg), qu‘ilert un peu main: convexe et que ses antenne: sont de Inlnngueur de ln moitié du ccrselet, il dit encore qn'o¤ le tmuve dans lu ciurognea, je ne trouve rien de cela. D ajoute encore que cette erpèeu a été considérée pur Genlîroy comme la femelle du B. Atre(Ah1ta);i.l ut ner- t.¤in que Geulîroy en fait la vuriété B du lwnulisr line \ thai: ruiu. Vnriété A dite Pnllida. G¢|.in1u.•t»e url i l'0l>mura ne que le Pcdurnnntann 5 I l‘Atnta; lu ncul que j’¤i vuoà la couleur jsunttre ou .pal.ln•ceutA éhil dans irmelnc, a été txvnvd I Allonvills, par M. ûaudefroy. Je pouède uu Olucunquz fui pri; nu buis de Querriunx etqni fait la tnuaitiou entre celui- ci et l‘0hecur¤ ordinaire, eu ce neue qu'il ni que l'¤tr$· mile der êlytru d‘uu ienne palluscent qui s‘ols•curcit juqn'\ ruconfandm dans ln couleur propre I l'DI¤cur¤ en remontant vers ln bne. Cast une doute ausi À l'+ claim: comme pour la variété Pedemonhnn qu’i] fun! ntribuur cette variété uen ture. Vnriété B dite Triltin, ' Ditïère de l’0hscnr¤ par lu élyiren nue: brillantes, les côtes plus fnrtu at par la gibbosité assez mnrquee qui existe i Yextrénuilé de ln troisième côte élevée; le pain. tillngn des élytres est plus large et plu: erpmé. Cet in-, secte est quelquefois plus grnnd et. surtaut plu: luge que l'0bscnrs. · , ‘ (
On ne l'av¤iI. nlsservé d’abord que dam le Dauphiné, puis aux envimns de Paris. ll doi! ccpenrlanl se trouver partout avec lu Olxsenrn; je Fai prix I Amiens. lllig. -Gyll. 1-2§5·4. — hparte, 2-5-M, en [nn! une espèce I peut mm le nom de Trlrtiu. 0livier2—M-45, 1**. 6;. Len nvail fait un Atrsla, et Pnyknll un Cu-anulxtn ; je pense qu’il n‘e•! qu’nne variété de l`Obs¤nn, puisque tmnvé hm: lu puaagu de l‘un I l’au\re. M. Laporie dit que ln Gibhooiteut I peine marquée, je l’ui lxouvée hù-furie tout autant que dam le Tmenmi ezropm. Variûd C dite Mann. Ziegler a décrit, smu le aacnn de Sllpln Mann, uns vnriéié de l’0h•eux·a trouvée eu Dnluutie. l|•. 10 SLLPBA C)KlHATA· lllig. Cnrinala. — Fnlsr. syst. eleut. 1-3MI-15 ; mt. |y¤1· i·25l—H . Sîlpht Lunch. - Olivier, in!. pl. l"· lig. 2; encyc. méth. 5, HS-M, Luna!n.—Payk. l-336-li. Open. — hpone, 2-56. — Devillern, n•. lâ, Silpha Lnnan (l’échaneMe).- Liam. syn. nat. 572, nh 21; Faun. auec, n•. MS9. —llddm. Dina. 9. Lung. 1 Hg., larg. Ã. Brun noir, finement poanttuë , Mm poinlillée, ûyt¤¤ nvec trnin eôtu éleveu, Fextérieurn ncnnrcie, sans gibh0— sitéllruenahle beanm¤upIl’0h«:ur¢, maixlen ligneasunt plna saillantu et il estplua grmd,i.l ut nuni plus convexe, plu hrillnnl. , dans beaucoup d’ind.îvidns i.l y a enr ln unrselet qnntm points enfondt ditpneét en urre. On l‘a Imuve en Autriche et I Pnriv ; on la prend mx hui de Querrienx et de Boven nous la uwune, nu più;. hupn dam œrtaiuu lmzlilbi i.l ùgi! ¢l%«:n»er quelqun gms limnçous, un eetaûr quelques hnnrna npula de lu wir wuvnrh du (hrimh. ' I. laposte rsypwh unite eupke •1uP¤*uctuln|e d‘0ll-
· 70 s- vier, 2-11-13, pl. 2,5;. 19 ; je croi: qu‘il au Inmpc ot q·u‘il (iut la npporhcr i mn Lunah. Düzilleurn Io Punc- lnhui d’0l.iviu· ut du cap du Bonne-Ihpénnoe. l Variété A. ll. Mnnon rle Frrmevilie m'; fnitpurt d’une variété jnunu do cet inume. Elle ut au ùrimh oe que le Po- dainnnhnnnt \l’Ah-nn, et ln Pullieh I l’0luo¤n. Ella est nm. Y N'. 11. SILPKA GBANITLATA. Oliv. inn. tom. 2, u'. 11, pl. 2 , Hg. 10; encyc. mélli. loin. 5, p. 127, ¤•. B. -— Latr. 9-159-9, B· gr¤¤¤1£,... Boinrd, png. 288. — Laporln, Imn. 2, png. 5,n•. D. -Hei1¤t. , oull. B , pl. 129, 1**., Blah; vnriolnn.·-y Fnbr. Plztinotex vuri0lo»siu?—Swp.(hrn. n'. 53, Silplu Rugom. _ Long. 8 lig., lnrg. B 1].%. Noir, Iinement pointillé , trois lignes élevée! tux- ler élytru, l’extéi·ieur¤ élan! lu plm oourtn oi nynnfuns ïiblwxibé; deux ligne: de points cufoncén, uuu groi, rlnnc 'intenalle du ligne: et uu milieu un En poinülluçe le slilféœncient de toux les autre:. D’nl>or¢l trouvé à Gênes par lil. le wmv: Dcjean, en- miie dim le mirlide ll Frunoe at eniinl Paris , où il ut trèvnre. Un enhamnphile, M. Gibert, ¢l’Amienx, nx': montré, dans sn collectinn, un individu plu: petit que ilbrdinnire q¤‘il m`: rlit avoir prin aux environ: de nelle ville. IP. ll. SILPHA BETIUULATA. UJF;. 1-366-13.-— Film nyn. ein!. pg- M1, lg. 1,8, nuyxl. ont. 1~2îi9«16·— Devillon, 1-81-17, la r¢· Liwlém ·-Gooll 1-118-1, leB. unir K irai: riinot à conclut Lino, nr. D.-·Berl»t, rnb. 51, 6;. 5. -—P¤yk. l•3$7-Z. —-Wl¥X· hwâr I'- ¥, Silpbqmvîüuleï
-s·liet, pitt,, l, p. A95, — Boihrrl, psg.2&1I.—Lu- porte, 2-!»l3. — Uliv. encycl. suétls. 5-lill']. Long. A à 6 Iig., larg. 2\ L ll ressemble i l’0pncn, muitplus rugueux ut plus grsud; il ne diûëre de l'0b¤cun que par lx rugœité du Elytres et par sa lëtnplus large; noir, mal. rugueux; sa tête u'ast pnsèwilun, elle est pointilléc, Corselet âuemeut ponctué. lytm avec trois côtes dont deux ssillsntes, ln plus nxtérieurn encore plus snillsnle; cer eôtes s'ns-rêteut aux deux tiers et «·l’suti·e; côte: veriniculéu trnusveneut avec les intervalles ponctué: de puinb carrés; une petite gibbosité 1 l‘sxh·émité dn ls ligue extérieure, les nuté- rieures un peu sinueum. Lues commun sux envimns de Paris; il n`est pax très- nre i Aruiem; je l'si prix plusieurs foin à la vallée de Grâœs. ll u été prix use: souvent cette année (1839% sur ls mute de St.-Foscien. Dlivier dit qu'il peut bien n'êlre qu’u«e vsriété de l'0lis:un et qu’on le trnuvs dans les elmrognes. La rugosilé si peu douteuse des e'ly- trex, la lirgenr de ln tête ne me paraissent pas devoir être regardée; comme ile simple: sccizlcnn. ll pe peut Jonny uvoiraucun doute sur cette espèce; ensuite je ne l’ai jamais pris que dans les sentiers qui xéparent lu propriété snbles dans In nampagnei N'. I3. SILPHA NIGRITA. Kmutmv, snt. vers. l-1l6~B,pl· 2, (igt Il`!. — Laporte, 2-·‘}l2. Long. 6 lgà de Iig. lnrg· Il 2]3. Dilllre du Silplm Granulula pnr sn form: plus lmmlsée; Palmune de rangées de gms points enfoncis le long des côtes élevée:. ll y n une giblsosité sur ln troisième côte près de l'exlrémit»é; les élytms sont uuni mains forte- ment ponctuéos, ll ressemble nussi et plus encore au llzticulsln, il ut or<linaireru«nt plus grand et plus bombé. De la Styrie et de ln Fnnoe lrléridiauule.
— H .. le penan qn`iI peut bien n'étre qn`nne variété du Keticnlah faisant le paaaage mtra ce dernier et le Gra- nnlata, I9". Divine!. '1`lte allcngée, étroite; — antennes plus longucsqne le coraelet, lu articles partout très-distincts et pen serrés, grèlex, ayant la forme d'nn cône reuvene; leacinq premier: diminuent régulièrement de longueur, lu trola autre: sont égaux, Manue se formant tout d'un eoup de lmia articles , lea deux premiere glulzulenx , le troisième ovoïile. La massue du Silplaa ne comporte ordinairement ainsi: trois articles fauves, un de couleur plus lancée qui commence la massue et ent beaucoup plus gros que le rertexlefantenne, cet article semble le ealiee et les tmia autrea article: terminant la em-olle. lei ce alice n'estpaa dilférent de forme du reste de l'antenne, la massue ne se compose réellement que du trois urtielu termiuaux.«Mandihules ayant la pointe on première dent . longue et Kurt aigue z plus bas la deuxième dent ext forte et aeéree ; la dent du milieu ae révluita nn tuhercule. ——- Lauguette assex liaae,-Menton orrcmli, luisont,aasex lisse, n`ayant que qusiquee pointu enioncéa.-la pieu builaiae eat étroite, couverte de points enfoncé: garnis nie poilu, ellneat fortement aépanénpar une ligncde la pièce pue- laaailain qui eat allongée, aaaas liaae, ¤'ayant que quelques ' puinta eni'om:e¤.—-Le conelet déborde un peu la poitrine, Iedewantaat entier, arr¤odi.—F·lytau non sinn£u,arm¤» dies. — Jambes postérieure: droite:. — Corps convexe. N'. M. SILPHA ATBATA. Linni syst. nat. 1«571-12. - Devillm , _!-76-7 , le noirci.-Fabr. syst. dent. L330 H; uyat. ent, l-251-M. ..Geo|f. LUS-1 le B. noir i trois nieaet cunelet lime, var. L -Dliv. ina. 2-41-16-15, tuh. 1, Eg. ai; dict. Deterv. tom. 3, page M5; encycl· midi. li!2&l2. —
Snbml. icon. hl:. 03 , Eg. E. — Element. hh, M, Eg. l•. — Ddglnr, A-177-5, pl. 8, IS, le B, àpoinu wncuvu. —L¤pcrte, 7.-b2l.—di::t. pitt. tom. l". pu;. ÃM· —— Voët. hb. A, Eg. P'. -Illig. l-3ûLl|I.—P¤yl. Penn. mec, A-3BlL5. — Wild. LIMA, Silphe noir. — Soop· uro. 56. —!*`¤kl¢rmmn, im. pen. ou:. S. Nitirln. —-Sclznnnl, énum. inn. nuit, 8. —·lhy M, n'. 33. — Pod:. mue, gms:. 23. — Lnicluut, l»94»7. -Four¤my, 449-1. Long. E I 6 lig, mr environ 3 de luge. Trèvnoir, luinnl . nm-ida! Gnnnient ponctué ; élyîru une bumhénn, clugrinéu, nyont troie lignes élevée: one: uuillnnlu. Les antenne: mnt pele: , plu; longnu que le nor- uelet, plnx allongée; que dans lex autres ospèeu et lu'. rnurue qui pyruît i Latreille n’êti·e oouipouée que de ‘ trois nrtielm, l'ei·t elfectivement. Cepemlnnt Olivierpré- . tend que leo mteuncs sont presque de ln longueur rln ooraelet. Tru oomrnnn hnilantelïurope, ilse renoontre rl’or«·li· naite dans les bois. mm lee momoon, pmoque loujnull l' enterré nu pied du nrbrea et din; lu rnnrnii, Fuhriciun le dit fréquent dans lu champs et les seulieri, Dégéer et i·l'apiè¤ lui Olivier, rapportent qu’il se cache en hiver dans lu tare et mue les gmwn pierres. Lutreille et M. Boilanl disent que le oorselet est éeluncré nntkieu- rement; je l'ui toujoum vu entier. Olivier le dit coupé nrrémznt; il est nrronnli. Variété A dite Pedemanumx. Ne didère de l’Atn1n que par un oouleur d‘un brun fxuve, obscur. Lee nnlennei paraissait plnl ncvirei I leur extrémité, et un mille que le plupurt des nutenn dirent être plu: gnmle que celle de l'Ati·nIn est ¤hwln— ment ln mânie. Welch. l-lflh-5, Silplie piémonhis. —L¤p¤rt. 14-22.
— 7l ·· .·0lîv. 2-MJS , pl. 1**. Hg. 6. - Fabr. syn. eleut. - 1-33*3-13; ryst. ent. 1-253-20, pement qu'il peut bien n’être q1:‘une variété de fltratn. lu autru auteuraqui on parlent sont Devillen, pag. BB, n', Ed, Sîlpba Tcweea (le fauve). — Geol'. 1-1230, ln B. fauve. —Sel>œE icon. pL 75, fig. 6. —- Bealzat. oeil. 5-19440, tab. 5, Eg. 9. Un individu fut tmuvé en Piémont pr le docteur Allioni, delàeon nnm, Un le treuve avec le: Ati-ah et dans lu mêmes lieux. Olivier en perle comme propre L l’Angl¢m-re et comme varilté de I‘Atnta , et pui: run: la n•. 21 ildit : « Bannliu piémuu\xia.—!|eua nupçennonx que l’in:ec!e decrit par Fabiicin: n‘ut pu le même qu': décrit Gealrny, nu ila dilllranl beauenup en grandenr; le B. du mvirona de Paris n'a que irai.: lignev, eelui de Piémnnt ena 5c, »· Qnoiq·n‘il en soit, il en avéré main. tenant qu’iI.e innt tune du variété: d'Ah·ata, earje me mia umré qn‘il variait pour la taille comme l‘Atrat·a ; j’en ai vu de ti—ni:ligne.: et de six lignes, ll existe, dans la collection de M. Dupont, de Pnrix, un Perlunnntana ' d‘¤ne taille presque double ile la taille ordinaire , il ne m'a pax paru nependnnt rlepaaier 6 lignes. Au dire d’0livier, la larve trèrvornnze rend., ainai que l‘in:ee\e parfait lnnqdelle eat pi-ine, une liqueur fétide qui ntmnue rt nnn pi: nnirltre comme dinaleuutres Silplm; je n’ai pu été i portée d‘exeminri- ne fait. , A quellz uuu attribuer cette dilïérencc de eenlnnr qui, pur rlea gradetions pnaquïnsensiblu rm- un trè: grand nombre d‘imlivi:lux, remonte xlnfanve au noirde l'Atn\a. Qe n'e:t pn:au ien qn'ill'.ant la v-uppurter, ear M. Garnier, d`Amiena, a tmuvé deux noire newuplei, deux brun; un- eouplù, du noir: et dea brun: aemnpléi; ila rnêmevuun individu avec nne élytre brnne et l’antre noire. Ln uuu aenit-elle un eüet analogue nu niéleniame ou 1 l‘albi· nixme du animaux vertébrés? le ne le cmi: pes. Faut-il voir daa: en fait un résultat de l’€<:loaiou? Tout ma
— 15 ·· parie I le croire. Tai trouve nous la mouse du la ford! d'Ailly, prèa a.l'Amien•, verr le milieu de juin ISM , un use: gnurl nombre de nymphe: Ieutn hhnelios L |‘¤x- ceptinu des yeux qui Aou! noirr. (ler nyurpher exécutent de petits rautr oi par auite unannuvement do pregruuinu ) hide du aegmene de l`el¤lum »~ oo·n¤\e\û; cu segniunn ont du poile longs cilier, |Ieail>loa,,é|anîq¤ qui servent comme de rmoria X la nymphe lorsque l'iur1au! dela dernière niémnerplwae ed arrivé . on voit le c¤r•e\et.' devenir Cuve au milieu; les pointu de Yahrlomen , lu' iuinluma du jarnbene comportent de même; le rente Q hlane. lfinaecie nuuvellunent deloeextblane, eouirue In. nymphe, \l‘exoeption der pu-tice que je vien; de rléii. gner eemnn fauve: cher la nymphe, Lu Ixoir dernier: artidm des autenner sont d’un Brun»fauve , le maine ed hlnuu. — Detoutcscuuymphu, fai obtenu Lourlu pungurlepuii leblondduPedemonIarujusq¤x’auuoirdel'Ati·au,se·Innque je lupiquaia aprîeuu plua ou moins long lempr de vie ; fai fait lr même olnervation iur plmieura autres insootee , q nuhmmeui rnr la Ceiairla Equealria qui, alu Inline passe au vert, selon qu'elle est ecluee depui: un temps plur` ou moina npproclié. Plua lu Silpln vieilliauient et plua per eunréquent lenra e'lyu-er ae raûermisnient, plua ilx . hrnniuaient, h maxeue der anlennee qui ¢l'abord punie- nit plus brune, restait stationnaire, Le serie noireieaai! et l’un avait ainsi «·l`un Pndemonhna, nn véritable Atratn, Dana le Pedziuontana la massue paraiuait encore plus foncée que dans le renie de l'in!enne; le eentnire irri- vail qunml Piusede avait pauuéh l’ALmta. Je n'ai trouvé aucune oxleur i I'insee\e nouvellement éelos. pu plur qu'! la nymphe. Ln premier ne rendnît eueune erpàee de liqueur par l'anu.r ou par la lmuelie. ll n'¤vait pria aucune nourriture. Depuis, M. Garnier, d’Aniienr, rn’a écrit que dam la menue innée (4830) , M. Bar, allé entonwphile d'Auu¢ru, avait prix el wuaorvé vivani un
gram! nombre de Silplae Pedemnutana dana du nondi. tinu I pen prix pareille: I cellu dana leequeller ila an. raient ne en laur lrahitat et leurs atatioua neturda, at qu'i.l ne lea a par ru azlungn-de couleurs, rela il lea avait. pria, tele illu a conserver. ll ajouta que lea elytree avaient lamhumeonriatance queeelledeavniaatratn, et de eea laits il tirait la eoneluaion qua ce uïtait puI l‘é¤:|naiou réœnte qu'il fallait attribuer nath d·iKér·e1we de couleur; quautàla oauee veritable, il l'ignorait. Io tire tant dn olaaervatiom de MM. Garnier at Har,qae dea rnianuea, du uncluaiuna voutu autres. La aolidiüeation du elytru par Févaporatiuu ayant lien I lbmhre, I euuvert, dana du cireornatnneea donnés , devra fopérer mieenaiaemeut d‘uue autre maniere que celle quia lien au soleil, I l‘airet avec d'aul«¤ eireonauncex. Dana le reeond eaa lea gax, lea arâder, lea Iluidea de l'at.ua0apl.»ère , pnurrout et devront réagir avec plu: de facilité , de fume même, aur un corpo encore presque patenx que sur un eorpe wml, eu bai- gnant l'iuaecte de wutu paru, qu`en arrivant juequ‘à lui diüeilement et presque dénaturé par les gu , lea fluide divers qui naissent dan; la alatiau choisie par la larve pourrer métnrnnrplioaea. Cererait, selon mai, une clame semblable I Yétiolenaent des végétaux teuux loin dc la lumiere et du grand air, avec cette diiïérence que lea regétaux reprennent leur verrlenr I l’air et I la lumiere, paree q·n'ila végêtent et creiasent, et que lu insectes une fuis lea elytrea solirliliéea, ne peuvent changer ni leur V nature ni leur eouleur, paree que la substance meme dea élytreay eat un olratacle. Ceci me paraît d’au!ant plus vrai que l'iuaecte quiaetmure le plus dam les endroits ohecun eat celui rur lequel ae rencontre le plu: cette dilférerrce, tandis que lei Olncura, par exemple ches leaquelafeu ni pu ehaerver quelque: em rares, ee trou- vent dans lu sentiera, I l`air et I la lumière, etc. Variété B. dite (laeaideu. Dalrl a décrit, nous le nom de Cauidea , une variété da l‘Ili·ak trouvée en Hongrie.
6*. Dxrnumv. _ TMA allongée.-Antenna: muim langue quels wraelat ullunl. en gruuinannt inaenxihlement juaqu'\ la manne, qui est plna forte et gmail anni. Lu article: dnlînlennu partout Lr褻<.lialinnla à l'œil nu , aout anea wrréa ; la deux premiers diminuent de longueur , lu cinq aulrea sont égaux et ooniquu. La maarne a q1u«|.r¤ arlielea 1 le dernier nvdide, lea troie aulrer grnaxiaaant auut nouiquu févuant par le hauI..·-Munililzulea nemlalalwlea à celle! de I‘AI.n|.i , mais aven une pointe mains longue el. plu mmnae. -hng¤etle plu: lange st plu: huma que dans lu unpèœa prec6dentus;uaezIi§e.-Menton coupé mrrémeut par ln liant, en ovale allongé dans le sens de au largeur pu- la hu, nasea Liane. Pièce Izaxilnire et prébnailnire ne parnixaaul faire q¤a'nn¤, wnrenes du poinh enfoncé et de petih poils; la pièce haailaire et!. très com-14, la pré- lusilairennu a.ll«.mgée.—Le wraelet débordxntlx poitrine qui au rétréci!. cnnsidénblement i u partie postérieure, u le devant entier, nvançnntsurln lêtn. - Elytrea num ai- maeea, arronfliu; pallea pustéricuis droits; Curpx fort N'. 15. SKLPHA LAEVIGATA, Fahr. ay1l· eleut. 1-3ü0·16 ; nya!. un!. 5-252-là. - Geol 1-122-B (la goutlière). — hir. B-262-15 , le H. lime.-Oliv., bam, 2, n', 11, pl. 1".,fig. 1**. eucyc. mella. 5-12915. — Mnlsauat, wm 1**. pag. 30h. —Wa.lcln. 1-1014, la Silplau li:sc.—-Illig. 1-36945. ——~ Pehgnu im. Galab. 7-28. — Lup. 2-6 23. —· Herbal. 5, lab, 51, Eg. 3. — Sula. hist. im. mb. 2, lig, 16, Silplm Polila.- Ray, pugn 9. his, n'. 96/I, Searala. preced. Similir, etc.- Devillera, pngc 88, n'. 52, Silplxn Excavum (la gouttière). Lung. 6 lig., larg. 3. Noir, peu luiaanl, si linemen! puiutilIéqu’il paraît liaaa, il n‘y apn de liguuaëlzvéea, nugiprarhunrdil yen a,
·- Tl — alles sont) peine indiquées; lat individu: ehez lanqucln on en remarque, sont plus gnnds que lu autres. Lu élytru non! aaaex bombdu et très-mlwrdécs, Dn le trouve par toute l’Europ«, dans les lmin pourris, dans let prhiries humides et noni lnrnnuse des bei: de Querrieux, Boven, ale. On le rencontre dans la vallée de Guinea mu lex pierres et dnnulu sentier:. Il est commun. Vurietâ A. dite Gibh. D‘nprè•l¤ nhlngue de K. le comte Dejem, cnt iuucta n’¤1 qu'un¤ variélé du Lusvigata, tronvù dam le midi, etdnnt Megerle fui! une espèce som le mam dn Silplm Gîbba. Faynnt en cnt imode qu`un imhnt mue les yeux, je ne pnia Ie décrire; ie dirai Aenlementquîl m’a semblé plu grand que le Lvrigah, nl. que lu lignes apparaissaient auumanqnéeuur luélytru: ce peut Mm]: Gibba (ln bonne) de Devilleru, n'. 34, pag. M. Variété B. dim Tuanxvernlix. Il m'a4t6 sommuniqué un Silpha prix aux envimvu de St.Quentin,qui nm sembla un: variété du Lzvigah, Il en dilfère par une seule côte use: millnnux oblique, se dirigeant de l'angl¤ huméral vsn In moitié del‘élytr¤ aux deux tien de la nature. Cet inucte ed nouveiu; je _ fzvais nommé S. Tnnivernlie; toutefois, ne u:rait—ce par une de cu anomalie: ii fréquente: dans lei insectes , et dont Vûnimmta nous a cléji fourni un exemple. Variété C. Fauve comme dnnu le Pedemontann, etc, V'. GENRE. — NECKOPPLILUS (lAh·eille). l', l·lydi··1philnïdet, Eachxclwlz. Onnnlaechh ot Amér, llor. nce. 2*. Subternnenl. llllg. Styrie. ·
VP. BBIIB. —· ABYKTFS (lssàlizh). Prœhlizn s formévne genre nux dépens du myo€|¤· plnges de Fsbricius. Lstseille l's ndopûé, et puis d`s¤tr¤ znwmologistev y ant plss:6 des inssetes répsrlis dans d'su¤¤ genres, tel ut le genre Trilonu de Puylull, de. Cu insectes se tvouveut dsns l ssblu et suusles écorou desnrbre:. On les trouve snes communément sous les êcorcu du henne L Fontainebleau. ll: ont des silu dnut ils se servent quelquefois, surlnut quand ils sont svus Yinûuuwe des nynns du soleil. Tous leurs onrmclères les npproclzent des Iitidnlsiug oepemlant mslgré lu raisons que j’si précédemment dennéu pour retrsueher oes insectes du Silplnlu, fui voulu sttendre, pour rue décidersur ce point, le rbulhs de mes études mv tous les Clsviournes. Voici lsusnniàrn du Agyflët Antennes ds euse srticles Issu serrés. Il cinq dnninl ` formant un mllllle perfnliée. Pslpe nsxillsise ilnhil srticle ovaüde et reullé. Corselet presque esrré àà-là pmsnnmmu. nmm n-s·»g··1·1m Ayhos mm, bombées, non rehordées, côtes ssse¢_fowu. Voici le cntsloguedes Agyrtss menus: . I'. (hshnens. Y 2*. Bieoiur. 3•. Suluigœ, ¤st· Bslg., pcubkts ls fsmllls dn neuneu? A•. Gleber , nt. hponicus . (Yen le Triûoms Glnlvn de Pnykull. E', JssIu.r,`Eschsehol: svn. bor. occ. Quoique deux individus de ce genre nient été lrouvè I Paris et qn‘¤n troisième l’·¤it été près de nous (Belgiq.), on u‘en s pris ennuie aucun dun: le nord de la Fnuen, X sus oonnnisnuoe du moins. Ciaprù le hlwluu du d.id`éreuc¤ du deu: seules upèoes de Frsnoe c
¤..,. ‘H...."f"..."".iJ.ï"'T","î"’T" ?‘T°‘î .·. »..·...... entier brunrmr, nuusnneu pnlpu on pntm rwptuu . . ........ I-. Iùehr. I'. 1. AGYILTF5 GASTANEIIS. Fnbr. Jyrt. dent, 2-569-15; nyn. ent. 2.-ABD-11, Myco- toplngu: Custnusm. ·— Gyll. 1-681. — Pam. 9-2à-10 , Mycevnplnagua Spinipnn. -— Pnyl. 3-31û-2. —-Lnporle, 1-7-1. — Boihrd, page 280. hong, 1 1]3 lîlig., larg. 3Ià. Nuir, ponctué, élytm lines Kun brun marron , ue: la Aries de points aufancén; miznnnx pulpe: et paths: d'¤u brun marron. Allemngnn, nnvîmm de Pu-in, muglns écume: de hêlre i Fonuinebluu. hh-eille negu.:nim. de Cuv. nouv. édit. 1819,i·om,Ã, dit qu‘il soupçonne quelügyrtnn Sulmiger dell. le comm Dcjuu u'¤t que In femelle du Spinipu dn Pnmm- et pu- mudqunm du (Luxueux. N'. L AGYIKTES BICOLOI. hpurlu , 1-7-1. — Fuh. :yi1. eleut, 1-566-5 ? ut lynt. nn!. 1497-1, Myœtuplugux Bimlur P Lung. 1lig,, lu;. 1. Dillërn du ùahuvuupur un couleur d'n¤ brun noir, nu mlcunn pulpe: et pnltu rmzgeltra. Il ee Orwuva I I: ümliunut \ Purù; il::|. nu au ne dernier cndmi!. Vlrrml HALBDE.
N°. 2. PARTIE ADMINISTRATIVE. IIEIIBII ¤·· ADIIIS DEPUIS LA SBSIIIIN DE 1839. lllcmhrel llélldllin. MII. Rullel , directeur de l'0cm·i. - Butnviqeu. Vusul . piineptenr , che: M··. d’Han!e¤uurt , B Mnrtuineville-lès-Hui:.——· Butuniguu. Alluri, nvoca!. — Bmmiqxu, Glolegiu. Bréguut, phnmzuien. pmfexseur I Yécale de médecine, dinmnnv du jxrdin botanique, nic.- Bolnniquu. ppm Jywu I·»nd«I¤«r»¤m au Cmiu pnnuwno. Lulhmrahu [sim pu u annùr M lui laùmir nan upa? de 1¢¢·n«•«¢ nu püm umnialln; il ngram da u puwir hin omnun |¢ vhlmh ¢n¤««n· un-quuh, wlnlu mmbrude la n¤mmd'An-u, ·.«,.«. ,..... nm. u..,..··,.z. uu.; @...1.... 1-..,..~,un.~; hûmm n Gamm, 1'.¢·m»n; Pam n 0 Eau-mu, J‘Al>A«»iI1·; M"lrx-mund dom l'x’npwu€6il¤’rl du buv Fanalyn du Hénin; ln puma I4 nuinu.
Calin (Maurice), mnire de ln ville d'Arr|l.— Eefrrwlugia. Duclxatenn , D. M. P. chevalier de ln légion dlhnnneur, médecin de Yhbpilal, professeur ïa Yécnledz mûlecinn. — Eoumrwlugiu, Anuhranù eonpurh. il.’Kerlinenu•1 , prurpriélnire. Fabien (Horace), ancien oûicier ile géni¢.—Géu|agi•, Lulieu , miam".- Enlunwlogù. Levier, docteur en ménleeinei Warlella §Cn1nx1.¤¤!)Q uvocut. Demar1y(CharI¤»(l11nihnl), juge Auppllmnt an tribunal de Doullens.- Balnnique, Bourlet (l‘al1bé ). — Enknnnlogiu. Tupnrt, meclecin.—-Jlutnnigue . Enhnrwlugiu. Termincln , ynrcepleur des Contributions à Snunlie; ·-· Entunologù, De Werbier , à Dievnl yrèn S!.-Pol (Par-Jelialninj, -· Ornilhulugiu. Buteux, membre du conseil général du xlépanemvnl de la Somme , \ Framnrt. — Giulegiu, Agriculture, Illlbrcl Cufrclpullnll. Guérin-Mmneville, xlirœleur de ln revue molngique de la Snciélé Gnvlerienne, membre de plnnienrs Snniilér savantes, rue de Seine·5ain!-Germuiu, H, i Parix.- Evnlnmulagiai Moquezy , clnirnrgien-denlixle , rue rln Gi-am·l·P¤nl , i Rouen. -—- Enluuwlugie. Ghenunn , ancien principal du collège (hs Bayeux. - Botnwique, Ornillwlagit, Entonwlegiu. Tcsxnn, pmpriétuin, rue aux Lines, i CaBn.—-Glrlogia. M. Kenizr, Ayant quitté Nulle depuis sleux nn: pour luubitev Paris, ut vlevenu cnrresponnhntde droit.
ll. Seqneul, Ayant Abbeville en wât 1MA) pour hnbiter Puis, devient membre œrrenponwlmt. MM. Hecquet«l’Or1¤l , i Purt·1¤«Gl’l¤,ü· nt Mgllel., à Donllens, ont étépnrtét paruneur xurla lith dnmembru ré¤iJaM;¤¢1M¤¤iznx1n’ontf¤m¤iul'¤i|p¤rIiad¤lxSociété. nmurnn on nxcuns nr nas nirsnsns un 0:9-w. Excédnnt mr les dépense: du Pexercice de 1888-59, réglé le 15juil.Iet1S39, de. . . . . . 1îM'.GEc. Prudnitdnzcotinatiousdel’nnnée1S39·Ã1)» M10 ·«· TWIAL Dx! Manu. . . 5JÀ 65 nbnann, A M. YA(brrenr,ponrl'raix occasionnés parla seuion de 1G39t=nue à Ami:¤s,da. . . . `, . , 15Ln c. AM.Yvcrl,30(I¢x¢mplniresduréglement. 12 un A M. Pnillnrt, A00 exnmplnirculu premier bulletin ,... ........1%-. A M. Puîllaft, 150 circulaire: ponrconvn- uatinnllnnenion de 1540. . , . . . 6 un A M. Pinnrd,ponr frais de bnrunx, port.: deIet|I‘¤·e\e.......... SRO Un registre pour inscrire ln sortie du pn- blîcntionn de la Société ....... 1 M`! A M. Dooqnincourl, mpirte, . , . . 3 ·· Twnr. DB DÉunn· . . 235 B0 Kube en caisse la 21 août. 1860. 29'I 85 rnivlxmll nu nzczïhzs nu IUIIGRI nl IAIILAL 1'· Exemice 1B38-39. Dix cotisations. . 100 I'. »» n. Z'. Exercice 1839-MI. 26 eotinntionx. · 260 »·· A npurlnn,. I 360 M
Raporl"., 360 ··· Gotiulion pour 18û|)·M 1 la lixle du membres réniclans pour ce! exercice éunt del!} .·... ...... S10 ·.. Ilexlxnt en cuisse le 25 naûi IBM?. 297 85 Tvnn. . . · LM'] 85 BIA1 nu Iulluizn ma un QDCIETE, I.: 10 Amrr ww. 1*. (hehe! cle ls Snziété avan 'lwite et accessoires. 2*. M3 diplômes, W aymt été employés. 5*. 51 exemplaires cln oompteqcndn de ln première session, MQ sysnt été distribués. 4*. 302 exemplaire: dn premier bulletin , 98 nysn! été âistrihnér. 5*. À regixtruz le I'., pour la délibérations; le 2**., ' pcurls enrrespnnrlnneeç le B"., pour la lm1lget;le A"., pour Yinscriptinn de la dislrilunüan des Mémoires de ln Société.
PARTIE SClEN'l`ll·`lQUE. LEPIIIOPTERES. ·~ lIll`Al.lllihlL. Les I,épirlnptî·res uu Papilluus, plusieurs l'uu rlil usant naar, sent, sans eoutretlil, les inseetcs les plus beaux et ceux que la nature .r le plus lïrvur-isds ssus lu rappuit des arnemeus. Ces auiursnx sent , pur-mi les rrrseeles, ce que les eulibris sunt parmi les oiseaux. Par la grande facilité de leur vol, ils semblent ilestiués ii régner sur les fleurs dent ilspexupeut îucessarnmerrt le sueuree leur lungue tmrupe. Leurs ailes sont ornées des couleurs les plus variées et les plus brillantes. (les euuleurs s‘y rué- Iangcnl de mille manières; pour pmduirc des dessins de la plus grande élégance , et, landis que la nature u’a ilunne aux ailes des autres insectes que ls surface r·iguu— reusernent necessaire i Yexéeuliun ile leurs mnuveurcus, il semble r|u'elle s‘est plue Eis‘écurler de cette règle en buveur- des Lépirluptères, afin rl'avuir la lireullsé ile pru- iluire des tlessins plus grands et d`exereer rluvauluge sun sublime pinceau. La ualure a ernplayé, pour l'nruerueut de ees iuseeles pririlégiës , un genre de peinture que l'nu connait suus le nam de nnrsaïque. Des écailles en ;:¤··uul nurulrre , euluriîes eliverseureut , el disposées par irnhrientiurr avec une lumnouie .uluriral>le, cumpuseul, par leur r-éuuiurr, ees dessins si iliversiliés qui surpreu- nent et clrarnncut les regarsls, lüulin la nalure a été si prmligue «l'nrnemeus Er l'dg·u·rl iles Ldpid«.rptères, qu'elle avmrlu, neutre sun babilutle, que ees animaux eu eussent jusque dans leur eularree, e'es\a—tliie sans la llmne ile vlwrrîlle rl snnwnl cueure suus celle lle ~—|«r;s··lnl«·
Nou: avons pensé Etre ugnàblc et en même temps ukiln aux nmnlzurn de nes jolis innecœx, en donnant Ir ulnlogue méthudiqus de naux qui ont M tmuvéu, qu') présent, dun; lu envîmm d’A¤uien1, Tous lu Epi. doptèru qua cn catalogue rmfm-mo, font partie du noirs collocünn : os un wujnurn avec empressement que nom la metlmm ï lu dîxpoaîüon du pemnnu qui croirout devoir ln mnrultnn Nom renvnyuus , pour In synonimie , qui aurait rendu le cnhlaguu beauaoup trop înlumineux, Ã l'ouv1-mg: de MM. Godnrt et Duponnhel, intitulé: Ilirtuin Nntunllu du Ldyidoptàvu ou Pcpilluvu la Fvunor. j \
’ , ûatalngus Rüetiwîteqtœ À X DES LEPIDOPTEBES ’I'r•lvé| Inn: lu environ: d‘A-Inns. DIUIINI. 1 Podulirînn, 1.., etc. mai, juillet. 2 Mnchmn, L., etc, id. 3 Cntmgi, L., et:. juin. A Bnninœ, L., etc. pruquetnntclknnée. 5 Knpœ, L., elc, id. 6 Nnpi, L., etc. id. 7 Drplîdine, L., etc. nvrîl, juillet. 8 Cardamîneu, L., nm. nu prînumps. 9 Sinnpis, L., etc. mai, jnill¢\. ill Exlusa, F.,H.,Dcl¤.,ûmi. mai, septembre. M Bynlc, L., F., Och. mai, mûi. l2 Klnmnî, L., eu;. prnsqnetoulclünnée.
is ikl~i1À¤ê,’ " xi.; act ` won:. · 1!| Pruui, L , etc juin. 15 W. Album, H.,l.l.|ig.,Oclz.,G0d. id., . 16 Lynueiis, F., Gm!. ' id. 17 Quereûx, l.,, etc. id. 18 Bnbi, Lzpuux. · mus, avril. 19 Tlnlœas, I·,, etu. inn-5, nuûl. 20 (lliryxheis, F., H., Ouh., Gad. juillet. 21 Xanthu, F., Rues , God. nini, août. _ 'ZZ (Egon, B¤rk.,H.,Oi:h ,G¤d. id. 23 Argus, L.,F,,E»p.,ûç|1.,God. ivl. 2/L Aguxtin, Exp., l-l.,0uh,,Gn<l. id. 25 Alexis, F., H., 0vli.,(}n<1. prnsq. L. lïinnéc. 26 Adonis, F., Ocli., ll., Gini. mai, nuûn. 27 Curydnn, F.,Esj».,H.,0nh.,Gnd. id. 28 Auis, W. V., Ouh. Gail. mai, jnilluz. 29 Argiulns. L., Dcli., Gail. sm-ll, août, 30 Gyllai-ux, F·,Bm·li.,làip.,G·nl. mni, juin. Zl`1 linplieinux, H., Oula., üuil. juillet. 32 Siliylln, F., H., Clcli., Liuil. juin, 33 Pnpuli, L., ctc, juin 31 Iris, L `,I·`.,H., 0cli.,Gud.jnil1«·I. ilzi llin, F., H., Dali., Gml. jniu, îîii Sulinw, F.,Ocl1,l-·l.,Gm.l.,lII¤g.inl¤i, août. 767 lînpluw=ynu,l.,, vlc iil.
101 Burn, L. juillet, mût. 102 lluuulz, l?nb.,H..O¢h..E~p.,G¤d.juin, mûr. 103 Plaulaginin, L., F., H., zic. juin. 101 Villicn, L. id. 106 Cnju, L. juin, juillet. 106 Halzé. L., zh:. nui, juin. 107 Fuliginon, L., etc. juin, neplembr. 10B Meudicn, I2. mai, juin. 100 Menllmstri, F., H., Oclu., Gail. juin. 110 Lubricipede, F., B., Ocli., Gad. mai, juin. 111 V. Nigruin, F.,0cl1., Gail. juillet. 112 (lhryxurxliœz, L., elo. id. 113 Auriflun, F., H., Ouh., God. id. 1M Snlicin, L., eh:. id. 115 Disjur, L., eh:. ill. 116 Mnuaclue, L., H., etc. juillet, août. 117 Antiqua, L., etc. juin, ieptemb. 118 (innuntigun, F., l-I., Ouh., Gad. id. 119 Euryli. L., ll., Dup. mii, juillet. 120 Fawelinn, L., F., Ocli., Gar!. juillet. 121 Pudilzuudx, L., etc. mai. 112 Bunephnln, L., H , etc. nui, juin. 413 €¤u1¤·1•. |--.1*-, H- m·s,j¤ax1.i_ 12h Amunhroutu, L·.l·l.,Bxji.,0nl¤.,G«l. id.
' - BA — 1Mi Spinnln, 1·l.,Bm-k.,L«¤p.,Ti·. printemps, ailé. M7 Falcula, H.,E.,Burk.,Lzsy.,Ti-. id. M8 Fngi, L., nm. juin, 1M) Fuxcuh., L.,F.,Exp.,H.,Od1.,G0d. mni,juill¤|,. 150 Vinula, I..,F., H., Doh., God. mai. 151 ihuuzlinn, ll.,0ch , God. juillet. 152 Ti·itnphus,}`., W.V., Esp., abc. juin. 153 Zicrau, L., F., etc. juin, mu!. 151 1`mpidn, |:`..Bp. lI«u·ln.,0nh., Cmd. juin. 155 Veliuirix, hp., (Ich., God. jnin. 156 Divan, L., etc. m¤i,juille.L. 157 Pnlpinn, L., ck:. mai, juillzt. 155 Tunudo, Goxl. juin. 159 Octngcsima, ll., Tr. avril, nui. 'llill Or, Y , H., Tr., Dup. mai.
— 40l —- 290 Pemurin, Tr., H., Dup. mni,¤¢p1¢ml1. 291 Elingmria, Tr., H., F., Dup. sepumlum, 292 Prnnm-in, Tr., H., F.,Dup. jnillat. 393 Flexulu-in, 'l‘r., H., Dup. juillzk. 2M Advennria, Ti-., H., Dnp. nini. 295 Emarginzria, Tr., H., Dup, juillet. sinus m=.m1·|1¤A, mn>à 296 lEnLivni·in, Ti-., Dup. mai, juillet. 297 Vernariz, Tr., S¤lu·nnk.,D¤p. id. 298 Gcniitaria, Tr., Devill., Buy. juin. 299 Papiliunma, Ti-., Fab., Dup. mai, juillet. 300 Bajuhi-in, Ti-., Duj;. juin. 301 Iietulnrh, Tr., L., Lat., Dup. m¤i,|epi. 302 Pmdmnmia, Tr., H., F., puy. man, nvril. 303 Hirlarin, Ti-., L., F., Dup. man. 30h Pilom-ia, Tr., Dup. m¤r1,uvi·LI. 505 Defuliarin, Tr., L., F., Dnp. nui, mp!. 306 (Dwulnrin, Ti-., Wim., Dup. id, 307 Mnwphœnrù, Tr., Wnin., Dup. fév;-ier,mn1. 308 Bnbonuia, Tr., H., F., Dup. avril, juillzt. 300 Cunmrlm-in, '.|'x·.,F4p., Bnrk.,Dup. id.
—— l02 .· M0 Bejuuduin, Tu-., I-l., Dup. nwil, juillet. 311 Crepnmularin,'1‘i·., W, Dup, id. 312 Rliombuidaxiz, Ti-., l-L, lllig.. Dup. juin, août. 313 Wavnrin, Tr , L., Duji. juillet. SM Punctnlm-ia,Tr., Dup, avril, nui. 315 Pumrin, Tr., L., F., Dup. nui, juillu. Slû Cnnumlnaria,H., Dujà. juillet. 317 Punétaria, Tr., L., P., Dup. nini, mût. 318 Scululariu, Tr., W., H., Dup, juillet. 319 Reversuriu, Tr., Dup. ....,....., ·.... 320 lmmutarin, Tr., Dup, juillet, août. 324 Averiai-ia, H., Dup. juillet, nuût. 322 Rubricaria, Tr., H., Dup. juiu,juillet. 37.3 Gilvurin, Tr., H., F.,Dup. avril, juillet. 324 Purparix, Tr., H., F., Dup. juillet, août. 325 Plumhurin, Tx-., Fx); , Dup. mai,jui|.,anî\t. S25 Pnlrurîa, Tr., H., Dup. mai, juin. 327 Menxunria, Tr., lllig., 'Dup. juilleg août. 328 Ferrugnrin, Tr., Duj;. mai, juillet. 329 Sumlwunala, Tr., L., F., Dup. juin, juillet. 350 Mneuluu, Tr., F., lllig., Dup. inni,
—- 103 — 331 Gnmulai·i:u,Tr., Dev., Dnp. juillet, mât. 332 lllmuta, Tr., F., Lat., Dup. ......... . ....., 333 Temernta, Tr., Dup. nui, juillet. 33A 1`xminau, Ti-., lllig., Dup. id. 335 Albizillnh, Tr., L., F.,Dup. juillet. 33Il Iiduelun, Ti-., Dup. juin, wût. 337 Pronzllnta, Tr., Dnp. ...... 538 liubiginnta, Tr., Ilnp. juillet. 339 l-`luetuum, Tr., L., F., Dnp. icl. _ MU Galiatn, Ti-., lllig., H., Dup. mni, juin. M1 Montanarin, Ti-., Dup. juin, mât. 3ü2 Mai-ginatu, Tr., L., `F.,lllig.,Du·p. juin. 3h3 lhitata, Tr., L.,F., lllig., Dup. nini, juin, SM Luclnah, Tr., lllig., H., Dnju. juillet. M5 Tristan, Tr., L., F., Dup. nini, juillet. 366 Pynliabi, Tr., F., H., lllig., Dup. juin, juillet. 3A7 Fulutn, Ti-., lllig., B., Dun. juillet. M8 Prunnn, Tr., L., lllig., F., Buy. juilmûgnpn 3û9 Bumia, Tv., lllig., H., Dup. juin. 350 Ruplaia, Tr., ll., Dup. id. 351 Picnh, Tv., H., Dup. id. 352 Mini., Tr., lllig., Dup. juin, 353 Plngiatn, Ti-., lllig,, L., l:l.,Dup . jui¤,juil.,mût. 35h Gonretzh, Ti-., F., H., Dup. juillet. 355 Dnluihh, Tr., L., F., lllig., Buy. nini, juillet. 356 (kmu, Ti-., H., Duji. id.
357 Blnmmle, '.l'r.,F., lllig., Dup. icl. 358 Undulnu, Tr., L., F., lllîg., Dup] juiu. 359 Biliueah, Tr., L., I·`,, Dup. id. 360 Dilunnln, Tr., lllig., H., Dup. acmb. , nav. SM Lnlzulnu, Ti-., H., Dup. printemps. 362 Sei-um, Tr., H., Dup, id. 363 ûlnthmu, Ti-., L., F., lllig , Dup. mai, juillet. BM ûrimaliu, Tn, H. juin. 365 Pmlmcidalîx, Schunk, L.,H., F.,ll1ig.,I). u.ui,¤uûx. 366 Pinguiualîx. T.,F.,l..,ll|.,Snhx.,Dup. juillet, inuit. 357 Prumlii, Tr., Illîg.,Dup. juillet. 368 Mnrprihli1,Tr., lllig., H., F,, Dup. juiu,juil·,¤¤iir.. 360 Slnmmulii, 'l`i·.,Dup. juillei. 370 Urtiulix, Tr., H., Dup. juin, juillet. 371 Verlicnlix, Tr., L.,llIig., F., Dup. juillet. 372 Hyaliuulii, Tr., H., Snhrnuli, Dup. juiu, juillet. 373 Suuzluumlix, Tr., lllig., l-l., Dup. mi, umii. 37à Triuulix, Ti-., lllig., B., F.,Dup. juillet. 375 Polnmognlii/l`x·., Day., juiu, 276 Nymphœalix, Tu-., Dup. id.
—- 105 —· 377 Fhmmealix, Ti-.,Illig., K., juin, juillet. 375 Pnrpunlin, Tr., L., lllig,, F., Day. mai , juillet. 579 Mn-xialix, Dup, .·,......... 380 Dcwmxciilnlia, Tx-., Dnp. juin , juillet, 381 Quel-cana, llllg., H., Tr., Dup. juin. 382 Pnsinann, I..,lllig.,Snhmnk,H.,Tr. avril, ami. 383 Cnwzgnnn, H., Ti-., Dnp. juillet, août. 384 Amerinnnn, Ti-., Dup. juin,juillet. 385 Heyeniu, lllig , Ti-., Dnp, juillet. 386 Snliuua, llI.,L.,S¤lzx,,l:l.,T.,Duji. juin, juillet. 387 Caprennu, H., Ti-., Dup. juin. 388 Ponmnann, Scl·u~., lllig.,l1,, Tr.,D. 4 juiu, juillet, 389 Bnnnunninna, Y., lllig., Ti-.,Dnp. mni , juillet. 390 Fagann, lllig., H., Dnp, juin, juillet. 391 Chi-ysnnuulzellun, Ti-., Dup. mai, juin, 392 Perlellun, Ti-,, Dup, juin, juillet.
E93 Curnellh, L,,F., Illig., H.,T., [iup. juillet, BM Tumidélla, Tr., Stcplicus. Dup. juillet, 395 Evonymelln,L·,F.;lllig.,H.,Tr., Dup. noût. 396 Pnggllu, F., lllig, H., Tr,, Dup. maux. avril. Telle; sont lei espèces qui ont été prises, juxquâ pré, seul, duunlux envimns «l'Ami¢nr. Nous uuwus le min de tenir une nam znnté vlc nelle; qui pourront 1‘y reunion- DUJARDIN.
. — — 107 — Observation: surquebgnorvarütdsst movsatruo- rité: nouvelles, tswuvér.1 dans kr urrondinmsom de Laon, de Vervins si de Hwrozh wir Al. de lu Fon-r, baromla Malsbocq. Violu grundifons, D. C· M· Gay, prélenrl que le Wolo gsondijlom ne dilîère du }’. Iricolor, que par aes rtipnles dont le grand lobe, toujours très entier, ne prend jamais la forme elliptique ou cvnlo. (Annales des scieuus naturelles, 1··. série, t. ZG, p.23'l). Le Viola tvicolor, n’a des stipulea 1 lobe terminal entier que dans le hsut dea tiges des variétés naines, (Ibid., p, 1%]. Je dois faire observer que je possède plusieurs échan- tillons récoltés près Koeruy, purani lu Viola gvaadijlona, qui , néanmoins, ont le lobe terminal de leurs stipulus ovule et lobe. Piospiaallo oaonniais , Nobia. (Annales des ne-ieness naturelles, 1-*. série, t, 9, p, 378.—Provlronie de la flore des arrondissernens de Laon, ele., p. Sl ). Cetm varieuâ se trouve aussi i Longueil, près Compiègne. J’ai acquis, au reste, l'intime eonviction qu'elle n‘cstqu'une rnodiücation dz Perpèoc due i ls nature du sol. Dans toutes lau localitls où je l’si observée; le sol etuit très-burnirleet fort ombragé. Dans l’ui·mndissemenl de Vervins, elle remplace l’ei-peee qui y manque complètement. On la retrouve dan: les nrrondissemens d’Ai·sas et de Saint-Pci, et sans doute aussi dans le département dn Nord. Am: souvent, les feuilles supérieures ont de petites folioles. bibonotis enontono, All. Tai olneuvé, eu octobre 4B39, àCharleniont,psèsGivèt,où cette plante cstfortoonimune, ` deux variétés remarquables. Dans la première, plusieurs omlielles fécbnppent de l'oinlzelle ordinaire, de sorte que l'on pourrait la nommer bimnballuao. Dans la seconde, lu plupurt dei ouibelles unissent du collet de la moine. Sevoglioluriu uquotico, li. V. ll. S. oppsndiuululu, Ball:. V. D. Flore fuoo connu. Nolsis, .l'ai tmuvé cette
—- 108 ~— . uounariété, i lleurs uouleurde clnir, un plutot, d‘un jaune légèrement entremêlé de rose, entre Truely et Saint- Aubin, czinton de Goney—le-Château, Linavin culgnrù. Besl. .l’ai observé, le20 octobre lS39. i Saint-Nieclonprèn Kevin, et B Chzrlemont, pates Givet, deux monstruosité: encore inédites. Dans la première, la camlle toujours i deux lèvres , est terminée par trois éperons dont les deux latéraux sont plus petits. Celle de Claarlemnnt, est surtout remarquable par les appendices bisasue et diversement contonrnéx qui entourent mn éperon. Kocb , en admettant comme espèces les Amsyolir plus- niam et cuwltu de Lumarels (Denhdla. Fl. H. 436), fait ·ti·è4·l:ien observer que la couleur seule établit enlre eux quelque diüésenoe. Mais, comme on trouve aux environs de Montpellier, disent MM. Aug. de Saint·Hilaire et de Girard, des individus où la partie inférieure de la camlle est bleue, tandis que le reste est muge, il ut clair que les deux plsntes doivent être réunies. (Annales des sciences nalnrelles, 2•·, série, t. il, p. 96). Lu variété à Ileurviu- lette, que fai observée entre Autbeny et llumigny et A Monidée (Ardennes), est done comme je le pensai , une [orme transitoire bien digne de fixer Fattenlion des notu» ralistes, (Prodrome dela flore des arrondisseniensde Laon, etc., p. 51). En elïet, cette variétéencore inédite. remplace dans les deux localités cidessus mentionnées l'A cuvrulen, qui y manque eomplètement. Phwtex du province: méridùmaku olzsewéu en 1830, d Rwîn at C/un-lsemu. . Heliustkewsuos Cu mm , Dun. Le long de la rampe par laquelle un monte l(1l.urlemont.—llyper€:«na evenem- lavium, L. Ses rochers, i Kevin.- Smecio rnolicus, lleitol. Entre Fumay et Givet, On ytmuve aussi i Char. lemont, le Clngrorwso Linasyvù, L. Dans mon pmdrouie, ps 29, fai indiqué par erreur, le S¤.v€[vugnAiroon, Marr. A Mont:-rmé, c’est le Saeüfngn Stnibergii,Willd., que ]‘y ai olisewét
— 109 - ï¥l®î¥@ SUR LE l)ll1llY0llYClîS URTICM FlllIiS, LE PBZIZA FIJSARIOIDES BEBE, Lns à ls Sérum de lu notion dv la Saciéll Limidsnne du nord du la Pronos, pour Iüzrronzliusmnnt allbbxuilla, Iv .G»· ./é. '6'Jïm as @Lo·«···eGw«»«. La simplicité de Yorganisation des etres placés nux derniers échelons de ia série des especes composant le règne végétal, laissa souventde lïncertikurle surleurnléter. minslion exacte, et en init un ecueil ou viennent échouer lerplus habiles naturalistes. Ce n'¤stqu‘à la suite de lou- guex observations, aidé par un heureux liasaivl , qu`on parvient quelquefois i reconnaître que des pmrluctions élevées nu rang d’espèee, comme on l`en\end generale. ment, sont encore dans un 'etnt impurfnit, susceptibles, avec des eiwonstanees favorables, vfotteinrlre une org;. nisntion qui permet de les classer cl'une manière invn. rinhle. On Mgnrde, en botanique , l'ê\re muni d'org¤ne¤ iructilicatenrs développés, comme éunt: psrvenu à l'etut ds perfection ; il semble que ce soit là la dernier clfort lle le nature; que la reproduction assurée, elle n‘nit plus qu') se reposer. S`ile1t fnci le de reconnaître nes organes ches les plnntes pbmerognmes, il n'en est pas de même dans ln nombreuse classe dacryptogumes. Ln petitesse tles spores ou gongyles, leclivewité de leur forme, les places viriees qu'ils oc-
— MO — cupent, les rendent souvent trèseliflicilu `a olrserver. La plupart de ces végétaux ont, comme ceux d'un ordre plus élevé, la faculté de se reproduire par la simple division d’eux-mêmes , avant d'svoir atteint tout leur dévelop. pement; avec cette diiïérence que dans les phanéro— games, quel que soit l'5ge de la plante au moment ou r’opî>re cette division , elle conserve toujours ses princi- paux caractères; tandis qu’il en est tout autrement chez les végétaux cellulaires, qui peuvent, suivant les eircon» stances , subir des métamorphoses telles , que sans des observations minutieusement suivies il est impossible de ne pas croire que certaines productions décrites Zi dil]`é» rens âges, ne doivent pas être classées dans des genres qui ' paraissent n’avoir aucun rapport entre eus. V Permettcrrrnoi, Messieurs, avant de rapporter l'ohser·— ration qui fait le sujet de cette note, de citer- quelques exemples qui ont de l'analogie avec elle, et qui vous feront voir combien l'erreur est facile dans la elassitica. tion des êtres placés a Yextréiniué des règnes organisés; ils vous montreront des cryptognmcs, principalement des algues, considérées comme espèces , quoique dans des circonstances données, elles puissent prendre un rang plus eleve dans la série végétale, si Yespèce, comme on l’admet généralement, cst l'a«irmbla der individu nav blabla: ui rr perpétuent ler méme: par la œpvodevüan. Une dissolution de matière organisée , en quelque petite quantité qu'elle soit, donne naissanco is un mu- cilage on d`.ilrorr\ on ne découvre ni globules, ni lilarncns; pcu après des globules incolores apparaissent au rnilieu de cc rnncus et forment le genre Uryprocacour. L'enve- lnppe muqueuse tlisparait-elle? Les glulrules sont-ils colorés? Le genre Prutococeue Agard snrvientr Si les cir- constances permettent ii ces globules colorés de s‘allonger en tilaniens, soit par juxla position,suit par une croissance laxérale;l(ntzing, E qui nous devons ces observations, penche pour la prernière hypothèse; on voit surgir le Cuoferm tanenrlmn, lequel, à son tour, se transforiners
4 Ml — ea une algue d’un ordre plus élevé, par la réunion de ses filamens disposés parallèlement et soudés en mern» binnes lines superposées les unes aux autres, et renfer- mant enlr`elles des spurules dispersées sans maire: ou en a lait le genre [madame. Mais si les globules du Crypte- ' noaa: restant iueolares, s’ullnn;,·ent en lilanxens, ou verra miître le genre Hygmeroeir, ou, suivant le milieu eu ils setrouvsrout, le plus ou le moiustle lumlèredont ils mont frappés, le degré tl’liutnillité qui les atteindra, des Leptmnitus, des Chnmunsmn, dm Pulmella et même des Osrëllntoria. Ce genre Cryploeoceus peut drum se métae tovuplioser en six autres, selon les eireonstances Nous avons vu le Pmtosoemu devenir le Covtpnm mtnrima; tlpzut aussi donner naissance au Pmmrlia paristino, i ne liehen si commun sur les orlsres et sur les murs : nl':»utres luis il se tronsfonueuu en Pmtanema qui lui. même préeètlera souvent la formation des mousses. Kutsing cite encore le llougeutie genupsns qu’¤n peut suivre ilepuis sa nuissaneejusqnxuu moment où il répand xls vporules desqueller il renaît: qvfvn wit, lt7rsqu'il se lmuve hm-s de l'eou et au moment de la enpulatiou, émettre de toutes parts des exeroissances mamillaires pu lesquelles les lilameus se soudent les uns aux autres, lle maniere à présenter un tissu eelluluixe régulier, de vérilalnlns (rondes dans lesquelles on remarque des fruits 'ormes parla reunion des mages de spovules Ce dernier état, regutlé par Kutzing onmme l'ét.»¤t parfait du Mou- . gratin genujlrn, a été décrit suus le nom de Rieeia _ tryslulline. La première de ees prerluetiens est une algue qui, reslnut dans l’eau, ne eluauge point de nature, yme par tous les degres qu'ent coutume de suivre les Zygnevnu genre trèsaoisiu . et se perpétue semblable a elle-même pur la repror1uetion· le [lies-fu orywsllinu, pris séparément, fait partie des ' hépatiques, tîunille lxeaueuup plus élevée dans la série végétale, donne des fruits qui probablement reproduisent des lliuio; aucuns observation directe ne vient, ilen
vrai, 3 l'appui de cette assertion, mais on peut la déduire par analogie, ses congénères se propageant dela même manière. Des sporules du Illougsotio naitront des algues qui pourront se uansfonner en hépatiques; mais les Ilieeio ne s'al>ais·seront plus à donner naissance à des algues. Élevés au rang d'hepatique, ils reniemut leur origine et dédaigneront de perpétuer une race semblable ) celle d’oii ils sont sortis. Un seul fait prix dans la famille des champignons vien- dro prouver encore combien, en cryptogamie, il est'di1`ii· cile d’eviter ls confusion des espècess A la tin ilu siècle dernier, un botaniste vit sur un mur plàtre, de nombreux Éilaineos rayonnant autour d'un petit roi-px sphérique, solide et tomenteux , dans lequel, hl'oi«.le «.l’un corps nnnplitiant, il découvrit une (ine pons- sière ou romance (suivant l'<¤l>aervalcur). (Yetait dès lors, sans aucun doute, une espèce bien earactérisée ; on lui a trouve quelque ressemblance avec un Lycoprrdon, ct Sowerby, dans ses English fimyë, en a tait, en 1799, le Lycopordam mdiutuv».Vingt·«luatie sm plus tard, M. Des. manières, observateur consciencieux, un de nos plus sa. vans eryptugamisles, n jugé avec la sagacité qui le distinr gue, qu’avant d'a¤.lupter deiinitivement celte espèce, il était nécessaire ale la soumettre i de nouvelles investi» gations. ll eut le bnnhenr , en 1523 , ile la voir naître sur une paroi de la maison qu`iI habite près de Lille. Il nrmsa le prétendu Lycopudon, suivit avec attention mn développement, et nc vit pax, sans une grande surprise, 'plusieurs individus se trantormer au bout de quelques semaines en un véritable Ayoriu, section des Copines, auquel il a imposé le nom de mdiana; les autres se des- séchèrent sous leur première forme, Si un observateur moins attentif avait rencontré ce champignon à Fetat partait, il l'aurait certainenicnl décrit sans se douter- qu'il eût devant les yeux lc Lycopordon de Sowcrhy. Lo même espèce aumi!. alors été inscrite dans les fastes du règne végétal, non seulement sans deux noms distineh,
— M3 — mai: dans deux genres éloignés l`nn de l’sutre etsneme dans deux familles dillerentes. Cepréarnbule peut nous aider i lixcr notre jugement nu les productions faisant le sujet principal de cette Les tiges desseclsées de l' Urlims diuiou sont très-souvent » wuvertes de tâches orangéea, qu’à l'oeil nu on croirait semblables; cependant en les examinant î l’aide d‘une loupe ¢l`un gs·ossis\sement moyen, on y remorque déjà des vlilïérences notables: sns· certaines tiges les lûclses sont oouvexes, sur tl’autres elles sont creusées en soucoupe et ordinairement <\’une couleur plus foncée. Observées au microscope i un grossissement de 500 diamètres: la première paraît composee entierement de Elamens semis les uns canlre les autres, dicbotomcs, articulés; lu articles allonges, ceux de l'extienai!é tronqués, se nlétacliant facilement pour jouer le rôle de spos·i«.lies§ ls seconde atïre toute l'or·ganisation d'un Puixo; des thèque: contenant lxuit sporidies, entresnêlees de para- plsysex renüées à l'exts·emité. Cesdeux cspèccs se trouvent tantôt séparées sur des ügu sèches uliiérentes , tantôt entremêlees sur la même. Ayant probablement une origine commune, elles ne s'é· lomuent l‘une rle l’auts·e que par des causes qui nous sont iuwnnnues. Confontlues par tous les auteurs et classees dans plusieurs genres, elles ont été snal ou imp·—n·l§itesneut dtcriles, ]usqu`a ce qu’;n 4835 Berkeley le premier, In Mag. nflaul, und But., cul Lp. A6. lab, 2, fg, B, ait se-paré le Pains famgiuidu du Fsuurium trs- anllaidn des auteurs Je l'ignoi-ais en juillet 4839, lnnque j'ai présenté le Praim funsriaidn comme une espèce nouvelle: Berleley ne la citant pas dans ses English fuvsgi, publiés en 4835, je n'avais aucune raison decmire qu’il en eut parle antérieurement; M. Desma- lièies s bien voulu sn’en donner connaissance. J‘ignora même cequ’il endit: lssllug. o[Zoal.midBaL.n‘ayant ylwousulter cet ouvrage peu répandu en Prsncc.
— 44/A « Persnon n classé oettc production dun: le genre Zïe- msllu, en srouunt toutefois qu’elle s'en éloigne p.n· ses lilamens druétr et pnmllèln. Greville, en 4823, dans sn Flore cryptoguiniquo (Ecosse, et Friu dans ron systema, en ont 4`nit un Fnruriusn dont le curnctère est d'uroir les sporiilies simples, acumineer, (uniformes, un peu oon;-. l1ee«,(Voyer fig. 6 imitee de Gréville]. M. Dumsxiereu plantes cryptognmu du nord de ln Fnnce, cite Greville en ajoutant: u Les rporidies de ~ cette espèce sont si allongée: , qu‘e1ler ressenrlileut à r des [lumens. »· J`ui vu souvent ces lilumens tronquer aux extrémités, nruiu je n‘ui point été assez heureux pour rencontrer les sporidies 4'miformes, aouminees , légîov ment eonrlrées, ligurdes par Gréville. En olmervont avec un hon mycroscope et à un fort grossissement, desiudi. riilus entièrement développés, j‘oi toujours remrrqué des iilrmcni dichotomes , urticules, tels que Oordu les a tigurés dans res [conn /«nguru•n. publiés en 4535. ll range cette plante dans le genre Ducryunnycu qu'il u rnoditié de maniere â circonscrire plus nrturellement les upècer qui le composent. Duur Peut ou se trouve actuellement la soienoe, cette production doit former deux especes distinctes, et peut. être trois, si l'on admet le Fosurium de Gréville, qui nerout classées dans des genres et même dans des ordres d.iB`érenr. . Je n’en resta pas moins convaincu qu`elles ont la même origine, que le Pssiru furorioidar si atteint le degré de perfection dont oetle plante est susceptible, et que l'rulre est un ehtnncrmrl dûî une muse qui me reste inconnue. Pour faire psrtager cette conviction , il (undnit des preuvu qn‘il rn’est impossible de fournir, et que ln diiïi culte de suivre dans ses diiérentes pluies, la vie intime d'un être aussi petit, ue me permet pas de conserver Yeepéronce d'ohtenir. [Tailleurs ou ne pour-rnit, sans jeter Is plus grrnde confusion dm: l'étud¢ de quelques parties dela oryptognmie, réunir ler espèces d‘nn ordre élevé
I — M5 — svec celles qui, partant d’un rsng inférieur, leur donnent quelquefois nsissnnce, puisqtfelles peuvent se reproduire tepnsmm. Les olnervntions de Kuhiug font voir des productions: '·pouvnnt se perpétuer semlslshles à elles-memes et qui cependant, dans des eireonshnees donnee: , se transfor- ment en espèces plus linut placées dans le règne végétal, lesquelles pourront aussi se reproduire sous leur nouvelle formel Ces hits viennent K l’sppui du système de Lsninmln; ilveut qn`nvec du temps et des circonstances hvorahles, la êtres puissent ehnnger de nuture , s`éle·ver dans ln lérie des règnes orgsnisés en eouxervnnt, par la repro- duction, la position qu‘ils ourout scqniser Des observations ultérieures permettront prohshlrment un jour d'¤ppliquer cette théorie nu Ducvgomyu: etau Prsiru des tiges sèches de l'ortie , et de prouver que ees deux espèces ont une origine commune. ln Mag. oflool. und Bot., vol. 1, pi A6, tsh. 2. àinilù , gragurin . urovaumallis , glubro , auvuM€¤· rubn, oupulù, plana-eonaoriu, wulibw. Cette espèce, d‘uue condstance molle et presque géls· tineuse lorsqu'elle est humide, devient dure et cornée en séchant. Elle présente des petites coupes glulares, mugeorsngéeu, ovules, irrégulières en vieillissant ; leur plus grand diametre stteignsut à peine un millimètre. Souventrangées en séries longitudinnlcs. Elles contiennent des thèque: entrcmélées de pnrnpliysu et dans lesquelles on trouve liuit rporidies, ovales linéaires. Se reueontre principalement en mars et en nvril sur les tiges sèches de l’I7rtieu dioioa.
— M6 — ' nmuannm muni, run Cordn, lconu Fnngnn·uÀ, p· 32, L XIV, Eg. M3.: '» Erunnnpuu, nlangnlun pnnleinntuu, aurnmliueun, nnxbggl Iabîmuun , uninuhnx , intun fibrunun. Flwd nanurganlaû dichulumi, upcnli, npm-6: oylindrioin ulrinque hun- uulin, pelhwidù, imnqunlibun, (`mrd. ’ Forme de petin tubercnlen, mngeenngén , ovales , irréguliers, gelatineux, sonnent cnnllnens , nfecmnt des séries longitudinnlzs ; ënlfuisunv, par la deuicaüon. Cum- pcnés de lilamens drain , diehulannes, septén , les nrticlu allongés, ceux de l'exh·émité sa séparant en nporidiess I»on·sqn’0n l’ubsei·ve i l’œil nn, il ex! facile de le oon. fondre avec lc Pmim finmnùidan; sa couleur ut cepen- clxnt ordinairement un pen plus claire, Tn·ès-oannnmnn, presque tnnle l'année , rnr les tiges sèches rle l'I/diem diuicu. 1, Pexiu funriuides et Dacrynmycea nrti•2.—Grnnde\nr naturelle. 2. P. fnsarioides, — Grnssi. 3. Tlnèques et puraplnysex ‘|.n·ê|-grouîes. 6. Thèquu his-grosxies. 5. Ducryamyou nrtiez, — Imitéde Corde. 6, Fnsaninnn urlicz. - lmilé de Grévillc. Non: devons cu densinn 1 lbblîgeannc de noire hono- rable collègue, Ms Picand, qui s'eAL usuré de Pexactitude de notre oluernnüun. I `
4 Ã W v ï Wi? " M Ã/ lfry V
mmènsè nav Google
—-· M7 — UINFLUENCE DE LA NATURE DU SOL n nnnmvnol un v·6¤trA¤x» dévmmlrta par la véglmtùm des amsimm ds Lann . ak Vervins, de Rucray et de Giant. in A. DD LA PONS, nnou DE MELICUUJ, Mlmnl Funnlùm ualmiru (chum: uorbumxth granîlu), nn- plnzda nuuvnut par un bmw du grh au du nbln. Thnliclrum minm, L. Tnesdalîn lepidium, DC. 'Anemone lznlutilln, L. C. Cochleurin mnnmcin, L. A. 1 lvutrm, L. C. Camelinn xntivn, Cu-nutz. Helllbonu viridin, L. K. Alysxum cnlyninum, L. Nigelln nrvnmiu, L. Hzlimlhemum vulgnre, Gœnn. Acln spiuh, L. Vin]: hirw, L Bcrberi: vulgnrix, L. Rewdn ïhyleuma, L. K. Papxvcr hyhridum, L. R. lulec a, L. C. Funurin pnrvülum, Lam. Polygala vulgnris, L. F. vnillnnlii, Loin. Dînnlhux pmlifer, L. F. media, Lois. D. Cnrlhnsînnornm, L. ' F. naprnnlnh, L. D. atmrnhens. Alliau. Siuymbrinm mphia, L. D. dehnidu L. . Arnbù himxn, Scnp. Sxponnrîn nlàcinnlix, L. Turritig gluhrn, L. S. vnonnria, L. Denmrin penkaphyllox, L. Silene utiles, Sm. Euyximum nhdmnthoidzs, L. S. nnhm, L. E. hiennifulium, L. S. camion, L. Nalîn Inniculnfa, Den. làychnis dnicn, L. C. Ind; hncinrin, L. olmîenm umbellnïnm, É.
- MS - Aremria xegemlin, Lnm. Cornu: mamnla, L. C. Linum tenuifulium, L. C. Loniccru xilnslgum, L. C. Gemnium sanguineum, L. Rubia tinntnrum, L. G. pmteme, L. Gnlium divaricatnm, Lnm. Genislu lin¤\mia,L. G. nnglicum, Hnrh. G. nfiluli.1, L. Asperula ai·ven '¤, L. G. pi osa, L. Dipucns pilnnu. L. G. angliea, L. Scnecio nemnremis, L. Dnanis mtrix. L. C. Aster nmellua, L. C. Galegn oflieinnliu, L. Erigemn canndenne, L. Trifnlium un-intum, L. Con uxqnnrrou, L. T. nchraleucun, L. Innlï heleuium, L. T. monmnum, L C. I. mlicim, L. Iutru nllnx I c h Ilm L. I. un-mu-, L. G. Gamgilln vnï-ÃJÈ y ’ Gu:lP\nlinmlu!eo·dhnm, L. Omithopns pzrpuxiiluu, L. G. dmicum, L. Onohi-ychin supinu, DC. Artemizin campem-is, L. C. Orobux tubm-asus, L. Calendula nrvensis, L. G. 0. niger. L. Dnopordum mnnuhmm, L.C. German pudun, DC. C. Snlybum mu-i.mnm,G«znn,C. Spirru filipemluln, L. Carduus pycnocephnlns, L. Ruban nxaüüs, L. C. Centaure. whtimlin, L. Snrbns aria. Crantz. C. Hypnchœrin ghhra, L. ~ S. tm-minalin, Cranu. Tnnxanum lzvignum . DC. Gnolhern bicnnîx, L. Clmndrilln jnucea, L. S¤mpervivumm¤nmnum,L. Luctnea nligm, I., Plnlyxpernum gn-andillamm, Luctnm virnsa, L. M. et K. Trngnpagnn major, L. Cancalin dnunoidca, L. Juione montana, 1.. Toriliu anüizisannn, Gmrln. Pbyuemna spicatnm, L. Selinnm cu-vifnlin, L. Prumntnnarpnu Iiyluridm , Pimpinella nigva , Willrl. lflnérit. Lnxcvpilium gallinnm, L. Cxmyannlz medium, L. (I. Mlmnanh lilmnnxis, L. Vnccmium m rtillnx, L. Sexeli glnucum, L. Pymla mtu nàiolia, L. S. mnnlanum, L. Anclepiax vinceloxicum, L. S. mnnum, L. Gentinnn crncinta, L. S. elatum, L. G. germanica, Willd. Funniculnm vulgare, Gavin. Chlnrn perfulian, L. Bnplcvrum falcatum. L. C. Pulmounrin ofûcimüz, L. Cuum buIbucuIznum,Knch. Anchuu iuiiu, Ren. Conium maculalnnn, L. (2. Asperngu pxvcumheuu, L.
' - HO .. Phynlis nlkelengi. L. Daphne meœrcum, L. Alropa bellmlnnn, L. Thusium inlerm¤diuin,Snlu·an·l. Datum xtrnmonium, I,. G, T. huinifuxum. DC. Hyoscynmus niger, L. Orchis udm·ati¤inn, L. Verhascuiu nigrum , L. et 0. usmlntn, L. pl. var. 0. ximin, km. V pulverulcnlum, Kit. 0. militarh, L. Linaria Thuillicri, Mér. O. fnsm, Ja . Lnlriah, DC. 0. galznhi, Ornhannhc npum, Thnil, 0. pyrnmidnlix, L. 0. epilhymum, HC. Uphrys xnyaden, L. D. clatiur, Sultan. 0. uranil'eu·u, Smith. 0. cœrulca, Vil!. B. O apifnrn, Bud;. Euphnsia lulu, L. C. Epipuctis rmdifloru, Gand. Salvia pntnusitx, L. E. micmpiiuylln, Haliin, 5. miams, L. Limadorunu u.borLivum,Sw. Ajugn chamœpitys, L. C. Iris pumilx, I., Tencrium botrys, L. Asparugus oiïicinuliu, L, C. T. chamœxlrys, L. C, Convallnrin pni_vgnnnLum,L. T. munlanum, L. (J. Mîgrnnlhemum bifolinm , Lsouurux curdinm, L. C. _ Mnrrubium vulgaire, L. Phnlangium Iiliagn, Schrnh. Bnllnln nigru, L. P. raxnuaum, Lam. Shchyn alpina, L, K, Suiiln Iiiîolin, L, S. recta, L. Mumnri rnuosnm, Mill. Nepela camria, L. Ornilhngnlum umbellntuni, Thymus anynou, Chir. L. C. Pruuclln graudiflnrylacq. C, Allium sphœrnoephalum, L, Giobularia vnlgaris, L. Carex arenuriu, L. C, Staline planlagin ~ , Will. G. C. huuuilia, Leyi. Plnntn u amnnrin, Kit. C. Melica ciliuln, L. Euphmîiz gnardiana,.|a«>q.R. M. mnulunn, Hudn, E. cypnrissias, L. C. Kœleria crishma, Pan. Formation nrzmulu anni-•u»·¤ry€Iauu. Auemnne rauunculoides, L. Papaver dubîum, L, Adonis œslivulis, L. Cnrulnmine hirsuia, L. Hzllchnrux viridix, L. C. Nadia puiiculata, Den. Actœu spicala, E., Thlaspi pariuimtum, L.
— 410 - Cnmdinn ntîvn, Cnnu. ‘Lnnîcern xilnntzum, L. Heli¤m}mnumwu|gzne,G<zrux. Gnlium Bocnoni, Alünn. H. pilnsum, Pern. Dipsncnx yilnaun, L. Pulygzla wsspitnsa, Pen. Tunsihgo pzmxiœn, L. C. P. anstrizca, Grant:. Senecin serrncznicm, L. C. Dianthnuûarthuxianurnm, L Gunim squm-rom, L. Snponaria vaœarîn, L. Pyrechrnm carymbuxnm , Sngina ereela. L. C. Willd., K. Aremria segelalix, Lam. Cirsium en-iaphorum, Swp. A. seuoea, 1'huil. Tngnpogon major, L. Impnlienn nnli-tangere, L. Phyieumn spicamm, L. C.‘ Iïlu. enmpœns, L. Primmtomrpnx hybridux , Genial.: tincwrh , L. L'hérit. Onnnis hircina, Jmq. Pyrnh mtnndifolia, L. Lnlh nu hh-xutus, L. Gentiana gen-manica, Wîlld. L. tuïnrnsns, L. Hyascyumns niger, L. Rnhux idœua, L. C. Atrnpz helhdona, L. C. R. Inmentnens, Willd. Verbawnm phlumnidzs, L. Alchcznilln vnlgnin, L. C. V. nigrum, L. Snrhux lntifnlin, Pere. V. alnpecurnx, Thuil. Ribes rnhmm, Digilalin purpnren, L. K. Chrywnpleninm opponiüfœ I inzrin xlriata, DC. lium. L. Orohanche epythymum , (I. nllzrnîfolinm, L. DC. Platyspernum grnndillm-um, O. elatîor, Sulmn. M. et K. 0. cnernlen. Vil!. C. Gancnlis dnnnoides, L. Luthnm sqnumm-in, L. Selinnm canifnün, L. Lysimachin nemomm, L. C. Pimpînella nxonensin, mv Pulygmmm bînwrn, L. C. bis, C. (1) Orchis nimia, Lun. Cnrnm eani, L. C. 0. miliurh, L. C. bulhucastanuun, Koch. O. [nm, Jac . Trinin henningü,M. et B.R. O. galeutn, DE. Gnnium macnlatunw, L. Ophuys mymles, Jacq. Snmhncux nczmnsn, L. C. 0. upxien, Ends. (47 Voir le Pmamne, y. ai, 42 Aunalen deu miam: nnurellu, nouv. uézie, mm. 9, p. 375. — .1'¤i unuvé, depnin, cem plmw I Lnnpnîl, pré: Compiègne.
U. nrnchnitu, Hnllm. Luzuh mnltillora, Lcjcuna. Epipnctis gxandillnrx, Gand, L. pallcmens, Whllwg. Leuœium vemnm, L, L. maxima, DC, Galantlnu nivnlis, L. (Lnwx divin, Ends. Mayanthzmnm bifalinm , Brin vii-em, Lam. DC. K. Fammtôun mkiatawu. Viola canins, L. Genistu Iinctnria, L, V. b. V.m-icmarnm, Sclzrad, G. nagittnlis, L. V. c. V. lucomm , Robin. G. nnglicn, L. C. V. ruppii, Allîan. Ombus tnbemaux, L. C. \'. riviniana, linhb, Primus iniilitia, L. V. lanlca, Sm. . Potenlilla mnesnenu, Ben. V. I:. V. xtagninn, Kit. P. inclinata, Vill. V. lnlea, Ends. C. Alchemilla vnlgnris, L. C. Polygala vnlgarix, L. Alclnemilln la bnda, Aut. V. D. ahlugilblia (P. mnara, Pyru: bullwylleriana, DC, Desv,) Sedum sexangnlare, L. V. c. P. angnstîfnlia. ( P. Saxih-ag; »1¢mb¢rgii,Wi||d(i) mnnspnliana, Vill.) Szlinum c.u·vilblia, L. P. uxyplcra, Ruhb. Pimpinella uigrn, VVild. P. xerpyllacna, Wcihc Sambucus racemoiaa, L. P. amnrn, L. Gzlinm sylvestre, Poll, Linum rudinla, L. V. b. montznum, Vill, Bypcrîcnm dubium, Laux, Scabînsnlncida, Vil]. H. œpens, L, Senecio surrnccnicux, L. G, Ulcx enrnpœns, L. Amina montana, L. C. 15:8, elle irai: en plrinn Irncmîcazian, pruqun mum wa (anima jenna nn Fayml. Imnvèe qwuuprù du llalmuil (Belgique)-
Cl¤ry|antl.1cmnm leunxanllne- Kbînantlmx nngumifolins , nmm, L. Gmcl. V. b. monlnnnm, Willd. Lnonnrns nurdiam, L. Gnaplarnlinm dicicnm, I., C. Galcopsis ochmleucn, Lam. Cenlnurca mnnlann, L. Stachyx alpins, L. Hierncium pellelcrînnum , Lysimaclxia ncmomm , L. Mér. Plnntngo lancculutn, L. H. sabamlnm, L. V. b. Imnnnwsa, Guép. Jnsione monhann, L. V. c. alpin:. Gand. Phyteunm spicnlunu, L. llunwx inlcmicdius. DC. Cnmpnnnln ccrviimria. L. iEpipactis·cnxi[0li.¤, Sw. Vaccmmm myrtullus , L. C. Convnllann vcrhcullntn, L. Pyraln minor, L. Mnynnlluemnm liilblinm , P. ratumlifolia, L. UC. (L. Erica tctrnlix, L. C. Luzula maxima, DL]. Myosotis Xulca, Pers. ;L. mnltillnra, Lniznne. Dngimlix pmpuim, L. C. L. pallcsccns, Whlhg. V. b. (lor: albn, Vnill. C. iAgrnstis rul.u·n, DC . Omhanchn rapnm, Tlmil. Futuna c4m·ulen, DC. Melnmpyrnm xylvatioum L. V. b. M. liltmualis, llnsl. - ` *r»i«.1;« aenummx, P, amv. Faramtiun oalcaiu (valaain Mir au gris}. Hellnlmms fœlidus, L. C. V. lychnilis, L. et sn var. Amhis lmirmlz, Scnp. Digilnlis purpn1·m, L. Tnrrilis glzbra, L. D. lutza, L, C. Heliznthcmum \·n1g.¤m,Gm·tn. Salvin prawnxis, L. Sapnnaria uilicirmlis, L. Tcucrium lmtrys, L. Silcnc nutnns, L. T. chamœelrix, L. Mlumanta libnnolix , L. Galnopsix nchrnleucn, Lam. Buplevrum îalcatuxn, L. Slachis gnmmninn, L. C. Clwysnntlwmnxn xcgntnm , 5. alpin:. L. 1.. c. \1>»;.m1.«x1sca·.«1a.,1.«;, Arhcrnisia nlxsynllninm, l.. (Les Priwaln manquent nn. A. nnmplvmxulu, Vil]. C. pris de Rucrny). Onaporxlmn ucunlhinm , L. llumux ncntnlus, L. C. Klnmpanulzu medium, L, ·l\uxn¤ sempervirens, L. Asclepiax vinceîoxicum, L. Klinphnrhia uyparissiax, L. Verlvawum tlnapsux, L. Iüamxrluum lcndigunm, Gand. V. nîgrnm, L. et ses ur. ;
— 123 - Ranunmlus lingua, L. C. Erin: iutrnlix, L. Callha pnluxtris , L C. Gcntiann pneumomnths , Nymphma nlba, L. G. L. C. . Nupluar lukna. Smith. Erythmua pnlchdln, Prim Dmscrn mlundilulia. L· et xcx var. D. inkermcdîa, Mnyn. Menyanthns trifnlînta, L. C. D. anglica, Hnxls. Grnhula ulliuinalin, L. Pnrnanin palnulrix, L, Pinguiculu vnlgaris, L, Elnlinc hydmïiper. L. Utriculnrin vnlgarix, L. Spevgnln xnbu uu, Swnrlx. ll.in!e1·m¢dia, Hayn. Trifolium nwnnnum, L, Pedicnlarix pnlnsuiu, L. Lotus xiliqnoms, L. P. sylvaulicn, L. Lntluyrus pnluslrls, L. Teucrium xcurdinm, L. Comm-um palustre, L. Sculellariu gulcricnluta, L. Epilabium palustrc, L. Anngnllia tcnclla, L. lsnnrdia puluntris, L. Samulus valerundi, L. Hipynrix vulgnvis, L. Rzmex hydmlapathum , Hudx, Mynnphyllnm spimtum, L. Bnluln puhesœns, Elxrh. Callitrinhe nutumnnlîs, L. Salix rcpmns, L. · Mnnlia fontam , L. Bntomux umbellnius, L. Peucerlgnnm paluszre, Munch. Alisma plantage, L. C, A. 1·mum:nlm«.\u, L. Clînantlne üslulasa, L. Szgîlnwin sagimziblîn, L. CE. Indmnalîi. Gm. Tâglnclxin pulustre, L. (I. pimpinellnidcs, Lam. Pammngnlan, L. nliv. var. CE. ycunedanifnliz, Poll. Orchis palustris, Jacq. IE. phcllnndxinm, L. C. Dphrys manm·chi.x, L. Siumlutiialinm, L. Mahnxis lacszlii, Sw. Hzlomindinm immdalum , Epipantis pdusxris, Cnmlz. Knch, Jnnnus aqunrmsus, L. ll. H. repens, Knch. Luzula nivna, DC. Cicuin viwsa, L. C. Typha lalifolin, L, Hydrocntylr. vnlgarin, L. T. angnslifolin, L Galîum spinulasnm, Mér. Spnrgminm mmamm, Hwdn. \îinzrm·ia xpn\ulwfolin,G¤nel. 5. simplsx, Huds. Semzcîn pnlndnxus, L. 5. naaaus. L. Cirsinm nlemceum, Allion. .Sclw~nn¤ nig¤·ic.¤ux, L. C. V. I:. Cnicns pnlmlnxns. Lois. Llzdmxn gzrmanmum , Snhrad. Tammcum pnlnslre, DC. lâoirpus bœathryon, Ehrh. Sonchus pn|u.stris, L. Eriophurum manila. Koch.
Csltln pslnstris, L. C, fsnillzs étroites très-conn Vinh pnlum-is, L. C. mmm. Drosun rntundifnliu, L. Mcnyantlnu Krifnliata, L. K. D. intermcdin, Hayn. Pcdicularis sylvntica, L. C. D. mglicn, Ends. Scntellnrin gnl¤riculaln.L.K. Polygnlu uliginnu, Rclih. S. minor, L. C. Elntine hydmpipu-, L. Betnla puhesccus, Ehrh, Spergula snbnlnh, Swurlx. Salix rcpens, L. Hypcricum nludnx, L. K. Potzmogctnn, L. div. var. llamurum pnlustw, L. Nnmissus pseudo un-cissus, Epiluhinm ynlnxtre, L. L. E. Ixmrdin pnlustrix, L. Iuncns xquurrusus, L. C, 'Montin funtnnn, L. L snpinus, Mhsnch. V. 11. muinr. V. b. J. uliginonm, Ruth. Czrum vcrlicillatum, Koch. C.lLuzula nigrimns, Dzsv. Hyxlrucutylc Vulgaris, L. L. nivca, DC. Gslium pslustrz, L. Vâcirpus lnœnthryon , Ehrh. V. b. G. debile, Des!. ‘IÈ1·i0pl10rum vaginnturn, L. ` Arnim monunx, L. C. E. pnlyslnchion , L. — V. I1. Vncninium nxynoccui L. Vaillantii , Mér. Erica Iztrnlix, L. C. V. c. mnnlaunm. Genlima pnenmunnnlhc, L. Carzx cannsccns, L. lfespèce rm-e : ls vai-. h 0I1E|vA1'wx. Les lettres C et K plncéu K la |I.\.i\·e de la uyxwnymie, xigniiiunl minimun, mrs.
LA RliPR0llUC'l‘l0N ANORllALIl DES PLANTES SUR CELLE DU CRESSON s us rxvmnu stnntu nn LA nnumnnhx. Découvert du 1**. au Ezlvril 1350, par M. C. Ptctutn. Cette note n été lue successivement E la séance du 19 avril 4539 de lu Société ¢l'Émulati¤n ¢l`Ablxevi|le, ct i eelle de la Sneiété Linnéenne du 13 juillet l8i\D· Vuiei Yentmit du prneès—vt—i·h«1 de la séance du ll'! avril ile tu somme «1*Ei···.1at;m. t· M, Pieux-:1 lit, wus le titre ele Mulléplirulîtm du Plantes, des observations June haute pm-tée philoso- phique, et qui d’:«ilIeurs s'n]¤puient sur une étude nppmtbmlie de la nature et sur des expériences toutes récentes que lui-même n exécutée;. (•) » Nus pt·t>ci:everhaux constatent de même cette leetuw à ln session il’Amie¤s.
— 425 ——- Ce dust que le ll) nuvemhe 1839, que M. Turpin vint prier de ne (ait 1l'InstÃtut d'une mnniêru qui pau- vnit laisser supposer que ce fnit étai! déjà acquisà ln science au qn’il l’nvnit lui·mEm¢ découvert. Dans tous les cas, M, Tnrpin reçut de moi la 30 avril 1839, par Yentremise de M. L.-C. de Bcllnval, une boîte contenant des échuntillonx frais de cresson en pleine rn- pwduclinn et une lettre dont le compte rendu pur l'ln— smnt est une xqmdncüan presque littérale.
— l‘Z7 .... HWTIB ' PRINCIPALEBIENT SIJK CELLE DU CREBSON, Avant de parler de l‘ohjet principal de ce mémoire, il ne sem pas inutile de le faire précéder de considérs. tions sur les sondes de reproduction dejà connus ches les plantes; cette méthode aura Ysvnntiige de eonduire par grndotion insensible, aux faits les plus singuliers , sans causer trop de surprise. ni faire naitre Vineredulîté. · lle mode universel et le plus constant par lequel les plmtteue multiplient ordinairement, c'est ln génétnlion : des ovule: sont t`éc0n¢lé.s dans les [leurs, ils se développent, , deviennent des graines propres L donner naissance Pt un Ly nouvel être qui n'est, en dernière analyse, que La com iinunlion de ln plnnle—mî:t·e. Celte vérité apparait dans tout son jour, si l‘on admet, avec les pltyxiolugistes modernes, que lcs grnines sont de véritables bourgeons développés dans Ynisselle de feuilles averties ou snodiâées de diverses manières, Nous ne nous étenclrons point ici sur cette tliéosic qui enleve I1 la graine tout le merveilleux dont elle semlilnit ieutourer. Elle n'e.st plus, aux yeux des bouusistes, qu`nn bourgenn qui se rlétaclne de ln mete, conserve une vie latente jusquksu moment ou les conditions favorables à son évolution se présentent.
(krtsines plantes, les lilincées surtout, produisent dans Yaisselle dc leurs vraies feuille» de véritables bourgeons qui se détachent de la pl—¤nte»n»ère et peuvent conserver leur faculté vital: pendant un long espace de temps avant de commencer à se développer. Tels sont le lis linlhitière et plusieurs autres espèces , du genre, telles sont presque toutes lesalliaoées, ooit natu- rellement, soit accidentellement, etc. Comme les graines, ees bourgeons soutiennent la plante rudimentaire qui doit se développer plus tard, Le but de la nature dans la production de ees bourgeons est évident; ils remplacent presque toujours les gnines et en tiennent lieu. ll reste, î ln vérité, une bien grande différence entre un bourgeon et une graine 1 c'est la fécondation de cette dernière. Mais cette tlilïérenoe ne seroit qu'opparante s'il était vrai, oomme Raspail le prétend, que les boui·· geons éprouvent une fécondation , une imprégnation vé- ritable en tout semblable I celle que subit l'ovule, fécon- dation sans laquelle le bourgeon nvorte de toute nécessité; dans cette supposition, les organes féoondanl des lions- geona seraient les feuilles et la matière glauque qui rc· couvre lu plupart d'entr'ellu, ln poussière qui rempla- ' cerait cellc des étamines dans la fécondation florale. ll n'est pas néoesaire dïadniettre cette fécondation du bourgeon pour expliquer son évolution; nous verrons plus tard qu’un xiniple globule végétal peut avoir reçu l'irnpulsinn xuilisante pour donner naissance à une plante nouvelle. Soit que la faoulté de se développer lui ait été covnmu· niquée du dehors par nue fécondation reelle, comme le veut Raspail, soit que cette impulsion lui ait été commu- niquée du dedans par la plnnte elle-même, toujours est- il que cet organe possède tous lex éléniens propres à re- produire la plante, et la faculte vitale snlâsante pour opérer ee développement. ll reste prouvé, d’ailleurs, que le bourgeon et la groino
— 119 - sont deux organes analogues, qui tous deux renferment une plante rudimentairv: possédant tous ses organes, soit matériellement, soit virtuellement. et que si l'on admet- · tait avee Karpril la fécondation du lrourgeon par les feuilles, la différence entre la graine et le lroargeon ne serait plus qu’une atloire de forme. Ainsi, a mesure qu`on avance, les faits qui d’alrord pa- raissaient le plus étranges, deviennent très—sirnples et s‘ex» pliqnent facilement, Mais si nous remontons plus haut , si non: pérretrons plus avant dans Parganiaation des plantes, nous verrons, avec Turpin, que la graina et le hourgeon émiant or·igi» nairement une petite vésicule, un globule rlarra la plus simple acception du mot , glolmle qui pourrait rester éternellement dans son état rudimennim, s'il ne rece- vait un jour l‘impuIrion nécessaire ) son evolution. .lasqu'ici nous avons vu ces globules, qu‘on peut ap· peler reproducteurs , ayant aaquis déja tout leur deve- loppement et devenua bourgeons ou graines avant de se séparer complètement de la plantvemère. Feux allons voir maintenant qu`il u‘est pas toujours nécessaire que ca de- veloppement aoit termine ni même commencé, pour que la partie de la plante qui contient les globules puisse être détachée impunément, e‘ext·à-dire sans porter préjudice i ce développement. En d’autres tenues, toutes la parties d‘une plante oon- teuant dns globules capables de donner naisaanca L un lwurgeon , peuvent, apres leur separation les unes des autres, reproduire des individus parfaitement semblables à celui dont elles proviennent, Or, il u’est aucune partie d‘une plante qui na oon. tienne un nombre prodigieux de ees globules vivaces (glolrnlins de Tur-pin); d’oia il résulte qu'il n‘est par un fragment de plante, quelque pctit qu'i1 soit, qui ne puisse donner naissarroe B une plante tout entière, Cela est vrai théoriquement et reellement pour les Irourgeonn des liliaeéu, comme nous venons de le voir;
- lill , mais cela est vrai aussi pour les bourgeons de toute: les plnnluipar cette raison. nous pouvons faire des boutures, Péeuuon et lu grelîe sont possibles: si l'on prend en etiet nn hourgeon sur un arlsrz, et si on a soin de le conserver parfaitemerit intact en laissant subsister autour de sa base un petit rebord d'écnrce , on peut transporter oe hour- genn dans des conditions telles qu'il donnera naissance . à une plante en tout semblable à eelle dont il a été sle- taelié. Gees est parfaitement connu; voiei un phénomène qui ne l’mt pas enenre, Dani l`IIydmclanr€a nmraua mou, la reproduction par bourgeons rlétaelxes est constante; il est nécessaire qu'il en soit ainsi pour que cette pl.¤n\e . qui est annuelle, ne meure point sans postérité, ear ses fruits arrivent rare- mcntà une maturité pmlbile. Et la cause qui a'y oppose, c’est que l'l‘]y»Xmckarù sert de pâture, non pas aux gre- nouillrs , comme Linnee semblait le croire , niais aux · innombrables lëgioristle liunées, ile pnlutlines, de pliyses, que recèlent les eaux xtngnuntes où elle croît; d'une tex. ture molle, ti-agile et délicate, cette plante parait être leur nourriture ile prédilection; aussi, non»seulement les feuilles, mais les llcurs , mais toutes ses parties sont attaquées, et les pedoncules sont fréquennnient eoupnfs avant que les graines aient pris tout leur developpement. . La nature, prévoyant la frequence et les suites fâcheuse: de ces aceidcns, au vloue cette plante «l'une singulière fs- culté: au tbnd rle Venu et par conséquent dans le lieu où les mollusques tl'e«u douce ne vont point les attaquer, car ils prélërent runger les parties qui uagent à ln surface de l'e.¤u· se rléœlnppcnt des pétiales qui, au lieu de por- ter une leuilte, portent une sorte de bourgeon, lequel grossit jusquà ee qu'il ait atteint environ 6 h 7 lignes de longueuret 2 h 2 'ly2 dc hrgeur. Alors il se slctaclue vers l‘automne comme fernit un fruit mûr, s'enl'once dans la vase, y passe l‘liiver, et quand vient lc printemps il s'ouvre et duuue naissance Ia une nouvelle plante.
—- 134 — Cebourgeon est orulaire, un pen atténué en pointe vers l‘extrémité supérieure, beaucoup plus large inté. rieurement, et portant à ln base comme une serte da mumelon; il est tl'un veml foncé et lsrunitre , sa densité est très·granr.le; fai remarqué qu'il n'est jamais attaqué par aucun animal.Si on le coupe soit loagitudinslement, sait tmnsversslemrist, on est étonné d'y trouves- renfermée une plante tout entière , de manièie que quansl le temps est venu il n’y a plus il’outre opération â faire que l'é. lougztion de toutes les parties qui y sont contenues , non pas virtuellement eomme rlaus la graine et lesbourgeons ordinaires, mais positivement et en ràlité, matérielle- ment entînl Cet nilmii-able bourgeon est formé par les stipule; qui, en se recouvrant mutuellement, renferment dans I'aisselle de chacune tl'ellas les feuilles , les tleurs et ju4qu’aux futurs bourgeons qui qe seront mûrs que six ou liuit mois plus tai-sl. (V. tab, 3·., lil I, 2). D‘apres ce qui précède, il est bien établi que la nature emploie souvent leslwurgeonx su lieu des graines dans la i·cprm‘lueti0n des plantes, et que c‘cst un moyen sup- · plémentaire beaucoup plus fréquent qu`on ne le croit généralement. Les faits confirment cette théorie dont l‘énoncé ri priori pourrait paraître rl‘une singulière liarsliesse, si dép le célêlne Turpin n'en avait pmuvé sutlisaniment la vérité. L’ou mit, en nlïet , que cet illustre naturaliste voulant rlesséclier, pour la mettre en herbier, une plante de la q famille des liliacees, la eonserva long-temps rlans un pa» pier gris sans obtenir le résultat qu'il attendait, e’ext-a- elirz la dessieatinn; mais il la vit se couvrir d’une sorte rïeülorescenee grsnuleuse qui, observée a la loupe,lui parut évidemment compwée d'une multitude cle plantes rudimeatairen; ilenleva plusieurs sle ces gmines avec la pointe «·l`une aiguille, les plaça sur du terreau eonvenahle- ment arrosé. et il eut l'indicible satisfaction de voirse rlé- velopper des plantes en tout identiques ti celle dont pro»
— 132 — veunit La feuille qui nuit produit cette singulière géné. ration. Turpiu fest servi de ce fait pour établir sa belle theorie de la globuliue que tout le monde connait. Mais ce fait qui a eu lieu dans le cabinet, on pournrit dire dans le lahonloire du savant, se passe-Lil eiïecti- vement dans la nature, et ce mode si curieux cle repm- duction qu`el|e possède réellement, le met·elle en usage d‘elle»mênre et aens y être sollicitée,j’vi presque dit aidée, pur la moin ile l`hornrne? A cette question on peut répondre hardiment par l`af- lirmslive, s’il est vrai, et nous n`en doutons pas, qu’ou puisse faire des boutures <l‘aloës en liehant en terre une feuille détachée de ees plantes. Mais iei encore l'on ren- eoutre Yinterverrtion de l'hor.nme, et il peraiœait douleux que cette multiplication pût se faire naturellement. Nnua avons acquis la certitude qu‘en etlet ce mode de reproductions entre dans le plan universel, et que c‘e:t un moyeu de plus à ajouter à ceux que la nature posœde pour perpétuer indéfiniment les espèces sur la terre. Déjà, dans mon enfance, j'avais vu, et ce lait est encore nettement gravé dans rna mémoire, tant j‘ai été vivement frappé, j‘nvaisvu, dis—je, sur- la terre d'une eour humide attenante i la maison de mon père , une grande quantite do petits supports ou receptacles renflés qui soutiennent les épillets de |'.rvoine ordinaire, donner naissance À une herbe excessivement commune. Lorsque je Ss rues études botaniques , je repuussai le témoignage de ma memoire etje clrerclrai h me persuader- que j'avsis rnol vu, rnaisla conviction me rerint quand je connus la decouverte de Turpin ; cependant si Yautlrerrticité de cette observation était snflisarrtc pour mai , elle n'était point telle que je pume la publier, je me eonteutai de la comuonuiquer i M, '1`urpin qui rr'eûI pas de peine à l`a«lrnettre avec moi. Aujourd'lrui je viens armé de deux observations: l’nue date d’un au et l’su\re de quelque: jours seulement. Voici la première. Pendant l'antomne de 1837, eu re-
mnant La terre dans un tout petit coin de mon jardin, je bi-ini un ognon de lis (Lilian oandiduna bin.), dcut je jetai les débris. Le printemps suivant, avril lB38. je vit sortir de terre, et i la ruQme place, de petite: feuillet de liliacéœ. je fouillai et je soulevai une écaille de lis que favais laissée Il, sansy prendre garde; cette feuille encore succnlente , quoique un peu vidée, portait au sommet et sur chaque côte un petit ognon muni de ses écailles, de pelitu feuilles et de racines; il m’eût été facile de les aé- parer et de les faire vivre isolément, fai mieux aimé lea conserver en herbier; ee sont eux qui sont rcprmentéu ` planche I". ll reste démontré maintenant que le lis peut se repro- duire non-seulement par ses graines, quand il eu porte, mais encore par les cayeux ou bourgeons qui naissent L la buse de Fcgnon, au pourtour du plateau; que ces deux moyens ne suilisant point, des bulbillei peuvent se déve· lnpper dans l`aisselle des feuilles, ainsi que cela alieuqueI· quefois; eulin, qu'aprèx la destruction de l'¤gnou et du lmurgeun central, chacune des écailles isolées peut au couvrir de bulbilles et fournir ainsi un quatrième moyen de multiplication et de reproduction. Quoique fort remarquable, lc fait que je viens de dé· crire Vest moins que celui dont il me reste à parler; en eLl'eI, comme dans la feuille observée par Turpin, le pa~ renebyrue des écailles de l’ognon de li: est épais, gonllé de suce nourrieiers; il est recouvert d’un épiderme peu pennéable qui empêche Yevaporalion de ees sum; ainsi cette partie restant enfermée dans un lieu humide , comme la terre, a pu conserver long-temps asser de vie pour donner naissance à un lvourgenn par Yévolulion 1l‘un ou de plusieurs de ses globules. Ces conditions sont bien loin de se rencontrer dans la cresson de Fontaine [Syùnbrium nautnrtfu•eLiu.), et ce- pendant uoui allons voir que la plante peut se reproduire et se multiplie aussi au moyen de fraguieus delachésdn ses feuille:.
' " ~·— lili ; ll est hon vlc Paire oluerver, <l'ailleurs, que les exemples rlr générsliun lêssipwe observés jus<ju’iei ne sortcnt point a·l’unc classe de plantes les mouocntyléalones, dont l'oa-ga. nisatian parliiitcmcnt tnmeliéc pouvait faire croire qu’e1lc lui était particulière; mais il n‘en est rien , puisque voici une dicolyledone qui oiïre le même phénomène. Voici commen! les chosesse passent et ee qu'iim'a ete permis d‘ohs·ervcr. Vers le milieu du mois de mar; alc cette annee, j'avais rapporté d'uvae de unes promenades une poignée ale eonfea-· vu, dans les fils de laquelle étaient engagés un grand noruhre de coquille: a\'uae très-peaitc espèce (Pluannbir evirtatur), qui m’int6ressait beaucoup; c'était la première [ois que je la trouvais dans notre pays. Arrivé eliex moi . je mis mes eonfervcs dans l'eau et j'y decouvris un grand uouibrc de foliolu détachées alu cresson de Fontaine; quelques·unes étaient dans l'état or» alinnire. mais le plus grand nombre portait à la hue du limbc et a la uaisunce du pedicelle , dc très»petitex ra- dieelles qui ine paru rent Etrc le germe a.i'une plante uon· velle; je ploçai sur Peau, dans un verre, ees folioler, et je vis sous mes yeux se développer de petitcs plantes ala cresson qui pawèrent par tous les degrés alüaccroisement figurés dans la plnnelae 2**. Je rrtnurnai visiter le liasse qui rnhveit fourni ces folioles, je le vis couvcrtd‘une mul· titude alc ces petites feuilles portant chacune une ou plu- sieurs plantules déjà liicn développées, la plupart longues de 1 a 2 pouces, alhulres de A î 5, aujourdhui 15 nvril ABB!). Quelle était la cause qui iiveit détaché tant de milliers de pelitcs feuilles? Je bâtis d`nherd plusieuis hypothèses our mc rendre compte de ce singulier phénomène, je ïattribnai à ln voracité des mollusques (luviutiles , mais je dus bientôt repousser- cette conjecture. En clîcl, je p.u·vius En u¤'am·a¤-er que c’étnit l'neuva·e rl‘une espèce de (ri one. On suit que les îarves de ces inseeter ienveloppzut
- 155 —— · d’nn fourreau compose tantôt de petits grains de sables disposés en mosaïque, tantôt de petites coquilles, de frag- mens de feuilles, etc. Celle dont il est ici question lritit sa maison portative avec des hrins de plantes, des pétioles. Elle choisit de préférence le cresson de Fontaine et les jeunes leuilles qui sont restées sulrmergées pendant l’hi- ver; lc petiole tendre et succulent de ces feuilles se laisse diviser. La larve coupe avecaa machoire la partie snpé— rieure de la feuille et laisve échapper les fhlioles dont elle n'a que faire . puis elle coupe, sur la portion de pé- tiole restée en place, un lrout de la longueur qui lui cons vient et Yngglutine autour d’elle de manière i former par la suite un tube, un hexagone, Ce sont ces lhliolcs abandonnées B elles·mémes qui doivent produire sle nouvelles plantes de cresson. Dès qu‘elles sont détachées de la tige, leur pesanteur spéci» Equc étant moins grnrrsle que celle du liquide anilriant, elles s’élèvent par leur propre poids et roguent ) la sns~ face, poussées d‘rilrorsl de côté et d’autre par le vent. On sait qu une 1`cnillc placée sur l’eau par sa face infé- rieure oontinue L vivre, lundis que placée par sa face supérieure elle périt nécessairement et en peu de tempsà ccla tient à ce que la fsee supérieure des feuilles est des- tinée à l’al.raorption et la laee inférieure I Yexhalation. Les î`olioles,en a`élevant au dessus de l`ean, se placent d'clles—mêrnrs par leus· faee inférieure. et comme elles sont légèrement pliées en lnrmc de nacelle et de cuvette, ni le vcnt , ni Pagination de l'eau ne peuvent changer cette position. .lnsqu’ici donc toutes les conditions né cessaires ir la continuation, â la conservation dela vie dans l`intéi-ieur de ces petites feuilles, sont rigoureuse ment remplies, et l`on ne doit pas s'etonner de les voir persister un temps,plus ou moins lang, surtout si l'on re- rnnrque que ce plrcnonrène a lieu pendant les mais de umra et d'avril, époque ois l'ar<lcur du soleil n’est point encore assez grande por.u· altérer Yépiderme de la face supérieure de ces fragmcus de plante.
» — M6 — Qîelquu jours apres que cen folinleu ont été détachées, il ut facile dïpereevnîr, avec une loupe, une petite élé- vation comme nn peint blanchâtre qui se montre non- •tamment à la face supérieure snr la nervnre médiane et i aabase, précisément i la naissance dla pétiole secondaire. Ce petit point d'ab¤rd imperceptihlei devient, en Vallon- gnsnt, visilale i l'œi] nu; nn peu plus lard il et! facile d'y reconnaitre une petite radîcnle qui,a'é|Ant d'a.hord allon- gée perpendiculairement, se courbe sur la feuille, en suit lu contours et va se plonger dans l'uau; peu après l'appa- ritinn de la petite rae-ine, on rlstcnnvre une petite proémin nence blanchâtre qui en shllongeant devient d’une couleur v¢rte,c'esl lelsourgeon ou laplnanuleqtiiaedévelnppe bien; lôt en une veritable feuille; cette premiere feuiI.le, ainsi qn`0n peut le voir fig: 3, pl. 3, ne porte jamai: qu'une seule folinle terminale, il en est ele même xle la seconde; la troisième porte nlenx fnlioles latérales, et celles qui se nlê veloppent. emnite ajoutent à ce nombre une paire de far . lioles jusqu'} ce qu'eIles revêtent tous les caracteres de La feuille complète du cresson (l). Par suite de ce developpement on comprend que la foliole isolée qni «.l’u.lwrd se soutenait facilement au- dessus de l'eau , ut maintenant forcée de s'y enfoncer sans cesse davanlngeà mesure qu’elley ut wllieitée d'une part par Yaecwissement progressif du poinla de la plante, d'autre côté par la tendance dns racines à s‘al.lnnger pour atteindre la vase. ‘ Pour obvier i cet inconvénient qui, en sulsmergeant (I) Il est evident que den, un globule intérieur reeuuvert enmre d'alxm·li¤t£1ieuvement en soulevant et en poussant devant la pel· q¤'ii pourra pin: tard, pour venir ai |'air libre, ae recouvrir ¤l`¤n
-— 137 ·-· . la petite plante empêcherait son développment ultérieur et la ferait périr , le vent on ls simple agitation de l'air a poussé les fnlioles de otite et d’autrc, et celles-ei se sont engsgéet et aceroelsées d’sl>oivl , soit dans les masses de ounfervet , soit dans les mousses ou dans les herbes plianérogsmes qui les soutiennent constamment an-dessus de I’eau. Tout a été prévu, tout s été admirsblement combiné pour que des frsgmens xle feuilles isolée de la plante-mere, si souvent détruite par les frigsnes, deviennent un moyen de multiplication, et ee qui devait en apparenoe détruire ln plante cn a fait naître une multitude. Ainsi, par une cause ou psr une autre, le cresson n’s pn fleurir, ses gninu n’unt pu atteindte leur maturité. Quelques individus cependant se sont conservés malgré les rigneurs ele l’ltiver; mais le printemps arrivé, les fri- ganes · pour se bâtir lens- fourreau , les Iaillent, les cou- pent de toutes les façons, en nsoreellent les tiges, en coupent les petioles et en dispersent les folioles; qui ne croirait nuire plante détruite ljamais? Bassurez-vnunr Nr cette nlestrnetian apparente est une fécondation véri· table, et de ees frsgnrens dispersés vs sortir une génération vigoureuse qui vous rentlrs mille pour uno. Ainsi donc celui qui vouxlrsilélalslir une cressonnière n's plus besoin de chercher h se procurer des gnines; il n‘a que faire, non plus, de trsnsplanter des individus entier ; qu’il ramasse sn printemps quelques leuilles, qu’iI les lsrise et les disperse sur l`esu , et il les verrn germer en quelque sorte et donner de nouvelles plantes onrnine s'il eût répandu de véritables graines. Ici on le voit, les ell`orts de l'ltonsme n’ont été pour rien, tout s‘est fait et tièsliien fait sans lui; ee qui n'énit encore qu'une tlséorie est devenu un fait réel et ordi- Sans doute la multiplication par les feuilles n‘cst pas l’sttrilsut d’une seule plante; quant is moi, je suis con- vaincu que ce moyen est employé fréquemment par ls
——- MD - ayiu Ànmulù, (rnclifcrîs nucctîn, upalù ohlusis erwticù. O ln agrîs, pucnix, ele. 2. S. ·¤petu]n(L. num,.) cnulc crzclo 1 hd rnmnso, ramh lawrnlibns adsccndcntibus, [al. lîncarihut urislatin Dani dlinlù, p•üum.·ulù deyînmlù aamyar enclin vix in- nlinntîn, sepaliu nbtnsix , utcriorihus dnnbux brzviuimc mucmnnlaüx, mncmnulo incurva. Q ln murix Abba- vîllz (Picard], etc. 3· S. nhinla (Fries nov. ml, 2, p. 58), unnlv: n busi rn- moso mmis que erzctis, fzl. linenrihna brzvîlzr npicnl¤· Qi; gI¤brù,pudum;ul€u daflunztia nmpnr nructù, sepnlis ohtnxis. Q Camhnm, ad rîpu Snmunzz.
— IM — 11>lhAR‘E!I IBAIBJIB MBBIIXIVJIIIB luna Ip; environs de l¢l¤l—l¤|¤d (Nnrd), au IM'} , EM GL. a. Lim, EMM a. ‘l'fMm«r Crncîfêren. Slnupis nîgra, L. V. b lnrgidn, Pm. - Lupidinm mdzrnlz, L. llmnémcéss. Drum-a rntundifolin, L. Légnmiueuxs. Gznista mgüu, L. — Lnlhyrns adnr> tus, L. llnsanéu. Kuhn; cnrylîfcllnn, Sm. Halungéeu. Myrîophyllnm xpicatum, L. Jmsidnx. lsnnrdia pnluxtrin, L. Lylhnrlécs. Peplix pannla. L. Ombellîlëmu. Coninm mnculntnm, L.»Apinm dulce, Mill. Bubiacéu. Gnlinm Aylveltre , Poll. — V. I: G. |npi» num, Lam. - Galînm xylvnticnm, L. Synmthéréu. Cinzmria mpntrîn , Kun. ——· Senocio pnludoam , L. — Senanin nn-w¢ni» cm, L. Cbryunthemum nngetnm, L. — Cenlan. rca jme:. L--V. lt cuculligern, Rchh. Cmlauma punîculalu, L. - Hypnnhxzrîx macnlntu, L.—Bypocluœris glnbra, L. Vucniniénx. Vmcinium myrtillnx. Trèannmmun. Lu tiges de ce! nrlzrinem servent \ hin des hnlaisquz Ynnvend ïV¤lznci¢nne¤. . Ericînéu. Erica tmnlix, L. Fort nr;. Pu-mnnécx. Drolmmnhc mlzcnx, Wnllr. Paruile mr les ncincx de ln lumme cultivée. Lnhlées. Gnlonpslx tnnuzlzît, L. - V. b G. gmudè flan, Mn!. .
-—- lb`! - ` Primulncéu. Bolton}; pnluntris, L. T¤·èx—conuuunc. Phnlnginécn. Plnnlugn wrounpuu, L. Chénapodéeu. Chnnnpodinm urbinum, L. Arislolochiécs Asnmm europmum, L. Urticéu. Urticn dinica, L.——V. bl!. hispida, DC. Alîuuwéu. Alîxuu plnutagn, L. -—V. b angnslitblin. .. Alismn rauunculoidcs, L. — Mîsmn Dummminm, L. Polaméu. Polnmogclnu nauus, L. — P. lucuns, L. — V. b lnugifolixm, Guy. - P. cris- pun, L. —V. b P. Iuelcrophyllum, Snhmb. —P. pxuillus. L. —· Za¤ni· challîa pnluxtrin, L. Lîliacéca. Scilln pntuln, DC. Jnucéu. Juucns squm-rnsux, L, Commun. - J. wpinux, Munch. » V. b J. supinus nliginosnu, Schr. —J, hufnnius, L. .· V. b mpem. - J. tnnngein, L. - V. b J. gvncüix. ·- I. Imltuicua, Wahleuls. — Lnzuln multillum , Lejeune. - V. b gignnteux, Gand. Cypénoéax. Schœunx compreunx, L. —Snirpus uta- czns, L. - S. ncicnlarîx, L.—S. oœ•yi» mus, L. — Carcx cypsroidcs, L. (1... Hardcîxüchnx, Vil!. Graminéu. Hnlcus mollis, L.-Anthoxnnthnm ado- ratnm, L.- V. b villnsum , Luis. — Agmxljn nuninn, L.-—V. A rubrn, DC. -·A. intnrrupb, L.- Aim onnesncus, L.-Aven: dnüur, L.-—V. B. A. pm cnwrin, Thnil. - Dnnthanîn docum- hens. DC. — Funtuca «lurinsculn, L,- F. longifnlia, Thuil.-F. mhrn, L,- F. zlntinr, L. ·- F. luiiacnn, Und:. —— Lulium multiflurum, L. Abbevilln, imp. de C. PAxx.1.n1·.
r,*;;ï® U;Q\ 1} gl W ï“i <*° ,W < NJ M JM « w« > $ M “\\\‘~ [ rr ;"l`;à P`,1/` Www 1; J ; M W W RW W N ix Qlw ,` ` , WY " " x, mh `\\ MQ °i à X u` ~ 1 îsjîf É r T ` / ~ ¤ È y N lrïï \ [ x ` ,« % 2 M, X E A U
à mmènsè par Google
f"`« M ) 5 J/J \ ; · - ' \ L//7 _ `_` 4 » j ~~ è ; FA xi? ~ » \\ S " Q ; J> ,]/ \
S u Q _ mmènsè par Google
! ~s Ã/3 f V \ \'/ r, \ f >;
/ mmènsè par Google
` ` ` i · ` \ ` ` ‘ i ' · î \ . \ i mmènsè par Google
A mmènsè par Google
N2 3. LES INSECTI-ZS DIPTÈIIES QUI IIUISENT AUX uineeees mms 1.'si1·.u· ne vèaiârnrow, QM ./6, J. Theme Plus les seiences font ile pmgrès, plus Yunion qui les lie entr‘elles se montre intime. et plus nous éprouvons lu nécessité de ne pas nous renfermer deus Yetutle de celles qui out pour nous un nttmit de prénlileetinn , et ile nous initier uu moins A eelles qui en approchent pur le plus de rapports. Cest ninsl que les dilïéieuten ln-anches des sciences natumlles auxquelles nous veunns notre culte , se pxêtent un mutuel secours; que lu mulogie est devenue inséparable de ls géologie par tous les débris <l'auimuus que renferment les cnuelxes de lu terre; qu’elle ne l`est guère; moins de ln liatanique et de l`n. grnnnmie par une multitude de relations qui existent entr'ellzs. Jlni cru qu‘il pnuvait être de quelqu’utilité de réunir plusieurs ubservatious qui ont été kinites reeeinnient tant par des naturslistes reemuumndnbles que per nini, sur des insectes qui attaquent les céréales dans l`étx·t de vé- gétntion , et qui sppurtienncnt A l'm~4lre des Diptères; mais nvnnt de les signaler, il est nécessaire de rappeler De qui avuil été nlxservé antérieurement. Linnte, llont le grsml noni est inscrit sur notre lmn- nièue, tit c<¤nnaîIre l.¤ Mumx 00, appzwleunnt actuel,
»— MÃ - lement au genre Orcinia, Lnlreille; Chluropn Meigen, dont la larve vit et se développe dans lea glnnias de Forge , et qui exerce de grands ravages cu Suede. Après lui , l5jei·— under signala Füwinù pumilionia qui devaste le seigle nain auni en Suède, et la lllwcu awmu qui se jette sur le: avoine:. Ensuite, Falsricius decrivit l’0»ci~:ù liuntu qui lialaite le claaunie de Forge. Plus tard, Olivier fit ounnaître le developpement de larves qui font périr les plantes dn ble en les rongeant au eollet ile la racine , et dans le:quelles il crut reeonnnitre celles de l’0minù pumiliowis; mais ces diverse: descriptions se trouvèrent insulnaantes pour enmeteriser ces insecte: avec oertitudc. Depuis Olivier, un nm: grand nombre d’espècu de ee genre avaient été décrite: par Meigen et par nous, mais sans nouvonux uenseignemena sur leurs larve: et lenrs liabitudea, et nos connaissances sur ees ennemis de noa céréales étaient dans eet état ai peu avancé, lors- que tout recemment plusieurs observations sont venues nous apprendre quelque cliose de plus précis sur le developpement de nes Dipleres. M. l>hilippni·, professeur de culture i l‘école normale de Versailles, a observé, en mars ISSO, des pieds dc seigle d'auton:ne plus tuméûéa que les autres, et plusieurs brins egalement plus gonflés. En ouvrant en deux les pieds tnméûéa, un apcmevnit, plus facilement que dans Féht normal, les Curculiun et le plateau. Ces parties avaient acquis en général un cerlain degie de développement, d‘apres les atteintes plus ou moins pmfonde: d`uue larve qui se lenait au collet de la plante, dans lequel elle intmduisnit la moitie ou les trois quarts de son corps. Ces larves ont été suivies par M. le professeur Audaniu, à Paris, etil est provenn deux Dipleres: Fun a été ra. connu pour l`Ou.inia pumilionir; le second est encore I determiner. M. le docteur llngonet, membre de la Société Acade- iuisjue de Châlons-.sui·-Marne, a observe, en juillct 4839,
—— M5 .. une larve logée dans l`inter1eur du cbaurne alu froment. En divisant longitudinalement la paille, Ã partir du nœud supérieur, on découvrait un détritus abondant, opéré par la larve qui rongwit les cloisons rnédullaires de ln tige du haut en bas , en passant h travers les nœuds dn chaume q·n'elle perçait avec une granrle facilité. On apercevait de prime abord , dans ler champs cou- verm de froment de la plus belle apparence , un gmnd nornbra d'epis faisant contraste avec les autres. Ceux-ei courbes. ceux-là droit.; et présentant les signe; d'une maturité préoowe. Bien de plus titcile alors que rle tr·on· ver la larve dont il est question. Chaque pied de (ro. ment ft épi droit en r·eut`ermnit une. Lorsque le moment de la moisson approcha, qu'allait devenir la larve renfermé: dans l’irrter·ieur du chaume? ll n’était paa probable qu`elle achevât de parcourir- las périodes de son existence et qu'el.le arrivat a l`état d'in- œcte parfait, avant que la moisson ne vînt lui disputer la plante où elle avait établi son tlurnicile. Tout annon- çait, dans ser habitudes, une prolongation d`cxistenee nous sa formeslu moment. Il n’était pas plus vraisemblable q·u'ellc se laisit emporter avec la récolte pour aller subir sa transformation loin des lieux ou une nouvelle géne. ration devait trouver son existence. Cependant elle avait su éelrapper au rnoissormeur sans déserter la place. A la En de juillet, les blés falsattaient de toutes parts; les larves uvaieut gagne lo partie de la tige la plus voisine xlcs racines, et s’y étaient reufcrrnees dans une retraite eonnnode qu’clles s`étaienx oonstmites â la hâte , et dans laquelle elles devaient passer l`liiver. Cette ratraitc con- urte dans un l'ourr·cau qui descend presque toujours juxqu‘au collet de la plante, et qui paraît compoxenl'une sorte de papier formé de détritus de la plante, au moyen dea snes salivaires fourni: par bouche de la larve. Cette observation n‘a pu étrecontinuéc jusqu'a la naissance de Pinseete parlait qui . suivant tonte appa- rence, appartient aussi au genre Osciru. p
·— MB 4 Au commencement de juillet. je reçue de M. le dw teur Herpin, hahitant liebouraiu, département de l’ludre, un paquet de tiges et d'ép·ia de froment, contenant - des nymplies d'insectes dont il mo priait d`ol>sex·verla · derniere transformation et de determiner l‘espèce. Ces nymplies etaient renfermées chacune dans une coque, etmout.raientqu’elIcs appartenaient a1·onI»e des Diptères. Chacune d’elles se trouvait au has d`un sillon creusé sur la surface extérieure du chaume, mais cache par la feuille qui entoure la tige, Ce sillon s’etendait depuis le has de l'6pijuaqu'nu premier noeud. ll m`a paru evident que la larve était sortie t·l'un œuf déposé au bas de |'cpi; qn’el|e se nourrit en mngeant la surtace du chaume, de maniere à s’y former un sillon, eta avancer en descendant jusqu') cequ’elle atteigne le premier noeud qu'elIe ne dépasse jamais. Gest li, qu'arrivee au terme de sa croise lance, elle passe l l'etat de nymphe. Cependant il arrive quelquefois que la nymphe. qui devrait être toujours I Fextaeinité du sillon. se trouve plus ou moins vera le milieu, ce qui semble prouver que la larve, npiia avoir otteint le nuzud du chaume, a remonté vera l'épi. Enfin, î la fin de juillet, les insectes parfaits sortirent de leurs coques et je les reconnus pour des Omïnie lulu. espèce que j’ai décrite en l’etat adulte dans les Suite: A Bujfan, édition de Karel, .l’:ii trouvé dans nn asser. grand nombre de chaumes, au lieu de la nymphe de l’0acini:, des petits hyménop. tei-u parasites dont la larve l'avait dévoree, lls sont de deux especes : un cynips et un lchneumonide du genre Bxaoon. · Les céréales sont cncoie exposées aux attaque: de deux autres Diptères. mais d'une trilmwesrdifférente dela pri. cetlcnte, ce sont du tipulaires: l’uu estla Iïpnle hitiei. observée en Angleterre par Kirhy; l'autre est la Cat-idomyo demonter, connue dans l’Itméi-ique septentrionale sous lc nom de mouche de Hesse, pince que l'on croit que les
— M7 - tmupes_ llessuises l`ont apportée avec ln paille de leurs chevaux, pendant ls guerre de lïndépendsnce. Voil) les principaux ennemis dont Yagrieulture doit chercher iprészs-ver les eeréales dans Pelot de végétation, et il y a un grand avantage 1 les connaitre; e'est la moyen de parvenir à détruire on i diminuer les ravages qu'ils commettent. Le plus ellicnoe et le seul peubêtre est t'l’aIterner les cultures pour olivier à la lrop grande multiplication de ces insectes. ll arrive trop souvent, dans de nombreuses localités, que la terre qui produit du linment est ensemencée d’orge ou d'avoine; qu'un grand espace de terrain porie ainsi de? céréales pendant plusieurs années consécutives, et que les insectes dese tructeursy pullulent i I'inIini par le fxcilité de se nour— . rir. Si, au contraire . ou fait succéder aux céréales des plantes d'une autre nature, ils ne trouvent plus l'oliment qui leur convient, et ilx doivent nécessairement périr ou se disséminer. · (Test sans doute) cette cause, c’est au perfectionnement d'un amolcment divcrsilié, que le Nord de lo France doit Pavanlnge de n‘sv0ir que peu ou point à soul`li·ir dc ce fléau qui se répand trop souvent sur des pmvinees entières, Espérons que la cause en etant mieux connue. grâce i l’n¤ocintion de l'En\omologie et de l’Agrouomle, nous verrons disparaitre ces luneatcs devnstations. J. MA(`·QllART.
mmènsè par Google
IOLLUSQUES '|‘EllllES'lRES ET FLUVIATILES DANS LE DÉPARTEMENT DE LA SOMME Y ‘ En A @. ‘£»««z. PI\Él?ACE· ' .l‘si lougàemps étudié les Mollusques de notre pays; le tnvsil qui vs suivre est le resultat de ces études, La l`0rmc nous laquelle je le luis parnltrz est Insee inuxitee pour que je doive, l ce sujet, donner quelques explications, Mon premier projet avait été de suivie les tncesui lsonorobles de MM. Millet, Clmrles des Moulins, Collard des Cheries, Grateloup, Bouillet, Bouclurd, etre. , et de tous les eoncliyliologues qui, écrivant seulement pour ceux qui sont déjà prolbndéinant initiés nux iuyslèru de la seienee, se sont contentes d`olîn-ir un catalogue i-si» sonné , un tsblenn méthodique de ce qu’ils ont pu ula- sei-ver dans les localités q¤’ils avuient explorées. Tous les snvans, tons les hommes spéciaux ssvent quels services ile pareils tmvnnx rendent à lu science, et nous devons l`sire des vœux pour que ehaque province, ehaque
— 450 — département puisse ûnirnir c1r ce genre son utile con- tingent; e'est de cette maniere seulement, et en réunissant ees préeieux matériaux . que dans l’a¤venir on pourra connaitre lou! ne que pnsseilc notre France déja si riche. Sous ce rapport , fespère que nouv: ouvrage ne sera pns sans imporuinee. Malgré les reeherelies ineeuantes desnntni-alistes, nous appmterons ia la listr des espèces trançaises nom; contingent; un Cyclos nou décrit eneore, si ce nïzsl en Allemagne , et un genre tout réeent le Dveirserno, rnollusque extrêmement curieux et qui ine qu’à présent n’nv§t été trouvé dans aucun (leave français· Nous ne pouvons néanmoins avoir la prétention d‘avoir indiqué tout re que l'on trouve dans les limites du dé. partement de ln Somme; malgré nos rechemhen, malgré un assezgrand nombre ¤l`espècns ajoutées pnr nous à la listé de ee qui Mia y était eonuu , il est impossible que plu- sieurs n’nient point échappé a nus investigations. Pour apprécier l'ét.¤t des connaissances conchyliolo- gique: dans notre pays, il nous sullira de dire que her; M. Honcherxle Crêveeœurpère, M. Baillon et moi, je doute que personne se soit jamais oocupé de cette hrnnelre si intéressante de Fliisloiœ naturelle. On devine aisément que le nosnhrc de points exploré: · se trouve, par ee fait, extrêmement restreint; Amiens et quelques localités Zi l`enlour par M. Gm-nier, Abbeville ' par MM. Eaillon, Boucher et moi, voili tout oe qui a été ipeuprès exploré; maislcs arrondisemens de Montilielier- de Doullens, de Péronne, les dunes du Marquenlcrre, les plages maritimes de l'autre côté de ln baie rle Somme, sont enem·e viergv: de mule investigation quelque pen sérieuse, Tout ilenc étaitk fnim, et notre histoire des Mollusques n'ovnit été précédée d'uucun travail qui y ait rapport ou qui pût servir de point de départ. ll est vrni de dire cependant que le nombre des espèees à découvrir est peu eonsislérruhle , et nous pouvons atïir-
— l5| ... mer rhvnncn quiil ne dépassera pas une vingtaine. [A wnnparniwn de notre nntnlogue icelui de M. H¤md.sar¤·i(l), dnnnem un caxnclêre dïvixlenee En cette supposition. h liste du P¤s·dn-(biais contient 99 espèces. (klle de la Snmmm .,,.·., . . 95 Ditïéuenee en ùwenr du Paule Cuhis. A Mais cette diliéwnce estlxien nuire si l'0n uonspare les especes les unes aux sutres. Ainsi, le Pns»de-Calais fournit les espèces snivinnles qui n’0nt point ennnre été rencon- heex dans notre dépnrlensenl: Arion (iavus. · -- liorlensix. . ' Limnx. ,- nrl.»m·xsm , species nova. Helix scricen. Suncinea nrenarin, species nova. (llnnsilia solida, ,r~ ventsicosn, Pnpo mcale· —— winlcninlîs. Cnryehium perxonatunx, . (Lyciostnmo mnculstnm. Plannrlxis imbricslnn. Paludina anuhz. A ——— nchntîna. Valvata minutn. --- spirurbis. Unio piclornm. ..·· tnmida. r En tout alix-nenfespèces. (4) Cnulngue des Mnllnnqnes xearsmas et h·vlstües,ob•n-vds A lent viunt dun le dépsstuneni duPu·de·CuI~ia, pu M. Bm.
— I52 — Mais de cette liste il fmt déduire Unia Munro qui n’ut point une espèce , mais une sléfornmtion qui «·l‘uiI. leurs es tmuve dans notre departement, et Sueeiuc ni-annie que nous ne croyons point une espèoz; rente donc dixupt espèces, parmi lesquelles nous n’su décon- vrons pas une seule qui ne puisse habiter nolxe pays. ll y a donc toute proha.hi1it.é que tôt ou tard elles feront pertic de notre faune. Dine cette supposition , noos aerionaplus rieha que le Boulonnais, mrlex espèceiqu'il ne possède point eoot les suivantes : Arion anbfnscos. . Helix fulvn. ` î limbata. —— lipieida, -— eamlidnla. Claueilie plicuta. Pupa doliolum. —— cincrea. Vertigo pygmum. ' Ncritina iluvistilix. Dreisene polyruorpbu. Cycles nunleua, ` Unio crwiuima. En tout quatorze espèces. Si, griee i nos dunes et L la grande variété de oonli» gurntion de noue aol, i non grandes forêts et à la Somme dont le volume «·l’e¤u est plus important que celui du rivières du Paula-(hlnis, nous pouvons esperer de dé couvrir ches nous tout ce que possède le Boulonnais; il n'en.estpos de même de ee dernier par rapport A nous. * Trois especes nous paniuent appartenir exclusivement i notre pays : le Nuitùw ;iu¤i•xtilis, dont Yabsenee done le cntelogue de M, Bouchard est extremement remar- quable, le Duùsmo palqmerph et le Iîwio ovsuùsùm qui tous ileux hebitent du eaux profondos nt auei n·
— IES .. pidea._Ains·i, en même tampa que le Pas-de-Calais peut a’enrichir d'uur. dounine dkspècex, nous pouvons au acquérir dix—sept, Non: nomma: donc nn peu moins avancé dans nos recherches que M, Bouchard, ce que courtate du rute le chiffre de la ditïereuce absolue entre ler deux catalogues. Si vingt coquilles sont peu de clrcxe en ellesmêmes, c’e.at beaucoup néanmoirsa comparé L la tolalite de notre faune, c‘en un cinquième. Maia fallait-il, awnt de publier ce travail, attendre qu'il fût aussi complet que possible? Nous ne Favons point cru. Les recherches individuelles, los·squ‘ellea sont srriveea L un certain point, ne peuvent guèoe aller au—delt; il faut, pour avancer, obtenir la secours d‘un grand nom,. bre de naturalistes, I.! en donc toujour: hon et même néceaaaira de publier lorsqu‘on a réuni dea matériaux asser irnpartans pour que les omissions na dépensent pas un ljeaa, c’eet sur cette base, une fois établie, que chacun peut ensuite travailler et venir grouper ses observations, Ou ne comprend que trèndiiâcilament Piuditîérence du naturalistes pour la oouchyliologie terrestre et flu. viatile; on trouve des botaniste: partout, dea entonno- loguu ae rencontrent jusque dans les villagu; quant aux géologue: nous n'cn parlons point , qui u‘cat pas uu peu géologue en M40? Par la même raiaon et cala est vrai, aurlout pour la botanique , lu ouvrages qui tminent de ces bs-anches de Yhiatoira naturelle sont dea ouvrages destinés h faim couusltre ce que chaque localité possède, A Chaque département a au moins une flore, non point. des catalogues de planter, mais de véritables flores lo- nlca. Ces ouvrages dont l'irnpor1.snce a peut—Atre été méconnue, ont eu la plus heureuse influence sur les études botaniques; Pextafme facilité avec laquelle ou se procure une llore de son psys, la certitude d‘y trouver
décrits les nbjeh que l'un rencontre nnmur de mi, telles mnt les num qui ont engagé benueoup de pmunnen L foncuper ils plantes. qui sans ou cirennsunœs n'cu1- mc iimnie abordé cem etude la llnrns loules sont donc du ouvrzgesqui, qiwiquüu niveau de ln science et quelquefois en nvnnt, remplissent le précieux aiiins de livm e'lénwu‘\•iM•· Tou} homme sage, en niùt, couimenne par chercher L eunnnîhe hrut en qui l’entnxu~e , et ¤¤~n'ut que l0rsqu’i»l A. requis nette cnnnaixnuw, quîil pnluu nu loin umiuvnntigntinne nt qu'il seymuure d'uu|.re1 livres, Msi: mns ln flurenlomle il ubut jinuis usé psnvelœ nlinrüer ou gnuds manga qui dezmunlent uu grnnde lnnliituvlc. el. souvent une ylrlibln initiation, , Lmsque fai vecherclié ln cause qui snnhlannnptclicr qubn ne üwnupe de mnchylinlogie dans notre-pnys , j’¤i toujours h-unvé·que le manque ale livœxen étqit ln unie. Ou din un; dnule que nous poniéilonn lbemelleut ouvrage de Dœçnmnud et le supplément dis Midmudi mniines deux volumes, 1l’¤n prix men 61né, ont lou: lnimanvénienn du ouvnget généreux. 1’ni done puué que si pour ln science et surinut comme nlnlislique naturelle, je devais mc lwrner à wlnnntuz un onhlngue nvëfxqllelqueu notes sur hs objets nnuvenux qua jëwuix i Mtrire, il serait utile deliiin une Launa Vériy Iahle pnurles peisannex qui, désireuses «·l’é¤1•îîAA·, wt\·l¤¤§ ien unir dînlmrd hun productions indigènes. cm n se que nous mm mns as nm. Psnunir nous din si dut avec au/ech,
—— [5G — I•lII||qu¢| lerrcntrcn ot lnvhtllel nuls Ln uinrrkluxxï DE LA |0I|IE. ANALYSE DES GBNBBS, /Z’.âî«.¤...»â,.,., â;dqg;d;···;¢|;,f;5 ;·:e,mmmE ¤,«,¤··. .·..·m....... nm we; ¤¤qnilI« biv«lv¤..·..,.. ...,.. llrd. nl. mhn¤.¤, UIADILB I. GASTBIWPBDES. . ···:~**¤»;g>··‘·~·~(îT.É‘§îÉIî‘. “°"é“'i"€T ’°“' "` 4 M., ;‘"·*·* P'· ',»·««¤«.·m.....·, ·... «¤..,..e c.». u ( c~ir««lim·«>a|¢)m¤»1¤wimm. 2 Lau. mfumè dans uu: wquillen, ..... ·....... ......... ... ·. 3 Vitriu. ORDRE Ii. TKACHELIPODES. Tentanulcx »u`ocnléx nu summer, ·,·... , .,.. · S Thvulum T, 1--, L ·, » .........,,.....,.........,.. S; MFM., M.
È 'lôo- ,.2. Em. E; Eâê. si § ai ga; A= îü? , s ,5 gi TA :2;;. ' Y ~ ·¤ . g Z. ZÉ ‘5î°g‘É'ê FL; ."·7%="' M Eg çiëë 5 2 E.E‘° :=»·· gn .. ~ë’E," · ' j‘· F ·: zê §§·ë.§;‘ ;_: 2, âfsîa. E» . .§§ ëgëggëg '· .·:5:·.:§ ëg ë;§EÉ.· Z3; ï;ë‘··%riî§E gw èL5I:aî—·1t 39% 2:*;: ;L;·· 5=··:·· .;: · gg; =··»:; ·¢‘:·,_: ‘ È Èêîëâ ȧ~P;¤¤ ·=¤=··,_ F FSP-: ==%3= Pam ‘“ §«P ·î;,·‘=. ·g•;;_E’¤: 路·'§ ·E¤·,z: ·i§· :4;;;:-
— 157 — DKDKE L GASTEKOPOIIES. Animal ayant une tête distincte et un pied en forme de diaqne soudé dans tonte son étendue nous le ventre et quelquefois pen distinct du eorpa. § Corp: nu. Guam l··. Anniv. Ferme. Limooia spec, , Drap., Lin. Animal mu coquille, por\ent une euiraare an-desrnua de laquelle ae trouve une poche oontenant une oouelie de granulea on graviers mleaires. Pied. séparé du corp par un aillon. Orifioe de le cavité pulmonaire situé au· Iérîeurernent sur le bord droit de la euirane et vera aou extrémité antérieure. Oritiee des organes de la géné- ration roua eelui de la rerpimtion, Pore muqneux L Vextrémité postérieure du corps entre les deux bords du plan loaoanoleur. i..r..,.i* ;EZ`îîa,‘$.§'2i’!.?.§‘§§.,.°§?ê`IÉ.î't«iÉ·§..?¢2î'Eï; ’ E"` ’”'""' Oum, ,... · ..,.... 4 r.·s,·...«·n. Obnaroutiaru. Outre lea cruaetèrer indiqués plu.: haut, lus Ariana en possèdent un autre qui, nu premier coup. d’œil, lea fait distinguer facilement des Lima:. Quand on irrite lea Limax, on les vait par un mouvement de ré. tnotilité rentrer tou.: lea organes impor-una nous la oui. mae, en même mmpa que le corps se raccourcir et s‘e’largit; mais dans les Ariane, le eor-ps après a'être un pen rétraete, se eourlme de maniere que les extrenrités ae touchant , les deux moitiés du pied sont appliquée: l’une contre l'autre, et le eorpa comme plie en deux se roule délinitivement en houle. Lee Arion: et lu Limaces , confondue aou; le nom général de Lirnaou ou bimayonn, sont dea animaux lents el erépuaeulairer. llssrwlaervhent Yhunaiilité et l‘ohs»cu. rité; nuasi le soir, après une pluie douce , on les voit ramper ça et la en grand nombre, sa-iruper aux plantes, manger lex ieunes ponues et détruire souvent en un instant l'erpoii· de l'laor‘ticulteur. Quand l'air eat vente
see pendant longtemps, ces animaux annnncenl ln pluie en snrlsnt de leurs csclaettes pour ramper sur les chemins et dans les endroits dénudes, souvent ils précèdent l'0- rage de plusieurs heures. Les Limnees cnt la peau gluunte; toute la surface de leur eorps secrète un mucns diversement colore selon lu espèues. l.oraqu'on veut les conserver en vie pendant quelque temps, il faut les plueer dans un vase assez spaeieux, autrement elles périsaenl promptement, et bien plus vite encore si on les réunit plusieurs enaenilale. Les amateurs de (leurs ne connaissent pas de moyen p gfliewe pour détrnaire cvs nnimnux qui lbnt leur deser- puir. La manière la plus sûre de préserver les semis des atteintes des Limnecs , est d'enluui-er les jeunes plantes d'un cercle de sciurc de bois, eette snbstsnce s‘aglutinc nntour de leur corps, gène et empêche leur innnvernent, et ainène leur mort, Msis pour que ce remede réussisse , il faut nur. ln seiure se maintienne sèche et soit lvien line. Toute: les Limsees pondent leurs œufs en terre ct savent fort bien les cacher entre les racines des plantes, Leur féonndité eat très-gronde, et ces animaux n‘ont guôre <l’autr¤s ennemis que les froids rigoureux et les granules sécheresse:. _ 1. Amor sunrusnus, Fer., p.962, pl. rm. D.,p. lt. Prod., p. 1'7, n·. 3. ..... -»~ l’feil1'erm, p. 51. ..- -··-—- Mich. coinpl.,p. Li, n°, 2. _ bium: mb/iunur, Drap., hist. annll., p. 125, n°. 6, pl. xx, lig. 8. -... --4 Pfeil]'. 1, p. 20, n'. 1. Car. rpée. Corp: marque de chaque mêle zl'une bande A noire; pulviseules calcaires \res»tenues et en petite quantite ; mucua jaune·safran et lâcliant le papier. Long., 25,
- 159 - Ihilaoulrs: les inférieur: courts; les supérieurs plus épaix I la base; manteau grenn; pied dont le dessous ut jaunâtre au milieu et d’un blanc sale sur les côtés , et rlnnt le bord est gris et coupé pur ale petites lignes ron- geltm; corps cylindrique couvert de petites ridcs et marqué de chaque côté d‘unz bande nniie oni·act£i·is· liqne. Sons la cuirasse, quelques pulviscules calcaires lrèstines et en tres-petite quantité. Cette jolie espèce est pen commune; on ln rencontre quelquefois dans les jardins, sous les feuilles des plantes qu‘ellc rnnge; elle habite les memes licnx que le Lino: 5 agnstia, mais sm bandes noires et son corps cylindrique la feront touionrs distinguer nieément , nlnslraction fuite i de son caractère générique. 2 Amon zurxeuouuu, Fer. liiat., p. 60, n". 96,.a. Prod., p. 17, pl. 1»3. .i --i Hartmann, p. 2&6, n°. 95. i otsr, Mich. compl , p. A, n°. 3. -— rufua. Mich. compl., p. 3, n¤. 1. Dimm: alu. Linn., syst. uu!. 1. -- -·· Müller, verm. laistor. 200. -- -—·-—- Drap , hist. mall., p. 123, n'. 3, pl. sx. n". 3, li, 5. ... -- Pfeiil'. 1,p. 19, n". 1. _... -—- · Nilxon, p. 1,n*. 1. ..·- nsfw. Linn., syel. net. 3. -- -- Drap., hist. mall., p. 125, n'. 3, pl. ix, n". 6. ..- -- Lamb. vx, 2, p. A9, n·. 1. ...· —- Brard, p. 123. ..- ·-··— Nilsaon, p. 2, n•. 3. _... .... Pl`eiB.1. p.19, n'. 2. (far. epic. Corps d’une seule couleur; pulviscnles cal- caires moins lines et trèvobondantes; mucus variunt I pour la couleur et ne üchant point la: papier. Long. 70-B0 •.
Habite les jardins, lea mami.: et les lunis où elle se nourrit de feuilles à derni-décomposer), de clnmpignoua et de jeunes plantes, selon l'époque de l’année. Get Arion, connu des pay ni sous le nom de la Kongo ou Limaçon Rouge, est regardé par beaucoup d’cnt:re aux comme un excellent antiphlogistiqne; pour s'cn servir, ils en mettent un certain nombre dans un linge et placent ce cotnplasmc vivant sur la partie malade. Ces pauvres bêta tinissent par périr après avoir ntürl tout Ir canin. Cc remède. analogue aux cataplasmea de veus da terre employés dans lu maux de gorge, aux grenouilles vivantes dans le panoris, produisent en ellet du soulagement et peuvent même guérir promptement, comme le fait l'eau froide par arrosion oonLinne, o'est- à·dire en xoutirant sans cese le calorique àmesure q·u'il ne dégage dans la partia malade. Si ce moyen est continué avec persistance et de manière à empêcher une réaction funeste , il doit nécessairement ulitenir un véritable succes. La Limnce rouge est encore recherchée pour élu appliquée sur certains ulcères atoniques des jambes; iei Ydlicacité du remède est bien au»des»our du mal. La mucosilé qui entoure l’Ar€¤n smpiricorum, varie de couleur selon lea variétés. Quand cette nmcosité a été enlevée exactement, ces animaux paraissent d'une mateur unanime qui mie seaxemeni au man au grs,. pàle; aucune des autres couleurs ne persiste et paraît dûe exclusivement A la présence du mueus. ours 2*. unix, Drap., Linn. - Lam., Ch. Dcsm. , etc. mich. compl., p. 2, Cor. gde. Corps allongécylindrique, terminé en pointe, postérieurement cnriné en dcssus.» Cuirnsse contcnanl un rmliment lestncé (limacelle) à sa partie postérieure. -— Pied sans saillie , A peine distinct du corps. — Ori- Ecc dc la cavité pulmonaire situé postérieurement. —
— IB] —— Oriûee des nrgunes générateurs près du grand lentacule slmi!. - Point de porc nxnqueux lurminul. — Iindiment lestucé, (i·nnspxu*cnt, ovale, non spirul. 5 `quement; s»n···l}·ie_.&·.i wu., Inaaaelie ¢- I Les Limax ne peuvent être distingués des Ariana que pur les nnturulixtes; les deux genres n‘en forment qu'un dans les ouvrages de Drapamzulal. il suivit en cela les idée! du vulgaire, qui canfcml sous le nom rie Limncc tous les mollusques terieslres dépourvus de coquille. Peut-élit oepcndunl Dnparnnuld uvuil-il raison, el. peut-Eire uussi que Ferrussac se liâlal imp cle créer deux genre:. Nous sommes loin d'M.re placé de manière i résoudre ce problême; nous ne possédons iei que trois especes de chaque genre. et il fuudrnit xéunir toute: les especes connues pour vider entièrement cette question, Nous ne pouvons que Li soulever pur les remarques sui- i°. Hun des enruelëres les plus saillnns den Limnx est, ¤ns contredit , lu présence rl'une limucellc sou: lu cui- vasne, tandis que dans lex Ai-ions l‘on ue trouve à ln même place que des cnrpnsuules un fmgmens de substunclu stmlnniwss plu! cu moins ntténués. Eh! bien , le Lima: uuiagulw Dmp. ie rapproche en cela des Avions; sa li- nncelle est formée par une multitude de petits liugmens calcaires, quelqileioit isolé: , quelquefois réunis par une mcmbrnne mince. 22 La plsce occupée psr l’nrifice pulmonuire est un caractere qui a le tort de rentmr dans la clme des co. nctères en plus ou un main:. qui par conséquent est variable et peut emburraxser. Ainsi , dun: les ties-jeunes individus du Limuz mu-iaguliu, le trou pulmonaire est moins en arrière qu`il le sem quand lknimul aura prix tout son accroissement ; ck il xuiüt d’exominei· un eertnin
-— 462 — nombre d'iudividu4 de Liman agrntîa, pour s‘asxurer que oet arilice eat tantôt plus en avant et tantôt plus en arrière. 3*. Un caractère encore moins sûr que les autres, est la prsieenoe ou l’al·»ence du lzorxl du pied. Si, en effet, le pied n’est pas clixtinot du corps dans le Lima: agrsnù, il est visible et fait évidemment saillie dans le Lina: urirgahu, et il est plus prononcé encore dans le Lima: einureua. D‘un autre côté. si le pied de l’A:€an empiri- ouruan est trenprononcc, 'il faut convenir que celui de l‘Av€a1uubfuwua l'est fort peu. De ees remarques, il ne faut sans doute pas eonclure que lu Ariana et les Lima: ue forment qu’un aeulgenrea nous avoua voulu seulement ramener l‘attentian sur ce point et le laisser décider a plua habile ct mieux plaeé que nous. M. llolandre , dans sa Faune de la Moselle, semble avoir tranché la question, nur il ne fait qu’un genre des Limax et des Arions en indiquant une division fondée sur les caractères de la limaeelle. L LIIAX vtutmrrus, Drap., hist. mull. , p. 127, n'. 9). ..- ..—...- Mich, compl., p. 6. ` ·-—- —à-— Hal., mall. de Meta, p, 42. -.. jîaoua, Lin. (sec. Hol.) Long. 60-70. Animal al’un jaune verdâtm ou ronssâtaw: , mais cette couleur est rupertîoielle, e'eat·â-dire produite par une mueosite extrèmement abondante; quand un l’en dé- pouille entièrement, la peau est grisâtre et couverte «l‘une foule de macules hrunes,irr-égulières, très-serrées. Tantamlu bleuâtœs. Manteau sti-ié eancentriquement. '|`ul7ercule blanc au-demons du grsnd tentacule sli-uit. Liauacelle eu fragment Irès-petits, isolés ou réunis, au moyen d’une membrane âne. Cette espèce habite les caves et tous les lieux sombres et humides; on la connaît mus le nomde Liunaee du aavu; elle ae nourrit indistinctement de toutes lu
— M3 - ml-ntsuoes végétales qu'elle rencontre, mais elle fuit mr. tout une guerre acharnée aux houclions de liege qu'elle ronge et linit pnr détruire. ll est aisé de la suivre dons tous ses développemens , depuis l'ueul jusqu') fige adulte; pour découvrir ses œufs, il suüt ile soulever quelques pierres jetées dans les ooins d’nue ve humide . on est presque oertain d'en rencontrer pendant tout Pete. Ces œufs mnt gros, ovoïdes, l’une deoextréruiten pré, sente fréquemment un point uillnnt ou une sorte de queue; leur lsrgeur est de 5 à 5 millimètres et leur longueur de 7 à B. ll: sont parfaitement tnnsparens lors de la ponte; meis bientôt il se montre au centre un point néhuleux lilonehâtre qui augmente rapidement et remplit tout l'oeuf au moment de Péclosion. Les petits qui en sortent sontforts iles et tellement entourés de mu. eus, qu’ils paraissent îlencluitres. quoique leur peau mit dejà swiuilortement maculee que nelle de leur: psreus, Leur longueur eu sortent de I’œul` est de 0-M ' et leur largeur de Z-2 112. Nous avons dit que le Lienoe rnnirgolus lushite lus cuves; on le trouve aussi quelquefois, mais plus r¤re~ ment, thus les jardins. (Test l`h¤l1iL¤t indiqué per Dri- porniuld, dans li Frnnee Meridionale , ou elle penlt être une rare. Psr les mraeteres de sa limueelle , eette erpèue forme le psuage entre les Arion; et les Liniscu. ll persil cepenslsnt que quelquefois on rencontre oette sorte de uoquille interne sl`une seule pièce, ainsi que l’n observe M, Holsndre. 2, Lnssx Aoeerrxs, Drap., hist. mall., p, HB, n°,7(5 pur erreur), pl. 0. Eg. 9. ...- —-- Mich, compl., p. 6, n'. 4, — ——— Lin., syst. net. 6. —— ———— Müll., verm. hist., n•. ZM, p. 8. Var. ws. L. Albùluu noh, ——AlbiJus. ùunuculolu Drup. L.-C.
-— 164 - Var, b.'L. Punctams nul;. ~AIb€du•; Mourir nigrù aparsis Drap. , Loc.-C. Long. Mi-25. ' Animal petit, svelte , gris-lrlanel.râ|r·e·s>endré, varie de tàcl-rer noiràtres, petites et irrégulières, nomlsr-emes, qui re réunissent quelquefois en une bande sur Ie côté du , corps. Cuirasse striee concentriquenaent, ouverture pul- monaire souvent entourée r1’u.u bord lslanc ou jaunatre. Mucosité extrêmement almnrlrantrz, lslanclregiisâtre, un ' peu spurneuse, ce qui rend l'animal très-gluant, facilite se progression et Fempêche de tomber des laranclrex auxquelles il s'est nglutine. Liniacelle rnince , transpa- rente, très-eoncave, marquée de légères stries. Cette petite espèce se vnultiplie avec une excessive ra— pidilé, et e’est celle qui cause le plus de degat ¢L·rns lu jardins, aussi u’est· elle que trop connue des jardiniers et des amateurs de iîeurs. ELI: dévore err une nuit les jeunes planter jusqu‘à la racine, mange et gâte les fraises et musles fruits qu’elle peut atteindre. Elle pend ses œufs en terre, il est rare «l'en trouver- plus de trois ou quatre ensemble; ils sont parfaitement sphériques elle double âpeu près en grœseur «·l'uue grainede moutarde. Les petits ne paraissent pnintsortirde terre immédiatement apres leur éclosion; je pense qrfilsconirneneent par mngerles ridicules des plan- tes qu’ils rencontrent autour d'eux, et ne sortent entiè- rement de terre que quand ils sont nn peu plus robustes. (Belle espèce varie beaucoup pour ses couleurs, on en distingue aisément deux varietes; l'une , entièrement sans tâche et nniformemeut blanchâtre; dépouillée de son mucus, elle est grise ou jaunâtre avec de légères ma- eules pluafnncées; e’cst notre var. rs. L, albidru. L'antr·e , paraît nniritre, parce que le corps est parsemé de points nuirs très-nombreux et fort serres; c`e.xt notre var. D L. prmclutru. ll est inutile de rlire que ces variélés se rencontrent dans les mêmes lieux. La lirnaeelle varie aussi quantis son épaisseur; le plus
— 165 - héquemmsnt elle est pnpyrncée et trèsfrngile, mais il urrive quelquefois qnfells ut épaisse, solide et d‘uu lzlnnn mnt. 3. Linux csueuevs, lllieh. eompl., p. 5, n'. 2. — ï—Dnp·, hist. mall., pt 124, n'. 4, fol. 9, fig. 10(Eg. 11 par erreur, repélee par Mich.) —-— -l— Mulll, verm. hist., n'. 202, p. 5. —- innsîawr, Liun,, syst. nnt. A, t- onbiqoorwn, Ferr. Long. 90·120 ·. Var. m. L. monulolus nal:.-Vnr. e. (Xnnvw; olypeo dorsoquc ououlis nôgrù, Drap., L.-C. Vox-, lr. L. fowiumr nub.-Vnr, y. Cimrcu; ulypao ancolie. rlavrufoaciin nîgvù, Drap, L.»C. Anim} oendré ou roussâtre , marqué de tâches dispo. nées sans ordre sur le dos et le manteau var. e, ou reu» uies en bandes sur le oorps et épnrsu sur ls mnnlnn var. b. Cuirnsse lisss, pied très-distinct et séparé du corps par un xillon pmfund; Ientsculu, tête et mu cendres ou mussâtres. ' Liimoellr grende en rnpport avec ln taille de l’¤nimal, épuise, non trsnspsrenle, mais seulement lniteuse et un pen translucide; elle stteint 10 et 15 · en longueur- et 7 A 10 en largeur; dans la jeunesse elle ut ooncnve et snes. mince, plus lnrd elle devient presque plane et re· quiert une épaisseur de 3 à A millim. La forme ile oem; ooquille rudimentaire est ovale-olilougue, ler bords en sont un pen éeliancrés, le droit l’est très-légèrement, le gauche l‘ext beaucoup plus. Le face venlrale est d’un blanc mnt, irrégulièrernent striés et bosrelée, msi; on re- rnauqne toujours une petite fusse placée vers le milieu de en longueur et cléjetée sur le bord gnucbe; le fnce dorsale est d'un hlnne nneré, le centre est plus élevé que les côtes et les extrérnites; mule- la surfsce at nm-- quée de stries eoneentriques dhcernissernsnt dont le
— M6 .. point de départ est Is Pexlremite postérieure. (Pest. ven cet cntlroit que l'an remarque une sorte de pointe (levée et reeourhée, qui rr'est rien autre chose que le sommet d'uue spire rudimentaire; ru-dessous dela spire, ler hordr latéraux re relèvent et se joignent à elle. Lor·squ’ou re- garde cette linracelle prr ea face dousele , ou croit voir une sorte de patelle. Cette espece est le plus grande de toutes nos espèces; elle eslls plus facile B «.léLruir·e, aussi est·elle peu ourn- vrrune et rarement on ls trouve dans tont ron dévelop- pement; elle hshite les buis oir elle est mre, et les jurdins où elle n’aIteint guere l'§ge adulte. (1'est, de boules les limncos, celle qui estla moin: muqueuse, et dont les couleurs changent le moins après qu’elIe a été depouillée de son enveloppe. Son mucnr est limpide et treetrrnrpur·eut. §§ Corp: nrpnrrl dans une coquille. scuvrns 3. Vrnlros, Drap., Lam. , Ch, Beam., Gnt., de BL , Minh. _ Humn, Stmlor. Hxmcosnx, De Ferr. Car. gdn. Animal linraciforme, presque droit, séparé postérieurement du pied ; A tenueules , les enté- r·ieur·s hèucorrrls. Coquille très-petite, fragile, trun- slucide, le dernier tour très-grand. Ouverture grande, arrondie, L bords traunhsus vlésunis; le gauche treeer· mvé et fléchi en dedans. Vrrsrn rm.r.ncmA, Drap., lrirt, uroll., p. M9, pl. B. ' lig. Slt-37. ——-A -—-———— Mich. comp., p. 0, n*. L Hàlie pellueida. Müll., verm. hist. , 215, p. l5. Coublw, Geolï. 8, lr transparente. l-laut. 003-0035. Lsrg. 007-00B. Diem. 005-006 ·. Animal de oouleur pâle, tres-gros relativement E sa eoquille qui ne peut le eoulenir entier-ernent. Appendice
— |67 - en forme de ipitule sortant du manteau et recouvrant la coquille lxec, Drap,) Caqwillr déprimée, d‘nn verd·clair, luiaante, transpa- rente, trèa—miuce et exeesaivernent frigile, Spire de troia tour: , Yuterieur déniemrémeut grand; suture super- ücielle. Ouaartura trèx»grande , ovule , éehunerée par ln conrexité du tour intépénultièma. Bord columalleire moins avancé que le latéral , et légèrement éclaancré L aon insertion. Cette coquille est trop petite pour arréter htteution d’autr¤.i pexsnunea que dea naturaliste:. Elle habite lan lacis, sous la monue, au pied des ai-lues. Je ne l'ii eu- core rencontrée qu'anx envii-una de Mullieui»Vidume; il est probable néanmoins qn'dla ne trouva dans beaucoup d'auti-en localités; mais sa petiteiee et ea rareté eu reu- deut la recherche longue et dillicile. Les personnes qui commencent Fétude des rnolluaqnu terrestres, doivent ae tenir en garde contre une erreur am: facile A commettre; je veux dire de prendre pour une vitrine le trèejenne état des Halir nenurnlie, hon tamù, pnenaliu et même vupnm. Pour éviter cette faute, il aulîiru de ne rappeler lt que l`animal de tous cu > Hdlie, qui cont dea Tmohllipodu, rentru complètement dnuaaa coquille; 2*, que la coquille dei IBIS: est tuu~ ` jour; perforée dans la jeuneue , que le bord eolnmel- hire n’eit juniiii éeliunuré, et qn'euûn la dernier toni- ert lr軫enail7lumeut caréué, Tout le eontmira axiate dans les vitrines. Maintenant qnepous avons puié en revue la courte série de nue Gaxtéropoales, il ne ien par aaun intérêt de les examiner dans leur ensemble et dans leun rapporte mus le point de vue de l'oi-ganisalinn. Nous venons, dans l‘oi·dre nuivant , que la coquille prend une place importante din: Yorganinme, qu'eIle devient un toit protecteur conne une multitude d’nuci— denx, tandis que dans les Gutèropmles, où elle ut nulle
— 108 - ou mdimenlaire , il semble que le but soit manqué et que la nature les ait laissé sans protection. Maia il ne faut point accuaer légèrement cette mère de tous lea etres, et les Gazhéropodu sont anni bien protégé; que les Ibmbélipodea. Les Ariana et les Lima: ont une peau dure, épainc et anuplc tout ) La fois; un mucus abondant etd‘une grande viaoosité, enveloppe tout leur corps. (2 sont ll des rnoysna protecteurs faibles en apparence, mais plus puiasaus pen•·éI.re q·n’nne coquille; la limaee placée wm le pied i’aplatit, glim , échappe b la preuion, undia que la grosse vigneronne, ai form de sa ooquille, crt broyee par le même atïort. Ausxi,no: limacei ne mi. gnent point lei lieux habités; elle: lu recherchent, au contraire, et vivent paisiblement parmi les lleurs de noe jardini, au milieu des legumes de nos potagers, dans noa cours, au fond ile nos caves; elles ont tant de moyens dïëchapper, que l‘lionirne et son industrie ne peuvent que tràs—peu contre elle. et elles croissent etse multiplient auprès de lui, avides de Ioules les substances végétales dont il se nourrit, ou de tonles lca llenrs qu'il clierclie I laire éclore, ll faut être l.mrticult.exn· pour connaitre wute la puisxance de ce petit ennemi. , ll n'en est point de même de notre jolie Vitrine; petite, faible , A peine contenue dans une coquille plus mines et bien autrement iragile que le papier le plus fin , la pauvre mignonne fest réfngiée dans les bois; c’ext la que la nature l'a placée pour qu’elle vécut inaperçue au milieu de tapis de mousse épais·et moelleux. Ainsi sa laibleue échappe i des périls qu’elle n'eût point évités si elle eût choisi toute autre habitation. Nous aurons plus d’nne fois l'occaai¤n de remarquer, avec un indeliniasable sentiment al'ndmii·stion, l‘ordre providentiel qui préside a la conservation et D la perpà tuntion indelinie n.lcs·e1pèces animalea et végétales. Maia tout en observant ces lois providentiellea anal
— MU — étudiés et fort peu comprises, il faut nmarqner que la nature n'en snjt pas moins et d'une manière invariahk, une prognuùm organisatrice ri lsien démontrée, q¤‘elle cet devenue maintenant la base de toutes les classifications des ûlres organisés. Nous allons nous attacher À la dé- montrer ici, et nous reelilierons en rnàine tempsquelquu légèru erreurs de clasaificetion. Depuis les Arïma i¤squ‘aux Hdlie , la coquille on ce qui en tient lieu, prend une importance plus grande i mesure que l‘on passe d’un genre h un autre et même d`une espèce 1 une antre espèce. C’est la considération du développement de l'organe crétacé qui nous a mm- plèlenuent guidé dans l’si-rangement des espèces qui sont dijà décrites. Voici cet ordre ; on verra que la placclde cliaque espèce est lixée d`une manière irrévocable. 4. Avion nsbfunnu. Pulviwulea rares , fort petites , cryslalloïdes , en aiguilles i quatre pons et ii sommet · tronqué. 2. Avion soipiricumin. Pulviscules nrétaeées , nom- l>reuses,1ea unes sous forme de cryslaux nciculaires, les autres en petiles massesinformes et qui semblent des l‘rsg· ment détachés et lsmyés. 3. Lima: cariagntus. Les crystaux de carbonate calcaire ont disparu complètement; on ne trouve que des masser irrégulières et fragmenténs , souvent réunies par une membrane; le rudiment plus avancé de la limacclle que l‘on trouve quelquefois nettement déterininéc, mais fort mince et sans point spiral. A. Ltlma: agrulis, Limacellc bien déterminée quoique généralement mince, de fonnc variable et ne présentant point encore de sommet spiral. 5. Linuw cinemas. La limscellc est devenue très-im- portsnte par sa forme constante, son étendue, son épaise seur, ses stries concentriques bien marquées et surtout 'por un point très—âlevé placé en arrière, recourlwé, évi- demment spiral , et qui n`est que l'éIet le plus rudi- mentaire possible de la spire.
— HD - 5. Pour anivre cette gradation , il en néceuaire d'in· Iernaller ici une upèce étrangère A notre pay: , c’eat Tuteaalla Luliotidan; son nrgnne crétace n'est par enaure une coquille complète, quoiqu‘eIle ait un commencement de apire, et c'ut déja plus qnkauelimacelle , car elle eut extérieure; main elle ue contient nullement l’animal. et au lieu da n‘etre adhérente comme lu vraie coquilles, que parle aommat de la s·pire,elle ext i plantée dam les daaira et ne fuit en dghora qu‘uue légère saillie. On peut dire, avec raison , que la coquille des teshcellea ul plua qu`uue limacelle, moine qu’une coquille, et forme nn pesage entre lea deux surtce d’organer, (lecnrieux molluaque, qui halzite la France méridio- nale, acsouxtx-ait aux cames dutructives pnr ses habitudu; ilse nourrit de vera de terre et e‘eufauce avec eux dans la terre, aelnu la température et l'état hygromeh-ique de l‘air, et pour se mieux preuerver encore de la sécheresse, il puaède la faculte d'a1Ionger, de développer ron man- teau junqu’\ ce qu‘il puisse en envelopper tout son corps. 7, Le genre Vihiaa, qui vient apres le Temusnlla, poesede nue véritable coquille, quoiqu‘elle ne puise encore enfermer tout son carpe et que aa fragilité soit extreme, son ouverture excesuivement grande et rr spire |.rAa,cour|.e. B. Pour ne plus être obligé d‘y revenir, noni ferons nneincnraion dans l'nrdre suivant et nous rencnutrerous le genre Suewënou qui, par sa coquille mince , fragile, pnuciapirée et sun iumtîiaauce A contenir Panimal, se rapproche encore des Vitrine:. Gest pour cette raison que l‘on trouvera les Ambrettu en tête des Trnchelipodea, comme l’a fait M, Hnlaudre, probablement pour une semblable raison, 9, Puia vient le très-nomlgreux genre Hélix où 1'on peut observer touwn les gradntiona possibles dam l‘im- partance de la coquille.
— 171 — ORDRE Il. TBACHÉLIPODBS. Animal ayant une tête distirwte; un enrpe terminé en spirale (lortillon) et toujours enveloppé <l'une coquille. Pied libre, aplati, attaché L la bare inférieure du cou. Coquille extérieure, spirivelve, engnînrnte. 1**. racnorw. — Taaceinrwnner uraarraer. Mollusque vivent toujours mr ln terre et au sein des naux. § Tltmolmr. Quatre ten|a.cu.les , les Jeux rupérieun oeuléx au sommet, lex inférieurs quelquefois trèseourtrr Gnul. Slrncilln, Drap. , Lam., Ch. Dunn. , Mich. Bumuux, llrugq Poîr. lieux, Lim, Gmel., Müll. Twins. Studer. . _ Aatmrrlunlxa, Lam. Cocunûnvun, De Fer. Arrrrr.·rr-x, Nom frrrrçnis. Animal linraeiforme I peine contenu dans sa coquille, tortillon grele et très-¤ourt;•]nntre teutaculer couru, les @érieurs renllés i la base; les antérieurs h·ès·grèle1, I peine visibles. . Coquillr imperforée, ovale-conique , pointue, le der. nier tour prenant presque tonte la ooquille ; ouverture grmde et oblique; columelle formant une rampe en spi- rale ; périntome simple et lrsrrclrnnt. N. B. Dam les rlescriplious qui vont suivre, nom par— leruns souvent de l’nxe de Youverture. ll est bon de faire observer que nou: voulons entendre , par nes mou, une ligne irlëale passant rurl’ourer1ure et par son plut gnnd diamètre, c’est-Loire de lraut en lue.
1. Snccmzs Aurnvany Drap., hist. mall , p. 5S , n', 1, p. 3. f. 2`1-23. ..`,... i-- Mich. compl., p. AB, n‘, 1. Ihlir puni:. Lin., syst. mt., 7I)5. ..- suodnauz Miill., verm. luis!. , 296. Caclulu. Geoll`. 22. Fwnphibîs, l'uibvJ«. Buklsnenucdnewu. Eneycl. mélli., 18.—Poii· Prud., p. 41, u·. 9. Gualt., t. 5, f. H. Ambntu. Long. $15. Larg. 342. Diam. 2-6. Coquille ovalaire, mince, rliaphane, de couleur ¤l'asnbre ou de suecin pâle, d'uu lui viennent ses noms français et lutin; slriée légèrement; tpiru de trois tours ohliquu, l'inl`érieur trèugrund, lei autres pelils; ouverture Lrès- grande, ovalaim , dont la longueur dépasse luuiours la moitie de celle de In coquille. ‘ Colusnellv dmih mu pli:. Var. o. 5. inlintideu, nub. Cette rarc et curieuse variété presente une spire si courte et une ouverture si grande, que nous l`nvons comparés h une Ilnliotü. Ln spire n‘s que deux tours fort petits; ln coquille, vue du côté de Pouverturs, semble n'eu nvuir qu’uu; Yuuvertnre très~gr«nrle et allongée, occupe plus des train quarts de le coquille. — Lung. B12. — Larg. 007. Spire presque droite, son ne étant parullêle à celui de l’ouverturs. Var. L S. slungetulu, nah. —— VM. g. Illnliu msgû alanyulm ataulorun, Drap. L.·C. Coquille ordinairement plus colorée; treenllongee, .l`lueLIe, oounïde; spire dont I`exe dévie peu de celui de Youvertuie, et dont les tours sont peu saillnns , l'avant»¤lernier tresallongé el très- élroit; ouverture des deux tiers de la coquille. (kite vuriété itteint la même longueur que Pnspèee, mais elle est toujours seurihlemeut moiux large. Vu. 1:. S. limnoîdou. Spire de huis et demi i qunre
- H3 .. tours, dont ,l‘axa est presque exnclemmt le même qua celui de l’ouverture . avant-dernier tour large, ovvalaire; ouverture 3 peine plus longue que la moitié de la oo« quille. Cette variété est tràvremarqnelale, pou oornmunn et mujonra grande “ Cnlviulla visiblement marquis d'uri pli, Vu, J. S. Vrntrioom. nob, Ooquille véritablement ovale à trois on quutre tours de spira , axe de la apire coupant ohliqnernerrt celui de l’ouverture; oetle dernière grande, tri-elaige, ovalemccupnnt plus des deux tiers de la coquille; bord columellaire marqué «·l‘un pli t.rAs· superficiel sur le milieu de sn longueur. Var. e. S, canarias Coquille comme pliée de manière qu‘elle parait soudée du côté oolumellaire; l’axe de 1'ouver1ure et celui de le spire se renoontrant mus un angle lrèoprononoé; onverinre petite proportionnelle- ment, occupant un peu plus de Li moitié de la longueur de la ooquille; pli columzllaire prononcé, placé au tiers de la longueur de l’ouver·ture. L‘Anilzretle amplailzic et toutes res variétà, habitent les lieux marécagenx, parrni les laerlzes au bord des étangs et des ruisseaux. Elles vivent sur les roseaux dont. elles rongent quelque; espèces, prelîrentleslarges feuilles du Rumee equations, du Menymatller triybliam, etl défaut de ces plante; , se contentent rles feuilles momu et amollias des graminéesr Aucune localité n’zst spéciale aux variété: que nous avons rlécrites;on peut, à la rigueur, les rencontrer toutes ensemble et pücmêle, J’ni rencontré I l’etat hwruxlile (semi-fossile contemporaine des éléphnns et des rhinocéras), les variétés Elougolula et Limnoîdm; pr-o· hablemeut qu'eu remuant avec soin les aablea quuheux de Menclaecouit (sables aigre: des ouvriers), on rencon- trerait les autres formes. Le noni ¢l’:unplaihie donné) cette espèce, lui vient
- HA —- de son habitation , et elle le mérite, en quelque sorte, en ee qu'elle ne cnint pas l'ean et ssit fort bien se tirer d'aû'airu lor¤qu’on l'y plonge. Cette espêce· dont la co- quille est extremement fragile , n plusieurs moyens de oomervatinn; elle se lixe d‘une manière assez pnirranle aux feuilles du grandes plantes qui bordent les eaux , de manière que les secousses inrlireetca qui lui sont impri- màs per le vent ou par les animaux, ne lui font point quitter un poste qui la niet si bien bore de danger; mais ai ce malheur arrive et qu‘elle trombe ) l'ean , ee qui a fréquemment lien, elle s‘en retire moitié ungeont, moitié Pendant I’l¤iver, après 1'Llre enterrée, elle construit L la porte de sn demeure, un épiphragme qui est nussi con- sistant que sa coquille, Cette espece n’est connue que des naturalistes , elle ne fait guère de tort à. personne, mais lu grenouilles la mangent avec plaiair lor¤qu'clle remue; il cnt probable qu’elle devient quelquefois La proie des poisons et peut· être des oiseaux nquntiquea. Elle en fort commune, et il n'e.st pas d’endmit marée eageux ou l‘on ne puisse en rai-nager un certain nombre en peu d’inshant, Il est bon de remarquer, pour en faci- liter lu recherche, que rarement ee mollusque vit isolé, il remlale plutôt vivre en famille, ee qui fait que quand on en a trouvé un individu, il sulïit de chercher autour du point qn’il occupe dans nn rayon de un h deux pieds pour en découvrir plusieurs autres. 2. Succmes oamruzs, Dnp., hist. moll , p. 59, ut 2,pl, 3, l'. ZA~25· —— —-— Mich. compl. , p. A5. n·. 2. Long. DM-008. Larg. 002-003, Diam. 003-004. Coquille allongée ; ovnle·oblnngne , plus petite que l'e¤pèee précédente, blanchàtre ou grisâtre, asser épaisse et moins transparente; suture profonde; ouverture ovule, de la longueur de la coquille; nn petit pli superliciel sur la eolumelle.
— 175 — (letm es-pèee , rare par toute la France , m’a été e¤» voyée de MollieueVi<larne; maisje ne l’ai jamais pu voir vivnnlae, Elle paraît habiter un plant. lserbeux situé dans une vallée sèelse , quoique fort pmfonde; le aol de oe plant est argileux et par conséquent garde long»tesnpq l‘lsn idité quïlaoontractéc l’hivar oùil est fs·équemment inondé: de nouvelles reehes-claes feront renoontrer cette espèce dans d'aulres lieux, nous n'en doutons pes. Il est prol-sable que nous possédons une lraisiènse espece, le Sueeiua onnoria, Bouchard in Litt. ; mais nous n'svons jamais eu l’o¤casion de faire des reelaenehss conchyliologiques dans nus dunes du Mnrquenterre , ou elle pourrait lmbitert selon Piudication de M. Bouchard Clsantereau, auteur du catalogue des Mollusques marins des envimns de Boulogne. Dans un ouvrage qu‘il pré- pare, ee naturaliste, dont le alle est swnnu, nous donnera la ducription de cette nouvelle espèce. Nous avons indiqué, pour les variétés oensviuom et oontartn du S. omplsibio et pour le Suceima ohlarsgas, un pli l la columelle. Ceci paraîtra sans doute étrange. Miclsaud segardc Fabsence de pli connue caractere isn- porlant et différentiel des Linnées, et avant lui Drapni-— nauld avait émis la même opinion. Néanmoins il est évident pour qui oliserwc sans prévention que la oolu- snelle du Saeoinea oblonga présente un pli léger et très- superûciel Ia la vérité , mais qui n'en existe pas moins; il est surtout tres»prononcé sur notre variété oastmto, Pour ne pas tenirc nspte de ce pli, il fauds·ait ue pas faire plus d‘nt\enlion a l'éel·iancrure caractéristique du genre Aehotinu et qui est si peu sensible dans Yespàee Iolnioo. En histoire naturelle, il faut être rigoureuse· ment conséquent et il faut se bien garder d’acco¤·ler un degré dillérenl d'irnportanee is des caraclères placés sur la même ligne et aussi peu saillans les uns que les autres. Enfin l`un remarquera que la oolumelle des jaunes Ismae- pnegra. ouah: et gluripsons, u‘esI: pas plus foi-lement pliée que celle des Anulirettes quenous venons de désigner. 3
— 475 — (hns 5. linux, Lin., (Inv., Du-up., Peur., Lnm.,NîIls. , Mich., etc. llllioa , nom fmngnix. Cu. g4»,—A«i«uxI : mantun en forms de collier en- jnunn! ln mu et ne continuant en tunique memhmneuse sur wu! le corp:. Tortîllnn très-eomidénble , queue tentmulns uèmwbtun au wmmet, deux furt couru un- terîenrement, deux plus longs oculéx nn sommet posté- rîeuœuuem. Cuquilla jamais turriculée, louimm courte , du vente trèrurinbln. Sommet mouse et urmmli.
aîzmës ¤î Q G Q Jiiïïîàïëiëèïèê; ‘:i:··ê1;·§ë·ê§: i...ïi§.ëïâëï~=ë —~·—-— iiiiïïâêîlëëîëâë ëêèïïiêëêîsêësâë ?jà g . . "`?"'î" 'ëë: ' zz § gw ~ · · \i,`É ...:5 · · . .,: EEE.; ,2 E à Èëâ 2 îëa ne 2 sa âëë gi ,.5% "~·1mm;;·—/’
-415- È; É 3 s is: a SQ 2 2 2 âàïâî ··a‘ëIèZ-=1;iï; ÃZîf3çQ;ÃëÃÉÉ -2 a -1:- "‘.. .. .1.1; fi-- zûëirr â;¤§.· àzrza Wêâg ,gsg¤ 2.53252 ggâsëgx ·-î? L; ...:î=5= êfâzàzîaseggz ~ À ïëëë J %=5 hëë: iai ‘ S5; ·~..3 ÈLÉ5 ~·~‘ ’" àà ai ü,V`, .·èë "§2·z ` I
Le genre Hlli: ei! la plm nombreux de Inu: lu genree de Mollnnquex lei-rertru, non seulement en Fnnee, mais enlîurope et peut-être mr taule ln terre. On u tuihé didférenlu couper afin d'eu rendre l'étud¤ plus huile; edlun qui furent Anhliee par Drupnrnnuld, quoique fur! empirique!. ont été préféréei, Un grnnd. nombre d'l·lélix ut connu nous le nom de _ Iùwyon uu Colimxyun; quelques-uns tout employés nomme aliment ut comme médinnment. Igur luhilnliuu est tresvarinhla, et laur nombre plu: gnnd den: la midi que dun: le nord. L OOQUILLE IMPEBFOBÉE. £.Hex.ix ru|.n. Dnp. , hist. mall., p. Bl, n•. 7, pl, 7, Hg. 124,3. î —- Mich, enmpl., p. IE, n', 0. ·ï ,— MiilI.,verm,hist,, 269. Dimm, 005-0035. Hunt. Ill]!. Tour: de rpin 5. Très-peliîe coquille nuuoïde, glolzuleuse, imperfnrëe, brune qnnnd elle contient l’¤uim¤l, Fuuve on examen- nlnim et trnmpnxente quand elle est vide; ouverture com— primée beeneonp plu: large que houle; périxtomn simple. i On ln eruiruit omhiliquée; il faut l'¤nmin¤r nilenüve- ment pour ùuurer du eontrnire. La Hg. de Drupnrunuld entre:-mnuveilez elle représenfe le bouche d’une mr nière inexmte. Trênure; elle habite lu lieux humide: etnnbmergxiu pendant l‘l1iver. On Introuve mm ler pierres et dun: le mousse, dans les fossés du fortilimtionx de la porte du Bois, i Abbeville. Su peiileue l’u hi! éclupper à l'¤t|.ention commune. On peut, en premier «l>ord, ln confondre Avec dejenneu Halia luuidm; main lu forme eonoide de le coquille el ses numhreux Inurs de rpire et sun imperforation, inf- ûnenl pour tirer d’er·reur et d’¤mlnrn¤.
1·H¤ux nrnx, Di-up.,laiat. rnull., p. UI, n'. 15, pi 5, iig. Z3. · ——· -—— Mich. ¤ompl,, p. I7, n". 20. -— ··-- Miili., verin. hist., 251. i ———·—- Poir., prod., p. 55, u'. ii —« Iiyama, Müll.,verna. hist. , 252. Ln jardinière . Genlî. 23, Guult., t. 1 et 2, f. B, D, E. Haut. 027-031*. Lang. 07484).15. Dinan, 027-030. Spin de quatre tours. Animal verd-noiritre en dessus, vev·d»pale ou gris en dessous; cou ridé, aunrqué d’une bande jaunâtre. Cvaquilla globuleuse, dure , épaisse , jaunâtre, grisâtre etblsneliâtre, fnsasiée de bandes brunes; striée transver- ulemenl, chagrinee longitudinnlement, i la loupe Pépi- derme punit plissé; sommet de ln spire, c’est-H-dire un tour et demi A deux tours , grisâtre , dépouillé d’épi- dernae, trâslisae et comme élaurné. Spire nu peu co· nique, obtuse au sommet, dernier tnur tres-grand, ou- verture grande, périâwmu blanc-lncté, réfléchi, surtout le bord eolumellaire q-ui recouvre le tron ovulailical, l‘ex- trémité des deux lmrds se aeoourhe et ils cherchent i se mpprnclaer sur leur insertion. On peut aiainaent distinguer lea variétés suivantes. 1"· aivie. - Farmer at dinrnuiuna. Oasizrvnious. Ln grosseur de l'HsIi.v aupsnaa varie selon les localités; elle prend un accroissement plus oonsidérnble dans le rnidi que dune le nord. Ccla ne veut pas xliae qu‘on ne puisse en rencontrer d’aussi pe» tites dans le midi que dans nos provinces septentrionulcs. A. minor. On trouve irequeniurenh des individus dont les dimensions n'excèdent pas 20 rniilinx. Je ne sais ce- pendant si ees snianaux sont arrivés a l’étut adulte , quoique leur péristnme soit formé, fai cru ohaener dans cette espèce et dans il'nutres, que dans certaines cirma¤»
rnrrm lhimal joui: dn la fsculll de dissoudre et de faire disparaître entièrement le rebord du périalome ' pour ensuite agrandir au ooquille. fb fait paraîtra runs dnuîc êlraugs, et révèle, de lu part de l’¤nima.l , une action bien autrement puissante et ianmédiau qu‘on ne l'aIait cru d‘a.bord. Au reste, jele répète, le fait nrérile wnûnnation et fappelle 3 ce sujet l‘at\entiou desobser- valeurs. &IIe forme se trouve plus fréquemment dans lesjardina, B. eoraoïdaa, noh. Si cette forme se présentait son- vent, je rfhésiterais pas à en faire une vuriéle. Voici sea caractères : spire très-allongée, conique; ouverture pekile, l'ext.rémite des bords re rapprochant davantage que danse l’er·pèce; test mince et fragile; cinq wurs de spin bien complets. Je n'ai jannir trouvé qu`un individu de oette forme dans un verger. C. glaboru. Coquille géurîralement plus grosse et glo- huleuae; habite les Innier, lex vergers. 2**. adriu. — Coloration. Yan I. nrfsrnuur. Coquille dont le fond de la couleur est fauve ou roursâtre. I', aunrlrande, H. fnnmsa , point de bande longitu- dinale, mais des bandes flambées et trzrnrversales, irrç. gulieres, tantôt étroites, tantôt plus larger et interrom- P 2*. Paseiéea, H. fssoialrrr, A deux, trois, quatre ou cinq bandes brunes ou lvrunàlres, plus ou moins die- linclen, oontirrues ou interrorupuesr le nombre de ou bandes catpruque toujours plus ,,r·r~nd dans le jeune Mge; elle sont aussi plus nettement dessinées. Var. r. slbvrowra. Te•t blanchâtre, fueié nu flambe de rougnltre; oem: variété exl raw. Uespàoe, ses variètév et ses formes, lralritent ler jardins et Isa lraies; nn ne la trouve point dans ler boia.
Iüle rnultiplia beaucoup; elle pond du œufs suer. gms en terre, ils sont sphériques et leur coquille est toute formée de crystsxux cubiques et parfaitement transparens, de chaux earbonatée. Cette es-pêee n'est pas la seule qui presente ce phénomène, Nous citerons d‘avanee les Hrlis xtrintu , cricelarum et esrthusiantllu , comme lui etsrrt identiques sous ce rapport; il est même fort pro- bable que huucoup d`aut.res sont rlsns le même cas; mais il est très-dillicile de x’en assurer leause de l‘e»s— uême difliculté qu‘on éprouve a se procurer des œnib des Mollusques terrestres. (Fest, au reste, un curieux phénomène que celui d‘urre sécrétion de mntiî-re eslcaire qui se dépose en crystaux. Nous n’entrepren<lrons pas, certes; de Pexpliquer. Nous nous lrornerons E hire remarquer que les Arions pos- sèdent la même faeulte, non plus pour leurs œufs, mais pour les pulviscules contenues sous leur manteau, à cette différence près que je n'ai vu que des crystaux cuhiques i la surface des oeufs et des crystaux en aiguilles nous lu uuirasse des Arions, Si les Limaceo font une guerre aelinrnée sux jeunes plantes et. B tout ee qui sort de la terre ou la touche, les limaçons gris on jardinières, aidés en cela du cnlimaçon · A bande que nous déerirons plus tard, fout des ravages non moins grands parmi les fruits; ils savent grimper sur les murs les plus élevés, atteindre les branches lee plus hautes et attaquer ainsi toutes nos espèces de fruits; on les voit, au printemps, sortir en troupes des creux des murs et des trous qu'à l`automne ils se sont creusés err terre; alors ils iéehelonnent sur les troncs des arbres, s'y aeeoupleut, redeseendent en terre pour y pondre et reviennent passer tout l’été et une partie de l'aut.onrnu sur les arbres qui lu nourrissent. Pour n’êLve par dà trinite complètement, il faut à cette espèce son éton- nante féoondité. Ou lui fait la chasse dans notre paye seulement pour s`en débarrasser. Dans le midi et dans
- IBS ·- I’ouut, on la recherche beaucoup comme un aliment nain et fort agréahle. Le seul usage auquel on Pemploie ici, e’est rle remplacer ln vigneronne pour faire des bouillons arlouoissans et peniornux. Le goût de ces houil- lons est très-agréable , et eertainx cafés de Paris n’ont dû lenr vogue qu’aux sorbets de limaçons , ne gardant bien toutefois de dire leur secret. la rléeoetion de la jardinière, comme médicament, doit être préférée dans le norrl A celle de la vigneronne; cette dernière espèce manque des qualités qui la font rechercher Iorsqn'elle vit autre part que dans les vignes, Avant l‘biver , cette espèce ferme aa coquille par un épiphragane papyrncé , mince, comme feuilleté et d‘un gris sombre; trè:-fréquemment plusieurs Hélix se rén- nissent en groupe et aglutinent leur épipliragrne sur le doc l’une de l’antre; on rencontre souvent, au prinlernpx, _ alu individus dont le test est encore Iont couvert des débris de ce genre de fermeture. 3. linux anuoanxs, Drap., hist, rnoll. , p, Oh , n". 22 , pl. G, Eg. 3-5, —- --—-—— Mich., p· 18, n·*. 25. ..- —-î Poir., piods, ps 69, u•. E. ..... .····~- Linn., syst, nat., ôlll, ` --· --——- Müll., verni. hin., M6. Uochlna, Geoff. 3. Lu livrée. Haut, l5-18*. Larg. 22-25. Diam. 19-12. Spire de cinq boum. ' Animal gris ou un peu foncé, variable pour Is couleur. Coquille glolzulense, finement slriée; ouverture i peu près aussi baule que large; périrtorne un pen évué, ré- fléchi, garni intérieurement d‘un lvourxelet lzrun,ilont la oouleur se répand sur la convexite de l'¤vunt-dernier tour. On peut compter les variétés suivantes · l". rhin. - Variété: ds couleur. Var. a. . yîann , nah, Coquille d‘un trèsrbeau jaune vit", érntant et txeepur,
Var. b. H. Iuiemuna, nob, Coquille ·d’un jaune pile. Var. e. Ii. fmrorônaaam, noh. Coquille d`nn jaune _ veialâtre. Var. d. H. ruballa, nob. Coquille rosstendre on jaunitre-ruse. Var. e. H. albamu, uab. &q·uiIle jaune-blanche ou presque blanche. Var. [1 H. canwo. nnb. Coquille d‘u.ne couleur clu- tain trèwslair ou eornéazlair. Var. g. Ilr eaataua , nnb. Belle coquille d’une eau- leur foneée approchant de eelle du maman d‘Ind.e. 2**, rlvù, — Variations dem lu muubn du bnadu malaria:. Ni L crmealar, Coquille sans bande. Elle revêt lnutea les couleurs indiquées dans ls première série. N". 2. uaifxrcîrxta. Coquille à une senle bande. Var, h. H. farciulba, uab. Cette variété, fort rare, est nl'un beau jaune vif (var, a. Flava); le dernier mur est en— mure d‘uue bande étroite lslanclae, ue se eoutinuant pas sur lesaulrestnurt etdautantplua pronouuéquïru fuvanee vers Ialmuehe. Cette variete nous paraît rueore inédite. Fanria nigra aut fume. Cut la couleur la plus ouali- uaire des bandes. Foncia palemm. Bandes piles ou même transparente:. Les bandes varient pour la largeur; elles sont ou très- etr·oites,à peine de l millimètre de largeur-, on plus lange; ' de 1 L 2 millimètres. La plus remarquable de toutes est la }’ar·. i. H. aigre, nab. Ilnu seule bande tellement . large qn’elle oeeupe presque toute la surface de la co, quiller N:. 3. bifamîata, Lau deux bandes sont tantrôt rl`une oouleur foncée, tantôt his-pâles, et tantôt enfin la bande aupérieure eat taw`>a-colorée, taudis que l'iul$5rieure eat à peine sensible, Ces laandea varient par leur largeur, tantôt linfuire, tantôt plus large; la plus remarquable est
— ISE — Ver. lt, H. funs bifurzéalnx uob, Deux bandes trèv larges et très-rapprocliàs, leur intervslle est presque- muiours de d]2l l millimètre; cette vnriété, quoique nre, l'est rneins que la var. i. H, nigrr, NM A, lrifnreinhz. Tunis hnndes, On peut compter une dizaine de variations au moins pour Fngencement et la largeur reeiprnque deshauder, Vnici ln plus rernsr- quable. Vur. l. H, inequelir. nob. Deux bandes étroites supe. rieures, une très-large infé1·ieir.re, nu bien l‘inver·:e pour la disposition. N', 5, quatuor feminin. Plus grande veriutinn dans Pageneement. des lrandeu et leur lurgeur réciproque. Voici la plus remarquable. Var, er. II. bignnierulo, Deux lsandes trèeetrniœm · repproehées, situées superieurement; deux autres bander inférieures plus lnrges et séprrées des supérieures par un large intervalle vide. Cette vnrîété est fort jolie; elle N•, 6. quinque fereintn. Cinq bandes dont lu eorn— lrinaisone sont extrêmement nombreuses. (Text la forme · la plus commune de toutes, . N', 7. ser [modem. Six bander` trois supérieures et trois inférieures, formant ainsi Jeux groupes sépare: par un large intervalle, (Dette variété est extrèmement rare. 5** slrie.- Vuriotimu ds frme el de grandeur, La hauteur- de lzr spire vsrie quelquefois, la forme typique est glohuleuse, mais quelquefois la splre s‘alz¤i,sse beaucoup. Var. u. IL plamrrpim, nolr, Cette variété, ou plulôt oette forrne , ext tv·ès·curiense et fort rare, Les quatre premiers tours rurrnontent a peine le dernier qui parait aiorx extrêmement grnml; ouverture presque ronde, très- oblique; ernhilic superforé. Abstraction faite des autres mraetèrcs, eette enquille n quelque chose dans la forme —
qui rappelle les II. aarpnilîna , H. spknlida. Cette va- riété ertaualogue, quoique en sens invene, de l‘allon· gement excessif de la spire (sculuril) que l‘ou renooutrc quelquefois. N". adrù. — Vuviulimu dou lbuwartura. Var, u. H. biewrginolu, nah, Periztome brun eur le bord de Pouvcrtum , uvec un rebord blnne laché plua interieur. ll ertfncile de comprendre iuaqu’à quel point cette upêce peut varier, en combinant, pur la pensée, le no¤s» br: du honda, leur couleur, leur diapoxition, leur lan pur, avectoulen les variétés de ooulxnre, lhtle capêoe, que tout le rnnnde connaît, liahim lc.: boit. les luiu,le1jard.ina, lu marais, et partout dans ees localités elle est en nnnrlzn prodigieux Elle vit sur lc: arbre: et nur les plnnlnx; elle ne reste à terre que pour y poudre des œuf: rond: dispoaes en paquet: et dont la zoque u‘a aucun caraclère cuyatallin. Les petih. auuitôt leur éclosion, grimpcnt sur la urlxree; on les y voit pullulex- au printemps, et je ne devine pu de quoi ils az nourrimeut pendunt le premier ign de leur vie. La premiere année, elle atteint À peu pren la moitié de au croissance; l‘an¤ée uuivaute, elle croît encore jusqu‘à Paubnmne , dès loru elle ne gmuiru presque plus; la twi- rieme annee est consacrée 1 terminer la coquille, ¢`eal»i» dire L lcrrner le péristome et son lmurrelet. Ceci est la marche normale; mais il arrive qu‘au lieu de formes- l'onverture pendant la troisième annee. l‘aui¤1alconüuue le développment de aa coquillc qui ulorx atleint du grandes dimension;. Par conma, l‘auimal termine quel- quefois uacoquille dans le second automne; maia alorn il arrive que pressé par lc» froid il s'en¢err«, Youverturc i damiten-niuée, et au printemps suivanlil la dissout complètement, et un lieu du la refaire en la même place, il continue i développer de nouveau la ooqnille pour lo terminer pendant Pete.
Le mode de formation de la coquille du Molluaquea et le degré de vitalité de cette enveloppe pieneuae , P-. niaieut enoore une snrte de probléme. Néanmoins, si l'on observe le: divenea époquea de la vie d'une coquille, on reconnait airémeut eu elle deux mode: vueceuife düecroisrementz le premier en élon. gation, le ieeoud en épaineurt voiei , au rute, comment ln chose; se passent. Juaqu‘à oe que l'animnl ait entre. pria la formation de l’ouverture , lea bord: lihrea du manteau. récrètent la matière de la coquille, matière d’abord muqueuse et semblable i la bave, puia prenant une legère oonaiatance qui va a`augmenlantjurqu'à ee qu'elle soit égale i eelle du reate de la coquille. A eette époque , l’apparem:e de la vitalité est telle, qu'ou ne peutla nier. Les honda du manteau oontieunent reula lu organe: destiné: À véereter In matière oolorante; œa glandu mieroeoopiquea gruudiueut avec l’animal etdanr une proportion souvent plu: grande, car ellea Mont presque toujour: treuiespnoéea don: le jeune Age et ae réuuinent rouvent et se confondent dans Page adulte, ce qui fait que le nomlare des larnder eat souvent plus gnnd dam la jeune, qu'a un Age avance. C‘ext un fait qu’il eat oise de veriüer, Lor-rque le manteau a fourni deux, troie et quelquefoir r quatre lignes de matière i Yallougernent de la coquille, alor: le bord ne fonctionne plua, et la rurface du man- teau ogit en dedans de la coquille et dépose des couchee nuoouniver rurla partie qui vient d'êtr·e créée · l“*lu’à ce que son épaineur eit atteint celle du reste de la ooquille. Cette opération, qui parait fort aimple loi·¤qu’elle ert aiuri énoncée, utoependant asu compliquée. Si nou: pre, nona la coquille dans ses momeur ¢l‘arret, on trouve que troie au quatre lignes avant le bord de l’ouverture, on r’aperçoit que le test, qui ert papyruee partout ailleure, commence à Eépaiaeir; cet épaiasiumient va en augmen- tant jusqu’au bord de Fouverture ou il eat bleue opaque
et.tm褷epnix, A td point qu’nn lieu de lpi ou IIS de millimëm. il otteint lfl nu rnerne ZIS de nzillirrrùtre. _ La section de cette partie, qui occupe moule la portion la lplun récemment wgmâuée, représente dune un cône trèeellongé dont la pointe se perd dun: le pmlnnçnrent de lu coquille vers le commet de ln rpire, et dent la line ut Knutà»tiait extérieure, puisque prcvisoiremcut elle tonne une ouwcrtnre incomplète, Lette construction est nüle sans plus <l'uri rapport; elle dnune uu rexte dela coquille une plus gmmle solidité en éuryrrnt sa xpire rur- rm demi-cercle épais et nolide; elle donne i lürnimul la facilité de su bâtir, pour l’lriver, un épiphragrne plrra solidement etoye; enfin la coquille et l'ouverl.ure sont bien moins exposées I être la-isées pur les accideugque 1il`ouver·trrre eût été de même épeiueur que le nale de ln coquille, Cm sur la line de ce cône nolide , qn’¤u printemps le rnuntezru construit une nouvelle crue; uellcd prbenle quasi un cone misollongé rlont. la lmur fort étroite ut unie à celui dont nous venons rle· parler , de manière queln audace extérieure de lu coquille eut la seule qui wit continue, tandis que l`iu!ér·ieur·e est lirunquement interrompue par un retrait qui indique lo d.itl`éx·eru:e d'épei.ueur des deux crue:. Gepenrluut les chou.; ne Waleut pos lorrgdempr dnnr cet état; l’aniinel diuont peu i peu lu coucher cnleairer exeérlantes de umnière à ne lairper L l'av¤nt«dor·nièr·e crue que Fépuiseur du reste de la coquille, hndii qu'elle repnne sur la crue récente tante cette matière pour en former une lrorwlze provi- eoi1e,et ainsi pour chaque crue ju1qu’à la formation de l'ouv¤rtm·e où toute cette matière est remaniée de non- veau, en partie du moins, pour- la tei·rniner·rlétinitivemeut. Ainsi l‘lréliee dépoae chaque fois, pour- eonmlider ron ouvrage, ler matériaux qn’elle reprendra pour étayer de nouvelles oorretnwtioma on conçoit, du une, que la so- Iiililé dc ln dernière crue semi! iuûninlent moindre,
si su lieu dc Yéhlilir sur une hns élargie et rùistante, elle l’etnit sur une base excusivement étroite et tr&· fngile. . (les fnits, a.\'une olnervstion încile , conduisent à ad- ‘ mstts-e, xinai que nous l‘nvons dit, la possibilité de la complète dissolution d‘uue` ouverture entièrement for- mée pour l'}Isl£.i· uapemx; d'nprès ce qui précède, on peut Vndnzettrs sens hésiter. (lettre opération ne se pnxe point seulement dans l')Isl£c nnnarnlù, mais elle 1 lieu probablement cher ls plupart des mollusques terrestres; c'est ce qui rend minpte du lsmea étagees que l'on rencontre dans l'inté- rienr du test de certninu coquilles. On comprend qu’s.tura ls manteau n‘s pasdiuout , ou bien n'¤ enlevé qu'une partie de ln matière déposée dans chaque ernn. Lorsqu: t'ouvsrture est terminée, c'ett-i dire que ls mouvement d‘élongntiun s cessé, Lu cwiuunce en épniueur commence; jusqn'à cette epoque, en.eiTet, le test est resté mince, papyracé, transparent et rl‘une extrème fmgilité. Iu.•qn`nlars le bord libre du muntenun seul fonctionné, mnintznnnt c'est le msnteau tout entier, c'est«îa»dire la membrane même enveloppen! le tortillon qui en est ls wntinuntion; cet ovgsne dépose des couches successives ds matière cslcnirc jusquà ce que le test sit snqnis toute l'é·p¤isse·ur qu'il doit avoir. Dons notre opinion , ce mou- vement de croissance ne s‘nrréte jamais complètement; msi: il est de plus en plus restreint , quoique le test de- vienne deux outrois fuis plus epnis qu’il ne l`éhi! d’n- bord, en transparence diminue et lu coquille devient plus ou moins opsque; les bandes colorées qui étaient ¢l’nne couleur foncée et tièswive en dedans, n’nppar¤i1sent plus que comme recouvertes d’un voile opalin et semblent couvertes d‘un brillsnt verni qui en adàiltlit les teintes, et les fait quelquefois presque dispsraitre complètement, surtout ven l'ouvertuie. Remarquons nànmoins que ce qui vicnt d'étre rlit de '
- M3 — l’snirnnl en œfsit une nuuvellt; mei! tout uv qui nl. rdgéneré revêt entièrement les même: cnnctüice qu ceux des pièce: pnurlmueher un tmu; il nernble qu’ici le utnnteeu travaille psi- son bord, mais il s perdu sa ei»· vienne: fxcultéu de eréer un épvislerrne et dn nuancer la coquille. Tant qu’ou ne fait qu'enlever un morcmn, quelque grand qu‘iI wit, de le coquille, pourvu que la culmnelle miliuucIe,l’snimnl n`en mnlïre per; il travaille im¤ié— dintement et svec une gronde activité h reparer le désordre; main si evee benumnp de préuntiun l`on eépere le sommet du reste de la coquille, de manière que le lor- tillon ne soit point détaché et qu'nnlnisse le tout en pleee une en enlever une parcelle , l'nnimsl se zenierrne dune sa coquille pour n’en plus wrlir. Aucun trnvsil, ni inté- rieur,ni extérieur , ne se rernnique; les pièces ne se uourlent jamai: et l'aniinel périt nu bout de pluxieun jouis. Nour considérons la coquille nomseulement eonmw un toit protecteur, mais enmme un organe dans lequel nu sroniere moyens Ninvestigslion ne peuvent faire apercevoir ni vaisseaux, ni nerfs, nini: comme un orgene véritable et dont Pîntégrité, den: une certaine limite, eet néewaiœ à l‘eni»tenee du tuut, ll est vrai que le seul moyen de communication directe existe per I'exu·é· mité seule du tnrlîllnn z qu’y n-t—il d'impnuil;le h ce que cela suûise; meis que sait-en Je Yretinn indirecte tl'un corpo vivent sur len corps inerte: qui Tenloureut et l'en— vnloppent; comment se l'eiI.·il que les étuis des frignnss se _ conservent si bien tant que vit l'snimnl et dispereiseent, ee dinolvent eprër la lrnnrfmmntion de le lnrve? Il est alilücile de savoir combien de lempx vivent les Mollusquu et en particulier- Pespèce qui nous occupe; nous pensons néanmoins que se vie est de conne durée; Peecouplement e lieu nvuut Yige sdulle, ¢'ut—à—tlii¤ nven! ln lerrninnisun de le liouclie. 4
— Ht — Cette espèœ rl'Hélice ne sert K rien, on ne la mange nulle part et on u‘en peut faire de bouillon B causa de son amertume; elle mange les fruits, quelques planter vertes, les éooroee des plantes mortes, etc. Je ue la crois pa.a aussi nnisible qu’on l’a dit, néanmoins on lui fait une chasse continuelle dans lex jardins; outre l`l1oninie, elle a un autre ennemi qui n’¤t pm moins formidable, quoique bien petit, Cet ennemi est une larve qui fait se nourriture exclusive de notre Hrlixz une seule de ce: lanea. qui se rencontrent plus fréquemment dans des lieux un peu humides, auprès du fossés dusccliés, dé- truit plusieurs coliuasçons avant de se renfcrnier défini- tivement dans une dernière coquille pour y subir sa métamorphose et en sortir sous la forme rl'inseete parfait. Lorsqu’une larve a choisi une Held: pour cn faire sa nourriture , elle grimpe sur la spire, s'y accroche et attend patiemment que sa victime sorte de sa retraite et so metle a marcher, alor: la larve se gliue sous le mantenu et lilesse taerpromptement sa proie; il arrive cependant que le colirnacon parvient L se débarrasser de son ennemi en le collant et Pngglulinnnt aveesa bave contre les corps environnana. Mais cz moyen de défense ne parait pointle résultat de l‘in1linet, mais seulement du lnuanl. Lorsque cel insecte, que M. J. Mielzinsli a décrit sans le nom de Cochin;-tnriu eoru, Ann. dei Sc. nat., L 1, ien renfermé détinitivcment dans une coquille, il en nettoie l‘intérirur avec un soin étonnant, et au moyen de bouquets rle poils qu’il porte sur les côtés du corp: , il rejette au dehors une sanie noirc et féliile, produit de ses excrémena et de la décomposition ¢l‘une pnrlion du liniaçon non dévoré. C‘est a cette époque qn`il est facile de lrouver le Cochleactamn caruz, et il sullit de jeter un coup d`œil sur une ooquillc pour ùpercevoir ausixôt qu'elle s ete attaquée par ret animal,
— 215 .. ü,HnLxx norrnsrs, Drap., hirk. mulI.,,p 95, n•. 2.l(15 par erreur), pl 6, Eg. 6. -—- -·———-— Mich. compl., p. 19, 11*.26, —- ——--— Müll. , verni. hist., ZÀ7.-—·L1ol. Don., prod., NUS. i —i— Poir., prod., p. û7, n•. L llsut. 012»l]13'. Larg. 017-020. Diem. 15—17. 5 laura . de s·pire. Awimol blanelnitre ou griillre , uni, transparent , comme gélnüncnx, quelquefois de couleur plus foncée. Coquille glabuleuxe, linenxeut en-lea; ouverture sr. rnunlio, peu snguleuse, aussi haute que large; périalome réfléchi, garni d'un lmurrelel d’un lzIane·¢le-hit, avan:. dernier tour non colore en brun. 1.**. rlrir. —· Variété du cuulaur. Var. as. HZ luna, oob. Coquille d’un jaune plus uu moin: vil'. I’¤r. b. IL jlccodrma. nuls. Coquille d'un jeune ver. ditre. Ver. u. H. inuunrola, nob. Coquille d'un rose vil'. Var. d. II. olbn , uob, Coquille, blanche muvent un pen rerrlltrc. ‘ Z", Aria. — Varùltla d'apvia la Mmbm at la dirpoi Ham du boulu oulol-ha. ll'. 1. voneulor. Coquille aooa boude. N‘. 2 unifaaeiala. Coquille i une seule bande. Foncia [wan, Hsnde rl`un beau noir. Faacia pallinla. Banda très-pile, peu visible ou I.rnns· N'. 3. bifnuiato. Deux banales vnrinblu; les deux formes la plus rernarqualnles mnt: 1*. deux bandes étroites, égales, placées supérieuremznt; Z'. une lnande |.rèe-Emzite , supérieure; nu-dessous ei Lrèrrappruchée /
— MB - une bande cxmsuivsmixnt large , occupent psesque taule le coquille. Nt A. trifmnziulvxt Trois bandes : una étroite infêrieurs, une étroite supérieure, et une unessivaneut large, mé disne, qui est la plus rem.1s~q·uslsl¢. N·. 5. qsnxhuzr fnuintu, Quutre hands.; tantôt regu- tièms, tantôt irrégulières; il faut distinguer celle qui porte deux bandes l:n·ges médinnes entre deux étwitu, l‘une intiârieure, l’nutre superieure. Il'. 6, qainqus fnseinm. Cinq bandes régulières ounon. Var. s. H. isshrmptn. Variété- à quatre, cinq, six ou même sept bumlen très-irrégulières pour teur largeur; une ou plusieurs «\’entre elles iuterrou·¤pue.s et etîseéesz on dirait une tâche d‘eners I demi—eîlaeée; dans le sun longitudinal, ce: petites tâches paraissent striées, in- terrompues par lee petites lignes qui marquent l‘aocrnis- sement de Is coquille. I'. [Z H. Meulan Caqnille d’un jaune pile dans la inoitiéaupéricure du tnurde spire,ct d’un jeune viresceut. un peu livide, dans la moitié de la eoquille; la limite ds ces deux couleurs est blanchâtre et ou y aperçoit, vers Youverlure, des rudimens de bandes brunitsu, trèv étroites, serrees et trèepâles. La ligne de déusamutinu s'étend du point d‘insertiun du bord latéral et suivant le demie: tam', almutit wu le milieu de l‘ouv•rtui~e; on le voit s’entoncer dans l`nuvertur¢ en suivant les eontours de l'avnnt-dernier tour. Cette vuriété est furt remar- quable; je l’si trouvée deux fuis et toujours avec deux bandes supérieures. a--. mnt ·— r.·.·s«n». ·1· pm. n A gmam. Vo:. g Il. s»xbs¢ui»atn, Coquille sul>cnrénée,ls earène beaucoup plus forte vers l‘ouverture. La spire est quelquefois remarquablement déprimée, quelquefois hèeélevee; jai possédé un individu qui est
comme eurnque. La grosseur est ansai ts%s«vax·ial1le; ou trouve des individus masi gi-ua que l‘erpèee précédente; en rsvaunlae uu su trcuve de si petits, que jamais I'}!. swararalia ne descend lx cette dimension. J'ai desiudi- vidua qui,s•¤f la hauteur de la spire, ne sont pas aussi gms que la chartreuse de grosseur ordinoirs, Toutes ces variations ne sont pes même des variétés , tout cela el. individuel. d•·. rlvù, —· Variation dans Paucsvgisrs. Yue, H, uparturd fsraorsuaetr. Les individus dont l’é- ·pirle·rme et'! uuloré en ruse ont rurement l‘ouvertnre blanche: ordinairement elle se colore dspuis la œinte de eorua pile iusqu‘aa brun , en passent par tous lea inter. médiaires, comme nue, rose-lzrunltre, rougs»l`uuMou uoiaitre, etc. Quand le péristnuse ut l1t·un,l'avaut-damier tour re colore un peu. On nous rep·roelsei·a peut-être a nous qui re'uni¤ona insxonhlmzent, en une seule, des espèces qui unt été séparées un peu légènument, on sera peut»Atre en droit de nous reprocher d‘avoir maintenu lea lifhurtesssia et nunamlia, Notre opinion , ll cetîguvd, n’est pas Bxée mutplùtement, et dans le doute , nous avons dû laisser les choses telles que nous les avons trouvées faites. D’ailleurs, pour resoudre cette question de l'unite de ces deux eapbeer, il faudrait connaitre toutes les varietes qui se rencontrent dans toutes lor provinces de France , et nous sonamn loin de posséder de pareils matériaux, et il aurait fallu se livrer A des expârieuees dilûciler que nous Ifavous pu faire. Cependant nous allons passer eu revue les raisous pour ou contre cette question, Celle qui la traucherait dh l’obuw.\, serait le non ac· couplemeut dn deux espèens, ainsi que Faure»Beguet l’at`lirme. Malheureusement ce fait est excessivement dit`- ficils À constater, et l‘ou sait que mille preuve; négaüvet en pareil cas sont détruites par une seule preuve positive.
—- MB — (Qependant l’un doit observer quo l’iL Iurfnuia nat tnnioun eamanne dans eerlainea lonlilésmu ue le trouve pu inditféœmmeut partout, on le trouve dans une lnie d'un village et plus dans le haie qui en ent à iinqunnne yu; il habite le côté d'nn bois et pointl'autre. Ceci ne aeml>lernit—il pas indiquer dei moeurs diderentea et ane noneer que les deux espèces ne faoennpleul point en- semble. D'un autre côté, cependant, preeque tous les caractère: qui nenililent distinguer les deux espèces un premier ubnrd, fevanouissent eu examinant lei nombreuses va- rieléa que chaenne d'el.les prùenle. Faisons le parallele. Kali: Aurkvnù. Hdi: umrulia, Animal pile, nui: quel- L’Ani«wl, â la verité, quefoia il eat gri: et asaex est généralement plns ow fonce. lore, mais fréquemment il eat pile et gelntiniforme. Coqroillr petilev plut gl0· Le vaquillr eat quelque- bulenae. mais elle est quel· fnix an.¤i petite et auaai quefoia anni groue et auaai glolauleuae. aplatie que la nnmrulia. Ouverture blanelieçnanis L'uuu•·Iun eat ordinai- elle ext quelquefois mlnree ment brune . mais elle est du mee aulnun. · aussi quelquefois blanche Voili done tout lea mrnmères qui semblent lu plus importuns, qniae confondent de manier: L en que le: deux espèces ne iernlzlent plus eu former qu’une seule. ll en poerible néannaoiua detronver 1 faire un parallèle eontnire, e’e:t·i-dire qui tendrait à faire croire que ne sont bien réellement deux eapàsu. Grasorw, S’il ent vrai que l‘Iwrt«•uù devienne nn ' grande que ln Mmrulùet oelleasi ausai petite que la furdênièva, oeei néanmoins ne peut s'entendi·¤ que pour la dimemùzn nuyumr June upàca eampurla A au mule du dinmuiana axtrlma du l'uuln et un M: dew.
— ZW —- Ainsi les grands individus de H. Isodensis égalent les indi. vidus nrdinairsesdeli. mnsarnlis, msisjamsis ils n’arriveu¢ aux dimensions des plus grands individus de cette espèce; de même que la plus petits individus dn nsmorslis ne descendent jamais au—dessous de la taille ordinaire au moyenne de l‘Aut¢r.sis, pour atteindre les plus petits in» dividus de cette dernière espèce. ll y a certaines variations dans les bsudes de Yhsrtsnsis que l‘on ne rsnoonts-e jamais dnus la nssssonslia; nous uiterons notre variété biculsr et suriout non-s intarmptu, (Je mnt des variéws singulièrement remarqunblu que jamais ne pnkente la nsnwmlia. Mais si l'nn pousse plus lnin net examen oomparalif, on voit que l’|nmnssis a une propension bien remarquable A repousser ses bandes vers le liant quand elles sont étroites et peu nombreuses. Et nous ne connaissons pas , dans la nssnurulis, de varia- tions semblables i celles que nous avons indiquées plus luut sous lu uuméms 3 nt :5. Cela suBit—il pour étalslir définitivement lu deux espèces? Nous ne le pensons point; nous laissons i d’autru le soin de décider. . L'Heli: Mnwralis se tmuve h Meuchseoust, I Rou- vroy, au bois ds Pupineomt, uux environs d'Alslieville; lss varietes \ hsudea sont inoomparahlemsnt moins fre- qnontn que les variétés sans lsnuuies. . Elle ne sert i vieu, elle n`est pas distinguée par le vul- gaire; elle exbale souvent une odeur ulliacée qui provient sans doute des plantes dont elle se nourrit. li COQl.lll.,liE PEKFOKÉE. 5.Hss.|x rosssrna, Ds·np,, hist. mall., p. H7, n•. 15, pi. 5, Eg. 20-22. 1. ---—· Mich. comp., p· 16, n". 17. .... --—— l.inn.,syxt.nat·, 677. -- -·- Müll.,venn. hist., ZH. ' ..- ·---- Pair., prud., p. 63,n*. 1. «
; gm ; liilàr, ayunps., t. MA'. M. Gualt , L I, I`. A. le vignann. Geek`. much. 1. Cealha. Bau!. 056-037*. Larg. 038-(M3. Diam. 03I-037. Spire dc A ly! i E murs. Animal gma , lxlanclihlre ou griaitie, rugueux; have blanche et comme Iactncenu lorequ’on ielbule Pnulmd dlana aa coquille. ùqadlle hècgrosee , épuise, anllule. atrîée , ianulht cu rvuaiatre, marquée de bande: alternativement pileu etcoloréea, dernier tuur trèegraud; ouverture guilde, colorée en mae ou en lzrun-mae peu fonce; reiiéclzi, aurwut sur i'ombilic; aumunet de la spire jm- nkre, éburné; uu épiphragme cretncé, Gpaia et fragile pendant l'hiver. Cette espèce eat commune dnuslu jardin: maraleluara etlea bois uu elle premi, lorsqu’ellewL morlz, une belle on leur hluuche lactée. On ne la mange puinl. dans ce pays; mais en revanche, elle a le privilège rl‘èI.r~e la hase de lzouillom mé\lic•nx·Ql¤¢Iqu·:a personnes plvflendeuî que rlana nos puya, qui n’¤nI. point de vignes, eette upèee si moins bonne L manger, Hle ne nourrit de fruits lambda I terre, de feuille: el rl'liarhe; aèeluca, de champignona, ete. Elle ne paraît par être bien nuisible ; own ne la Qrouve point grimpée pnriaul mmmela némomle; elle aime lu endroits frais et abritè par des arbres. Les jeunes eaquillee sont parfaitement tranrparentzn et d‘uua couleur eornee Lrex-claire, sum appa:-enoe de handea colorée;. Cetle eapène ae cache wu: lea feuillm et dans la ierre pour y passer l'hiver, et elle ienfenne un moyen d`un épîplmngvne épais et poreux; mais ee q1a'ily a cle remar- quable, ¤'eit que cet épiphragme est double d'uue mcm— brune mince, mais résismnle, qui sen En rendre la clôture plua hermeliqueet I communiquer au loul un degré de
vizuliië excessivement olmeur, msi: qui ne nous punfl pas iaselmiwihle. Celle membnne ne punit pus organisée; on peut penser que ee n'c•t qu’une matière muqueuse, épsiuie et solidiliée en Iomne de mxmhnne. Le fam extérieure de Yépiphragme creheé est pereuse: un volt, I lu loupe , une surface muvnduuuée ; les interstlœs forment des venales irrégulières, au fond desquelles ssl une msüèn brillante. La vuhstzubu en formée d’uue multitude de gnnula qui pourrsieut bien être des crys- hux eseesrlvemenl petits de uurhomtls de ohhut. l. Hun Aumœosuu, Dmp,,lii.nt, vuoll., p. BE, u'. 16, pl. 5. Eg. IB. ·..··· A--- B|iel1,cnmp,, p. I']. n'. K8. —-— -———— Linu., syst. nut., 680. -— —-——-——-—- Müll., verm. hist.,2l8. —-- —--—-~—- Poir., pwd., p. B5, n•. 3. List. sympa., t. 56. f. 55. GunIt.. t, Z. f. BB. AA. Haut. l3—!7'· Larg. 20-Z5. Diam. 17-22. Spiie de 5 mme ly! I 6 tours. Coquillv dure , venlàhe ou brunitre , marquée de petites üclues jnunllns ou grises, une seule bumleluruue; perinwme l.vlsnc·lsclé, réfléchi, recouvrant presqu’entiè— sement le trou omlsilieal, Ouverture semi-lunaire. Var. u. II. refusant, uob. Vu. d. mfeszuu uulgvïmx 4lbe unueulafe, Dnp, L.~C. Coquille blanchâtre nu grlse. Cette jolie espece est me: nue, elle se trouve deus lee lieux humides et mnbrsgù. les jurrlins tuarnicltevs du Planches et i Mautort. On ln remxintre quelquefois K l’éL¤t humatile dans les sables quurlzeux de Mencheerrurt; elle y ul mêlée svec l'H. vmuarulù. Il est iucile de ne pas confondre ces deux espèces, même quand elles sont entièrement déculorées 1 Yurbuulamm est tourjcurs re~ msnpable par son nmbilie perforé de manière R ne hisser psrultre qu'une sorte de fente. UK. Mmomlù en toujours oamplètemeut impsrlorée.
Celle etpèce ne parle par de nom vulgnirn, elle u'cet employée I rien, elle vit de végétaux b demi—puLréEA1; je ne connninpoiut. ser œufr. Gomme la nérrronle et ln jnr~· dinièr-e, la porplrire conrlruit. un périitome provisoire q·u‘elle dissout plus lard. 7. Kurt r.¢rr.aA·rA, Drap. , birt. moll. . p. 400 , n•. 28 (29 par erreur], pl. 6, iigi ID. .. ï Minh. compl., p. ib, n'. SG. Haut. Qi Ill ‘·. Diam. 15 *· Spire de 6 tours. lkzguilla globnleure , conique, blaucbilre , mincc , transparente, Iinem¢nt itriéz, rmrùre du dernier war marquée ¤l'une bande blnuche; ouverture rlemiovale, urroudieg périsionre bordé et réllécbi. Trou ombilical pruqu'znl.ièreneut recouvert par lr réflexion du périr- Trouvée une ioir, par- M. Baillon, clrnr une brie ven llhreuil. 8.Hr.Lrx cAa1·rrrrsrAn.r.r.A, Drap., lrixt. moll,, p,,lM, rr'. 30, pl. 6, ig. M-32, -- ----4- Mich. compl., p. 25, nt 38. Coulrlm, Geolï. b. Ln uhcrfnun. Haut, 8-lû ·. Larg. 13-10. Diam. U.-U. Spire •‘le5 M2 K B Ioure. Animal pile, gélatinoïrle, tunique marquée de lielrne rmirer et jaunes qui fnperçoivent h tnveru lncuquillei Coquille tnuaparente, blanchâtre , grise ou brunâtre, line, comr.ne cbrgrinée à lu loupe; ouverture oblique, demi—ovale; périswme brun, borde intérieurement ¤i'uu bourrelel blanc , extérieurement d’ur.re bande lactée. Trou omlrilicul petit. Celte coquille varie beaucoup pour ln bnnleur de IA rpim; ou rencontre der iudividua presque conique: et dfnutres aplutir comme l‘lI. aviautorun Quint l Iz taille, elle vrrie singulièrement, et l’on peut, dans les même! localités, en ramnuer depuis les plug graurler dimenrioua ]urqu’à Palicimi de M. Michaud.
Vars s. IL nsiewr, nols. Var, I:. minor apsrtans sabrolunlc, Drap. L.rC. , pl. 7, fig. 3-Ã. llsliz cliaisri, 'Micla. comp., p. 25, n¤. 39. . Ilslicslla oliaieri, Ferr. prod., p. B3, n'. 255, V. G. ..Hist. rnoll., pl. 7, tig. 3»5. Haut. •L5·, Diam. l0—1l. Spire de 5 tours i 5 ty!. M. Miebaud a cru devoir faire une espèce de cette coquille; mais c’est à tort. Aucun des caracteres qn'il in, dique dans sa deacription , n‘a de valeur apéciûque. 1*. il est facile de trouver, quant l la grandeur, tous les inter. médiaires possibles entre Yerpàee et sa variété; 2*. elle n’ert ni plus, ni moins déprimée, ear l'une comme l‘antre tantôt t’eat beaucoup , tantôt au contraire est véritable- ment conique; 3·. l`ouver·ture est plus arrondie , il est vrai, mais il eu est de ee caractère comme dela taille: on trouve tous les intermédiaires, et d'ailleurs cette iorrno dé-pend de la grandeur du dernier tour; Ã'. la bande lactée extérieure varie pour- sa coloration dans l'espèoe et la variété; Be. la couleur est plus cornée et plus dia- phanea cela n’ext qu’un¤ circonstance de localité, qui se présente de même pour l‘espeee. Tous ou caractères ne peuvent sutlire. comme on le voit, h soutenir une nou» velle espion, et dans notre opinion, ce n’est q·u'une va· riété. Et si ]'étais cer-Lrin que la ehartreuse sait dissoudre son périslonrc, je sülnésiterais pra I regarder l'o|iaisri comme une simple forme transitoire. La plupart du in- dividus n`0nt, en elfet , que cinq tours, et ai l’on en suppose un sixième beruoonp plus grand, ou a Pespèce arm: sa forme et ses dimensions, Var, b. H. lautncurs, Coquille rl’nu blanc-laiteux, transparente, sans bande; ouverture de, même couleur, bordée d’nn bourrelet plus blanc. I./espèce et aes variétés habitent les mêmes lieux z lus jardins, les prés, les bords des bois, les haies, etc. Ellc se nourrit presque toujours de l‘éoor·oe des grands vdgé· '
.. QM ., taux mwrtuur pied, euui est-on certain de ln trouver enr les ehnrdnm, ln aiguë, ln jmobée, etc. Elle pnnd des neufs peüuet par puqneb; ils mnt mous, ne llélriuent en se deuéclnnt , leur enqne est une mem. bnne mince, tnmparenœ, recouverte, 0u·, ai l’nvn veut, nnpundxée de exyrlzux cuhiqnea de earlmmte deehnux. Cette espèce ut extremement cdliimune, on lx ren. 'enntœ partant; elle se trouve à l'ë\‘1t luumnüle dem lu emblée qunrtleux. 9,'Hu.|x cnrnnumu, Drap., p. 102, rr'. M, pl. 6, fr 33. —Micln. c0mpl·. p· 26, n•. M. Uerpèce n’n point encore été uenmntrée drm nous FIL Vu-. u. II. annuliens, 'l`m·t¤n,e¤ncb, diet., p. 52· —·iï-— Munhgll. plt 23, Eg. L. —-——·—-———-· Daum, cnt., pl. 49, Eg. 21. ——·-——-—— De Ferr, ' Hnrx ru.v.mA, Donovan, pl. 457. lig. 2. Uehe variété parle le nom de umlùnus du comté de Kent en Angleterre, on elle persil être eummune ainsi que denieelni de llurelx. Hunt. M-I3 •. Lnrg. 4548 *. Dim. 20-Z! ·. Spire de B Innhi 6 ly!. Anîmal iemhlahle à I`¤pèce précédente. Coquille sub-glnlznleure, ntriée, eumrne elugrinée. mn- géâtre dans innle son étendue et mu fréquemment blun- châtre ou grise, exoeptédxns ln dernière moitié du dernier lour, où elle devient d'nn onrné—purpnrin; elle est ton- jnnrr semi-transpurente. Ouverture semi-lunaire . péris- tn e enrné un rose , brnnlhe , peu un point réfléchi, si ne n‘¤t ver: l‘0nnl.¤ilie, bordé intérieurement d‘un lmur- relet blanchâtre; et extérieurement un nperçait quelque- fuir une lnnde blnnehàtrer Dmbilic trèeauvert. Nvu. L’e»pèee ext plus petite, pôle et lulunnliâlre, num eunune onlwntion. Elle ne trouve uhundamment nu bois de Pupinenurt,
où elle œ nourrit de végétaux morte dwlî ¤l«lA smog; l’écnrce. Je ne connais pnint ses œufs; il ut probable qn‘ils ressemblent à ceux de ls chartreuse, l's.llini¢A de. ces deux espèœs étant fort grnnsle. Un trouve quelquefois nom useslions ubenuréntent smrénee nn bien masquée sl‘un¤ bande eirvulnire moine colorée que le suie de ls coquille. Elle est trop rire pour avoir reçu un nom vulgaire; elle n'ut employée i Dsns le description du Cmwlgliogiuol Divtiomsug, on trouve que ln coquille est dlune couleur plonslsée ou · bleuhtre-pl1e(n pal: blauisnh ar hui color Engl); Qui doit s’en|endre de l‘uspeet de ln coquille quand elle est habitée par Yanimnl; mais slors msi elle paraît comme üehelée de noir et ile jaunâtre i peu psès comme ln eurllssssimsslln, Turion ajoute que la musliono ruwsnshlz lart, i ln grandeur pres, i ln ruforouss; eetts ressemblance nous paraît, su contraire, fort éloignée. Ne pourrait-il pas ur- river que leur coquille ne fu! pas la nôtre aussi positi- vement qu‘on le croit en Fmnce? ll). Hzmx cnssrsnssims, Drap , hist. n.soll.,p ll8,n'. 56, pl. 8, Eg. 43-47. -.- -··-·—- Mich. compl., p. A6, n'. 7ll. à -—-—-—-· Miill., ves·m. 223, p. 7.3. l-lnut. 1-l]2·, Larg. 3-3 Iii. Dinsn. 3-5. Spire de. drh 4]*1 teurs. Coquille déprimée, nisis fmgile, brillante, limpide et tmnsparente, uvec nue légère teinte verxlàtre, blanche el upaque qunutl elle ut conservée depuis lnuptenspe et surtou! losuqsion La trouve morte. Ouvertuse plus large que Jsnute, s¢¤si·lnnaire et déprimée; péristome sirnplo, ambilic étroit et point évasi. Cetu inlie espèce. habile les lieux un peu lsumlsluw. sous les haies. pnrmi la mousse, slsns les marais seu, dant lu tous aescsmneansn. 1..1.. porte du noi- dlsbhsville.,
— 216 - K. Garnier l’¤ trouvée I Anrienr, etc. On la trouve I l'état de demi—fouiIe, dana les erbles qunrtreux de Men- dwoourt. (lette petite ooquille crt diücile à trouver i came de m petiteue et elle est asser rire; il faut bien se garder de la confondre avec le jeune étrt de l'Krli: ssüids, dont elle re rapproche beaucoup. Pour ne par faire cetœ ' erreur, il faudra ne rappeler que cette dernière espèce est blanchâtre en deconne et fauve ou eor·nEe·claire en deerns, et que ler tours de spire sont plua nombreux. Uilrlis uryshxlliwx n‘eat employée i rien ; elle n'e¢ oonnuu que des naturalirlee; elle ae nourrit de végétaux · Ill. OOQIJILLE OMBILIQUÉIL ' Plristons bord!. H.HIr.¤x aurarcxue, Turion, conclu. diet.,p. 52. ·-— ———« Lixler, pl. 74 (ligure tree-petite). —- ti Montagu, plr 'L3, Eg. 2. -— ——— Puruent, pI.8S, Eg·G· -·— ·—»- Du Corb, plr A, L 5. ~—-· ——-—i Donov., pl. 157,Eg. L —- ——— Dorsel, lat., pl 20, lig. 6. Iirlù Mqzido, Donovan, pl. 154, li;. 1. N. H. (Dette rynonimie appartient tout entière i Tur- ton, de qui dle eat wpiée lextuellement. Haut. A·û··. Diem. 12-13. Larg. 10-1‘l. $6 laura du rpire. Coquille user. épuissz, déprimée, striée rasee fortement, roureitre, grisâtre on cendrée, plus ou moine urénée, quelquefois elle ne l‘ut point; arène rendue plu: ap parente pur une bande pâle, blanehitre. Souvent , en deuour, on voit une petite hrnde brunâtre très-étroite; onrlsilic nnvert, un pen rétréci per le bord culumellrire de Youverture; celle-ei ert garnie intérieurement d’nn lsourrelet inoomplet, beaucoup plu: sensible du côté de
limlwilic; ee lmurrelat est blanc on lavé d'u.ne teinte- purpurine. lfnuverture en remi-lunaire, très-pen échnn. uüpnrle dernier mur de spin, ce qui la rend au moin; mari large que hauie et la fait panltre un pen deprimëe; pérismme un pen évué ei un peu rélléchi à l‘extvemiI·é eolumellaire, ses points d‘alI¤n:lae se repproclaeni beau. wap et tendent ) donner i l`ou*verture une forme ar- mndie. Celte espèce ne parait paint être décrite en France. llle Bmunlnrd, de Boulogne, me l’a fait connaître le pre. mier; plus tard, M. Baillon l’a rapportée de Héron prêt Iontreuilenr-Mer, et des dune: de Merlimont. Cette coquille se rapproche de l‘II. hiopïdu des auteure lrangaia ; main elle est plus gmnde et la forme de son nn. verbure en heauenup plus circulaire; ler individus non urénés se rapprochent auari un pen de l‘ll, miele; mais ll nnuleur et les sirice et le nombre dea tours de spire ei le bounele! incomplet du pérismme , snfüeent pour l'en distinguer. Nous n'avons point vn l'anima1. Turlau ai0w!9. A nue xlueripiinn asse:. longue, que lu jeanne individus aont wuvent couveru de puils wam, N qui la rapproche encore a cette époque. de l’l!uIie Ãùpido , avec laquelle elle e lent daûnile, La hauteur de la apire vnrie beaucoup, now! tree- tléprimée et carénée; la coquille en souvent surbaiseée et le dernier wnr arrondi. Je ne lui connais pas de nom vulgaire. lZ.Bu.1x marina, Drap., p. 403, n·. 35, pl. B, I`. 20-22. —... --- Mich. comp., p. 25, n•. A5. -- -- Linn., syst. ont , 575. _.4 --- Mull., hist. verm·. 268. -- -- Pair., prod., p. 75, n•. 11. Truolsua biapidulw, Chenin., L 122 , lig. 40574058. Cachlea, Gwû. M. La vrlontee. Haut. AA l;2*. Larg, 6 ly!-9. Diam. 8-I2, Animal pile, rarement hrunâtre, tenlacules elülù.
tbqrük hum wmnmiupiiuta. Knnuvrk mia, lzériuéz du petite pniln xwtuitvu, reoourlslu. ¤• dt petite: lulullus épidermiquu qui îwnlwnt fwzilcumnh ut , promptement lorsqu: Vnnimal ut most Dm: cet that, le ¢9qui|·Ie devient. mluu wgriœ, etai ne n'étaît m petinniœ, on }W¤t‘nit.la preutlu ynur l'H~ rw/nouv:. Spire wnvmt un peu déprimée, qnelquelbin whique, Unvcrtwt ar· romlie , semi-lunaire; périrtome un peu rëliéclii un Famhilin et bordé «l`uu lmui-relnt épain, tiisappareul L hnglc nnlumcllxire, mais qui te continua rammont mr tante l’auvei·ture· Dmhilic étroit. Cette coquille uit qnelqaufoix unrqnéo mr la du du dernier tout d’nn¢b•nde blanchâtre , et, plu: rammnnt encore d`une bamle bmnitm , très-étmitswnu eo dernier tour. Vu. s. H. minor. nob. Coquille otwniüle, tvIs·p¤ti1o· (cinq mill. un largeur), annu épaim, seulement yertoree; plrixtome gnrui d'un bnnrrnlet ou dent R hngle oolumnl- laine, de un millim. euvimn de lnugunni-, > Van B. H. pnllids, nah. — Vu. g. uriner, alba, magic duprum, pnialnuh nuzrgimla, Drnp,, LAI. Cvquille plus grande que Ln précédente, lalantzhàtm on cornée pzule, tuuuapurcntnt fragile; Spire plu déprirnia que dau Yenpèœ. ll faut nvoirgruml soin dn ne recueillir que les i.nrli·· vidus vivana, ri l’on veut étu-¤ certain de posséder Feapèon nu sen variétés; vnf loi-aqua cette erpèoe ent morte; elle devient bientôt griau , opnque , puis blanche. Se trouve dans Ian: Ins lieux liumidu, lu jmrdinx, mur les haies, roux les vkétmx mom , au pied du muni, dans les buis, sur les trnnm pourris , etc. (Put une der plu: onmmnner du genre. Sn trnnvu A Têtu! humatile dune lu sable: quaruzux de Mzmhenourt et umpitee dans nou tnurbes. Elle n‘a point de nam vnlgniic; elle Le nourrit d’£» nurc¤ de végéuux niort:. Elle attaque aussi lu végétaux
— 219 - vivnnc, et quoique petite, elle doit compter panùi lu Mnnx des jardins humides, IB. Hxux i1·xtn·A,Dr·p., hiet. mnll., p,106, u'. 39, pl. 6, fig. HL2!). ..- -- Mich., p. 32, n°. SI. ——- civunn, Pair., pmal., p. 75,112 B. La gi-inde utriee, Geoff, 36. Hunt. 3 lgi—1û·. Lnrg.5-18, Diam, ûlg2-16. Tomi de rpir: Ã lfl-0. Animal unir on brun en denim, pile en duwun, agile. Cuquiih excessivement vnrinble pour la gnndzur, llé. lévnlion de ln xpirz, la larme et la cnnleur dv: l'0uv¢r— tune, ete. Enfin, ce qui ex! plan rumaiqunble, les striu sont plus on moine nnaibles. . Voici au reste lex s¤n·actère.¤ de nntiw espèce type . que mus nppnflonu H nelle de Drnpnrnuulii Cnqnîlle mbdéprimée, mince, de 5 i 6 ligne; dnluge, de vnlornlihu vnriulwle , rdgulünntnl ntride, Jnrtnut rn demie, moin: en deuoun. Ombilic profond, étroit, ne Iiiimnt vain que hunt dernier lnur; dernier tnur non ixrdnd de In xpire révnmnt trè:-nensiblemcnt veux Pan, üerlure. Uuverluru urmntlic , plus larg! que hnnke. Bard lllircl build ublique nur l'|¤mit ùvnilr tour, clan-}- nlire que ln suture qui avril suivi la ligne de rène (I) ¤'en éuarit \ quelque: lignes nvnnl son extrémité , et dévie du plus en pluniuiqiü l'auvertur•: ; cette rlieparition rip krminée. 5
proche beaucoup l'un de l'autre lea deux bords de l'o¤- verture ct rend r:elle·ci un pen comprimée, Périatome _ blsnc au blancbatre , bordé d'un bourrelet bleue plus ou moins complet; boul columellnire un peu réfléchi sur l’oan'bilic. Tels sonllu caractères que nous avons remarqués mr la plupart des coquilles que l'on peut rspporter a HL rlrùxtu, Drop. Maintenant il rette à débrouiller les variétés et les espèces qui ont été créées à tort. Gomme pour les autres espèces, nous diviserons ces variétés en séries. I". aéria. — Vovioliarr du caulsur. VM. a. 11. ann, mh.- V«r.â.¤11>· rm, ump. Coquille blanche, avec la ligne de carène marquée d'une hnrrde moins colorée . atriu trèsrlinu. Van I1. H. ablilerals, nobl -· Var. I. ulb: fuciù obli- laretir, Drap. Coquille blanche ou blnncbàtre, marquée de bandes déenloréu , elîaedes et i peine sensibles. Yu. a. H, arrrmtu, nob. — Fur. 01. urfmclu irrfnw fuiir 2 ai B rlapictn, ruprmm crmlivwahx, Dr-ap. Coquille blanchâtre ou fauve , nrnrquée de deux i aix bander brunes, l‘une (Pelles plus large continuée sur les autres Uespèee et ses trois variétés se trouvent dans les lieux hunrirles et au l'rrnimal peut trouver une nourriture nbon- dente, comme les vergers, les jardins maraîelaero fortement fumés, aux Planclies, B Rouvray, ete. Ellevit en famille nombreuse, dévore les légumes et au besoin les planter Ia demi-pourries ,·et même le fumier. (Test même sur les petits hrs de fumier qu'on est plus eeatsin de la trouver en abondance. Elle paraît craindre un peu la sécheresse; mais à la moindre pluie on la voit , comme toutes lea variétés snivontcs , feanpresser de sortir de son trou et se mettre en quêter Se trouve L Yétnt lrumntile rlnrrs les sables qunrueux; elle y est rare, '
Var. d. II. intarroofa, ucl).- Var. y, [`nciia inlermp- . lia Incuù, Drap. Enix nnlrzruxma, Poir., pr0d,, p. 81, n'. lb. î —--- Lam. ani. sans vert, n'. 70. — —— Brard, coq. des env, de Paris, p. 39, pl. 2. ii;. 'I. — Minh., prod., p. 50, n°. 50. — (hlicnlln) rtriotu, Fer. prosl., p. àà, n'. 2’IS· (ktte variété élevée au rang d'¤:pèce par Poiret, puia regardée avec raison par Drapurnanld comme une simple variété, et eulin replacée comme espèce par Ferruavac, Micliand, elcl, n'eat pas plus distincte de la xlrialn type que les trois variétù qui précèdent. Elle ne |‘eu distingue en elfe! que par ses lzandza colorées qui santinterrompnes et ant une apparence rlenlelée , et anni parce que le bord de Fouvertureest fréquemment rose nu d’nne teinte vi. On conviendra aisément que de pareils caractères ne sullisent pas pour établir une espèce distincte. È'. rlrie. — rnriulion dans la guzndsur sl ln fimna uk la eoquillr, ' Coquille lrivpalits. VM. ·. 11. ···a··». mi.- Aa W. S, icmyi, fmaa imnrruplir, ablilnntù. Drap. Celte variété est assez constamment fort petite; elle n’a xnuvent que 0,005 de largeur; elle alteinl fréquemment 0,007 et U,0l0. Je pense qu‘il remit facile de trouver touales intermédiaires de granzlenrjunquü l‘e•p袢; elle ¤'en distingue ainsi: trou nmlnilical étroit, nc laiuant apercevoir q·u'une trèepetitc portion (le IM) de l`avant- dernier tour; uuverture tcmi-lunaire, plus haute que large, garnie intérieurement nl'un bnnrrelet blanc plna nn rnoina continué; apiie déprimée dont le dernier tour ut caréné; aulnre peu ou point déviée dela ligne de carène, La coquille est blanchitre ou rousse faxciéc de f
— 232 — lvnnrlu continue! ou interminpuu; ses ttrîes sont Lx-ea» Enu et serrée:. Cetle variete lmlaitelen eudroitxnridcl et sur Ieneôtnux, les pelouux trèrnèclmea; elle est fort abondante à Tlnuison, damier fortiâentiom, L Ganlzert, etc., et autour dïqnieus. Elle vit de brindilles et de végétaux mom; sea petites dimensions nous pumiuent être le uâenltat rl'une nourri- ture pm abondante et aèehe. Var. L H. aandidulu, noh. ·— Vu. i, alba cala aut alba fueiula, labia bidunulu, Drap. linux caanmvn, Mich., oompl., p. 32, pl. .... --î Studer, eyat. veneielr., p. 15. i. ..—î Grxtel., mall. Dax. Bulls. lin. Bowl., t. 3, p. 107, u°. 17. —- etrïata, Erard, eaq. de Perla, p. M, uk 8, pl. 2. Eg. 543. i bidentala, Drap., tabl. moll., p, 85, n'. 25, i. î--· Gmel., uyxt. naI.. 231. —— Mimarun, Atten., pl. 5 (zz ]îd« de Fer.) »—»— unifueiala, Poir , pr0d,, p, 81, Ii'. 17. Helie (luliunlla) eandidula , de Fer. , prod. , p. M, n°. 279. Lnpulit ruban, Geoff., trait. eoq. de Paris, p. &9, n- M. Haut. 3·. Diam. ü—7. Cinq toun de rpiras. De toutes les varietes de la rhùxla, cette Helùv est la plu.: rlintinete; elle pourrait être regardée eumme une espèce , ni on ne la oomparnit quhvee In xtriata; mais lor.squ’on In rnpproclia de lïrieetarum, on voit que ln taille ent à peu près le seul earackère qui persiste. Cequille blanche, 0-1 faaeiée, lima au î peine striée: umbilie trèeetmit, perforé, ne laissant apemevnir qu'uae faible portion del`avnnt»nlcrniertn¤r;ouver|ure arrondie, plus large que hante, garnie intérieurement d’un bour- mlot blane, epain, eontinu, quelquefois interrompu de maniere A ligurer une ou plusieurs dents; dernier taur armurli au mluaréné; suture ne s‘écartaut pas dela ligne
.. 133 - de carène; spire un peu plus élevée que dans lo précé- dente variété. Halrite lu mème: lieux que la précédente; mai: elle est beaucoup plus rare. Cette ooquille se rapproche de l‘Heli.r urâcstown per l’al.»rence presque complète de stries; mais elle r'en éloigne par tons les autres caractères. Elle se rupproche de notre van wrinar par son ouverture, rex stries et son omhilie. Var. g, H. mqoairuoulm, nob. Holiz rugonfuamolu, Mich. compl., p. th, n•, 8,pl. 45, Eg. M, 12, 13, UA. Spire asser. élevée et quelquefois ee· pendant rlépidméez ombilic peribré ne laissant voir au- cune portion de l`svant-dernier-tour-. Duvcrture arron- die, un peu plushaute que large, garnis intérieur·er.nent d‘un bourrelet plus ou moins prononcé, suture peu on point déviée de la ligne ale earène; dernier tom- un peu earéné; ooquille grise, striée, Aries beaucoup plus élevées et moins serrées que dans toutes les autres variétés, En créant cette espèce, M. Michaud a oublié de la comparer avec la xlriota. dont. ellese rappwclae bien au- trement que dela camion et de la cumpvrcuto, D’un autre côté , la eoquille ut souvent déprimée , et quand même elle ne Pest pas et qu'elie a pris toute son évolution, la spirz n‘rnt certainement pas asser, eonique pour que nette coquille soit placée dans la première eeetion, Ceci prouve que la division de Draparnauld est mauvaise et qu’ellc peut entniner , dans dc graves erreur·s , les esprits les plus amoureux de la vérité. La variété mgoaùnoulo diHèra de notre mirror par ser stries, la forme de l'onverture et son omhilie; elle s‘en rapproche parmi petituse et sacouleuryetquelquefois par l’ahai ement de sa rpire. N. B. Nous ferons observer que nous avons pu étudier des échantillons de la ruyoriurcula , nominés et envoyés par lil Michaud, et que si nous nous sornines trompés , la faute en est h nous tout entière.
—— ISA ·- “ Coquille uuuô grand: que Fespàou. Vu. h, Il. dapnun, nob. Spire courte, aplatie, suture inseree auulessus de ln ligue de cnrène, de manière que le dernier tour est bombé, semble remonter, et que la bande brune se trouve cachee et ne se continue pes sur le reste de la coquille; ouverture semi-lunaire, à peu pres aursi haute que large. Var. 6. Il, rrsglacfu. uolx. An Hrliz negleetu, Drap., birt. moll., p. 108, n•. M? Coquille glolzuleuse , uu peu déprimée, str-iée h peu près oomme Fespêue; dernier tour arrondi, point ea- réne, suture suivant la lipe de carene ou en devient trèspeu; ouverture arrondie, un peu plus haute que large; périxtorne vineux avec un bourrelet plus pile ou blanehàlre. Dmbilie ouvert, laissant voir un tour de spire,ur·nctèi—e qui rapproche de l`H uientomn. Cette coquille se rapproche. eonimeletlit Draparnauld, de lu euriubilir par·!'elevetiun de la spire; u1sirl'omlrilie de cette dernière est bien plus étroit. Je asi: qu’on est fort en peine de retrouver la nsglrcto Drap. ; nussi u`avons·nous donné ce nom A la nôtre qu’avec doute; lu description se rapporte si exactement ïa ce que nous avons nous les yeux, qu`il n'ext guère possible de douter que ee ne soitfespèce de Dnup. Les deux dernières variétés vivent avec l'espèce el se ' trouvent mêlées ensemble; ce n`est guère que dans le cabinet qu’il est possible d'en Alive des espèces distinctes: lorsqu‘on les étudie viv antes et sur place . de pareilles er· reurs sont impossibles. M. Hzmx zeme1oaurs,Drep., hist. moll., p. 107, u'. hl}. pl. 6, Hg. 12. -— —-—— Mich., eompl.,p, 34, n•. Sh. »——- -—--— Poir., p. 79, n•. 16. _.. *.4- Var.B.Y. Miill., verrn. hist, 136. Cuultlro, Geoü'., lil. Le grand ruban ou ruban plat. Gua1t.. L7. Eg, p. gn-!. 3, tig. p.
Cette jolie variété pzénonte des tonn plm lzomlsk el plus détachés que Yespèce; u couleur et la hauteur de sa spire ls font ressembler Is la ecnlinkla, il y a nénnmoins une différence enonne dans la gmssrur, la mmdîda a 22•. du largeur. Cette variété est h ès-rare, L’cspèce et snetvariiétés habitent à peu près ln memes lieux. (lu coquilles sont fort communes purlout, et il nly u pu un rideau, quelque petit qu'ilsoit, oùon n'en trvuve au moins quelques individus, Elle se nourrit de végétaux mort: et de brindilles, et comme die nîliabiœ que les lieux incultes elle ne panît nuire L personne, Elle pond du nzufs très-petits, agglornérés en petits paquets; leur surlace est couverte de crystaux de carbo- nate de cl-iaux. 15. Hzmx vrnxiairxs, Dmp. , hist. mall., p, B5 , u'. 13, pl 5, fig. 9-10. —» -—-— Minis., eornpl., p. 16, n". 1al. Nous ne décrirons point Vespèee, elle ne se tmuve point dans notre pays , nous ne possédons que: Var. a, H. rnlunavillina , Chr Dumoulins , eat. du nioll. terr. et tluv. de la Gironde ` in bull. de soc. linn, de Bord., t, 3. p. 216. Ilrlix rnarilious, Drap., hist, molI.( Minh., in litt. V ucl. Ch. Desmoul.) Haut. ‘I»1\)·. Larg, 8-12*% Diam, 7-11*. Spire deîilouru. Animal transparent, le pied surtout resxemble à une gelée ou brunâtre ou a.l’un cendré foncé; le mufle et le dessus des tentacules sont de la même eouleur; tenta- eules snférieurscoums; bord da manteau noir ou noiritre, Coquilln canoïde ou ti·ocliil`orme , striée, blanche , faxciée de bandes brunes plus ou moins étroites: la supé- rieure seule est continuée; suture profonde, ombilic seu- lement perûrré ; ouverture arrondie , aussi hauts que large; périrtome vineux . garni d'un hourrelet pâle ou tout-à-lliit blanc et légèrement rélleclsi vert l’0mlailic·
Sub. em ln H. puissons. Goqniils www ou l'¤¤Ie, una hands brune, et marquée sur la ligne de narène d’un« bande blanche el. uen-étroite, Cntlz espèce est abondante } Mers près la ville d’En, mr des pelouses sèches snes proches de la mûr où M, Baillon l’n lmuvée. Haus n‘en¤·es·ons pas ici dans une discussion qui p0ur· rait être longue touchant la validité spéciüque de l'll. lusiünvs et vmdabilis; Nous nous sommes contenté de naiss rnnger de l'nvis de notre savant et aimable norras. pendant, M. Cb. Deaumulins. en laiaant una slriété d¤ notre coquille, Nous pnnsnns aven M, Michaud que WM noqnille est bien la smuâtinm Drap,; mais ausi que nel auteur s’e«t trompe en lélévnnt au rang d‘espère. ll n'y a pas de coquille plus variable que La naviabilis , et eerlen elle mérite bien le num qui lui n été imposé. " Pnistame simpls, lâ. Hsux wanna, Drap., bixt, moll., p, 103 , u"· ll, pl. I 8, iig, M-12. ·--·»·- --—- Mich., compl,. p· M, n'. 75. —— nilida, Drap.,|al¤L du rnoll,, p,96, n". A'}. -.. ·-·-· Müll., verm. hist., 2.%, Caukleu. Genfl`. 7. La luisnnte, Haut. 3*. Larg, IPP Diam, la·6, Spire de fi lg?-5 wus. Animal noir; lenhcules ûlilbrmes. Coquille petile , déprimée, lisse. luisnnte, mince, fra· gile , trnnxpnrente, d‘un corne lancé, striée: ouverture ar1·on:.\ie, s¤mi—lunairc; suture ne a'écai-tant point de la ligne de earene; ombilie assez ample , laissant voir uu ou deux laura de spire , dernier tour non cqrene même dans le très-jeune fige. Cette espece est commune; elle bnbite les Lieux très- humides , les bords des ruisseaux et surtout sous le; pierres et parmi les mousses; on la trouve dans les fossé: des fortilicatienaà Abbeville, etc.
Il ne fsut pas confondre cette espèce avcc PII. Ãirpidn, dont elle sa ruppnoche par sa apire, le nombre de ses tourt; elle en ditïere parce qu’elle est mains striée, jumaia arénée, jamais hispide; et enün son périslome n’e!t iamnir garni d'nn hourrelet intérieur. Nous avons, en parlant plnr haut de l‘)Iali.¢ fulvn, donne lescaractères qui distingnientcetteespècerlnns le jeune état-. Cette espèce n’est connue que des naturalistes. . Elle se nourrit probablement de végétaux morts; elle est usentiellernznt crépusculaire : elle se cache pendant le jour et pour- Introuver il faut l'nllar chercher sous lea pierres hurnidea, aux pieds et dans les fentes dea vieux 17.H.u.ix anim , Drap., hist. nmlll, p. 117, u'. 5A, pL 8, lig. 23-25. à î- Mich. compl., p. M, n'. 70. — luoêda , Drap., cat. des molt., p. 06, n', A6. ·——- 1¤ilniaP Poir., prod., p, 75, n'. 10. — nllurim, Miill., verm. hist., 230. Uoclrlaa, GeoE. 7. La Lnisunte, Gualt., t. 2, fig. G. ' Hnut· 56*, Larg. 13-16. Diam, M-14t. Tours de spitc 5. Animal grisâtre, pile en dessus; tcntacules supérieurs hleuàtres, les inférieurs courts, piles et gris au sornuiet. Coquille aplatie, hrillante,luisante, mince, transparen- te , cornée-claire en dessus , blanche-verdhtre en dessous; le dernier tour beaucoup plus grand proportionnellement; nmbilie assu: étroit, ne laimnt apercevoir aucun tour de spin; ouverture oblique , semi-lunaire , fortement et-hancrée par l'avant—¤lemier tour , plus haute que large. Var. za. II. nitîduln, noh. Hull: nitîdula, Dnp. L.-C., et our. minor ahioha, D. L,—C. Cette variété, que Draparnauld avait élevée lt tort au rang d’espèce, re distingue du type en ce qn'elle est plus
— 239 — yuan, mass lusnme, mam wine,. si iam-.: pres que son omhilic est plus évasé et laiua apercevoir au mins un wur ile tpire;l'nuv¤rture est plus large que haute. Cette jolie espèce et su wsriéle hahitent les lieux hn- mides, frais et nnnhragés, nous les haies, dans les jardins potagers et maraîchers , où elle sa nourrit de végétaux fr-ais. Draparnauld dit que quand elle marche , elle fait mouvoir alternativement rex untaeules. lB.B¤.xx ¤rmn•na1·a, Drap., hist. moll., p, MA, n•. 52, pl. 8, Eg. la-7. —— —--- Mich., p. M, n", 73. —- ·—-——- Miill., verm. hist, 231. -- ·——·— Poir., prod., p. 77, n•. I3. . Uoehlaa, God. 9. Le Bnutinn. Argenv, eonchyl., L ll, fig. A0. Haut. 24 412 ·. Larg. 6-6 M2. Diam, 5 M2-6. Spire de 6 Iouri. Animal plle en desaoux , noiritre en desrna et anté- rieurement; quelquefuia entièrement pâle et hamps- ient, exeepté les ventaeules qui reatent hruna. Caquilla nplatie , un peu bomhée en deuua, aaréuée, marquée de stries élevées et régulières et rle taches rnu- geàtrea nu eornéea, de forme cnrréemhlongue, et séparées par des intenallea plus pâles et plua larges; omhilic euse, laissant voir plusieurs tours de spire ; ouverture arrondie , aulwanguleuae dans l’âge adulte, triangulaire dans le jeune âge. Vur, o. I], dapreaau, nah. Spire trèeenurte, eoquille plus plûne, earène plaeee plus haut dans l'¢¢pèe¤, Var. I:. H. auaplanatu, nel:. Toura de spire mus à la même haulaur, le dernier plus élevé , earène tout i fait supérieure ; ouveriure déprimée dans le sena transversal. Cette variété n’est, L proprement pui-ler, qu‘un anci- dent.
Cetle espèce esl. fort jolie i la luupe. Ou la uuu! dans lu lieux humides, nous les pierres , dans lea fault: dos vieux murs, nous les hnics, dans la hoia , wus la mousse, les feuilles, dans les détritus du vieilles souche à moitié pourries. Elle eat furt communs. Elle re nourrit de champignon:. de végétaux mom , ete. Ella cat abondants, I ‘l'6tat. humatile, dans nos tourbe: et nos salilea quartmeux; toulu les rivières la rejettent avec laas alluvions. Ses œufs nous sont iumvunru. l«oraqu’elle veut sortir de aa cnqnille, elle p¤uue~s•n pied en avant nous la forme dun rnamelun, puit elle ae dégage et a‘svancn beaucoup hors de sn anguille. "' Plrùhmu rlfllehî. l\l.HzI.|x umctus, Drap., hiat. moll,, p. Ml, u·. Ã'], pl. 'lx ôg. 35-57. —— --— llicli., p. 40, n*. 65. ..A 4--- Linn., syst nat., 656. — -—— Miill.. verm. hist., R0. Cunhluu, Geod`. lil. La Lamps. List. sy¤opa.,t. 69, Eg. 68. linut. 6-7•. Larg. l5» 18. Diam. !3«lB. Spire de 5—5 lg! Aeuhal d’un bnuu noir, nou clmgriné (Drap.). Coquille lenticraleire . c'ul-à·dire aplatic et humhéc autant un dessus qu'en denous, fuuve ou cornée avec alu taches fsrrugineuargclisgrinée (vu¤\lalu¤P¢)« fortement carénée; casène trnncliante,uiguëuutureauperlieielleç om- bilicpeuévasé, laissant voir un ou denxwursde spire; pé- ristome unntinu, arrondi aur la columelle, aigu, noguleux i Yendroi! de la easèus ; bord latéral droit en par|ie» bord columellniœ rélléehi. Nous n'avons point trouv! rmua-même cette espèce. M. Boucher père Yilldiqnn I Maumrt. dans sa nollention, ld. Baillqn l'¤ trouvée auprël d’Al.¤beville. _
2|7.Hxux |¤1.c¤¤.1.a, Drap., hist. mul.l,, p. U2, n', EU, pl, 7, fig. 30-36, ..·· ·——- Mich, compl., p. U2. n'. 69. .î. ·..··-—· Müll., venu. hist., 232, -- -?- Poiret, prod., p. 83, n". 19. -·- euvtaln . Nüll., verni. hixt., 233. Cwhlae, 5. Geuûi La Petite Striée. Baule il Larg. 2-3. Diam. 2-2 A12. Spire de 3 [ft-À Animal pâle, transparent, yeux très-noir:. Cuquilla très-petite , pâle , blanchâtre , lnnaparenle, aplntie, nan carénée , enuvem de lamelles au côtu espacées, caduques; nmbilic évaxéz pénstome lslanode- lait, réfléchi, plane, très-arrondi et presque continu. Var. a. H. ubliterata. nah.-—Va•·. alba caslù 0bli» valid, Drap. Coquille identique , ne partant point de côte: en lamelle; mais xnnlement Iinemant, délicatement et anperâciellement slriee, Cette espece, appelée la mignonne à juxte titnu , le lrnuve damien lieux frais et humides, mu les pienu, parmi les mousses, nur les lmix morts cn denompaxition, mua la lanune de vache dnuéchée, dans lu mani: , ele, Elle est lrèsnnmvnune. On la rencontre, dans nos nlzlu quartmeux, 3 l'etat lxumatile. uen: 6. livunlll, Lam., Ch. Deunmul., de Blainv., Pair. Ilaliu, Linn,, Miill. Tiwba, Punnat., Muntagu. Helie (zoelulioalla et wuhlegnm), Ferruane. Buliewl, Studer. (Ier, gb:. -·A»imaI traulielipude à cullinr, mns cui» une, paint rl‘0pur¢ule. Coquille perfwée, nvnlemhlungue ou turriculée; una venture ovale, entière, sans zlenla ni plia, I hurda rlesunis aupérieurement et inégaux; cnlumelle droite, liase,.sans
— 262 — yhvmcutute à lu bue. Coquille couverte <l`uu épiderme. ¤»«—·¤¤· l2.î7.îÈà2“.î;.’àîZ‘$.ïîî.If'È.îi..‘..;;,4;· §§’Éiî2.T“‘ !.Bm.¤¤¤| aucunes, Drap., hist, moll, , p. 7b, n°. 3, pl. À. fig. 25. ..-... ·-·—- Mich. oompl., p. 50, n•. 6. .,.- —·——- Nou Poir., prod., p, 35, ¤•, 3. —--— hard«o¤us,E¤cyel. méth., 62. Hulis obaanm, Miill., verm. Isist, 302. Cochin. Geoff. 15. Le Grain rl'Duge. Long. 9-10 '. Diam. Ã'. Spiie de 67 tours, Anùnal pâle, brunâtre en dessus. Coquille oblongue , conique , pointu: , légèrement striée, corne! ou d'un roux bmoitre; sommet un peu olxtus, suture pmfoude ; tours de spire bombes; ouver vertus: ovnlsire, aiguë supérieurement; périxtome blsnc et fortement relléclui; fente omlwilioale ohlique. Cette coquille est presque toujours szlie par de lx terre, qui lui forme nomme un enduit. Elle vit sous les haies, dans les bois, purmi les feuillet; on lu trouve souvent dans le creux des vieux saules, ou cncliee dans les snfrnetuosités de leur écorce; il faut alors beawooup <l'zttentiou pour lu déeauviir; elle n‘est pas très-commune. 2. Euuuus Acosus. Drup., hist. moll., p. 77, u", 7, tuh. À, fig. 29-30. î ————- Mich., suppl., p. 50, u•. 6. Lung. 10-15*. Diam. :1-6-. Spire de 7 9 tours. Coquille en cône allongé, striée plus forte ent ven la sutures , blanche , marquée de flammes uu de bandes colorées; suture ps·oA"onde; tours de spiie uuu ounvexes; ouverture siguë nu sommet, plus honte que large; péris- bome simple , un peu ielléchi vers l'omhilic; ienle 0mbi~ liule oblique. Rapporlée deu dunes de St.»Qlleutiu—e¤—Tom·nou, per M. Bnilloo.
assu 7. Anmrana, Lam., Dexmunl., ecrll. des Ch. Gnt., Mich. Bulimrn , Drap., müll., Brard, Pair. Bulimw, Studer. HJK: (eachlienpm), de Fer., Kang. Car. glnh. Animal comme les lluliwur, épiplrragma pendant l`hiver. Coquille imperforée , allongée; ouverture entière , ovale; bord latéral, tranchant , nan rélléclri; oolumalle una, line, légèrement tronquée a au base; point d'nper·~ cules; coq. luisantex une épiderme. . Ebmrié.. .,.. Éïdbïîée en aléa:. nm uraleur; périrmme rimpla, > I Acnrrrrra r.¤arucA, Mich., camp., p. 51, n'. 1 Bulimus habrieru, Dnp., hist. rnoll. p., 75, n•. Ã, pl. A. Eg. M. .... -...· Errcycrny. mem. za. '” -ï. -·--·-—· Pair., prud., p. â5, n", 12. Hull.: lubricn, Miill., verni. hist., 303. —— Subcglimlriva, Linn., tyst. mat., 696. Couhlm, Genlï. 17. La brillante. Lung. 6-7*. Diam. 21r2·3|;2·. Spire de 5-6 tours. Coquille ovale, nblnngue, ennrée, jauntlre ou d'un brun pale , très»liase , luisante , brillante et transparente; suture assez profonde , prëœntant à la loupe une sorte de lrourrelet rvugeâtrtz ouverture demi ovala , périatnme simple, légèrement bordé, blanchâtre ou rougeâtre. Var. a. H. fruifavmir, nnlr. Coquille ausi langue que Yespèce , mais beaucoup plus étroite , nullement reulléez toux lea tours diminuant insensiblement Cette charmante expèce est fort enmmune dans tout lu endroits humiden, les jardins, lex prés, les bois, was lea haies, parmi les feuille.; sèche: et sur lu vegetaux viunnz elle se nourrit des plua tendres , tels que la salade de laitue; l1ur.natile,elle esttrù-abondante ilansla tourbe, se Mauve uusni dans les aalrlcs quartzeux.
- N5 - Dsns lex cluusilies, les caracteres les plus irnportnns sont : 4*. lc nombre des plis ou dents ptxeés soit sur la enlumelle , soit autour du péristume; 2*. ln disposition ielntive de ces plis, Mais il faut remarquer en même lcms que ces caractères sont quelquefois un peu vnrixliles, et que leur observation et leur détermination ollient des dillieulhes que l'l¤sbitude seule peut faire surmonter. 4.Cuusun nosuss, Drap., hist. moll., p 6/A, nv. 1. Papa bidons, Drup., tabl. mall., n·=. l8. Helio Hdsns, Miill., 345. Bulimw bidons, Encyel. métis. Guxilt , t. lx, l', C. Long. l5-17*. Diam. fi. Spire ll)-4 l tuurs. Coquille lisse, ïipeiue striee, un peu brillante, eornëe. elnire et quelquefois l·ilsnel.iâtre, renllrîe dans les trois ou quutre derniers tours, les autres ordinairement dimi- nuant graduellement ou bien d‘uue manière brusque jusqu‘uux trois premiers, qui oloxs sont de même dimen- sion et forment une pointe snuns¤e;xu1ure peu pmfonde; ouverture nvaluiie, bord lnlrfrnl fortement coude, bord columelleire toujours soudé sur I'avnnt·dernier tour; péi-istome lilsnc. xélléclii , deux forts plis ou lames sur la eolumelle; fente ombilicsle peu profonde. Dans l`in1erieur de Fouserture et derrière les deux Ixmen de ln mlumelle, on voit l`usselet élastique qui est lxlsne, eonlournd en S, éehuneré au sommet et fntlaclie sur ls colunielle nu commencement de l’nvant—rlernier Enfin, vis«à—vis les plis eolumellaircS» e‘est—à-dire dans la coxicsvilé de l'av.int-dernier tour. ou voit deux plis lalunu sssez élevés, contournés , mais n‘av:inçimt jmimis assez vers l'ouverture pour y être visibles; il fout donc, pour les reconnaître, briser tout le bord latéral; et pour npemevoir l'ess¢let, il lhut briser ces plis eux-mêmes. Cette espèce dillere: l•. de ls Clsusëlio sentrirasu, avec luquelle un pourrait Li eonîondre par deux cumelères q 6
nillnm: x'. elle eni lisse, hrillnule; la uuuviraro eat fur- tement stiiée et d'nne couleur mate; 2**. le péi-istnme ent toujours soude L La eolumelle sur l'nvant·«.lernier tour; dans ln wntriauan il est détaché. Z°,Del.a C. plianlulu etdesauuu espèce: rlu pnys, pnree qu`elle n'est poinl. sti-ien et anni pm- l’.¤.lxscnce de pli: intermédiaires situes entre les deux gram]: pli;. Néan- moins il arrive quelquelbi.1 que la bidou présente aussi un ou deux plis superficiels inlerrne«.'linires; nlars il ne reste que son csrnctère lisse et se tsille plux granrle, qui La fusent nisémeut distinguer. A 3~. De la L'. pliante, cn ve que son péristnme n'ext ja- mais plissé. ' ð. De ln C. rugou, par m grande taille et pur Palueuee de plis vieàwis la columelle. Ln Clmuiliu bidam varie un peu par sa taille plus ou mains nmasée, par son ventre plus ou moins déve- loppé; mais ces variations ne sont point telle: qu`nn puisse les élever nu rnng ile varietes. Cette jolie coquille, la plusjnlie du genre dans noire pays, vit dans les hoix, sans la mousse, nu pied des nrhms; 0n lu tmuve au printemps sur les brindilles qu'elle ronge; on est plut sûr de la tmurer sur les cnv.lroiL¤ des lwix exposés en pente aux nyanx ilo soleil, Se trouve nu huis d‘Aironrlel, I Leviern, aux envimm d’Aniiens, Zu Qunrrieux et à ln forêt «l'AiI.ly; cen deux dernières imliculionx nous ont éledounéu pnrlld. Garnier. Elle est assez pen commune. 2.(lx.iusn.1A uucrri, Drap , liixt. moll., p. 72, n'. 7, pl. 4, fig. l5-16. ———— ~—-—- Mieli.,c<unpl,, p. 56, n°. 8. Papa plâuuln , Drap., t. des mall., p. 63, n°. 22. Lung. l5-17**. Diam. À. Spire de I2-43 teurs, Coquille L peu près de même ibrme que ln précé· · dente: le plus souvent. elle est moin: venlrue; striee surtout sur le dernier- toux-, où les stries sont lrî>.ve'levê¤;
— M7 .. lu tmis premiers tours forment une pointe mousse et sont trèvliau. Suture unes peu profonde, ponctuée de petites tschcs bla clsitres et espacées. Sur la oolumelle, vers Yaogle supérieur, on voit un pli trêsaaillant uni un perismme et vers le bord columellsim, et plus pro. fondement on en voit deux autres superüciels qui se réunissent en y et .s’enfoncent dans fintériaur de la co- quille ; oes deux plis sont quelquefois ohliuérés; il n'nn est pas de même du premier. Bord latéral garni en do dans de 840 plis supei1ioiels et binnes. Périslonie lslnnc, réiléchi, évase, hicn détaché du tour preoedent et par oanséquent jsmnis soude avec l’svsnt-dernier. lid. Baîllona trouvé cette espèce. auprès d'Ahbeville, elle y psmît fort rare, Cette espèce varie, co rne ln précedente, par le plus ou moins ¤.l’elongation de ln spire. 3.C|.susxx.ss vs.ien·us.s, Drap., hist. snoll. , p 72, n'. S, pl. â, Eg. 17-15. ..-.—· ··—~- bliols., oompl., p. 57, n°. 9. Papa plscalulu , Drnp.,t. des mall., p. Gi, n". M. Lung. 1l·llÕ*. Diam. 2 1;2-5. Spire de 10-11 tours. Coquille fusifoi-me, un peu ventrue , îorteusent striée à la loupe; Pépiderme pm-sît comme piquelé ou ronge; la couleur est d'un brun pâIe·ou cendré; suture assez prononcée, les trois premiers tours lisses, hlnucbâtres et foi-msnt une pointe mousse; péristosne détaché du der· niex tour de spire, hlanc et uelléchi; lword latéral forte- ment ccudt ven le haut; oolumelle garnie de quatre, cinq ou six plis, les extrêmes plus saillans. Se trouve dans lu bois, à Querrieux, d’où M. Garnier nous l’n enwyee, is Luviers, sousls mousse. Buse. ls. (ltsusrms rooms, Ds-sp., hist. mall., p. 73, nt 9, pl. ·i, fig. 1910. —-··-—·« ——- Mich., compl., p. 57, u". 10. Papa mgsso, Drap., t. des mcll., p. 63, n•. 23, Long. I0·|5*·. Diem. L3. Spire de 1I—12 tours.
- ME - Coqwilla fusiformu, allongée, atténuée en pointe, con. leur rle eornc ou candree, striée fortemcnt et marquée nouvent de petites taches hlanubâtres vers la suture qui est peu profonde; péristome blanc. épais, relléclii, da tache et avançant un peu lion de la spirc; lvnrd lateralprenque droit au B peine.coudé, ou légèrement rinué dans la milieu de sa longueur; émiaence dorsale aaillante. Columelle garnie du deux plis; gorge retrécie par un léger bourrelet situé sur le bord latéral. Quelquefois on remarque des plis intermediaire: nur la eolumelle, caractère qui rappmclia cette espèce de la précedente; mais la CI. mgaaa ext ile moitie plua petite _ et porta un osselet roule en oublie, ce qui ne se voit dans la C. plicatula, Var. e. paroulo. nolz.-Far. E, aviron fuaaanviînu, xhùxlu, et van Y, eriinovpallidê fana, Drap., Lr-C. Cv.Ausu.n nnvuu, Mich.. compl.; p. 57, u•. M. —-——— --- Stuzler, syxtr vcn.eich,, p. 20. ———-· -—--· Ch.Dnsmoul.,biill.noc.linn.Bord., t. 2, p. 53, E- 4. —— —— Gratel.,'hu|l. m. linu. Bord.,t, 3, p. IM.] n". *1. Hall: (c¤cModi»a)par¤uI¤, de Fcrr., prod., p. 63, nt 5M. Turbo cvirtatw . Hartmann. Long. 'I-ll', Diam. 2. Spire de l0»ll tour;. Caquilla plus petite, le plus fréquemment un peu ven- tmie. de même couleur que l‘eapè¢:e , mai; moins forte- ment xtriee. ll en est exactement de cette variete comme de l'H. alirdcra. Elle a été, bien i tort, élevée au rang d'espèoe; on peut même dire que c'est i peine una variété , puisque dans la même localité il serait poanible de trouver confonnluesensemhle et les plus petites panmla et les plus grandes vugno. Nouv cmyona donc faire une très-luge cuncssion euconsenanta cette coquille lerang de variete.
Celte espèce et sa variété hubimnt eneluuzut les même: lieux; elle est commune un piezl du vieux murs, dans les fortiiioutions, nu pied des arbres dans lu bois, dans les creux des vieux troncs, Mais la manière ln plus fucile de la trouver est dc la chercher, vérn le printemps età hutomne, sur les écorees de saule blanc dans lu prairies, Avec un peu dhttention , on l'y déoouvre fucilermmt et souvent en grand nombre; on dirait alors de petites smlnctiser suspendues aux rugnsites de Fécorce. On la trouve, à Pen! humatile , dim lu tourbe et les sables qusrlxeux. Il en probable que nous possédons nhutres erpèees du genre cluurilio; mais leur recherche est dilicile et ce . ne seru que plus lurd que nous en nnnnnîtrom le enn- tingunt, Gxrnn 9. Pun, Drap., (lh. D¢smonl,, de Blainv.,SI.uder, ' Pfeilïer, Mic):. * . Halis, [inn., Müller. Bulimuu, Bmg., Bosc., Pair. Turbo, Linus, Gmel., Munlagu, Malon, eh:. Lu burillan, Geoff. Hulîz (oauhlodantu), de Ferr. Cor. gdn. -Awimal eumme le genre prerédenh Coquille turriculée , cylindracée, pupiforrne , sommet oblus; uuverture d¤mi—ovnle, irrégulière, ordinairement droite, sub-snguleuxe ini`én·ieurement.
É É E ee g É 2 §.E â~ 2 ¤ S vîi ,5 IÉLÉ Y? 'ez Q lëê ëâg .§ L â ·=z=àEë ·2 · *5 -§¤~â.E`5 -5 · E ·f>. 3 · · ¤ ·*ë“‘ ëï ‘s: ëàë aise — eg É: eë-a L zz fé .:5, Z -2 € xë e ' Z5. aTë§~· ëï 5 È E2 z îë ê `âëî ê . ·m¤ï>·>n · Les papa ou maillot: sont de petite; coquilles dont une seule espèce est fort commune; tnnten mnt pen connues des personnes etrangeres mx étudu couchyIio» logiqueulcur petite mille Ie.; fait nüémeut échapper à Ynttention. Elles ne nourrissent bonus de hrindiiiei, de feuilles moriei, de mnunee en dénompocilion et même de lichen;
elles rfentrent que pour peu de chose deus les vlégnhs que les gulérnpodes occnsionnznt dsns les jnrdim, l cause de leur peliluse et cuni parce que lu plupart vivent dans les bois, ' Coquille vylindriqus, obtenu. L Fun unnnnn, Dnp,, hist. mnll., p. M, ut 0, 3, Eg. 36 38. .... î-- Mich., compl. p. 62. n'. 3. Bsliawu nuucuruni, Encyclopedie métis, , di, Pnir,, prod., p. 51. Lnug. 3*. Diam, 2. Spire de 5-6 murs. Animal pile. Coquille <l’un brun mugeâtre pendent ln vie, plus pile et jaune après la mort, non semiblenienl slriée, même h la loupe; auvenure exactement demi-oula, un peu plus large que haute, garnie en dzhnrs nt 1 une petite diohrnm du lmrd, d’un hourrelet blanc opaquqpériswme simple, tunnhent; la columslle est gnmie «.l'un pli qu’0¤ aperçoit trè:-dillicilzment, perce gu'il est situé pml'¤n· dément dans Ynuverlum; ce pli se continue dnus l’iM»é- rieur de la coquille, Celte julie coquille on ln plus commune du genre; elle se trouve dans mus les lieux humides, les huis, les muni: , les haies, les vergers , l’inte’rieur des arbres creux, Elle existe L l'émt, bumntile dans lu sables qunn. œnx ctmrtmzt dans Iuwurbesmu elle est fort abondants, Un trouve des individus qui, malgré leur élu!. adulte, · sont les uns plus longs, les nutres plus courts que Yespèce. 2. Fun ¤Mm1.lcu·A. Drap., hist, mall., p, 67.. n·. 7. pl, El. Eg. 3940. — -——-—- Mich., c0mpl,, p. 62, n'. 4. Long. 3*. Dlnuu. 2, Tonus dc ppire 6-7, Asünsul pile, semblable nu précédent. Coquille ds même enuleur et de même mille que la précédente, umqnk de quelques ctries tres lines et vi-
sihles A la loupe; ouverture à peu près demi-ovale et plus [mute que largmpérixtome réfleclii, blanc et plan; la eolumelle est garnie , pré: du bord latéral, «.\’un pli on dent très-visible, puree qu'il est placé au niveau de l’ou» verture , comme dans Yespèce précédente, il se eonlinuc dans Finlérieur de la coquille. Cette espèce vit avec celle qui vient zl’etr¢ décrite; mais elle est moins commune. ll faut avoir bien soin de ne pula confondre avec la nsurginotas; le gmndeur et la eouleur peuvent tromper; inaialcs description: prouvent combien elles uliùèrent. 3. Pura noieuotml, Dmp.,hi.st.mol.,p.62‘l,pl.3,Eg.M LZ. ..e ..···-—· Minh., compl., p. 6*2, n·, 5. Bulimus doliolum, Encycl, meth. Long. 5-6. Diam. super. 2 1g2—3. Diam. infér. 4 2'3-2. Spire dc 3-9 tours. Coquille tn-une , grise-brune ou gris: , plna étroite vers Youverture , plus lange supérieurement , 'atriée iné- galement et très.-sensiblement; Yépidernie a qu¢lque» foin un sapeet liérissé; la columelle porte. dans le milieu de mn étendue , une lame minoe, élevée, qui se contourne avec la xpire. Dnvertmw i pen pres demi- ovale, plus haute que large; péxiotome réfléchi el blanc. Cette espèce cet nre; elle liubite les bois. M. Baillon l’a trouvée aux environs d'Ablzeville; M. Garnier l': rencontrée dans le hois de Querrieux, près d'Am.iena. " Coquilla conique. 4.Puu Avrna, Drop., hist. moll., p. GA, n'. I2, pl. 3, lig. A’I—À8. ..—· -- Mich., oompl., p. Hb, n•. 10. Ilulimsu onnncaus, Poir., prod. , p. 55v n'. 16.- Encycl, mé|.h.. 97. Cochin, Geoil`., 16. Le Grain d’Avoine.
- 253 ... Long, 5—(i*'. Diam. 2—Z 'lyû. Spire de 7-8 murs. Coquille un peu conique, ohtuse , d'un lwunrfoncé, rougeâtre ou uairatre, striée; vue h la loupe, elle parait comme glaucenentec ouveüure demi-ovale, marquée de sept plis ililüciles A apercevoir; il y eu a deux ou trois sur la columelle: celui qui est situé près du bord eolumel— loire est seul visible L l‘aeil uu, parce qu`iI avance jusqu') feutrée ile l’ouverInre ; les autres plis sont repartis sur les bords cnlumellaire et latéral; on peut, avec la lnupe et par transparence, en apercevoir trois amen saillans dans le has de Yuuverture; péristome simple, gris ou blanchltre, un peu évasé et comme réfléchi, Cetie espèce , qui paraît extrêmement rare, a été tmuvée par M. Haillan, 5. Fun cnsxuna, Drap., hist. mall., p, 65, u', 15, pl. 3, fig. 53-5A. -- —î Miohucompl., p. $6, n'. M. Buliasw aùnilia, Poir., prud., p. 59, n'. ZS. Cavllsa, Geoiî., 18. L'AuLi-nnmpareille. Gualt., t. A, lig. G, Long. 11-12*. Diam. 3-3 1y2. Spire de 9 tours, Caquillz de oouleur cenrlrec, amincie eu fuseau, ou bien seulement conique et striee; ouverture deminvale, ornée de cinq-six plis, deux inférieurs et tmis supérieurs; périslome simple, mince, évasé. Ou vait , sur le dernier ' tour, Jeux au trois 'lmules lilanelses spirales, Cette espèce, que Draparnauld ussure se nourrir de liclnen , paraît être extrêmement rare. M, Baillon l‘a trouvee aux environs d’Abl.vzville. 6, Pan namms, Drap., liist. mall., p, 68, n'. 20, pl· Ã, • fig. 6. . ——- -—-—— Mich., compl., p, 67, nt 20. Turbo puunur, Liun, Ilslis punzeuo, de Ferruss,
Long. 8*. Diem. 2. Spire de 940 tour:. Animal noiràlre, pied eendré, étroit, tentxwnleuupé- rieure groc, les inférieurs extrêmement petit; Coquille fuxifornie , allongée , mince , fngile , elriée, trnmparenle, d.`n.n enmé-clair on ronxâtre; ouverture ovale, arwndie, sinueuee ; bord latéral conde, quzlqne- fois la colnmelle port:. une dent ou hunde blanche; périelmne légèrement réfléchi sur lvcôtù, un peu évlui dans le ha;. Très-eummune nu pied du muxx du fortification! · mue la mnune et dem les fentca du pierres, nu du mules dans les prniries; elle est eommnne et vit, dans cen diverses loeglités, nvec ln elauiilie regain, i laquelle elle uewemble qumd celle-ci est encore jeune. Mein A Loubet les epoque: de leur vie, un deux en- qnilles sont distinctes, ainsi qu'ou peut le voir par le pnnllèle suivant : Papa fmgilih Claiuilin rugum. Striex peu prononcées ; Stries tx-èx—prononcées; coquille trèxefragile, trans- coquille forte , beaucoup parente; périsloyne L peine moins fragile , opaque; pé· réilécbi, à peine moins co- rislonue lilencrdelait, lx·èc· luré que la ooqnille; eolu- rélléchi; ouverture garnie mel]: 0-l dentée. _ ile deux plis, enr ne uumnsse, irrr ne iminessn. Tour voisin de l’ouvex·— Tour voisin de l’ouvei·« ` ture non c:ire’né. mais pur- ture tioujours el Fortement fnitement arrondi; ouveie carene; coquille tronquée Lure elliptique, régulière, du côté de l'ouvertm·e, qui tronquée dn côtéde ln xpire; 1 ln forme d'¤¤ qundrilniëre coquille ne pnraiuant point oblique. · tronquée. _ Ce parallele sullim pour qn'on ne se tmmpe jnmnin sur ce: deux eoqnilles.
— 255 —— 55 uxcEr,E.s. Deux leulaculos oculés soit à la base, mit au sonamnl. ‘ Tanlaeulsa aouléa au saumur. Gxnuz 10. Vmrnoo, de Ferr., Stuiler, l\nng.,Grat., Müll., Minh. Odushmia, Flcmmuig. Car. gén. Animal: lentacules au nombre de deux, oculés au sommet, longs et eimiques. Caquills eyl.indrique,très»apirale, vnlute emisaant len· tement, oûne spirel incomplet; ouvei·l•«we,<lWil¢, Wurte; péristonie sinueux et réllécbi. Cc. genie olîre, par sa eaquille, la plus grande analogie possible avec le précédent ; néanmoins il on a été séparé avec raison, prune que l'unimal du oertigo ne porte que deux tentaculea au lieu de quatre; ce genie forme un passage en\re les papa et les omychium et les eyelaatamu, dont les ientaeules , aussi au nombre de Jeux , sont oculés la la base. Ver-mao, an·rx·vmvru.;o, Mich., compl., p. 7*2, rw. A. Papa avuli-vertige , Drnp.,liist. inoll., p. 60, n". À, pl. 5. Eg. 32-33. Long. 2*. Diam.l yi. Spire de A Igl-E tours. Animal brun ou noir, lrèx-petit. Coqaills lzrnne ou d’un rougerfoncé, très-petite; ovale, ventrue, quelques individus comme sphériques; ouver· tnre demi -ovale , relréeie par un coude que fait le bord latéral, garnie de sept dents ou plis, trois sur la co- lnnielle, deux sur le bord uoluuiellaire et deux sur le bord latéral. Celle jolie pelile espèce a reçu le nom de onriwsvliga, par opposition a une autre coquille Ani lui ressemble bnnuooup et don! la spire tourne} gauclie. Elle vit dans les lieux très-liunuides , les marais , Ea Mencliecourt, les fossés des fortilicutions, sous les pierres et parmi la mousse; elle est commune autour d`Abbeville, '
” Tanlaculu uculdr À la bnn. Gun: 11, Cinriznwn, Miill. , Oc\2n. , Studer, Kang., Granl., Mich. Auriwla, Drnp., Lam., Nilmzn, Ch, Denm. Odunueniu, Bnlimim, Bring. Car. gin. Animal: tenlacules uculési la hane pnxte- I rieure. Cuquilla mn: operculz; ouvertiwc entière, droite, °?“"‘· , . . M ¤.«i..» .... l §'Zî`.i;.`?°"È""T ”¥‘“'T`“ï "î‘”. "î « »,...... pérhmme wudé; coquille b\a¤¤·dn·laii; apire ide âwara . . , .... 1 Minima. 1. Cancmuu xmuuuu, Minh., cnmpl, , p. 7û, n•, 3.- Mi.il.l,,verm. hist., 381, Aurioula minima , Drap., hist. moll., p. 57, n*. 3, pl, 3, lig. 18-19 Bulienua minimun, Pair., prud., p. 69, n'. 1’/.~ Bncycl. méth. , 7.1. — Gmzl, syst, nat., 438. Lung. 2*, Larg. 213. Diam, 412. Spire de 5 murs. Anùnal pâle, blanc, innnitre ou de couleur soufre:. Coqnilla trèvpnite, blanche nu blanchitre, rliaphane, lisse, nvalmuhlongne, obtuie, un pli mr lu cnlumelle et une dent de chaque côté de l'0uverlure ; péristome zé- iléchi, épais, hard latéral coude. Cette coquille forme le passage entre les curyehimn et les vurtign, par mn bord latéral et par taule sa xtructurcî elle se npproche beaucoup de ce dernier genre. Ella est très-communs dans lans lu lieux humides, soun les piermi, parmi lus feuilles mortes et sur les brin- dillu, dans les bai: ct les prairies humides. 2. Duumniuu wirnivrr. , Mich., compl., p, 73, n'. 1. Aurivuls snyanalù, Drnp.,hi:t. m0ll·, p, 56, n•. 4, pl. 3, fig, 16-17. Long, 9-H'. Larg. 3-5. Diam. 2 412-Il 4y2. Spire de S murs.
- 7.57 - ` Cuquilla cornée ou d'uu brun—l`auve, luiaanle. cvvulnire, aiguë et finement ntriée , suture euperiieielle; ouverture aiguë. eupérieurement élargie, arrondie iul'éz·ieui·enaeut; sa longueur égale la moitié de la coquille. Oolunielle ' geroie de trois plis blaum, dont les inférieurs plu: marqués et continué: ; quelquefois une dent ou une cn. loxité nur le bord latéral. Périxlome blanc, évaaé, un pau réfléchi. Cette espèce, que l'on tmuve morte le long de la Somme, parmi lei brindilles et lea coquilles apportées parle llux, vit probablement au bord de la mer, à la pointe de St.»Quen•in , dans lu dune: et sur tout notre littoral; c`ext ee qui ne peut être décidé que par lei naturalistes qui sont à même de viaiter fréquemment _ cealieux, Guen 12. Crcnnrmna , Lam. , Stud. , de Blainv. , Ch. Demi., Mich., ete. Iiubm Gmell., Darg., Pair. , Nuits , Müller. L‘u. gin. —Ani»uxl sans collier ui euiraue; tentaeuin anulén Fa ln boxe externe; büucbe allongée en trompe. Coquille apemulée; ouverture ronde, régulière, entière; borde réuni:. Crcmx1·0¤». termes. Drap. , liict. mall. , ·p. 32 , ri'. pl. 1, âg. 5»B. —-·-—· —--.— Mieliqeampl., ·p. 15, n'. 1. Nvilu ulugeou , Miill., 363, p. 177. Nerim, lieoï 1. L’Élég¤ute xtxiée. Turbo olrgau, Pair., prod., p. 31, rx'. 3.- Gmell.. syst. nat., 3606. Long. 11-15*. Larg. 9 M2-13 1]2. 'Diam. 8-M. Spire de 5 taura. Animal l`nuve,roux—brun, brun-noirâtue; pied plus pâle en demons; bouche allongée en trompe ou museau ridé mnsviereulement, lèvre luilolrée; lentaeuler Ilnéairu.
Le pied oG're un esrnctere que n`ii reneontre ·sur sucsin autre trnciiéliporle. ll est formé par ls réunion <le deux feisezmx de fibres longitudinalcs parallèles et nccnles l‘·nn l coté de l’sutre. Quand l’xnini¤l veut marcher, il euntricte et ullonge alternativement ohnque thisewu, de maniere qu‘ll a véritablement deux pieds. Ainsi , tunrlis que celui de droite ïnllonge, celui de gauche se contracte et aunce <l'un pas; puis pendant que celui de droite se contrecte I son tnur, celui de gauche s`étenxl et ninsi de suite. Je nc sache point que cette curienxc particularité alt eté olxxervée; uucun des ouvrages que ihicunxullés n’en fait mention. Je ne saurais ilire A ce caractère, qui me · paraît «l'une hxutc importance, appartient xenlenient à cette espèce, ou bien s'il est commun à tout le genre; e‘estoe que des observateurs mieux placés pour étiulim- le genre cyolnntums, pourront seuls décider. Coquille ovalenblongue, dure, solide, grise, rougeâtre ou roussàtrc, marquée de Lachei plus ou moins sensibles, utriée longituxlinslement et ti-nnsvonalement , les xttier longiturlinsles tres-fortes, lei transversales tninsnpciû. eiellee etserrxêei; ouverture presque ovslnire, continue, un peu retrécie vers le haut; périsiaine simple, un peu euse; ouverture mie ouinunltie intérieurement. Cette espèce est fort commune; il n’y n guère de bois oii on ne la rencontre et tonionrx en grande quantité dans le même lieu. Ellc sesnlzle vivre en famille; elle se nourrit rl: plnntesetde débris de végétaux; elle negrimpe iunmix snr les arlnne; clle ne quitte pes li terre. }’nr. n, L`. fnacintn , nob. Cinarux fuwii.1 duabu: inv tarruptù, our 1. Diap. Tours de la spite marqué; de deux bandes brunes ou noire: interrompues. Se trouve ilnns les mêmes lieux. Je ne connais point les œufs de cette espèce.
— 259 — ' Z". secs·lo|•·—a·aaeutLxro¤ss aqoarxqlrts. § Truahélipudn mxgsnn respirant A la sur/scs de Fun, Limneens, Lam, I4: genres contenus dans estte division peuvent GIM Jegarvlés comme nrnphibies, puisque vivunt dans l’es¤, il viennent reipirerà se surface; quelques espèces même i sortent de l'ean et restent sur la terre plus un moins longtemps. Ils sont tous pourvus de poumons et respirant l’air en natures (Les espèees ne nogent pas véritablement, V mais se eonlenteut de marcher au fond des ruisseaux qu’elles habitent; anni, pour les recueillir, il font les plclser parmi les ccnferves et les plantes qui forment au thnrl de l’enu des touffes epaiases. ll est frcile de faire ales ohservaüons sur les moeurs et les habitudes des mollusques rl’eau donne. Il sutlit, pour nels, delu placer dans des conditions analogues L celles dans lesquelles elles vivent; un bocal de verre avec nn peu de terre su fond, quelques lxerbes aqusliques et surtout rles Inno: (lentilles «.l'eou), suffisent pour fermer nn petit marsis artiâeiel dans lequel vivront et se re- proclniront tons les mollusques que l'on y plucem. M Ch. Desmoulins a publie, dans les Actes nle la Société Linnéenne de Bordeaux, une note dans lsquelle il décrit les moyens d'emp6eher la oorrnption dans les boeanx où l'on conserve les animaux nquntiqucs. Pour atteindre ce but, il rutüt de placer dans un vase de petites plsnus aquatiques, telles que des lsmm, des doesn, des conlcrvea en petite quantité, de grnmlcs plantes comme mmmeolus, aquatiliq , myriophylluos , ete. Cest ainsi que nous svons toujours fuit, même avent de connaître l'intéres- mute notice de M,Desmoulins. La présence de ces herbes a nontseulemcnt Yuvonlngc rfeiupeelier la corruption, mais elles servent de nourriture aux mollusques; elles les abritent contre une lumière trop vivc; elles servent encore îi recevoir les neufs de certaines espèces.
— 2§0 » Les plantes aquatiques sont néeexsairen à le eonsei·vn· tion et à lu multiplication der mollusques; etce qui est bien important pour llhuinuuite, elles `entretiennent ls limpiclité de Peau et ln rendent snlulue. On nous saura gré de citer, i ee sujet , un psuuge de Youvruge de M. Desmonlim: « ..,. . Suns les plnntes flottantes que ln bonté de ls · divine Providenoen répandues nvee tant de pwfusiou ¤ sur les emx rtngnuntu, les habitons des contrées mn- ` ·· récageuxea périmient dévoré: par les fièvre; épidé- ·· miques; nui: le cnrlmne dépgé par la vléoornposition · du tissus orgsniquen, shsnrlnê par ce; végétaux agnes · tiques, est employé Ã leur nutrition et ib fournissent, ~· en echange, une exlnlntion uboutlsnte t·l`¤ii- rerpirnhle »· et salubre, ·· ` Non. Tous les genre: , tlsm notre pays, ont le.: yeux placé: I Ln lmse interne du tentneulex, et aucun ne s`en· ferme derrière un opercule. Gznuu A3. Pnsxounse, Müll. , de I-`err. , Lnni. , Nilss., Cls. Desiu., Dr;sp.,Gratel ,Pair. Hrlia. Linn., Ginell. Cor. gin. -— Animal enrnulé, mns euirusse, deux len» tuenles Iîiifomuu, contnetiles; lsouelie nyant supérieu- renient une dcnt en croiseunt et intérieurement une langue ornée de crochet:. Caguilla dixcoïde, olextre, enroulée sur un plan l1oii» noutul; ouverture non reflédsie.
. « s · . lssâ , êëa ¤¤=J x GES ê '= ' WWE ‘:· s:ë·‘â뤰‘s· îëë · ï2#§«§;~w gw f .E.⧑,s¤,ë · ga îz -3;.;; E: : ga ëaêîë èèës E *-J ëzê 5 Hi E È É zîëê § ai E z â: M wi `înf ` gé :5 ëgl zi Z? Eââ aaa ëgê ai sa ¤ ar 2 ss È EEE âëâai ' 5 2 ââ Lu œnchylinlngistu ont ai longtemp; partagé; sn,. In qnmiml de lavoir si les plana;-hz; sont dames ou se, num:. M. Charles Demmnllm, dun un mémnh-¤ in. six-étonne A des Acles de ln Société Limnfnnne de Bm. linux, n victnrinmement llémontré que cz gznre est duln puma coquille et par l'anim¤I. Le boul la plus 7
euueé de l'0uverlure indique le dessus de le coquille. Quant aux orifices de l'~«ninrrs1, ils sont i In vérité plzcà L gauche du cou, mais profondement; et â leur· origine, ils sont placés i droite comme dans lei autres genres de pulmonés spirivulvns aquatiques, Les plnnnrlres vivent parmi les herbes aquatique: el ne nourrissent de leur: feuilles. Lorsque le temps exl doux et serein, on les voit nager 3 la surhree de l‘eau. le pied eu l'air et la coquille en dessous, ' Darwin tuuv arnnrdi, 1. Purnoanrs cou·r•oa1·r7s, Drap., hist. uroll., p. A2, n•. 1, pl. 4, iig. 39·M. ...î... -.·- Mieli., compl., p. 79, u'. L -ï ---- Miill., verni. lrist., 368. ———— i- Poir., prod., p. B9, u·‘. .2. Heliz eontorhi, Linn., systr nst., n'. 673. Plunurbis, Geoifroi, 3. Le petit planurbe à six spir1lex rondes. Haut. 1-*1.*. Lavgr Ã-5 M2, Dim:. 3 1y2—6. Spire de 6-8 tours. Animal brun ou noir; lentncules courts et plus piler. Coquille roussâlre,j:iunâtre ou cornée-clair, fréquem- ment snlie cle noir ou rnéure tout-i»f«it brune lor—squ'elle lnlrite des caux ferrugineuses; tours de spire Irèvsenù, moulés les uns sur les autres, les deux premiers un peu znfnnces superienrement; suture hêsnrarquée; faoe su- périeure plane,f·zce inférieure largementet profondément nmbiliquée; ouverlure semi-lunaire, elroile, plu baule que Lrrge. Elle lrnlrile les fossés, les trous à tnurlne et les aux strrgnnntes, où elle trouve des leemru et des ricain dont elle hit prineipnlenrent m nourriture, et dont le desrom lui sert K déposer ses œufs par petits paquets peu narn- hreux, On ln Iwuve fréquemment collée parmi les maté· risux qui composent les étuis de frigaue.
Z.H.n«0¤eu cnsmens, Drap. , hist. mnll. , p. A3, n". 1, pl. l,l·ig A‘Z—M. î ——- Miels., compl., p. 79. n·. 2. —-»—·- -———- Pair., prml., p. B7, n'. L ——·-- parpnm, M¤ill,, verm. hist., SM. Hslis s-amen, Lin., syst. nat., 671. Plane:-his Geoll'., L Le grand plnnorlse. Iiuslt, t. :5, (ig. DD. Haut. •`l—12¤. Larg. 17-%. Diam. 1ü»29, Spire de , Stnurs. - Animal noirütw. yeux très-petite; tenuculee longs. Lbqaills la plus grande du genre. d‘uu brun verdàtre ou cornée en dessus, plus pâle et blanchâtre en dessous, sIriA¢; louis de spîre bombes: suture trè:-prolonrle; en _ dessus la spire est si enfoncée qu'i| semble un nnilsilic; en slusnus le dernier mur excède un peu les autres. Ouver. ture grande, senii—Innaire, un peu plus baule que lange. Dans l’éI.at d`extré¤nz jeunesse, le bord supérieur de l'0uver1ure avance il peine un peu plus que Finfericur. Hle vit dans les enux stzignanles et les ruisseaux ois liuu enule lentement, Elle se naux-rit de plantes nqus- ' liques. Elle estenmuinnemn la lmure, à l'état humatile, dmsla murbe et les sables quurtneux, 3.Pui¤¤nss msrinns, Drap., hist. umll., p. A3 , n-. 3, pl Lüg. ASAH. ——— albus, Drap., tabl. inoll., p. M, n*. 3. --———-— —- Illiill.. verin. liisl., 350. Bout. l l'2•. Lxrg. 4-5. Diam. 3 £l]1—à 4;*2. Spire de Il—û (ann. Coguills blsnehitre, rousitre ou verdétre, marquée xls stries longitudinale; et transversales qui se ernisent, wuvent eouverte de pointes coniques qui lui donnent une apparence velue; dernier tourde spise irèrgrand et s'é|srgissunt. rapidement vera Youverlure; fare superieuue Zpen près plane ou legerement omlriliquée, l'iul`érieure fnrlenient ernhiliquée; auverture lu-ge, évasée, arrondie; lwrd supérieur extrêmement avance.
- 26A - Nous n'avnnr jnmaiis trouvé cette coquille viunte , mais rejetée pzr le (lux de la mer t Lavizrx, Port, ete.; il ut proluble qu'¢lle vit dans lu dunes du Marquenverre. Elle paraît prendre un grand développement, car elle nequiertiuqwà B et même A lyï tours de upire, et 5 on 5 M2'. dn diamètre. " Darwin tour curdnd. L Puxwnus nrrruunrrns, Poir., prod., pi 93, n°. 6. ..--~ lucoatomn, Ch, Deamoul ,mnll. dc la Gir. in. Bull. Soc. Linn. Hard., t. 1, p. 58, n", 5. -·—- ·———- Millet , mall. de lldaine·et— Loire, p. lô, n'. 7. -...·- ·-—-— Gratel., mnll, de Dax, Bull, · Soc, Linn. Bord, , L 3, p. 52, n•. 40. ...--·- -—--— Mich., e0n\pl.,p· 80. n'. 7, Dusanvxrson. ll nous au paru hors de doute que le pla- Mrbir mhmduli-u Poir. et le plunulbù huuualmnm du au|zm·s précités, mnt la même espèce;la description concise de Poiret se rspportc exactement à cells des au- teurs plus modernes; et d’nilleurs, nn motif de réunion qui inc parait ooncluant, est oeluiei : le leucmtmna ut commun partout et tellement qu'ily u lieu de s'6tonner de Yinexplicahlu oubli de Dmpsrnauld; et. Poirot l'i¤· dique aussi comme t.rè~·commun nux envimns de Pari:. Or, je le xleinnnds, quelle est l`aspèce de plsnorbe plus cnmmuna que l‘¤¤uhn (pl. cmrinutuu Drap.), qui eût échappé jusquhlors aux recherches des cnnnhylinlopixlan. 5’il cûtimliqué comme nre son rohmdnlua, il pourrait y avoir doute; mais ce n’est point le can. Nous avons dans repris le noni de vatundatus non-seulement àcnuse de l'«n|érinri\é, mais aussi parce que les carsctèrcs qui lui avaient init donner le nom de Icucutuena nc sont pl cnnsîans; c’eît ce que nous verrons plus bu.
Kant. 1 *2 Diam. 0~7. Spire de 5-6 tours. Animal ¤.l`un brun rougeâtre, rose en dessous, tenta. culea roses. Coqufllu brunâtre, jcaunttre ou cornée, peu Lranspn. rente, face supérieure concave, face inférieure plane ou ooncavejdernier tour légèrement earéné inférieuaement, trèvurrondi supérieuiement; ouverture arrondie ou lé· gèrement snguleuse ven le bas, quelquefois blanche, mais aussi quelquefois de même couleur qnn la coquille, même i l`étst adulte. Dans notre psys, le bournle! du péristcsne manque le plus ordinairement, quoique dans d‘auts·cs localités de la France il paraisse constant. Cette espèce est remarquable en ce qu'elle construit un épiphragsne qui s'appuie sur le bcurrelet du pé· ` riatoma. Nous citons ce fait rl`après l’autm·ite rl'un excellent observateur, M. Deamoulins; car pour nous, il nousa été impossible de Yobserver; ceci vient sans doute de la diE£~ rence des localités. M. Ch. Dcsmoulins n recueilli sea plannrhes dans dc petites mares susceptibles tl’être dea. séchées parles cbsleurs,|.sndis que lu nôtres proviennent de trous i tourbe; ou de ruisseaux profonds, qui jamnis ne se dessècbcnt; et d`un autre côté, fai tenu dans des vases constarsuuent pleins d’enu les individus que i‘ai conservés chu moi, Cette diiféreuce, dans lu conditions qui entourent ces animaux , me paraît suffisante pour rendre raison de ls présence slu bourrelet et du dia. pbrngme dans le premier, et de leus· absence dans le Accond. L'on sait, en elîet, que dans la nature organisée les êtses seployent fréquemment i des circonstances en apparence capables de les tuer; mais en général ceci n’ari-ive que quand l`anis·nal peut se mosliüer, soit eu accroissent les organes qu'il possède, soit en en acquérant d‘autms. lci c'est bien le cas; lorsque la chaleur écbauûe les eaux des petites mares du midi de la France, nos plancrbea semblent prévoir que bientnt Veau manquers;
~ Mo —- nlors, avant de foccuper dc la vie actuelle , ils réu. nissent toute leur puixsnnce de sécrétion et forment, V cununc nous l’.¤vnns vu pour les Hnlsz, un lsaurrelet qui est déja un commencement de fermeture; puis, quand la vase sera mise A nue, le petit nnimal se caeheru sons quelque touüe ale eonferve nu de renuncule aquatique et s'anfermera dans sa coquille en sécrétant un épiphrsgrne dont le laourrelet péristome forme en quelqun sorte le cadre. (Fest ainsi que la chaleur peut deseecher le fossé: pourvu qu’il reste encore une légère humidité capable de retarder Yévaporation E travers la coquille, le planorln pourra passer le temps des sécheresse: et attendre les pluies. · Mais dans svntre pays, ois les séeherossaa durent peu et 'où d'uilleors je n'ni pu observer notre espèce dans du lieux sujets au drsséehament, la formation d‘on épî— phrogme devient complètement inutile, et par ln même raison, celle du bourrelet péristomé; enEn,ce bouruelzt n'oxistant pns, l`¤¤vertui·e ne Je colore point en blanc el reste de ln même couleur que tonte la coquille. De ce qui précède, les caractères atîectes I cette co- quille par notre savant nini ne sont pas eourtana, quant a ce qui touche le hourrelet et la cnuleur du périatome. Cette espèce n’en reste pns moins fort, distincte et on IA reconmîtn toujours et facilement L son ouverture pm- que ronde, ou peu de saillie ale sa cairne, i sa suture fortement prononcée et aux tours de la spire toufoun arrondis, bombes et jamais applalis en dessous. Elle vit mêlée avec lu autres espèces, parmi les lamas et les herbes aquatiques; elle prélere les eaux ataguantu: Mareuil, Menclneeourt, Amiens, etc. 5. Pnxoxau vosvrsx, Drap. , hist. moll, , p. M, n'. B, pl, 2, fig. h-7, —·-··-—-— ———·-— Mich., compl., p. 80, ut 6. ...···· ï- Poir., prud., p. 93, as'. 7.
--... --· Mill., verm. hist., ¤°. 345. —..— eosrpnuu, Mich. , compl. , p. Bl , M, fig. 6. 7. B. Hnli: oorlw , Linn. , syst. nst. , 667. Plnuvbir, Geoli, 5. Le plsuorbe à aix rpirsleni erêlec. Hunt. I lyï-2*. Lsrg. A0-I2. Dimm. B-M. Spire de 67 tours. Animal mugebmnitre et d’nn rouge rutilsut vu par Coquille mince, délicnle, fragile, fsuve on jsuneroup silre, rtriée légèrement et sance transparenle pour laisser spercevoirlzs viscères et surmnt les betlzmem du cœur de Panimal; ilsulïit, pour cels,de placer la coquille enlrele lumière et l'œiI de Fohservnleur: ou découvre facilement cet ai-gin: duns l'uv¤nt—vlerniei· tour. Le dessus de lu coquille est concsve, ln suture profonde , le dessous ut nplsli et quelquefois convexe, ln suture superficielle ct les lours de spirc cnmplelemeut nplstis. Spire fmieinent carenée; csrëne inférieure; ouverture nnguleuse, échan- ¤.-rée par l°nvnnl«-dernier tour. Cette espece habite tous les fossés et les trous h tourbes; elle prélêre les mux slagnantu; elle est tres-commune. llespèce que nous venons de décrire est bien celle de Dnpsrnnuld et surlout si vor. o. ennjar mbfurcn, on- fvtclibua ue, oorimi could, don! Michaud feet servi, 1 tort, pour créer son P. oornprsmu. (Test une erreur q11’iI ut nécessaire de relever , uûn d`évil4er heaueoup de confusion. La vor. u. Drap. est bien le type de l’ea- pèce, selon l’bs.l.vilude eontrnctée per beaucoup ds nn- turilixlca, et notre auteur l'¤ entendu ainsi, ll est vrai que Michaud donne pour carmclerez l'. sept tours de rpire; 2*. dont le dernier beaucoup plus grsnd que les ulm; 3·’. et carèue presqu'nu milieu. Le premier enrac- lërc n’en est pus un, car Drap. donne su oorrox B·7 toun, et rl'iilleurs, qui ne ssit combien peut varier le nombre de ses toon? le second semble plus importent en ce qu’il
contredit Drap., qui stlirme que les tours de spire dé- crvissent lentement et progressivement; mais cette dilï féience n’est quünpparente. On rencontre fréquemment ' sles individus arlultes ayant 6 au 7 tours et dont toute , la spiue décroît comme Drsparnnnld Yindiqne; mais on trouve parmi des aoquilles pln.1 grandes dont le dernier tour tout entier, ou seulement la moitié, eat remasqn;. hlement plus grand. Il y a donc une époque de la vie chez cet animal ou la spire s’éva.se oonsidérahlement; mais la mort arrive fréquemment avant que notre plz- norbe ait atteint ce summum d'aocmis.semeut. Quant su déplacement de la carène, ce eanctère ne nullit point pour former une espèce , mais peut donner lieu a une variété que du rente nous n’avons point ren. contrée dans notre pays. Draparnauld avait évidemment oulzlié une espèce psrmiles planorbes de France. M. Dumoulin: a été plus heureux en créant son plimorbi: laucostumo, qui ¤'était pas encore décrit, ou du moins qui depuis Pniret était oublié. De son côté, M. Michaud crnt sans doute retmu- ver le oorlu dans le luumutonsn, et il pensa cnmbler ln lacune laissée pas- Drap , en créant son p. eempreuw; mais nous avnns demnntré , je crois, qu’en ce point il s'ert trompé. 6. Puromsts isnostrnvs, Drap., hist. moll., p. A5, vs'. 8, pl. 2, (ig. M, I2, 15. it ·-l-·-—· Mich., compl., p· B2, n', lt). i.-- unsbilieulsn, Miill., verm. hiet., SM. -î- uuvinotur, Var. . Drap., tal:. des moll., p. X5, n". 7. Half: cumplonntu, Lin., syst. nat., 653. Ploowrbis, GeoH' , 6.Le plsnurbe à 3 spirslui arëlu. `ldsut. 2 412-3*. Larg. l7·Z0· Diam. J5-IS. Spin de 5-5 MZ tours. Animal noir on noiràtre, Ienueules roux. Coquille noirltse, bmne, jaunitre ou cornée, striée,
ordinsirement, moins concave en dessous qu’en dessus; louis de spire convexes en dessus, un peu nplatis en dessous, le deruicr œréné inférleorement; nnrène msr- ginée; ouverture ovule à trois singles. Lette coquille, ninsi que heuueoup d’e.spèces du même genre, est quelquefois liispide. Elle se dél`os·n¤e usse:. fréquemment, et le dernier tonr prend quelquefois une ampleur tienrensnrquable ; il nsive nussi qn'il (nrrondit et que la curène ilispnrnit eomplêlement; mais ee sont là des secidens qu’il est bon de noter; ils ne peuvent, du reste, servir de hsse à la formstion sie vsriélés nouvelles. ll si-rive sussi quelque. fois que le périslome 0l`l'r•: un bourrelet intérieur. Ceci srrive probablement par les même: csuxes qui sgisient sur le plunurbis rohmdotos. (le phénomène u bewin d‘être étudié de nouveau et surtout ovee beaucoup d'¤t» tention. Lorsque l’on unnserve oette espèce et lu suivante dans des boenux, on les voit sortir de Venu, grimper le long du use, en sortir et tomber E ieu-re. Ce phénomène, dont le but ne m’est pus connu, mérite d`être étudié. Les trè1—jennes individus du plsnorbis msrginslus ne sont pu ou bien sont à peine curénés. Ver. a. P. rsevlus, nob. Dans celle vsriélè, le rebord de lu urène n'e.it point recouvert par les tours de spire; ilen résulte qu’en dessous, ce rebord reste visible dsns taule son éleudne el. iomie un élégant liseré qui uc« compsgne tous les tours. Se tronve i l‘é\st humatile dsns la tourbe et vivante dans les fossés près du pout da Sur-Somme, I Abbeville. Uespèee et sa variété vivent dsns les ruisseaux, les luurbies-es et les esux sugnsntu. ’I·I'|.suonss csnxnstus, Drop. bin. moll., p. M, n'. 9, pl. 2, Eg. 13, M, 16. .... ·ï-· Mich., oornpl ,p. 82,n*. M. .... ---- Miill, verin. hist, BM, i.--· —‘···— Vsr.n.Drup,,t.molI,,p,À5,¤•.7.
— UB .. ——·——·- auuhu. Pair., prod., p. Qi, n•. ti. Ihli: plonurbùr Lin., syst. nat., 661. Plamorbis, Geoll'., L Le plsuorlsc à A rpiraleaîi arêtes. 'Huut. 2 !]Z—3·. Larg, 47-20. Diam. l5»l8. Spire de A-5 tours. _ Animal comme Fespèce précédente. Coquille rarement brunâtre, ordinairement cornée. plus au moins foncée, souvent luisnnte et légèrement striée, plane ou un peu convexe en dessous, concave en ~ dessus, fortement carénée, marine munie d’nn rebord très—suillunt et située au milieu de la spire dont les tours sont presqu‘aursi conrescs eu dessous qu'en dessus; ou- verture sléprimée l deux angles. Ces caractères sont trêrsaillans dam l’l·,;e adulte; mais dans la jeunesse , Ieplaanüs marginatur et le cuinalus paraissent les mêmes; il semble que tous lesjeuner indi- vixlusappartiennentà la seconde espèce et que par l'5ge ils revêtent successivement les caractères propre: à la pse- mière. D`un autre côté, il paraît que certaines localités nourrissent des P. ruinatur dant la e-arène est beau— coup moins centrale et ils se rapprochent beaucoup alors du muvginalus. Ces nrntifs auraient peut-être du nous porter L réunir ces deux espèces en une seule, comrnelavsit fait Draparuuuld dans sa table des nml· lurques. Néanmoins. nous les avons conservées toutes deux, parce que, a grandeur égale, le P. marginulus porte un tous- de plus que le P carinuiur, Ce œracl/bre est important B cause de sa constance , et la question me paraît au moins douteuse. ll faut, pour- la réaourlre, élever et nourrir, dans dea vases séparés, les deux especes et voir si véritablement elles sont constantes. Celle espèce paraît moins commune que la précédente; elle vit dans les mêmes lieux. B. Paanunors u.susur.a·rus, Ferr. · ---— nitilu, Dmp,, lairt. nmll., p. A6, n'. 10, pl.`l, Eg, I7-N.
..·--- ——- Mich., eompl., p. 82, n'. 12. _.··-- --—— Müll., lsist. verni., M9. Haut. I". Larg. 3-5. Diam. 2 1y2»â. Spire de 11 tours. Animal noir, uoiuilre ou d`un hrun rougeâtre ; ten- taculux blancs uu sommet. Coquille cornée eu ieunilrl , luisantn . etriée, lenti- eulaire, convexe en dessus avec une légère fossetle , plane en denoux. avec un ombilic large et profond; der- nier t¤ur de spire dernexurénuent grand , cochant tous lex autres en dessous et curéné inlërieurement; suture superficielle; ouverture semi lunaire , trè,-liarlement éclsancrée par l'av1nt«demier tour; péristomc quelque- fois sinueux. L'inlérieur de lu coquille est divisé par des lames elevées et opposées, qui forment du derni-cloisons orxlinairenuent nu nombre de trois ou quatre et qui sont indiquée: extérieurement par une forte strie d’.necruis- Cette jolie espèce est commune dans les ennx eom— plètement xtagnanies; elle partage les habitude: du Gum: M. Pnvss, Drap., Lam., D, Blninv., Ch. Demi., Grat., Nilss,, Minh. Bulle, Lin., Crrnel· `Flrmuzbir, Mich., Geoff. Bulirnn, Adam., (lol. Bulimuu, Brug., Poir. Car. gin, Animal: pied arrondi antérieurement, aigu postérieurement; tentacules tnbules; manteau hilnbé, déjcté sur les bords. Coquille senestre , lrêslragile; ouverture laneéolée , columelle torse, bord latéral très-mince, tranchant. ¤°·1·"“·=» ·n¤a,s«, r¤·a1«m«.·,a· ump., issus. 2 uyw««»·. l.Pn1sA ron·nlA|.i!, Drap., hist. rnoll. , p. 5Ã. n'. L pl. 3, Hg. 8-9, ...- i-—·· Mich., compl., p. B5, n'. Ã.
.- 212 - Bello fontinnlia , .Lin., syst, nat , 386. Plunorhù, Geoll`,, I0. La bulle aqualique. Plunorbia bulln, Miill , verni. laist., 353. Buliinua funlioslir, Bmg., eucycl. rneth., I7. Gunlt., t, 5, fig. CC. Dong. 6%*. Larg. &»5. Diam. 3 |;2—û MI. Spire de à tours. Animal pile; bord du mantesu découpé en languette: qui recouvrent la coquille quand l'animal se meut, De ceslanguettes, on en voit communément deux ou troia qui ne (appliquent point uu dehors de la coquille, mai: qui, sans eesoc en mouvement, servent à l'animal comme de tenteeules supplémentaires. Ces cepèeex de tentncnles sont v.\’une extrême mobilité, se menvent dans tous lu sens, iullongent, se rsccourcissent et ne cessent pna un instant de se mouvoir, tsndii que les véritiblea lentaculex exécutent peu de monvemens et psraissent doués d`une sensibilité beaucoup moins grande; eei lonierei tentzeu- laires sortent de derrière le cou et nous paraissent desti· nées non pas il proteger l‘nnimol, mais bien aa coquille. Cette coquille, en effet, est d'une excessive ténuité; le moindre ntlouchernent la brise eu entier ou nu moins Pouverture; le moindre choc Is détruit, Ne doit·ou paa admirer la double protection dont elle est entouree P d‘un côté, une grande pertie du mantenu enveloppe sa cou- vexité, et si un choc un peu rude vient A frapper, ls per- cussion ne s’en fait 1entii·qu'i travers un couuinet vi- vnnt qui en amortit le violence; mais si Penimanl nnge un peu vite et risque d‘oller heurter un corp: qui brioerait sa frêle enveloppe, ees véritables tentaeulu fout leur olîice ordiusire comme une sentinelle svoncee, undia que les tenlaeules supplémentaire: sont une gnrde du plus actives sutour de lo partie la plus fragile de ln co- quille , de manière que Yaniuul est averti du danger nvent qu‘il soit près de lui. Cea préeautiona urlmirublu etaient ¢l’auu•nt plus ne-
——- 273 —- _ eaaaaires, que l.a phyae dea fnntaiuea ae plait exclusive. ment dans les ruiaeeaux limpides d'sau vive at Lrèaasoua rante, et que les corpa clrarrlé: pur ces ruirruux au- raient sans neue détruit ce pauvre animal. làzquillr ovifornre, ampullaeée, très-mince, exoesriva- ment fragile, trèrtransparente, liue, brillante, de couleur amhrés nu cornée-pâle; la dernier tour de spire forme la coquille pruqu’en entier; sommet obtunz suture peu profonde; ouverture ohlongue, rétreeie rupérieurument. Celte jolie eapèee habile touiours lea annx vivea, limpider et conrantex; elle se cache parmi lea unllitrirha qu`elle prélëre i toutes les autres plante: aquatiquea et dont elle fait à pen près exclusivement sa nnnrrrtnre, au mnina dans ler lieux ou vit cette plante; elle dépose rex œufs sour les feuilles; elle se nourrit aursi du cresson de fontaine, et quand on l’elèva dans des bocaux, elle mange aaseavolontiers de la salade; mais le mieux est «l`y entre- tenir plnaieura pieds de esllltriolre. Malgré toutes les précautions, un grand nombre meurent asser pronrpte- ment, quelle que mit du une la lirnpidité de l'eau. Z.P¤xaA nvrrwaml, Drap., hist. vnoll., p, H.-}, n·. 3·, pl. 3, |ig.12-13. i .... Miela., compl., p. 83, n•. 1. Baila lrypnorum, Linn,, syst. nat., 387. Plunnvbù rrnritur, Mirll., rerrn. lriat., 35h, llulienur hypmmm, Brug., eneyel rnétlr., n'. 11. --- --4- Poiret,prod., p. A3, n·. 11. Long. 11-16'· Larg. 5-8. Diam. A 1;2—7. Spire de 6 murs. Animal noir, yeux très-noirs ; sommet der lenlaeules lrlanelritre; manteau dépourvu d’appenzlice Coquille fusiforme, coniqua , trü—liase, Ire:-brillante, de eouleur nmbrée, fauve, eornee clair ou jaun&tre;der- nier tour de apire un pau ventru, formant un peu moins des deux tiers de ln coquille; sommet aigu; suture assu profonde; ouverture oblongue, rélrécie et iort aiguë au-
` — III —·— përihstelnenl, ayant en longueur la moitié de la aoquilla, line de la noluinelle lslauclue, parlant iiwéqueuxrnent un lmd mugeâne (lelle coquille, Yuna des plut folies de smlre pays, eat loin \l'êlre auui l'v·:«gile que la précedente; elle ne lest pas davantage que la plupart des espece: uquntiquu, ausi estelle depaurvue de Ysppareil protecteur que nan: avons resnnrqué dans la plsyse des fontaine;. La plxyse des snousxas lsaslsilu les ruiueuux peu npixlea et mieux les eaux stagnnntu et peu prnlandes. Avant Yuclsevement du canal ale St.—Valery et pas- conséquent le dessiclieunent dela Somme, on la tmnvnit abondamment dans les flaques (l'eau slu marais de Laviem; nu la trouvait également au Pilix, dans un petit ruisseau cnmlzlé pour [armer le clsemin dc hallage; elle existe eneore dans le mrn·nis sie Menchecourl. (l)Gesne lE.L|m\\!A. Lamk., Fer., D. El,` Kang., Millet, (Ils, Dexm., Miel:. Dimrinu. Dmp., Pteiff., Bmng, de Fr., Cuv., Brard., Sow. Hcliz, Liu.,Gmel·, Penn·.M0nIag., Dauov., Durs, Turt. ltaeeinusn, Geollï, Mîill. Lînmu, Denis de Montf. Dupisiwolu , Bal'. N¢r€shms¤· Klein. Animal: tête large; bouche mobile, armée d’une dent supérieure hilide: deux tentaeulea nplatis trianguluires; yeux en forme de larmes dont lu pointe est en arrière. wllentinn, n décsis le pmrelsnua et les nuivsm.
Coqwillrr ouverture entière. bord lslérnl trsncbant, eolumelle portant un pli très-marqué. , Lorsque la bouche des limnées est fermée, elle presente à l‘seil nu la forme a.l'une tente eu Y; h la loupe, un peut vuir plusieuru autres plis plus ou moins nombreux. La mage lruœale en srns cessa en mouvement, et pendant la marclse, la bouche s`ouv•·e et sa ferme sans discontinuer. Ce mouvement psnît être utile à la progression de l's- nimal , car il s'opêre sur les parois des vases les plus propres et les plus polis , et même à la surfaoe de l’eau si I'animal sa renverse. Les espèces du genre lîmvuu sont Fort ditüciles K rlis- tinguer les unes des autres; il n'y rr pas, a proprement parler, de caractère bien tranche entra lüsrnirulmiar et l'o¤ot¢, entre cette dernière et la psrsgvu. ll y s entre ees trois espêses une foule tl`interrrr£zlisir·es, de telle sor-te qu'il n’est pas fort po ilrle de poser la ligne de démarca- tion. Pour eette raison, ]`ai eu longrteurps la pensee de ne hire qu'unc seule espèce des trois. Cependant fai laissé les elroses telles que je les ai trouvées avant ruoi, ear je n’ai pas eu. le temps <l'etu«lier ees coquilles dans tous les rapports passibles, et j'aurais pu donrrcr quelque cbosa au hasard en les réunissant; il suilit, je pense, rl'zt. vertirquela similitude est probable, pour provoquer, de la part des naturalistes, les recherches indispensables pour tnncher nettement et dêtinitivemerrt la question. Les ldmnérs vivent dans 1'enu , mais presque toutes en sortent volontiers et vont paître A terra les herlrcs ten— drcs; la pengu s`est quelquefois aventuree jusque sur ' le tronc des arbres, la glutimuu est la seule qui ne sorte par volorrtairenrerrt xle Venu, Ln plupart reelrerelrent les petits ruisseaux , les mares ou l'e»u est peu protonde et Facile s eclr.nst'ler par le soleil. Tontes pondent des œutx disposés en une sorte xle lsande êpaisxemelatirrense, ames semblable ïa uu saucisson. Les œufs sont euclrnsaés dans une vnutière gelatineuse et disposés ordinairement sur
— 216 — deuxlignu. himis Ymimnl ne les dépose wvlex cun- fervei, mais bien sur toutesles phnnémgumu qui eminem dun Fun, de même que sur lei brindilles et même quel- quefois mais plus rarement sur lu chan. Ellesue multiplient avec uncgrunde n-npiditgdm peut- ëtre de tou; lus mnlluiquax les plus iécnnds. < ·: a :2 iai gé zèë Z-àà té jé Z ii · È; 1 2.É,·ë· ê I2 ·`ê· ai ; = É ·ë~·«· ZE * =É·E.È~z ·; l-- lâ.} ‘ë=E §§:'Ii a ji-É? âiê zwëë â ·§ëà¥- ·E tîi =ê ëî È; È sa? aê s E . î i gâ €a"a§â§ â·§ E; » 2 E îëê i È É :5 E à L Lmun a¤ucm.A¤xA, Mich., mmpl., p. 80, ui'. L -- --·--···- Ch. Desm., cnt.
—— 277 -« Iirumu uurinelmriuu, Drap., hist. mall., p. A9, n'. 1, pl, 11, Eg. 28, 20. 30. —-- -—-L Pfeiû'. 1, p. 85. n•. 1. lab. rv, * fig. 17, 15. « -—·- ·-·—--· Brard., p. Ml), pl. v, Iig. 2, 3. — -;- ··· ~~-- Lun., vs,2, p. 161, n•. 7. ——-- ———— — Slndenp. 28. ——»- —-—à· Nilse., p. 61, n°. 2. Ilelir amiwlnrin, Lin., syst. nat., 708. —— ———— Liner, pl. 123, Iig. 21. —— —-——— Pcnnnnt, pl. B9- Iig. 1, »-— ————- Mnntng., pl. 16, Eg 2. —— —·-»—- Turton, p. 68, n°. 59. llulimrn nurùznlavùu, Poir., pmd., p. 39, n·. 6. »·—— ————- Hrug., meyel. rnéth., p. 30A. n·. 1b. Ilumînun muirulu, Müll , verxn. hist., 322, —-—~—- -——— Stnrrn., fauna vs, t. 12. Buesinum , L. wm W b·.·>·a·· «»c~, iG°““'·3· Gualt., t. 5, fig F. Selnroeter, Flussn, p. 272, t. vr, Eg. 1, 5. Car, spin. Cuquillr: borxl latéral srrnndi supérieure. ment et inséré En angle dmit sur l'avnnL·(lernier tour; derniertnurextrêmementlargegsnmme enfle nn halloné; ouverture nrrnnrlie ou ovale-uhronde. Long, 10 30*. Larg, 7-25. Spire ÀJ 1g2. Car. uu. Animal nniràtra, quelquefois fauve, grisâtre et même blanchâtre; tête et pied parsemés de points lslanchâtrcs; mantenu portant des peints dorés et de grandes taches nnirûtres qua la transparence de la en- quille lnisse apercevoir. Caquilla fragile, demi-transparente et quelquefois noi- râtre , selnn les eaux qu‘cIle habile, finement striée; le dernier tour semble farmer ix lui seul toute ls coquille; spire trèusourke et très-aiguë; suture profonde; bord 8
~ 278 —— coluutellaire plus au moins fortement plié, s`étendant comme un feuillet mince , plus pile sur la uenvexité de l‘avunt·derniet- tour, et eouvrant par seu pli la fente omlzilimle qui est asse: grande. 7'ur. m. L. ample, nob. Lismeuauurüeuluviuu. var. rt, Pfeilï. 1, tal:. tv, Hg. l']. ,...- --···-— -——·- Llurtntann , [ ample, p. 250, n·*. 3, t. tr, Eg. 29. Spire excessivement courte, somme enfoncée et dont la pointe ne s‘élêve guère au·de¤us du liortl latéral qui _ se recourbe en haut avant son insertion, de inanièie que le sommet de la enquille pat-aitde niveau et ennnne aplati; suture extrêmement profonde. Vu. b. L. eullim, nola, Coquille marquée tle greasu stries transversales, écar- tées les unes des autres «l`une ligne envimn, ettbrmant, i cause de la euurbuxe des tours de spire, des séries de mépluts quatlrilatèn>.s qui vont 1'éiargixmnt à mesure qu`ils avancent vers Yonverture. Cette variété parait rare; je n‘en possède qu’un échan- tillon. M. Cla. Desnioulina rn'écrit qu'iI en possède de setnlilalules qu'il u rt-gus de la l-laute—Loire. La var. o n’est pas beaucoup plus rare que Fespêce; celle»ci paraît plus eotnntune vers Amiens et _y prend un plus gmul acemissement. Elle tit également dans les eaux courantes et ata;. nantes, niais elle paraît préférer les petits ruisseaux lim- pixleuelle vit alors au tend ou sur les herbes. Ainsi que la suivante, un peut la trouver à presque toute: les épn. ques «lel`année, elle ne paraît pas craindre le û·oid et elle ne s'ent'onee guèretlans la vase que quand il gèle. Au reste, la grlée elle même ne la tue peint. Pendant l'liiver tle 1529 30, de gras intltvixlus qui avaient eté places dans une cuvette, turent cnglnhds dans la glace et gelés eunntêntez; ils wpportèrent ainsi un fmid de 45¤. \
lléatmnur. Je les crus morts; snsis quelle ne fut point ms surprise lors du dégel, de voir mes limnees se ranir mer graduellement ct se mouvoir comme si elles enment ile en parfaite santé. (lctte année 1835, fai repete I’ex· périence sans qn`el.le réussit; mais je pense qn’il est facile du trouver la cause de cette difference. Les individus queje soumis ia Yexpërienoe etaient jeunes, je les oon- szrvais depuis loug·temps , ils étaient alfsiblîs et mu- lstles pur le manque de nourriture, enfin, je les lis ` parer brusquement d'une température de S" a nue lem- pérature I2', la eongelntion fut très-prompte; ensuite, je Ins ii: dégeler trop rapidement. Pour réussir, il lhudrait expérimenter sur des individus bien portzns qu'nn lzist xemità l'sir pour y supporter toules les variations de l'·rluiospls褷e, lïetle espèce , ainsi que l'o¤aln, devient mère bien avant Yâge odulte, etdèx la seconde unnec, elles pondent des bandes d'œul`s enveloppes dans une sorte do vnucus épais, condensé, solide et transparent. ties espèces de rubans sont déposés et collés dons toute leur longueur sur les tiges et les feuilles de toutes los espèces de plantes qui iiveut dans l'eou. Tant que les seuls ne sont pas tirlos, le ruban gélztineux qui les oontient semhle inal- Liqushle et impulrescilsle, ils une sorte de vitalité; mais quand les petites limnees Font quitte, il se décompose rapidement, se détache des plantes et dispurnît. La pre. nliere ponte a lieu de très-bonne heure; aussi, des que les rayons du sulcil ont légèrement réclsnutfé l'nir en leva-ier on au commencement de mors, on voit les lisnnen uustn et mniculariu quitter leur demeure d`hiver; elles viennent ramper sur les petits cailloux et sur lo vose des ruisseoux qu`eIles habitent. Si dans le cours du celui-ci se trouve sur ses bords une petite plage en miniature où |`e¤u nïiit qu`un on deux li trois pouces de pmliusrleur, on voit y atlluer lcsjeunes coquilles pour s'y clisuifer nu wleil et dans une esu que ses rayons ont ultiedie; elles s'y
zccaupleut, et comme a cette epoque il n’y s puiut en» cure d'berbei , elles vont depuser leurs œufs sur les pierres quisont au fond de l’esu , sur les brindilles, lu racines qui lluttent sur les bords des ruisseaux. Les oeufs de cette première poute éclcaent svec lu premières plantes aïquatiques, avec les premières poussa qu’elles dévurent; msis souvent elles sont obligées de vivre des débris de planter qui unt passé l’liiver, et s`il reste quelque Iwmu trivulcu ou quelque rieeia, c’est une bonne fortune pour ces jeunes nuimeux, Il est certain qu'une multitude de ces animaux de ln première ponte, perit par ler froids tardifs et par le manque de nuurri· ture; mais bientôt d‘aurres pontu suceèderent et seront productives. ll n‘y agudre d’enpêcs qui suit plus répandue dsns tuutesler localités, la puludinu impuns peut seule rivaliser avec elle. Cette prudigiense fécondité annonce que la moyens de destruction sont multipliés. En elfet, cette espèce bebitant les plus petits ruisseaux et re- clicrclient de préférence les lieux nia l'e¤u n's qu’une extremement petite profondeur, elle périt par millier pendant l’été par le dessècbcment de son lieu d'bal>i- tation. Il estiei une singulière remsrque que l’on doit faire, c’est la tendance niupbibie de cette espèce; si on vent, en effet, la conserver dans un boul, il l`nut avuir soin ds ne remplir celui—ei qu`h moitié, ee qui n'empecbe psx que souvent elle ne grimpe vers les paruis et ne tmnlze en dehors du vnse ou elle périt bientbt, Les plus jeunes sont celles qui wrlent le plus volontiers, et Yabcndanne dela nourriture ne paraît pas inlluer sur mette espèce de migration. ll est dilücile d’expIiquer ce buuin de sortir de son élément, chez une coquille qui ne peut supporter, non pus le dessècliement, mais la privation de l`enu. On voit, en elïet, que les lirnnées périsient sur un sul encore humide et qui suflirait ii l`entret.ien de ln vie chu d‘auhe• espèces,
Les Iimnées aiment une eau pure et périnent prorrip. tement dans der eaux que supportent fort bien les pa- Iudirru et ler oulala. Cela explique pourquoi I’on ren- oontre ces dernières cachées dans les toulles de nerna- rorirea, comme les oouekarùa, les nrllulla, tandis qu’ou n’y trouve point de limnées. Ces productions plrytoîdes dégagent, en elïet, de Pammnniaque en amer grande quantité pour en imprégner l’eau qui reste stagnante entre le réseau qu'elIes forment, ce qui donne à oette eau des qualité: nuisibles pour la plupart des êtres animés, Je connaia peu ¢l'ennemis aux limneea parmi les nui- rnaux; les oiseaux aquatiques ler dédaignent; nu moin; ` ai—je pu nr'aasur·er que ler canards ne a‘en nourrissent point et les repoussent comme nourriture, ll n'eu est probablement pas de même dea poissons, et dans notre payr, les anguilles, qui alüuent par milliard: vera la lin du printemps el remontent jusque dans les plnr pelitr ruiueaux, deviennent probablement pour- cette limnee un ennemi formidable, au moins dans certain nu. Voici, zu reste, ee que j’ai pu ùbserver. Pendant le moi: de juin lB35, ferais place dans un large bocal plu- rieurs anguilles groses comme une tres-petite pluma A ecrire et longues d'envir·on cinq pouces, Je plaçai auaai avec elles une granile quantite de nrollurqnes lluviatilea, et entr’autrer nu grand nombre de liennm onutu rasee jeunes (A à 6 ligner ile longueur). An bout de quelque · temps je erus m’nper·eevoir que le nombre des limnees diminuait; mais jbltribuui la mortalité i leur sejour j dans une eau qui, quoique maintenue pure par du aol. Iitriehu et des Irrnmx , pouvait eepeudant ne pas leur convenir entièrement. Un jourque je travaillainayant le bocal aupres de moi, je perçus xliatinctement un petit bruit qui en sortait évidemment et que j’avais dejà plu- sieurs fois remarqué sans en deviner l'urig·ine; je jehi les yeux vers le booal et je pur voir alorr une de rnes
anguillu qui pinçnit fortement le sommet de la xpire xl'une lisunée , et qui, par des mnuveunens. brusques, lroppait le tmar ile la coquille neutre les parois alu vase; ce manège fut repete souvent , jus«qu‘à ee que la pointe de la coquille fut cassée; celle-ci tomba un fond de Peau et l'un;uille , la poursuivant, put avaler facile- ment l’aniuial. le vinlui sur le champ mou bocal el. je pui m’assur¤r que les coquilles vides qui ;‘y tronvuient, avaient subi presque toutes le même traitement. ll en très-probable que les clauses se passent de même en libarté;carily a, dela part de l‘angnille, un acte rai. sonné et ai bien combiné, qu'il ue peut être le résultat de le faim seule, il faut qu'il fasse partie de l'instinct de cet animal. Enfin, parmi les ennemis des limnéu, il faut citer le mais varvniuulnrù. qui selon Di-uparnauld se loge ordi, noirement entre la oou at le manteau, uudcssous des ienlaculex, et s’agitc sans cesse rl'un mouvement vermi- eulaire. Quoique ne pas-asita ne tue pua immédiatement, il n‘en affaiblit pes inoius l'anirnal, le fait dépérir et mourir} un âge peu avancé. (Test probablement puros que cette espèce est entourée ile Lint de oauses de du truetion, qu’0n la voit arriver ti rarementi mnt son développement. Si les linmlea radis et anniv: sont com- munes ia l’état de jeunesse , on ne les rencontra udultu que dans des localités spéciales où ellea sont environnees de causes de rleetrnctiona moins nornbreuaes et moins actives. 2. Lmun ovni, Mich., oompl., p. S6, n•. 2. Linumu oauhu, Drap., hist. moll., p. E0, n'. 2, pl. ll, Eg. 30, Ill, 33. ·-——· —- Pfeilï., 1, p. 89, n‘. L Eg. 21. ï- -— Brard, pi M2, pl. v, Eg. Ã, 5. î—· ——— Studcr, p. 18. ·-——- ——— Lam. vl., 2, p. 164, n·. B. ——— à Nilaeon,p. B3, u'. 3.
- 283 .. ...-- — 1 Hartmann, p. 2&9. n°. 409, ï- aurimluriur, 9 Drap., tab. rnall,, p.h8, n•. *1 Hulk tsar, Gmel. Syst. nat., ‘2l7. -- Iimoaa, Tnrtnn, éoncb. dict., p. 65, n", 50. .·.- .·-- Montagu, pl. lâ, Iig. l. _- .··—· llrovm, verm. wc., pl. M, lig. M. Scliroet., Dusmonelayl. tr vi, 6g· 3. Min. A, Eg. 'I. Car. spi:. Caquillnbnrd latéral uon arrondi ot droit snpérieurernenl, inséré Ia angle aigu sur l'avant—dernier tour; dernier taur mains évasé ct non lialloné eonime l'erpèce précédente; ouverture ovale, arrondie inférieu- rement, plus un moins aiguë rupérieurernent. Lung. 45-Z5'. Larg, 7-40 Spire à 412-5. Car. aaa. Animal semblable en tout à Yespèce pré- cédente. Coquills: spire plus allongée et moins brusquement aiguë que dans Vamdoularia, ce qui provient ile ce que les tours déwniawnt moin: rapidement et que le dernier toura beaucoup nwins d’ainp|eui·; suture moins prolondet La fnriné générale de la coquille est ovalaire, tandis que dansla précédente elle tend à darrondir, Du reite,Ie1 mimi caractères conviennent aux deux erpèces. Var. a. L. pulahrlla, nab. Eaquîllu cornée-claire , forternent et régulièrement striée langitudinalenient; chaque strie dbccraiasement a laissé des traces et a ainsi produit une onquille extrème- ment jolie, Par, b L, vnlgavù, nob. Làvineni avatar @, lulu winar, mb vpaenr Iiravra, Drap., hist, mall., p. 50, pl. M , Hg. 53. Lirnmzw vulgavù, Pfeiü`., l, p, 89, n", 5, t. iv, lig. 22. -...·— avatar p. L£«iama,l-lartrnann,p,7A9, n'. 109. bimvwu balthiaa, FiI¤x,, p. M, n'. I.
Schroet., llusscnnchyl., t. vx, fig. 6. Gualt.. t. 5, F. g. Les Allemands paraissent considérer cette variété comme une espèce; nous pensons que e'est A tort. Elle est plus petite que l`cspèce, moins ventrne, plus allongée; la spire est plus langue; l‘ouverture plus aiguë supérieurernent. L`enxemble de cette coquille est plus svelte, plus dégage. Peut·étre devrait-un rapporter à cette variété la liwuisu mrrgirurhr Mich.; mais ne possédant point <l'individu ou- tlrentique de cette dernière, nous laissons la question tout à fait indécise. Long. il-47*. Larg. l0—l3. Spire 5. Ijespèce et ses variétés habitent les mêmes lieux G vivent en compagnie de l’espè¤e précédente; la var. s. est lrèorare; je n'eu ai jamais en que trois individus, dont nn fait psrtie des collections de M. Ch. Dumoulin:. Ce que nous avons dit touchant la Hana uuriculorù s’spplique exactement ici. 3. Lrrmas cnwxnoxt, Mich., eornpl., p. 88, u'.A, pl.x1|. Hg. 13·M. î -î--· Ch.D¢srnonl.,act.Soc. Lin.Burd., t. vu, 3**. liv. (20 juin 1835). Lùrwmu glulinnsw, Drap., hist. rnoll. , p. 50, n•. 5. Held: glotirwnx, Gmel, syst. nat. ——- ———— Tunon, conch. dict., p. BD, n•. 63. î ——-» 'Moutagn, pl. lâ, Eg. 5. Buccinrun glutincmm, Miill., verm. hist., n•. 323. Cu. rplc. Animal gms, épais; tenlucules polymorphü. larges, aplatis et trèerninces; pietl obtus et comme tn7u· que en nvant; manteau recouvrant et enveloppant presque complètement ls coquille. Coquille extrêm ement mince, papyracée, excessivement fragile, d‘une couleur- légèrement ambrée, lisse, brillante et très-transparente , ovule ohronxlç , lame colnmellsire nulle, point de fente omlrilicsle; rpire trèveourte, dernier
tour formant presque toute ls coqnille; ouvertm·e grande, aiguë au sommet. Long. $-12***. Larg. 7-141, Spire 3. Cette jolie espèce n été recueillie à Amiens, avec d'an. tues coquilles lacustres, probablement du côté de Re, nancourt; je la doisa Puliligennce et au ûle de M, Fmrnier. Dans une notice publiée dans le tome vu dea Actes de la Société Linnéenne de Bordeaux , M. Ch. Desmoulins donne une description exacte de l`snirnal que l'on ue connaissait que fort impariësitement. On voit, en etîet, que Draparuauld , qui ¤‘svait point observé lbnimal, allinne que cette coquille est toujours couverte d'un enduit visqueux. M. Micbaunl, dans le Complément, ne relève point cette erreur que les concbyliologistes ont copiée sur la foi de ces deux auteure. Bruguière, dans l'Encyclopédie, avait dcià cependant signalé Psmpleur du collier ou mantenu, qui est telle qu`elle suffit pour envelopper ln coquille et n‘en laisser I découvert qu'une trèsapetite partie; et M. Millet, Mollusques terrestres et üuvintiles de Maine-et·Loire , avait fait observer que nelle organisation était la cause du l'ei-reur accréditée touchant l'enduil. visqueux. Voici du reste, eu substance, la description détaillée que nous u donnée M. Ch. Desmoulins : Animal velouté, presque gélatiueux, jaunoverdâtre dans les parties minces et gris-verdâtre dans lus parties épaisses , parsemé de trèegros grains calcaires d’nn [auve- doré, aggloméréspsrpsquets et espacés; les granules du col- lier plus petits; piezl énorme, obtus, très—large on devant, étroit, aplati et dépnssnnt la coquille en arrière; tête dé- passant le pied, étroite et triangulaire, \ angle très-olstus; mulïle triangulaire i pointe mousse, accompagné de denx lolsules tentaculaires latéraux: ces lobules portent les yeux qui sont excessivement petits, visibles en dessus et en dessous; tentacules lronqués, fourvsbus ou laoérés. Mame buccale interne rose, très-grosse; dent brune et ·/
plus forte que dans la nutres espèces; lèvres lotérsloi minces et grises, bordées de blanc; tortillon (corps) d'un vert bouteille foncé, chargé de belles et grandes taches oculifornor, ovslee, souvent conlluzntes, dorées et Lrù- brillantes. Ce n’ut point par ler lobes du rnuntesn que la coquille ut recouverte, mais par une simple dilatation de son bord qui est trèpenticr et trèreontruclile, et qui, earu fente quelconque, est poussé de touler parts à la fois de mmuièreu reuiermer ls coquille toute entière dsus un véritable sac. Lorsque I‘uniui¤l est mort, toute celte chair et même son énorme pied restent dans ls coquille; tunt qu’il est vivant. le ·l1ord externe , la partie veutrale du dernier tour et toute lr spire sont toujours recouverts, La proleolion accordée nu lut par le mrutmu est pru- que complète wus l’e¤u, ches les jeunes individus, et la lrngililé de lu coquille la rend necessaire. Les gros individus , su contraire , lorequ’ile sont nu soleil et dans une un profonde, laissent presque toujours une pmie dorsale alu test non recouvertr Si l’on inquiète l'¤nirn¤l, il fait des elïorîx pour couvrir sa coquille en- tièrement. (lu miunux ue peuvent ui marcher librement, ni vivre hors de l'eau, leur cbsir trop gêlatiueusc ne ùccornmodrnt point dlune atmosphère sèche. Le manteau n'est pu tres-exactement appliqué sur la coquille; il y forme un gros bonrrelet releve de rides et de hoursout'- llurer plus ou moins fortes. lforiüce respiratoire est plexi et protégé par un lobe elzzmu , comme dans les autres limnées. Ah surface de l'ean, l'snimull`orure, avec les bords replier de son pied , un entonnoir un fond duquel ut le tube aérifère, d`ubord fermé, puis r’ouvr1nt lente- ment, rond, très-grsnd; il reste longtemps ouvert et se referme avant que l’sniu¤al ne détruire l'uul·onnoir qui écartait l'eau. ll nage et rampe soit i plat, roit en plient le pied on gouttière, quand il s`ottaehe aux plantes squa- tiquer. I.l in ln surface de l’mu, qu’il rond viuquenae
— 287 — quand elle mt pan abondante. Cette espèce pond de In ` même manière que ses cnngénères Les neuf: sont range: sur deux rnngsqui finrhrîqnent l'nn ell`antre; ln longueur des paquets et par xuitele nombre de; œufs, sont tr褻 variable:. /1. Liman renom, Mich., compl., p. S8, n·>. 5. -·- --·- Albin-Grue, uuull, de l'isère, p. 63, pl. 5, Eg. A5. -- .·-- lilainv.. dict. der sciences naturelles. linnœw pengu. Pleitf. 1, p. 90, n'. 6, t. xv, fig. 23,24. -- à- Stnder. p· 27. -— ~-4 Hnrtmann [3, p. M1), n•. 108. i-- -— Nike., p. 66, n•. fi. Lùmuu pengu-, Lun. vx, 1, p. 161. ... »-—— Drap., hist. uwll., p. BI), pl. 11, Hg. Bâ. 35. i -—- Gœrin, couchyl. du Wet|.er,p. 16. -——- ———— Stnrm., fnunn abthl. vx, t. 1. · Bulimun pneger, Brug.,encynl. rné|\a.,p,i§I)1, n'. 10. Bucuimmn pungrmu, Mùll., verm. hist. in, SIA, p. 130. Kali: pmgra, Gmel, syst. nat. 1. p. 3659, n·. 133. ...· ·—-·~··—- Muntagu, pl.16, Hg. 3. -- potvù, Tnrton, p. 67, n". 58. ——- — Lister, pl. 123, Eg. 2.3. .... ······ Pennnut, pl. B9, Eg. 3. .î t Dx Emu, pl. 5, Sg. 13. ..— i Ilorset, cat.,pl. 21, Hg.13. ·- emma, Chennu.,¤nnnh.,t. 135,Eg. UM. 1,1. Schmexer, ilnsœla., p. 275, t. vu, fig.7. Gunltieri, L 5, lig. NN. Long. 15*. Diamètre du dernier tour 10. Longueur dn Ynuvertuœ 10 à 12. Larg. 6 A 8. Animal gristtre on lwrunitœ, marqué de pointu duree et de incline nuiru, visibles R travers la eoqnille. Coquille cornée, avale-ohlongne, transparente, très- légèmumnt rfrlée; spire médiocre , de 5 tours , dont la
‘ dernier plus grand que lei autres pris ensemble; ouver-· ture ovale, plus grande que la moitiéde la coquille, an. guleuse supérieurement; bord latéral formant un angle plus ou ruuini aigu , omhilie assu souvent visible, for- mant une fente quelquefois presqu: fermée par le pli oblique qui fétend sur la columelle. Habite lea fontaines. J: la crois rare. Le 10 juin IBM), je mit dans un vase plein d’ean deux individu: qui étaient sur le paint de a`ace0upler. Ili ee aéparèrent promptement; mais le lendemain. ll juin, ils se réunirent. Le 12, l’un de ees individus se trouvait an fond du vase et l'antre avait la tête cachée soussa coquille. D’aboi·d, je ne sn: comment m`expliquer ees phénomènes; mais le mir du même jour, ie remarquai que Yindividu qui etait au land du vase était mort et que son corps était entamé. Je vi: clairement qu’il l'était par le fait de celui qui avait survécu, lorsque lea jours suivans j‘a- perçus ee dernier lni ronger tout le corps, petit à petit., et ne laisser que la coquille vide. Le l". juillet, cette limnée commença) frayer. Depuis cette époque, iuaqu'au ZA septembre, il y eut vingt—aix pontes aunceaaivu avec des iutervallas de repas de nn L buit jours. Le nombre des œufs renfermés dans alia- cun du frais était tièydilferent; j'en eomplni douze dans le plus petit et eent quatrvvingu dans le plus grand, et le nombre total de: œuîa allait bien à douze cents ou Ces observation: ne prouvent pas seulement la prodi» gienxe multiplication de ces mollusques, mais elles amè- nent aussi À penser ou que cet animal possède la faculté de ae feconder par lui-meme, ou bien, oa qui ma paraît probable, que Yatïet de la fécondation ss prolonge pen- dant un laps de tunps de trois ) quatre mois, D'aprèa dea observations très-exactes, je puis aflirmer positivement que Yéelnsion n‘a lieu que vingt-quatre à vingbcinq jonra apaù la ponte. Les deux dernien frais,
qui étaient l’un du 19 et l’autre du 2A septembre, eurent un sort diiîérent des autres; des le 27, la mère svsit de- voré doum œul's qui faisaient partie du dernier, lequel était dévoré en entier dès le 28, Le u1êmejour,iI restait encore qustorne œufs de la ponte du 19 septembre, le 29 ils uvuient disparu comme les autres. Ifiustinct paruît ici avoir agi sur l’auimal, et sa déter- mination a été causée per l’e-puque de la saison, déji tmp avancée pour que les œufs eussent pu srriver à ma- turité et pour que les petits eussent pu prospérer. le regardai ce fait comme un indice cenuin qu’il n'y aurait plus de ponte: ultérieures En conséquence, je ieplaçai cette mère fertile , dant ls coquille étoit cou- verte de jeunes et vertes confervcs, au milieu de sa nom. breuse famille, dant je l’avais séparée , et je remarquai bientôt que les jeunes snimsux couvrireutla surface de ls coquille. Je ne pus d’alxord concevoir cette tendresse spparente, mais le lendemain je trouvai la coquille ahan. donnée par lee jeunes limnées, et les cunlcrves qui la . Iecouvrnient auparavant étaient devorées. 5. Liuun sncwnis, Mich., compl., p 89, u". 7. ..- i Blainv., dict. des sciences nal., t 36. P- Ã57. -- --- Lam., encycl., pl. G51), Eg. 6, Ali. ..- ·---· Albin Gras., moll. dc l’lsêre,p. 63, n". 6, pl. 5, fig. 7. ` -- ...—.- Bouch. , moll. du P¤sde—Culais, p. 'L17., n'. 74. lievmeuu at«gnulù,Dr«p., moll. de France, p. 51, n'. 5, pl. 2, fig. 38, 39. -.. --- Erard., coq. des environs de Paris, p. 133, pl 5,(ig.1. Bulimua alagnnlia, Poiret, prod , p. 33, n". 1. -.. -i Bi-ug,, eucycl., u°. 13. Halim ulognulia , Lin., syst., 703, fauu. suc., p. 530, ti'. 2188.
‘ ——·—- w-- Turion, coneh. diet., p. 65,n". 52, lig. (ll!. Buzeinrrm rtogrwla, Mùll., hist. verrn., p. 327. -—— -—— Gnnlt., t. 5. f. I et f. L. --··— --— Fnvnnne, t. 61, f F, 23, f. 16. La grand bucoin, Geoll'., p. L Long. 30 Mill". Lnrg. de l'ouverture 15 à 3Dl Dinm.de ln coquille 12 Ã ‘L5. Animal gris-jaunâtre, d'un fnnve mussâtre chez les plus âgés, couvert de taches jnunex formées de peliLx pointu; yeux noirs, trè:-petits, plueés i lu naissance des tenta- unles qui sont uplalix; les œnls, au nnmlnre de plus de oent , sont enfermé: dans une masse gelatineuse ellip. tique. Coquille vsrinnt benueoup pour la taille et l’épai.sesur; elle est lu plus commune et ln plus grande de ce genre; transpnr¤nte·elnire, d’un grivrouuàtre, minee, str-iee plus un moins fonenient pur suite des uccroisuemens du lest, et légèrement angulense, ln forme est olrlongue, ventrue, I Apire conique, très-uignë, de rept tours; le dernier très- . grand; cheque tour est marque, comme le dit Geotîrny, d’uno rnie longitudinale lslnnehâlre qui le traverse de haut err bas el semble faire la division sl’un tour à lknlre, L'uuverlure est grande, ovule, oblique, un peu nnguleuse à la partie supérieure, presqu‘aussi longue que ln spire; le bord est mince, fragile dans les jeunes individris, plu· épais dsns les plus âges; l'axe rle la eolninelle lornre une côte millnnte qui Inisse un liuillement nu milieu; le boul a’étend en un feuillet mince , blanchâtre , reeonvrunt l’arnliilic ou lui donnant la farine d'uno fente trèspeu profonde. Très»c<»niurune dans les étangs et les rivières; on la voit souvent nager, renversée h la surl'ace de l’enu pour ms» pirer; elle se retire drns su coquille et le poids de l'e:ru entrent, la fait descendre et gagner le luna]; pour revenir 3 la surl'ace,elle rampe sur lc sol à l'nide du disque mus-
Cuquilla nllongén, tnrriculee, ¤.l’un brun-clair. cornée ou grisâtre; ouvutuie plus courte que dans Pnspèee et nïwcupanl pas beaucoup plus du tiers de lu luugueun le pli enlumellaire mnins fortement marqué et l'épnu0uime· nient du bord gauche peu ou paint distinct. Uespèce est tvèsammmune dans lea nnarnia et les eaux xtagmntu; la variété première est rare, ln wcomle se rencontre assez fréquemment, 7. Ltvtru umun, Lam., anim, uns vert, t. 6,p· 461, n•. 42. -4 -—- Mich., contpl.,·p, S9, n°. 40. _- --- mam., aan, ttmaaeme, an., tzu, p. ÀB7. ._- ·-—- Deshayes, encyel., n¤. 6. -... --- Bonc}t,, mém. de ln sou. de Boul , 4835-36, p, 213, xt'. 76. Limnnu nainutua, Drap., moll. de Fra nce, p. 53, n°, 8, pl. 3, Iig. 5, 7. -...4 ·--- Brard, coq. tles env. de Paris, p. 62, Heliz lisiwaa, Linn., syst. nal., 706. .... prnncntulu, Liun , Gmel., p. 3659, u". 432. Bucainuntlrtnnautztlum, Miill., verm.2, p, 430, n" 325. Bulimuu mmcnlw, Brug., diet., n•. 20. le` ,.—· ubaeerua, Poiret, prud., p. 35, n°. 3, La petit hucuin, Genll'., p. 75, n'. 2. Long. 5 à 8*. Lnrg. 2 à A. ' Animal tl’un gris-noiiùtxe. Cette espèce se rencnnhe lviecnmmunémcnt dans les ruisseaux, les fossés et les mares. Elle vit parfaitement sur la terre ltumidc; comme les anecinées, elle pond de quinze à vingt œufs réunis dans lle petites masses an-rontlics de 5 h 6 ·. de tliamëtœ, tprelle dépose sur la vase au bmx] tlc I'enn , et ne sns— peml point nnx plantes aquatiques comme les autres espèces. Coquille ovaleconique, mince, grisâtre; cinq tours de xpire légèrement renllés, le dernier occupant la mnililî du 9
— 294 — la coquille, qui eat presque line; ouverture ovale, dont . les bomb sont presque réunis, oe qui donne ou périr. lome l`arpe¢t de celui des eyeloetomze; cette riisposition du periatonae laisse voir l’ornlrilie qui est arrondi, peu prol'ond;la suture des toura de le apire est forlenient y marquée; ln eolumelle , nrquée et réileehie., se eontinue r avec le bord gauche jusqu'au sommet de l'ouverture. ` Je n'ei jamais rencontre d'inrlividus alépsuanl 10 mil- l ramener, somme cors que oignon M. roneana ann i von ouvrage si remarquable sur les moliuaquu fluviatiles ' au r·r..1e»c·1·r·. , ‘ ouvre 10. Azlcrws, Geolli, Drap., Lem., de Blainville, Bran-d· Latreille, de Boissy, Des- marest, Ch. Deshioulina, Pleilîer, Mich., etc. Poulin, Linn, , Gmel. , tlruguière, Poire!. Montagu, Dillw., Turton. Ilulimm, De Montfort. - Iiulivmu, Olsen. Car. géo. Animal ovale, conique, légèrement courbé en arrière, à manteau tr·ès—nrincc, ne dépassent pas la tête et bordé de eils nrieraocopiques; tete grosse, arrondie, "*—· rrwms rs.-se qu ne Prot sr Perron am renoerrrer sbin et contraetiles,plus ou moins tronqués, pouvant dépasser le lrorrb de la coquille dans sa plus grande extension; yeux sessiles, placés la la base interne , ouguleux plutôt qn’ar-mnrlis; lrouclrc inférieure se présentant soun la forme «l'urre large fente; pied elliptique. arrondi; organe respiratoire cn tube cylindrique, court,dtueà Vextrémité _ postérieure; organe de la génération nu côté gauche; organe lernelle placé ou tiers postérieur; anus au côté gauche. Coquille nrince, eoneave, eonique, sem spire ni colu- melle, ovec le sommet pointu, plus ou moins reeourbe. Espèces très—petites, vivant dans l‘eau courante, rurles · pierres et les plantes qui s‘_v trouvent.
‘ — 295 — ¤~¤··¤=) .....««., ....¤ ...r .....u., .......... ....... trique trè:-peniche .... . , . . 2 Flumbdflù. 1.A¤cr1.I7s LAcns*rars, Drap. hisl. des moll. de France, p. Ã7, n°. 1, pl.‘2, Eg.25,26,27. -- —à Müll., verm. Z, p. 199, n'. 385. -- --- Lumnrck, anim. sans vert, t. 6, p. 27, n'. 1, · i --- Deüîniasy, Hul`l`on—Sonnini,tom.v, p. 226, n', 1. ' -- --- Férussac, dict. class. x\'hist. nat., y. M6, n', 9, tom.1. -- -—- Deshayes, ennycl. méth., n'. 1. —— ——— Ch. Dei Moulins, act. de lu sac. linn. de Fnrdeaux, t vn, Il'. liv. —- --- Bouchard . mém de la Jociélé zlïugric ile B0ulogne—sur»M«:¤·, 1S3Ir32,p.1ûû, n'.2,et1835—3ti, p·21A, n°. 77. Pmlallu Iucxulrù, Linn., syst. mt., 10*. édit., 1, p. 783, n'. 672.-Linn., Gmel., p. 3710, n'. 97. -— emma, Poiml, prud., p. 101. _-· ublvmgn, Tnrtan, conchiliolngiual dictionary of (he british lslauidn , p. 138, n". 10. Long. Ã i S", Larg, 2 à Il. Haut. 2, Cuguillr ovule-ublongue, conique , de couleur cornée, tnnsparente, souvent wcouveite 1l’nnc nnuclicde matière étrangère agglulinéc, qui la fait paraître noirâtre; le wm- met est un peu cxwnhique, Ã pointe peu tuilluxxtmlé. gèrenient. inclinée vers le côté postérieur ulm la coquille, lequel est muinshrgc et coupé prcrque carrément; le bord est mince, trèaefrngile et tranchant. Animal grisâtre, Ã tcnhcnlu tronqnés, très-actif et
—·-· lümdla, Geniïroy, p. HA. Long, 6à 7*. Larg. A Ill I ii, Hsut. Ã. Coquille ovule, arrondie, oonique, d`un bleue-iuunltre, oornée, solide, marquée de shies concentriques; sommet heu-excentrique, reeouvbé vers le côté postérieur qui n’esl point reuéci comme dsns Yespèoe précédente. On ne ssnrsit mieux ls oumpaier qu’à un bonnet plirygien un peu hns!. lfunùul est grisâtre, trsnspnrent, pile en dessous, ll pond sept i dix œufs réunis dms une capsule arbieulsire, dun! ils remplissent environ lu deux tiers; ees œufs éclosent au boul. de quinze joursl Asus slwndunt sur les pierres dans les ruissesux et les rivieres. Rivière de la uilntlelle, de Lunguesul-— Ruimesu de ls porta Marudé, moulin de Llieure : Ml Piesrd. Var. as. major, nob, Caquills de 9 I 50 millimètres, de oouleur brune, fortement rtriée, L slriu grsuuléen Awimul d'un lirun-noirilre. §§ Tnwlsllipodu msrelaun respirant dam Peau, Pnùlousinu, Lem. Genre 47, Pswmn, Lam..Bmrd, de Bl., de Fén, Ch. Des Maul., mich. Cyoloaloewum, Diap, t, des mall. Cyelaslmnu, Drap., hist.; Müll., Dliv. Nerim, Miill., Genlî. Bulhnul, Pair., Bwng., Brard. Hvlis, Lion. Bucoimmsn Lister. Turbo, Lino., Gmel., Beudnnt, Golilf. Vdripnm. Lam. Manif., GueL, Sovv, Car, gln. Animal: deux tentacules suliulés, linéaires, olilus, oculü l la buse extérieure; brsnelsie: composées de trois rangées de liouppu iilsmenùeuses; sexes séparés. Coqullh épiderméz; ouvèrlurz srrnndie, ovsle, angu-
- l9S — lense eupérienrement; burda rénnia, jamnix reoonrbéz; opernnle orhiculnire cornée , nriée. = ..... »....i.,, 4....... ·... ,.·.i... ...l’..¢, , . i z.,..,... È zoo:. 4. u·É¤.riim···.« renne., imm ·np«— K rené. . . . , ..... S Auron. 1. PM.i1nn¤a vxvuan., L¤m.,nnini. nn: vert, L 6, p. 173. ——— -——— Mich., œnipl., p. 93, n'. 2. ——- -—— Deil1ayu,encycl., n', 1. ——— —-—— Blainville, dict. deu sciences nal. —«—— ———— Bonnin., mém. de la soc. de Bon- ~ logne, 1B35-35, p. 215, n·. 79. — --- Cnvier, reg. anim., L 2, p. ÀZZ. Cgulzmaow vioipurum, Drap., nnoll. ale France, p. 35, n·. 5, pl. 1, lig,16, 17. , -——— ———— DeRoiuy,lïnli'on-Sonnini,t.v, p. 298, n·. A. ii —-·--— Pfeiller, ryit. mord. , pl. Ã, fig. b2,·i3. Ilrli: vioipnra, Linn., xynt. nal., 690. —- t- Linn.,Gmel..p. MM, n". 105. —— ·-——- Turion, conclu. dict., p. 59, n°. Sl?. Bulùmu nînipnmn, Poil-et, pmd., p. 61, n•. 29. Nuritu eiriyum, Müll., hishverm. 2, p. 182, n°. 370. Nnifu 2, Geoü., la vivipare àbandu, p. 110. Cochlm siviyam, Swnmmerdam,bilzl.nat.,LD,f.5,15. -——· -»— Liner, uonciny., L 126, |i(;.76. Long. 30 L NI'. [·org.20à3ll. Larg. da l’ouver·L 15520. Cuquilla grnnde, mince, légère, line et verdatrn nvec , den:. ou trois bandes brnnen un ponrpuéœ, plnx ou moim distindea, parallèle; et nuivnnl la direction de la npire qui est allongée , composée de six tours dintinclu très- wnvexax, B suture trè:-profonde; ouverture ronde, mu rebord ni lèvre, L périswme continu, mince, bordé de noir, légèrement réfléchi vers l'oml»ilic qn‘il reoouvw un partie, mais dont il laine voir Ponverlure profonde.
o·vslsîr¤;I’«pem'nle estminoe, rnarqu& de oütes concen- triques, épaisses et brunes; le centre déprime profon- dément. Lüanienol est d'un noir-verxlâtre, très-fonce et par semé de points jaunes; le collier est blanc avec la partie antérieure d‘un jaunopâle; le rnullle est trèsaallongé. Les miles ont une grande verge qui sort et rentre par un trou percé dans le lentseule droit. ce qui donne nn vo- lume plus considérable i ce tentacule ; c'est nn moyen de reconnaître les miles, ear les femellee, qui n’olfrent point cette particularité, ont les deux tentaculas égaux. Ln deux sexes sont séparœ. La Femelle est ovovivipare· et l’on trouve, au printemps, les petits vivans dans l'o· virluntus, dans tous les états rlc developpement. Voici comment M. Bouchard expose cette singulière generation: Les œufs ont de 3 à 7 millimètres de diamètre et sont d`anurnt plus développés, qu‘ils approchent de l’ouver- ture de la coquille. L’enreloppe externe du plus petits est blanche, opaque; elle devient de plus en plus tnnrlu eide au fur et B mesure qu‘ils grossissent; les embryons se développent dans le corps de leur mère ct nn sont déposés que lorsqu’ilr ont la forme qo’il.s doivent cou server, Leur coquille a alors quatre tours de spire et six a sept millimètres de diamètre transversal: elle est entièrement couverte d`une granulation très·liue , très- serréc et trèerégulière; elle est très-csrénée et ses earènss sont gnrnies de nomlrreux petits poils roux reconrhés en arrière, formés par trois petits lobe: triangulaires du bord du manteau, qui ont environ un millimètre de longueur et sont toujours renversés sur la coquille; ils sont utués 1 la place où seront plus tard les trois bandes noiresqui ornentce manteau et dont une seule commence I se former, les deux autres u'étsnt encore annoncées que par de petites taches grishtres, plus ou moins éloi- gnées les unes dos autres, mais rangées sur- une même
ligne, En grosdssaut, la coquille perd insenailwlement sa grsnuhlion et ses czrènes, et lernunteau ses nppendicex; ' parvenue au quart de la grosseur qu‘elle doit avoir, tout en disporu; om vait alors très distinctement les noi.: bentley noinas dn manteau. Les petites pslmlines ne commencent L être expulsées du corps de leur mère que veus ln En du deuxième mois, et cette expulsion necessite plusieurs jours pour être terminée, parce qu`elles ne sortent que deux, trois au quatre au plus par vingtqustre heures. Elle se tronvedzsnx les marais. Trèusosusnuue i Rivzry, près Amiens, h Longuesu et Reusnoonrt. Elle ne se trouve point ii Abbeville. Znhmng menus, Lnin.,an.sansvert,t §_,p.l75l,rL5. .··-- -— Mich., compl., p. Qi, n'. A. ——· —— Deslznyes, encyel., uk L --— 4 Bluinv., diet. des sciences nut, -— ·-- Bouchard, loc. cit., p. EJ n·. Bi. ——- »-— Albin-Gras, moll. de I'lsère, p. @ n•. L pl. Q, lig. 12. Cynlwmn amynnnn, msn., nn»11. an rnsnœ. p. :5, n". Lpl. Lfig. 19 24). -—·- -4- Pieiller, syst. anord, , pl. L fis- m 41. Hall: hntuonluto, Liun., syst. nat., 707. ·-·· --··- Linn.,0¤·e1.,p. me, n·. ML -- ——- Turion, conchyl.dict., p. É n*.dL Bulimus tsntunululus, Poiret, prod., p. Q, n·. ML Nurihxjuculntov, Müll.. hist. verm.2 p. L\§_,n•. ML Nerim (L, Geoll`., la petilu opercnlée aquatique, p. ML Lung. B\ MH Larg. 5 I &. L0ng.de Pouverture ,1 I L Larg. Z QQ à A. Animal noir, avec des points jnunes plus ou moins nombreux, suivant Fâge; tentacules longs, flexibles; yeux noirs portés sur uu rcnflement élargi placé à leur base. M. Bouchard u décrit, aveu un grand talent d'observr
— 301 -— tion, ls ponte ri curieuse de ne mollnnquc et lu noter qui Fnccompsgnent. t:«q··;11· ublongue, gruusne. tnnsprrenle eumme la eornc; dont quelquefois elle u lu couleur lxlnncbltre, · lisse etsans sh-ies pour uiusi dire uprpureniss ; spirn peu rllongée, conique, co ipooée de ünq tours. dont le der- nier pre¢qu‘ru¤i long que ln moitie de lu coquille, globu- leux, R rutum profonde el fortement mrrquee; ouverluru presque ronde, furrnsnt un ongle plus uu moins proooneâ àln punie inférieure; périslome epaini, rélléclri exté- rieurement . prenque continu, ce qui rend l’oml>ilie uul dans la plupart des individus; opercule mince, àstries oonoentriques, sulide et blanchâtre. Var. n. ambiliauu, nob. Ouverture iesserrée i guuulie ; bord columslluire rs. leve, lnixsunt I un une fente ourhiliule plissee st uses Iorleznent msrquée. Vu, b. uurlu, noir, Dernier tourde ln rpire plus lons que le vente dela euquille, qui est peu convexe. à suture peu profonde et foi-mint un mine tr褷lu.s et duul lu Iuuteur n'ég¤l¤ pu le rliarnetre de ln buse. Espèce très-oomrnuus rlanr leu rivières et les erux . shgnrnles, On ln pêche un gronde quuntilé quand un retire rlns ruisseaux une muse de vanfnvss au de nm ehhirr. Ausri , ut-il rure de l‘uvoir nutrement que nlie par les mrüères lirnoneuaee qui incrushent sn co- quille et lui donnent nu aspect boueux on verditru, rlont ou lu délurrasse ussez dilüeileuient. M. Pinard dit qu’slle préfère les vsuchérier sux autres espèces de coniervex. 3. Pnunxrm uwrnm, Mich., compl., |>. IOU, n'. lâ. -—·-— -—-·- Lam., ininnniuverl, L 6, p. 175, n'. Br Cgnlastmu unulimun, Drap., inoll. de Frnnct, ·p· 37, n•. 8, pl. I, fig. 26,215.
Baliwnu annlinw, Poiret, prod., p. L7], n•, 45. ' Peluüna nnwialiea, Deshayes, encyel,, n•, S. ....- ··--- Blainville,1lict. du science: mt. · —-—··- -— Bonch., lac. cit., p. ZM, n•. 83. Tlubo enurùliow, Bennlant. Long. 2 l E-. Larg. l I 2 lg!. Ànôawl gris, rayé de unir; Ille aoirilre, aveelatrnmpe très-allongée et violette; tenhualer gris avec un cercle noir à Yzxlrémité ; yeux noire, pedoncnler, ntaà il; luxe externe; plan locomoteur coupé eamiment il I`ex- hémité antérieure , arrondie pnutérienremeut, large et hlannlxitre. Coquille hèopetite , ellnngée, hhnehe on ¢l’nn jaune- plle quand elle en rlépnnillée de l'anvr.lop·pe vzrrlàtre dont elle ut recouverte; la rpire eutwmpoeéedasix tours et uen de sept h hnêt inivnnl. M, Deehiyu , on de quatre demi·tnnr¤, eonnnue ledit Drapamnuld; elle ultrès-û- nement atriée longlindinalement, I eutnre pen manquée, le dernier tnnr légèrement caréné; bord ximple, épais, blanchâtre; Yonvertnre ent ovale , preuquürmnwlie A droite, nn pen rétréeie ven le hant, avec les horda presque continus; umlrilic formant une fente t|%S-pen profonde, nui: par-hilement visible; Yapercule ul ¤l‘un brumfoneé, cornée et très-mince. Habite la lnie de Somme, L Pemhnnehnre de cette rivière: M. Picard. Gun!. IB. Var.va1a. lllliller, Drap. , de Knissy, Lam., (Inv., Férumne, Lntr., de Blainv., Ch. Den Maul. , Mich., Duliayu, Oclxen. Cyelanuena, Drap., Millet. Tuba, Poireti Nadia. Porta planet, Geoï, Müll. Haliz, Gmel. Car. gin. Animal rpirnl, I pied hilolzé en avant; tête
— 303 — dintinde, proboaeidiforme, avu: des tenhcnxlu grèleu, trèurapprochés; yeux neœileu, placù L la hm antérieure; bronehiepentinifoxme, agitée parfanimalquandil marehe nl lui aenunt d’orgaue respiratoire. Coquük diseoîde ou oonoïde, L Ioure cylindrneén , sommet manuelonné, omhiliqué; ouverture ronde, fermes par une operoule L e’léuiena conoentriquea. ¤···¤¤*¤= (E.ïIÈ.§à‘;“‘: 1 1 1 : : 1 · · ' É î".3.‘îîîf."· 4.‘v'u.vA·ra rxacxnanxs,Miebweompl.iDrnp.,p.404,n•.4. —- -—-- De|hay€J,encycl·· n'. 4. . --- --- Bouchard . mém. de lx soc, de Boulogne 4835—35,p.224,n·.M.. — ubwoa, Brard, coq. ales env, de Paria, p. 490, pl. 6, n“. 47, Nniu pinônulù, Müll.,hiat. verm. 1,p. 472,n·. 358. -- purillu. id. id. id. n", 357. Ilaliz funieuluvù., Gmel, ayat. nat., 485. -- pieoimlù, Gunel, Lin., p. 3527, u'. M. Dyclontomn ubtwum, Drap., hist. du moll, de Franue, p. 33, ¤°. 3 L- —·—·—- Lam., anim. nm vert, wm. E, p. 472, n'. 4. — —-- Pfeiûergyst. nn¤rd,tub.û, p.32. Turbo fmtinalù, Turton , ennehyliologiœl diction., p, 207, n°. Sh. -— oviotalw, Poiret, pi-od,, p. 29, n'. 4. Nnùu. Porte plwnut, Geof£,p. 445, u'. 4. Han:. 5 A 6-, mlm. 5-. Aninuxl d‘un gris tranaparent, les branchies pectini— , faimerplur longues que les tentaeules. Coquille turbiuoïde., que l’on prendiuit., i première vue, pour une petite puludine; elle eat d'un gi-irpllc, rlriée en deux sens, formée de quatre tours de apire irès-dixtincta; omhilie trêrouvert, profond; ouverture arrondie, le bord gauche fermant un peu Fomlailin; open-
culemiuce, de même muleur que la mquille, muxquee d'une etrie élevée diuzinutexncnt en spirale, et nou point eunoeuhiqne, eumme le dit M. Deshayes. Commune dun: les étang: , les ezux_·peu euunnlex, au milieu des vnuehevies. . Elle pvudnit, dit M, Bouchard, 50) Ml œul`1 enfermée dans une capsule sphérique fixée par un point de nu sur- hee aux pierres et aux tiges ales plante: nquatiquu. La capsules se déchirent vers le douzieyuejnur et laissent échapper une partis de son contenu qui, cependant, ne 1'en détache point tout—ເait ; quatre jours plus Ind, Yembrynu em-L de l’nbdamen dans lequel il nageait, Z. V».r.va·n cnuszrna, Müll., hin. vzrm.2, n". BSA. Cuv., reg. nn., p. Ml, L 3. Turbo urùtuku, Turmn , ennehyliolng. diet., p. 2*27, n·. 87. ·—-— plmwrbù, Du-up., umll, de France, p. M, u'.2, pl, L lig. S4, 35. —- -—-— Minh., nup. h Dr., p. IM, u°. 3, .... ·--- Brard, coq. des env. de Paris, p. IBS, pl. 6, uu. [B, 49. -·- -—··— Blninv., dict, I:. nul". }7· M3, I. 6. —— — Bouch., mem. dela mc. de lïnulog., p. 223, n'·, 86. -—-· —--· De Rainy , Bull`.-Sonn., 15. v, p. 380. Y -— spimrbia, Drap., ibid, n°. 1, pl. 32, 33. -- --·-— Mich. , p. 40I, n". 2. ..·- i-- Brard, p. 137, Eg. 15 et M. , î î- Blainv., lue. cit. ..— ·-—· Bouch., 85. ..- .···- Desh¤yes,¤ncycl., n•. 2. -— —-- Pfeilïer, xyut, mord., pl.à, li;. M. —- minute, Drap., p. h2, n··. 3, Eg. M, 37, 38. --— ··— Minh., n°. li. t- ·- Blainv., loc. cit. -=• -—- Beach., n·. 87.
-— 305 — Hunt. 1*. Larg. il 2 lg2. Animal semblable au preeérleut. Caquillr diseciide, dont lu spire formant trois i qnstre tours est presque roulée dans uu même plan eomme eelle des plnnurbes, de couleur cornée, lulsnclse et très-tnnspns sente, à peine striée; omlwilie très-profond et très-ouvert; ouverture ronde, I péristome continu, simple, (ormunt un buurselet plus ou moins marqué; opereule extreme. ment mince, sulivilrée. llshite les t'o és , les euux staguaules. Marais de (`nubert z M. Pinsrd. Les espèces spimrbis, plumnbis, minute de Drnpss-. nsulsl, me paraissent tellement peu distinctes, que je crois ne devoir les considérer- que eomnse une seule espèce. Le peristosue, un peu relléclsi , est le seul enne- tèse qui sépare les deux premières , et il est faeile , en réunissant un certain nombre Jindividux, de composer une serie telle que les deux extremes pourront seuls être dits rélléclsis et droits; quuut uux différences ess-se- téristiques tln minute elles nue semblent mut·à—ti1itnull¤ et eouvenir seulement sux jeunes individus. M. Albin Gras, dans son histoire des mollusques de l’l.sère, cite M. Terver comme aysnt confonslu sussi ees trois espeœs en une seule. .l'iguore dans quel ouvnge le uzturuliste lyonnais s émis cette opinion. Gnus: 49. N¤su1tiu,l.n¤s., de Fer., de Bl., Clt, Des Maul., Grnlel., Mich. Neritu, Lin., Gmel , Müll., Drug., Drap. , Poir., Geoff., Lister. Car. gln. Anims! gluliuleux, pied circuluire, deux tentneules tiliformes nculés à la lisse externe , yeux subpédeneulés, lungue denticulee, sexes séparés. Coquills non nmbiliquée, operculée; ouverture semir Iunsire; bord eoluusellxrire uplati, tra nclnnt, bord lstersl sans dents; opereule den¤i—cireulais·s munie d’une upa. physe lntérsle.
— 306 —- Nexiriiu. n.¤vxn·u.ix, Lnmarek, :minx.unr vert, tom.vx, p. 188. Eg. 19. --- W-- Mich., compl. à Drap., p. 102, u". 1. .—- --- Duhnyes, eucyel., n'. 25. Nu-6m fuoiolilir, Drnp., hist. des moll. de Fr., p. 31, n', 1, pl. 1, iig. 1,2, 3, A. -- ·--- Linn., syst. nat., 723.--Liu., Gmel, p. 36'Iâ, n'. 29. ...- 4-- Müll., worm. ‘l,p. 19h, rv. :181. ..- ···-- D'Ai-geuville, conclu, , pl. 27, Eg. 3; et Zoom., t. uu, iig. 3. -.. i- Pieiller, syst. auord. , mb. À, Eg. 37. 38. 39. ..- --- Delïoinsy, BuR`.—Soun., L. v, p. 170, u". 1. La Ndrêh du riniàrsu, Geoli`., p. 1*20. Long, 5 A10'. Larg. 3 ix 6. Haut. Là 8. Coquille semi-globuleuxe, !xès·ép¤i.s¤e, solide, ovale- ohlnugue; rpire composée de deux lourr, dou! le premier forrne le sommet, l`autre toute la coquille ; ouveviure semi-lunaire , rélrëcie par une cloison formée d'une expeuxion de la culumelle , qui est large , aplntie et L borrl droit, quelquefois nomme rebowlée; opercule d'uu blsucjuunitre , lisse , s'¤rLiculant avec le bord columel- laire au moyeu de Tupoplnyse dont elle est garnie. La couleur, trèvurinlvle, en generalement d’un noir viclncé, semé de taches Ixlunclues disposées en damier, ou delignes onduleunen plus ou moin: larges et régulière~ _ meut croisées. Trèa-cmumune dans ln Somme; elle se rencontre tren- sbondnmmznt da s le sable de celle rivière , et Peut d’ulleraLiou qu`elle 1 subi mulliplie R l'inlini les vsriétéx de couleur. VM. u. cirucsnu, uolz.; y Drapnrunuki. ninnceu ms- uulis Bnnmsù nul rujîs. Verdùlre , avec des lache: noi- ràhex plus ou moins nombreuses.
Var. b. uillatm. noi:. Ligues noirea anrlnléea, dispu- séex en cluevrnna. Yan e. ienbrioutm , nola. Taches lzlanchu dont la dia- poaition imite les écaille: du fruit du pin. ORDRE III. ACÈPBALF5. Aedphnlsr lumai:. La nléoouverm «i'un nouveau genre nuus i'¤rce\elnan· ger le tableau synoptique donnéàla page lüû et a l’étal>lir dela manière suivante: ms«Me¤1·n·.·1~l'“’!' °=··•·; =·~ iElÈ'ÉÉ‘É`ï‘j si n..«....... §ç»...,i., .s....;e.,:···?: mn, , . · E â.s«.,·., ë!..»..nm·.i,.,, . . ?‘î J ‘,'.· J J J J J J si Gnu ZI. Dakissnua, Van Benerien, d’0rhigny. Trieiugonim Rosimauler. Mylilw, Lin. , etc. M. Van Bcnev1en,le premier, a établi ue genre mr le enylilua pulgenarphua, dans le tome u des bulletins de l'Ac•niémie royale de Bruxelles (M35). M. ltnsnnasvler, en N35, dans aon iconographie (lmmagrapliie du land Mul nuawnnu mulluzken), l'a décrit wm le nom de I Iriehugawia. Quelques espèces vinrent ensuite se ranger dana ce genre qui en compte trois aujouiaïlaui. Nana renverrnn: aux Annales des Scieneua Naturelle: (Avril N35] pour Panawmie, et pour plus de développment, au numéro Z (Ai Iévrier 1837) des Bulletins de l'Acadérnie de Bruxelles. Animal ayant les deux 'lumls du manteau garnis de tenlacules branchns; pied linguii'ar·me,pm-mnt en arrière un biasns ruse, court, épaia, trè:-dur, Coquille close, L valves lmmbées . égales, en triangle, un du côté: de l'angle aigu formant la charnière et muni d’un ligament étroit, nllungé; au dedans de cheque valve ,
ma le nmaaa , aria pam um paaiieie aa sara. D’cau rlouee, nttncliéc au hais Danïasnut rouuanrne, Van lîeneden. Ziiehogania palymarpko, ltosmnsslcr. Jlytilur polyvmrphrn, Lian., Gm.p, p. 336*2. n' 57. Nyst. , Kick., Schroeter, t. 1. Long. 30* i 35. Larg. 20 Ju 22. Haut. *20 à Zi Caquills suhtriengulairc, pliée vera lu pointe, 0tFrant, quand les deux valves sont réunies, une face inférieure presque plate, recaurbée en dedans avec une petite fente pour laisser passrr le hissux; lanrd cardinal tirait, [armani, avec l‘adjacent, un angle de A5", de la longueur du tiens de celui—¤i; les deux crochets recouverts. pointue, re- cuurhés, terminaux; aualcasotts, du côté interne des valves, se voit une cloison transverse , large, épuise de 0,005 au centre et. décui-rente sur les hards; l’intérit·ur· est «.l’un blanc nacré, legerement hleuâtre; les lames d'ac— croissemcnt sont très-pmnnneées, ee qui rend la coquille l`orteuienI: striée; Ycxtréinité, souvent enfoncée dans la vase, est moins solide, avec l`épiJerme soulevé; coupée transversaleruent, la section présente la lorrne d‘un trian- gle sphérique équiluteral; dans le sem de ln longueur. une ligne olilongue, suhcordifnrme, La couleur est d’un brun plus ou moin: pile; au·«.lessur, la [ace inférieure est d’un jaune-verdàtre, la supérieure couverte de uehes onnlées, noires, plus ou moins régu- lières, torniant, dans quelquennnes, une série de zigaag fortement marqués. Je I’ui rencontrée cette Année, (lâhlhuttzcliéeaux porter de l'¤£cluse 1.\eSt.—Maurice, près Amiens, où M. Leûnrrenr et M, Potcntier, naturaliste préparateur, l‘y avaient déjà recueillie. M. Van Henerlen l`indiquc comme se trouvant dans la rade d'Anvers , le canal de ltlaëstriek et Bois-le Due, attachée aux poteaux. On l'indique également comme se tmuvant. dans le Danube, l’Elhe et le Rhin; mais fe ne raehe paint qu’¤lle ait encore eté trouvée en France.
Gus: TL Atwnmvn, lzmamk, Drap. , Mielu, Ch, Des Monl., de lier. Anadunlite, Brug , Poiret, Duveruny, Cuvier, tabl. eléiu. Anodun, Oclnenv Arwduntidiu, liatiinesque. Mglëlus, Linn., Gm., Turion. Dipvu, Lencli. Liam:-rn, Poli. Laaline et Stnrphite, Kallin. Unia, Deslmycs. Animal ovale-olilung, sans liyssus, épais; manteau ou. vert. dans so moitié inlerieure et le bout postérieur garni ile petits tentncules qui le tbut paraître frangé; oriüce parliculierpourfanus; tube cnui·l,incomplet, tentoculé, servant à la respiration; pier] grand , eornprimé, à peu près qmnlrsngulairc, propre a nmipcr; hrsncliiea asc: longues, inégales; appendices lnbiaux hiungnlaires. Coquille ovale ou arrondie, mémlioeremenl. bornlxée, mince, li-agile, auriculee, régulière, equivalve, inéquilsv térale, transverse ; charnière sans dent, mais piescnlant seulement un ligament extérieur lrè.s·alloxige , qui en occupe mute ln longueur; sommet eeorelié; deux im- . pressions musculaires écartées, latérales, snlxgéminécs; test. composé Nuno nacre asse: belle, argentée , irisee, et recouvert :l'un épiderme a.l`un vert plus ou moins foncé, selon l`âge. Les snodontes vivent. dans les étangs, lu rivières, les petitesmareeweau douce, en partie eufoncécsœlnns la vase, sur laquelle elles se meuvent, au moyen de leur pievl qui sort alors Ia l’ex.térieur vers le milieu des valves sous forme nl'une lame assez large et armnilie; sa coquille 2 alors se trouve avoir les valves ouvertes sur le tranchant qui trace, dans le mouvement, vleux sillons parallèles. Les anoqlontes sont vivipares, et sion les pêche l'hlver on bien au commencement du printemps, vers le mois de '
- M0 - ' man, un peut voir entre leurs },u·nm:hi¢x une quantité innombrables de pelilcx nnodontex dont la coqnillc, de forme preeque mnmngnlnirc et ne présenlnnt qn'une mince pellicule, s’0uvœ et se femm. . îramzzia.t1*t*îz‘3‘?·1·':·?·rz . 6,,.... %""“°'· nana; nm nn jmnàxm; wqnille L Asonoun c¥c:<1·:A, Férusxnc. -_- .-— Drap., pl,x|, Eg. 6, et pl. xu, Eg. L —-- —— Micl¤,p,105, n'. ‘l. —--~ —-- limnl, p. 23h, pl, 40. ——«- —— Bnuuh., n'. 80, ..-·- mmliuu, Lun., mini. sans vert, sp. n•. Z. , —·-- xulmm, id. id 2**. édit. . sp. n". il. ï· ullamù, Pl'eiB`::r, t. 6, L Mytilu cygvmu, Linn., 1y1·. P. 3355. •t". 15, -——— -—— D’A:·genv· .[1l.27, f,|0. ——- —- Pennnnt, brit, mol., t. 67, Eg. 78. —— —-— Muton, md. Rack, trans. Linn, vm, t. 3, A, lig. L . ·—- ——-— Turion, concluywliet., p M5, n“. I7· —— —— Guull., t. 7, (ig. F. —— ulugmxliu, Selxroeler, (lun. . t. 3 . Eg, L -—— —— Lxnn., an. sans vert, xp, l, —— xvsllmrir, Schroel, t. 2, lig. I. —- umztmur, Maum, and Bnclct., pl. 3, A, f. L —— zlungnlua , Fér. , encyol. méllx. , pl. 202, Eg. I, A B. —— ——— Pcnn, , lxritl mol., t, 68, li;. 79, · Anadanlntu nygmus, Dlwcrnuy, xlict. des sc mnt. Ln grands mania du €tong.r_ ljeollroy, coq. des envir. de Paris, n". 1, pl. 3. _ Long. 0,12 h 0,45. Larg. 0,05 à 0,05· Épaisseur 0,02 $1 0,05.
—- 314 â Coquille mince, ovale-allongée, dont la longueur de- passe toujours deux fois la largeur-; eouleur verdàtre avec les sommets d‘un jaune plus ou nioins foncé; xontnieu à pointes saillantes se réunissant sur les bords; xoneu concentriques formées par les aocipisscmens progressifs, furtcnuent nnuqnccs et lbrmant des raies noiràtres elur- gies vcn La partie allongée de la coquille; bord eardinol droit, bord snpézieur u·î>carrondl, bord basal elliptique ntrejnignant ile ls pointe la charnière par une ligne si- nueusc; ls forme est hosnlzée, svec une grosse côte élevée àliautznr du sominet. iélargiasant vers Yextrésnité qui ext oompriuiée; les bords sont minces , fragiles, meun- lnaueux: ligarnens peu épais, comés , courts, occuponl. environ le quart de la longueur; intérieur poli , d'un blanc nacré, lileuitre, assez brillant; liorrl cardinal droit, loinuonl une sorte de bourrejct qui ae tei-ruine un peu su—dussns du sommet par une petite loan: srmnalie, et de |'autre côté par une éeliuncrure brusque qui donne placeà Yattaelie du muscle qui .s'éteud en sedévelovppant et ne laisse qn’une impression linguifunne peu visible ; de Feutre cûlé, Yisnprension est plus marquée , limitée intérieure» ment par un boiurrelet droit fornné par lïqmississcinent de la coquille en eet endroit. Les smmnets sont or<li— naircmeut décorlicés excepté dans les plus jeunes indi. vidns, chez lesquels l'ongle formé par le bord cardinal et celui qui rejoint la pointe est assez marqué, tandis qu’il a disparu pour ainsi dise tout a fait dans les individus de grande taille. Elle est \rês·coinrnnne dons les tcurlwières et les ruis- aeunx, et l'on en rencontre quelquefois des individus dont la taille atteint. jusqu‘à deux décimetres; dans ce oas, la ` coquille n‘acquieit point une épaisseur plus grande, elle reno également mince, mais la nacre acquiert une blun- clieur lsenuconp plus franche. 2. Aaonmvra ararxw., Férussac. ....4 -« l.ist.,an.:mgl.opp.,p.30,t. i,f.2.
- 312 —· ..- i List., syuop., t. 153, Eg. 8. ._.. î Encyclopedie, pl. 201, Hg. 2. --- --— llouillet,mo|l.«l‘Auv.,p.7H,n°.9t't. ..4- i Boucb., p. ZM, rrk 88, Mytilua umxtinua, l.inn,, syst., p. 3355, n', lâ. t »·~-·· Penn., mol. brit., t. 68, pl. 79. ' -- -—-— Cl:emn,, B, t. $6, fig. 753. -.. mdiatua, Müller, verm. Z, p. 207, n". 393. —- ananîamù , Turwn, ooneli. dict , p. 1lû, n•. 19. Avsadanta unutinu, De Roissy, t. 6, p. 3l6· Anudontôln cnutimu, Duvernoy, diet. des se. na:. Long. 0,12 MLM. Larg. 0,07 i0,|J8. Épuiss. ALM. Uaquilla mince, verditre, avec des sillon: trnnrverars et eoucentriquu plus ou moins marqués et ooloue: iné- galement, ovole, unguieusc, comprimée antérieurement, dilatée postérieurement et formant i Yextrémile du li- gament un angle obtua d’autant plus marqué, que la dépiesjon de la coquille est plus sensible dans eetlt partie; elle est plus large , moins allongée et moins bombée que la précedente; les sommets sont 1.\écorticB, plus obtua; l interieur est brillant, poli, nacre de couleur . rosée ou jaunâtre et non plu: d’un blanc bleuté ou mât comme dan: la cycvwm; cette couleur est surtout trèx» prononcée dans lu partie de la chambre que forment le: sommets; les impressions musculaires sout marquée: nauu fortement de chaque eûté, surtout la supérieure. Ou la dialiivguera facileiueut de la eygnsu par la taille qui u’ut!cint jamais deux fois la largeur et Fexcède toujours dans la première, par la couleur de la nacre et par la forme toujour: auguleuse dans celle —ci, et dilatée vers le ligament, taudis que l‘antre est ovale, allongée, elliptique et toujours de tizrme régulière; elle est aussi plus uuruprimec et ml’un aspect moins lime, On ne peut :'eiupêclier toutefois de trouver ent.r'elles le: plu: grand: rapports. et l’an.¤logie devient d’autant plus
- SIS — grande que les individus sont plus petits. Gomme d’ai.l. leurs i.ls sont soumis L une foule de déviations et de modilications dont il est impossible de limiler la nature pour chacune des espèces, on ne sera point étonné que l’on sit été souvent tenté de les confondre en une seule espèce, comme de Roissy et M. Micbaut, qui declarent ne les sdmettre que sur la foi des auteurs tant les caractères sont fugaccs et dilïicilesi saisir, et M. de Férusssc, qui a pense impossible d'afûrmer l’existence de ces diverses espèces. Elle se trouve dans la vase des fossés, les rivieres et les étangs. 3. Anouorrs rorousoss, Pfeiffer, t. fu, Eg. 3. ï inlzmndio, Lsin, , an. sans vert,p. S6, n•.l0. ——— —— Bouillet, snoll. d’Auvergne. p. 79, si'. 92. Long. 0,|0 â0,lE. Larg·0,06a0,0B. Épaiss. 0,0Aà 0,06. Gsquills très-épaisse, très-solide, plus foncée exté- rieurement que les espèces précédentes, légèrement striée, mais masquée de trois ou quatre grosses côtes noi- ritms, épaisses, indiquant les nccroissemens, non exfn~ liées) leur pourtour; bord épais, solide; coquille très- bombée, légèrement déprimecvcrs la charnière ou plutot hrusquement decroissunteglzord hasal arrondi; sommets entiers, non excoriés; bord xmrdinal droit, formant avec ' ln base un angle très-olitus, nullement courbé; ligament noir, tres épais Zi Fextérieur; interieur nacré, d`un blanc de lait, légèrement irisé a l'axtrénsité postérieure , im- pressions musculaires grnndes, parfaitesnentcirconscrites; isa deux antérieures profondes, allongées; les deux posté- rieures, surtout ls grande, superficielles. La solidité de son test et son poids ls font distin- guer aisément des deux autres espèces avec lesquelles il est du toute impossibilité de la confondre; sa forma se rapproche de celle dela rygnau, mais le rapport des deux axes l’en éloigne bien plus encore que fépaisseur du test
-—— 314 —· qui er! oonauntn, même dune les plus petila individu; l'sngl¤ olulun du bord inférieur ne saurait lo faire prendre pour linotlw, donl la dilablion est plus prononcée et hplotissement très-morqud, ce qui n`exis1e point dans la pamlamsu , oia l`ang|e est formé pm- un décroimement brusque de la courbe lle la coquille toujours lzombée et non méplate comme Function; les crochets ou sommeu , sont également tiànarmnxlis, polis et non décariicà et rudes comme dans l'autre. On lo trouve dans les eaux courantes, h Long-Prèlw Corpe5ainn, Ilivcry, Long. Var. compvems. nob. Coquille upletie, déprimée au centre, plus dilptéc du coté de la charnière. Vu. clongoto, nob. Coquille trè.vbo1nhée, cylindroîde , étroite, allongée; charnière courte; angle pontero-dorsal presque uul , les, deux extrémités arrondies. Gnus *23. Unia, Betrius, Bruguière, Lamarck, Drap,, de Roissy , de Blaiuv. , Mich., Féruas. , Ch. Des Moul. , Bouch. , Deshayes, Cuvier, etc. Myu. Linu., Gmel, Turion. · Mgtilus, Gsolîroy. Lymnodnww. Poli. Alusnodonh, Say. Anblnnidu. , r....«r.., ] "·*'*~=~·1·==· Cnngin. Animal semblable à oelni des unodontu, seulement la tranchée branchiale plus saillanie et frangéc; _ pied large, lingnifoi-me (Mich.) Coquille variable pour la forme. éqnivalve, inéquilr térale, bombee, épaîm, rangée uux sommets dormux et aubunléricurs ; charnière dorsale formée d‘nuo dent lainellauu wunle ligament et d‘uuc double dcul com-
— 315 - primée cl. dentelée sur la valve gauche, simple sur la valve droile; ligament extérieur allonge; deux impren- sions musculaires peu marquées et tr·ès·éear·l€u. Elles habilent ler mares et les rivieres comme les unodontu et s`y eamporlent de la même manière. La distinction de cer deux genres ne repose, comme ou le vait, que rur la [orme des coquilles , c:u·aetèr·es fugitif: et qui disparaissent si l‘nn considère un grand · nombre d'individus etrangers. Celte ressemblance, que tout le monde s'aecor1·le Ia reconnaitre, n'a point ecpen. dant prévalu pour- l`onr.li·e les deux genres on un seul, comme l'a proposé Poly et fait depui: M. Deshayes (encycl. et nouv. diet. rl'hist. nat. par xl`0r·higny). Nous aurions rnivi cette opinion quiarmu paraît la plus r·a. tinnnelle, si nous n’avions voulu conserver la division de notre ami , qui, du rente, rr‘est rl`aueun inconvénient dans le cas particulier de cette monographie, ear il n'y u aucun moyen de eonlbndra, pour les espèce: du pay!. ler anodoutes ct les unio, que la présence ou l'a.hsen0€ de charnière ruüit pour séparer incontestablement, i tel point que si nous n'avions adopté les deux genres, elle nous eût servi à réparer les groupes dans le tableau dichotomique des espèces, [ornement rinueure inl'erieur¢rnenz;dent« tres. e PW ~··. ¤¤*2·* ·*· Ll’.î..¥T‘,'É . .°.' .°. É Ã". nm., T ;‘¤':;‘:""““"""'°' mince, trèr allonges ct vi- 1. Ilruo cnsstssnts, Féruss.-ie. l. 1, fig. 1, 2, 3, A. -- -? Ch. Des Moul. , cat. des mall. dela Gironde. ~l5ull. de la roc. linrr. ile Bordeaux, t. 2, p, h2. -- gargorilifem, Drap., p. 13'l, pl. X, iig. 17, 19, par erreur 8 et 1|’r. __ ·-·-·»— Mich., compl.,p. 111, n'. 10. ..... --···-—· de Blainv. , dict. des se. nat., \. 56, p. 263.
—- 316 — » —-—— -——- deBois¤y,Bnfl`.sonu·.p·3i2,t.6. ...- --— ?Poimt, p. 103, L lys reurgvnilipm, Liun., syst nat., n'. 29. —— --—- Linn., Gmel, 32l9, n'. A. Unia margznisijims , Nilason , his!. moll. suse. , p. 403, l. Unis iiruuzhi, Pl'eitfer,1, p. 33, tab. vu, Eg. L —- —— Lann. an. sans vert, vs, p. 70, n'. L -- -- Deshayes, eneyel., n•. 4.. ——- —— Encyclopupl. 2A&. Eg. l, A B. Vulg. moulu du Rhin. Long. 90 à l30•. Larg. A5 la E5. Prof. 35 L A0. Coquille la plue grande de boutea les espèces d'Eur¤>pe, ovnleoblongue, Lrèsipaisse; bord banal rinué vers le milieu, eôté antérieur ohtux et court; dos voûlé. déprimé en allant du sommet ao milieu de la base; mrhee marquée de striu dhceminenieut très-seiuilzlegeamme exfoliée; épiderme d’un brun uoirltre, verditre vers les sommets qui sont excovicés et roédiocrement saillam; lea vulves ne ferment point exactement et entre-bailleut sauvent vers les deux exl1·€mi!ä: le bord cul urdiiuire- ment peu solide et a’exfolie facilement; le ligament est lrèuaillant; 1i·es»epsis. Intérieur d’uu lilanc nacré trèsalrrillaut.; sur la vulve ` droite une dent antérieure, eourte, conique, obtule. ridee, tràerépaixe; et le long du bord supérieur une deut allongée, trsnelmnte , dentée un plutôt erenelée; surla valve gauche deux dente coniques, mousses, séparées par une mvité ridée et profondement eillonnee. lmprmioo musculaire profonde, Pautéricure large, rugueuse, re- nilorme, deux fossetlu placées anlerieurementv et pos- térieurement, ovalairee; impression postérieure large. ndiee, ovale , double de l'untérieure, mais bnumup moins profonde; la chambre est divisée en deux pertiu par une eôle lisse partant des wmmeu, un peu sinueuse et provenant de Yespèce de dépression que nous avons ugualéo sur le dos de la coquille.
- 317 —· La nombreuses alilïerences de forme que présents cette coquille, sont l'ohiet d‘un mémoire spécial où l‘on exa» mine la vslenr des altérations de forme qu`ell¤ a pu auhir. « lans nous conteuterona de dire q'he toutes ne pré- sentent point la figure réuiforme qui permit être ln figure normale; que quelques individus plus longs que larges on p1esqn`anssi longs que lai-ges, paraissent. xuhorliieu- lsires ou de forme rhoxnhoidale urrondie , vnsia toujours affectant une rinnosité vers le bord hsnul. Tmuvée shonzlsnnnent en 1833-SA, par MM. Baillon et Picard. lors dn curage de ls Somme à Abbeville, vers le pont de Talsnce. Depuis cette époque. une espèce jusque li inconnue, n‘s plus été rencontrée. 2. Uno sauva, Mich., compl., p. 109, n'. 5. .ï -- Lem., an. sans vert, L B, p. 75, n'. 33. _.. -- Schrnet., Flnss., p. 178, tsh. 3, Eg. 5. — —— de lllsinv. , dict. des se. nm,. , t. 56, p, 265, —- —— Deshayes, encyclop., n°, 15. ..— ·- Pfeill, p.11U, L li, fig.1A. —-· -- Nilss., snoll,.auee.,p. 112, n'. 3. ..... ··- Buuchsrd,]1. 220, n•. 95. Mge baises, Matan, and ilacket, 57, rf. 8. .— ·-- Tnrwn, p. 106. n'. 19. I/nia piclamin, Drap. , p. 131, n'. 1 , pl, xi, lig. 3, var. b. î- --·— Encyclop., p.2AB, Hg. 3. Hunt. ‘l8h 30*, Long. A0 à A5. Coquille ovale , enllee , transverse , inéqnitstérnle , épaisse, obtuss aux deux extrémités, hnlérieure pus- qn’su·rondie ; Yepiderins est d‘un vert-foncé un d’nn jsnne verdàlre, de csnleur uniforme; dos sillouué par les divers aceroiwemens, lisse ou faiblement sillnnné; crochets excoriés, rugueux,pcusaillans, nan tuberculeux; clssrnièse épaisse, couru, intérieur d‘un blanc nntté.
— SIS » très-brillant, quelquefois d'nn iaune-pile ou mee; elsan- nièrn eourbée suivant L1 direction du bord de la eoquille; dent eardinsle rle la valve droite épaisse , conique , sillonnee et dentelée; dent lausellaire lisse , étmite , trun· ehnnte; la valve gauche presente deux dents rngueuses _é;;a|en1ent erénulées; la dent lamellaire rlnublc, mince et profondément aillonuée; ces deux lames ne sont dé- currentes sur aucune des deus valves; Piiupmasion mue- eulaire antérieure est trëeproiunde , presque ronde , rugueuxe, avec deux sillons profonds ès la buse, Aout l'un iétend jusqu'a¤ quart dn bord banal, quelquefois plus - loin; l’autr¢ impresaion est 1 peine visible. Len jeunes individus sont d’nn vert beaucoup plu: pâle; ils ont le test asse: mince et les crochet: ordinai- rement cnliers. Elle habite la Gauche : trouvée par M. Boillon. S.I.liu0 ewmarum, Pl'ei(·l`er, p. 3, t. vsn, Eg, E, 6. — mstrslu, Mich., compl, à Drap. , p. 108 , n•. li, pl. xvi, fig. 25. - —·~— Lnmarclr,an.ssnsv•u·t.,t.vx,p.77,n·.3l. - É- Studer. - —- Alliin-Gros, moll.de l’lsère, pl.v, [JL Unia lunidin, Nilasnn, mall. snec., p. HW, n·. 5. — Pfeiffer, —· —-«~— Relsiux, nova test gen., p. 17, n°. 3. Unia surnom, linueh., p. 227, n'. 96, Eg. Long, 80 a 100*. Larg. 30 1 35. Profondeur ll) i 12. Animal jaunltre; pied d‘un beau jaune, quelquefoii brun vers la partie postérieure; devant d'un brun [ingé. Coquille oblongue, allongée , étroite , subcylindrwéei lu deux bords basal et dorsal presque parallèles aux deux autres, le superieur arrondi, l'antre formant un angle assez aigu; sommets arrondis, légèrernentdeeorticé. partant six A huit turlierculos plus ou moins sailluns et disposés sur deux lignes, iurrnant un angle entr‘eux; Pépiderma est jaune uu jaunâtre dans les jeunes individus,
—· M9 -—~ d‘nn vert lirun dans les vieux; ln mqnille minne,in& galement épaisse pm1ont;lu charnière ert droite; le Ii- gnment épris, court; nacre intérieurs d'nn lrlunc bleuâtrc, matte quand lu coquille n pris plus rl'epoiuenr; charnière droite, une dent cartlinale sur chaque valve, étroite, minor, comprimée, crenelée cn forma de crète ; rlcnt poflérieure prùentnnt une lume mince et étroite Irèn- nülmle sur La vulve droite, deux sur Ln gauche, d`iuégxle longueur; impression musculnire pwfondénnent creusée suc deux foscettas on une seule, triangulaire et trèv profonde. Se trouve dans ln Somme et dans lu rivieres xüuentex I’o¢. orouoto, nob. — I/Mo omulo, Bouchard, mém. de Boulogne, p. Z6'], n". 06. Coquille rrquée ruperieurement, eourlzée et fortement rinnée i son bord boul ; disque déprimé vera wn centre: dépression olnlique, felrrgiunnt vers Yéohsncrure indiquée. Se rencontre avec Fespèce. Gran M. Cvenor, Erug. , Lam., Drrp,, Solmeigger, Oclan, Cuvier, Féruss., Blainv., Mich., Du Monl., etc. Tallinn, Linn., Müll., Turbon. Chaman, Geolfmy. A Corneo, Megerle. Spluxrëum, Scopoli. Cov. gén. Animal épais, avec un manteau à hard rimple, muni d’un côte de deux tultes courte ct réunis qu’il fait naillir L volonté, de l’nu!re cl’un pied large, oomprimé A Ialzaxe, mince, linguiforrne et terminé par une sorte dkppenmlicc. Coquille épidermée, mince, ovule, bonilxée, équivalva, inéquilotlérale, parfaitement clore; crochet: proiul>er.ins, trènrnppiochés et un peu tournés en avant; clurnière
composée de rleuie urdinulex trèvpetitu, quelqiiefuie prruque udlleghutôl deux sur chaque valve, dont une pliée en deux , tenu}! une seule plién nu lnbée sur une vulve, et deux sur Faune; denu lntémles écnnéen, l¤me1— lifornins, avec une fouette} ln lnœ; ligament extérieur tràs·millnnt , puntérieur et bombé; deux iiupresioue musculaires reuuiu; impression ubdmuiuulz large. Les cycladex vivent dans les ruisseaux et lex ehugs; elles mnt petitu, urdinniremeut ruuouvertei d‘un épi- derme verdltre; mais elles ue euut jamai: démrtiquéa oomme lu ueviuu ul lu anaduntu. Ellen x’enf0ucent Yhiver dant ln use, pour ne repunîlre qu'nu priutumpx, .· é =‘.· « ' J É É ëi 2 g à . ès G z in ~`Z GS IE ÃÉ zàüz · É Ii :'âÉ*?É.'ÉQëîÉÈ: ¤iê2ëïëéêîëëëë‘ gxeu ësaaàsusïz ·‘ 5 2 . ài 1: · Éâzëa aie: aêz · È È ig _,g · à '¤ . É 5: ,-îÉ e- E = r Ã È E à e il ê ·
1. Crau connu, Drap. , hist. du mnll. de Fnnee, p. 125, n'. 1, pl. 10, Eg. 1, 3. -- —- Drap., tab. des moll , 1,, p. 105. -- -- Minh.,p. 115, n'. 1. —-——« »—- Allain-Gril, m0l.l.de l`Ixère, pl.v|, n'. 1. — -- Brard, coqœlca envir. de Paris, p. 119, p.·8, Eg. 2, 3. —— -— B0nch.. y. 228, n'. 07. ...- ·—- De l\oi.uy, Bnlî. Sonnini, t. 6, p. 370, n'. 1. —- vivicolu, Lnm., nnim. annu von, L 5, p. 558, n'. 1. i 4-- Deshayes, encycl., n·. 2. ~- >—-—· Dc Blninv., •.\ieL des sciences nat., L 12. p. 279. -4 ï Lister, cunchy , L 159, Eg. 16. ...- --- Bmg., encycl., pl. 302. l`. 5, A, B, C. Tallinn mrmu, Linn., xyz!. nat., 72. ..- -- Pairel, prod., p. 111, n'. 1. .—. ·-— Turion, p. 179, n•. 30. Cbunun, ln came du ruisseaux, Genfroy, 1. ..·· üuzll., tab. 7, Eg. C. i D’Argenv., pl. 27, lig. 10. Long.0,01ü à 0,015. Larg. 0,020 in 0,021. Prof. 0,015 \ 0,01û. Coquilla grande, épaisse , solide , snbglohuleuae, xtriée Innsvemlemcnt , finement el. irrégnlierement., d'nne couleur cornée assez pâle , plus foncée 1u.r le milieu de ln coquille, on elle forme une large hznxlc plus cn mains nnirilre , dun!. la teinte va décroissant ver: le bord; xommela plus blancs, arrondis; charnière présentant i Fexlaeiienr une ligne elliptique blanche, tranchée comme din: lea annu; intérieur d'un blanc nacré, sans éclat, nuhdiaphane au centre; charnière formée d‘nne lnmelle tîlumenteuae, dilatée de chaque câle des crocheh, pro- fo dcment aillonnee, avec deux den\s saillnntes ct non 1
- 322 — point tmis cousine Yindique la Iigurz lle Drnpnrnanid, mais que rend cxuctcnient celle rle [Encyclopédie. Elle est beaucoup plus gnuulc, plus snliile, et nc saurai! étre wnlnnxlne avec les autres espèces. Elle habile la Somme ct s`y trcuvc assez mœment. 2, C1n:i.As aucuns, S'ucler. Long. 0,007 Ã |J,|]I)9. l.nrg.0,\l0‘}. Haut. l),0Ill`l â0,007. Coquille lle ln même forme que la pmëcildente, moins urrunxlie, cependant plus mince, plus hunnliée; sommets plus formaient nmrqués, présenlnnt de elmque rôté une sorte de slépressian plus cu nmins accentuée , renversù du côté de In charnière , comme em-uulés, se tuuclsuut presque; charnière non apparente cxte'riemement, mar- guee toutefois par une ligne plus noire; couleur cornée, très.-lancée, excepté dans les jeunes individus, unil'arnie, sans lnmle; slries ti@s·l«!gèrce, mais des xilluns assez pi-ol'nn<ls provenant de laecmissement sle la cequillc, qui semhlc avoir lait clïori puur se renverser en arrière. Dedans d’un nacré snle, sans hrillanz, lim-il mince, comé; charnière pen apparente, lrèmnince, avec une dent lbrte, la deuxième peu marquée. Dans les ruisscaux,Lheui·c pxèa Ahhcville, Iîenancourt. Pelit—5t,—.lenn 3.Cw1.ss ruvsms, Drap., p. HQ, n•. 2, pl. 40, lig. I1, 5. .—. -4 Mich., p. 115, n•. 'L. _- -- Alhin·Grns, mall. de l'lsère , pl, vs, n". 2. -- ..·. l!r·.s¤·d, coq. des envir, de Paris, p. 221, pl. 5, Eg. Li, 5. — ·-- -- Bnuillet, cnq. ¢l"Auvcrg., p. 85, n*.99. -—- -- Eonch., p. 229, n°. 98. —— —- Dc lllainv. , dict. des sciences nat. , L li. p. 279. ...· caruau, Lam., an. sans vert, L 5,p. 558, n·.2. É. -—- Deshayes, encycl·, n°, 3. —— —— iïrnp., tnhl. des mall., li. _
— 523 — Tallinn cunuœ, Linu.. syst. nat., 72. ..- -- Linn., üniel,yv. 32112, u'. 70. _i —» D’Argenville, t. 8, Eg. 10. — -—- Tm-ton, p.170,n•. 30. —— rinmlù, Müller, 2, p. 202, n". 387. -- -·- Gualt., L 7, Eg. I!. Long. 0,007 ia 0,010. Larg. 0,008S à 0,0lï. Proînnd. 0,0055 E 0,00S. Cette espèce se distingnera facilement de la précé- dente, E laquclle elle ressemble beaucoup. Elle est plna large. moin: bomlzée, anbdinpbuue, xl'une couleur cornée, moins foncée; les sommets ur. sont point renverse; vera la charnière qui est aussi 3. peine visible; elle est Line. ment striée et marquée d‘une ou deux bandes pâles: l’uue sur le bord de la coquille , et Feutre formant une mue blanchâtre vers son milieu. lfinlérieur est plutôt violacé que blanc; la charnière legere , mince et sans dents distinctes. Elle habite les étangs et les ruisseaux. Vu. uirtatu, nob. _ y. frueîia hrmmaia al pollis emiugnta, Drap. Cuquilla sillonnée de trois uu quatre bandes ou mneu txèsétmites, blanches, lmncbantes sur le fond, d‘uu corne opaque. Mêmes lieux. Lorsque ce mollusque expulse ses petits, dit M. lions cbard, ils ont déjà trois millimètres de diamètre et sont trêusnmprimés. Penrlaut leur jeuneaae, ile rampant par- hitemenl. sur les plantes aquatiques et B la surface de l'ean, comme les phgua limnisa. Souvent ils se fixent sur les premières , au moyen d`un lil translucide sem- blable au byasus de certaines espèces de annu À. Circus Lacunais, Drap., p. 130, '. 3, pl. ll), Eg. 0,7. -.. ..-- Mich., p. ltû, n‘. 3, ...- -·-· Lam., an. sans vert, t. 5, p. 559, n°. 3. '
..- -- Bouillet, coq. d’Auv., p.85, n'. |00. —- -— llouch., p. 7.*29, 11*.99 Tallinn luewlvîc, Mull., hist, verm., 388« P— ZDA. »-- --- Lin., nyxt., p, 3212 , n". 77. —- —-—— Gualt., syst. ont., 77, ..- --- Turion, conclny. dict.,p, |80,n". Bl. -—- cueunbrinu, Férussac. —- --- De lilninv., dict. deueieuees iut., t. 1'L, p. 279. Long. 0,010. Épuiss. 0,0l.là. Haut. 0,008. Coquille aplutie ou xuhxléprimée, ale forme inexacto ment nrmndie, ile couleur cornée, mince et tnnspnreute. \ peine ntriée, très-fragile; sommet: très-petits 3 peine millans, lwlnnclütres ; clniruière droite; bords tier-aigus. lnlérieur non nacré, d'un gris plus ou moins terne; dents lutérnlea trè: petites, dents du milieu nulle: ou non ap- parentes; souvent le tour de cette coquille est teinté d'unc eoulcnr blanchâtre, plus pâle que le reste. Elle habile lu nuuuii et les étang:. Asse; commune. Var. luraula, non, Plus petite, <l‘une nouleur jaunâtre, tout à—l'4it trans- pnrenle, nnieolora et plu; aplnüe, s, cmi; citmuciri, imp. , p. aan, n-. 5, p[,10, sg. 11, M, (par erreur M, 15). _. --— Mich., p, 116, n'. E. - —-— All>in»Gnn, mall. del'lsër«, P. vi, n·. 5. ..... -··- Duhayu, encycl., n'. A. ..- -·- Lem., mini mn: vert, L 5, p. 559, ri'. 5. —-—-· -—- Bouclz., p. 230, n'. 101. —— laeentrù, De lâluinv., dict. du rc. mt., L U. p. 179. Lnug.8 Ã 9*. L¤rg· 5 E7. Pmf. À. Cette coquille présenteles plus grands rnpporu avec la prdcénlemu; elle est, comme elle, minne, fragile, trëv `
déprimée, mais elle r`en distingue paru forme inuxacto- ment carrée au lieu «l'étre armndie, par su sommets raillsns presque contigus, terminés par un ruberenle ou bouton arrondi, hlunelrâtre, traurparent et lrèupmemi- nont. Cette coquille utlirse, d’un blanc sale ou ¢l’uu js¤u¤—ver\·l&tre pan fonoé. l-lsbiln la ruarer. Abbeville, tr·èr·mre. 6 Cvceu ronrnnin, Dr¤p.,·p. 430, n'. A, pl. 40, Eg. B, 42, (par zrreur 9, 43). -.. ·-—— Mich., p. 446, n". A. -- ·-·~ Albin-Gr—ns,rn0ll. de l‘lsèr¢· pl. vl. rr". 3, A. ..- ·--— Deolnyes, enuycl. , n". 5. ...;. ..·-·. Lam.,su. sam vert, t. 5, p. 559, n'. 7. — — De lllsinv., dict. du sdenvu nat., t. 42, p. 279. — .... -— Boueh., p. 230, n'. 400. i -t Bouillet, coq. d’Auverg., p· 86, u". 401. lang. 3 Ã 3 4]T'. Lllg. Z X 2,4jZ. PN‘»f.1§Zl]2. Coquille très-petite, armndie, mbdéprirnée ln plu: Iouvant, quelquefois uu peu inéquilsléralo et ouhglohu- _ leuse, line, trènminze, peu transparente, grieltro mr hlrnnlritre, qui pose, suivant que la coquille eat plus ou nurinr épaisse, i une teinte brune ferrugiueulc; bord in- ferieur aigu; sonrmetr raser. proéminens; intérieur hIan· clütre ou grisâtre comme Yextérieur, avec lea dents de ls charnière à peine sensilrler. lluisseanx, lossér, dans les lrerlru. Var. pollldo, nob. Coquillr de couleur blsnchitre et transparente, trèr- déprimée. K brrnrnoo, nah. Coquille suhglobuleuse; aommzt élevé, fortement au I cantrsé; couleur uniformément rougeâtre . plus on mains luuoée, ruiyaut la grandeur de Is ooquilln. 1 1
- 3]} .·· I'•r. nini. mwh. Coquille très-petite, déprimée, inùguilntérale, blanche, avec las sommets uplntix. et tmnspnrenle. 7. Crau rnusnls, l)nP· · P· A31, n'. 6, pli 10, Eg. x V A5, 16, (par erreur l7 , IB). ...—r ·-— Mich., p. M6, n•.6· ·-- --—- Bo¤clurd,p. 130, n'. 102. ..— —-· Alhin·G¤u, mol.L de There, pl. 11, ¤•. 6. .l «bl4gua,.hm., an. aansvert, L 5, p, 55U, u·.à. Tnllina advice, Müll., verm., 389, p. 205. —·-— —— Liuu., sys., p. BZH. n'. 78. ...· -·- Manon, md Kaeketw, p. BU, n'. 22, Long. à lfl i 5 M2'. Larg. 7 i 10. Pmf. 3 à 3 lp. Coquille comprimée, assez aulîde; sommet place vexs le tiers de Iulonguenr, ceqni alouneà la ooquille ln forme d‘un Lrinnsle wulène dont le hornl de la coquille est la plus long nôhf; le plus étroit ext presque droit, les autres fortement arrondi: ; atries fortement marquées; com aulllanlcsz sommets lisses, peu pméminzns, terminés en poinie; chsrniàre no·n_m|rq¤!¢; couleur ¢l'uu hlnuu nale, une du brndeu plus ciimoins fuueéu, mais toujours peu uppurunlea. L‘in|.érieur est d'un hleultre pile; une delai; laehsrniere très-fork. i deutv lslânles très-nillanles, doublement rillonnéos; la dent médiane lrèoépaiue, une d'¤utrn• plus petites, uèsvisilslna de ehaqruu côté. Habite lu fonù. Kara. le l’ai trouvé bovoooup plu! enuvent i Peb! fouiln q·u’i Peut vivent.
TABLE DES GENRES IT ILPÈCIJ. N-· hun Cwxmnnun, Lam. — acucnla Mich. -p··¤ym·rp»..,v·.¤¤¤.;08 — unnü1i•,Dn . 295 Hnux, Lin. H5 — ubuntaruùn, Drap. 12| ·· nspem, Dr: , IBQ - ¢·nh¤»;·¤·1L_n»«y.222 ' — n cnc: Fér. _ - urthmiam, Drap 224 - uymllim, map. 225 — ¢¤¤¢¤¤¤~m· D¤p· 2:a — empmcnrum Fér. l5! — Tulvu, Dnp. H1) ·· hnyaa., ump. 127 »·.·«m;., M,. m —·a¤:ulus, Dr: · 24 —— lxpînidn , Drap. un —— limbuta, Drnp. 221 , — lucidn , Du; . 131 — n¢mm|i», ïznp, 45; - nina-, nr. . g - agrnmt. Un . M5 - unegatm, Du . 162
I — ¤\înnl.I,LIm. 123 -· vortex, Dray, Eg — ouh, Mich. H2 Pmu, Dra . [A9 — pnlmîrü, Mich. ZM - avenn,%np. 25] ... pcregti. Mich. ZH — cinema. Drap. Lil — ahgnalîa, Mich. É) — doliolnm, Drap. QQ Nnnrtun, Lam. §Q_§ — fragilix, Drap. Zââ -. lnvialilil, Lam. SM - marginnh, Dray. Lil PAI.¤nn¤A , Lam. ZHZ ·- umbilicah, Drap. 251 — nnatinn, Mich. SIM Sncninn, Drap. ig — imynra, Lam. BDA`! — amphibin, Drap, [13 · -· îiviparn, Lam. 225 — ablongn, Drap. UA Yuna, Du?. ZH Umn, lieu. MA - fantina in, Drap. ZH — halnva, Mich. SJ] ——- hypnarnm, Drap 21.3 - craaaissima, Fér. .315 Pnlvonxx, Miill. 165) = clongntnla, Plaill`. JLLS . ··- urinatna, Drug. ZM VALVAIA, Müll. QQ ··· dmuulnhu, F i·. ZH — cristam, Müll, BDA ~ contm·1ux,Di-np. 262 — piminniia. Mich. 39.3 — corncna, Drap. É Vxnïmo, Fér. ISE — hitpidun, Dngn. Àü -= nntivertign, Mich. EQ .. mirginahu, np. 16§Vnmn, Drap. MQ - mzundnnu, Pair. ZM — puliucida, Dnp. gg
LE LOPHIUM ELATUM , gw- Jé, J.·€B,·9G,·J. O)»¤«£;~«. Suvnnutxz Lnphinm elatum, Bram, malt. un-gp!. jl., lab. l77, fg- 2.-Fvùl. rleanh. fung., 2, p. M3.- Eevk., bât. [ang., p. 281. ·—Ilunl., asm. des an. awt., 22 série, t. 1, p. M6. Hirlerium elatum . Cnnniah. mmuw. Le petit genre Laphiwn. créé par Fries. et qui a pnur type Yllgpuilnn utreaasunn de lïulliartl, ne ne compose que de qualrs espeœl, dun! deux leulemeut Egurettt jusqu’ici dans les ouvrages généraux mr la cryptogamiu dela Franoe : ce sont le Laplniaen nnytilinmn, que Pet-soon et Decaudnlle avaient placé dans les ligslarium. et le lophimn œggngmhnn, que ee dernier auteur et Duby ont également considéré comme appartenant au genre Ftpk- rimn, et publié sont oe nom dans lc supplément) la Flnre française et dam le Buhxninan gullicmn. A cu deux upèccs fort curieuses, il faut en ajouter une autre, peut-' She plus intéreuaole encore , le Iaophimn ulutuan de M. Graville, trouvé pour la premiere fois en Éenue, par le eayihine Carminhael, I qui la ciyptogamie anglaise rlnit tant de belles découvertes, et en France, dans les envirnns du Briançon , par 'M. Aunier, sur les rameaux du frêne; puis, par M. Montagne, près de Sedan, sur une branche de sapin; znlin, nu printemps de 18Ml, par M. Roberge, qui nous en A adroué de bmux ¢chant·i·\I¤I¤I
pour être anumia I notre exameu. Ces échautillana, r(· collé: dans lea environs de Caen. dilürent essentielle- ment du Lophiun mylilônmn, auquel notre savant et infatigable con-erpundant lea avait rapportù avec doute, par lm périthéciuma une kia plus éhîù , peu'ou dilatés au sommet qui eat trnuqué (rarement arrondi), comme le représente trènbieu I. Gréville dans la Egurt gu'il nous en n donnée; cette Egrare, néanmoins, rétréci! un peu trop le pied dz la plante qui , rlaru nos échan- tillons, mt d'uno largeur presque égale de la beau au sommet. Elle atteint, danr aou plus grand développe- ment, un millimètre et demi de hauteur et un tiers de millimètre de largeur. Elle est , du resta , eomrue le La- pkium nybilinen, posée vertiealcment, comprimée, d'n¤ noir luisant et marquée de atries très-ânu . tranverau vi légèrement oourhée:. En fouvrant au sommet par nus fonte, elle ae sépare en deux valve: et resaemhln alim. mais en miniature, 3 une moule qui aurait implantée par . aou extrémitsî rélzéciu. La hpkim niylîlivwll. au con- traire, plus emrrt et dlxrgi en évenlnil , peut lire com- paré exactement \ la forme d`uue huître. Le nualaru de cette dernière espèce est logé danr une oavité rénifurmt, celui du Loplùnn alukm dans une cavité owüdenplatie. Il ut blanchâtre, composé de thèques entruniéléer d‘u¤ grand nombre de pareplayaes , très-étroites , un peu 1`leaneuses ut longues de un quart de millimètre envirnu. Ces tlibques s‘ouvrent par- leur lime d'nù s’éeirap·peut du nporidiec fort allongée: . ténnu. remplies de rpmules glubuleunu, olivttm, aenuâes les unes ooutre les auiiu, aur mie seule ligne. Nous avons été axes heureux pour saisir 'Ie moment nia les aporidiss, encore enfenuén dans la thèque daus la plu: grande partie de leur longueur, avaient rompu cette enveloppe dans ra partie inférieure et ae trouvaient écartées entr'elles pur leur extremité libre, de minière I représenter une aorte dïigretiei Tue denbouh de la thlvpn lelboutenaiteucora tb
-—· 331 —· tpcridiea gou! pu nomhreulelz u0¤lI¤ lions compl! cinq, qnelqnelniu xix un sep! et mime hui!. KI. Grb ville et Friu ne la: ont pm vues, el , en elel, il n'¤î guère posiilalc de mupçonuer leur axiuknoe , lorsque ln déhimenee de ln thèque ne (nil point lil ü enwre un nuire cnrlelèrs quo le mycétnlogun éwlnîl ¤’a pu remarqué et que M, Fries n‘n pu menlinnner, parce q·¤‘il parait ne parler du Iaphium alulmn que dkprèa la description du matliauh uryplouuniu fon: Eu! que chaque individu de cette belle expèoe ui plie! mr nu duvet qui l'entnure. (kite petite line byuoide ut composée de Ghnnenu bruns, semi-opaque.: , luù- Ienm, simple: nn presque simple: et sans cloison: np. Le Laphun nigtilinum ut use: wmluun en Frunee, mis le Lapliiunn vluhun paraît y être aussi tare qu’en . Ècoue et en Angleterre. NM édnmfillanx mnt eur des rmeunmude pnmmiers tamhù i terre; il 1 muni ÉN nhwxvef nui: uuu seule fait, ur le Curllu •ul·|l•b· IA plxnle nuit dans la partie liguuuez un ne l`m!revnit d’nh¤rd qu pr lu Etu|¢•d¤l’6e0t0¤ et ne Le luine hinn rpm-unir que quand nulle-ci at enlevés. (ünnlumuu Je lm Kindia:). À, gmupe de Llidquen entremlléu de pnraphym. V B, deux lbèqnel d'0ù vont Iïehzppzr les Ipcrifllh. C, rpnridiu lihret
` LIB IISIGTIS DIPTIRIS qui msxsmvr Aux ctnmtizs . nm: |.'E·n*|· un v|§¢.t·n·n•n. lllluloll, · Pendant votre union de I8&0, fui en Phonneur de vous lin une notice mr lu Iuneetu Diptèroe nnieent nux cérénlee xlnnl l`6L¤t de végétation. Depvuiu Ion, dc nouvnllu obaerutinnn ont EIA [ailes sur le mème mint, tent pu M. lhgonet, membre de ln mniétd endémique de (lhàlons-nur-Morne, que par moi, et l’in\·é•6t qui fet- hche h nu plantes éminemment nourrînièra et i la cornuniennoc Iles déxonlvu euxquel.1 ellu lon! exposées, me détermine â voue en rendre compte, Parmi les diplhee mentionnée rlnnv cette uotîœ. Jeux ont donné lieu i de nouvelle: observation: fuite: par I, Dugonel: le Cblarepa lieuntn Mdgen, Ouuinù puni- liuniu Olivier, dont la larve fait tuméâer les pied: de Ieiglz el lu empêche cle croître. et colle du Cllnropl lulu qui mnge les tiges du blé depuis ln hun de Pipi jluquùu nœud mpérieur, et dont M, Herpin et moi nvionn oluexvé le développement. M. Dmgoneî, nynnt revu les mêmes fnitl zn IBM, fn! amené, par Yenmcn qu'il en lit, i concevoir une opinion _ nouvelle mr ou Dipûm: dut de lu conxidérer comme
mmènsè par Google
— 333 - ` appartenant lla même espece, et dldmettre qu’iIs pm duisent deux generations chaque annie. Voici comment il y fut conduit: il recueillit. le 8 fevrier, des piedsde seigle tuméliée par lu présence des larves du Chlanpa pussilimis, Dana le connut du moi: de mare, ces lanu etaient peueee i l’éIat de nympbes Vera le premier avril, il obtint l`insecte i Yétat parfait. Du individus qui, sui- vant M, Dagonet, appartiennent i la même upèee, se dévelnppèrent également dans des pieds d'¤rge tuméfiée comme le seigle. Au commencement de mai, M, Dagonet ubeerva la fécondation de ces insectes, et ayant renferme quelques femelle: dans des tubes de verre, il vit la ponte composee de 45 I 20 œufs. Le 20 du même mois, les Clslarnpa qui commençaient à devenir raree sur les seigles., se trouvaient réunis en abondance le long d’une haie qui bordait un champ de froment. Après une recherche longue et minutieuse, il linit par trouver une feuille de cette céréale, sur laquelle était déposé un œuf tout semblable à ceux qu’il uvuit observe: dans son cabinet, D‘aprù cette double observation, comme d'aiIlc*urs cette du-uiàre époque müncide avec celle à laquelle le Cltlsrsps luis dépose ses mufs sur les tiger du froment, et vu que ces Diptères, qui se développent de ces deux manières , n‘oIl'rent pas de différence: eeeentielles , M. Dagnnet en aconclu avec vraisemblance, mais sans certitude, que le Clrlarupa puarilicnia présente deux gé· nératious par an, que la première dépose ses œufs en automne sur le seigle ou l`orge d'bives· nouvellement levée; que parvenus i l'état adulte au commencement de mai, les jeunes Chlonpa ne tardent pas L iaceeupler; que cette lois les femelles placent leurs oeufs enr le fro- ment, et que cette nouvelle générutiun parvenant, à son pur, au terme de son développement, a ln lin de juiIlet· fait, comme celle de Hte précédent, sa ponte euau· tomne vue le seigle ou l`orge.
Uue eutrn nieou pour edopter l'erpiuiou de M. Dep- uet, e'¤t qu’eu npponut qu`il u`y eit q¤'u¤e ueele géndretion et que le Cllarups du seigle et celui du froment eoieutrlisplzee difereulee, il faut admettre que le pxe· nier, qui devient edulte eu eummeueemeut du uni, ntleud, pour pondre, le mais de sepœmlue ou d'ecuul>¢e, lorsque les seigle: sont levù, et que le s¤eond,en·ivent I lent perfeit L la En de juillet,pus• l‘l1iver et ettend ' }unq·¤'eu mnie de mei pour ddpoevr eee œufs sur le tige du blé: rlenxeunzlitioux qui sont peu admieeibleet les difeeenua que j'ei tmevén entre le Cllonpu du seî§e ¢ oelui du froment et qui m’ent dlleeuind à hpporter ee dernier en Cklnepe lau , mnt ei légùru, que c`¤t peutrêtre i tort qu`ellee ont été coneidérées eumme dietinguent deux espènee. Les nombreux Cllarepe décrite per lee euteuee, difèreut vi peu entr'eux, qu'ils ee réduiront peut·ètre i un petit nombre lm-equ'ile seront mieux ennnue; main ensei, en admettent le pluralité de ece eepèete, l’on est porté L croire qu‘elles se partegent lel nombreuses upèces de eéréelee également wisiuee lu uuei des uutru. L’on pourrait ohjeeter, à lürpinion de ld, Degouet, le dilféreuce des végétaux sur leequelx le même expbee de Cblurupnedéveloppeniti cheeune der deux générations; mais le seigle et le froment ne dillerent pas ana pour que le même insecte ne lee ehuiileee pu egelement , dune Pèutde végétation, pour le berceau de se famille, comme le ohnnçun, nommé eelmdn, se nourrit i¤di§éx·em— meut du grein de l‘un et de Feutre. llue autre objection plus forte , e`eet le différence d’inrtinct rlout la même espèce de Cllnupe eernltpnuevue dans eee deux géuéretinne. Il eereit d‘eu|eut plus étuuuent de vulr le même eepèee qui, l'au\orn¤e, e depoxe ree œuln eur les xeiglee nouvellement nemée, lee oonlier eux tiges défi formée: du froment, nu mais de mei, qn'l nette derrrilre épuqun elle \rmeverei1l'evoiu• $l’org¢ demi-
-— B6 -— ment levôs, dans le môme état qu'Qzit le seigle l‘mtom¤e précedent, et par cette raison mieux appropriés saut doute eux organes de la larve. Deus le doute ois nous laissent les raisons qui militent pour et contre l‘cpinion ds M. Dugonet, nous devons suspendre uuu-e jugement jusqu’t ce que des observations plus nnnuluantu viennent décider la question. Le manne tuteur a fait, en M60, nne autre nbserva· tion qui intéresse également Vagricultnre et l‘entzorno· logis. Le ll) juin, des cultivntenrs lui spportèrent du svoines courtes et tumeliees comme les seigles en au· tomnee ll y trouva des larves plus petits qne esllss dn Chlrrups. L‘épi était déj} bien forrne , et ces lnrves a'6· taicnt attachées à l'endroit où ls lsumpe de l’épi se réunit i la feuille qui la supporte; elles y creusent nn sillon en hélice, de manière 1 intercepter les sue: nourriciers; elles pnrviennent rnë ie 3 détacher la harnpe de ln tige. Ces larves produisent de petites mouches dn genre Agvossysae tues voisin des Chlvrapa et de l'espèoe que nous uvons nommée ftucipide, dans notre ouvrage sur ies 'Diptèree. Aucune observation n‘avait encore été faite sur le premier etat des insectes de ee genre nombreux. La plupart des motifs qui portent i croire que les Chlavopa produisent deux générations par su, existent égslemeut pour attribuer ee mode de multipliœtion aux _Ag¤myn•. Les individus qui proviennent des larves ub- servées dans les uvoiues tumeliees , devenus adultes au mois d'août, déposent peut-être leurs oeufs en septembre sur d'antros céréales nouvellement levées, qui doivent. passer l’hives·, et les jeunes larves peuvent y causer ln même: désordres. Le 6 dn mois de juin dernier, un pen avant le coucher 'du soleil, j’ob•ervai dans un ebsmp de blé barbu, aux environs de St,—0mer, une multitude de petits Dlptères du genre Cecidanyier. Lu tiges de ce hlé n'nEraient eu- t0t1q¤'u¤ petit nombre Fêpîs uolvellemeut dégugés
ds leuru fnuillar. Pnrmi ou Cloidongin, Int uuu volti- geaieul en petites troupes au—de¢ua du ebnmp, il y en nuit des myriades; lea nuire: élnionl posées aur lu épis qui tour eu étaient pour niuai dire eouveru, e'«s|.»idire que feu oomphi mr ebmnn de lâ Ã 147. Ellen marcbuienl uvec vivmité mr les épix, et fenvolnieut au moindre danger. Lesrix inrlividua que je comervui éhienlfunaller, ne qui une fait soupçonner que Inu.; ceux ùnvêfaul. mr lea epi: wu!. de ce sexe. In vii distinctement I'uu d'e¤x déposer ses nul`: sur les glumen de ces épis, en inarebaul vivement. l'abdomen incliné el nllongennl l’o— viductux, Ce! individu nvnit hbdurnen d`u.u rouge plut vifque les uulrea, peuI.»L!re poree que cette partie du eorpa étai! encore remplie d’szuù. Les autre: femelle: avaient probablement terminé leur poule. Je rapporte catia eupècei la Croiüonyia MMM. dé- crile per Meigeu, mnir sans Findication de ne manière de vivre. le croi: qu'elle est nuni la même que la Tipulm hitiui, xleerilu par Kirby; ou moins la dercripîion paraît- elle conforme i uelln de Meigen, elle nom rpérsiûque in· dique que dut sur le blé quo ls célèbre ualuraliile zn- glnis l'¤ observée. Voici ln description que nou: en nvous laits d`nprès lkuilomgiu mman, Meigen. Long. L Couleur de chair: face i léger duvet blun- ehkre; front large et noir; anhannsa uoiru , premier-u' nniclea jaunes, lu autres presqu: cylindriques, un pen nltéuués aux deux extrémités et eouveru de petila poile; yeux d'nn brun n0ir|L;e; tlnornxi trois boude: longitudi- mlei brunâtres, plus ou moin: dirlincku; bnlnneinrr et pieds pùlel; ailei un peu jzunlliex, · Cornme je n'¤i pu voir le cbnmp de blé et lea Chih- myiu qu’un seul jour, je ne uix rien de plus mr ou Diptêres. 5'ilr sont lu meme: que la Tipnln lrilipù de Kirby, la larve ut ||u!e‘u.|o , npode, bordée de ienne-
citron, le bord a des papilles pliuéelz ln (Hte est aiguë et la queue tronquée; la nymphe est étroite, entierement roussatre. Comme la plupart der Cloidonagiu dont le développe- ment a été observé. déterminent sur les végétaux la t'or·· mation de productions galliiormea , ainri que l'indique leur nom, au milieu desquelles leurs larver paarent leua· premier âge, il est vrsiaemblahle que celle-ei earue éga· lement dea désordres sur le blé. Nou: avons décrit la Cloidungia du Saule dont la larve srrëbe Yévolution du bourgeon de cet arbre et le dilate en moelle; celle du Bouillon blanc, qui fait arrondir le corolle de la tleur et Pempeebe de s`épanouir; eelles de la Véronique et du Lychuia dioïque, qui font naître des faune.: gallus velnu; celle du Titbymale. qui fait grossir le sommet du tiges; nelle du Leiteron, qui ocmrionne de petites gallu rougee. Cependant quelqnna - autres ne paraissent produire aucune de ou altération: rur leurs plaintes nourricièrei: la larvede la Cleidmnyie de l'Ar·moire vit, i découvert, aur lu jeunes ftuiller de cette plante, ]usqra'au moment où elle ienferme dans une coque pour parser àl l‘ékat. de nymphe; celle qui provient dea œufs que nous avons vu déposer sur ler lleura du vulpin des prés, ne noua ont preaenté aucun de ces elfeu morbide:. ll en est de même de Pespèee américaine C. ùalnwior, appelée mouche de berne, qui parait voisine de notre Geeidomyie du blé et qui vit également rur le froment. ll en done possible que cette dernière u'en produire pas davantage; mais le · grand nombre de ou Diptèrer que nous avons vursur lu épir, et lea oeufs bien plus nombreux eueore qu‘ila y déposent, doivent noua faire aougçonuer que les larves eooronrirenr ane pour de n me et ....ise¤i A n quinte du blé. Cependant , comme il n’y avait qu’un très- petit nombre d`épis de développés quand nous avons obrervé le elrarnp, il ut probable que les individus ailé; ae dirsémineuti mesure que ler épis se développent , et qu'ils ne nuisent alors d’une manière sensible.
Bu u•«a·¤¢ qu- an nouvsllu sluemüsm um- plkeul l'hi|I«oi¤n de une Cécidomyln, nous ne po¤v•n• faireqnedsvsguuconjeclurexàcerujet,d'auInuIpIusqu’il rigne une gronde diverrlté damln manière du vivn d• ce gun «¥inw¢!&, ainsi qua nous l'nvu¤r monlrl eu msn- üonnnm lu diddrnntu altérations qu‘il¤ ocuninmhul dans la plunluu. ll semble qu'il doive y avoir Ixnuwup dünnlogie eutr`elIz ei la E Julrnnfu, dont la larve vit lgalement cur la blé rluns ln État:-Unie; mais nous navonc, par l‘olmrvaIi0n de Th. ày, que la femelle tlâposc set œufs en introduisant son oniclnctur entre ln graine forme: parl: feuille ln plus interna et la partie du chaume lu plus rappmchée de lu nein¢· lPNbublevucu! ah automne); que ler Iurven y puunut l'hîver et que Im Insecte: udullu paraissent au rnois dn juin, tandis que nous nous vu la G. roman faire sa ponte Anr les épis, Cette diïémuce dam un ncle uuxai împarhnl, entre slcux espèces ri voisines, peut étonner- et peut frire soup· çouner que dans I’une el l'nutre il y ¤ deux générations, comme rl y s lieu de le croira drm le shloupr punîlio- \•¢•; que la Cooidonyin mmm, npœèe FEIM développée dans l‘épi du blé et purvenue à MMI! nîld, dépoae ln œufs d’¤ne nouvelle généntion eu autmunn ` sur le blé nouvellement semé, mmm: ls C. iutnobr, et que lea lun , arpuèo y avoir pawé l‘hiver, Pmen! i l'é|a|. adulte uu priulennpn, pen de nemps uwaut de pondre} leur tour mr les épis, Bu vous wmmuniqusul. Nadeau, on obsarvnünru ni iueomplètu, je n'ui pull but que de voue engager ilna poursuivre, hui dans Yiuteréi de la snieuee enlœ nologique qui piùenll encore vla uumbrcuna lacunes dam la connaissance du premier lge du insactu, que nous le point de vun agronomique, nliu de uounnltm les déprédabeurs de nos culture: et ru|1ou|. de uoe céréales, ei d‘¤p·pren¢lre ninri I leu combattre.
?;îl;rr xr l/ 7 7 , " 2 `\» 9 , ` É. 7 vla 4/ 1 È <‘Ã: Ã , / È 4 ~—-V, ir _` Ã\__ ,,,rrr ~ Ã ’x” X `‘—» Ã M a /// \ \ \ h ' `> ' î > L È
mmènsè par Google
LES DÉVIATIONS DANS LB GENRE UNIO, Peu! lard! i ch lclilrl ln dücr-Illtltl plus halle, .&»· .4%, @«î»}.» 9&««a, Legunn Uni: I, num wnnrcdit, le plm nnmbnux dn mm les mnllnsqnna bivalvea qui vivent dxna l`c¤¤ duncn. I] n‘zntra pan, dum n¤Lrz plan, du rechercher I`îl H! parfuitcmcnt délimild cl fil y ¤ I1¤¤ ligne de dé- mnrmtian biun tranchée entra les Unia el. les Ilnodnnlu. Il semble, au premier abord, que In présence nn I‘ah•¤nœ du dents i ln' charnière ¤'nst pu un carwûre ann tranché linur q¤‘il puine untmiser I la formation de Jeux Nous prenom ici ln genre Unia tel q¤'il ut éhhli nt nou rûpéhmu que dut du lmu lu genmu du naïadu le plu numhreux un upècuu. Il xmhlu, en eüst, qu clxnqun tyslèmn de rivière, chaquc llsnva nl mène chnqnz nülnenl, nuuriue son L zllu. Cal énoncé donnera une idée de ce que dvi! être ¤• gmae. (`zpendant, l’¤umen uheniif et la wmpnrnison de tontucu wqnille: ne donna, en dernier rémlbat, que du didérenccs du forum: wuvunt trêu-fugitives el qui font dnnter du leur réalité apéeilique.
- MO -· Cel: est si vnî, que des uhserveteun consciencieux ont déjà émir cette opinion que le nombre iles eepèoer doit être fort reduit et rapporté seulement ti quelques typu dont les variations eenient inliniee. Autant qu'il noni a été pouible de le hire, nous nou: rengeoue volontier: D cette opinion. Les neïarles vivent dans un milieu singulièrement eapehle de ler modiâer. Pour ne nous sttncher qn'aux moltusquer, nou: diront que ceux qui vivent il le rnrfsoe de le iene, ne peuvent étre modifiés que pur le temperature et ln nonrriturer Ceux qui vivent dune lee esux de la mer sont soumis ) des names de variation L peu pren les mêmes. la compoxition du eaux étant l peu prêt identique pertout. Mein pour ceux qui vivent dun: lex rivières, il y e une multitude de causes de variation:. ll ne faut pu entierduns de longues explications pour faire comprendre que la esux de chaque rivière, de chaque aâluent, dit`- fèrent la unes du sutra par ln quantite relxtive du relu oontennx en dinolntion, pur le nature de coe sels, pur leur nombre et par tante: leur: oombinsîwnt par siblu, et rlsns tnutee In proportion:. ll est facile de onmproudre et l’un peut admettre , i priori , qu’iI n'y s guere deux rivière: dont lu eanx soient ideutiqnne par leur oomporitinn. il y u même plur, rient que la nature > des eanx dillëre de lu wume è Yenibuuchure et cluuge i cheque utiluent. Cela eut si vrsi, que pour ns perler ici que de |eSo·mnw, elle renferme 1 Amieue et iurqu’i Long le Unis rlaugetule , qui diepunît L Abbeville pour [sire pleou un crurineinc. Non-seulementla mture des eenx , msie leur temp!. rstnre, leur degre de trempurenee, In vituse eveclnqudle elles ne meuveut, enlie le constitution géologique du leur lit, doivent et out, un etfet, une intluonee meaqnée eur les ooqniller qui uuu: oenupent. Si, après svoir exsmind le milieu deux lequel vivent
— 3/tt —- lee llnios l`on reporte son attention snrlu rnaniàre de vivre ale ces invertébrés et sur les parties qui sont étudiées pour en retirer des caractères, on restera con- vaincu que jumais rien de plus variable ne peut s’oll'rir à l‘olme1-vstion du naturaliste. Les Unios habitent le fond du rivières; ils nmmbent lentement au fond de leurlit, en accrochant lenr pied i tout ce qui les entoure; ils ne félèventjemaia L la · surtace, ce qui explique pour quelles raissms les esp?-ces restent cantonnéu , quelle que soit la rapidité du cours 7 sl'eau· Qnnnd ils sont en repos, ils (enlbnceut dans la vase au le sable. ou bien s’arrêtent dans les toutlu d'herhes, ou bien enân dam les funds rocailleux, se placent entre des fragmenc de roche: ou de pierres mulées. Lu punie qui est exploree par le naturulinte, c`est la text, A l'exclusicn preaque entièrement de l`animal. Or, le test doit varier nécessairement avec une grande lacililéa c‘eat. en elïet. de l’¤nimnl la partie la moins vhante. Le squelette protecteur est ici extérieur; il sert i garantir les organes contenus de toutes les atteintes qui pourraient leur nnire. Par cela seul, cn comprend à com- hien d‘accidens il est exposé et comlsien ces accident peuvent le modifier: l•, dans sa composition, 2% dans son épaisseur, 3¤. dans sa tonne, ht dans sa couleur pour la partie nacrée et pour Yepidcrnue; 5*. enlin dans la nature de cet épiderme. l·. Dans se composition: i.l est probable, quoique jusqu`) present aucune expérience directe n’ait été faite, que cette composition doit varier par la quantite pro» portionnelle des substances eulcairzs et animales. Mais cette variation est sans importance pour le noinenela. teur : nous ne nous y srrêterons point. 2*. Dans son épaisseur : la nature des eaux doit entrer nécessairement pour quelque chose dans Fépuisseur du test; et, s`il est vrai que l’unimal puise dans cesesux la 12
- M2 .. matière dont il bitit aa anaiaon, il eat évident que I'alr sence ou Pabondance de certainea iulzslances doit inlluer sur cette épaisseur. Muix en dehors de cette considération, on peut allirmer que cette épaisseur est toujour-a plu: ' grande À l’état adulte que dans la jeunuae, et que Iznt que la ooquille eat jeune, les lrorda en reatent tranclaaua, quelle que soit, du reste, Fépaisaeur de la surface, et oe n‘eat que quand elle arrive 1 la En de aa croiaaanee, que la matière calcaire oécrétde par- le manteau ae dépose xur le lrord laval de la coquille, lui donne d’alzord la même épaiaaeur q·u’au rene du text, et enlin dans un ige plus avancé, forme une sorte de lxourrelet qui linit par a'!- leudre d‘uue impression musculaire L l'antre.' Cut alim que le bord, au lieu d’être tranclaant. est devenu conn plètement mouuo et arrondi. Nour revieudrona sur ce sujet, quand noua parleroua de Mge rdatif de cu coquillea, 3*, La forme, ches les llnioa . le compose de la ligure polygone décrite par le contour de la coquille posée i plat, par Vépaisseur de la coquille, lea deux valvea étant rapprochées; enlin, par les eirmnmuou offertes par la elnrnière, Si lea milieux, par- leur pesanteur et leur mouvement, peuvent iulluer sur la forme exterieure des corpi, com- bien lex Union ne doivenvila point varier? Maia oetu forme change encore par l`6ge, par lu maladie: et par des circonstances qui nmènent oe que nona avons appelé nevwrrorxs. None vermna plna tard qu'uue cireouatunce quelconque, si elle parvient à modiüer les eontoun du tut, devient la cnuse éloignée de claangeuaena, tant dans Yepaixneur de la coquille que dans la forme et les diapo- aitiona de la cl»nn·nièr·e. . ai' La couleur de le nacre ou de l‘in\érieur du tat peut facilement être modifiée par lacourpositiou chimique de l'enu, ll n‘ext pas diiücile de Lronvex, rlana la même localité, dea individu diversement. oolorà, I
6*. Uépîderuve: se couleur vario de même comme dans toutes lee coquilles iluvialiles; la composition de l‘¤u rend raison de ces dilérences. La rapidiié du cou- nntert encore une circonstance qui modifie Pépiderme; il lini! quelquefois par l’user dans les parties snillsntes comme au sommet., tandis que dune les lieux tranquille: un voit les lames épidermiquee encore intactes furnier du crêtes caduques. |.lne circonstance qui tient A la nature des eaux, c`esl la sléoostication; elle est pxoduite par une larve qui y creuse des galeries quelquefois si profondes, que Ie ten est rongé jusqu'! la pellicule , nacrée; maisjamaisla coquille n'est percée en cet endroit. Je sois autorisé B croire que cela nlnrrivc jamnis, parce queïmiuml, averti sans doute de l'appv·oc)ie de la larve par quelque seu¢al.icn,s'empsuee dlppliqner des couches dr matières nsorees eur l'ends·oit menacé. Je ne dirai rien xurI’nuiinal qui produit la décortiea. tion, Je ne l'zi jamais vu; mais l'inspecliou atleutive des coquilles déwrtiquéea demonlre Izmilcment que e'esl. le tuqvail d‘un insecte, mais nullement un accident ory» Iique propm i Io coquille. Il eût. suiii d'nn examen superficiel. pour ne jamais se servir de cel occident nomme d’un caractère spécifique, Mais la déoorücation ne tiîbelle point démontrée comme le travail d'nn ennemi dea (lulu, qu`on n‘en unit jamais dû taire un caractère, puisque dans ce que l‘nu en convenu d'appe|er la même espèce, cn rencontre cltaqzie jour des individus décortiquée et d'nutree qui ue le sont pas, el que celle decorlicaiion est ordimiise dans un systeme de rivière, tandis qu`elIe est fort reve dans une nutve. Ce point demande de nouvelles études; mais le Iuxard, un Faisant rencontrer une coquille portant encore mu persaile, aura sans doute plus de part I cette ütérssuule decouverte que les observations les plus per- levérnnhea et les mieux dirigées. lïrpsù ec que nous venons do dire, on serait unité de
prendre nn parti extrême etde emire qu'iJ n‘y a réelle- ment qu'nne, on du rnoini un petit nombre rïespèeu modiiiées a l`in|ini par le milieu et par les circonstances de ee milieu , ou bien que chaque système de rivière possède ses eoquilles a lui, comme quelques naturalistes lemblenlle penser pour les poissons. Alors, il serait plnr oonrt et surtout: Cort rationnel de désigner nhecune de ou prétendues espèces par le nom du cours d'eaa dam lequel elles vivent. Cette dernière façon d’rigir serait, sans contredit, fort experlitire; mais il fout bien en convenir, elle n‘sppren~ droit pas grand chose, car la science pourrait, en dernière analyse, se borner Et dire que telle rivière nourrit des llnios et que telle antre en est privée. Le reste importer-ait uses peu, et si qrielqu’un s'aviiait de former une collen- tion dans ce genre, il se serait attaché à nn travail ingrat et sans aucun résultat. ni pour lui , ni pour les autres, Mais a'il est vrni qu’il existe des especes, dans Faccep- tion vraie de ce mot, c`est»i·dire des ânes qui, bien qu variable: mount ri un dagrd fort dlnnlu, arm sont pu moins , pour cu variations , nafrrnh dans rm oerela quïlr ne peuvent fronohir; qn`ils tendent sans ceree 1 retourner vera leur forme typique et qu'ils lu reprennent aussitot que les circonstances le permettent. S'il est vrai, ilis-je , qu’il existe des individualités spéciiiquea qni, loin d'etre des conceptions métaphysiques, peuventie realiser et se démontrer par Yolnservation, tous les edoftl des hommes de science doivent tendre i préciser In linritcs, l tracer d’une manière invariable la lignn dz dérnarcation qui sépare cheque espèce, Pour arriver à ce resnltet, il est necessaire d'étud.ier les êtres sour toutes leurs faces, I tous les âges et dans toutes les circonstances, de suivre en quelque sorte, pas En pas, ces pi-otées plus réels que celui de la fable et tout en notent , avec soin, les parties par ou (opèrent lu modifications. découvrir, en même terrrps, les uractèru
— SMS — qui ne varient jamais et que l’on peut dêrlorr regarder comme patlrognonroniques. le ne suis point arrivé complètement i ce ré- sultat , et ee que je me propose de resoudre dans ce travail, n'ert que la partie la plus facile du probléme. ll sera aisé de porter, contre moi, nue accusation grave: celle de détruire sans relrttir `a coté. ll ut vrai que les caractères dont ou se sert ordinairement sont renverser i pen près entièrement, et que je ne puis, iuaqu'à pré· aent, les remplacer que par un ou deux caractères lixes, qui, certainement, sont loin desufüre à la determination de toutes les espèces. Je u'ai pas la prétention de donner un ts-avail achevé, ie dirai ce que je sais, laissant I d'anI.res et au temps le soin d‘augmenLer la somme des cnnnsissanees positives à eet égard, ` Nour avoirs vu, tout 5 l'heure, que les earaclères em. pruntés i la décorlieation ne sont d'ancune valeur, qu’il n'¤at pas possible d’en obtenir de bons de la coloration de la nacre, pas plus que de l‘état de Yépirlerme. ll reste dnnc i examiner les caractères tirés de la forme de la coquille, de Yépaisaeur de son lest et du système dz Ia charnière, Il sera toujours impossible de déterminer et ile classer lu Iînios. tant qu’on ne sem point lixé préalablement sur deux points, le veux parler de frigs des coquilles et da leur Ilot normal. A quels signes peut-on reconnaître Page d‘un Unio et comment peut-ou savoir si la forme qu'il présente est bien la forme normalc F Cu rleux questions, une fois résolues, nous en ferons l‘application sur quelques coquilles et le hut ds ce mé. moire sera rempli. Uignorance complète dans laquelle se trouvent ler naturalistes, touchant l'àge dullnios qu'ils ont i étudier, est très-pmpre) faire commettre uoe foule d’erreurs. Quand il est possible de se procurer, dans une même lomlite, des individus de tous les âges, il est facile d’en
mam os aevernypemsnr A se .. ennvianm que u pins petite est le jeune ige dela plus grande; mais si, et c'eat ce qui arrive tous les jours. on recoit de dillérenlcs loulitéa deeindividus de divers igea, on est aussitôt embarrassé pour savoir i quelle espèce les rapporter, et cet embarras uugmenlc, s’il se trouve quelque diféresice de forme. Alors la tentation de former une upèce nouvelle est bientôt venue et souvent exécutée aussitot que conçue. ll est donc essentiel de connaître l’|ge d’un Unia. Nous croyons avoir trouvé nn guide assuré et fort simple, ri simple, qu'il nous paraît étonnant qu'on ne l’ait pas découvert plus tôtr Si l’on mit attentivement tous les clrsngemens qui aur· viennent dans une coquille I mesure qu'elle prend de lüocroisscrnent, on remorque que dans le très-jeune lg: le test ert d'une épaisseur à peu près uniforme dans ler coquilles L test mince, et plus épeis vers le haut ches les especes L test épais; mais chez toutes, les lsords, depuis la bsae de lu dent carvlinole iusqu‘à Yextrérnité postérieure dela dent lalérnle , sont tranclrans; ils s’a- mincissent de manière i ètre presque pspyreces sur les bords. Donslïgz moyen, on fnperçoit que le test s‘eat épaissi dans tout le contour lrasal de lu cbnmlsre anté- rieure; ln matière nacrée semble avoir coulé de la cavité vers les bords ; elle forme bientôt comme une xorte de bourrelet superficiel qui se rapproche de plus cn plus du bord; il farrundit d’abord et tombe en une courbe adoucie sur le bord. qui resto encore ir-unebnnt. Mois dans Yétat adulte, la matière nacrée ne forme plus un bourrelet intérieur comme précédemment; elle o continué de (avancer, elle est descendue tout À fait sur le lsord, et bientôt elle finit par le dépasser un peu, de manière qu'eIle semble constituer ce bord E elle seule. Ce l¤0un·zlet ne déposre guère ls chambre antérieure; il est rare qu'il fronchisee la crête abdominale. Le oon- tours de la chambre postérieure reste toujours L peu
2- SÃ7 — préc la méme, et le plus grande épeiaaeur du bordde la chambre antérieure se trouve presque toujours 1 son milieu. Enân, l`état adulte (pent—être la vieillene) est une tériré eu outre par un grand développement de la frange, mr tout le contour de la cl.sarubr·e antérieure. . On conçoit aisément la nécessité de cette frange, si l’on réfléchit que rlans le jeune âge , lorsque les bords étaient trancbrnr, ils s’sppliquaient exactement l'un sur l’autre, de manière à fermer ber-métiqu ement la coquille lorsque l’animal le voulait; mais dans l‘ûge adulte, les bords etant formés antérieurement par une sorte de boudin ou l>ou.r·.relet, lkwclneion ne peut être aussi exacte, et les nombreux feuillets épirlerrniqnu formant la [range se développent de manière i bouclier les petits entubaillemeus formes psr les vulves. ll est bien remarquable que le signe de l’état adulte soit ici complètement analogue a oelui qu‘¤n observe chez les coquilles univslves, (Feat par un dépôt de matière semblable à celui qui tapisse l‘intérieur· du text, depot qui s’exécute par le manteau et qui est placé au bord de l’ouvertui-e, qua dans l'un et l'autre cas on peut rwgnneître l‘£ge de ces coquilles. Nous ferons renrarquerici, et non: le repéwnss que nous sfentendons rien préjuger pour les autres genres de bivalver, surtout marins, que nous u'avons jamais Étudier. Nous nous aorumes attaché exclusivement i l‘e- tude du Unius, et ce que nous avons dit et ce que nous iixvnx ne asppxsqrre que ce genre et r«r·1«m¤« est wpèees rl'Europe, ne eonnsimut point celles des autres- cnntinents, le ne sais done pas si ce caractère se rencon- ütra sur les espèces exotiques; ces obrerwstionr mgarrlent ceu; qui sont mieux placés que moi. Après avoir déterminé l`âge rl‘un Unio, il s'sgit de lavoir s‘il est xnslsde ou non, fil est dévié ou s‘il revét la fvrmt normale.
la décnrticntiou xloit être regardée eommequn accident et en quehqua aorte une maladie qui, en détruisant lee annarnela, prive Pnlrservaleur des caracteres qu‘ila pou- vaient présenter; mais la alécortinatian ne paraît nmdilier en rien le reste de la coquille. Je pomède un I/nia neelu de Stnder, venant de Bergerac , dont les nommer.; ront décortiquer au point que le tent, au niveau de la lame eardinale, en papyraeé dan.: une étendue de quatre i eirlq lignes; on voit , 1 Yintérieur , le dépôt anccenif de éouclaea naeréee qui ont rervi i protéger le teat et a euapéclaeraa perforation. .l’ai reçu récemment un Unia banana dela Loire. qui présente lea mémea circonstances. ` L'nsur·e dea sommet: n’est par une maladie; elle ne modilie en rien la forme génénle. La maladie la plua fréquente conriale dans une ten- dance générale, elaex les llnioa, i forrner du perle:. Cette exnlrénante aberration ou 'laouraonllinre de la matière nacrée déforme muvent la coquille. Ella lni donne, 1 l’iutérieur, un aapeet et der ondulationa anormales; 1 Yeatérieur, Pépiderrne fépainit et forme dea émillea plus on mains épaisses; surtout vers Pextrémité posté- rieure. Quand une coquille a été 'laleeaée danx quelque puinl, la maladie perliere ae développe et il en résulte des déformations qu'il est toujours facile de reconnaitre. Maia il existe une maladie dont la cause eat fréquem- ment une bleamre, mais qui fréqnemmerrt aussi se de. veloppe sans eauae apprécialrle. (Pest ee que ïappelle la maladie du ligament ou du rochitima. ll semble que l'nnimal n’a pu aéeréter, en eerlain point, une quantité auflisante de matiè re calcaire. Ainsi, il arrive quelquefois que la dent eardinale, en tout ou en partie , ae trouve tranafumréa en matière analogue a celle du ligament; tantôt c‘e1t la lame cardinale; tantôt la dent latérale qui ne trouve ainsi trandbr-mee. Cela arrive ai fréquemment, qu’il n'ea1 aucune collection dewqnillrs qui ne renferme
quelqdiudividu portant des traces plus ou moins fortes de cette maladie. Il est rare que le test lui-même en soit atteint; cependunt je l'aiol>servésur l`lIa¢a nichsmliaaa, dans lequel les dernières couches nacrées sont en quclques points veinées de matière ligameuteuse. Maia cette maladie attaque principalement le système oaieux de la charnière, ronge ou transforme les dents et fréquemment fait dévier la coquille de sa forme normale. Elle coïncide souvent avec la maladie perllèm qu‘ellc provoque sans doute quelquefois. Nous rangernns dans le rachitisuse une atïection fort singulière et qui n‘s encore été observée que sur deux coquilles ; l’uu, sur Minluwdianu, pl. 5, Eg, 2, et Feutre, sur crassiuiniu, pl. A, fig. 1-2, Un prolongement du li- gament. s`intrnduit soit K travers les dent.: curdinales, soit i travers les dents latérales, ou bien enün traverse le système osseux de la charnière tout entier, en divisant ses parties en deux portions, de manière qu`au premier aspect on croirait que les dents sont doubles et qu’un ligament de plus a été accordé L la charnière. (1'est, nous le verrons tout i l’heuie, la cause de la création du Jllieltoinliann. ll est i remarquer que iuaqifici cette singulière un- ladie de la charnière s toujours été observée sur des coquilles déviées; on serait donc portéà croire que la dlvimtian cit la conséquence du sachitiame; mais comme nous verrons que la déviation est très-fréquente suns trace de rachitisme , nous eu eonnlurons que l‘un eat indépendant de l'autre. Le rachitiame est une maladie nou-seulement de la coquille, mais encore de l'¤nima1; car il est évident que c'est puce que ce dernier a perdu la faculté de séeréter la matière calcaire par quelques»una des point.; du manteau, que la maladie de la coquille a lieu. Bst·elle originelle ou accidentelle? (Test. ee q·u‘il est impossible de dire et ce qui, du reste, importe peu. Mais cette adectiou démontre combien l’orp¤iesti0u
du coqnillu est simple, une suhrunce animale et une sululauce caluive en soul leu parties compoeanlu, l'épi1 tlermc, la frange, le système ligamenlaire sont formés seulement de matière animalisée. épaissie et <lllr¢ie· taudis que le test de la ooquille est formé par cette même matière, dans les iulerstices de laquelle a été déposée la substance solide. Une coquille peut donc, sous ce rapport, être comparée aux oa des animaux; les portier solides aornt les portions osseuses . et le ligament qui unit les vulves peut être comparé, avec raison, aux ligamene qui Iniasont les or antr‘eux. · luis s’il arrive que por une perturbation pmfourle de Yéoonomie le dépôt de plwoplule de chaux deus le réseau nsuqueux des os s‘an·ê\e, ou voit oeux»ei devenir nxoni. ee gorger de mc et revêtir les propriétés d’un liganseutou d‘un urtilage. De même cher lee mollusques, si dans quelque partie l'auimal perd lafwulté de sécréter la matiere calcaire , une partie correspondante de la coquille ismnllit, change. de couleur et devient semblable au ligament. (Fest le reclsiliscne dans l‘nn et l'sut¤e cas. Enfin, nous puusserolu plus loin la wrnpsrsinon : clan: le jeune âge , les parties teudiueuses et ligamenteueen des animaux sont souple: et ue contiennent par un atome de matière calcaire, taudis quo dans le vi¤lll¤se on voi! souveqt , dans ou parties , ae développer du püluh nneux; de meme, dans les vieilles coquilles, ou voit des pnrtiuusdeligameut fimpréguer quelquefois du snbsla¤/M solide analogue à nelle du test. Ainri, avant de déterminer nu llnio, il faudra ùssurer del'état dans lequel ilsetrouve sont le rapport de le sante. Ou aura soin de re-jeter oomrne caracteres: l'. La décorticatiou et l‘usure der valves: 1*4 Le diûereuce de coloration de lïntérienr dn heat; 3°, La dillérence de coloralion de Pépiderme; Ah Tous les necidens causée parla maladie porlîlvea N', Tous lerphénomëuer nlïefll par le rwhitisuge.
lis en garde contre ci; causes «·l‘ai·retra arts nouv hreuses, il faut psaser à un autre ordre de faits qui vont être développés: nosssvoulons parler de ln déviation. DÉ\|lA'l'l0lI· Les Unies, comme tous les etres vivans de la nutuse, ont une tendance continuelle A se développer selon un plan unique pour chaque erpèoe, Ge plan resterait eten-; nettement invariable, si aucune circonstance ue s'oppo¤it jamais au developpement. Placée dans les conditions les plus fovorshles î sa natnre , elssqne espèce devra dons: slecter une forme suiour de lnquelle viendront se grouper toutes celles qui auront ete produites pas- des · circonstances plus ou moins diüîérentes. Ceci est, de tout point, applicable aux Unioe. Cette theorie, oomme il sera (suite cle le conoevoir plus tard, résulte des faits et n’s point été fs.l>s·iq·uëe A priori. (Yest pos- la comparaison oontinuelle et i une infinité de reprises, qu‘il nous a eté poesilrle de démêler un type au milieu des déviations. Ce que nous entendons psr dloiuiiuvs clsee les llnios, u'est pas une malsdie , c’est une rlélormstion qui passe par tous les degres sans que la coquille ni l’auisnal ps· raisseut malades; le test présente houle la pureté de ls meilleure santé; les pnsties ligusneuteuses sont ssines; il n'y s de vice que dans la oonformation. Mais il y a une telle corrélation entse toutes les parties de la coquille, que l‘on peut déduire . sur Pinspection d’une seule partie , ls déformation de toutes les autres. La déviation u donc des regles fixes et précises, d`après lesquelles il est toujours facile dela constater. An moyen de la connaissance de cette règle . il est aisé au natu- raliste le plus étranger L la conclsyliologie de voir, au premier coup·rl‘oeil, si un lluio revêt sa forme typique, ou bien s’iI est dévié; et cela est si vsai, que i'ai pis, sur
— 552 - ln ueule figure de I'l7•si• vnielwudiuu, ullirmuri M. Dei Ioulius que eetle eapèee n'éhit qu’une déviation, op;. uion qui fut bientôt pirtugée pu ce nuturelirte obser. vateuret que j'eu1 le plaisir de mieux enmuter eneore lorsque je pus voir, pur mes yeux, l'individu qui avoit donné lieu i In crénliou de cette espèce. Cette même épreuve |‘¤s·t renouvelée pour l‘l/wie nrmahx (Bouchurd), que M. Du Moulins s pu également me eummuni. On sernit Ienté. eu vuyeut Yétrangelé des formes pro- duites par la déviation, de faire i avec les individus: qui l‘ont subie, soit des espèces, soit des variétés. (Test uinsi que furent entriînés MM. Bouchard et Ch. Du Moniius; et certes, sens des eireonstnnees toul E fuit exceptionnelles, il m‘eût été impossible de ne pas voir eomme eux. Il n‘e•t pu possible de faire des espèces des individu: déviéx, puixqne par une méthode particuliere, ou peut ' toujours les rnpporter I un lypc; mais pou|quoi,diru-t»ou, rien fuites-vous point det vnrietés? A cell, je répondr que l‘on peut trouver, dans cheque espèce, tous les de- gré: psr ois pisse In coquille , depuis le plus légère «1é· vistion ]usqu'an degré ou elle est devenue meconnuiseihle; et uussi que, zn dehors de la déviation , on trouve de véritables vnriétés. Ainri, l'Uniu littunlia, sujet, comme tous les autres, à la déviation , shllouge quelquefois et forme ainsi une variété qui conserve tons les caractères du type et ne ¤‘en éloigne guère que par un point. Au note je tiens peu un mot de dluisliovs; je l’ai créé pour rendre ma pensée sur ces ehangemens de forme. Je crois, en etîet , qu'} une époque de la vit d‘uue eo» qui[le,surviennenl deeeirconstrucuineonnuesjunquüloiu qui lui eornmuniquent une tendince toute vitale i chan- ger le plan primitif qu’elle devait suivre d'¤près son organisution , force qui vu toujours croissante avec l‘ige. Je livre eette minière de voir à la eritique et n’y nttncha pu plus d'irnporIunce qu`elle ne vsut.
Signs! wtèrùtut de la ddvùrlùm. Si l‘nu prend une coquille nou déviée et qu’ou l’en» mine utleutirement , on y remarque les esruclères sui- vano d’nut.nut plus fortement exprimer. que l'iudividu est plus pur ile déformation, I'. Ln linmla présente une Iisxure liuéuiru qui, i toutes les époques de lu rio , un formée pur un petit feuillet epidermique qui va de l‘uue i l‘¤uu·e vulve, s‘iusère mus lu clirochets et ùrréte à l‘angle nuMro·supés·ieur¤, et forme une sorte de ligament beaucoup plus faible que le ligsment vni, plneé pxmerieuremeut. 7*. Lu crochets se touchent pur leurs sommets qui se reueuntrzut directement, u`est»i-dire que leur ne se confond et qu'il serait possible de tirer une ligne droite qui, passent pur lcnrn poiutx, lee dirixeruit eu deux psrtieu égeles. 3·. Le lieu de lr plus gronde épuisseur de ls coquille se lrouve visiblement en urriere des emelsets et i peu près au niveau du milieu de la longueur du ligament. Dans une coquille dévlée on volh lu cnulrzire : l·. Luuule plus ou moin: élargie; elle acquiert quel- quefoir I5 i 46 millimètres de largeur, et slors elle est oordiforme ou triangulaire; de nombreux lenillels epi- dermiquu se sont tléveloppés à la manière de lr fnnge, et tout l'eip¤oe luuzl en ui rempli ; la lunulu semble s`éts·e creuree dans la test. Auui, f0rme»t-elle un sugle tres-marqué nec le bord. 2*. Les emcheu mnt éloignés l’un de l'sutr¢ et en proportion de l’elns·g·iseemeut de lu luuule; cet éourto. ment peut, d'uue pointe l l’uun·¤, aller ju.squ'\ 6 ou 7 millimètres, Leur reneontresefsit d’une mruièn oblique, de maniere qu‘un¤ ligne ue pourrait pisser à la fois par les deux sommets et les diviser en deux portions égaler, eeeiremzrt de lu oompunimn des LI, t. A, f,6, t.6, aven f. 3, &,7, tab. 3 et f. A, p. 5. ~
- iü .. S'. La lie¤ delayluu glîmde épaineur erbdéplad. et selon le dagré de déviation, il eat transporü aoua les oxoclxetx ct même .en avant , c‘cat-a»diue à Pextrémité pueldriuure dela lunula, fig, .3, ii, 7, pl. 3; fig. 5, pl. ii; lig, L Ã. P! 5. (Inn. Lu Eg. J, pl. 4 et Eg, 6, pl.6•ont mauviius ai manquent d’enc1itude). 1`ela auut lu tmia ~ raetànzx infailliblea des déviaüon:. Dèaque l’un re présenta, les unuu sinreut inévitable- ment; niaix il y a auoore d'auti-en aonréqnanmi da la déviation qu'il n`ent par puuihle de déterminer L priori, et qui n'en sont pas toujours et infailliblamaut la mn. ulqueuer; ceux que nous venoua de voir sont positifs; des qu’nna coquille prérente une lunule élargie, on peut aliirmar hardiment qu`eIle ert déformée, et l‘on voit aun- eitbt que les ameiiata aout euarleaai obliquae, et que le lieu de la pluogrmde épaisseur sa porte en avant du eornalvt. Lex aigues qui vont suivra ne sont que des consequences; rnaia na peuvent, I eux aeulx, indiquer une délomiation, puinqu'ila ae rencontrent dam l’étet normal d'un gnnd nombre d'¤ape¤ee. Deus lee individu: déformée, le bord hual devient si- nueux fil étoit droit , éohancré Nil était iimplement aiuueux dan: l'ét.at normal; la bord dorsal, à partir des crochetx, aa oourhe considérablement et l'angI• prudem- ,dornl diaparxît pruque complètement; de manière que plua la déviation en profonde , plux la coquille tend i farroudir ou à eevmiter, et il arrive pour les eoquiilaa allongàs ce qui arriverait xi ou pouwit. en en xuiaiaaant lu deux axtninaitla, la faire plier par la miliau. Enfin, _ comme dernière eondquanoe da ne ploiamant , la diamètre tranrvenal tend i sa ruoeourcir, tandie que le . diamètre longitudinal land i fullouger dans La même proportion. Signer intérieurs de la déviation. Tous la dguea internes de Ln déviation , quoique la
eoaeéqlenee rigonreuae dusignea utériellrn. ne peuvent, par leur inspection seule, donner ni la certitude, ni même la oouoaisaauce de la déviation; ils ne peuvent être aperçus que parla comparaison avee des individus) forme normale. Nous allons les examiner en detail. . Nous avous vu que le dus de la coquille s'•¤t vnûté considérablement; il eu résulte, h Piuterieur, que tout le syrienne dentaire a suivi un déplacement analogue. Ainsi, dans lu coquille: où les dent: curdinalea et laté nlee sont disposée: presque sur une même ligne droite, comme eluagulule, dg, 5, pl. 0, cette ligne droite ne courbe et forme un arc de eemle plus nu moins prononce; dans lu coquilles où le système est déja dispose relou une courbe, cette courbe augmente eiugu].ièremeuL·Ce déplaeement extraordinaire, que l‘0n peut se Iigurer au comparant les l, pl. 1 avec (ig, i, 2, pl. 2, et lip 6, pl· 3; et fig, Ã, 5, pl 6 avec fig, 5, pl. Ã, en amine d'autres. 1*. Dents oovdiuelnt Lu deux tubercules qui les ` forment dans les espèces à dente coniques changent de plane; dun! l'ê!at normal, ils sont disposée l1ori¤o¤tale« ment l'uu i côté de l`autre, de manière que l‘uu eat ve- ritahlemnnl antériaur et l’autre postérieur; dans lea indi- vidus deviéale tuhareule qui est en arrière tend a de- venir et devient , en effet, superieur, taudis que le tu- l>ercu.Iesituéeuavantdevientv&·itablementin(évieur;•xei en une consequence dela vuuamre dn système dentaire. · 2*. Lann: hrrlinula, L’espaoe interdeutnire que je nomme lame mrdinale supporte, dana l‘etat de déviation, prnque toute la courbure de la charnière. Dans Pétat normal, cette lama s'nnit. par uuz courbe admieie avec ler dentslatéhlea, tandis qu‘elIe ferme un angle rentrant tree- prononcé en se réunissant avec les dent.1 eardiuales Ce un-aetère est patliognnmonique pour les espèces I dcuts Enelfat, obezlea eepèceiqui, dan1l'etat nurmal,ont une
chernière arqude , l`¤n;le rentrant se trouve tonjnnr-ri I'rrnion de I.: dent latérale avec le lame cerdinule. Aini. i voir une vulve de l`Uni¤ rvbhlmgane, il ert facile de savoir-, aprinri, ri elle ert déviée on non eté par corne quent la cnurhurede lr charnière eet normale. Or, comme dsnr la htregau In rencontre de ls lnnre c¤r·dinale avec le dent latérale se hit L ongle obtua et que l'nnion de cette lunie avec ln dent nnrdinnle s lieu per une courbe, on doit conclure que l’e1pèce crt bonne , tsndix que ri c’etait le déviation d'unc entre erpène, l'engle ee trouverait porté en nvnnt. Danr lee erpècer À charnière droite ou presque dmile, cette disposition rr'ut pu sensible, quant A l`élat nor1n•.l. 3*. Le tubercnle poetérieur de la drntcudineh,devmu rnpérienr en même temps qn’il n fait un mouvement dt hercule de beeen hsut. (crt nuari déplacé dans le rene ls- t»énl,dc nnnière qu`au lieu de correspondre directement avec lea cmclretr, dut-à-dire d’ëtre placé immédiatement en deaeona comme dnml‘ét¤t nornml, il crt reculé lle telle none que c'e¤t le tulzerenle sntérieur qui est venu ne placer uvnr lee tomnrelx. :1*. ha druk lullreke •'s¤·oplrient toujours plus nn moine; la Iimrre qui en eépore ln lnmer lablitère peuvent. Drnr ler espèce: à dentxlnmellennula voûte du ayelème exinte toujours, mrie le déplacement dcr dente est mnim sensible etnane importance; d’nilIen¤. il ne fait drm: un une diiïérenl. Dem l‘étnt normal , ler deux dente ront rnperpoaéu; elles tendent t re rsnser mr une meme ligne ulroitc dune Yétat de déviationt EP. Lee irnpruriona nrurcnloiru ont srrsri changé de place et il est facile , en examinant celle de ln chsnrlrre postérieurs. de voir que les ligne: qui ln sillonnent tendent à ne redresser et à quitter leur poxition oblique ou horimntele pour devenir perpendiculaires. G", La poxition et ls forme der nina changent, Dem ls dévietion, le sinus lnrgs ou poalérirur ne raccnurcit; il
- 357 — peut se reduire au tien de sa longueur, et de trex»ullongd qu’il étoit dans l'elst normal, devenir presque circulaire. lle inecouivtissement se fuit tout entier aux depens de lo partie snterieuue, de maniere qu’en même temps que le sinus large se mceourcit, le sinus dorsal .s‘a¤llonge d’oumnt. ll résulte de li que l'ungle du sinus qui cor- respond ou milieu de la dent latérale linit par se trouver presque ou nivcsu dc Yexlrernité postérieure de cette dent. On pourra done encore , por Yinspeclion seule du sinus large, décider si lo coquille est nonnule. En effet, si l`ao;_;le du sinus est en orriere de la moitié de ln lon- gueur de ln dent latérale, e'est un signe de déviation. , 7**. Le sinus dorsal ou sinus long eommrneeà l’ungle du sinus large et se termine sous les emeliets; xl êst étmit, souvent très-peu uppnrent , et n`est à considérer que dans so longueur. Plus eourt donsln coquille norrnole, il est plus long dans lo coquille déviée de toute lo quantite que s`cstrnecourei le sinus large. Ces ehsngelnons de rapports sont évidemment l'eD`et de lu courbure du système dentaire; cette courbure se hisanl uux dépens de ln lame euxxlinsle et de la dent lotérnle, celle·ci se trouve repoussée Fnrteunent vors lc hsut, cornprime les sinus et retréeit le sinus large dons une portion de sa longueur. 8% Le sinus antérieur existe à peine dnns ls coquille normale; il est extrêmement étroit et on lc reeonnnît seulement à une decolorotion superficielle; mois dans les individus deviens, il s'nppro€ondit considérablement et (étend sous les crochets pour recevoir l'insertion des nombreux feuillets epidermiques que nous avons observés à Iextérieur et qui remplissent la lunulc plus ou moins élargie, Telle est la serie des phénomènes offerts pur lu dévia- tion ches les [lnio. ' Elle peut sueeompsgner du rocbitjsme; et, dans ce cu, Yensemble du test est moins déformé qu’il ne devrait A3
—- 358 .. l‘é!re d‘apres l‘l*|at de la lunule. C'e•t ne que nou: ver- mnx plut tard. Comment ramener une coquille nüvik d em typo. Notre travail serait inoomplct , fil u’éIzit point poe- rible de ranxeneri leur type lea individu; dèviLs. Il ai dune néeusairo de ae créer une méthode qui rempliaae ce but. ll ne sulïit pus, en efet , de constater que telle coquille que You voui présente est déviéa; ai nos oon- ' uaiuanoer re bon-naient I cela, il faudrait rejeter lou; l¤ individu dévier, et ils sont en ai grand nombre dan: lea eolleclicur, qu’il faudrait en rejeter beaucoup. D‘ail» leurs . ai l’ét.at normal eat iutéruaant , je croia que l’état ’ de déviation ne l'ea\ paamoiua. ll ut donc néœauaire, dans une colleetiuu, de grouper autour du type tnulnr les forme: et tlzulea lex variatiuna poaaiblez c`r.it oe que nous alloui Ucber de laire. Toutes les [oi; que la lunule présentera Yélarginemeut anormal, ou devra piejuger la ilélormation et par consé- quent re mettre en garde contre ler [armes ofertes par la coquille. Cependant, ri eu même temps elle présente des œracllres bien traucbér de racbitisme, il pourra arriver que la forma générale mit peu déviée, et il een tier-facile, en neequenoe, de la rapporter h mn type. Maia r'il n‘y a poiut ile rrcbiliame. le tent est dévié en proportion de Félargiraemeut lunul. Alors il faudn, par la penaée, 4**, redresser le bord banal qui ext rinueux, Z'. iedreaxer le systeme dentaire qui est courbe, B'. allonger le diamètre tranrverre, et A'. raccourcir d’autanL la diamètre longitudinal; puis, en calculant fige de la w» quille, oula cornpareru à une espèce normale de meme taille et on arrivera , anna eEort , K determiner le type auquel elle appartient. Pour peu qu’on mit deuiualeur, le problême re réduira plus facilement eueore en tn- çaut, mr le papier, la forme que donnera la rédaction
— 359 — des parties} leur état nonnal, et l’on sera étonné, après un peu d`exercice, d'avoir tracé une figure en tout sem- blable au type que l‘on ne connaissait par d'al·mrd. V Lorsque par cette première épreuve on aura approché le plus possible du type, on fera la contre—épreuvc en dessinant d'ahnrd la figure marginale du type et en la réduisant L la fomie déviée. Pour cela, on rend sinueux par une courbe le bord basal, on ajoute su bord dorsal quantité i peu près égale, en ayanl win de faire avancer le sommet vers l`extrérnité antérieure; enfin, on allonge l'extrérnité postérieure d’une quantité L peu près égale; de cette maniere, on obtient une Egure qui se rapproche beaucoup de celle de la coquille déviée· Ainsi encore, pour les coquilles dont les déviations ne sont point connues , on peut, avec les types, deviner la forme possible de leur déviation. En examinant lcs tracés, il est facile de saisir, d’un coup—d'o:il , le mode de formation de la déviation. Il est évident que e'est en se pliant en deux, de manièrc a rapprocher inférieurernent les deux extrémités, que l'o. pération se fait. Nous le répétons, il serait possible de produire tous lu degrés de déviation cn prenant une coquille parler deux extrémités ct en cherchant à rap. proclier de force les deux extrémités inférieuremcnt, en supposant que la matiere de la coquille fut asser nmlle pour sa laisser petrir. On conçoit, du rcste, que ceci u‘est pas rigoureusement mathématique et que quelquefois la coquille a gagne en hauteur, c’ert·a-dire que ln voussnrc du dos ert plus grande que Yéclmncrure de la sinuosité basale. llans les déviations peu avancées, il y u aussi d’assez uornhreusex variations dans les rapports, mais l‘es.rentiel est de bien connaître les de'viatious profondes; quant aux autres, la _ simple comparaison suffit pour faire mconnaitxc ie typc. Notre méthode n'est utile que dans le cas oula déviation est telle que les caracteres du type sont perdus. I
— 360 — Pour plua de clarté, nous allons donner ici l'exempln du procédé graphique : soient les fig. A, B, C, D, pl. vu et vin; fig. 4, 2 et 3, représentant les contours de l'une du valvu du coquilles diviin. appartenant : Eg. 1 au nsterguilifen, Lin.; lig. 2,ou nutrala, lllielz.;Eg· 3, un vruuhaùus, Fer ;soua la ligne courbe ll tirom une droite qui fasse disparaître la courbure du bord basal , nous ajouterons ainsi, i ln hauteur sle la coquille, tout l`espaoe oompris entre H, B; enlevons une languette 3 peu puis semblable en épaiueur au sommet, en traeant la ligne F; puis uniseons ees deux lignes H, F, par une courbe, œ qui prolonge d'une quantité egale Yextrémité postérieure de la coquille, nous nlztieudmnsla ligure C, H, F, D. qui ne uen rien autre chose que la figure normale A laquelle devra être rapportée la déviation. La déviation a alone ses règles üxes et H peu près in- vnriablra, règles telles, qu’elles font reconnaître A'. de prime à bord que la coquille xounuixe a Pobservntion est déviée, 2*. quel est le degré de cette déviation, 3·. ï quel type doit être rapportée la coquille déviée, A·. en- lin quelle fovnte une coquille nnrntule douuée pourrait revêtir, si elle était soumise L lu déviation. Applùsaiion de la mdlltvde de reduction mr deux coquille: recemment publtler. Convaineu depuis long - temps que le nombre des espècu «l‘llnio est trop g-rand, je cliemlsai Et gmuper autour d'un type tout ce qui. me paraissant s'en écarter, pouvait cependant y être ramené par un examen attentif. Mais le delhut ile caractères positifs rendait ce tnvnil rlitïîeile. Descimoustances favorables me permirent de recueillir un neroln-e asser. considérable d'individus de deux espèees liien distinctes l’une ile l‘uutre. Je ne tardai pas ài ne- marquer, uu milieu de ces éehantillons, des individus
— 361 —· · qui, quoique bien certainement de même espece, sïloi- gnaient beaucoup du type par leur fornre. Ms première pensée lut d’en faire des variétés; et desrlors je me proposal de publier une nrrtice pour denrontrer à com- bien de variations une seule espèce était sujette et faire comprendre . par la , eamlrien il faut être réservé dans la création de nouvelles espèces, ete. Mais en campsrant sans cesse, en remuant de mille manières mrs nonrbretrses coquilles, je rn'apzreus bientôt que tout ce qui (excepté le cas de maladie) féloigneit d’ane forme, la plus commune et la plus pure, rerétolt der caractères particuliers. et je déeanvris le premier rigne de la déviation , I'éIargissement de la lunule; mis ainsi sur la voie, je trouvai bientôt la corrélation de tous les elrangemens opérés par la déviation. Des ce rnoment, fécrivisà M. Ch. Des Moulins que la coquille qu’il avait decrite et ligurée sous le nom de urichnudiane, pourrait bien être un indivitlu nralarle; cette préstnnption était appuyée sur Mlargisuemerit de la lrrnule. Ceperrdarrt. il resurit un point fort olrseura éclaircir; car dans Pliypotlièse d'une déviation. je me trrruvai fort embarrassé de la lame latérale sur-ajoutée is la clraraière Ceci, il (aut le dire, etait une grave dillieulté; rnais le hasard se cbargea de la vaincre 1 un jour on m’appor·ta un Urrio qui présentait les mêmes caractères, non pas sur la dent latérale, mais sur les dents cerdinales. Je pus alors, en Lorrte sécurité, dr!crire de loin, i lll. Des Mou- lins, sa propre coquille et al`lirrncr que détait un individu malade. Depuis, cet excellent ami a ennfirrné toutes mer suppositions, en ayant l'erttrêrne obligearrce de me oom- muaiquer son rrsielsaudianu et en se mngeant pleinement îr mon avis. Pendant ce temps, M. Bouchard publiait son arcuule. Sur la figure et sur la description, il mc lut aisé de voir que e'etait encore une coquille dévidc ; et un échantillon
cnvoyé par l‘au|.eur à M, Des Moulins et que j’ai encore sans les yeux, m’a démontré que j'avair deviné (Fest d'rpxes ces épreuvu, que je crois mon système établi sur des bases solides et capable de guider dans la dédale inoui des espèces d‘Unio. Ainsi que nous l'svons déil dit, l'l/nia môchwdimaa u'cst point u c espèce nouvelle; il s'sgit de démontrer que c’est une coquille malade et déviée tout} la fois, et qu‘ellz peut être rapportée à un type déja connu. Uinspection del’iuterieur du testfaitvoir quedanstonle la moitié du bord de lo chambre antérieure le bourrelet nacré a atteint le uivnu de la couche épidermique, que dans le resle de l’é!cndue ce lrourrelet eat près d'y ar- river; cet individu est done adulte ou très-près de l’être. M. Ch. Dex Moulin: m’n communiqué, avec Pécbau- Lillon sui- lcqucl il n établi son miuloudiom , un autre indiiidu qui vient de Fresnes (Meuse), qu‘il regarde, . avec raison, comme le ienne émt du premier. Qci est confirmé par lei cnradlères olïertr par le test et par la place du bourrelet périslomal. Les deux caractères principaux de In déviation r’y trouvent : un élargisement considérable dela lunule, et la ligne de plus gronde épaisseur placée sous les natiœa, de manière qu`} cet emlmit il y a une sorte de méplat. Msi: malgré Félnrgissement assez considérable de la lunule, les conséquences éloignées de cette déformation sont peu prononcées. Ainsi, le dos est peu vuûté, les dents curdinales, qui tiennent le milieu entre lueoniquei et les lamellcusei, n'ont point changé de poritionhle bord bassl est a peine sinueux; il n'y a donc, pour la ramener su type, que pen ou point de modification à lui faire subir dans sa forma. Cette anomalie doit être attribué: su racliitisuie dont
cette coquille ut profondement atteinte, le lut lui. méme en présenta plusieurs tracer, rurtuut ven le fond; maia oe qui eat surtout remarquable, c’e•t l'état de la charnière, un procunis du ligament ducend le long du sinua dorsal en bnrdant la lame eardinale; rnaia à la ren· contre de la dent latérale , il divine la lame interne de ceI.lc«:ien deux feuilletadans honte salonguenr et finrîuue profondément dans cette rigole qu’il s’es·t creusée. Il réaulnr, de ll, que la dent latérale semble exirler comme L Fordinaire, mais détachée dela lame nardinale par la matière ligamenlense, et que la lame cardinale aamhle envoyer le long de la dent latérale un prolongement qui se aurajoule au système de la charnière. Ainii, de même que le caractère tiré de la ln.nule comme rpéciâque n'avait aucune valeur-, de même le eanctère tiré de la charnière ne vant abaulnment rien; il [aut donc en faire alidraetion pour ramener cette co- qnillei son type. Ddplors, ri nous la rapprochona de la figure du Iunaidua de Pieider et si nous cuvrigenns, par la pensée, les légère: déformation: suhiea, nous ne tmuvemns plua qu’un¤ dilïérenoe ile taille, et rîen ne nous empêche de rapporter cette coquille au tumôdru. Qtte différence de taille ne peut nous arréter, car il est punihle q·u‘nn auteur décrire des coquilles dans leur jeune émt. Deci, soit dit en paarnnt, e dû produire plu. sieurs mauvaisea espèces, Ainri, il est évident, pour moi, que oe que P£ei&`er décrit roux le noni dülenguhlu est unjenne état. Cornrne nous le verrons plus tard, il y 1 certainea especes, en effet, qui ne semblent venir L Yétat adulteqnelnrt lard; sur plusieurs centaines dhlongolulœ, je n‘ai qu’un individu quiaoit odulte ou à peu près. C‘eat donc par hasard que je le pouède, et il eut pu se faire que le même hanrd ne rn’eût janinia procuré que de ienne: coquilles, surtout ai je nfétaia contenté de ne- faire ramasser qu`nn très-petit nombre d‘individna,
Le petitnichmulionu eomrmûviqné par M. Den Moulins rnsemble au premier; il n de largeur (l,0&5, de lxauleur 0,Uû2, d’épaia¤enr \'l,û30. Il se rapproche davantage de la forme normale.Quoique dévié encore, il neon exlrémilé poalérieure plua amineie et plus elülée. Ceci doit ètre, ei l'ou compare la lunule des deux coquilles. celle de ln petite étant bien moins déformée que nelle de Ia grande; par une coincidence singulière, cette coquille présente auaai des tnozs de rachilixme. Sur ln valve excipiente, un voit une mince larncde matière ligamenteuae qui, longeant la lame oerdinale, en venue diviser le tuhereule postérieur de la dent eardinale et passer soun le tulzereule antérieur. Si Yon n’était oonvaiucu déjà que cette espèce appnn tient au tuenidu, eet échantillon le prouvernit complèw- ment. ll est identique, en elïet, avec un individu du lmnidua nuaui dévié et étiqueté par M. Michaud; mais il n’ett point earié , ce qui fait que la charnière ut un peu axquée et que ln coquille est moins elîilée. Enfin, il n’¢st par sans intérêt de dire que M. De: Moulina m'a écrit que Férusaxnc, qui conuaimait le miekoudionu, était porte Ãx le considérer comme un tunidw. M.«ioten.mI, il nous suffira d'exarniner l'uni¤ mruuuto, pour que lïupplieatiau de notre système soit comprise. Pour cela, nous uous servirons de l'excel.lente desoriplion de M. Bouchard, de la ligure qu'il a donnée dans son ou. vrnge, et enlin d`uu individu que M. Dex Monlinaa bien voulu me communiquer. La description faite par M. llouclmrd est parfnite et ln iignre est inutile pour deviner de suite qu'il avait al`l`aire _ à une coquille déviée; il y n même plus, eet habile nntn- ralistn a eu soin d’insistcr en de souligner les caractères les plus anillans, et ne sont justement ceux de la dévia- tion : « énorme Iunulr en [arms dv lu¤¤1•g¤,qwimnms»c«
- 565 —- u un arriàw du oraeliula nt sa temoin: ri l’•:trJmitd du ·~ bord nnliru-dorx¤l,praf0nd£mant rameéa , alu., coran. ·· tères communs aven l`U1siu miuhmnlinrsu, dit l’auteur. . Ainsi, nous voyons apparaitre comme caractère le plus millant Yénorme luuule qui, pour nous, est le rigne de la déviation. ici, point de roclsitinme; nos règles doivent (appliquer exactement et nous devons trouver réunis tous les signes de la déviation, ninsi en est—il. M. Bouchard dit lui-même c « cruulnlr tri:-npueér, clusnsiôm orques, bord bam! riasuaur, ·» toutes oonsé· queuces uécesmires de la déviation. Eniirr, nomme s‘il avait i cœur de completer cet ensemble , l`auteur prend ln plus grande lpnsiurur au-deuur du cmuhn , et la Egure, «l'ailleus·s, montre que c'est en cet endroit qu'on doit la trouver. Nous ajouterons à cela la longueur extrême du sinus longitudinal ou dormi, ln lsrièveté du sinus large et sa , position au tiers postérieur de ln dent latérale, redresse- ment de Pimprension musculaire postérieure: enrueliams dâlainséspar l’uu|eur, mais qui confirment notre suppo- sition, et qu'il est facile rl'aille¤r·.x de constater sur l'ex— wellenle Egure ilonnéc par M. Bouchard (4). Ainsi, il ne reste plus de doute sur la déviation; elle est complète et régulière, s‘il est possible de parler ainsi. Il ut donc evident que ce n'esl. point une espèce, mais une forme qui n un type vzrs lequel, d’après mon prin~ dye, il ut possible de la ramener. Prenons, pour cela, la liguœ de lu vslve intranle de I. Bouchard, pl. 5, Hg. 5, et pl. 7, lig. 1, et tmçone-en seulement les contours, puis traçons une droite ou une de démonstration; dtuilleurs, ai nous nous rervions de la coquille
ligue légèrement courbe xurlm sinnmilai baule. puit sur le du faiauns une opénüon oonh-sire , unlevuns une languette d'une largeur i peu prix égale depui: l‘extr€· min! postérieure du ligament jueque vers le milieu de la Iunnle, enfin ajoutons L Yextrémilé podlérieure une hende arquée, eülée aux deux extrémités et venant d'un ché atteindre la bande reinnchée snpérieuxemcnt et sioutée inférienremsnl : nous ubliendmns ainsi une Bgnre idhln A, H, F, D. Appliqunns sur cette Egure la valve d’un uIs»gs¢«l•(ru•¢nsla Miehsud),et nunsverrous qne les lignes se confondent i peu de chose près avec les hords marginaux de cette valve, ll y 1 donc une gnude prohehilité dej} que mu deux espèue n’cu font Ln présomption deviendra certitude, si par ls pensée nous mdrrpunx la charnière et la rendons rectiligne et si nous nwunrnzinom le sinus dorsal et nllongaons le xinm lange eu le fniaant avancer juaqnïn milieu de la dent latérale; umu aurons alon wu: les caracteres du rachats; enûn, il ne reaters plus qu’i reparler le point de plus grande épeinseur derrière les crocluuh et rendre la lunule linéaire pour avuir reconstruit el rétabli, dans son état normal, une coquille qui s’en était considéra- blement éurlec. Nous ajouterons que nom nvuni trnuvê parmi nos nombreux écbantilluua d'•K¤••gutuKs, des individus déviés i des degrés didérena, main pas autant que l’M-ouais, qui fait pasngu entre cette coquille et notre slanyohlu. Et enfin il est hon de remarquer que M. Buuchsrd a fait ls découverte de sa coquille parmi des slangulull; en envoysntsou nntrata i M, Des Moulins, il (exprime ainsi : « Voua trouverez dane cette boite ..... deux indivi- · dus d'une upàco nouvelle que M. Michaud doil décrire » wusle nom d‘sro¤s¤l¤; cette espèce ut très-rare dans · l’Aa, ou feu ai trouvé une domaine sur plus de • rix vente autres (le rostralu Michaud).
— 367 — Ces principes et leur applimtion sont, on le voit, Lrds- fwiles quand la déviation est régulière; malheureusement il n'en est pas toujours ainsi, et alors je ne connais pas de meilleur guide que l'aualogie. Ainsi l‘on voit pl. 6, Eg. LZ de ce travail, un I/win lillonslis dévié; mais outre cette déviation, le lut ut profondement malade et la partie postérieure du dos surtout est rongée , excessive- ment ornincie et l‘intérieur de la coquille qui y correz- pond est fort exoevé; euân , l'une des valves présente des traces de la maladie perlière. ll n’ut pas posvihls de soumettre cet échantillon aux règle: ordinaires pour le rétablir. Il faudrait , en elfe! , allonger beaucoup Pextrùnité postérieure et diminuer la hauteur pour le nrnoner H la forme des coquilles congénères trouvées en même temps dans I’éLang d’Aureillnc, psùla teste de Buch (landes). Notre méthode n‘est donc pas applicable dans tontes les circonstnnœl; elle ne l’est que quand la déviation est exempte de tout état maladif. Quand dle se joint au saehitisrne, ellepsraît alfecter benuooup moins les formes, et il est encore facile de la ramener sn type; mais quand elle se joint à d‘autres maladies, il n’est guère possible de rien préciser, car alors il n‘y a plus de règle Gre et aucune théorie ne peut être établie sur des accidens. Ds n‘est donc pas une méthode générale que nous donnons; nous ne pensons pas non plus que notre tra- vail rende la détermination des llnio heaucoup plus huile, mais nous croyons avoir appelé Fattoutioo sur deux sources d’erreui-.s : le oonniissance de l’lge de ou ooqnilles et les singuliers changemens de forme que nous appelons déviations, changunens qui alfectmt une régm larité qui u’est pas sans interet pour l'étude. Maintenant nous allons poaaer E ln description de quelques espèces d’I.\nio, en indiquant tout ce que nous nvous de leurs variétés et de leurs formes. Nous nous oocnpcrons surtout de deux espèces qui vivent dans la
Somme, comme étant celles que nous avons étét même de mieux étudier. Maia avant d'easayer une description, il est nécessaire de faire oonnultre les nouvelles expressions que j’ai été obligé d’employer pour exprimer des caractères qui jusqu'alors out été délaissés. On a vu, danslu première partie de ce trevrril, com- . bien lu descriptions basées sur l’état de Pépiderme, du sommets. sur la forme extérieure. sont loin d'atieindre le but que doit se proposer tout nomenclateur. Tai donc cherché dans l'irrtérieur du tut des caractère: qui, par leur absence ou leur présence et par leur wm- birraiaon, offriront, je l'espère, plus de fixibé, en présen- tant une valeur réelle au point de vue de la spécificité, Je divise la charnière err deux systèmes: le système dentaire et le système ligarnentaire, Dans le premier, rentrent les dents earilinales séparées par une priés et les dents latérales divisées par une fasurs sur la valve excipiante et simples sur la valve intrante. .'I'ap- pelle npaca iatsrdanlaira ou lame cardinal: la par-tinn osseuse qui sépare les deux espèces de dents; enân lu deux feuillets de la dent latérale sont distingués eu lame latérale supérieure et inférieure. Le système ligamcntaire présente le ligament ou grand ligament et le petit ligament place antérieurement err avant des crochets .l‘sppelle sinus antdrisur nu luna! la lisaure qui sépare les feuillets épiderrniques de la lu- nule dela base desdents eardinalcI;—•imu lang ou dorsah l’cspace qui sépare le ligament de la lame czrdinale et de la larne latérale supérieure, depui: la hauteur des cro- ehets jnrqu'au sinus lar·ge;—s€mu Iavgs on postérieur, l'espace qui s‘é¤end du bord de la coquille à la dent latérale: ca sinus est en quelque sorte la prolongation du siurn long, comme ce dernier est la suite du sinus antérieur, mais le sinus large forme toujours une exca- vation plus ou moins large, presque toujours distincte
— 369 — cher. boutevles coquilles, tandis que les autres ninus a‘o— lzlitèrent souvent complètement. · Uintérieur du test est divisé par une élévation sinuee qui descend de dessous lee crochets et vn se perdre vm Yimpresaion pulénle: je nomme cette élévation crête vuitrale; la partie du tut située en avant de la crète vantrule ut nommée chambre antérieure; elle présente d'arant en arrière l'impression musculaire untérieuie, xupérieurement et en arrière la [one, intérieurement et en arrière la foanlln le Loud de la cliamhre antérieure ext appelé péristoméal, c'est lh que se trouve le hourrelet indicateur de l'âge et que pour cette raison nous avons nommé bourrelet péristoinéal. La ehomlire postérieure presente le sillon donul , · espèce de iisxure ienuplacee quelquefois par une tree- légère crête qui descend de la uaisanee de la crête ven- tralc et vo se perdre sur le test, enlin l`impreesion vaue~ solaire postérieure et sn foasette. Quant K La position de la eoqnille et aux formes, nous avons adopté les dénominations ilonnécn par Férusnc. Enün, nous continuons à donner les dimensions de ln coquille, les regardant véritablement importantes, m.nin» tenant qu'il est possible de savoir si l‘on o affaire A un individu jeune ou ndulte, Umo cnssissuma. Férunae, tom. |, Eg, l, 2, 3. (1. î . Des Maul., eat. de Lu Gir , Hull. Soc. Lin. l3orrl.,tom.'l. p. A1. È nmrgoritijiro, Dr.np,, liist. moll., p. H1, pl. x, li;. 8, IG (non Lin), _ _. î-- Minh., Compil ï morgoritiprur, Nilroon , hist, mol]. suec, , p. 103, n·. L ï. ainuala, Lam., hist. anim. nana vert, vi. 1, p. 7D, n', 4. . ï î Pl`eill'ex·,2, p. 33, tabl vu. ligr G. tyran-ne (rm. i..·.·» ·.¤n·ane; on munie au min
·- 370 — obloug, très-épais; bord basal droit ou légèrement si- nueux; do: un peu muté; natieea dépriméea; système dentaire un peu arqué, dents cardinnles épaisses, coni- ques; ainua postérieur long de un pouee et dont l'extré» mité antérieure eurrespondllamoitié de la dent latérale et Pextrémité postérieure la dépasse de trois ou quatre lignes. lmprvsiou muaeulaire antérieure large, profonde, ruguenae dans la moitié postérieure da ron étendue en avant des dents cardinalee et lea anrinantant, échancrée et eomrne réniforrne; (oise inrlislincte confondue avec Pimprenion, fossette située poxtérieurernent et iulérieu- rement vera le milieu de Fimpression, séparée d'elle par une crete, profondément eaœvée supérieure ent, deve- nant supedicielle inférieurernent, de forme nvalaire; chambre antérieure onduleuse, inégale; en arriere de la foasette re voit un tubercule auperâeiel pyramirlal et pa- 4 raissant être la racine de la dent cardinale; clrumhre poatérieure concave, lisse et non onduleuse; crete ven- trale très-forte, courbé:. en S, tréœallongée , presque droite, oblique, se perdant vers firnpresrion paléale. Sillon dorsal \rès~sensible, commençant à l‘origine de la crête, descendant obliquemeut; se eourlraut vers l'im- preasion mureulaire pour aller a’_y confondre vera le milieu de sa longueur. lmpruaiuumusculairepostérieureovale.pl\ngr:mdeque Pantérieure, superficielle, xi ce n‘est aupérieurement sous Peatrémité postérieure de la lame latérale inférieure; atrier taèemerquéca dans toute la longueur, ohliquee, Fosse postérieure séparée de l’impression par une petite crete cochée rou: Yangle de lu dent latérale, grande, tree-profondément exeavée et divisée en portion portero- ovale, tronquée antérieurement, ayant Yaspect de Vim- preasion musculaire; et la portion postérieure parfaite- meut line, triangulaire et re terminant en avant par un aillon profond et court,
— 571 — Longueur 0,430*. I 0,M|l.—Hauteur 0,068 à l),t772·— Epaisseur 0.030 i Mae. Commejelsi dit, je possède nn grand nombre d‘in.. dividus de cette espèce; lee dimensions qui préoèdent sont selles d‘un échantillon à peu près adulte. Voici msinteuant celles du plus petit de ma oollœtiun: Longueur 0,057.—l·lauteur 0,032.—Épairseus· 0,020. Ilépiderrue est verdâtœ rm- les notices, vert-noiràtre vers la buse. A cette époque, les Jeux tubercules de la dent cardinele sont enoore peu développés; oe n‘est que plus Inrd et rm- des individus plus avancés en Age, que eu deux tubercules deviennent parfaitement distincts; dans le jeune ige, ls coquille est plus lerge en arrière qu’en nvsnt, de msnière A simuler uu peu l’l/nia lillo- rulir; plus tard, c'est le contraire, la perlie postérieure se rétréoit, felllle et devient bien moins large que l`sn. térieure. Ces dilïérenou, produites par lign, sont essen importantes pour qn'on puisse, dans eertsins cas, être ` indécis. Notre coquille est»elIe bien celle que M, de Férnssac a nommée uronissi«snF J'¤vsnce que j`en doute; et si l‘on oompere ls ti;. 6, pl. 4, à lu Sg, 1**,, !·`, C., H, D, qui 7 représente le veritable oruuininus, on pourra partager ce doute, Mais ccpeudsnl comme ces deux coquilles ne didèrent en réalité que por leurs contours et que lor sutres css-ee— Ière: sont ideutiquement les memes, je ne puis voir lh qu’uue vsriété. Notre onzraisrimo serait une variété L coquille plus oourtc et plus haute, tiubile ls Somme et n'a encore été pecbée que dans le coursdecette rivière qui traverse lu ville; en deçh et su del), je ne sucbe point qu‘on en ait trouvé un seul in- dividu, Au reste , l'exi1\euce de nette ooquille énit complètement ignorée uvant qu‘on 'eut entrepris de cnrer lu rivière; dent dans le premier curage opéré vers IBN-36 que M, Bcillon et moi avons pu en recueillir V , 0
- 371 » environ une cinquontaine d’individus. Depuis nette époque, les nouveaux eurages n`ont rien amené: il est à craindre que cette lrelle espèee ne soit. detrnite. Hlnlaiteut de cette coquille est. extrêmement remar- quable; le cours de la riviere, l son passage dans la ville, est nèerapide; le land, au lieu d‘être composé de gra- vier, se trouvait formé par une immense quantite de tenons de poterie, de frngmens de maçonnerie, de pierres mulees, cte. Un pareil séjour était propre h produire des pcrturhalions frequenus dans le développement de notre Unia. Aussi la forme normale est la plus rare. Iluc grande panic de ees coquilles étaient déviees. Hmm donnons plusieurs degrés de cette déviation dam les planches 2, 3 et A; la plus remarquable de toutes mt. sans eontiediz celle qui est représentée l·ig· 6 et 7, pl. 5; le test est pœsque iu·ron«li, Lint il est neeourei et hunt le dor est voute. La (ig. 3, pl. vm, représente la réduc— · tion par le procédé graphique de Yindividu devie, pl.t1, [ig. I". Nour nvons vu dejà Tl/nia tumido présenter un cas dc ruclrilisure lort eurieux. Notre oraniuinus nous en olZi·e uu semblable dans la pl. iv. On voit , en elîet , le matiere liganienteuse former un processus qui divise en deux parties le système dentaire, à partir de l’angle antém-dorsal jusque sur ln lame cardinale , du maniere qu’an premier aspect on eroirait voir quatre tubercules à la dent cardinnlc; cetjndivirlu présente également les cnrnelèru d‘une déviation nesee avancée. Unxo lnorœwrun, Pieilïer, n, p. 3, t. vin, Sg. 5, 6. (Junior). -T— roumain, Mi¤h·, oompll (pro parte). — ·i (non Ffeif., non Larnr, non Stud.) — rortmto, Lam. (pro perle). — i Ver, ai lutrrcrnr (Iypur). — ·—-— Ver. la fuuo ouruleroma. —- omralo, Bouchard ldeoiatiu).
-· 373 - ttpaan-me inne ou jaunltre ann 1e jeune s;e,re1a· curciasant plus tard et passant souvent au brunâtre on au brun verdàtre. Coquille très·mince, d’une égale épaisseur parwut dans le jeune âge; ee n’est que quand elle s atteint en- viron 0,0555 que Pépaississement commence a se faire sentir. (Test par la partie antérieure et inférieure de la chambre antérieure que se fait cet épriscisaernent, L’œil distingue facilement la partie épnissie I sa couleur d‘un blanc rnat qui tranehe sur le reste du test, qui conserve un reflet nacré semblable a celui des snoelonter. La fnrme de la eoqnille est Ãwblonguc, aIlongee,les hards dorsal et basul droits, rectilignes et presque parallèles, le bord antérieur arrondi, le postero-lzasal et le portero- supérieur se réunissent pour former un angle mousre; ventrue som et derrière les natices, elle s'aniineit asm rapidement et est comprimée fortement en arriere; sommets portant deux rangées da tubercules. Charuière droite, pusque rectiligne; slent cardinale simple, quelquefois mais rarement lsilide , soit sur une seule, soit sur les deux valves larges, rninees, striées fi— nement; lame cardinale excessivement rninee et étmite, presqukntièrement oblitérée; rlent latérale tresnuince, < larnelleuse; sinus antérieur- étroit, allongé, le plus apparent de tons; sinus postérieur tres»etroit, pmsqub. hliséré, plus visible rus· la valve intranle que sur l'exci- piente, commençant un peu en arrière de la moitié de la dent latérale. » Crête ventrsle nulle; les deux chambres ne sont dis- tinctes que par la dillérence de leur épaisseur; elrumlsre antérieure limitée obliquernent en arrière et attdgnant presque le tiers posterieur du bord basol. Impressions musculaire antérieure parfaitement limitée en arrière par une crête qui la sépare de la losse et de la fnssette, se confondent cn avant avec le reste du test, présentant sler stries concentriques superûcielles; fosse ·4
-- 37Ã — petite, étroite, plus ou moins arrondie et très-profonde; fouette vaguement triangulaire, bien li· mitee quoique assez superûcielle. Chambre postérieure L tut mince, lsimant facilement voir les striu dnocroinement; irnpresuou musculaire postérieure excessivement superficielle et seulement dir. tincte par la dilïérence de coloration, arrondie, sans atries appréciables; fossette toute aussi rupsrlicizlle et réunie L l‘impreasinn musculaire par un étranglement. Sillon dorsal changé en une crete exoesvivementetioite, supeaiicielle, purtsnt de la naissance de la dent latérale etae dirigeant vers Yimpression musculaire postérieure, souvent elle eat complétement indiatinete avant d’y sn-iver. Dimension d‘un individu presque adulte, pl. vi,ûg. 5, 6: Longueur 0,l0ll•.—Hauteur 0,\`|A‘1.—Épaisaenr 0,032. Dimension du plus petit individu que je possède, pl. 5. lig. 3: ' Long. 0,025·.—Haut. 0,0lL-Épaiss. 0,008 lg!. Un voit que les proportions se sont conservées entre lea individus extrêmes; on peut en dire autant du in- iermédinires. - Les variations psoduites par lïlge sont peu importantes. Néanmoins il faut remarquer que le bord banl dans le jeunc âge présente une courbure convexe; plus tard, ce bord se redresse, devient rectiligne et souvent légèrement sinneux. · Habite la Somme et plusieurs de ses stilnenta, depuis Amiens Long: il est rare de lu rencontrer ven Abbeville. La pature des eaux le fait varier laeanooup pour la couleur épidernuique. J'ai reçu de M. Holamlre un indi- vidu dont la nacre ext colorée cn jaune orangé. On en trouve de semblables dans la Somme. Nous ne reviendrons pas sur Pirlentite de notre espèce avec l'(/nio orcaotu B., nous dirons seulement: que lon
- 375 - trouve tous les passages poauihlu entre la plua légère xllélatinu de ferme et cette prufunrle déviation. Le vyuonymie de cette eepèoe eet nomme celle de presque tonelex Uwiu , d’une grande diüeullé et pas;. hlement emhrouillée. Nouv croyons que M, Michaud n': pu pen contribué Ã augmenter Pnlncm-ité; eu elfel, il a dunné E cette coquille le nom de mntnzlu, qui ne lui convient réellement pu, pui.1qu'il en fait le nnlrnlu de Lamark; or, le nnlvuhs Lam, n‘e.1t rien autre chosn que le hwidm de Ziegler, le même ennuie que le nutmlu Pl`eid`¤r 1, tah. v, fig. 8» Cette syunuymiu pourrait être établie ainai : 4. Unia ulmgelula, comme deuux. 1. Unia nufrotn, Stnder, Pfeilïer, Lem. (pro pente). .·- huwidn, Mich. (pra parte). 3. Unia hmnidn, Nilamn , Pfeiler , Mich. (junior et — «.·«:«·¢.», Llmm (pm pend?) (i··..i«.-). .... sninluaudianu, Ch. Dee M. (major et deformiej. BXPLICATIBII DES PLANCHES. l T'. l·. Unia cnunùsins de ln rivière de Somme (éta! normal). Fig. 1, vu par le dus. · 2, jeune individu. 3, individu plus Agé. Ã, individu à peu près adulte. llaaxavkrwu. Cette planche manque d’uactitude. La meilleure liguie eat lanecnude; la trniaième elhqua- lrième mnt xnrtnut fort inexactes mus le ruppni de la forme. Cette planche ut è refaire. Le dessinateur a voulu faire de la perspective. T•. H'. Unia onauiuima présentant la déviation. __ Fig. 4, premier degré. Fig. 1, deuxième degré. '
— 376 — T^. lll‘. suite de la précédente. Fig. 3, la coquille Hg. 1, t, ix, vue en deswru. h, la nuquille fig. 4, t. n, vue en dessu:. 5, la même, vue par le Ixortl banal. 6, dernier degré de déviation, 7, la même coquille, vue en dwus. T'. IV·. Unëa ¤r¤:•£n¢•w· dévié et attaqué de racliitiame. Fig. 1, toute la coquille et l’inlArieur de li wlve excipiente. 2, valvc inh-ante. ·-· AB dam les deux â- gm. indique le Pmœutu lipiriunlaire qui divise les dent: cardinalea. 3, la même coquille, vue par le dou. T', V'. Fig. I, 2, .1, Unia micluaudiuw, Du Moulins.- U. lumids, Pfzilî., Nilaa., (iléviée). Fig. A, 5, Unia arnuata, Buucliard.—U. ulunga- tula, Pfeilîcr, (dévié:). Fig. 1, U. adnhaudiam, vue parle dus, 2, id. valve emipieute. , 3, id. lnnula. · 1 li. U. urouala, vue par le dun. 5, id. valve exnipiente. T-. VP. Fig, 1, 2. [/ain litwralù, dévié et malade. Fig. 3, Ã, 5, 6, Univ •|uugM«Iu,furm¢ numnalv:. , Fig. l, U. Iirtnmlù, valve excipieuhe. l 2. id. vue parle du:. il. IJ. ulnngalula, valve inn-ante (jnuiar). A, id. id. plu: ig!. _ 5, id. id. adulte 6, id. vue par le dm, adnllew a (mauvaise et inexacte Egure). T'. VII', Union devi»£> réduila à leur forme nnrmale (prc· cédé graphique). Fig. 4, U. omuînimu de la Durdngue (dhü)- ` A ll C D Iig. de la coquille déviee. F GB D |ig.de la cnquille déviée ramwée graphiquement l son type.
. E· ` ~ * ï¥ Fu . . ` \ A %
\ \ 1 ul ‘ I
L I g
mmcnac p¤ lu
È /
\ x I1 1
À L / ,
( N i
xl xi rl gr L wi H `; . V f ` W ‘ " — · · ._,.· ·, *“ « ‘·—: a aa; ·« · _. . . '“°°8‘€
`J \ Érl ·*¤§\·t.É;
¥à\
\ l h· «';_ J
W ` · g / Q, ` ?;;%«îr_· Wcmgtu
i \ 1 ` N . Nwrwqrmc par A C
M? WI: =ï¢ /7 I ê I ê _ V Il xl
· L î Vxumcrxac par (Ji
2, U. amants, Banda., ¤·¤m¢n6 i mn type ahngulula par le même prncéfll. T'. VIK'. Fig. 3, Univ Nrurîsaimu du In Somme, Hivîé, nmenël mntypepnr le mâmcpmcédé. Ã, coquille normale. (Dédgnnlîon de cer- . hinu pnrlina pmprea I fournir le boul undlèrnl). A linut large on B ¤în¤| dnrul nn l0¤g· C dnunlnml au uméniuur. D nlllnn dun:]. E cxëln vtntuls. F chambre nntérlnnm. G chambre postérieure. K împrehlnn muxcnlnîru mléfîeuru. I fille. ` J fnilelle. K lmpretîon muxculnîm ponùérienre. L (tutelle. •
I [ 1 V E. ( i î Ã € ' . . ' F . ‘ . î . ` i 5 ' l î · È} \ mmcnac p¤rGxgsglu x ·f
TA BLE del llnllèrll ctllcllnl Intl M Vslunn. hs- (lamote-vendu de ln deiuiêuxe useion ....... 5 Réglement. ..,........,........ 13 Décisions du Comité ürmsnent ......,,.. 17 Catalogne des ouvrsges olïens à ls Société ..... 19 Budget de 1838-39 ...,............ 20 Esssi sur les Néeroyhsges gar M. Marense. . , . . 21 Membres sxlmis deguisla susinn de 1830. . . . · 81 Compte des Recettes et du Dégensés de 1839%/J. . 83 Léyidogtères (catalogue), Enr M. Du]'a¤·¤·lin ..... 85 Observations sur guelgues variétés et munstrnmilés nouvelles trouvées dans les arrondissemens de Lson, de Enemy et ile Vervins pr M. Al, de ln Pons baron de Mélinoeg. .... . ...,.. 107 Note sur le Dacrzamiees urtinz Fries.), et sur le Pesin fusnrioidex (lâérk.), i- M. Tillelte de les·mont-Tonnerre. . Mg I/inlluenoe de ls nature du sol sur les végétaux, Eur M. de la Fons baron de Mélioncg , ..... 117 Note sur la renroduclion anormale du cresson Hr M Piggm. , .... Q25 Sur le Sngina stvieh, Ev M. Tilletle de Clermont Tonnerre. . .... , .... 439 Amand, gar M. de ls Fons baron de Mélicgl. . 1M Notice sur les Insectes Diytères gui nuisent aux céx·énles<lsusl'étntzle végétnti0¤,E¤rM.Mscgusrt. M3 1 /
Hietnire du Mollgnee œrrexlru et llnvintilee gui P"` vivent dune le dépriement de ln Somme, E5 Mïgnrd .....,.,. .j_I,\§ Nulles mr le Logbium ehtuml Er M. J.-B.-B·»J. L-gmgièy. . . · . . . ..·.. · . 32Q Nouvelle Notice mr les lneeclen Diglèrzs ggi nnîznnt aux céuhlu dem Nbr de végétation , H M, Magnan ...........,.... . . 332 Mémoire mr lu Dévîationn dem le genre Uma, Pour servir à en rendre le déI.u·mi¤zLion glun fuzile pr M. Pinurd ............·. 339 V Abbeville, lmp. du C. PAILLAMI. ê' ‘ §»
AN INITIAL FINE OF Z5 UENTS ' l ` wm. mcnnns rn un csnvs au ru: rcurrm ; ‘ x 9 ‘ , QbÃÃ 7 1, , z ï "~=-wjë L \ I955 ` : JAN4:>A96s--———- —~ ' 5 I LD zb mm ,¤,·.m«·«.» Ã —~ =i VT: